ς <δύο περὶ θεῶν ἐρίζοντες> - Les deux hommes qui disputent des
dieux
. Ἄνδρες δύο ἐμάχοντο τίνες τῶν θεῶν μείζους, Θ
κατὰ τῶν ὑπηκόων. Cod. Ba 10. Deux hommes disputaient qui des deux
dieux
, Thésée ou Hercule, était le plus grand. Mais les
qui des deux dieux, Thésée ou Hercule, était le plus grand. Mais les
dieux
, s’étant mis en colère contre eux, se vengèrent c
Chambry 320 Πόλεμος καὶ Ὕϐρις — Le
dieu
de la guerre et la violence. Θεοὶ πάντες ἔγημα
πόλεμος καὶ μάχαι εὐθὺς μετ’ αὐτὴν ἀκολουθεῖ. Cod. Ba 51. Tous les
dieux
ayant décidé de se marier, chacun prit la femme q
cidé de se marier, chacun prit la femme que le sort lui assignait. Le
dieu
de la guerre, étant resté pour le dernier tirage,
XIV. Simonide préservé par les
Dieux
. On ne peut trop loüer trois sortes de personn
les Dieux. On ne peut trop loüer trois sortes de personnes ;
Les
Dieux
, sa Maistresse, et son Roy.
Malherbe le disoit :
.
Les faveurs d’une belle en sont souvent le prix.
Voyons comme les
Dieux
l’ont quelquefois payée.
Simonide avoit entrepri
x
Où ces freres s’estoient signalez davantage.
Enfin l’éloge de ces
Dieux
Faisoit les deux tiers de l’ouvrage.
L’Athlete
e ; on doubla le salaire
Que meritoient les vers d’un homme aimé des
Dieux
.
Il n’estoit fils de bonne mere
Qui les payant
t dis premierement
Qu’on ne sçauroit manquer de loüer largement
Les
Dieux
et leurs pareils : de plus, que Melpomene
Souven
55 Pg 70 Ph 56 Ma 78 Me 72 Mf 63 Mj 72. Héraclès, admis au rang des
dieux
et reçu à la table de Zeus, saluait avec beaucoup
u à la table de Zeus, saluait avec beaucoup de bonne grâce chacun des
dieux
. Mais Plutus étant arrivé le dernier, Héraclès ba
itude lui demanda pourquoi, après avoir salué complaisamment tous les
dieux
, il détournait les yeux du seul Plutus. Il répond
assagers, un homme, témoin du naufrage, prétendait que les arrêts des
dieux
étaient injustes, puisque, pour perdre un seul im
n caducée, lui dit : « Et maintenant tu n’admettras pas, toi, que les
dieux
jugent les hommes comme tu juges les fourmis ? »
es hommes comme tu juges les fourmis ? » Ne blasphémez pas contre les
dieux
, quand il arrive un malheur ; examinez plutôt vos
son lict, s’avisa de dire à sa Mere, « qu’elle s’en allast prier les
Dieux
pour luy » : mais elle luy respondit ; « Il ne fa
ondit ; « Il ne faut pas que tu esperes aucune sorte d’assistance des
Dieux
, toy qui as tant de fois pollué leurs Sacrifices,
uy conseille pas d’attendre à l’heure de sa mort aucun bon office des
Dieux
, apres les avoir offensé mille fois durant sa vie
rtir, le bouvier restait là sans rien faire, invoquant parmi tous les
dieux
le seul Héraclès, qu’il honorait particulièrement
it : « Mets la main aux roues, aiguillonne tes bœufs et n’invoque les
dieux
qu’en faisant toi-même un effort ; autrement tu l
loup l’appelait à lui et disait que le sacrificateur l’immolerait au
dieu
, s’il le trouvait là : « Eh bien ! répondit l’agn
ouvait là : « Eh bien ! répondit l’agneau, je préfère être victime du
dieu
que de périr par toi. » Cette fable montre que, s
30 Pb 28. Un homme pauvre, étant malade et mal en point, promit aux
dieux
de leur sacrifier cent bœufs, s’ils le sauvaient
ieux de leur sacrifier cent bœufs, s’ils le sauvaient de la mort. Les
dieux
, voulant le mettre à l’épreuve, lui firent très v
u suif, et les consuma sur un autel, en disant : « Recevez mon vœu, Ô
dieux
. » Mais les dieux, voulant le mystifier à leur to
suma sur un autel, en disant : « Recevez mon vœu, Ô dieux. » Mais les
dieux
, voulant le mystifier à leur tour, lui envoyèrent
présentant, il se mit en tête d’en attirer en criant qu’il vendait un
dieu
pourvoyeur de biens et de profits. Un de ceux qui
vient à un homme bassement intéressé et qui ne se soucie même pas des
dieux
.
