nstitution du texte égaré ; Le troisième, à celles qui, indirectement
dérivées
de la source originaire, s’en écartent trop pour
ntes au point de vue philologique, contiennent les fables directement
dérivées
du texte primitif et celles presque littéralement
lus conforme au texte de Phèdre. Comme beaucoup de celles qui en sont
dérivées
, elle a été un plagiat commis au moyen âge par un
vec Tross que les fables du manuscrit de Wissembourg sont bien toutes
dérivées
de Phèdre. Une autre vérité incontestable, dont j
ue sa source : il a disparu, et c’est en m’aidant surtout du texte du
dérivé
qui dans cet ouvrage portera le nom de Romulus or
de Romulus, lui fut maintenu dans les diverses collections de fables
dérivées
de celle de Nilant. Nous verrons plus loin que le
plus importante sera étudiée dans cet ouvrage sous la dénomination de
Dérivé
complet. En tête de ce Dérivé figure un prologue
ans cet ouvrage sous la dénomination de Dérivé complet. En tête de ce
Dérivé
figure un prologue dans lequel on peut lire ce qu
t de la fin du xiie siècle ou du commencement du xiiie contenant un
dérivé
dont le texte s’éloigne peu de celui du Romulus p
inventé par un compilateur inconnu. Son œuvre, ou plutôt celle qui en
dériva
la première, eut un tel succès qu’elle fit oublie
, comme celles des manuscrits de Leyde et de Wissembourg, ne sont pas
dérivées
soit du type primitif, soit de la collection pres
s trois livres, avec l’indication de celles de Phèdre dont elles sont
dérivées
: Romulus. Phèdre. I, 1. Le Coq et la Per
de l’annoncer, avoir recours à celui de son plus connu et plus proche
dérivé
, c’est-à-dire à celui du Romulus ordinaire, et ce
à des corrections fort nombreuses, faites tantôt à l’aide d’un texte
dérivé
du Romulus primitif, tantôt sans le secours d’auc
f ayant disparu, on est obligé d’en remplacer le texte par celui d’un
dérivé
qui, quoique s’en éloignant fort peu, ne lui est
embourg et celles du Romulus primitif soient, les unes et les autres,
dérivées
de l’Æsopus ad Rufum, je crois pour ma part l’avo
premières années du xie siècle. Livre III. Étude sur les fables
dérivées
du Romulus primitif et sur les manuscrits qui les
deux premiers, je l’ai divisé en cinq parties affectées chacune à un
dérivé
spécial et à ses sous-dérivés, et, pour qu’on sac
t du Taureau et du Veau. Mais, à raison de l’importance de ce premier
dérivé
, je vais ici dresser explicitement la liste de ce
tel qu’il a été composé à l’origine ; il en conclut que c’est bien un
dérivé
direct ; autrement, dit-il, on ne le retrouverait
ombreuses variantes qu’il présente, doit être considéré, non comme un
dérivé
, mais comme un exemplaire plus ou moins pur du te
e pour n’en être pas une simple copie et pour constituer un véritable
dérivé
, elles l’ont suivi d’aussi près que les autres co
pas donner à l’examen de ceux que je signalerai des proportions qu’un
dérivé
partiel ne comporterait pas, je n’entreprendrai p
anciennes que le manuscrit qui les renferme, elles ne peuvent être un
dérivé
direct du Romulus primitif, qui à l’époque de leu
nsi que je l’établirai plus loin, est, comme le Romulus ordinaire, un
dérivé
direct du Romulus primitif. Pour sortir d’embarra
dépendantes et voir dans la première, ainsi séparée de la seconde, un
dérivé
uniquement tiré du Romulus ordinaire, et dans la
uniquement tiré du Romulus ordinaire, et dans la seconde elle-même un
dérivé
mixte, issu d’éléments variés. Mais, en m’astreig
nsidérer les quarante fables comme formant dans leur ensemble un seul
dérivé
mixte et comme ne comportant qu’une seule analyse
qui a été leur source : c’est bien du Romulus ordinaire qu’elles sont
dérivées
; car, si de temps en temps elles s’en éloignent
du Romulus mixte de Berne. La fable xxviii correspond à la sixième du
Dérivé
partiel du Romulus anglo-latin et à la cinquantiè
ième du Dérivé partiel du Romulus anglo-latin et à la cinquantième du
Dérivé
complet de ce Romulus, et la fable xxxi a sa corr
le xxxi a sa correspondante dans la cent vingt-neuvième de ce dernier
Dérivé
. Les deux réunies sous le nº xxxv ont leurs simil
placées sous le nº xxiii, et la seconde seule, dans les fables xxi du
Dérivé
partiel du Romulus anglo-latin et lix du Dérivé c
ans les fables xxi du Dérivé partiel du Romulus anglo-latin et lix du
Dérivé
complet de ce Romulus. Enfin les fables xxxviii e
ion. Comme le Romulus d’Oxford que j’ai décrit plus haut398, c’est un
dérivé
latin en prose qui est en même temps un abrégé ;
; car cet abrégé présente en même temps d’évidentes affinités avec le
dérivé
complet du Romulus anglo-latin, avec le Romulus d
élation avec leurs principales sources : Romulus ordinaire.
