eür que une berbiz enpleida : devant justise la mena, si li a un pain
demandé
, qu’il li aveit, ceo dist, apresté. La berbiz tut
La berbiz tut le renea e dit que nul ne li apresta. Li juges al chien
demanda
se nul testimoine en a. Il li respunt qu’il en a
’il en atendeient partie, se la berbiz perdist la vie. Li jugere dunc
demanda
a la berbiz qu’il apela pur quei il ot le pain ne
char [ne] tant ne quant. Li lus ad volonters juré, plus quë il li unt
demandé
. Mes, quant il fu asseürez e li leün s’en fu alez
nt sa volenté e jugerunt. Dunc ad un cheverol apelé, en cunseil li ad
demandé
que par amur veir li desist de sa aleine si ele p
lus se fist mut curuciez ; pur ses hummes ad enveiez, a tuz ensemble
demanda
quel jugement chescun f[e]ra de celi ki dit a sun
partir. Aprés icele saülee une autre beste ad apelee, tut autretel li
demanda
de sa aleine quei li sembla. La dolente volt meuz
nti [unc] mes ne meillur. Li lus ad concilie asemblé, a ses baruns ad
demandé
que il deit fere par jugement de celui que lui tr
e lui ad grant talent eü ; Manger le volst e devorer. Un jur li ala a
demander
de sa aleine si ele ert puiant u si elle esteit s
Au bout de quelque temps, il alla voir la femme du jardinier, et lui
demanda
comment elle allait et où en étaient leurs affair
épondit que tout marchait à souhait et qu’elle n’avait qu’une chose à
demander
aux dieux, de l’orage et de la pluie pour arroser
gumes. Peu de temps après il se rendit chez la femme du potier et lui
demanda
comment elle se trouvait. Elle répondit que rien
leil brillant, pour sécher la poterie. – « Si toi, reprit le père, tu
demandes
le beau temps, et ta sœur, le mauvais, avec laque
pesa, tant que a une feiz se purpensa que le vilein apeisereit de la
demande
qu’il feseit. Une grande gate demanda, sur une ta
que le vilein apeisereit de la demande qu’il feseit. Une grande gate
demanda
, sur une table l’adenta ; une suriz ot desuz mise
i eschapa. Mes, quant sis sires repeira, mut s’en curuça durement, si
demanda
par maltalent pur quei ot la gatë ostee, n’ot sa
, que de bestes set le retur e as oiseus reset parler, mecine quere e
demander
. Par message le funt somundre, e le gupil estut r
s ert e veiz[i]ez. Li leün mut se curuça ; le lu, sun provost, apela,
demanda
lui pur quei ne vient. Li lus respunt : « Rien ne
despuinstrent mut malement. Li gupilz i vient tut quointement, si li
demanda
quei la fesist que sanz chapel ileoc s’asist. « T
un jour qu’au sortir de la garde-robbe, il prit fantasie à Xanthus de
demander
à Esope, « pourquoy les hommes souloient regarder
urgé leur ventre ? » Esope voulant tout aussi tost satisfaire à ceste
demande
; « Il y eust », dit-il, « autresfois un homme, q
thus voyant que le vin luy avoit osté la raison, « Mon Maistre », luy
demanda
t’il, « y a t’il quel-qu’un qui puisse boire la M
est que tu n’as plus de droict en ta maison ». « Pourquoy cela », luy
demanda
Xanthus ? « Pource », repartit Esope, « que hier
commande que l’on te remplisse une tasse d’eau ; Puis l’ayant prise,
demande
à celuy qui a les gages, quelles sont vos convent
demande à celuy qui a les gages, quelles sont vos conventions, et le
demande
tout haut, afin qu’il n’y ait personne en la comp
Marie de France, n° 28 Le singe et le renard De un singe dit que
demanda
a un gupil qu’il encuntra [que] de sa küe li pres
li fu que trop le ot grant, e tuz sunt sans küe si enfant. Li gupil
demande
que ceo deit que sa cüe li requereit. Le singe di
ènes. Comme on ne prêtait pas beaucoup d’attention à son discours, il
demanda
qu’on lui permît de conter une fable d’Ésope. La
discours, il demanda qu’on lui permît de conter une fable d’Ésope. La
demande
accordée, il commença ainsi : « Déméter, l’hirond
Marie de France, n° 18 Les grenouilles qui
demandent
un roi Jadis avient que en un estanc entur les
ur li firent, el funz de l’ewe l’abatirent. A la destinee revunt, rei
demandent
, car nul në unt ; mauveis fu cil qu’il lur duna.