ais appel à Athéna, mais aussi à tes bras » Nous aussi invoquons les
dieux
; mais n’oublions pas de travailler de notre côté
eux, si en faisant effort nous-mêmes, nous obtenons la protection des
dieux
; si nous nous abandonnons, les démons seuls peuv
Chambry 267.1 Ὄνος βαστάζων ἄγαλμα — L’âne qui porte une statue de
dieu
. Ὄνῳ τις ἐπιθεὶς ἄγαλμα ἤλαυνεν εἰς ἄστυ. Τῶν
181 Pb 178 Pg 116 Mb 154 Ca 135. Un homme, ayant mis une statue de
dieu
sur le dos d’un âne, le conduisait à la ville. Co
ofession de fournir des charmes et des moyens d’apaiser la colère des
dieux
. Elle ne manquait jamais de pratique et gagnait a
: « Hé ! la femme, toi qui te faisais fort de détourner la colère des
dieux
, comment n’as-tu même pas pu persuader des hommes
des richesses et ma couardise naturelle. Car quel est le hasard ou le
dieu
qui a fait un lion d’or ? Ce qui m’arrive là jett
pas de prendre ! Ô trésor qui ne donne pas de plaisir ! Ô faveur d’un
dieu
qui devient une défaveur ! Quoi donc ! Comment en
ν. Codd. La 136 Mg 98. Un corbeau malade dit à sa mère : « Prie les
dieux
, mère, et ne pleure pas. » La mère lui répondit :
dieux, mère, et ne pleure pas. » La mère lui répondit : « Lequel des
dieux
, mon enfant, aura pitié de toi ? en est-il un à q
serve. Comme vous estes Roy, vous ne considerez Qui ny quoy : Rois et
Dieux
mettent, quoy qu’on leur die, Tout en mesme categ
ses chers nourriçons, hélas ! pour toute chose. Il se plaint, et les
Dieux
sont par luy suppliez De punir le brigand qui de
Codd. Lc 55 Lg 55 Ma 150 Md 20 Mh 13 Mi 55 Mm 20. Un homme avait un
dieu
de bois, et, comme il était pauvre, il le supplia
et que sa misère ne faisait qu’augmenter, il se fâcha, et prenant le
dieu
par la jambe, il le cogna contre la muraille. La
nant le dieu par la jambe, il le cogna contre la muraille. La tête du
dieu
s’étant soudain cassée, il en coula de l’or. L’ho
mit de plus de six mois. L’Oyseau qui porte Ganimede, Du Monarque des
Dieux
enfin implore l’aide ; Dépose en son giron ses œu
ort. Mais les deux ennemis ne voulant point d’accord, Le Monarque des
Dieux
s’avisa, pour bien faire, De transporter le temps
oint. Comme les médecins désespéraient de le sauver, il s’adressa aux
dieux
, promettant de leur offrir une hécatombe et de le
? — Penses-tu donc, répondit-il, que je vais me rétablir pour que les
dieux
me le réclament ? » Cette fable montre que les ho
qu’il tenait dans sa main était vivant ou inanimé. Il voulait, si le
dieu
répondait « inanimé », faire voir le moineau viva
ait « vivant », présenter le moineau, après l’avoir étranglé. Mais le
dieu
, reconnaissant son artificieuse intention, répond
Avant que partir de ces lieux, Si tu fais, disoit-il, ô Monarque des
Dieux
, Que le drosle à ces laqs se prenne en ma presenc
upeau, Et le voir en ces laqs pris avant que je parte, O Monarque des
Dieux
, je t’ay promis un Veau ; Je te promets un Bœuf,
s le malheur par leur sottise, en rejettent la responsabilité sur les
dieux
.
urs en ses détours n’enserre Rien qui ne soit d’abord éclairé par les
Dieux
. Tout ce que l’homme fait, il le fait à leurs yeu
Vous pouvez, dit le Sauvage, Reprendre vostre chemin. Ne plaise aux
Dieux
que je couche Avec vous sous mesme toit. Arriere
Comedie à cent actes divers, Et dont la scene est l’Univers. Hommes,
Dieux
, Animaux, tout y fait quelque rôle ; Jupiter comm
de perdre leur outil, Et de crier pour se le faire rendre. Le Roi des
Dieux
ne sçait auquel entendre. Son fils Mercure aux cr
ns ; il souleva le couvercle, et tous les biens s’envolèrent chez les
dieux
. Cette fable montre que l’espérance seule reste a
mettrois, dit-il, un tel chanteur en soupe ?
