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1 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVII. Du Renard, et du Loup. »
 quand tu m’auras tiré d’icy, je te raconteray le tout par ordre ». Discours sur la soixante-septiesme Fable. Cette Allegor
ou à prouver le sentiment de mon Autheur. Passons plustost à un autre Discours , puis que ceste verité est de soy-mesme plus mani
2 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVIII. Des Taureaux, et du Lion. »
on il luy fût aisé de les mettre tous en pieces l’un apres l’autre. Discours sur la nonante-huictiesme Fable. Quant à l’uni
assez commune, et que nous avons des-ja veuë plusieurs fois dans les Discours precedents. Je ne m’arresteray donc pas d’avantag
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XIX. Le Charlatan. » p. 
p de prestance : Surtout qu’il se souvinst de faire à l’assistance Un discours où son art fut au long étendu ; Un discours pathe
e faire à l’assistance Un discours où son art fut au long étendu ; Un discours pathetique, et dont le formulaire Servist à certa
4 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIV. Du Singe, et du Renard. »
n empire sur autruy, puis que tu n’as sçeu commander à toy-mesme ». Discours sur la trente-quatriesme Fable. Je ne raporter
du Renard, qu’à l’impertinence des autres animaux tant pource qu’aux discours precedents j’ay assez parlé contre les personnes
rsonne du Monarque ; si est-ce que nous prendrons pour ceste heure le discours au pied de la lettre, et ne nous arresterons qu’à
tesfois ces hommes n’avoient pas encore assez fait de progrés dans le discours  : Ils ne s’estoient pas encore portez assez avant
5 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXI. De Venus, et d’une Chatte. »
use que la Déesse irritée, voulut qu’elle reprit sa premiere forme. Discours sur la cent-unziesme Fable. Trois choses digne
te Chatte, que Venus transforme en femme. Le troisiesme poinct de mon Discours sera le vray but d’Esope, compris dans la fin de
ceste verité trop manifeste. Je viens donc à la seconde partie de mon Discours , qui est la transformation que nostre Autheur nou
n plusieurs endroicts de nostre œuvre, nous avons amplement touché ce Discours , il sera bien à propos de donner un sens exprés à
roit à demy femme. Venons maintenant à la troisiesme partie de nostre Discours , à sçavoir que la condition ne change pas les ver
re capables d’une parfaite Vertu. Mais je passe insensiblement de mon Discours à un autre, et ne m’apperçois pas que j’anticipe
6 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXII. Du Loup, et de la Truye. »
endre d’un Loup, vient de son absence, et non pas de sa presence ». Discours sur la vingt-deuxiesme Fable. Ceste Beste proc
ourveu que tu sois ce que tu dois estre ». Mais pour conclusion de ce Discours , qu’il nous suffise de dire en passant, que nous
7 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIII. Des Loups, et de la Brebis. »
bien aisément, pource qu’elles n’avoient plus leur garde ordinaire. Discours sur la quarante-troisiesme Fable. L’on peut ap
raisons. Mais nous nous sommes estendus si avant dans l’Histoire aux discours precedents, que nous laisserons pour ceste fois à
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIII. Du Lion, et de la Chévre. »
intention neantmoins estoit fort mauvaise, et pleine de tromperie. Discours sur la cent-troisiesme Fable. Le sens Moral de
’oreille à la persuasion du Lion son ennemy, bien qu’en apparence ses Discours soient profitables, et plausibles. En quoy, certe
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIV. De l’Asne, et du Loup. »
tenant estre Chirurgien, moy qui n’ay jamais esté qu’un Boucher ? » Discours sur la soixante-quatriesme Fable. Esope se moq
leur, c’est une chose pitoyable de les voir faire. Car au lieu qu’en discours ils n’ont merité que des risées, en de semblables
10 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 141 » pp. 319-319
fable montre que les gens cupides amorcent les pauvres gens par leurs discours séducteurs et leurs flatteries, tandis qu’ils leu
11 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLI. Du Cerf, et du Chasseur. »
ambes, et à blasmer ses cornes, qui avoient esté cause de sa prise. Discours sur la quarante-uniesme Fable. Ce n’est point
suscite. Que cela ne soit, tous ces Roys que nous avons nommé dans le discours precedent n’auroient jamais reçeu de disgrace par
12 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XIX. L’Enfant et le Maistre d’Ecole. » p. 211
e.
