quand tu m’auras tiré d’icy, je te raconteray le tout par ordre ».
Discours
sur la soixante-septiesme Fable. Cette Allegor
ou à prouver le sentiment de mon Autheur. Passons plustost à un autre
Discours
, puis que ceste verité est de soy-mesme plus mani
on il luy fût aisé de les mettre tous en pieces l’un apres l’autre.
Discours
sur la nonante-huictiesme Fable. Quant à l’uni
assez commune, et que nous avons des-ja veuë plusieurs fois dans les
Discours
precedents. Je ne m’arresteray donc pas d’avantag
p de prestance : Surtout qu’il se souvinst de faire à l’assistance Un
discours
où son art fut au long étendu ; Un discours pathe
e faire à l’assistance Un discours où son art fut au long étendu ; Un
discours
pathetique, et dont le formulaire Servist à certa
n empire sur autruy, puis que tu n’as sçeu commander à toy-mesme ».
Discours
sur la trente-quatriesme Fable. Je ne raporter
du Renard, qu’à l’impertinence des autres animaux tant pource qu’aux
discours
precedents j’ay assez parlé contre les personnes
rsonne du Monarque ; si est-ce que nous prendrons pour ceste heure le
discours
au pied de la lettre, et ne nous arresterons qu’à
tesfois ces hommes n’avoient pas encore assez fait de progrés dans le
discours
: Ils ne s’estoient pas encore portez assez avant
use que la Déesse irritée, voulut qu’elle reprit sa premiere forme.
Discours
sur la cent-unziesme Fable. Trois choses digne
te Chatte, que Venus transforme en femme. Le troisiesme poinct de mon
Discours
sera le vray but d’Esope, compris dans la fin de
ceste verité trop manifeste. Je viens donc à la seconde partie de mon
Discours
, qui est la transformation que nostre Autheur nou
n plusieurs endroicts de nostre œuvre, nous avons amplement touché ce
Discours
, il sera bien à propos de donner un sens exprés à
roit à demy femme. Venons maintenant à la troisiesme partie de nostre
Discours
, à sçavoir que la condition ne change pas les ver
re capables d’une parfaite Vertu. Mais je passe insensiblement de mon
Discours
à un autre, et ne m’apperçois pas que j’anticipe
endre d’un Loup, vient de son absence, et non pas de sa presence ».
Discours
sur la vingt-deuxiesme Fable. Ceste Beste proc
ourveu que tu sois ce que tu dois estre ». Mais pour conclusion de ce
Discours
, qu’il nous suffise de dire en passant, que nous
bien aisément, pource qu’elles n’avoient plus leur garde ordinaire.
Discours
sur la quarante-troisiesme Fable. L’on peut ap
raisons. Mais nous nous sommes estendus si avant dans l’Histoire aux
discours
precedents, que nous laisserons pour ceste fois à
intention neantmoins estoit fort mauvaise, et pleine de tromperie.
Discours
sur la cent-troisiesme Fable. Le sens Moral de
’oreille à la persuasion du Lion son ennemy, bien qu’en apparence ses
Discours
soient profitables, et plausibles. En quoy, certe
tenant estre Chirurgien, moy qui n’ay jamais esté qu’un Boucher ? »
Discours
sur la soixante-quatriesme Fable. Esope se moq
leur, c’est une chose pitoyable de les voir faire. Car au lieu qu’en
discours
ils n’ont merité que des risées, en de semblables
fable montre que les gens cupides amorcent les pauvres gens par leurs
discours
séducteurs et leurs flatteries, tandis qu’ils leu
ambes, et à blasmer ses cornes, qui avoient esté cause de sa prise.
Discours
sur la quarante-uniesme Fable. Ce n’est point
suscite. Que cela ne soit, tous ces Roys que nous avons nommé dans le
discours
precedent n’auroient jamais reçeu de disgrace par
e.
Tout babillard, tout censeur, tout pedant,
Se peut connoistre au
discours
que j’avance :
Chacun des trois fait un peuple f
toy qui as tant de fois pollué leurs Sacrifices, et leurs Autels ».
Discours
sur la dix-septiesme Fable. Pource que ceste F
ourcist les oreilles, apres s’estre mocqué de sa requeste incivile.
