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1 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XVI. Le Serpent et la Lime. » p. 93
Je ne crains que celles du temps. Cecy s’adresse à vous, esprits du dernier ordre, Qui n’estant bons à rien cherchez sur tout
2 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 145 » pp. 321-321
devant moi. » Cette fable trouve son application dans un État où les derniers et les imbéciles dominent à la place des premiers
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XIX. Le Charlatan. » p. 
 : Et l’autre affiche par la Ville Qu’il est un Passe-Ciceron. Un des derniers se vantoit d’estre En Eloquence si grand Maistre,
4 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — FABLE I. Le Lion amoureux. » p. 140
plus sages testes, Et fais les Gens devenir Bestes !]a a. Ces six derniers vers furent supprimés à partir de l’édition de 16
5 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 206 » p. 258
Sur ces entrefaites le renard arrivait lui aussi, et il entendit les dernières paroles du loup. Alors le lion poussa un rugissem
6 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXII. D’un Malade, et d’un Medecin. »
as que c’est bien les hazarder plus grievement, que de les reduire au dernier article, sans les avoir fait souvenir de leur sal
7 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVIII. De l’Esprevier, et de la Colombe. »
as moins usurpateur, ny moins blasmable que luy. Venons maintenant au dernier âge du monde, et voyons s’il est exempt de mesme
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIV. Du Lion affoibly de vieillesse. »
se sont maintenus du sang du Peuple, ne laissent pas de se treuver au dernier periode de leur vie, dépourveus de toutes commodi
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIX. Du Loup, et des Chiens. »
n la haute et basse Allemagne, qu’en Espagne mesme. Nous avons veu au dernier siecle, combien nous ont esté cherement venduës l
10 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — FABLE I. Le Meusnier, son Fils, et l’Asne. » p. 721
ienne Grece.
 Mais ce champ ne se peut tellement moissonner,
 Que les derniers venus n’y trouvent à glaner.
 La feinte est un pa
11 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIV. De l’Homme, et d’une Idole. »
qu’ils le fissent, pour ce qu’ils apprehendoient les incommoditez du dernier âge, où possible pour publier avecque plus d’effi
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVIII. D’un Oye, et de son Maistre. »
u trop violent à les executer, nous ne la prendrons neantmoins que du dernier biais, à cause que nous avons cy devant discouru
13 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIV. Du Singe, et du Renard. »
utres s’attribuërent à eux tous seuls le pouvoir de commander, et ses derniers se nommerent Monarques ou Roys. Quant à ceux qui
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVI. Du Renard, et du Chat. »
iens, ny des hommes si fallacieux que les Cretois ? et neantmoins les derniers ont eu fort peu de nom et de durée, au lieu que l
15 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVI. Du Lion, et du Rat. »
qui apres plusieurs inhumanitez exercées contre luy, le destina pour dernier supplice à servir aux spectacles des bestes farou
16 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
me permette, avant de passer à un autre ordre d’idées, d’ajouter une dernière observation. Phèdre dit bien que, s’il a opté pou
sans s’exposer à aucunes représailles. Je me hâte de passer aux deux derniers livres. Il dédia le quatrième à l’homme qui paraî
. Il est seulement certain qu’il parvint à une grande vieillesse ; sa dernière fable en est la preuve. Pagenstecher63 suppose qu
