/ 158
1 (1180) Fables « Marie de France, n° 4. Le chien et la brebis » p. 478
eür que une berbiz enpleida : devant justise la mena, si li a un pain demandé , qu’il li aveit, ceo dist, apresté. La berbiz tut
La berbiz tut le renea e dit que nul ne li apresta. Li juges al chien demanda se nul testimoine en a. Il li respunt qu’il en a
’il en atendeient partie, se la berbiz perdist la vie. Li jugere dunc demanda a la berbiz qu’il apela pur quei il ot le pain ne
2 (1180) Fables « Marie de France, n° 29. Le loup qui fut roi » p. 514
char [ne] tant ne quant. Li lus ad volonters juré, plus quë il li unt demandé . Mes, quant il fu asseürez e li leün s’en fu alez
nt sa volenté e jugerunt. Dunc ad un cheverol apelé, en cunseil li ad demandé que par amur veir li desist de sa aleine si ele p
lus se fist mut curuciez ; pur ses hummes ad enveiez, a tuz ensemble demanda quel jugement chescun f[e]ra de celi ki dit a sun
partir. Aprés icele saülee une autre beste ad apelee, tut autretel li demanda de sa aleine quei li sembla. La dolente volt meuz
nti [unc] mes ne meillur. Li lus ad concilie asemblé, a ses baruns ad demandé que il deit fere par jugement de celui que lui tr
e lui ad grant talent eü ; Manger le volst e devorer. Un jur li ala a demander de sa aleine si ele ert puiant u si elle esteit s
3 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 300 » pp. 94-94
Au bout de quelque temps, il alla voir la femme du jardinier, et lui demanda comment elle allait et où en étaient leurs affair
épondit que tout marchait à souhait et qu’elle n’avait qu’une chose à demander aux dieux, de l’orage et de la pluie pour arroser
gumes. Peu de temps après il se rendit chez la femme du potier et lui demanda comment elle se trouvait. Elle répondit que rien
leil brillant, pour sécher la poterie. – « Si toi, reprit le père, tu demandes le beau temps, et ta sœur, le mauvais, avec laque
4 (1180) Fables « Marie de France, n° 53. L’ermite » p. 664
pesa, tant que a une feiz se purpensa que le vilein apeisereit de la demande qu’il feseit. Une grande gate demanda, sur une ta
que le vilein apeisereit de la demande qu’il feseit. Une grande gate demanda , sur une table l’adenta ; une suriz ot desuz mise
i eschapa. Mes, quant sis sires repeira, mut s’en curuça durement, si demanda par maltalent pur quei ot la gatë ostee, n’ot sa
5 (1180) Fables « Marie de France, n° 68. Le lion et le renard » p. 258
, que de bestes set le retur e as oiseus reset parler, mecine quere e demander . Par message le funt somundre, e le gupil estut r
s ert e veiz[i]ez. Li leün mut se curuça ; le lu, sun provost, apela, demanda lui pur quei ne vient. Li lus respunt : « Rien ne
despuinstrent mut malement. Li gupilz i vient tut quointement, si li demanda quei la fesist que sanz chapel ileoc s’asist. « T
6 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Subtile response d’Esope, touchant les superfluitez que la Nature rejette. Chapitre XVIII. »
un jour qu’au sortir de la garde-robbe, il prit fantasie à Xanthus de demander à Esope, « pourquoy les hommes souloient regarder
urgé leur ventre ? » Esope voulant tout aussi tost satisfaire à ceste demande  ; « Il y eust », dit-il, « autresfois un homme, q
thus voyant que le vin luy avoit osté la raison, « Mon Maistre », luy demanda t’il, « y a t’il quel-qu’un qui puisse boire la M
est que tu n’as plus de droict en ta maison ». « Pourquoy cela », luy demanda Xanthus ? « Pource », repartit Esope, « que hier
commande que l’on te remplisse une tasse d’eau ; Puis l’ayant prise, demande à celuy qui a les gages, quelles sont vos convent
demande à celuy qui a les gages, quelles sont vos conventions, et le demande tout haut, afin qu’il n’y ait personne en la comp
7 (1180) Fables « Marie de France, n° 28. Le singe et le renard » p. 533
Marie de France, n° 28 Le singe et le renard De un singe dit que demanda a un gupil qu’il encuntra [que] de sa küe li pres
li fu que trop le ot grant, e tuz sunt sans küe si enfant. Li gupil demande que ceo deit que sa cüe li requereit. Le singe di
8 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 96 » p. 63
ènes. Comme on ne prêtait pas beaucoup d’attention à son discours, il demanda qu’on lui permît de conter une fable d’Ésope. La
discours, il demanda qu’on lui permît de conter une fable d’Ésope. La demande accordée, il commença ainsi : « Déméter, l’hirond
9 (1180) Fables « Marie de France, n° 18. Les grenouilles qui demandent un roi » p. 376
Marie de France, n° 18 Les grenouilles qui demandent un roi Jadis avient que en un estanc entur les
ur li firent, el funz de l’ewe l’abatirent. A la destinee revunt, rei demandent , car nul në unt ; mauveis fu cil qu’il lur duna.