 Tout babillard, tout censeur, tout pedant,
 Se peut connoistre au discours que j’avance :
 Chacun des trois fait un peuple f
13 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVII. Du Milan malade. »
toy qui as tant de fois pollué leurs Sacrifices, et leurs Autels ». Discours sur la dix-septiesme Fable. Pource que ceste F
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCI. Du Chameau. »
ourcist les oreilles, apres s’estre mocqué de sa requeste incivile. Discours sur la nonante-uniesme Fable. L’allegorie de c
15 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 71 » pp. 372-372
vorer ; mais leur union l’en empêchait. Alors il les brouilla par des discours perfides et les sépara les uns des autres ; dès l
16 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 96 » p. 63
peuple d’Athènes. Comme on ne prêtait pas beaucoup d’attention à son discours , il demanda qu’on lui permît de conter une fable
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIX. De la Belette, et du Renard. »
faisoit cét effort, y accourut pour le secourir ; Et apres plusieurs discours , luy conseilla de retourner en sa terriere, aussi
la de retourner en sa terriere, aussi maigre qu’il en estoit sorty. Discours sur la quarante-neufviesme Fable. Quelques-uns
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLVII. Du Singe, et du Renard. »
baleyer la terre de sa queuë, qu’en couvrir les fesses d’un Singe. Discours sur la quarante-septiesme Fable. Quant au refu
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLVIII. Du Renard, et des Raisins. »
ux point de ces Raisins », dit-il, « ils sont encore trop aigres ». Discours sur la quarante-huictiesme Fable. La dissimula
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIV. Du Charbonnier, et du Foullon. »
que j’aurois blanchy, ne se noircist à la vapeur de ton charbon ». Discours sur la cent-quatorziesme Fable. De ceste Fable
21 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVI. Du Cheval, et du Lion. »
il contrefit le Medecin, et commença d’entretenir le Cheval de divers discours . Mais luy, qui recognût cette fraude, trouva moye
val s’est eschappé, car il a vengé la fraude par la fraude mesme ». Discours sur la trente-sixiesme Fable. Comme la Fable p
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VI. Du Lion, et de quelques autres Bestes. »
ent encore, pour avoir plus travaillé que tous à prendre le Cerf ». Discours sur la sixiesme Fable. Ce partage que fait le
23 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVIII. De l’Ours, et des Mouches à Miel. »
tes les Abeilles m’ont fait, lors que j’ay creu me vanger d’elle ». Discours sur la cent-dixhuictiesme Fable. Le sens de ce
iser, et de dire des choses plustost vrayes que subtiles : car en ces Discours tout mon dessein n’a esté que d’acheminer les hom
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXV. Des Liévres craignans sans cause. »
t, et nous mocquons de ce danger, qui n’est nullement à craindre ». Discours sur la vingt-cinquiesme Fable. La sotte craint
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVI. Du Satyre, et du Voyageur. »
’accommoder avec un homme qui se contre-dit ainsi en ses paroles ». Discours sur la cent-sixiesme Fable. L’action de ce Sat
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXI. Du Renard, et du Bouc. »
, que tu n’eusses premierement bien pensé aux moyens d’en sortir ». Discours sur la septante-uniesme Fable. Voicy la peintu
mon dessein estoit de faire un recueil d’Histoires, plustost que des discours abregez. Contentons-nous doncques pour ceste fois
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIV. De l’Homme, et d’une Idole. »
mme au contraire, tu m’en as fait beaucoup, quand je t’ay battuë ». Discours sur la septante-quatriesme Fable. Ceste Fable
si mal traité ? Mais laissons là ce prelude, comme estranger à nostre discours , et venons à l’Allegorie de nostre Fable, par laq
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIV. D’un Laboureur et de ses Enfants. »
sions, quiconque entreprendra de vous perdre, le fera facilement ». Discours sur la huictante-quatriesme Fable. Ce qu’Esope
mort, et leur fit faire la mesme experience, qui est contenuë dans le discours de ceste Fable. Cela nous aprend, que plus nos fo
29 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Par quelle advanture Esope reçeut le don de bien parler. Chapitre IIII. »
lioit la langue, luy donnant non seulement la grace et la facilité du discours , mais encore la science des fables. Apres ceste a
30 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIII. De l’Enfantement des Montagnes. »