Discours
sur la nonante-uniesme Fable. L’allegorie de c
vorer ; mais leur union l’en empêchait. Alors il les brouilla par des
discours
perfides et les sépara les uns des autres ; dès l
peuple d’Athènes. Comme on ne prêtait pas beaucoup d’attention à son
discours
, il demanda qu’on lui permît de conter une fable
faisoit cét effort, y accourut pour le secourir ; Et apres plusieurs
discours
, luy conseilla de retourner en sa terriere, aussi
la de retourner en sa terriere, aussi maigre qu’il en estoit sorty.
Discours
sur la quarante-neufviesme Fable. Quelques-uns
baleyer la terre de sa queuë, qu’en couvrir les fesses d’un Singe.
Discours
sur la quarante-septiesme Fable. Quant au refu
ux point de ces Raisins », dit-il, « ils sont encore trop aigres ».
Discours
sur la quarante-huictiesme Fable. La dissimula
que j’aurois blanchy, ne se noircist à la vapeur de ton charbon ».
Discours
sur la cent-quatorziesme Fable. De ceste Fable
il contrefit le Medecin, et commença d’entretenir le Cheval de divers
discours
. Mais luy, qui recognût cette fraude, trouva moye
val s’est eschappé, car il a vengé la fraude par la fraude mesme ».
Discours
sur la trente-sixiesme Fable. Comme la Fable p
ent encore, pour avoir plus travaillé que tous à prendre le Cerf ».
Discours
sur la sixiesme Fable. Ce partage que fait le
tes les Abeilles m’ont fait, lors que j’ay creu me vanger d’elle ».
Discours
sur la cent-dixhuictiesme Fable. Le sens de ce
iser, et de dire des choses plustost vrayes que subtiles : car en ces
Discours
tout mon dessein n’a esté que d’acheminer les hom
t, et nous mocquons de ce danger, qui n’est nullement à craindre ».
Discours
sur la vingt-cinquiesme Fable. La sotte craint
’accommoder avec un homme qui se contre-dit ainsi en ses paroles ».
Discours
sur la cent-sixiesme Fable. L’action de ce Sat
, que tu n’eusses premierement bien pensé aux moyens d’en sortir ».
Discours
sur la septante-uniesme Fable. Voicy la peintu
mon dessein estoit de faire un recueil d’Histoires, plustost que des
discours
abregez. Contentons-nous doncques pour ceste fois
mme au contraire, tu m’en as fait beaucoup, quand je t’ay battuë ».
Discours
sur la septante-quatriesme Fable. Ceste Fable
si mal traité ? Mais laissons là ce prelude, comme estranger à nostre
discours
, et venons à l’Allegorie de nostre Fable, par laq
sions, quiconque entreprendra de vous perdre, le fera facilement ».
Discours
sur la huictante-quatriesme Fable. Ce qu’Esope
mort, et leur fit faire la mesme experience, qui est contenuë dans le
discours
de ceste Fable. Cela nous aprend, que plus nos fo
lioit la langue, luy donnant non seulement la grace et la facilité du
discours
, mais encore la science des fables. Apres ceste a
la Montagne accoucha d’un Rat, ce qui les fit tous pasmer de rire.
Discours
sur la vingt-troiziesme Fable. Je doute au com
ours sur la vingt-troiziesme Fable. Je doute au commencement de ce
Discours
, si je le dois rapporter aux promesses des Arroga
ontraire, voulant s’opposer à sa violence, fût arraché par le pied.
Discours
sur la soixante-troisiesme Fable. Icy nous apr
et plus noble. Ces distinctions estans supposées pour la clarté de ce
Discours
, je dis que par l’Allegorie de nostre Fable, Esop
le, mais qu’il s’en tenoit bien asseuré. Comme ils en estoient sur ce
discours
, ils ouyrent abboyer des Chiens, qui s’en vindren
uvant faire, il fût à l’instant assiegé des Chiens, qui le prirent.
Discours
sur la soixante-sixiesme Fable. Le dessein de
a Cruche, et ainsi faisant monter l’eau, elle beut tout à son aise.