10 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XX. L’Avare qui a perdu son tresor. » p. 225
e qui a perdu son tresor. L’Usage seulement fait la possession. Je demande à ces gens, de qui la passion Est d’entasser toûj
il gémit, il soûpire, Il se tourmente, il se déchire. Un passant luy demande à quel sujet ses cris. C’est mon tresor que l’on
11 (1180) Fables « Marie de France, n° 9. La souris des villes et la souris des bois » p. 352
e une suriz de bois ot fete ; sa vïandë i ot atrete. La suriz de vile demande si ele ot iluec point de viande. Cele respunt : «
ur, ki ot eü de mort poür. Sa cumpaine la regarda, par grant duçur li demanda  : « Quel semblant fet ma duce amie ? » — « Jeo su
12 (1180) Fables « Marie de France, n° 80. L’aigle, l’autour et la grue » p. 
retrete. Quant ele fu en mer entree, si ad une maue encuntree, si li demanda e enquist u ele alot. E cele li dist que de sun p
aïs ert fuïe, si li cunta sa vileinie. Dunc [l’]ad la maue respundue, demanda li si ele est venue senz cel usteil qui l’a huni.
13 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 109 » pp. 88-88
el, dans l’atelier d’un statuaire, et, avisant une statue de Zeus, il demanda  : « Combien ? » On lui répondit : « Une drachme. 
manda : « Combien ? » On lui répondit : « Une drachme. » Il sourit et demanda  : « Combien la statue de Héra ? — C’est plus cher
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
e ; Mais Xanthus aussi empesché qu’eux de leur en rendre raison, leur demanda terme pour y respondre. Il s’en alla donc en sa m
ure ne laisse pas de cacher une belle ame ? Que cela ne soit, je vous demande si vous considerez la forme exterieure d’une bout
uverent à propos de prendre l’advis d’Esope, qui pour response à leur demande  ; « Messieurs », leur dit il, « quand les princip
nt par son advis : C’est pourquoy je te conseille pour le mieux de le demander par des Ambassadeurs envoyez exprés, qui leur pro
que tu les recompenseras en autre chose, et que cependant, tu ne leur demanderas plus rien : Que si tu n’en viens à bout par ce mo
voya soudain aux Samiens un Ambassadeur, avec charge expresse de leur demander Esope : comme en effect ils se resolurent de l’en
15 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 206 » p. 258
le lion poussa un rugissement contre le renard. Mais celui-ci, ayant demandé un moment pour se justifier : « Et qui, dit-il, p
unis, t’a rendu un aussi grand service que moi, qui suis allé partout demander aux médecins un remède pour te guérir, et qui l’a
16 (1180) Fables « Marie de France, n° 41. Le riche et les serfs » p. 
iloënt cum s’il fussent entre grant gent. Vers eus turna delivrement. Demanda lur pur quel mester voleient si estreit cunseille
17 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — IX. Le Loup et la Cicogne. » p. 156
i-tost en besogne.
 Elle retira l’os ; puis pour un si bon tour
 Elle demanda son salaire.