Non, non, ne plaise aux
Dieux
que jamais ma main coupe
La gorge à qui s’en ser
andèrent à Zeus comment ils devaient se comporter avec les hommes. Le
dieu
leur dit de se présenter aux hommes, non pas tous
té d’une rose lui dit : « Comme tu es belle ! tu fais les délices des
dieux
et des hommes. Je te félicite de ta beauté et de
XX. La Discorde. La Deesse Discorde ayant broüillé les
Dieux
, Et fait un grand procès là-haut pour une pomme ;
qu’il ne mangeait pas de cadavre. Le renard lui répondit : « Plût aux
dieux
que tu déchirasses les morts, et non les vivants
u, Un vray Mouton de sacrifice. On l’avoit reservé pour la bouche des
Dieux
. Gaillard Corbeau disoit, en le couvrant des yeux
e de bois. Certain Payen chez luy gardoit un Dieu de bois ; De ces
Dieux
qui sont sourds, bien qu’ayans des oreilles. Le P
nt précieux, pillèrent le contenu du chariot, et ne laissèrent pas le
dieu
aller chez d’autres peuples. Plus que tout autre
isins fructifie et rapporte. Que fait-il ? Il recourt au Monarque des
Dieux
: Il confesse son imprudence. Jupiter en usa comm
s obtenu le plus grand ; car tu as reçu la raison, puissante chez les
dieux
et chez les hommes, plus puissante que les puissa
ollon pour s’adresser à Hermès, à qui il promit un sacrifice. Mais ce
dieu
lui répondit : « Misérable, comment me fierais-je
de sombrer. L’un des passagers déchirant ses vêtements invoquait les
dieux
de son pays avec larmes et gémissements et leur p
ë.
Donnez-nous, dit ce peuple, un Roy qui se remuë.
Le Monarque des
Dieux
leur envoye une Gruë,
Qui les croque, qui les tu
acha à la queue de l’étoupe imbibée d’huile, et y mit le feu. Mais un
dieu
fit aller le renard dans les champs de celui qui
nt les auteurs de leurs maux, en rejettent sottement le blâme sur les
dieux
. Chambry 99.3 Aliter — Autre version. Α
vec ses bras, Faisant tel bruit et tel fracas, Que moy, qui grace aux
Dieux
de courage me pique, En ay pris la fuite de peur,
i l’air, ni l’eau, n’offre de sûreté aux criminels poursuivis par les
dieux
. Chambry 45.2 Aliter — Autre version Ἄν
e, et du Voyageur. Un de ces Satyres, qu’on tenoit jadis pour estre
Dieux
des forests, ayant pitié d’un pauvre Passant, tou
t morceau.) Déja dans son esprit la galande le croque. Il atteste les
Dieux
; la perfide s’en moque. Il resiste ; elle tire.