ger, le bien qu’il falloit faire et le soin des Peuples. » Après une dernière séance tenue à Saintes, la Chambre se sépara le 8
membre de phrase, laissé inachevé, est immédiatement suivi des trois derniers vers d’une autre fable, qui, à en juger par ce qu
la séparation des fables. Car du reste ils sont écrits à la suite des derniers mots de la fable précédente, et, par conséquent,
e qui lui restait à copier. Il a même laissé en blanc la fin des deux dernières lignes de l’avant-dernière fable et la fin de la
le part ailleurs, le titre suivant s’écrivant toujours à la suite des derniers mots ; et ce qui me semble prouver que l’original
pu être arrachée comme ne servant à rien en cet endroit, et dont les dernières traces ont disparu, lorsque Pithou a fait relier
de l’échantillon ci-joint. Mais ce manuscrit est incomplet, les deux dernières fables et l’épilogue du quatrième livre et tout l
garde de la Bibliothèque du Roi, à qui il l’avait promis, il jeta un dernier coup d’œil sur l’imprimé qui portait les variante
ers de la fable Leo regnans, il copie, sans noter la lacune, les deux derniers vers d’une autre fable, dont l’obscénité fait d’a
premiers vers, et à la suite, sans interruption, s’ajoutent les deux derniers vers d’une autre fable, dont le premier mot est s
d’une autre fable, dont le premier mot est sur la même ligne que les derniers de la précédente. Il en est de même de la fable D
echerches ne servaient donc qu’à augmenter ma perplexité. J’avais une dernière ressource : c’était d’aller à la Bibliothèque nat
t annoncée par ces mots : Explicit le Romans de Otinel. Ce sont les derniers du volume. Le manuscrit de Daniel étant maintenan
ource142. Puis, s’étant aperçu de son erreur, il avait, dans ses deux dernières éditions publiées en 1617 et en 1630, supprimé l’
on recueil, auquel il n’a ainsi presque rien ajouté pendant les seize dernières années de sa vie. Il le dédia à son neveu Pirrho
désirait, des extraits plus étendus du manuscrit. Burmann achevait sa dernière édition des fables de Phèdre, et il allait livrer
variantes qu’offraient les anciennes dans le manuscrit de Perotti. Sa dernière édition put ainsi paraître en 1727. Quant à d’Orv
s des diverses pièces de vers contenues dans le manuscrit. Les quatre derniers feuillets du cahier sont restés blancs. La deuxiè
qu’il faut lui assigner : à la fin du volume, sur le feuillet 188 et dernier , Frédéric Veterani d’Urbin, qui était bibliothéca
’existaient qu’à l’état de projet, que, si quelques-unes dataient des derniers temps de sa vie, elles étaient certainement fort
ue à laquelle il travaillait à son Cornu copiæ, c’est-à-dire vers les dernières années de sa vie, il a encore complètement pillé
t cette entreprise ne seroit pas entierement nouvelle. Un Ecrivain du dernier Siécle a déjà voulu prouver que Ciceron ne sçavoi
ims, celui de Daniel ; si des juges compétents pouvaient prononcer en dernier ressort sur l’âge et la nature de ces manuscrits.
legati ad Jovem. Adry trouve que la fable v finit très mal et que les derniers vers n’en ont pu être clairement traduits. Mais p
t pas touché de cette comparaison, et ce qui, lorsqu’il s’agit de ces dernières , n’ébranle pas sa foi, lui inspire des doutes à l
, se terminent au milieu d’une ligne achevée par le premier des trois derniers d’une fable suivante, trahissent encore une lacun
uant au cinquième livre, il est évident, puisqu’il se réduit aux cinq dernières fables des deux manuscrits de Pithou et de Reims,
241 pages numérotées, précédées de 10 non numérotées et suivies de 3  dernières pages occupées par l’Index. 1732. Phædri
    Les Fables de Phèdre affranchi d’Auguste, traduites en français. Dernière édition, revue et augmentée. Avignon, J.-A. Joly.