e qui a perdu son tresor. L’Usage seulement fait la possession. Je
demande
à ces gens, de qui la passion Est d’entasser toûj
il gémit, il soûpire, Il se tourmente, il se déchire. Un passant luy
demande
à quel sujet ses cris. C’est mon tresor que l’on
e une suriz de bois ot fete ; sa vïandë i ot atrete. La suriz de vile
demande
si ele ot iluec point de viande. Cele respunt : «
ur, ki ot eü de mort poür. Sa cumpaine la regarda, par grant duçur li
demanda
: « Quel semblant fet ma duce amie ? » — « Jeo su
retrete. Quant ele fu en mer entree, si ad une maue encuntree, si li
demanda
e enquist u ele alot. E cele li dist que de sun p
aïs ert fuïe, si li cunta sa vileinie. Dunc [l’]ad la maue respundue,
demanda
li si ele est venue senz cel usteil qui l’a huni.
el, dans l’atelier d’un statuaire, et, avisant une statue de Zeus, il
demanda
: « Combien ? » On lui répondit : « Une drachme.
manda : « Combien ? » On lui répondit : « Une drachme. » Il sourit et
demanda
: « Combien la statue de Héra ? — C’est plus cher
e ; Mais Xanthus aussi empesché qu’eux de leur en rendre raison, leur
demanda
terme pour y respondre. Il s’en alla donc en sa m
ure ne laisse pas de cacher une belle ame ? Que cela ne soit, je vous
demande
si vous considerez la forme exterieure d’une bout
uverent à propos de prendre l’advis d’Esope, qui pour response à leur
demande
; « Messieurs », leur dit il, « quand les princip
nt par son advis : C’est pourquoy je te conseille pour le mieux de le
demander
par des Ambassadeurs envoyez exprés, qui leur pro
que tu les recompenseras en autre chose, et que cependant, tu ne leur
demanderas
plus rien : Que si tu n’en viens à bout par ce mo
voya soudain aux Samiens un Ambassadeur, avec charge expresse de leur
demander
Esope : comme en effect ils se resolurent de l’en
le lion poussa un rugissement contre le renard. Mais celui-ci, ayant
demandé
un moment pour se justifier : « Et qui, dit-il, p
unis, t’a rendu un aussi grand service que moi, qui suis allé partout
demander
aux médecins un remède pour te guérir, et qui l’a
iloënt cum s’il fussent entre grant gent. Vers eus turna delivrement.
Demanda
lur pur quel mester voleient si estreit cunseille
i-tost en besogne.
Elle retira l’os ; puis pour un si bon tour
Elle
demanda
son salaire.
Vostre salaire ? dit le Loup,
Vous
le Preteur, qui le cognoissant pour estre au Philosophe Xanthus, luy
demanda
où il alloit ? « Je ne sçay », luy respondit Esop
cause que sur la croyance qu’eust le Preteur, qu’il se mocquoit de sa
demande
, il commanda qu’on le menât en prison. L’on se mi
otion du costé des Louveteaux, qui se mirent à hurler bien fort, et à
demander
leurs meres. Les Loups sortirent incontinent, et
nous peut instruire, à sçavoir que les Ennemis reconciliez à faux, ne
demandent
qu’un pretexte pour nous attaquer, c’est une ques
b 105. Un loup voyant un très gros chien attaché par un collier lui
demanda
: « Qui t’a lié et nourri de la sorte ? — Un chas
ère, apercevant une peau de bœuf qu’elle charriait dans ses eaux, lui
demanda
son nom. « Je m’appelle Dure », répondit-elle. Al
cum a lui, ceo dist, avendreit. A la Destinee le mustra, e la dame li
demanda
s’il n’ot asez en la beauté dunt ele l’aveit si a
ambry 66.1 Βάτραχοι <αἰτοῦντες βασιλέα> – Les grenouilles qui
demandent
un roi. Βάτραχοι λυπούμενοι ἐπὶ τῇ ἑαυτῶν ἀνα
un tel roi, elles se tendirent une seconde fois près de Zeus, et lui
demandèrent
de leur changer le monarque ; car le premier étai
re ferme. Comme il arrivait au Pirée, entrepôt maritime d’Athènes, il
demanda
au singe s’il était Athénien. Le singe ayant répo
que oui, et qu’il avait même à Athènes des parents illustres, il lui
demanda
s’il connaissait aussi le Pirée. Le singe, croyan
s mots Xanthus tout enflammé de colere, envoya chercher Esope, et luy
demanda
, pour quelle raison il avoit ainsi honteusement c
une preuve : Car lors qu’ils ont heurté à la porte, et que je leur ay
demandé
