Je ne crains que celles du temps. Cecy s’adresse à vous, esprits du
dernier
ordre, Qui n’estant bons à rien cherchez sur tout
devant moi. » Cette fable trouve son application dans un État où les
derniers
et les imbéciles dominent à la place des premiers
: Et l’autre affiche par la Ville Qu’il est un Passe-Ciceron. Un des
derniers
se vantoit d’estre En Eloquence si grand Maistre,
plus sages testes, Et fais les Gens devenir Bestes !]a a. Ces six
derniers
vers furent supprimés à partir de l’édition de 16
Sur ces entrefaites le renard arrivait lui aussi, et il entendit les
dernières
paroles du loup. Alors le lion poussa un rugissem
as que c’est bien les hazarder plus grievement, que de les reduire au
dernier
article, sans les avoir fait souvenir de leur sal
as moins usurpateur, ny moins blasmable que luy. Venons maintenant au
dernier
âge du monde, et voyons s’il est exempt de mesme
se sont maintenus du sang du Peuple, ne laissent pas de se treuver au
dernier
periode de leur vie, dépourveus de toutes commodi
n la haute et basse Allemagne, qu’en Espagne mesme. Nous avons veu au
dernier
siecle, combien nous ont esté cherement venduës l
ienne Grece.
Mais ce champ ne se peut tellement moissonner,
Que les
derniers
venus n’y trouvent à glaner.
La feinte est un pa
qu’ils le fissent, pour ce qu’ils apprehendoient les incommoditez du
dernier
âge, où possible pour publier avecque plus d’effi
u trop violent à les executer, nous ne la prendrons neantmoins que du
dernier
biais, à cause que nous avons cy devant discouru
utres s’attribuërent à eux tous seuls le pouvoir de commander, et ses
derniers
se nommerent Monarques ou Roys. Quant à ceux qui
iens, ny des hommes si fallacieux que les Cretois ? et neantmoins les
derniers
ont eu fort peu de nom et de durée, au lieu que l
qui apres plusieurs inhumanitez exercées contre luy, le destina pour
dernier
supplice à servir aux spectacles des bestes farou
me permette, avant de passer à un autre ordre d’idées, d’ajouter une
dernière
observation. Phèdre dit bien que, s’il a opté pou
sans s’exposer à aucunes représailles. Je me hâte de passer aux deux
derniers
livres. Il dédia le quatrième à l’homme qui paraî
. Il est seulement certain qu’il parvint à une grande vieillesse ; sa
dernière
fable en est la preuve. Pagenstecher63 suppose qu
ger, le bien qu’il falloit faire et le soin des Peuples. » Après une
dernière
séance tenue à Saintes, la Chambre se sépara le 8
membre de phrase, laissé inachevé, est immédiatement suivi des trois
derniers
vers d’une autre fable, qui, à en juger par ce qu
la séparation des fables. Car du reste ils sont écrits à la suite des
derniers
mots de la fable précédente, et, par conséquent,
e qui lui restait à copier. Il a même laissé en blanc la fin des deux
dernières
lignes de l’avant-dernière fable et la fin de la
le part ailleurs, le titre suivant s’écrivant toujours à la suite des
derniers
mots ; et ce qui me semble prouver que l’original
pu être arrachée comme ne servant à rien en cet endroit, et dont les
dernières
traces ont disparu, lorsque Pithou a fait relier
de l’échantillon ci-joint. Mais ce manuscrit est incomplet, les deux
dernières
fables et l’épilogue du quatrième livre et tout l
garde de la Bibliothèque du Roi, à qui il l’avait promis, il jeta un
dernier
coup d’œil sur l’imprimé qui portait les variante
ers de la fable Leo regnans, il copie, sans noter la lacune, les deux
derniers
vers d’une autre fable, dont l’obscénité fait d’a
premiers vers, et à la suite, sans interruption, s’ajoutent les deux
derniers
vers d’une autre fable, dont le premier mot est s
d’une autre fable, dont le premier mot est sur la même ligne que les
derniers
de la précédente. Il en est de même de la fable D