la Montagne accoucha d’un Rat, ce qui les fit tous pasmer de rire. Discours sur la vingt-troiziesme Fable. Je doute au com
ours sur la vingt-troiziesme Fable. Je doute au commencement de ce Discours , si je le dois rapporter aux promesses des Arroga
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIII. De l’Arbre, et du Roseau. »
ontraire, voulant s’opposer à sa violence, fût arraché par le pied. Discours sur la soixante-troisiesme Fable. Icy nous apr
et plus noble. Ces distinctions estans supposées pour la clarté de ce Discours , je dis que par l’Allegorie de nostre Fable, Esop
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVI. Du Renard, et du Chat. »
le, mais qu’il s’en tenoit bien asseuré. Comme ils en estoient sur ce discours , ils ouyrent abboyer des Chiens, qui s’en vindren
uvant faire, il fût à l’instant assiegé des Chiens, qui le prirent. Discours sur la soixante-sixiesme Fable. Le dessein de
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
a Cruche, et ainsi faisant monter l’eau, elle beut tout à son aise. Discours sur la cent-quatriesme Fable. Ce qu’Esope inve
spute où il estoit question de sçavoir, si les Animaux ont l’usage du discours plus imparfaictement que nous, ou plustost si ce
le faux, et le bien d’avecque le mal. Ce qui ne se peut faire sans le discours , qui est l’instrument de la cognoissance ; le dis
faire sans le discours, qui est l’instrument de la cognoissance ; le discours donc appartient à l’homme, et non pas aux autres
a generation, et l’Individu par la nourriture, à plus forte raison le discours les convieroit à chercher de plus en plus les moy
ique, ou par quelque subtil advis qu’il en eust luy-mesme, que par le discours des animaux. Pour le regard des loüanges que les
té l’austere reprehension des Vices, que nous avons faite en tous les Discours precedents, nous semblast permettre en celuy-cy d
son intention n’a pas esté de mettre en jeu des Creatures capables de discours , mais il a voulu seulement estaller les serieuses
outes nos actions seroient imparfaites. Passons maintenant à un autre Discours .  
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LII. De l’Oyseleur, et du Merle. »
ûjours de semblables villes, tu n’auras pas beaucoup de Citoyens ». Discours sur la cinquante-deuxiesme Fable. Par les paro
35 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIII. De deux pots flottans sur l’eau. »
il vaut mieux que je mette ma seureté à me separer d’avecque toy ». Discours sur la nonante-troisiesme Fable. Par ceste Fab
36 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du second service de Langues. Chapitre XV. »
core des langues qu’on nous presente ? » Mais sans s’arrester à leurs discours , Esope en apporta d’autres, et d’autres encore, j
37 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVIII. Le Vieillard et ses enfans. » p. 53
nfans, que l’amour vous accorde. Tant que dura son mal il n’eut autre discours . Enfin se sentant prest de terminer ses jours, Me
38 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XX. Des Colombes, et du Faucon leur Roy. »
p meilleur d’endurer la guerre du Milan, que la tyrannie du Faucon. Discours sur la vingtiesme Fable. La vingtiesme Fable d
ment d’aucun crime, non plus qu’ils ne le sont pas de la parole et du discours , mais il represente en leur personne la faute des
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXX. De l’Aigle, et du Corbeau. »
tirer, si bien qu’il fut pris, et donné aux Enfans pour s’en joüer. Discours sur la soixante-dixiesme Fable. Ceste Fable so
e sacrilege ! ô execrable impieté ! Or pour adoucir aucunement nostre Discours , et passer des choses extrêmes aux moyennes, tout
40 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXV. De la Nourrice, et du Loup. »
leuroit, ne m’a donné que des paroles, et m’a trompé meschamment ». Discours sur la huictante-cinquiesme Fable. Il semble q
, Une chose mauvaise a pû devenir bonne. Tels et semblables sont les discours qu’on a tenus contre les femmes, et que l’on tien
41 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CV. Du Laboureur, et du Taureau. »
it la teste de poudre, et luy en remplissoit la bouche et les yeux. Discours sur la cent-cinquiesme Fable. Par ce Taureau,
42 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIV. De la Forest, et du Paysan. »
lité, et se fascha contre soy-mesme d’avoir esté cause de sa ruyne. Discours sur la quarante-quatriesme Fable. Les hommes o
43 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVI. Du Lion, et du Renard. »