Dérivé
complet du Romulus anglo-latin. Eude 399.
deviennent, pour ainsi dire, autant de créations nouvelles. Ensuite,
dérivées
en partie du Romulus de Munich, elles permettent,
c’était de découvrir, parmi les collections de fables en prose latine
dérivées
de celle qui avait été la première affublée du ps
parlé dans ma Dissertation sur Romulus, c’est-à-dire de la Préface du
Dérivé
complet du Romulus anglo-latin. De ce début il ré
ment pèche par la base ; car les fables 59 et 60 ne sont pas non plus
dérivées
de Romulus, et cependant, personne ne le conteste
nº 87. Il renferme 59 fables élégiaques, mêlées à celles d’un Romulus
dérivé
de celui de Vienne. On en trouvera plus loin l’an
origine et qui montre que, suivant l’opinion adoptée, elles sont bien
dérivées
du Romulus ordinaire. Elles ne comprennent que 60
commencement du commentaire était la copie littérale de la préface du
Dérivé
complet du Romulus anglo-latin dont on trouvera l
du Romulus ordinaire, démontre une fois de plus qu’elles en sont bien
dérivées
. L’édition se termine par cette souscription qui
de la plupart des petites éditions d’écolier, la copie du prologue du
dérivé
complet du Romulus anglo-latin. Fol. 2 a (a iiª)
no Dn̄i. MDXXXII. mense nouēbri. Section VIII. Fables en prose
dérivées
des fables en vers de Walther. § 1. — Examen
i me semblait être le Romulus primitif n’en est plus, pour moi, qu’un
dérivé
plus rapproché que ses congénères, dois-je persis
vé plus rapproché que ses congénères, dois-je persister à faire de ce
dérivé
la source de l’autre ? Telle est la question à ré
e, et aujourd’hui je n’hésite pas à voir dans le Romulus de Vienne un
dérivé
issu, non du Romulus Burnéien, mais, comme le Rom
; de sorte qu’en définitive, si la collection de Vienne n’est pas un
dérivé
du Romulus ordinaire, elle constitue une œuvre qu
Chapitre II. Dérivés du Romulus de Vienne. Section I. Premier
dérivé
. § 1er. — Examen du premier dérivé. J
enne. Section I. Premier dérivé. § 1er. — Examen du premier
dérivé
. J’ai dit que l’existence du Romulus de Vi
ulus de Vienne, on doit regarder le manuscrit 901 comme n’étant qu’un
dérivé
de ce Romulus, et cela pour deux raisons, d’abord
s simple interversion, il y a transformation. La copie est devenue un
dérivé
. Mais passons à la moralité : Rom. de Vienne 30
e découle. La seconde, en affectant la forme d’un hexamètre, donne au
Dérivé
contenu dans le manuscrit 901 une nuance poétique
anuscrit qu’une analyse sommaire. Il renferme les cinquante fables du
dérivé
viennois du Romulus de Vienne qui commencent sans
ble emploi, d’en donner ici la nomenclature. Section II. Deuxième
dérivé
. § 1er. — Examen du deuxième dérivé.