Discours
sur la cent-quatriesme Fable. Ce qu’Esope inve
spute où il estoit question de sçavoir, si les Animaux ont l’usage du
discours
plus imparfaictement que nous, ou plustost si ce
le faux, et le bien d’avecque le mal. Ce qui ne se peut faire sans le
discours
, qui est l’instrument de la cognoissance ; le dis
faire sans le discours, qui est l’instrument de la cognoissance ; le
discours
donc appartient à l’homme, et non pas aux autres
a generation, et l’Individu par la nourriture, à plus forte raison le
discours
les convieroit à chercher de plus en plus les moy
ique, ou par quelque subtil advis qu’il en eust luy-mesme, que par le
discours
des animaux. Pour le regard des loüanges que les
té l’austere reprehension des Vices, que nous avons faite en tous les
Discours
precedents, nous semblast permettre en celuy-cy d
son intention n’a pas esté de mettre en jeu des Creatures capables de
discours
, mais il a voulu seulement estaller les serieuses
outes nos actions seroient imparfaites. Passons maintenant à un autre
Discours
.
ûjours de semblables villes, tu n’auras pas beaucoup de Citoyens ».
Discours
sur la cinquante-deuxiesme Fable. Par les paro
il vaut mieux que je mette ma seureté à me separer d’avecque toy ».
Discours
sur la nonante-troisiesme Fable. Par ceste Fab
core des langues qu’on nous presente ? » Mais sans s’arrester à leurs
discours
, Esope en apporta d’autres, et d’autres encore, j
nfans, que l’amour vous accorde. Tant que dura son mal il n’eut autre
discours
. Enfin se sentant prest de terminer ses jours, Me
p meilleur d’endurer la guerre du Milan, que la tyrannie du Faucon.
Discours
sur la vingtiesme Fable. La vingtiesme Fable d
ment d’aucun crime, non plus qu’ils ne le sont pas de la parole et du
discours
, mais il represente en leur personne la faute des
tirer, si bien qu’il fut pris, et donné aux Enfans pour s’en joüer.
Discours
sur la soixante-dixiesme Fable. Ceste Fable so
e sacrilege ! ô execrable impieté ! Or pour adoucir aucunement nostre
Discours
, et passer des choses extrêmes aux moyennes, tout
leuroit, ne m’a donné que des paroles, et m’a trompé meschamment ».
Discours
sur la huictante-cinquiesme Fable. Il semble q
, Une chose mauvaise a pû devenir bonne. Tels et semblables sont les
discours
qu’on a tenus contre les femmes, et que l’on tien
it la teste de poudre, et luy en remplissoit la bouche et les yeux.
Discours
sur la cent-cinquiesme Fable. Par ce Taureau,
lité, et se fascha contre soy-mesme d’avoir esté cause de sa ruyne.
Discours
sur la quarante-quatriesme Fable. Les hommes o
sont voirement entrées ; mais je ne sçay si elles en sont sorties.
Discours
sur la cinquante-sixiesme Fable. Cet animal, q
que le Coq me seroit fidele, apres luy avoir tué tant de femmes ? »
Discours
sur la soixante-cinquiesme Fable. Jamais il ne
suis si bien plongée dans le pot, que je meurs saoule de potage ».
Discours
sur la quatre-vingtiesme Fable. Je compareray
», luy respondit-elle, « monstre moy le chemin, et je te suivray ».
Discours
sur la huictante-septiesme Fable. Comment peuv
u, et celles d’un Bouc, sont deux choses extrémement differentes ».
Discours
sur la nonante-quatriesme Fable. Voicy l’exemp
ours bien, à ce qu’on me dist, et toutesfois je m’en vay mourant ».
Discours
sur la cent-douziesme Fable. Ce qu’Esope dit i
obbes des Passants, pour voir s’il ne reconnoistra point la sienne.
Discours
sur la cent-quinziesme Fable. Voicy, ce me sem
fort grande, je juge à peu prés qu’il faut que ce soit un homme ».
Discours
sur la nonante-septiesme Fable. On fit voir un
de l’escolle. D’ailleurs, comme nous avons dit en quelques-uns de nos
Discours
precedents, la Nature repare les defauts du corps
, et qui luy estoit indifferent, s’échappa sans recevoir aucun mal.