, Que remuë le chien ? pas un d’eux n’a sçeu compr
là dessus il se retira. Le lendemain il le fût encore visiter, et luy
demanda
comment il s’estoit porté la nuict passée ? « Hel
de cecy, apres que pour la troisiesme fois il luy eust fait la mesme
demande
, et que ce pauvre homme luy eust répondu qu’il n’
er, si nel porent mie trover. Entr’eus en tienent mut grant pleit, si
demandent
ki ceo ad fait : ki le quor lur aveit emblé, gran
t qu’il ad le quor mangié. Dunc unt le gupil apelé, si li unt le quor
demandé
. Il lur jura par ser[e]ment qu[e]’il ne l’ot embl
mme, s’étant arrêté près d’un jardinier qui arrosait ses légumes, lui
demanda
pourquoi les légumes sauvages étaient florissants
qu’ils n’estoient. Comme il s’en fust approché de plus prés, et eust
demandé
au Musicien de quel pays il estoit ; « Je suis de
t un hargneux, qui monstre les dents. Qu’est-ce qu’il peut avoir veu,
demandoit
l’autre, qui l’oblige ainsi à rire ? Ce n’est pas
l s’estoit éclatté de rire. Ce qui fit qu’un d’entr’eux, luy en ayant
demandé
la cause ; « Retire-toy d’icy », respondit Esope,
r apprendre, pourquoy il rioit ainsi à tout propos ; « Va-t’en le luy
demander
», luy respondit un de ses compagnons, « si tu ve
», repartit le Philosophe, « c’est le lieu de ta naissance que je te
demande
». « Je ne me souviens point », replicqua Esope,
des agneaux à la mamelle et fit semblant de le caresser. Un chien lui
demanda
: « Que fais-tu là ? — Je le cajole, dit-il, et j
ις. Codd. Ba 79 Bb 49. Un chasseur cherchait la piste d’un lion. Il
demanda
à un bûcheron s’il avait vu des pas de lion et où
55 Me 64. Une vipère, s’étant glissée dans l’atelier d’un forgeron,
demanda
aux outils de lui faire une aumône. Après l’avoir
t qu’elles fussent mûres. Un renard, le voyant s’éterniser là, lui en
demanda
la raison. Quand il en fut instruit : « Tu as tor
s’enferme. Au bout de quelque temps sa Compagne revient. La Lice luy
demande
encore une quinzaine. Ses petits ne marchoient, d
l’on s’en fust pris à moy : Cependant c’estoit vostre faute. Je vous
demande
en bonne foy Si cette imprudence si haute Provien
z qu’il vousist avant venir. Li lïuns sist, si l’esgarda. Iriement li
demanda
pur quei ne volt venir avant, e li gupilz li resp
e qu’il esteit si poi creüz. A la sepande ala parler, si li cumence a
demander
pur quei ne l’ot [i]tel criee e de cornes si aürn
s p[e]luscha. Devant lui passa une reine, si cume aventure la meine ;
demanda
li en sa reisun si ele ert dame de la meisun dunt
i] troverent a manger sanz cuntredit e sanz danger. La suriz par amur
demande
a la reine de sa vïande, quei l’en semble, verité
et ils s’en servirent. D’autres ménagyrtes les ayant rencontrés leur
demandèrent
où était leur âne. « Il est mort, dit-il ; mais i
ntra une femme solitaire qui tenait ses yeux baissés. « Qui es-tu ? »
demanda-t
-il. « La Vérité », répondit-elle. « Et pour quel
malement lur ad rendu ; k’a grant hunte les demena. E li vileins lur
demanda
que ceo esteit qu’il lur fist feire. « Fiens », f
qu’il le vit remembré e en meint liu aveit esté, li vol[eit]t cunseil
demander
en quele tere deust cunverser ; kar il memes pru
iblesse des Biens, les chassèrent. Ceux-ci montèrent au ciel. Là, ils
demandèrent
à Zeus comment ils devaient se comporter avec les
quoiqu’on ne t’ait rien pris ; Et toy, Renard, as pris ce que l’on te
demande
. Le Juge pretendoit qu’à tort et à travers On ne
e prendre quert cunseil. La Destinee lur cumande que veir dient de la
demande
a ceo que avis lur en esteit. Cele parla ke meuz
re el tens d’yvern esteit alez ; par aventure est einz entrez. Vïande
demanda
e quist, kar n’en aveit n[i]ent, ceo dist, en sa
deci qu’ele fust enmancee de aucun fust e apareillee. Al bois ala pur
demander
a chescun fust qu’il pot trover al quel il li loë
un bois trova un mutun cras e refait, sanz la toisun. A sei me[i]mes
demanda
: « Quei est ceo », fet il, « que jeo vei la ? Ce