echerches ne servaient donc qu’à augmenter ma perplexité. J’avais une
dernière
ressource : c’était d’aller à la Bibliothèque nat
t annoncée par ces mots : Explicit le Romans de Otinel. Ce sont les
derniers
du volume. Le manuscrit de Daniel étant maintenan
ource142. Puis, s’étant aperçu de son erreur, il avait, dans ses deux
dernières
éditions publiées en 1617 et en 1630, supprimé l’
on recueil, auquel il n’a ainsi presque rien ajouté pendant les seize
dernières
années de sa vie. Il le dédia à son neveu Pirrho
désirait, des extraits plus étendus du manuscrit. Burmann achevait sa
dernière
édition des fables de Phèdre, et il allait livrer
variantes qu’offraient les anciennes dans le manuscrit de Perotti. Sa
dernière
édition put ainsi paraître en 1727. Quant à d’Orv
s des diverses pièces de vers contenues dans le manuscrit. Les quatre
derniers
feuillets du cahier sont restés blancs. La deuxiè
qu’il faut lui assigner : à la fin du volume, sur le feuillet 188 et
dernier
, Frédéric Veterani d’Urbin, qui était bibliothéca
’existaient qu’à l’état de projet, que, si quelques-unes dataient des
derniers
temps de sa vie, elles étaient certainement fort
ue à laquelle il travaillait à son Cornu copiæ, c’est-à-dire vers les
dernières
années de sa vie, il a encore complètement pillé
t cette entreprise ne seroit pas entierement nouvelle. Un Ecrivain du
dernier
Siécle a déjà voulu prouver que Ciceron ne sçavoi
ims, celui de Daniel ; si des juges compétents pouvaient prononcer en
dernier
ressort sur l’âge et la nature de ces manuscrits.
legati ad Jovem. Adry trouve que la fable v finit très mal et que les
derniers
vers n’en ont pu être clairement traduits. Mais p
t pas touché de cette comparaison, et ce qui, lorsqu’il s’agit de ces
dernières
, n’ébranle pas sa foi, lui inspire des doutes à l
, se terminent au milieu d’une ligne achevée par le premier des trois
derniers
d’une fable suivante, trahissent encore une lacun
uant au cinquième livre, il est évident, puisqu’il se réduit aux cinq
dernières
fables des deux manuscrits de Pithou et de Reims,
241 pages numérotées, précédées de 10 non numérotées et suivies de 3
dernières
pages occupées par l’Index. 1732. Phædri
Les Fables de Phèdre affranchi d’Auguste, traduites en français.
Dernière
édition, revue et augmentée. Avignon, J.-A. Joly.
nnes composées par Malaspina, Trombelli, Migliarese, un anonyme et un
dernier
auteur non indiqué, mais sans doute éditeur du vo
es du texte primitif et celles presque littéralement extraites de ces
dernières
; les autres, les fables qui, n’étant que des alt
l. cxciv b. — Liste des noms des évêques de Tours. Vingt-huitième et
dernier
quaterne (Fol. cxcv à ccxii). Fol. cxcv a à cciii
de cette ville, le savant Jacob Gronovius, au commencement du siècle
dernier
, avait aperçu le manuscrit Vossianus Latinus, in-
avus. Enfin l’édition dont Gude se servait présentait ainsi les deux
derniers
vers : Hac re probatur quantum ingenium valet, V
nte : Quia digna nostris meritis uti non potes. Passant ensuite aux
derniers
opuscules du manuscrit, il prétend qu’il jette un
om de Romulus rappelle involontairement le premier roi de Rome et son
dernier
empereur. Je n’ai pas besoin de dire que personne
rième est la mise en prose d’une des nouvelles. Enfin le livre III et
dernier
embrasse 44 fables, dont quatorze seulement exist
nt a publié ce dernier anonyme d’après un manuscrit du xiiie siècle,
dernière
erreur trop évidente pour que j’aie besoin de la
e Romulus, je disais qu’il avait fait oublier Phèdre. Ce troisième et
dernier
livre va fournir la preuve palpable de cette asse
er doit comprendre les trois premiers manuscrits, le second les trois
derniers
. Les trois textes du premier groupe sont presque