re. Section II. Deuxième dérivé. § 1er. — Examen du deuxième
dérivé
. Ayant fait de la collection contenue dans
Ayant fait de la collection contenue dans le manuscrit 901 un
dérivé
du Romulus de Vienne, je dois logiquement attribu
auvaise du Romulus de Vienne, celui de Berlin ne peut plus être qu’un
dérivé
. J’ai le regret d’ajouter que c’est un dérivé trè
ne peut plus être qu’un dérivé. J’ai le regret d’ajouter que c’est un
dérivé
très défectueux, car il pullule de phrases et de
lle source il émane. J’ai affirmé et il m’a été aisé d’établir que le
dérivé
du manuscrit de Vienne 901 était issu, non du man
pur et plus ancien. Il est très vraisemblable qu’il en est de même du
dérivé
du manuscrit de Berlin 87. En effet, les deux tex
ient être le résultat de changements faits, pour la composition de ce
dérivé
, au texte du manuscrit de Vienne 303 pris pour ba
Berlin in-8º 87. Le manuscrit contenant les fables du deuxième
dérivé
du Romulus de Vienne figure dans la Bibliothèque
e de Névelet, dont chacune est précédée de la fable correspondante du
dérivé
du Romulus de Vienne. Les fables de ce dérivé son
fable correspondante du dérivé du Romulus de Vienne. Les fables de ce
dérivé
sont au nombre de 60. Mais 56 seulement sont suiv
, ces variantes avaient-elles assez altéré le modèle pour en faire un
Dérivé
? Enfin, fallait-il aller plus loin et voir dans
allait-il aller plus loin et voir dans le texte de la Laurentienne un
Dérivé
, issu, non du Romulus ordinaire, mais du Romulus
s expressions qui leur sont communes et que Phèdre n’a pas employées,
dérivent
directement d’un auteur commun, qui, n’étant pas
urront se demander si j’ai eu raison de faire du Romulus de Nilant un
dérivé
du Romulus primitif et prétendre que c’est du Rom
été question aux pages 294 et 478 et à laquelle j’ai donné le nom de
Dérivé
complet, le roi ne serait plus l’auteur de la tra
est difficile, après les avoir lus, de les rapprocher du prologue du
Dérivé
de cent trente-six fables et de l’épilogue de Mar
ue du Romulus sur lequel a été faite la version anglaise est sorti le
Dérivé
latin de cent trente-six fables que j’ai publié.
empruntées aux trois livres du Romulus primitif, tandis que, dans le
dérivé
, sur 136 on en trouve 79 qui ont cette origine. E
celles du Romulus de Nilant, avec cette seule différence que dans le
Dérivé
ont été omises deux de celles de ce Romulus, cell
nt. Ensuite, du nº 76 au nº 88, les fables qui, au contraire, en sont
dérivées
, reparaissent et se complètent dans un ordre iden
reléguées après celles de ce dernier. Enfin, du nº 113 au nº 136, le
Dérivé
se termine par vingt-quatre autres fables que les
mulus, intitulée : La Statue d’Esope , a été également omise dans le
Dérivé
complet, cette fable n’en est pas une et n’est qu
ce sujet de fable n’y est traité qu’une fois. Dans les manuscrits du
Dérivé
de 136 fables, on le trouve deux fois, d’abord av
nier qui ne renferme qu’une partie de son contenu en fût au contraire
dérivé
. Il faudrait, pour formuler une pareille objectio
e pareille objection, ne connaître ni le texte de Nilant, ni celui du
Dérivé
de cent trente-six fables. Aussi ne suis-je pas b
a réfutation se fera d’elle-même. On verra alors que ce Romulus et le
Dérivé
de 136 fables offrent des expressions qui leur so
onc un premier total de 49 fables. Que faut-il y ajouter ? Ce sont le
Dérivé
de 136 fables et la traduction de Marie de France
ont nous l’apprendre. J’ai fait connaître les divers éléments dont le
Dérivé
était formé. Parmi eux, il en est un dont Marie n
e Marie comprend, presque dans leur intégrité, les autres éléments du
Dérivé
. Ce qui semble en ressortir, c’est que le Romulus
s dont il vient d’être question, toutes celles qu’on retrouve dans le
Dérivé
et même une de plus ; car ce dernier n’a pas cons
une fable, celle des Oiseaux élisant un roi, qui n’existe pas dans le
Dérivé
, et qui, n’ayant certainement pas été ajoutée par
atif : j’ignore si c’est, ou non, une addition qui, due à l’auteur du
Dérivé
de 136 fables, n’avait pas été trouvée par lui da
ois dernières fables, la place qui leur a été donnée tout à la fin du
Dérivé
et les sujets même qu’elles traitent, me portent
raitent, me portent au contraire à y voir une addition de l’auteur du
Dérivé
. En résumé, le parti le plus sage dans l’incertit
partiel et complet du Romulus anglo-latin. Traduction de Marie.
Dérivé
partiel. Dérivé complet. 1. Le Coq et la Per
t du Romulus anglo-latin. Traduction de Marie. Dérivé partiel.
Dérivé
complet. 1. Le Coq et la Perle. 1. 2. Le Lo
admettre que la collection latine de 136 fables n’est elle-même qu’un
dérivé
, d’une part notablement augmenté, d’autre part lé
manuscrit est de la première moitié du xve siècle. Section IV.