 Vostre salaire ? dit le Loup,
 Vous
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De la response qu’Esope fist à un Juge. Chapitre XVII. »
le Preteur, qui le cognoissant pour estre au Philosophe Xanthus, luy demanda où il alloit ? « Je ne sçay », luy respondit Esop
cause que sur la croyance qu’eust le Preteur, qu’il se mocquoit de sa demande , il commanda qu’on le menât en prison. L’on se mi
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIII. Des Loups, et de la Brebis. »
otion du costé des Louveteaux, qui se mirent à hurler bien fort, et à demander leurs meres. Les Loups sortirent incontinent, et
nous peut instruire, à sçavoir que les Ennemis reconciliez à faux, ne demandent qu’un pretexte pour nous attaquer, c’est une ques
20 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 227 » p. 346
b 105. Un loup voyant un très gros chien attaché par un collier lui demanda  : « Qui t’a lié et nourri de la sorte ? — Un chas
21 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 321 » p. 368
ère, apercevant une peau de bœuf qu’elle charriait dans ses eaux, lui demanda son nom. « Je m’appelle Dure », répondit-elle. Al
22 (1180) Fables « Marie de France, n° 31. Le paon » p. 509
cum a lui, ceo dist, avendreit. A la Destinee le mustra, e la dame li demanda s’il n’ot asez en la beauté dunt ele l’aveit si a
23 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 66 » pp. 44-44
ambry 66.1 Βάτραχοι <αἰτοῦντες βασιλέα> – Les grenouilles qui demandent un roi. Βάτραχοι λυπούμενοι ἐπὶ τῇ ἑαυτῶν ἀνα
un tel roi, elles se tendirent une seconde fois près de Zeus, et lui demandèrent de leur changer le monarque ; car le premier étai
24 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 306 » pp. 73-73
re ferme. Comme il arrivait au Pirée, entrepôt maritime d’Athènes, il demanda au singe s’il était Athénien. Le singe ayant répo
que oui, et qu’il avait même à Athènes des parents illustres, il lui demanda s’il connaissait aussi le Pirée. Le singe, croyan
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ne laisse entrer qu’un seul de tous ceux que son Maistre avoit conviez. Chapitre XXI. »
s mots Xanthus tout enflammé de colere, envoya chercher Esope, et luy demanda , pour quelle raison il avoit ainsi honteusement c
une preuve : Car lors qu’ils ont heurté à la porte, et que je leur ay demandé , Que remuë le chien ? pas un d’eux n’a sçeu compr
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXII. D’un Malade, et d’un Medecin. »
là dessus il se retira. Le lendemain il le fût encore visiter, et luy demanda comment il s’estoit porté la nuict passée ? « Hel
de cecy, apres que pour la troisiesme fois il luy eust fait la mesme demande , et que ce pauvre homme luy eust répondu qu’il n’
27 (1180) Fables « Marie de France, n° 70. Le lion malade » p. 336
er, si nel porent mie trover. Entr’eus en tienent mut grant pleit, si demandent ki ceo ad fait : ki le quor lur aveit emblé, gran
t qu’il ad le quor mangié. Dunc unt le gupil apelé, si li unt le quor demandé . Il lur jura par ser[e]ment qu[e]’il ne l’ot embl
28 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 155 » p. 119
mme, s’étant arrêté près d’un jardinier qui arrosait ses légumes, lui demanda pourquoi les légumes sauvages étaient florissants
29 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope est derechef vendu. Chapitre VII. »
qu’ils n’estoient. Comme il s’en fust approché de plus prés, et eust demandé au Musicien de quel pays il estoit ; « Je suis de
t un hargneux, qui monstre les dents. Qu’est-ce qu’il peut avoir veu, demandoit l’autre, qui l’oblige ainsi à rire ? Ce n’est pas
l s’estoit éclatté de rire. Ce qui fit qu’un d’entr’eux, luy en ayant demandé la cause ; « Retire-toy d’icy », respondit Esope,
r apprendre, pourquoy il rioit ainsi à tout propos ; « Va-t’en le luy demander  », luy respondit un de ses compagnons, « si tu ve