mande toute semblable à la vôtre, qui m’a été adressée au mois d’août
dernier
par M. le docteur E. Grosse de Kœnigsberg, occupé
reçu la lettre que vous m’avez fait l’honneur de m’écrire le 25 juin
dernier
pour m’exprimer le désir d’être autorisé, pendant
o. xvii. Après les apologues d’Avianus, l’édition d’Ulm offre un
dernier
groupe de fables appelées dans les titres courant
quarti libri Esopi. Cette fable De Vulpe et Gallo est la dernière du
dernier
groupe. Il est important de remarquer que l’impri
ines des fables de Romulus. 1º Éditions d’Augsbourg. Dans les
dernières
années du xve siècle l’édition de Steinhöwel a é
s de 1 à 5 ; mais, comme dans les quinze premiers cahiers, les quatre
derniers
feuillets ne sont munis d’aucun numéro. Il est pr
bable que, dans cette édition comme dans la précédente, il y avait un
dernier
feuillet non imprimé, dont la reliure des exempla
e l’erreur que Zeiner avait déjà commise, la fable vingt-troisième et
dernière
des Fabulæ collectæ porte le nº xxviii, qui montr
j’ai cru reconnaître à la répétition de la même gravure dans les deux
dernières
fables d’Avianus. Enfin la bibliothèque publique
le volume embrasse en tout 114 feuillets imprimés. Les signatures du
dernier
cahier qui vont de q à qv, me portent à croire qu
me portent à croire qu’il était formé de dix feuillets dont les deux
derniers
étaient blancs. Mais ces deux feuillets blancs, s
de l’ouvrage lui-même : Incipit pars executiua. Au bas du recto du
dernier
feuillet on lit : Explicit speculum stultorum.
cahiers dont les six premiers comprennent huit feuillets et les deux
derniers
seulement six, soit au total soixante. Fol. 1 a (
os. Les fables qui viennent après, se terminent au bas du recto du
dernier
feuillet par cette souscription : Fue impreso el
es numéros sont précédés de la lettre spéciale au cahier ; les quatre
derniers
feuillets ne portent aucune signature. Contrairem
méros sont précédés de la lettre spéciale à chaque cahier ; les trois
derniers
feuillets ne portent aucune signature. Cette seco
la ponctuation si discutée est identique, non seulement la xxiiie et
dernière
des Fabule collecte figure dans les deux sous le
rreur de numéro n’existe dans le cahier i et le cinquième feuillet du
dernier
cahier est signé q. iiiij. Au contraire, dans la
la cote Sch. 69 nº 449, un autre à Bâle sous la cote A. M. V. 6 et un
dernier
à Berne sous la cote Inc. 42, en Angleterre j’en
euses annotations en langue anglaise, qui, sur les marges de ces deux
derniers
exemplaires, ont été écrites par des mains du xvi
roisième livre. Fol. 53 b. — Fin du troisième livre ; la vingtième et
dernière
fable de ce livre intitulée De Leonis fallaci con
e cote. Enfin à la bibliothèque royale de Bruxelles j’en ai aperçu un
dernier
portant le nº 2486. 5º Édition de Sébastien Br
e comprend l’édition de Steinhöwel, et la seconde, qui remplit les 79
derniers
feuillets, est exclusivement réservée aux composi
ns antérieures forment le livre III, Sébastien Brant a placé les deux
dernières
fables de l’Anonyme de Névelet, De Judeo et Pince
iers qui sont composés de 6 et de 8 feuillets, à l’exception des deux
derniers
formés l’un de 4 feuillets et l’autre de 5. Elle
e sous la cote Prenktab ; 10º À la bibliothèque publique de Grætz, un
dernier
exemplaire. 6º Édition de Sébastien Brant de 1
mandes. Comme de toutes celles qui ont paru en Europe dans les
dernières
années du xve siècle, la traduction allemande a
histoire de Sigismonde qui s’étend du feuillet 155 au feuillet 169 et
dernier
. À la fin on lit ces mots. — Esopus der hochbet
sont dépourvus de numéros, les 113 suivants sont numérotés, et les 7
derniers
ne le sont pas. Voici l’analyse du volume : Fol.