sont voirement entrées ; mais je ne sçay si elles en sont sorties. Discours sur la cinquante-sixiesme Fable. Cet animal, q
44 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXV. Du Renard, trahy par le Coq. »
que le Coq me seroit fidele, apres luy avoir tué tant de femmes ? » Discours sur la soixante-cinquiesme Fable. Jamais il ne
45 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXX. De la Mouche. »
suis si bien plongée dans le pot, que je meurs saoule de potage ». Discours sur la quatre-vingtiesme Fable. Je compareray
46 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVII. De deux Escrevices. »
», luy respondit-elle, « monstre moy le chemin, et je te suivray ». Discours sur la huictante-septiesme Fable. Comment peuv
47 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIV. Du Taureau, et du Bouc. »
u, et celles d’un Bouc, sont deux choses extrémement differentes ». Discours sur la nonante-quatriesme Fable. Voicy l’exemp
48 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXII. D’un Malade, et d’un Medecin. »
ours bien, à ce qu’on me dist, et toutesfois je m’en vay mourant ». Discours sur la cent-douziesme Fable. Ce qu’Esope dit i
49 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXV. De la Chauue-souris, et du Buisson, et du Plongeon. »
obbes des Passants, pour voir s’il ne reconnoistra point la sienne. Discours sur la cent-quinziesme Fable. Voicy, ce me sem
50 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVII. Du Tygre, et du Renard. »
fort grande, je juge à peu prés qu’il faut que ce soit un homme ». Discours sur la nonante-septiesme Fable. On fit voir un
de l’escolle. D’ailleurs, comme nous avons dit en quelques-uns de nos Discours precedents, la Nature repare les defauts du corps
51 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIX. De la femelle du Singe, et de ses deux Enfants. »
, et qui luy estoit indifferent, s’échappa sans recevoir aucun mal. Discours sur la cent-neufviesme Fable. Par ceste Fable
tous les débordements de l’ame ! Mais je retombe insensiblement en un Discours , dont j’ay si souvent parlé dans cét Ouvrage, que
52 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIII. Des Coqs, et de la Perdrix. »
ter, puis que je voy maintenant qu’ils s’entrebattent eux-mesmes ». Discours sur la cent-treiziesme Fable. De ceste Fable o
mpuës en gros, ny resister en détail ; Et nous sommes estendus sur ce discours , à la maniere des Orateurs et des Philosophes. Ve
non pas mesme à leurs semblables ? Mais passons maintenant à un autre Discours , pour ne sembler trop prolixe en une chose que to
53 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 284 » pp. 193-193
it une ville, puis il s’éloigna et se cacha. L’alouette, se fiant aux discours de cet homme, s’approcha et fut prise au lacet. L
54 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LX. De la Puce, et de l’Homme. »
ir tuer, pource qu’il ne faut offencer personne, ny peu, ny prou ». Discours sur la soixantiésme Fable. C’est une mauvaise
55 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVIII. De l’Arondelle, et des autres Oyseaux. »
et se sert du lin, pour faire des rets et des lacets à les prendre. Discours sur la dix-huictiesme Fable. Icy la prevoyante
56 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIV. D’un vieil Chien, et de son Maistre. »
consideration devroit t’obliger à m’aymer aussi en ma vieillesse ». Discours sur la vingt-quatriesme Fable. Que les grands
57 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVII. Du Chien, et de la Brebis. »
rendre le pain, que le Loup luy osta en mesme temps, et le devora. Discours sur la vingt-septiesme Fable. Je ne sçay quel
58 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVIII. De l’Esprevier, et de la Colombe. »
mbe que tu poursuyvois n’aguere ne t’avoit point fait de mal aussi. Discours sur la trente-huictiesme Fable. C’est une mauv
59 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIII. Du Cerf, et du Cheval. »
e, car il le porte sur son dos, et luy met-on un frein à la bouche. Discours sur la cinquante-troisiesme Fable. L’on peut a
60 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXII. Du Chat, et du Coq. »
t trop cajolé », dit il, t »u ne m’eschapperas point aujourd’huy ». Discours sur la septante-deuxiesme Fable. Il est bien a
61 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVI. Du Paon, et de la Gruë. »
ur les maisons, au lieu que d’un vol courageux je perce les nuës ». Discours sur la nonante-sixiesme Fable. Je pense qu’il
62 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « AU LECTEUR. Sur le sujet des Fables. »