 », repartit le Philosophe, « c’est le lieu de ta naissance que je te demande  ». « Je ne me souviens point », replicqua Esope,
30 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 36 » p. 41
des agneaux à la mamelle et fit semblant de le caresser. Un chien lui demanda  : « Que fais-tu là ? — Je le cajole, dit-il, et j
31 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 93 » p. 326
ις. Codd. Ba 79 Bb 49. Un chasseur cherchait la piste d’un lion. Il demanda à un bûcheron s’il avait vu des pas de lion et où
32 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 117 » p. 93
55 Me 64. Une vipère, s’étant glissée dans l’atelier d’un forgeron, demanda aux outils de lui faire une aumône. Après l’avoir
33 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 161 » p. 126
t qu’elles fussent mûres. Un renard, le voyant s’éterniser là, lui en demanda la raison. Quand il en fut instruit : « Tu as tor
34 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — VII. La Lice et sa Compagne. » p. 480
s’enferme. Au bout de quelque temps sa Compagne revient. La Lice luy demande encore une quinzaine. Ses petits ne marchoient, d
35 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XI. La Fortune et le jeune Enfant. » p. 174
l’on s’en fust pris à moy : Cependant c’estoit vostre faute. Je vous demande en bonne foy Si cette imprudence si haute Provien
36 (1180) Fables « Marie de France, n° 36. Le lion et le renard » p. 142
z qu’il vousist avant venir. Li lïuns sist, si l’esgarda. Iriement li demanda pur quei ne volt venir avant, e li gupilz li resp
37 (1180) Fables « Marie de France, n° 96. Le lièvre et le cerf » p. 658
e qu’il esteit si poi creüz. A la sepande ala parler, si li cumence a demander pur quei ne l’ot [i]tel criee e de cornes si aürn
38 (1180) Fables « Marie de France, n° 3. La souris et la grenouille » p. 384
s p[e]luscha. Devant lui passa une reine, si cume aventure la meine ; demanda li en sa reisun si ele ert dame de la meisun dunt
i] troverent a manger sanz cuntredit e sanz danger. La suriz par amur demande a la reine de sa vïande, quei l’en semble, verité
39 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 237 » p. 164
et ils s’en servirent. D’autres ménagyrtes les ayant rencontrés leur demandèrent où était leur âne. « Il est mort, dit-il ; mais i
40 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 260 » p. 355
ntra une femme solitaire qui tenait ses yeux baissés. « Qui es-tu ? » demanda-t -il. « La Vérité », répondit-elle. « Et pour quel
41 (1180) Fables « Marie de France, n° 84. L’homme et les bœufs » p. 657
malement lur ad rendu ; k’a grant hunte les demena. E li vileins lur demanda que ceo esteit qu’il lur fist feire. « Fiens », f
42 (1180) Fables « Marie de France, n° 100. Le vieillard et le chevalier » p. 691
qu’il le vit remembré e en meint liu aveit esté, li vol[eit]t cunseil demander en quele tere deust cunverser ; kar il memes pru
43 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 1 » p. 274
iblesse des Biens, les chassèrent. Ceux-ci montèrent au ciel. Là, ils demandèrent à Zeus comment ils devaient se comporter avec les
44 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — III. Le Loup plaidant contre le Renard pardevant le Singe. » p. 474
quoiqu’on ne t’ait rien pris ; Et toy, Renard, as pris ce que l’on te demande . Le Juge pretendoit qu’à tort et à travers On ne
45 (1180) Fables « Marie de France, n° 6. Le mariage du soleil » p. 314
e prendre quert cunseil. La Destinee lur cumande que veir dient de la demande a ceo que avis lur en esteit. Cele parla ke meuz
46 (1180) Fables « Marie de France, n° 39. La fourmi et la cigale » p. 112
re el tens d’yvern esteit alez ; par aventure est einz entrez. Vïande demanda e quist, kar n’en aveit n[i]ent, ceo dist, en sa
47 (1180) Fables « Marie de France, n° 49. Le forgeron et la cognée » p. 