de 1498347. En 1498, Hannsen Schönsperger exécuta une troisième et
dernière
réimpression, formant encore un vol. in-fol. illu
eln. Pages 391 et suivantes. — Table des matières. Au bas du recto du
dernier
feuillet on lit : Gedruckt zu Franckfurt am Mayn
ées de quatre feuillets et suivies de six autres non paginés. Ces six
derniers
sont affectés à la table. Le frontispice est ains
escriptes es liures de romule. Suit la table des matières. Fol. 51 a
dernière
ligne à 55 b. — Dix-sept fables accompagnées de 8
rés, mais signés de a à k par cahiers de 8 feuillets à l’exception du
dernier
qui n’en comprend que 5. Voici le frontispice :
euillet est occupé par le portrait d’Ésope en pied. Enfin au verso du
dernier
feuillet on lit : Cy finissent les fables de Eso
la traduction de J. Macho. Elle ne contient aucune date. Le verso du
dernier
feuillet, qui représente la figure d’Ésope, porte
supra 1. 21. L’exemplaire de la Bodléienne, privé malheureusement des
derniers
feuillets, est relié avec trois autres volumes du
of Alfonce, with the Fables of Poge the Florentyne , etc. Au verso du
dernier
des feuillets consacrés à la table on lit : Impr
ffrées, non compris un premier feuillet pour le frontispice et quatre
derniers
pour la table. Le British Museum en possède un ex
non compris le premier feuillet consacré au frontispice et les quatre
derniers
affectés à la table. Au catalogue du British Muse
º de 550 pages numérotées, précédées de six feuillets et suivies d’un
dernier
non numérotés. En voici le frontispice : Fables
pages chiffrées, précédées de huit premiers feuillets et suivies d’un
dernier
non chiffrés. Voici ce qu’on lit au-dessous du ti
Ensuite viennent cinq pages consacrées à la table des matières et un
dernier
feuillet portant les emblèmes du typographe. Le t
hy-|storiado et annotado. | 1526. Au bas du recto du feuillet 80 et
dernier
est cette souscription : Acabāse las fabulas de
ette édition forme un volume in-fol. de 71 feuillets chiffrés et d’un
dernier
non chiffré. Fol. 1 a. — Six gravures xylographiq
Ysopo : hystoriado y ano-|tado. Impresso an̄o M. D. lxij. Au bas du
dernier
feuillet on lit : Impresso en Seuilla en casa de
, il y en avait un qui a été coupé ou arraché. Comme il contenait les
dernières
fables du Miroir historial, il s’ensuit que le ma
opere sexte diei. Et primo de anima. La première colonne du verso du
dernier
feuillet ne renferme que 27 lignes, dont la derni
i embrasse 400 feuillets se termine à la deuxième colonne du recto du
dernier
feuillet, qui n’a que 60 lignes, par celle-ci :
censis fra. Le contenu se termine à la deuxième colonne du recto du
dernier
feuillet par ces mots : Primū volumen speculi |
par ce titre : I. De promotōne claudij ad imperium || Comestor. Au
dernier
feuillet du tome II, la deuxième colonne du recto
e colonne : I. De imperio Karoli magni et forma. Enfin, au verso du
dernier
feuillet, la première colonne se termine par cett
mpressvm. Per. | Johannem. Mentellin. Quatrième volume. Au verso du
dernier
feuillet, la deuxième colonne se termine par une
t les éditions imprimées par Mentellin. Faut-il lui en attribuer une
dernière
de cinq volumes in-folio en caractères gothiques,
; le troisième de 371 feuillets, les livres XXII à XXXII. Au verso du
dernier
feuillet du troisième volume, la première colonne
à la table des cahiers, on voit qu’il y en a 39 de 8 feuillets et un
dernier
de 10. Au recto du dernier feuillet les huit prem
voit qu’il y en a 39 de 8 feuillets et un dernier de 10. Au recto du
dernier
feuillet les huit premiers livres du Miroir histo
des cahiers, il y a 43 cahiers de 8 feuillets chacun, un de 4, et un
dernier
de 6, on arrive forcément au chiffre de 354. Le c
chiffre de 354. Le contenu du deuxième volume se termine au verso du
dernier
feuillet par cette souscription placée au bas de
330 feuillets. Le contenu du troisième volume se termine au verso du
dernier
feuillet par cette souscription placée au bas de
qui donne 276 feuillets. Le contenu du volume se termine au recto du
dernier
feuillet par cette souscription qui se trouve sur
à zzzzz 4 ; puis il y a deux cahiers signés et 99999 et enfin treize
derniers
signés de VA 1 à VN 4. Les cahiers sont tous de 8