Dérivé
partiel du Romulus anglo-latin. § 1er. — Exa
on IV. Dérivé partiel du Romulus anglo-latin. § 1er. — Examen du
Dérivé
partiel. En 1825, pendant qu’il s’occupait
xte du Romulus anglo-latin, il en était, non pas un fragment, mais un
dérivé
partiel, dénomination qu’il convient de lui donne
nstitut pour voir dans ce dernier texte, non pas un fragment, mais un
dérivé
partiel du Romulus anglo-latin, en revanche il ne
l’heure je justifierai ma thèse. Auparavant je désire établir que le
Dérivé
partiel n’est pas un simple fragment d’une imitat
berti n’était qu’un fragment, le classement des fables serait dans le
dérivé
le même que dans le modèle. Or, il ne paraît pas
x sur toutes, on acquiert la conviction que le Romulus Roberti est un
dérivé
mixte dont les fables découlent de deux sources,
rt de ce fait que, comme dans la traduction de Marie et comme dans le
Dérivé
complet, l’Abeille a été substituée à la Fourmi.
ivé complet, l’Abeille a été substituée à la Fourmi. Mais est-ce à ce
Dérivé
ou au Romulus anglo-latin lui-même qu’elle doit s
u’une façon de résoudre la question, c’est de voir lequel du texte du
Dérivé
complet et du texte du Romulus Roberti se rapproc
dans les trois textes : Romulus primitif : In capite regis sedeo.
Dérivé
complet : Juxta regem sedeo, vel, si magis voluer
. Le Romulus Roberti est donc plus voisin du Romulus primitif que le
Dérivé
complet qui dès lors ne peut lui avoir donné nais
seum de fenestra rapuisse fertur et cum eo conscendit altam arborem.
Dérivé
complet : Corvus perfidie pinguem caseum in villa
ti reproduire les expressions du Romulus de Nilant abandonnées par le
Dérivé
complet. Il n’est donc pas douteux que c’est, non
le Dérivé complet. Il n’est donc pas douteux que c’est, non pas de ce
Dérivé
, mais du Romulus anglo-latin qu’il descend. On pe
ans le Romulus Roberti, des expressions qui lui sont communes avec le
Dérivé
complet et qui ne se trouvent pas dans le Romulus
ortent les mots in quercu resedit étrangers à ce Romulus. Si, dans le
Dérivé
complet et dans le Romulus Roberti se rencontrent
illius Simii ; sed pro fide datâ et verecundia facere non ausus sum.
Dérivé
complet : Tum confessus est desiderium se habere
geret jusjurandum. Comme dans le Romulus de Nilant, le Loup, dans le
Dérivé
complet, dit qu’il n’oserait pas violer son serme
« Nullum cibum mihi », dit celui-là. Or, ces mots ne sont pas dans le
Dérivé
complet. De ce double rapprochement ne doit-on pa
us de Robert s’est tenu plus près du Romulus anglo-latin que celui du
Dérivé
complet. Ainsi, comme la version de Marie, le tex
ge, mis en scène un Chevreuil et les Barons du roi des animaux que le
Dérivé
complet ne fait pas intervenir. En ce qui touche
n’a plus de texte latin qui permette de savoir si elles sont nées du
Dérivé
complet ou si au contraire ce dernier en est issu
e ce dernier en est issu, ou si enfin les fables des deux collections
dérivent
d’un auteur commun qui serait le Romulus anglo-la
, c’est-à-dire pour la fable du Bœuf et du Loup. Dans cette fable, le
Dérivé
complet place en présence l’un de l’autre un Loup
duire que non seulement le Romulus Roberti n’est pas une imitation du
Dérivé
complet, mais qu’il est même plus conforme que lu
veut du Romulus ordinaire, les fables du Romulus Roberti sont toutes
dérivées
du Romulus anglo-latin dont elles s’étaient moins
Romulus anglo-latin dont elles s’étaient moins écartées que celles du
Dérivé
complet. J’ajoute, en terminant, qu’on doit maint
il faut s’en rapporter à l’âge des deux manuscrits qui renferment le
Dérivé
partiel, et, comme ils sont l’un et l’autre du xi
e Lion qui abdique et le Loup. III, 22. 37. § 2. — Manuscrits du
Dérivé
partiel. Ainsi que je l’ai dit, le texte d
nuscrits du Dérivé partiel. Ainsi que je l’ai dit, le texte du
Dérivé
partiel du Romulus anglo-latin n’existe que dans
dépourvues également de titres particuliers, les vingt-deux fables du
Dérivé
partiel du Romulus anglo-latin, qui se terminent
rsque, dans le volume que je consacrerai à Avianus, je m’occuperai du
dérivé
en prose latine intitulé Apologi Aviani, j’aurai
Puis commencent, sans intervalle apparent, les vingt-deux fables du
Dérivé
du Romulus anglo-latin, qui, au bas de la premièr
mots qu’il n’était pas capable de déchiffrer. § 3. — Éditions du
Dérivé
partiel. La première édition des vingt-deu
u Dérivé partiel. La première édition des vingt-deux fables du
Dérivé
du Romulus anglo-latin est due à M. Robert, qui,
st pas à une besogne superflue que je me serai adonné. Section V.