nnes composées par Malaspina, Trombelli, Migliarese, un anonyme et un dernier auteur non indiqué, mais sans doute éditeur du vo
es du texte primitif et celles presque littéralement extraites de ces dernières  ; les autres, les fables qui, n’étant que des alt
l. cxciv b. — Liste des noms des évêques de Tours. Vingt-huitième et dernier quaterne (Fol. cxcv à ccxii). Fol. cxcv a à cciii
de cette ville, le savant Jacob Gronovius, au commencement du siècle dernier , avait aperçu le manuscrit Vossianus Latinus, in-
avus. Enfin l’édition dont Gude se servait présentait ainsi les deux derniers vers : Hac re probatur quantum ingenium valet, V
nte : Quia digna nostris meritis uti non potes. Passant ensuite aux derniers opuscules du manuscrit, il prétend qu’il jette un
om de Romulus rappelle involontairement le premier roi de Rome et son dernier empereur. Je n’ai pas besoin de dire que personne
rième est la mise en prose d’une des nouvelles. Enfin le livre III et dernier embrasse 44 fables, dont quatorze seulement exist
nt a publié ce dernier anonyme d’après un manuscrit du xiiie  siècle, dernière erreur trop évidente pour que j’aie besoin de la
e Romulus, je disais qu’il avait fait oublier Phèdre. Ce troisième et dernier livre va fournir la preuve palpable de cette asse
er doit comprendre les trois premiers manuscrits, le second les trois derniers . Les trois textes du premier groupe sont presque
mande toute semblable à la vôtre, qui m’a été adressée au mois d’août dernier par M. le docteur E. Grosse de Kœnigsberg, occupé
reçu la lettre que vous m’avez fait l’honneur de m’écrire le 25 juin dernier pour m’exprimer le désir d’être autorisé, pendant
o. xvii.   Après les apologues d’Avianus, l’édition d’Ulm offre un dernier groupe de fables appelées dans les titres courant
quarti libri Esopi. Cette fable De Vulpe et Gallo est la dernière du dernier groupe. Il est important de remarquer que l’impri
ines des fables de Romulus. 1º Éditions d’Augsbourg. Dans les dernières années du xve  siècle l’édition de Steinhöwel a é
s de 1 à 5 ; mais, comme dans les quinze premiers cahiers, les quatre derniers feuillets ne sont munis d’aucun numéro. Il est pr
bable que, dans cette édition comme dans la précédente, il y avait un dernier feuillet non imprimé, dont la reliure des exempla
e l’erreur que Zeiner avait déjà commise, la fable vingt-troisième et dernière des Fabulæ collectæ porte le nº xxviii, qui montr
j’ai cru reconnaître à la répétition de la même gravure dans les deux dernières fables d’Avianus. Enfin la bibliothèque publique
le volume embrasse en tout 114 feuillets imprimés. Les signatures du dernier cahier qui vont de q à qv, me portent à croire qu
me portent à croire qu’il était formé de dix feuillets dont les deux derniers étaient blancs. Mais ces deux feuillets blancs, s
de l’ouvrage lui-même : Incipit pars executiua. Au bas du recto du dernier feuillet on lit : Explicit speculum stultorum.
cahiers dont les six premiers comprennent huit feuillets et les deux derniers seulement six, soit au total soixante. Fol. 1 a (
os. Les fables qui viennent après, se terminent au bas du recto du dernier feuillet par cette souscription : Fue impreso el
es numéros sont précédés de la lettre spéciale au cahier ; les quatre derniers feuillets ne portent aucune signature. Contrairem
méros sont précédés de la lettre spéciale à chaque cahier ; les trois derniers feuillets ne portent aucune signature. Cette seco
la ponctuation si discutée est identique, non seulement la xxiiie et dernière des Fabule collecte figure dans les deux sous le
rreur de numéro n’existe dans le cahier i et le cinquième feuillet du dernier cahier est signé q. iiiij. Au contraire, dans la
la cote Sch. 69 nº 449, un autre à Bâle sous la cote A. M. V. 6 et un dernier à Berne sous la cote Inc. 42, en Angleterre j’en
euses annotations en langue anglaise, qui, sur les marges de ces deux derniers exemplaires, ont été écrites par des mains du xvi
roisième livre. Fol. 53 b. — Fin du troisième livre ; la vingtième et dernière fable de ce livre intitulée De Leonis fallaci con
e cote. Enfin à la bibliothèque royale de Bruxelles j’en ai aperçu un dernier portant le nº 2486. 5º Édition de Sébastien Br
e comprend l’édition de Steinhöwel, et la seconde, qui remplit les 79  derniers feuillets, est exclusivement réservée aux composi
ns antérieures forment le livre III, Sébastien Brant a placé les deux dernières fables de l’Anonyme de Névelet, De Judeo et Pince
iers qui sont composés de 6 et de 8 feuillets, à l’exception des deux derniers formés l’un de 4 feuillets et l’autre de 5. Elle
e sous la cote Prenktab ; 10º À la bibliothèque publique de Grætz, un dernier exemplaire. 6º Édition de Sébastien Brant de 1
mandes.     Comme de toutes celles qui ont paru en Europe dans les dernières années du xve  siècle, la traduction allemande a
histoire de Sigismonde qui s’étend du feuillet 155 au feuillet 169 et dernier . À la fin on lit ces mots. —  Esopus der hochbet
sont dépourvus de numéros, les 113 suivants sont numérotés, et les 7  derniers ne le sont pas. Voici l’analyse du volume : Fol. 