uillets chacun. Le contenu du cinquième volume se termine au recto du
dernier
feuillet par cette souscription placée au bas de
Puis viennent 218 feuillets signés et numérotés qui contiennent les 5
derniers
livres clos ainsi au recto du dernier feuillet :
umérotés qui contiennent les 5 derniers livres clos ainsi au recto du
dernier
feuillet : Cy fine le. xxxiie. et dernier liure
res clos ainsi au recto du dernier feuillet : Cy fine le. xxxiie. et
dernier
liure de || Vincent miroir hystorial Nouuelle||me
que ne possèdent ni le Romulus ordinaire ni celui d’Oxford ; ces deux
derniers
portent le mot Sursum, au lieu de Superius qui es
is qui en sont encore par la forme une imitation servile, puis quinze
dernières
, qui, presque toutes par les sujets et toutes san
j’aurais pu considérer les vingt-cinq premières fables et les quinze
dernières
comme formant deux collections indépendantes et v
térale ou n’en diffèrent que par quelques variantes. Quant aux quinze
dernières
, elles sont très différentes : il n’y en a qu’une
dans les manuscrits et dans les éditions du xve siècle et adopté en
dernier
lieu par M. Dressler, la nomenclature accompagnée
x indiquer ce qu’il est qu’en renvoyant à la notice du catalogue. Les
dernières
pages sont remplies par un fragment d’élégie amou
et neuf qui porte un titre écrit par une main moderne, et suivis d’un
dernier
feuillet qui est resté entièrement blanc. Le manu
pas les huit vers, qui, dans celui du manuscrit 1594, précédent les 4
derniers
. Le nombre des vers de chaque épimythion n’est pa
i du manuscrit 1595, ne se compose que de dix-huit vers dont les deux
derniers
sont ainsi conçus : Le liure fait a chier tenir
remiers vers de celui du manuscrit 1594, et ne comprend pas les seize
derniers
, peut-être dus à l’amplification sur laquelle je
fonds français des manuscrits de la Bibliothèque nationale possède un
dernier
exemplaire de la traduction en vers français des
alther : les 18 suivantes se rapportent à celles d’Avianus, et les 49
dernières
appartiennent à Marie de France. Les 59 fables qu
, ne portant pas de titre, a échappé à son examen trop rapide. Les 13
dernières
fables ne sont pas rangées dans l’ordre ordinaire
ce interne du premier plat, il porte cette mention inscrite au siècle
dernier
: Ex bibliotheca Joan. Baptistæ Boisot abbatis s
abes. Mais avec les feuillets qui manquent ont disparu : 1º les trois
derniers
vers latins de la fable de l’Épervier malade, 2º
encement de la traduction de cette fable, dont il ne reste que les 28
derniers
vers, 5º la traduction de la fable De la dame et
encement de la traduction de cette fable, dont il ne reste que les 24
derniers
vers. Il ne faut pas, avec celle qui a été publié
insi conçu : Uns rois puissant et de grant gloire, et dont les deux
derniers
sont les suivants : Grace et amour confont rancu
touz iour dure. À la fin du volume, c’est-à-dire au haut du verso du
dernier
feuillet, on lit … cit transfeter (sic) de latin
end pas les mauvaises additions qui y ont été faites. Les vingt et un
derniers
feuillets, qui sont en partie blancs, contiennent
e viennent quatre feuillets blancs qui avaient été ménagés pour les 5
dernières
. Le Phisiologus, qui, dans le manuscrit, précède
r vers. La fable xlviii se compose de trente-deux vers, dont les deux
derniers
, s’ajoutant aux trente authentiques, sont ainsi c
pendant rien n’indiquait que la fin de cette fable eût, avec les deux
dernières
, existé auparavant sur un feuillet disparu. Les f
ui commencent au feuillet 68 a et se terminent au feuillet 123 b. Ces
dernières
sont accompagnées d’un commentaire ; c’est ce que
ables. Elles occupent les feuillets 57 à 65 qui sont actuellement les
derniers
du manuscrit. Il est probable que la collection à
nte-deux ; comme toujours lorsqu’elles atteignent ce nombre, les deux
dernières
sont celles intitulées De Capone et Accipitre et
’au milieu du recto. Mais, le premier feuillet ayant été arraché, les
derniers
vers qui occupaient sur le second le commencement
cto ont été grattés et remplacés par ce titre dû à une main du siècle
dernier
: « Sensuivent les Fables Dysopet et Davionet mor
er, qui, commençant au feuillet xxiii a, sont, au feuillet xxxviii et
dernier
, closes par ces deux mots : Explicit Esopus.