ulons-nous », luy dit-il, « de ces figues : Que si nostre Maistre les
demande
, nous luy ferons accroire qu’Esope les aura mangé
res, leur Maistre estant de retour des bains, la premiere chose qu’il
demanda
, ce fust qu’on luy apportast ses figues. Mais apr
la treve a sun talent. [La] fille al plus haut element vodra li mulez
demander
: al soleil en ala parler. Pur ceo qu’il esteit [
ez a la nue vient, [e] dit que si puissant la tient que sa fille volt
demander
. Ele li rova avant aler ; par raisun lui vodra mu
r voix harmonieuse et leur envia leur talent. « Que mangez-vous, leur
demanda-t
-il, pour faire entendre un tel chant ? – De la ro
iscorde n’ont que faire. Pour la faire trouver aux lieux où le besoin
Demandoit
qu’elle fust presente, La Renommée avoit le soin
e [par] parole – tant que a un liun le ala mustrer ; si li comence a
demander
s’il fu mut beus, e il li dit unc plus leide best
ist qu’il voleit errer. De l’oef garder mut li preia. E li vileins li
demanda
pur quei li cumandot einsi ; e li draguns li resp
L’autre vilein fist apeler quë ert venu a lui clamer ; de la caue li
demanda
quei ceo esteit que ele chanta e queile parole el
Le singe y tourna ses regards et se mit à soupirer. Le renard lui en
demanda
la cause. Alors le singe lui montrant les tombeau
ux sur le pavé et se détourna de lui. Zeus étonné de son attitude lui
demanda
pourquoi, après avoir salué complaisamment tous l
es fatigues à souffrir, envoyèrent des messagers auprès de Zeus, pour
demander
qu’il mît un terme à leurs travaux. Zeus, voulant
yant Esope, qui étoit là present, il se prit à rire ; Son Maistre luy
demanda
pour lors, si c’estoit pour se mocquer, qu’il rio
par ce raisonnement. Va t’en maintenant, si bon te semble : Je ne te
demande
rien pour ces herbes, et te permets d’en cueillir
’un taureau. Après y être resté longtemps, comme il allait partir, il
demanda
au taureau s’il désirait qu’enfin il s’en allât.
d’user de ruse pour en venir à leurs fins. Ils envoyèrent des députés
demander
aux moutons de livrer leurs chiens. C’étaient les
e si extravagant, ou de si hors de saison, que de faire à son amy des
demandes
superfluës, sur le poinct d’une pressante necessi
r n’avoir voulu mettre des bornes à leur convoitise, et qui pour tout
demander
ont tout perdu. C’est pourquoy je me contenteray
les suens oiselez petiz. Puis lur ala quere vïande si cume nature le
demande
. Mes, quant a eus fu repeirez, fu sis niz orz e s
n hume errant ; arc portot, setes e bulzuns. Sa mere apela li feüns ;
demanda
li que cil huem fu. E la byssë ad respondu : « C’
ateindre. » Li vileins l’ad aval getee, si li ad la lange copee. Puis
demande
quei avis li fu, quë ele en aveit entendu, si li
la mit en vente en présence du créancier. Un acheteur se présenta et
demanda
si la truie était féconde. « Oui, elle est fécond
ucas, prit en mépris ceux de sa tribu, se rendit chez les corbeaux et
demanda
à partager leur vie. Mais les corbeaux, à qui sa
Quand le lion en eut pris la plus grande partie, l’âne sortit et lui
demanda
s’il n’avait pas bravement combattu et poussé les
tée et s’enfuit. Mais des voyageurs qui venaient en sens inverse, lui
demandèrent
ce qui lui avait souillé les mains ; il répondit
IV. Les Grenoüilles qui
demandent
un Roy. Les Grenoüilles se lassant
De l’estat
Tutes les bestes asembla e les oiseus a sei manda ; puis ad fet a tuz
demander
si nul le* seit mediciner. Entre eus en unt lur c
sailli cume trichere. L’urse cumença dunc a cria ; puis si li prist a
demander
: « Mauveis gupil, quei f[e]ras tu ? » Li gupilz
ainie e leauté e fei plevie. La serpent al vilein preia e par amur li
demanda
que leit li aportast suvent deus feiz le jur par
pent en est venu dutusement. Sa cupe bat, merci cria, e la serpent li
demanda
quei il quert la u tut sun leit. « Merci », fet i
je le fais exprés, pour éviter trois grands maux ? » « Quels maux ? »
demanda
Esope. « Si je me fusse tenu debout », repartit X