de 1498347. En 1498, Hannsen Schönsperger exécuta une troisième et dernière réimpression, formant encore un vol. in-fol. illu
eln. Pages 391 et suivantes. — Table des matières. Au bas du recto du dernier feuillet on lit : Gedruckt zu Franckfurt am Mayn
ées de quatre feuillets et suivies de six autres non paginés. Ces six derniers sont affectés à la table. Le frontispice est ains
escriptes es liures de romule. Suit la table des matières. Fol. 51 a dernière ligne à 55 b. — Dix-sept fables accompagnées de 8
rés, mais signés de a à k par cahiers de 8 feuillets à l’exception du dernier qui n’en comprend que 5. Voici le frontispice :
euillet est occupé par le portrait d’Ésope en pied. Enfin au verso du dernier feuillet on lit : Cy finissent les fables de Eso
la traduction de J. Macho. Elle ne contient aucune date. Le verso du dernier feuillet, qui représente la figure d’Ésope, porte
supra 1. 21. L’exemplaire de la Bodléienne, privé malheureusement des derniers feuillets, est relié avec trois autres volumes du
of Alfonce, with the Fables of Poge the Florentyne , etc. Au verso du dernier des feuillets consacrés à la table on lit : Impr
ffrées, non compris un premier feuillet pour le frontispice et quatre derniers pour la table. Le British Museum en possède un ex
non compris le premier feuillet consacré au frontispice et les quatre derniers affectés à la table. Au catalogue du British Muse
º de 550 pages numérotées, précédées de six feuillets et suivies d’un dernier non numérotés. En voici le frontispice : Fables
pages chiffrées, précédées de huit premiers feuillets et suivies d’un dernier non chiffrés. Voici ce qu’on lit au-dessous du ti
Ensuite viennent cinq pages consacrées à la table des matières et un dernier feuillet portant les emblèmes du typographe. Le t
hy-|storiado et annotado. | 1526. Au bas du recto du feuillet 80 et dernier est cette souscription : Acabāse las fabulas de
ette édition forme un volume in-fol. de 71 feuillets chiffrés et d’un dernier non chiffré. Fol. 1 a. — Six gravures xylographiq
Ysopo : hystoriado y ano-|tado. Impresso an̄o M. D. lxij. Au bas du dernier feuillet on lit : Impresso en Seuilla en casa de
, il y en avait un qui a été coupé ou arraché. Comme il contenait les dernières fables du Miroir historial, il s’ensuit que le ma
opere sexte diei. Et primo de anima. La première colonne du verso du dernier feuillet ne renferme que 27 lignes, dont la derni
i embrasse 400 feuillets se termine à la deuxième colonne du recto du dernier feuillet, qui n’a que 60 lignes, par celle-ci :
censis fra. Le contenu se termine à la deuxième colonne du recto du dernier feuillet par ces mots : Primū volumen speculi  |
par ce titre : I. De promotōne claudij ad imperium || Comestor. Au dernier feuillet du tome II, la deuxième colonne du recto
e colonne : I. De imperio Karoli magni et forma. Enfin, au verso du dernier feuillet, la première colonne se termine par cett
mpressvm. Per. | Johannem. Mentellin. Quatrième volume. Au verso du dernier feuillet, la deuxième colonne se termine par une
t les éditions imprimées par Mentellin. Faut-il lui en attribuer une dernière de cinq volumes in-folio en caractères gothiques,
; le troisième de 371 feuillets, les livres XXII à XXXII. Au verso du dernier feuillet du troisième volume, la première colonne
à la table des cahiers, on voit qu’il y en a 39 de 8 feuillets et un dernier de 10. Au recto du dernier feuillet les huit prem
voit qu’il y en a 39 de 8 feuillets et un dernier de 10. Au recto du dernier feuillet les huit premiers livres du Miroir histo
des cahiers, il y a 43 cahiers de 8 feuillets chacun, un de 4, et un dernier de 6, on arrive forcément au chiffre de 354. Le c
chiffre de 354. Le contenu du deuxième volume se termine au verso du dernier feuillet par cette souscription placée au bas de
330 feuillets. Le contenu du troisième volume se termine au verso du dernier feuillet par cette souscription placée au bas de
qui donne 276 feuillets. Le contenu du volume se termine au recto du dernier feuillet par cette souscription qui se trouve sur
à zzzzz 4 ; puis il y a deux cahiers signés et 99999 et enfin treize derniers signés de VA 1 à VN 4. Les cahiers sont tous de 8