e que les feuillets qui portaient la fin de la fable inachevée et les
dernières
, ont dû disparaître de bonne heure. Le relieur a
a fable hexamétrique : De pueris ludentibus. Enfin viennent quatre
derniers
feuillets, les deux premiers blancs et les deux a
uscrit qui contenait les fables de Walther fut-il, à la fin du siècle
dernier
, au nombre de ceux qui, à la suite du traité de T
nt également pourvues de titres à l’encre rouge, et la soixantième et
dernière
est terminée au milieu du recto du feuillet xxxiv
arante-huitième ne possède que les trente vers authentiques. Les deux
dernières
sont intitulées : De Ancipitre consulente Caponi
l’espace blanc destiné à le recevoir n’a pas été rempli pour les onze
dernières
. Comme dans les autres manuscrits de la même bibl
se termine au haut du feuillet 25 a, où figurent seulement ses trois
derniers
vers, au-dessous desquels se lit cette souscripti
ent écrits à l’encre rouge, sont au nombre de soixante-deux. Les deux
dernières
sont intitulées : De Capone et Domino et : De
es de quelques gloses interlinéaires. Par suite de la disparition des
derniers
feuillets, elles ne vont que jusqu’à ce vingtième
cédés chacun d’un titre à l’encre rouge. Le recto du feuillet xxvi et
dernier
contient un opuscule écrit par une autre main.
sope sur les deux faces du premier feuillet, et terminée, au verso du
dernier
, par une gravure qui le recouvre entièrement et q
i le recouvre entièrement et qui représente un édifice public. 2º
Dernières
éditions. Jusque-là les fables de Walther avai
i qu’on rencontrait auparavant dans les éditions d’écolier. Dans ces
dernières
, les fables de Walther, avec les titres : Esopus
nno salutis domini M. cccc. lxxxix. xii. kl. Septembris. Au verso du
dernier
feuillet est représenté un soubassement de colonn
Il se compose de trente-cinq cahiers de huit feuillets chacun et d’un
dernier
de six, soit, au total, de 286 feuillets. Le rect
scription : Fabularum liber cum glosa finit feliciter. Au verso du
dernier
feuillet on lit : Auctores cum glosa octo libros
M. cccc. xcii. Au-dessous de cette souscription imprimée au recto du
dernier
feuillet se trouvent deux lions, portant une sphè
er feuillet se trouve ce titre : Liber Esopi , et au bas du recto du
dernier
on lit : Esopus fabulator preclarissimus cum sui
e intitulée De Puero suspenso, au-dessous de laquelle sur le verso du
dernier
feuillet on lit ces mots : Finis. Laus deo. Amen
ignés de a à z et composés chacun de huit feuillets, à l’exception du
dernier
qui en comprend dix. Il s’ensuit que les feuillet
éditions latines des fables de Walther qui furent imprimées dans les
dernières
années du xve siècle. On s’étonnera avec raison
tomber dans l’oubli qu’elles méritaient. Je vais passer en revue les
dernières
éditions qui marquèrent la fin de leur vogue.