uy eust dit, « me voila, c’est moy », la servante toute estonnée, luy
demanda
s’il n’estoit point celuy qu’on nommoit Esope ? «
e, et n’y pouvant contre-dire, elle se tourna vers son Mary, pour luy
demander
où il avoit pris ce beau gibier ? « vrayment », l
n renomme. Le Daufin l’alloit mettre à bord ; Quand par hazard il luy
demande
: Estes-vous d’Athenes la grande ? Oüy, dit l’aut
cuve d’ewe pleine ; dedenz la cuve le fist garder. Puis li cumence a
demander
qu’il veit dedenz, [e] cil li dit que sun ymagine
up, qui estoit là present, de luy promettre, qu’elle satisferoit à sa
demande
. L’on prit donc jour pour le payement, qui fût à
llement que le droict de la nature, et des peuples, nous permet de le
demander
, et mesme il nous y convie. Mais c’est assez just
ent Jupiter de leur donner un Roy ; Mais luy se mocqua d’une si sotte
demande
: Ce refus neantmoins ne servit qu’à les rendre i
en ceste Fable de trois notables impertinences. La premiere, d’avoir
demandé
un Roy, quand elles estoient libres. La seconde,
ents de l’art, elle s’y rendit. Arrivée devant la métairie, elle leur
demanda
comment elles allaient : « Bien, répondirent-elle
Esope, « et voicy comment. Combien de pieds ont deux Pourceaux », luy
demanda
t’il ? « Ils en ont cinq », continua Xanthus : «
il chacerent ; quant pris l’eurent, si l’escorcerent. Li lus al bugle
demanda
coment le cerf departira. « Ceo est », fet il, «
sereient cumpainum. Dunc s’asemblent suz un buissun. Li chaz al gupil
demanda
par quels engins* se defendera la u il erent entr
omme portait ses mains à sa bouche et soufflait dessus. Le satyre lui
demanda
pourquoi il en usait ainsi. Il répondit qu’il se
ceaux, les approchait de sa bouche et soufflait dessus. Le satyre lui
demanda
de nouveau pourquoi il agissait ainsi. Il répondi
chauve-souris entendit de loin sa voix, et, s’approchant de lui, lui
demanda
pour quelle raison il se taisait le jour et chant
rivé aux portes de la ville, il aperçut un boiteux qui sortait et lui
demanda
qui il était et où il allait. Celui-ci ayant répo
u feu. Mais ayant pris garde qu’il soufloit dans ses mains, il luy en
demanda
la cause : A quoy le Voyageur respondist, qu’il l
ceo esteit quë ja el bois aveit esveillé. Quant ele le vit si enginné
demanda
li qu’il ad la quis. Cil respunt quë il esteit pr
anglier, posté près d’un arbre, aiguisait ses défenses. Un renard lui
demanda
pour quelle raison, quand ni chasseur ni danger n
« ô Esope ce n’est pas moy qui te donne la vie, mais bien le destin.
Demande
moy donc ce que tu voudras, et je te l’accorderay
age En passant par un certain pré, Rencontra Bergere à son gré. Il la
demande
en mariage. Le pere auroit fort souhaité Quelque
singes sunt mut bien apelé. Li leaus hum les esguarda ; l’emperere li
demanda
quei lui semblot de sa meisnee si ele esteit bele
ez, e cil returne tut iriez. Sa femme leidist e blasma ; e la dame li
demanda
pur quei parlast issi vers li ; e ses baruns li r
é qui le destre oil aveit perdu ; ensemble od eus l’unt retenu, si li
demandent
sun avis que del cheval die le pris. Il lur respu
xte spécieux. Quand, après quelques jours, elle fut de retour, il lui
demanda
comment les gens de sa maison l’avaient reçue. «
perdrix, pressées par la soif, vinrent trouver un laboureur, pour lui
demander
à boire, promettant, en échange d’un peu d’eau, d
e mit à caqueter d’une manière plaisante. Une chatte, l’ayant vu, lui
demanda
qui il était et d’où il venait. Il répondit : « L
venu de bonne fortune, qu’il rencontra un des valets du logis, il luy
demanda
s’il n’y avoit point là dedans quelque chose de b
s l’ot, sil mercia, mut par li en ad dit bon gré. Li liuns li ad dunc
demandé
si lui semblot cum einz ot fet. Dit li vileins :
ard, qui passait par là, entendit ses plaintes et s’approchant lui en
demanda
la cause. Quand il sut ce qui était arrivé : « Eh
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