Dérivé
complet du Romulus anglo-latin. § 1. — Exame
ction V. Dérivé complet du Romulus anglo-latin. § 1. — Examen du
Dérivé
complet. Le dérivé latin, auquel maintenan
Romulus anglo-latin. § 1. — Examen du Dérivé complet. Le
dérivé
latin, auquel maintenant je passe, comprend un pr
u qui indiquera leur corrélation avec celles du Romulus primitif :
Dérivé
complet. Romulus primitif. 1. Le Coq et la P
de procéder était beaucoup trop sommaire. En effet, les fables, qui,
dérivées
du Romulus anglo-latin, étaient par le fond commu
recentis rapiens adsportavit, et ad nemus veniens in quercu resedit.
Dérivé
complet du Romulus anglo-latin. Corvus perfidie p
et ei comparabilis ulla avis, si vocis venustas responderet corpori.
Dérivé
complet du Romulus anglo-latin. In tota vita mea
tanto sit ornata decore. Par ces rapprochements, on voit combien le
dérivé
partiellement publié par M. Oesterley diffère non
ui-même, que Marie avait fait sa version française539. Le prologue du
dérivé
que M. Oesterley avait sous les yeux, aurait dû l
nce une autre opinion que M. Gaston Paris a formulée sur l’origine du
Dérivé
complet et qui est en contradiction flagrante ave
n contradiction flagrante avec les textes eux-mêmes : il a vu dans ce
dérivé
, non pas une imitation du Romulus anglo-latin, ma
x que le sien, c’est la teneur du préambule, qui, figurant en tête du
Dérivé
de 136 fables, y remplace la dédicace de Romulus
nguam eum transferri præcepit. Ce que démontre ce texte, c’est que le
Dérivé
de 136 fables, puisqu’il y est question de la ver
e que la comparaison des textes rend infranchissable. En effet, si le
Dérivé
de 136 fables était la traduction latine de la ve
e ce Romulus est lui-même issu du Romulus de Nilant, ce dernier et le
Dérivé
complet seraient à plus forte raison dissemblable
. Or, c’est le contraire qui éclate aux yeux. Sans doute, le texte du
Dérivé
de 136 fables s’éloigne du Romulus primitif beauc
beaucoup plus que celui du Romulus de Nilant ; mais ce dernier et le
Dérivé
ont entre eux une parenté frappante établie par d
mminebat non perviderent, fabulæ ferunt Yrundinem hoc intellexisse.
Dérivé
. Dum primo lina seminari videret hyrundo, futurum
rès sensibles les expressions du Romulus primitif, tandis que dans le
Dérivé
on n’en rencontre que trois d’ailleurs assez modi
e un verbe, mais à la troisième personne du pluriel. D’autre part, le
Dérivé
possède une expression qui n’existe pas dans le R
ation évidente. Non seulement il y a entre le Romulus de Nilant et le
Dérivé
de 136 fables une parenté palpable, mais encore j
iis viribus facere valet, et tamen alios inanibus verbis comminatur.
Dérivé
complet. Hæc fabula monet illos derideri, qui, cu
ne position intermédiaire entre celui du Romulus primitif et celui du
Dérivé
complet. Je vais le démontrer par quelques citati
sse fertur : Si te non nossem quis esses, posset me terrere vox tua.