deci qu’ele fust enmancee de aucun fust e apareillee. Al bois ala pur demander a chescun fust qu’il pot trover al quel il li loë
48 (1180) Fables « Marie de France, n° 50. Le loup et le mouton » p. 655
un bois trova un mutun cras e refait, sanz la toisun. A sei me[i]mes demanda  : « Quei est ceo », fet il, « que jeo vei la ? Ce
49 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope se justifie devant son Maistre, et luy fait voir qui avoit mangé les figues. Chapitre III. »
ulons-nous », luy dit-il, « de ces figues : Que si nostre Maistre les demande , nous luy ferons accroire qu’Esope les aura mangé
res, leur Maistre estant de retour des bains, la premiere chose qu’il demanda , ce fust qu’on luy apportast ses figues. Mais apr
50 (1180) Fables « Marie de France, n° 73. Le mulot qui cherche à se marier » p. 73
la treve a sun talent. [La] fille al plus haut element vodra li mulez demander  : al soleil en ala parler. Pur ceo qu’il esteit [
ez a la nue vient, [e] dit que si puissant la tient que sa fille volt demander . Ele li rova avant aler ; par raisun lui vodra mu
51 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 279 » pp. 184-184
r voix harmonieuse et leur envia leur talent. « Que mangez-vous, leur demanda-t -il, pour faire entendre un tel chant ? – De la ro
52 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XX. La Discorde. » p. 
iscorde n’ont que faire. Pour la faire trouver aux lieux où le besoin Demandoit qu’elle fust presente, La Renommée avoit le soin
53 (1180) Fables « Marie de France, n° 51. Le singe et son enfant » p. 364
e [par] parole – tant que a un liun le ala mustrer ; si li comence a demander s’il fu mut beus, e il li dit unc plus leide best
54 (1180) Fables « Marie de France, n° 52. Le dragon et l’homme » p. 663
ist qu’il voleit errer. De l’oef garder mut li preia. E li vileins li demanda pur quei li cumandot einsi ; e li draguns li resp
55 (1180) Fables « Marie de France, n° 56. Le paysan et le choucas » p. 
L’autre vilein fist apeler quë ert venu a lui clamer ; de la caue li demanda quei ceo esteit que ele chanta e queile parole el
56 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 39 » p. 14
Le singe y tourna ses regards et se mit à soupirer. Le renard lui en demanda la cause. Alors le singe lui montrant les tombeau
57 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 131 » p. 111
ux sur le pavé et se détourna de lui. Zeus étonné de son attitude lui demanda pourquoi, après avoir salué complaisamment tous l
58 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 263 » p. 185
es fatigues à souffrir, envoyèrent des messagers auprès de Zeus, pour demander qu’il mît un terme à leurs travaux. Zeus, voulant
59 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La response d’Esope à un Jardinier. Chapitre IX. »
yant Esope, qui étoit là present, il se prit à rire ; Son Maistre luy demanda pour lors, si c’estoit pour se mocquer, qu’il rio
par ce raisonnement. Va t’en maintenant, si bon te semble : Je ne te demande rien pour ces herbes, et te permets d’en cueillir
60 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 190 » pp. 137-137
’un taureau. Après y être resté longtemps, comme il allait partir, il demanda au taureau s’il désirait qu’enfin il s’en allât.