le sujet des Fables. J’avois eu quelque dessein de vous donner un discours plus ample que celuy-cy, touchant la cognoissance
ous-mesmes. Je vous les donne de nouveau traduittes, et augmentées de discours Moraux, Philosophiques, et Politiques, où si vous
63 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XII. De l’Aigle, et du Renard. »
sur eux incontinent, et les engloutit en la presence de leur mere. Discours sur la douziesme Fable. Ceste douziesme Fable
Richard, au retour de la Terre saincte, et me contente de conclure ce discours par l’exemple du vertueux Huniade. Celuy-cy ayant
64 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLV. Du Loup, et du Chien. »
e conclusion prise, ils passerent outre, et eurent ensemble plusieurs discours fort plaisants. Mais comme il fût jour, le Loup v
ur moy j’ayme beaucoup mieux jouyr de ma liberté tout à mon aise ». Discours sur la quarante-cinquiesme Fable. Nous pouvons
65 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIX. Du Lion, et de l’Homme. »
par des Lions, que tu ne verrois de Lions étouffez par des Hommes. Discours sur la cinquante-neufviesme Fable. L’allegorie
eront quant et quant suspects de complaisance, et feront plustost des Discours Panegyriques, que de veritables Relations. C’est
66 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE V. Du Chien, et de l’Ombre. »
; mais maintenant tu as moins que rien, et ta folie en est cause ». Discours sur la cinquiesme Fable. Ce Chien, qui laisse
67 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XI. De l’Aigle, et de la Corneille. »
oisson, et ainsi la mocquerie et la perte en demeurerent à l’Aigle. Discours sur l’unziesme Fable. Le noble et courageux Oy
68 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIV. Du Lion affoibly de vieillesse. »
is, et l’ay encore esté d’avantage de m’estre fié à de faux amis ». Discours sur la quatorziesme Fable. Ce Lion, que nous v
69 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVI. Du Chévreau, et du Loup. »
hévre, je voy neantmoins à travers les fentes, que c’est un Loup ». Discours sur la vingt-sixiesme Fable. Qui n’estimera l’
70 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXII. De la Brebis, et de la Corneille. »
e ; car je suis mauvaise aux debonnaires, et bonne aux meschants ». Discours sur la soixante-deuxiesme Fable. Je ne trouve
71 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVI. De la Tortuë, et de l’Aigle. »
ssa la vie auprés des Astres, qu’elle avoit si fort desiré de voir. Discours sur la huictante-sixiesme Fable. Ceste ambitio
72 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVIII. De l’Asne vestu de la peau du Lion. »
te semblera : pour moy je te cognois trop bien pour estre deçeu ». Discours sur la huictante-huictiesme Fable. En vain pou
73 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIX. De la Grenoüille, et du Renard. »
r la Grenoüille a les lévres de couleur bleüe, et toutes flestries. Discours sur la huictante-neufviesme Fable. Ceste Fable
74 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCV. Du Singe, et de ses Enfans. »
. Voylà ce qu’il dit devant Jupiter, qui s’en mit à rire luy-mesme. Discours sur la nonante-cinquiesme Fable. Quant à l’ave
75 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE J. Du Coq, et de la pierre precieuse. »
rois mieux un seul grain d’orge, que toute la pierrerie du monde ». Discours sur la premiere Fable. Encore que la pluspart
76 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE III. Du Rat, et de la Grenoüille. »
eu trop eschauffez au combat, ils ne se donnoient pas garde de luy. Discours sur la troisiesme Fable. Icy se void une peint
77 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIV. De l’Asne, et du Lion. »
n combat, moy qui n’ay point pris naissance de parents aguerris ? » Discours sur la cinquante-quatriesme Fable. Il y a troi
78 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVIII. Du Chevreau, et du Loup. »
injuries, mais bien l’avantage du lieu, qui te fait ainsi parler ». Discours sur la cinquante-huictiesme Fable. Voicy un ex
79 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVIII. Du Chien envieux, et du Bœuf. »
, que tu ne veux ny manger du foing, ny permettre que j’en mange ». Discours sur la soixante-huictiesme Fable. Icy l’on blâ
80 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIX. Du Loup, et des Chiens. »
Loup, « pour m’estre laissé tromper à leur differend particulier ». Discours sur la soixante-neufviesme Fable. Ce Loup avoi
81 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIII. Du Renard, et du Buisson. »