Dérivé
complet. Veni mecum in proximum montem, et ostend
ant d’une part se rapprocher du Romulus primitif beaucoup plus que le
Dérivé
complet, et d’autre part offrir des expressions q
ssions qui, étrangères au Romulus primitif, lui sont communes avec ce
Dérivé
. Maintenant, sans prétendre expliquer comment dan
térieure au xive siècle, substitué, en l’altérant, à l’épimythion du
Dérivé
celui du Romulus primitif qui ensuite aura été ma
ieurs. En résumé, deux choses sont bien démontrées, à savoir : que le
Dérivé
complet ne doit pas être confondu avec le Romulus
n’était peut-être pas bien nécessaire, établi qu’il n’était pas né du
Dérivé
complet, mais encore j’ai, ce qui était peut-être
le père. Allant maintenant plus loin, je crois pouvoir ajouter que le
Dérivé
complet, quoique moins conforme au Romulus anglo-
t ou peut porter à croire que le Romulus Roberti est le frère aîné du
Dérivé
complet, c’est que, comme on l’a vu, son texte es
s anglo-latin n’avait pas encore disparu. Quelque chose montre que le
Dérivé
partiel ne doit pas être de beaucoup antérieur au
nt. Tandis que, dans la fable du Lion malade, telle que la possède le
Dérivé
complet, le Loup et le Renard sont appelés Lupus
anciennes ont au contraire été maintenues543. § 2. — Manuscrits du
Dérivé
complet. Les seuls manuscrits du Dérivé co
§ 2. — Manuscrits du Dérivé complet. Les seuls manuscrits du
Dérivé
complet que j’aie pu découvrir sont les sept suiv
rd parce que c’est le plus ancien, ensuite parce que la collection du
Dérivé
complet du Romulus anglo-latin s’y trouve entière
virgo assimilatur Soli et Lune et stellis. Item quedam miracula. Le
Dérivé
complet, qui esi le premier ouvrage contenu dans
encore plus mal enluminé par le copiste. À la suite des 136 fables du
Dérivé
complet vient sans interruption la version en pro
episcopum Tusculanum. 6º [Sermo.] 7º Clemens quintus. Les fables du
Dérivé
complet occupent les cinquante-quatre premiers fe
trente et unième intitulée : De Sene et eius Filio. Les fables du
Dérivé
sont, comme dans le manuscrit 1108, suivies de se
sont, comme dans le manuscrit 1108, suivies de seize autres en prose
dérivées
d’Avianus et de l’épimythion d’une dix-septième é
ère à ce fabuliste. Par erreur, les deux premières de celles qui sont
dérivées
d’Avianus ont été placées avant les trois dernièr
sont dérivées d’Avianus ont été placées avant les trois dernières du
Dérivé
complet. Pour quiconque a pu les voir, les deux m
re partie du manuscrit est occupée par deux collections de fables, le
Dérivé
complet du Romulus anglo-latin et le Dérivé d’Avi
collections de fables, le Dérivé complet du Romulus anglo-latin et le
Dérivé
d’Avianus en prose latine qui en est le complémen
osus studiose collegit. Puis vient, au haut de la page suivante, le
Dérivé
d’Avianus sans titre général, mais avec des titre
sont les fables i à xvi, xxi à xl et xlv. Trois des huit autres sont
dérivées
de celles de Walther. Le tout est clos par cette
remière moitié du xve siècle. Il renferme, entre autres ouvrages, le
Dérivé
complet du Romulus anglo-latin, qui s’étend du fe
t 37 sont occupés tout entiers par deux tables des matières, celle du
Dérivé
complet et celle des fables en prose tirées d’Avi
um fabularum Auiani. À la suite des deux tables viennent les fables
dérivées
du Romulus anglo-latin, dont le prologue annoncé
ngeniosus studiose collegit. Immédiatement après viennent les fables
dérivées
d’Avianus. Seulement, au lieu de n’en présenter q
140 qui, à la Bibliothèque de l’Université de Göttingen, renferme le
Dérivé
complet du Romulus anglo-latin ; il se trouve éga
llet 123 a au feuillet 126 a, une bonne partie de ces fables en prose
dérivées
d’Avianus qui, dans les manuscrits, viennent ordi
vianus qui, dans les manuscrits, viennent ordinairement à la suite du
Dérivé
complet du Romulus anglo-latin, enfin du feuillet
fin du feuillet 127 b au feuillet 145 a, les fables elles-mêmes de ce
Dérivé
. Ces dernières paraissent avoir été copiées sur u
seul titre général : Psalterium cum glosis et tractatus varii. Le
Dérivé
complet du Romulus anglo-latin qu’il contient com
Bibliothèque du British Museum. Au British Museum la collection du
Dérivé
complet du Romulus anglo-latin est contenue dans
les mêmes que les quarante-neuf premières des manuscrits complets du
Dérivé
. Il en est autrement des sept dernières ; en effe
en effet, par les sujets elles correspondent bien toutes à celles du
Dérivé
; mais par la forme, elles en diffèrent. En voici
forme, elles en diffèrent. En voici les titres : Ms. 15. A. VII.