ous auriez pû sans peine y puiser à toute heure. A toute heure ? Bons
Dieux
! Ne tient-il qu’à cela ? L’argent vient-il comme
à sçavoir, que les plus sages d’entr’eux n’ont creu la pluralité des
Dieux
que par feinte, affin de s’accommoder à la brutal
s auroient-ils remarqué l’un apres l’autre les incontinences de leurs
Dieux
, témoignées par de ridicules déguisements ? Et co
ui le représentait, il présuma qu’étant à la fois messager de Zeus et
dieu
du gain, il était en haute estime chez les hommes
tes choses par leur nom, comme, un Bœuf, un Asne, un Rasteau. Par les
Dieux
immortels, je sçay d’où m’est venu un si grand bi
enseigne que nous aussi nous ne devons pas appeler tout de suite les
dieux
pour des bagatelles inoffensives, mais pour des n
e il n’est pas hors d’apparence, que par une secrette inspiration des
Dieux
immortels, Esope n’ait parfaictement sçeu la Mora
s y maudit. Et quant à goûter la premiere De ce qu’on sert devant les
Dieux
, Croyez-vous qu’il en vaille mieux ? Si vous entr
c leurs escadrons devoit porter dans Troye, Livrant à leur fureur ses
Dieux
mesmes en proye. Stratagême inouï, qui des fabric
outrages, qu’il profere meschamment contre vous, et mesme contre les
Dieux
». Ces paroles fâcherent fort le Maistre de Zenas
eux croire, et je m’asseure que tu ne seras pas fâché de m’avoir ». «
Dieux
! » continüa le marchand, « quel profit me pourro
apper par un faux serment ; mais à coup sûr vous n’échapperez pas aux
dieux
. » Cette fable montre que l’impiété du faux serme
y déposer, quand le scorpion, dressant son dard, lui dit : « Plût aux
dieux
que tu l’eusses fait ! du même coup tu aurais per
répondit que cet oiseau ne les concernait pas. À la deuxième fois, le
dieu
vit une corneille perchée sur un arbre, qui tantô
ucoup de gens, tombés dans le malheur par leur faute, en accusent les
dieux
. Chambry 262.2 Aliter — Παῖς καὶ Τύχη.
out marchait à souhait et qu’elle n’avait qu’une chose à demander aux
dieux
, de l’orage et de la pluie pour arroser les légum
ttoit un recouvrement de santé, et que pour cét effet il prieroit les
Dieux
immortels ; Mais que pour le demeurant, il luy-es
taist, De le donner au Loup. L’Animal se tient prest ; Remerciant les
Dieux
d’une telle avanture. Quand la mere appaisant sa
ette fable s’applique à l’avare qui, par cupidité, ruse même avec les
dieux
. Chambry 261.2 Aliter — Autre version.
rd le Lion s’écria D’un ton qui témoignoit sa joye : Que de filles, ô
Dieux
, mes pieces de monnoye Ont produites ! voyez ; La
e, et des operations ensemble, comme ce qu’on feint des hommes et des
Dieux
sous l’une et l’autre forme ; Et troisiesmement,
s ses filets, et rendit ainsi sa honte publique à la face de tous les
Dieux
, comme le raconte le Poëte Homere. Les Platonicie
s reclament la foy qu’on leur a promise : ils prennent à tesmoins les
Dieux
et les hommes : ils nomment l’imprudence, malice,
ontinent son peché, et que les cris du Renard esmeuvent la colere des
Dieux
. Car ils permettent que son nid propre soit embra
iers de Xanthus, que tous estonnez de l’ouyr, « Par la providence des
Dieux
! » s’escrierent-ils, « il a tres-bien respondu.
’auparavant des Escoliers de Xanthus, qui dirent entr’eux ; « Par les
Dieux
! il a vaincu à ceste fois nostre Maistre ». Alor
a Medecine, et un Dieu de qui les Arts mecaniques relevent. On a fait
Dieux
(bien que faussement) ceux qui ont charge de la M
, à cause de sa voix déplaisante. « Mon amy, luy respondit Junon, les
Dieux
ont differemment partagé les dons aux hommes ; le
t-il point adorer dans Rome, sous le nom et l’habillement de quelques
Dieux
? Et l’Imposteur Mahomet ne fût-il point le Salmo
due. Et lui, tout joyeux, s’écria : « Oui, c’est bien elle. » Mais le
dieu
, ayant horreur de tant d’effronterie, non seuleme
ir indignement, et sans cause. Je maudits vostre pays, et appelle les
Dieux
à tesmoins de vostre injustice, bien asseuré que
luy disant au reste, qu’il l’obligeroit fort de s’en aller prier les
Dieux
pour sa santé. Ce procedé du Loup dépleut au Rena
ois toy qui n’és qu’un homme, te veux comparer à un Roy semblable aux
Dieux
». « Tu as raison », reprit Nectenabo, « et pour
e de cét ouvrage, en ce qu’elle ne met en avant que des hommes et des
Dieux
, au lieu que ce genre d’escrire y met aussi les b
ue de Siponte, imprimée en 1496, la Fable des Arbres protégés par les
Dieux
, à peu près telle qu’elle est dans le Phedre qui
sur ceux qui terminent l’ancienne fable de Simonide préservé par les
Dieux
. Phèdre, dit-il, ne s’est pas sans doute volé lui
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