Discours
sur la cent-neufviesme Fable. Par ceste Fable
tous les débordements de l’ame ! Mais je retombe insensiblement en un
Discours
, dont j’ay si souvent parlé dans cét Ouvrage, que
ter, puis que je voy maintenant qu’ils s’entrebattent eux-mesmes ».
Discours
sur la cent-treiziesme Fable. De ceste Fable o
mpuës en gros, ny resister en détail ; Et nous sommes estendus sur ce
discours
, à la maniere des Orateurs et des Philosophes. Ve
non pas mesme à leurs semblables ? Mais passons maintenant à un autre
Discours
, pour ne sembler trop prolixe en une chose que to
it une ville, puis il s’éloigna et se cacha. L’alouette, se fiant aux
discours
de cet homme, s’approcha et fut prise au lacet. L
ir tuer, pource qu’il ne faut offencer personne, ny peu, ny prou ».
Discours
sur la soixantiésme Fable. C’est une mauvaise
et se sert du lin, pour faire des rets et des lacets à les prendre.
Discours
sur la dix-huictiesme Fable. Icy la prevoyante
consideration devroit t’obliger à m’aymer aussi en ma vieillesse ».
Discours
sur la vingt-quatriesme Fable. Que les grands
rendre le pain, que le Loup luy osta en mesme temps, et le devora.
Discours
sur la vingt-septiesme Fable. Je ne sçay quel
mbe que tu poursuyvois n’aguere ne t’avoit point fait de mal aussi.
Discours
sur la trente-huictiesme Fable. C’est une mauv
e, car il le porte sur son dos, et luy met-on un frein à la bouche.
Discours
sur la cinquante-troisiesme Fable. L’on peut a
t trop cajolé », dit il, t »u ne m’eschapperas point aujourd’huy ».
Discours
sur la septante-deuxiesme Fable. Il est bien a
ur les maisons, au lieu que d’un vol courageux je perce les nuës ».
Discours
sur la nonante-sixiesme Fable. Je pense qu’il
le sujet des Fables. J’avois eu quelque dessein de vous donner un
discours
plus ample que celuy-cy, touchant la cognoissance
ous-mesmes. Je vous les donne de nouveau traduittes, et augmentées de
discours
Moraux, Philosophiques, et Politiques, où si vous
sur eux incontinent, et les engloutit en la presence de leur mere.
Discours
sur la douziesme Fable. Ceste douziesme Fable
Richard, au retour de la Terre saincte, et me contente de conclure ce
discours
par l’exemple du vertueux Huniade. Celuy-cy ayant
e conclusion prise, ils passerent outre, et eurent ensemble plusieurs
discours
fort plaisants. Mais comme il fût jour, le Loup v
ur moy j’ayme beaucoup mieux jouyr de ma liberté tout à mon aise ».
Discours
sur la quarante-cinquiesme Fable. Nous pouvons
par des Lions, que tu ne verrois de Lions étouffez par des Hommes.
Discours
sur la cinquante-neufviesme Fable. L’allegorie
eront quant et quant suspects de complaisance, et feront plustost des
Discours
Panegyriques, que de veritables Relations. C’est
; mais maintenant tu as moins que rien, et ta folie en est cause ».
Discours
sur la cinquiesme Fable. Ce Chien, qui laisse
oisson, et ainsi la mocquerie et la perte en demeurerent à l’Aigle.
Discours
sur l’unziesme Fable. Le noble et courageux Oy
is, et l’ay encore esté d’avantage de m’estre fié à de faux amis ».
Discours
sur la quatorziesme Fable. Ce Lion, que nous v
hévre, je voy neantmoins à travers les fentes, que c’est un Loup ».
Discours
sur la vingt-sixiesme Fable. Qui n’estimera l’
e ; car je suis mauvaise aux debonnaires, et bonne aux meschants ».
Discours
sur la soixante-deuxiesme Fable. Je ne trouve
ssa la vie auprés des Astres, qu’elle avoit si fort desiré de voir.
Discours
sur la huictante-sixiesme Fable. Ceste ambitio
te semblera : pour moy je te cognois trop bien pour estre deçeu ».
Discours
sur la huictante-huictiesme Fable. En vain pou
r la Grenoüille a les lévres de couleur bleüe, et toutes flestries.
Discours
sur la huictante-neufviesme Fable. Ceste Fable
. Voylà ce qu’il dit devant Jupiter, qui s’en mit à rire luy-mesme.