uillets chacun. Le contenu du cinquième volume se termine au recto du dernier feuillet par cette souscription placée au bas de
Puis viennent 218 feuillets signés et numérotés qui contiennent les 5  derniers livres clos ainsi au recto du dernier feuillet :
umérotés qui contiennent les 5 derniers livres clos ainsi au recto du dernier feuillet : Cy fine le. xxxiie. et dernier liure
res clos ainsi au recto du dernier feuillet : Cy fine le. xxxiie. et dernier liure de || Vincent miroir hystorial Nouuelle||me
que ne possèdent ni le Romulus ordinaire ni celui d’Oxford ; ces deux derniers portent le mot Sursum, au lieu de Superius qui es
is qui en sont encore par la forme une imitation servile, puis quinze dernières , qui, presque toutes par les sujets et toutes san
j’aurais pu considérer les vingt-cinq premières fables et les quinze dernières comme formant deux collections indépendantes et v
térale ou n’en diffèrent que par quelques variantes. Quant aux quinze dernières , elles sont très différentes : il n’y en a qu’une
dans les manuscrits et dans les éditions du xve  siècle et adopté en dernier lieu par M. Dressler, la nomenclature accompagnée
x indiquer ce qu’il est qu’en renvoyant à la notice du catalogue. Les dernières pages sont remplies par un fragment d’élégie amou
et neuf qui porte un titre écrit par une main moderne, et suivis d’un dernier feuillet qui est resté entièrement blanc. Le manu
pas les huit vers, qui, dans celui du manuscrit 1594, précédent les 4  derniers . Le nombre des vers de chaque épimythion n’est pa
i du manuscrit 1595, ne se compose que de dix-huit vers dont les deux derniers sont ainsi conçus : Le liure fait a chier tenir
remiers vers de celui du manuscrit 1594, et ne comprend pas les seize derniers , peut-être dus à l’amplification sur laquelle je
fonds français des manuscrits de la Bibliothèque nationale possède un dernier exemplaire de la traduction en vers français des
alther : les 18 suivantes se rapportent à celles d’Avianus, et les 49  dernières appartiennent à Marie de France. Les 59 fables qu
, ne portant pas de titre, a échappé à son examen trop rapide. Les 13  dernières fables ne sont pas rangées dans l’ordre ordinaire
ce interne du premier plat, il porte cette mention inscrite au siècle dernier  : Ex bibliotheca Joan. Baptistæ Boisot abbatis s
abes. Mais avec les feuillets qui manquent ont disparu : 1º les trois derniers vers latins de la fable de l’Épervier malade, 2º 
encement de la traduction de cette fable, dont il ne reste que les 28  derniers vers, 5º la traduction de la fable De la dame et
encement de la traduction de cette fable, dont il ne reste que les 24  derniers vers. Il ne faut pas, avec celle qui a été publié
insi conçu : Uns rois puissant et de grant gloire, et dont les deux derniers sont les suivants : Grace et amour confont rancu
touz iour dure. À la fin du volume, c’est-à-dire au haut du verso du dernier feuillet, on lit  … cit transfeter (sic) de latin
end pas les mauvaises additions qui y ont été faites. Les vingt et un derniers feuillets, qui sont en partie blancs, contiennent
e viennent quatre feuillets blancs qui avaient été ménagés pour les 5  dernières . Le Phisiologus, qui, dans le manuscrit, précède
r vers. La fable xlviii se compose de trente-deux vers, dont les deux derniers , s’ajoutant aux trente authentiques, sont ainsi c
pendant rien n’indiquait que la fin de cette fable eût, avec les deux dernières , existé auparavant sur un feuillet disparu. Les f
ui commencent au feuillet 68 a et se terminent au feuillet 123 b. Ces dernières sont accompagnées d’un commentaire ; c’est ce que
ables. Elles occupent les feuillets 57 à 65 qui sont actuellement les derniers du manuscrit. Il est probable que la collection à
nte-deux ; comme toujours lorsqu’elles atteignent ce nombre, les deux dernières sont celles intitulées De Capone et Accipitre et
’au milieu du recto. Mais, le premier feuillet ayant été arraché, les derniers vers qui occupaient sur le second le commencement
cto ont été grattés et remplacés par ce titre dû à une main du siècle dernier  : « Sensuivent les Fables Dysopet et Davionet mor
er, qui, commençant au feuillet xxiii a, sont, au feuillet xxxviii et dernier , closes par ces deux mots : Explicit Esopus.