Dérivé
complet. Romulus primitif. 50. La Femme et s
ent un texte, qui, malgré la similitude des sujets, n’est ni celui du
Dérivé
complet, ni celui du Romulus primitif, mais qui p
ierai dans le second volume de cet ouvrage. § 3. — Traductions du
Dérivé
complet. 1º Traduction de Gérard de Minden.
à son tour en bas-allemand une traduction poétique des fables latines
dérivées
du Romulus anglo-latin. Cette traduction existe d
114 fables, c’est-à-dire un nombre sensiblement inférieur à celui du
Dérivé
complet, et que par suite ce Dérivé contenait bie
sensiblement inférieur à celui du Dérivé complet, et que par suite ce
Dérivé
contenait bien des fables étrangères au Romulus d
es au Romulus anglo-latin et qui au contraire appartiennent toutes au
Dérivé
complet. En voici la liste : Gérard de Minden
toutes au Dérivé complet. En voici la liste : Gérard de Minden.
Dérivé
complet. 1. Le Lion et le Berger. 23. 25. 2.
e sur la collection latine, à laquelle j’ai donné la qualification de
Dérivé
complet, et sur ce point je suis d’accord avec M.
’aurait pas procédé ainsi, si elle avait composé sa traduction sur le
Dérivé
complet ; car alors, trouvant dans le prologue de
on sur le Dérivé complet ; car alors, trouvant dans le prologue de ce
Dérivé
l’indication de la version anglaise, c’est aussi
rlé. Elle aurait fait comme le poète allemand, qui, voyant en tête du
Dérivé
complet le prologue qui le précède, l’a littérale
le précède, l’a littéralement traduit. En effet, dans le prologue du
Dérivé
complet on lit : « Liber… iste primo grece conscr
: il a été imité, et, tandis qu’il restait oublié en Angleterre, son
Dérivé
complet accueilli avec plus de faveur s’est répan
Gérard de Minden, qui, rencontrant en Allemagne un des manuscrits du
Dérivé
latin, en a fait au xive siècle en bas-allemand
nd poète avait, comme lui, traduit en bas-allemand les fables latines
dérivées
du Romulus de Marie. Cette seconde version, proba
autres. Toutes ces dernières sans exception se rapportent à celles du
Dérivé
complet ; il y en a même deux qui sont la traduct
nt perdues, il est vraisemblable qu’elles étaient également tirées du
Dérivé
complet, et, comme, ainsi qu’on s’en souvient, il
possédaient pas plus de treize, qui auraient été les suivantes :
Dérivé
complet. 1. La Vache, la Chèvre, le Bélier et
r, indirectement sans doute, mais avec facilité, de quelles fables du
Dérivé
complet celles du poète allemand sont la traducti
poétiques dont l’examen va faire l’objet de ce chapitre. Section I.
Dérivé
hexamétrique. § 1er. — Examen du Dérivé hexa
e chapitre. Section I. Dérivé hexamétrique. § 1er. — Examen du
Dérivé
hexamétrique. C’est ici pour la première f
es de ce Romulus, la nomenclature de celles dont elle se compose :
Dérivé
hexamétrique. Romulus de Nilant. 1. Prologue
de la Cigale et de la Fourmi. Ces quarante-six fables sont-elles bien
dérivées
du Romulus de Nilant ? À cet égard, le doute ne m
ressort que ces deux sujets de fables sont également traités dans le
Dérivé
hexamétrique. Il suffirait d’ajouter que ce Dériv
nt traités dans le Dérivé hexamétrique. Il suffirait d’ajouter que ce
Dérivé
ne possède aucune fable étrangère au Romulus de N
je vais signaler, tant dans le prologue que dans l’une des fables du
Dérivé
hexamétrique, quelques particularités tout à fait
i adduxeris. Or, tout cela se retrouve dans les deux vers suivants du
Dérivé
hexamétrique : Cuique doli fallax respondens ess
pedi, insidias sibi tendens, ligavit. Si maintenant on se reporte au
Dérivé
hexamétrique, on y trouve ce qui suit : Sed muri
e Vienne, laisse au Lion son titre et son rôle de roi des animaux, le
Dérivé
hexamétrique a, comme les deux Dérivés en prose d
âmera pas, je l’espère, d’avoir fait de la collection hexamétrique un
dérivé
direct du Romulus de Nilant, dont peut-être elle
ilant, dont peut-être elle n’est qu’indirectement issue. L’origine du
Dérivé
hexamétrique étant ainsi fixée, il s’agit mainten
xiie . Il ne me reste plus qu’à examiner sommairement ce que vaut le
Dérivé
hexamétrique, tant au point de vue du style qu’à
un langage ampoulé qui l’outrepasse. Si M. E. du Méril avait connu ce
Dérivé
, il est probable que ce défaut l’aurait porté à y
je suis convaincu que, lorsqu’on saura à quel point les fables de ce
Dérivé
étaient peu dignes d’être transcrites sur le cahi
z précises pour qu’ils soient fixés sur l’absence totale de valeur du
Dérivé
hexamétrique, qui, à mon sens, n’a guère d’intérê
aux dictionnaires de Ducange et de Forcellini. § 2. — Manuscrit du
Dérivé
hexamétrique. Ce manuscrit, qui, dans la B
nt du haut du feuillet 1 a au milieu du feuillet 16 a, puis celles du
Dérivé
hexamétrique qui occupent le reste du volume. Si
rique qui occupent le reste du volume. Si peu intéressant que soit ce
Dérivé
, n’existant que dans ce manuscrit, il le rend par
s ce manuscrit, il le rend particulièrement précieux. Section II.