de plus à l’appui de ma thèse sur leur véritable auteur. Au recto du
dernier
feuillet se lit cette souscription : Explicit li
e vero. xx. mensis septembris. Le frontispice est répété au verso du
dernier
feuillet. Un exemplaire de cette édition in-4º ex
uspenso , tantôt : De pueris ludentibus , après laquelle au verso du
dernier
feuillet vient cette souscription : Finis. Colli
tānici : et fra-||trum, M. D. xxij. Die xij. Octobris. Le recto du
dernier
feuillet est consacré à la table des fables. L’éd
spéciale : Fabularum liber cum glosa finit feliciter. Au recto du
dernier
feuillet du volume les ouvrages qu’il contient so
D, dont les cahiers se composent de huit feuillets, à l’exception du
dernier
qui n’en a que 6, ce qui donne au total trente fe
De Coco et Cane cor rapiente, De Avibus et Pavone. Au bas du recto du
dernier
feuillet, on lit : Parmae || Apvd Seth de Viotti
lles du Romulus ordinaire, sont divisées en trois livres. Au recto du
dernier
feuillet la dernière est suivie de cette souscrip
Coco et Cane cor rapiente ; De Avibus et Pavone. Au haut du recto du
dernier
feuillet on lit : Stampato in Milano per Frances
de cette édition sous la cote Y̱. VII. 118. 1599 et 1600. Les
dernières
éditions des fables de Walther que je viens d’ana
i-232 pages, dans lequel les fables de Walther occupent les cinquante
dernières
. L’édition de 1784 a été, en 1810, réimprimée dan
En Italie, il en a été autrement : les fables de Walther, dans les
derniers
siècles du moyen âge et au commencement de la Ren
ervées dans des manuscrits dont quelques-uns, au cours tant du siècle
dernier
que du siècle actuel, ont été plusieurs fois publ
feuillets. Les feuillets 61, 81 b, 82, 96 b, 97, 98, 99 et les quatre
derniers
sont blancs. La traduction des fables en langue v
egli à in cuore. Amen. Le tout se termine au feuillet 62. Les deux
derniers
sont blancs. Le catalogue in-fol. des manuscrits
sua vivanda sue per uno monte di letame , etc. La quarante-sixième et
dernière
, intitulée : D’una sconcordia di prezzo d’uno mu
chiffrés par une main ancienne, dont le cinquante-sixième et les deux
derniers
sont blancs. En outre, il existe en tête quatre f
en papier et qui n’est que la copie d’un vieux codex faite au siècle
dernier
, commence ainsi : Questo libro si chiama Isopo v
composé de soixante feuillets en papier dont l’écriture est du siècle
dernier
. Voici comment, dans le Catalogue de la Bibliothè
chi lo leggio ne tragha qualche || frutto. Amen. Le soixantième et
dernier
feuillet est blanc. H. — Bibliothèque Phillip
intitulée : Epistola ad. D. P. Sano. Enfin le volume possède deux
derniers
feuillets en parchemin qui n’ont pas été utilisés
le mentionne. Non chiffré, il est signé de a à q et porte au verso du
dernier
feuillet la souscription suivante : Impresso ||
bliothèque Bodléienne, sous la cote Mortara 1109, et quelques-uns des
derniers
sont conservés dans les bibliothèques italiennes
aquelle sont consacrés le verso du feuillet p 7 et le feuillet p 8 et
dernier
. La Bibliothèque du British-Museum, sous la cote
utatio angelica et le Registrum. Le verso du quatre-vingt-deuxième et
dernier
feuillet est blanc. Il existe un exemplaire de ce
. Anno domini M. ccccc. ii. die. xxiii || mensis Decembris. Les deux
derniers
feuillets sont occupés par la table des matières
ccupe le reste de la page. Cette édition in-12 se termine au verso du
dernier
feuillet par cette souscription : Venetiis per S
taliens, intitulée : Epilogo de tutta l’Opra , et suivie au verso du
dernier
feuillet d’une souscription ainsi conçue : Il fi
au préambule de la fable des Grenouilles qui demandent un roi. Les 4
dernières
fables, comme dans les éditions de la traduction
mière partie du volume, puis 13 premiers de 8 feuillets, 2 de 6 et un
dernier
de 8, contenant les fables et les table et regist
Chacune d’elles est ornée d’une petite gravure sur bois. Au verso du
dernier
feuillet se trouve cette souscription : Brixiæ p
par M. Robert sous la cote M. 21-3. C’est un volume in-fol., dont les
derniers
feuillets ont disparu, et auquel pourtant il en r
les 54 premiers feuillets, et le Bestiaire d’amour qui remplit les 40
derniers
. Ces deux ouvrages sont séparés par les feuillets
la peine de signaler. Ainsi, pour ne parler que du prologue, les deux
derniers