prendre par les mesmes ruses que tu pratiques envers les autres ». Discours sur la septante-troisiesme Fable. A quoy penso
82 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVII. Du Liévre, et de la Tortuë. »
ire point ta folle teste, et à te servir de tes jambes au besoin ». Discours sur la cent-dix-septiesme Fable. De quelque fa
83 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSIEUR. MONSIEUR. DE SAINCT SYMON, premier Gentil-homme de la Chambre. du Roy, et son premier Escuyer. »
Nature, de la Morale, et de la Politique ; comme vous verrez dans les Discours que j’ay formez là dessus selon l’occurrence des
84 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE II. Du Loup, et de l’Aigneau. »
e trouve donc pas estrange, si tu en portes la peine aujourd’huy ». Discours sur la seconde Fable. Le sage Inventeur n’a vo
85 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IV. Du Cerf, et de la Brebis. »
obligé de tenir promesse à ceux qui l’avoient exigée par la force. Discours sur la quatriesme Fable. Il est icy question d
86 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VII. Du Loup, et de la Gruë. »
, pour ce qu’il n’a tenu qu’à moy que je ne t’aye arraché le col ». Discours sur la septiesme Fable. En la septiesme invent
87 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIX. Des Grenoüilles, et de leur Roy. »
ueur d’un Tyran, puis qu’elles n’ont pû souffrir un Roy debonnaire. Discours sur la dixneufviesme Fable. Les Grenoüilles so
88 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXI. Du Geay. »
le desnuërent de ses plumes empruntées, et le battirent tres-bien. Discours sur la trente et uniesme Fable. L’extravagante
89 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXI. Du Larron, et du Chien. »
present ; car si je le prens, tu volleras tout dans ceste maison ». Discours sur la vingt et uniesme Fable. La fidele prevo
90 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXII. De la Mouche, et du Chariot. »
nt des roües ; « O que je fay lever de poudre ! », s’escria t’elle. Discours sur la trente-deuxiesme Fable. Nous avons en b
91 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LV. Du Vautour, et des autres Oyseaux. »
t bon accueil ; mais quand ils furent entrez, il les mit en pieces. Discours sur la cinquante-cinquiesme Fable. Le Vautour
92 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVIII. Du Berger, et du Loup . »
ier tout à son aise : Tellement que sa Brebis fut la proye du Loup. Discours sur la septante-huictiesme Fable. A force de m
93 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIX. Du Sapin, et du Buisson. »
u donner pour estre semblable à moy, et en aussi grande seureté ? » Discours sur la nonante-neufviesme Fable. La Moralité d
e. Or cela ne se peut pas dire des richesses, qui sont le sujet de ce Discours , pource que la jouyssance en est materielle, et p
94 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE C. Du Pescheur, et d’un petit Poisson. »
oit au hameçon de son bon gré. Mais le Pescheur inexorable à tous ces discours  ; « Mon amy », luy dit-il, « je ne suis pas d’adv
e je dois avoir, et n’achepte jamais l’esperance à prix d’argent ». Discours sur la centiesme Fable. Tous les hommes sont b
95 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 34 » pp. 22-22
urais dit merci, si tes gestes et tes procédés s’accordaient avec tes discours . » On pourrait appliquer cette fable aux hommes q
96 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VIII. Du Laboureur et du Serpent. »
al pour le bien, et veux oster la vie à celuy qui te l’a donnée ! » Discours sur la huictiesme Fable. Le Serpent n’est pas
97 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVIII. Du Laboureur et du Serpent. »
trisseure en ma playe, si est-ce que le souvenir m’en reste encore. Discours sur la vingt-huictiesme Fable. C’est bien à fa
98 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIX. Du Renard, et de la Cigongne. »
comme au contraire, il fut bien aisé à la Cigongne de tout manger. Discours sur la vingt-neufviesme Fable. Te crois-tu si
99 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXX. Du Loup, et de la Teste peinte. »
oute beaucoup d’art en toy, mais point d’esprit, ny de sentiment ». Discours sur la trentiesme Fable. Ceux-là s’abusent ext
100 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVII. Des Oyseaux, et des Bestes à quatre pieds. »
’on ne la voit point d’ordinaire, que lors qu’il est presque nuict. Discours sur la trente-septiesme Fable. Quant à la trah
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