61 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 218 » p. 153
d’user de ruse pour en venir à leurs fins. Ils envoyèrent des députés demander aux moutons de livrer leurs chiens. C’étaient les
62 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVII. Du Renard, et du Loup. »
e si extravagant, ou de si hors de saison, que de faire à son amy des demandes superfluës, sur le poinct d’une pressante necessi
63 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCI. Du Chameau. »
r n’avoir voulu mettre des bornes à leur convoitise, et qui pour tout demander ont tout perdu. C’est pourquoy je me contenteray
64 (1180) Fables « Marie de France, n° 79. L’autour et le hibou » p. 687
les suens oiselez petiz. Puis lur ala quere vïande si cume nature le demande . Mes, quant a eus fu repeirez, fu sis niz orz e s
65 (1180) Fables « Marie de France, n° 91. La biche qui instruisait son faon » p. 678
n hume errant ; arc portot, setes e bulzuns. Sa mere apela li feüns ; demanda li que cil huem fu. E la byssë ad respondu : « C’
66 (1180) Fables « Marie de France, n° 94. Le paysan et son épouse querelleuse » p. 681
ateindre. » Li vileins l’ad aval getee, si li ad la lange copee. Puis demande quei avis li fu, quë ele en aveit entendu, si li
67 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 10 » p. 5
la mit en vente en présence du créancier. Un acheteur se présenta et demanda si la truie était féconde. « Oui, elle est fécond
68 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 162 » p. 123
ucas, prit en mépris ceux de sa tribu, se rendit chez les corbeaux et demanda à partager leur vie. Mais les corbeaux, à qui sa
69 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 209 » p. 151
Quand le lion en eut pris la plus grande partie, l’âne sortit et lui demanda s’il n’avait pas bravement combattu et poussé les
70 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 215 » p. 152
tée et s’enfuit. Mais des voyageurs qui venaient en sens inverse, lui demandèrent ce qui lui avait souillé les mains ; il répondit
71 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — IV. Les Grenoüilles qui demandent un Roy. » p. 44
IV. Les Grenoüilles qui demandent un Roy. Les Grenoüilles se lassant
 De l’estat
72 (1180) Fables « Marie de France, n° 7. Le loup et la grue » p. 156
Tutes les bestes asembla e les oiseus a sei manda ; puis ad fet a tuz demander si nul le* seit mediciner. Entre eus en unt lur c
73 (1180) Fables « Marie de France, n° 69. Le renard et l’ourse » p. 
sailli cume trichere. L’urse cumença dunc a cria ; puis si li prist a demander  : « Mauveis gupil, quei f[e]ras tu ? » Li gupilz
74 (1180) Fables « Marie de France, n° 72. L’homme et le serpent » p. 51
ainie e leauté e fei plevie. La serpent al vilein preia e par amur li demanda que leit li aportast suvent deus feiz le jur par
pent en est venu dutusement. Sa cupe bat, merci cria, e la serpent li demanda quei il quert la u tut sun leit. « Merci », fet i
75 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Xanthus fait un present d’Esope à sa femme. Chapitre VIII. »
je le fais exprés, pour éviter trois grands maux ? » « Quels maux ? » demanda Esope. « Si je me fusse tenu debout », repartit X
uy eust dit, « me voila, c’est moy », la servante toute estonnée, luy demanda s’il n’estoit point celuy qu’on nommoit Esope ? «
e, et n’y pouvant contre-dire, elle se tourna vers son Mary, pour luy demander où il avoit pris ce beau gibier ? « vrayment », l
76 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — VII. Le Singe et le Daufin. » p. 73
n renomme. Le Daufin l’alloit mettre à bord ; Quand par hazard il luy demande  : Estes-vous d’Athenes la grande ? Oüy, dit l’aut
77 (1180) Fables « Marie de France, n° 44. La femme et son amant » p. 661
cuve d’ewe pleine ; dedenz la cuve le fist garder. Puis li cumence a demander qu’il veit dedenz, [e] cil li dit que sun ymagine
78 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IV. Du Cerf, et de la Brebis. »
up, qui estoit là present, de luy promettre, qu’elle satisferoit à sa demande . L’on prit donc jour pour le payement, qui fût à
llement que le droict de la nature, et des peuples, nous permet de le demander , et mesme il nous y convie. Mais c’est assez just
79 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIX. Des Grenoüilles, et de leur Roy. »
ent Jupiter de leur donner un Roy ; Mais luy se mocqua d’une si sotte demande  : Ce refus neantmoins ne servit qu’à les rendre i
en ceste Fable de trois notables impertinences. La premiere, d’avoir demandé un Roy, quand elles estoient libres. La seconde,