e que les feuillets qui portaient la fin de la fable inachevée et les dernières , ont dû disparaître de bonne heure. Le relieur a
a fable hexamétrique : De pueris ludentibus. Enfin viennent quatre derniers feuillets, les deux premiers blancs et les deux a
uscrit qui contenait les fables de Walther fut-il, à la fin du siècle dernier , au nombre de ceux qui, à la suite du traité de T
nt également pourvues de titres à l’encre rouge, et la soixantième et dernière est terminée au milieu du recto du feuillet xxxiv
arante-huitième ne possède que les trente vers authentiques. Les deux dernières sont intitulées : De Ancipitre consulente Caponi
l’espace blanc destiné à le recevoir n’a pas été rempli pour les onze dernières . Comme dans les autres manuscrits de la même bibl
se termine au haut du feuillet 25 a, où figurent seulement ses trois derniers vers, au-dessous desquels se lit cette souscripti
ent écrits à l’encre rouge, sont au nombre de soixante-deux. Les deux dernières sont intitulées : De Capone et Domino et : De
es de quelques gloses interlinéaires. Par suite de la disparition des derniers feuillets, elles ne vont que jusqu’à ce vingtième
cédés chacun d’un titre à l’encre rouge. Le recto du feuillet xxvi et dernier contient un opuscule écrit par une autre main.
sope sur les deux faces du premier feuillet, et terminée, au verso du dernier , par une gravure qui le recouvre entièrement et q
i le recouvre entièrement et qui représente un édifice public. 2º Dernières éditions. Jusque-là les fables de Walther avai
i qu’on rencontrait auparavant dans les éditions d’écolier. Dans ces dernières , les fables de Walther, avec les titres : Esopus
nno salutis domini M. cccc. lxxxix. xii. kl. Septembris. Au verso du dernier feuillet est représenté un soubassement de colonn
Il se compose de trente-cinq cahiers de huit feuillets chacun et d’un dernier de six, soit, au total, de 286 feuillets. Le rect
scription : Fabularum liber cum glosa finit feliciter. Au verso du dernier feuillet on lit : Auctores cum glosa octo libros
M. cccc. xcii. Au-dessous de cette souscription imprimée au recto du dernier feuillet se trouvent deux lions, portant une sphè
er feuillet se trouve ce titre : Liber Esopi , et au bas du recto du dernier on lit : Esopus fabulator preclarissimus cum sui
e intitulée De Puero suspenso, au-dessous de laquelle sur le verso du dernier feuillet on lit ces mots : Finis. Laus deo. Amen
ignés de a à z et composés chacun de huit feuillets, à l’exception du dernier qui en comprend dix. Il s’ensuit que les feuillet
éditions latines des fables de Walther qui furent imprimées dans les dernières années du xve  siècle. On s’étonnera avec raison
tomber dans l’oubli qu’elles méritaient. Je vais passer en revue les dernières éditions qui marquèrent la fin de leur vogue.