Discours
sur la nonante-cinquiesme Fable. Quant à l’ave
rois mieux un seul grain d’orge, que toute la pierrerie du monde ».
Discours
sur la premiere Fable. Encore que la pluspart
eu trop eschauffez au combat, ils ne se donnoient pas garde de luy.
Discours
sur la troisiesme Fable. Icy se void une peint
n combat, moy qui n’ay point pris naissance de parents aguerris ? »
Discours
sur la cinquante-quatriesme Fable. Il y a troi
injuries, mais bien l’avantage du lieu, qui te fait ainsi parler ».
Discours
sur la cinquante-huictiesme Fable. Voicy un ex
, que tu ne veux ny manger du foing, ny permettre que j’en mange ».
Discours
sur la soixante-huictiesme Fable. Icy l’on blâ
Loup, « pour m’estre laissé tromper à leur differend particulier ».
Discours
sur la soixante-neufviesme Fable. Ce Loup avoi
prendre par les mesmes ruses que tu pratiques envers les autres ».
Discours
sur la septante-troisiesme Fable. A quoy penso
ire point ta folle teste, et à te servir de tes jambes au besoin ».
Discours
sur la cent-dix-septiesme Fable. De quelque fa
Nature, de la Morale, et de la Politique ; comme vous verrez dans les
Discours
que j’ay formez là dessus selon l’occurrence des
e trouve donc pas estrange, si tu en portes la peine aujourd’huy ».
Discours
sur la seconde Fable. Le sage Inventeur n’a vo
obligé de tenir promesse à ceux qui l’avoient exigée par la force.
Discours
sur la quatriesme Fable. Il est icy question d
, pour ce qu’il n’a tenu qu’à moy que je ne t’aye arraché le col ».
Discours
sur la septiesme Fable. En la septiesme invent
ueur d’un Tyran, puis qu’elles n’ont pû souffrir un Roy debonnaire.
Discours
sur la dixneufviesme Fable. Les Grenoüilles so
le desnuërent de ses plumes empruntées, et le battirent tres-bien.
Discours
sur la trente et uniesme Fable. L’extravagante
present ; car si je le prens, tu volleras tout dans ceste maison ».
Discours
sur la vingt et uniesme Fable. La fidele prevo
nt des roües ; « O que je fay lever de poudre ! », s’escria t’elle.
Discours
sur la trente-deuxiesme Fable. Nous avons en b
t bon accueil ; mais quand ils furent entrez, il les mit en pieces.
Discours
sur la cinquante-cinquiesme Fable. Le Vautour
ier tout à son aise : Tellement que sa Brebis fut la proye du Loup.
Discours
sur la septante-huictiesme Fable. A force de m
u donner pour estre semblable à moy, et en aussi grande seureté ? »
Discours
sur la nonante-neufviesme Fable. La Moralité d
e. Or cela ne se peut pas dire des richesses, qui sont le sujet de ce
Discours
, pource que la jouyssance en est materielle, et p
oit au hameçon de son bon gré. Mais le Pescheur inexorable à tous ces
discours
; « Mon amy », luy dit-il, « je ne suis pas d’adv
e je dois avoir, et n’achepte jamais l’esperance à prix d’argent ».
Discours
sur la centiesme Fable. Tous les hommes sont b
urais dit merci, si tes gestes et tes procédés s’accordaient avec tes
discours
. » On pourrait appliquer cette fable aux hommes q
al pour le bien, et veux oster la vie à celuy qui te l’a donnée ! »
Discours
sur la huictiesme Fable. Le Serpent n’est pas
trisseure en ma playe, si est-ce que le souvenir m’en reste encore.
Discours
sur la vingt-huictiesme Fable. C’est bien à fa
comme au contraire, il fut bien aisé à la Cigongne de tout manger.
Discours
sur la vingt-neufviesme Fable. Te crois-tu si
oute beaucoup d’art en toy, mais point d’esprit, ny de sentiment ».
Discours
sur la trentiesme Fable. Ceux-là s’abusent ext
’on ne la voit point d’ordinaire, que lors qu’il est presque nuict.
Discours
sur la trente-septiesme Fable. Quant à la trah
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