80 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 14 » pp. 7-7
ents de l’art, elle s’y rendit. Arrivée devant la métairie, elle leur demanda comment elles allaient : « Bien, répondirent-elle
81 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Xanthus voulant tromper Esope, est trompé luy-mesme. Chapitre XI. »
Esope, « et voicy comment. Combien de pieds ont deux Pourceaux », luy demanda t’il ? « Ils en ont cinq », continua Xanthus : « 
82 (1180) Fables « Marie de France, n° 11. Le lion chasseur » p. 149
il chacerent ; quant pris l’eurent, si l’escorcerent. Li lus al bugle demanda coment le cerf departira. « Ceo est », fet il, « 
83 (1180) Fables « Marie de France, n° 98. Le renard et le chat » p. 605
sereient cumpainum. Dunc s’asemblent suz un buissun. Li chaz al gupil demanda par quels engins* se defendera la u il erent entr
84 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 60 » pp. 35-35
omme portait ses mains à sa bouche et soufflait dessus. Le satyre lui demanda pourquoi il en usait ainsi. Il répondit qu’il se
ceaux, les approchait de sa bouche et soufflait dessus. Le satyre lui demanda de nouveau pourquoi il agissait ainsi. Il répondi
85 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 75 » pp. 48-48
chauve-souris entendit de loin sa voix, et, s’approchant de lui, lui demanda pour quelle raison il se taisait le jour et chant
86 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 299 » p. 239
rivé aux portes de la ville, il aperçut un boiteux qui sortait et lui demanda qui il était et où il allait. Celui-ci ayant répo
87 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVI. Du Satyre, et du Voyageur. »
u feu. Mais ayant pris garde qu’il soufloit dans ses mains, il luy en demanda la cause : A quoy le Voyageur respondist, qu’il l
88 (1180) Fables « Marie de France, n° 16. Le lion et la souris » p. 150
ceo esteit quë ja el bois aveit esveillé. Quant ele le vit si enginné demanda li qu’il ad la quis. Cil respunt quë il esteit pr
89 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 328 » pp. 224-224
anglier, posté près d’un arbre, aiguisait ses défenses. Un renard lui demanda pour quelle raison, quand ni chasseur ni danger n
90 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Partement d’Esope, et son arrivée en Lydie. Chapitre XXIV. »
« ô Esope ce n’est pas moy qui te donne la vie, mais bien le destin. Demande moy donc ce que tu voudras, et je te l’accorderay
91 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — FABLE I. Le Lion amoureux. » p. 140
age En passant par un certain pré, Rencontra Bergere à son gré. Il la demande en mariage. Le pere auroit fort souhaité Quelque
92 (1180) Fables « Marie de France, n° 34. Le roi des singes » p. 569
singes sunt mut bien apelé. Li leaus hum les esguarda ; l’emperere li demanda quei lui semblot de sa meisnee si ele esteit bele
93 (1180) Fables « Marie de France, n° 45. Encore la femme et son amant » p. 
ez, e cil returne tut iriez. Sa femme leidist e blasma ; e la dame li demanda pur quei parlast issi vers li ; e ses baruns li r
94 (1180) Fables « Marie de France, n° 47. Le paysan et son cheval » p. 653
é qui le destre oil aveit perdu ; ensemble od eus l’unt retenu, si li demandent sun avis que del cheval die le pris. Il lur respu
95 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 49 » pp. 95-95
xte spécieux. Quand, après quelques jours, elle fut de retour, il lui demanda comment les gens de sa maison l’avaient reçue. « 
96 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 330 » pp. 215-215
perdrix, pressées par la soif, vinrent trouver un laboureur, pour lui demander à boire, promettant, en échange d’un peu d’eau, d
97 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 356 » pp. 244-244
e mit à caqueter d’une manière plaisante. Une chatte, l’ayant vu, lui demanda qui il était et d’où il venait. Il répondit : « L
98 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Invention d’Esope, pour faire retourner sa Maistresse avec Xanthus. Chapitre XIII. »
venu de bonne fortune, qu’il rencontra un des valets du logis, il luy demanda s’il n’y avoit point là dedans quelque chose de b
99 (1180) Fables « Marie de France, n° 37. Le lion et le paysan » p. 284
s l’ot, sil mercia, mut par li en ad dit bon gré. Li liuns li ad dunc demandé si lui semblot cum einz ot fet. Dit li vileins :
100 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 30 » pp. 24-24
ard, qui passait par là, entendit ses plaintes et s’approchant lui en demanda la cause. Quand il sut ce qui était arrivé : « Eh
/ 158