vers présentent cette leçon plus correcte : A mo
u’on a surnommé Novus Avianus, enfin celles du Romulus de Vienne. Ces
dernières
n’occupent, ainsi qu’on l’a vu, que les feuillets
seulement sont suivies des fables correspondantes de l’Anonyme. Les 4
dernières
ne sont accompagnées d’aucune version poétique. C
Patefacto autem ore suo illam dimisit quam prius tenebat. Ces trois
derniers
rapprochements conduisent à un résultat tout diff
t très lisible. Il se compose de 43 feuillets. Le premier et les deux
derniers
ont été ajoutés tardivement aux 40 autres. Il a a
e, au livre I du Romulus primitif ; 2º 33 fables appartenant aux deux
derniers
livres. Parmi les 51 fables, il y en a deux qui s
remières lignes. § 2. — Manuscrit Digbéien nº 172. Des deux
derniers
manuscrits, qui contiennent le Romulus anglo-lati
Comme le tableau que j’ai précédemment dressé a montré que, pour ces
dernières
, le classement du Romulus primitif avait été comp
ddition intercalée au milieu de ce Romulus et trois faisant partie du
dernier
groupe attribué par les manuscrits à Alfred le Gr
pas été trouvée par lui dans le Romulus anglo-latin. Quant aux trois
dernières
fables, la place qui leur a été donnée tout à la
ale, l’épilogue comprend vingt-quatre vers et se termine par ces deux
derniers
, que M. de Roquefort a cru devoir emprunter à ce
t closes par l’épilogue comprenant exceptionnellement 24 vers. Les 13
derniers
sont d’une écriture moins ancienne que le reste.
minées par l’épilogue ordinaire, auquel toutefois manquent les quatre
derniers
vers, remplacés par celui-ci : Amen, Amen, priie
cernent Marie ; il faut considérer comme lui étant étrangers les deux
derniers
qui dans la table sont intitulés, l’un : De la C
forme gothique. Il ne se compose que des 38 premiers vers ; les deux
derniers
font défaut. Les fables sont toutes pourvues de t
remière fable, qui vient ensuite et dont il ne reste que les dix-sept
derniers
vers, est celle de l’Ermite et du Paysan, qui, da
s’ensuit que les fables véritablement manquantes sont les trente-huit
dernières
. Mais, si la lacune est moins grave que ne le fer
isparition des deux premiers feuillets, il ne reste plus que les huit
derniers
vers. Dépourvues de leur titre général, elles n’o
e, et compléterait au besoin ma démonstration. À l’égard des dix-huit
dernières
, la question relative à leur origine est un peu p
pourrais me livrer à de pareilles recherches sur chacune des quatorze
dernières
fables du Romulus Roberti ; mais je me rends comp
atin, qui se terminent vers le bas de la deuxième colonne du verso du
dernier
feuillet. Le petit vide qui restait a été rempli
’erreurs, je vais, à l’aide de la première et de la vingt-deuxième et
dernière
fables, faire ressortir les différences qui exist
tion IV de ce chapitre. J’aurais fini, si je ne tenais pas à fixer un
dernier
point. En étudiant le Romulus Roberti, non seulem
collection se termine au haut du feuillet 57 a par la moralité d’une
dernière
fable qui est étrangère à Avianus et dont voici l
enius angusta sub brevitate sapit. Je termine cette analyse par une
dernière
observation : par une inadvertance que le copiste
de celles qui sont dérivées d’Avianus ont été placées avant les trois
dernières
du Dérivé complet. Pour quiconque a pu les voir,
ensi. Enfin au bas du recto du premier feuillet l’indication des deux
derniers
propriétaires est donnée par ce troisième ex libr
let 127 b au feuillet 145 a, les fables elles-mêmes de ce Dérivé. Ces
dernières
paraissent avoir été copiées sur un manuscrit plu
ières des manuscrits complets du Dérivé. Il en est autrement des sept
dernières
; en effet, par les sujets elles correspondent bi
sans doute n’avait pas la même origine que les 124 autres. Toutes ces
dernières
sans exception se rapportent à celles du Dérivé c
également identique ; car, si la collection rythmique renferme trois
dernières
fables que le Romulus de Nilant ne possède pas, i
nt, dont il est clairement la directe transformation. Quant aux trois
dernières
fables du Dérivé qui sont étrangères au Romulus d
le rappelle, a pris en dehors du Romulus ordinaire les sujets de ses
dernières
fables. Maintenant, si, en l’absence de document
té à croire que Cassitto avait à tort considéré comme la troisième sa
dernière
édition et qu’en réalité elle était la quatrième.