de plus à l’appui de ma thèse sur leur véritable auteur. Au recto du dernier feuillet se lit cette souscription : Explicit li
e vero. xx. mensis septembris. Le frontispice est répété au verso du dernier feuillet. Un exemplaire de cette édition in-4º ex
uspenso , tantôt : De pueris ludentibus , après laquelle au verso du dernier feuillet vient cette souscription : Finis. Colli
tānici : et fra-||trum, M. D. xxij. Die xij. Octobris. Le recto du dernier feuillet est consacré à la table des fables. L’éd
spéciale : Fabularum liber cum glosa finit feliciter. Au recto du dernier feuillet du volume les ouvrages qu’il contient so
 D, dont les cahiers se composent de huit feuillets, à l’exception du dernier qui n’en a que 6, ce qui donne au total trente fe
De Coco et Cane cor rapiente, De Avibus et Pavone. Au bas du recto du dernier feuillet, on lit : Parmae || Apvd Seth de Viotti
lles du Romulus ordinaire, sont divisées en trois livres. Au recto du dernier feuillet la dernière est suivie de cette souscrip
Coco et Cane cor rapiente ; De Avibus et Pavone. Au haut du recto du dernier feuillet on lit : Stampato in Milano per Frances
de cette édition sous la cote Y̱. VII. 118. 1599 et 1600. Les dernières éditions des fables de Walther que je viens d’ana
i-232 pages, dans lequel les fables de Walther occupent les cinquante dernières . L’édition de 1784 a été, en 1810, réimprimée dan
En Italie, il en a été autrement : les fables de Walther, dans les derniers siècles du moyen âge et au commencement de la Ren
ervées dans des manuscrits dont quelques-uns, au cours tant du siècle dernier que du siècle actuel, ont été plusieurs fois publ
feuillets. Les feuillets 61, 81 b, 82, 96 b, 97, 98, 99 et les quatre derniers sont blancs. La traduction des fables en langue v
egli à in cuore. Amen. Le tout se termine au feuillet 62. Les deux derniers sont blancs. Le catalogue in-fol. des manuscrits
sua vivanda sue per uno monte di letame , etc. La quarante-sixième et dernière , intitulée : D’una sconcordia di prezzo d’uno mu
chiffrés par une main ancienne, dont le cinquante-sixième et les deux derniers sont blancs. En outre, il existe en tête quatre f
en papier et qui n’est que la copie d’un vieux codex faite au siècle dernier , commence ainsi : Questo libro si chiama Isopo v
composé de soixante feuillets en papier dont l’écriture est du siècle dernier . Voici comment, dans le Catalogue de la Bibliothè
chi lo leggio ne tragha qualche || frutto. Amen. Le soixantième et dernier feuillet est blanc. H. — Bibliothèque Phillip
intitulée : Epistola ad. D. P. Sano. Enfin le volume possède deux derniers feuillets en parchemin qui n’ont pas été utilisés
le mentionne. Non chiffré, il est signé de a à q et porte au verso du dernier feuillet la souscription suivante : Impresso ||
bliothèque Bodléienne, sous la cote Mortara 1109, et quelques-uns des derniers sont conservés dans les bibliothèques italiennes
aquelle sont consacrés le verso du feuillet p 7 et le feuillet p 8 et dernier . La Bibliothèque du British-Museum, sous la cote 
utatio angelica et le Registrum. Le verso du quatre-vingt-deuxième et dernier feuillet est blanc. Il existe un exemplaire de ce
. Anno domini M. ccccc. ii. die. xxiii || mensis Decembris. Les deux derniers feuillets sont occupés par la table des matières
ccupe le reste de la page. Cette édition in-12 se termine au verso du dernier feuillet par cette souscription : Venetiis per S
taliens, intitulée : Epilogo de tutta l’Opra , et suivie au verso du dernier feuillet d’une souscription ainsi conçue : Il fi
au préambule de la fable des Grenouilles qui demandent un roi. Les 4  dernières fables, comme dans les éditions de la traduction
mière partie du volume, puis 13 premiers de 8 feuillets, 2 de 6 et un dernier de 8, contenant les fables et les table et regist
Chacune d’elles est ornée d’une petite gravure sur bois. Au verso du dernier feuillet se trouve cette souscription : Brixiæ p
par M. Robert sous la cote M. 21-3. C’est un volume in-fol., dont les derniers feuillets ont disparu, et auquel pourtant il en r
les 54 premiers feuillets, et le Bestiaire d’amour qui remplit les 40  derniers . Ces deux ouvrages sont séparés par les feuillets
la peine de signaler. Ainsi, pour ne parler que du prologue, les deux derniers vers présentent cette leçon plus correcte : A mo