Dérivé
en vers rythmiques. § 1. — Examen du Dérivé.
eux. Section II. Dérivé en vers rythmiques. § 1. — Examen du
Dérivé
. Le Dérivé hexamétrique n’est pas la seule
I. Dérivé en vers rythmiques. § 1. — Examen du Dérivé. Le
Dérivé
hexamétrique n’est pas la seule collection poétiq
nouvelle que ce dernier a seul pu lui fournir, a été traduite dans le
Dérivé
en vers rythmiques. Il est vrai que, dans la fabl
rs rythmiques. Il est vrai que, dans la fable xxiii du Livre II de ce
Dérivé
, les personnages parmi lesquels figurent le Lion
les trois collections du Romulus primitif, du Romulus de Nilant et du
Dérivé
rythmique. La Grenouille et le Rat. Romulus p
t auxilium. Romulus de Nilant. Auxilium a Rana simpliciter petivit.
Dérivé
rythmique. A Rana simpliciter juvamen petebat.
rimitif. Néant. Romulus de Nilant. Cui Rana callide respondens ait.
Dérivé
rythmique. Rana dolo callida Muri respondebat.
firmiter necnon et suo proprio pedi, insidias Muri tradens, ligavit.
Dérivé
rythmique. Muris collum proprio pedi connectebat.
vendita, morte periit, cujus carnem tres falsi testes partiti sunt.
Dérivé
rythmique. Vellere deposito, caro testibus esca p
mulus primitif. Néant. Romulus de Nilant. Mirum Cervum occiderunt.
Dérivé
rythmique. Miræ magnitudinis Cervum prendiderunt.
c fertur Lupum percuntasse a Bubalo qualiter Cervus partiri deberet.
Dérivé
rythmique. Tunc Lupus et Bubalus mutuo dixerunt q
Romulus de Nilant. Bubalus inquit in judicio senioris hoc constare.
Dérivé
rythmique. Tunc respondit Bubalus totum jus const
Néant. Romulus de Nilant. Mihi prima pars contingit, quia rex sum.
Dérivé
rythmique. Mihi prima portio debet venerari, quia
es exemples sont tout à fait démonstratifs ; car les uns font voir le
Dérivé
en vers rythmiques traduisant, aussi littéralemen
, dans les autres où les deux Romulus sont en discordance, on voit le
Dérivé
adopter les modifications introduites dans l’idée
rement la directe transformation. Quant aux trois dernières fables du
Dérivé
qui sont étrangères au Romulus de Nilant, le vers
la traduction de Marie, et par la fable 121 De Lupo et Nauta dans le
Dérivé
complet du Romulus anglo-latin d’où l’une et l’au
écis, j’osais risquer une hypothèse sur la nationalité de l’auteur du
Dérivé
rythmique, je dirais qu’il devait être Anglais. L
ndres et à Cambridge que sont conservés les deux seuls exemplaires du
Dérivé
, on doit trouver que ma supposition n’est pas inv
J’ai dit qu’à tort j’avais cru être le premier éditeur des fables du
Dérivé
rythmique. Par son compte-rendu de ma première éd
s de Phèdre omises dans le Romulus ordinaire, c’est parce qu’il était
dérivé
non de ce Romulus, mais du Romulus primitif, qui,
on est corroborée par la leçon du manuscrit de Wissembourg, également
dérivé
de l’Æsopus. La morale de la même fable y porte l