u’on a surnommé Novus Avianus, enfin celles du Romulus de Vienne. Ces dernières n’occupent, ainsi qu’on l’a vu, que les feuillets
seulement sont suivies des fables correspondantes de l’Anonyme. Les 4 dernières ne sont accompagnées d’aucune version poétique. C
Patefacto autem ore suo illam dimisit quam prius tenebat. Ces trois derniers rapprochements conduisent à un résultat tout diff
t très lisible. Il se compose de 43 feuillets. Le premier et les deux derniers ont été ajoutés tardivement aux 40 autres. Il a a
e, au livre I du Romulus primitif ; 2º 33 fables appartenant aux deux derniers livres. Parmi les 51 fables, il y en a deux qui s
remières lignes. § 2. — Manuscrit Digbéien nº 172.     Des deux derniers manuscrits, qui contiennent le Romulus anglo-lati
Comme le tableau que j’ai précédemment dressé a montré que, pour ces dernières , le classement du Romulus primitif avait été comp
ddition intercalée au milieu de ce Romulus et trois faisant partie du dernier groupe attribué par les manuscrits à Alfred le Gr
pas été trouvée par lui dans le Romulus anglo-latin. Quant aux trois dernières fables, la place qui leur a été donnée tout à la
ale, l’épilogue comprend vingt-quatre vers et se termine par ces deux derniers , que M. de Roquefort a cru devoir emprunter à ce
t closes par l’épilogue comprenant exceptionnellement 24 vers. Les 13  derniers sont d’une écriture moins ancienne que le reste.
minées par l’épilogue ordinaire, auquel toutefois manquent les quatre derniers vers, remplacés par celui-ci : Amen, Amen, priie
cernent Marie ; il faut considérer comme lui étant étrangers les deux derniers qui dans la table sont intitulés, l’un : De la C
forme gothique. Il ne se compose que des 38 premiers vers ; les deux derniers font défaut. Les fables sont toutes pourvues de t
remière fable, qui vient ensuite et dont il ne reste que les dix-sept derniers vers, est celle de l’Ermite et du Paysan, qui, da
s’ensuit que les fables véritablement manquantes sont les trente-huit dernières . Mais, si la lacune est moins grave que ne le fer
isparition des deux premiers feuillets, il ne reste plus que les huit derniers vers. Dépourvues de leur titre général, elles n’o
e, et compléterait au besoin ma démonstration. À l’égard des dix-huit dernières , la question relative à leur origine est un peu p
pourrais me livrer à de pareilles recherches sur chacune des quatorze dernières fables du Romulus Roberti ; mais je me rends comp
atin, qui se terminent vers le bas de la deuxième colonne du verso du dernier feuillet. Le petit vide qui restait a été rempli
’erreurs, je vais, à l’aide de la première et de la vingt-deuxième et dernière fables, faire ressortir les différences qui exist
tion IV de ce chapitre. J’aurais fini, si je ne tenais pas à fixer un dernier point. En étudiant le Romulus Roberti, non seulem
collection se termine au haut du feuillet 57 a par la moralité d’une dernière fable qui est étrangère à Avianus et dont voici l
enius angusta sub brevitate sapit. Je termine cette analyse par une dernière observation : par une inadvertance que le copiste
de celles qui sont dérivées d’Avianus ont été placées avant les trois dernières du Dérivé complet. Pour quiconque a pu les voir,
ensi. Enfin au bas du recto du premier feuillet l’indication des deux derniers propriétaires est donnée par ce troisième ex libr
let 127 b au feuillet 145 a, les fables elles-mêmes de ce Dérivé. Ces dernières paraissent avoir été copiées sur un manuscrit plu
ières des manuscrits complets du Dérivé. Il en est autrement des sept dernières  ; en effet, par les sujets elles correspondent bi
sans doute n’avait pas la même origine que les 124 autres. Toutes ces dernières sans exception se rapportent à celles du Dérivé c
également identique ; car, si la collection rythmique renferme trois dernières fables que le Romulus de Nilant ne possède pas, i
nt, dont il est clairement la directe transformation. Quant aux trois dernières fables du Dérivé qui sont étrangères au Romulus d
le rappelle, a pris en dehors du Romulus ordinaire les sujets de ses dernières fables. Maintenant, si, en l’absence de document
té à croire que Cassitto avait à tort considéré comme la troisième sa dernière édition et qu’en réalité elle était la quatrième.
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