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1 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
our qui il avait une très vive affection, et à qui il donnait dans sa dédicace l’épithète la plus tendre et la plus flatteuse. I
cencieuses qu’un enfant ne peut lire. Aussi, comme cela résulte de la dédicace elle-même, Pirrho Perotti, quand son oncle songea
adolescentem suavissimum. D’autre part, il me paraît constant que la dédicace de Perotti à son neveu fut par lui composée sept
de M. Chambry. » La troisième édition, en 228 pages sans compter la dédicace à M. le baron de Pommereul et la préface qui en o
e pages numérotées en chiffres romains, contenant le frontispice, une dédicace et une préface. Au frontispice on lit : Julii Ph
s, savoir : 57 écrits et 17 blancs. Elle commence par un prologue, ou dédicace adressée par Niccolo Perotti à son neveu et surmo
FRATRIS FILIVM ADOLESCENTEM SVAVIS-SIMVM INCIPIT FOELI-CITER. Cette dédicace , dont j’ai déjà parlé et dont j’aurai encore à m’
s Mannus Veltrius de Viterbe, que suivent la table des matières et la dédicace poétique à Pirrho Perotti. Ensuite viennent les f
blié à Rome en 1831, le célèbre savant inséra l’épître à Veltrius, la dédicace au neveu de Perotti, les 32 fables nouvelles et l
ux fables ; on ne peut en douter ; car lui-même il le déclare dans sa dédicace à Théodose187. Or ces quarante-deux fables, au te
ouvert par d’Orville la preuve manifeste du plagiat. C’est surtout la dédicace à Pirrho Perotti, qui lui paraît la fournir. La d
l ne s’en inquiète pas. Il ne se préoccupe que des vers, qui, dans la dédicace , ont été empruntés aux prologues des livres III e
m favet Invidia mordax quam bonis præsentibus. Qu’on rapproche de la dédicace de Perotti les trois citations qui précèdent, et
r. Et si l’on songe que c’est vers la fin de sa vie qu’il a rédigé sa dédicace , on verra qu’alors il possédait encore le manuscr
ce n’est pas seulement sa fausse déclaration, et que c’est encore sa dédicace à Pirrho Perotti, qui sert de point d’appui à l’a
’appui à l’accusation dirigée contre lui. Il est vrai que, dans cette dédicace par lui composée à l’époque à laquelle il travail
ie, il a encore complètement pillé Phèdre. Mais c’est justement cette dédicace qui semble affirmer son innocence. La première ch
ne puis me résoudre à le croire. Et quant aux vers, qui complètent la dédicace et qu’il a empruntés à Phèdre, est-ce qu’il ne fa
ité. Si maintenant je voulais aller plus loin, et si, en dehors de la dédicace , je cherchais d’autres indices dans le texte du m
encore de ses qualités, elles doivent aussi lui appartenir253. 9º La dédicace de Perotti lui attribue d’ailleurs les fables nou
river à cette conclusion, il est obligé, oubliant les deux vers de la dédicace cités par lui-même au début de son opuscule, d’af
e différente. Mais il n’en est pas ainsi : le tout est mêlé. Après la dédicace à Pyrrhus, la première pièce de vers qu’on rencon
ue j’ai peut-être tenu un langage trop absolu. Car il est vrai que sa dédicace à son neveu est en vers ïambiques271 ; mais, comm
e complète de la composition du vers ïambique. J’ai déjà reproduit la dédicace à Pyrrhus ; j’y renvoie. Quant aux quinze vers qu
la preuve qu’il ne les composa que dix ans plus tard. Ainsi, dans la dédicace à son ami Jacob275, placée en tête de son traité
 feuillets non paginés contenant une gravure au verso du premier, une dédicace aux élèves du Séminaire et la table. Corpus omni
v b. — Romulus thiberino filio civitate atlica. Esopus, etc. C’est la dédicace de Romulus, qui occupe les six premières lignes d
romptæ, et adjectis notis editæ ab Joh. Frederico Nilant. Après une dédicace à un très généreux et très brillant comte et seig
titre de Fabule antiquæ, ensuite 45 fables de Romulus précédées de la dédicace à Tiberinus, enfin, pour les compléter, quinze au
i. Le plus ancien était le texte du Romulus de Nilant, dans lequel la dédicace placée en tête des fables commence par ces mots :
rd’hui la cote Vossianus latinus in-8º 46, il avait lu, en tête de la dédicace à Tiberinus, cette phrase qui l’avait un peu ébra
oduit sa traduction latine. Si votre domination accepte volontiers la dédicace de sa vie, elle justifiera ce que le roi des Pers
é de Romulus et l’époque de sa vie. Sur la nationalité de Romulus, sa dédicace à son fils avait été pour les savants le principa
le plus ancien de ceux contenant les fables du Romulus ordinaire, la dédicace commence ainsi : Romulus Tyberino filio. De civit
de greco in latinum ad Tyberium filium suum de civitate Attica, et la dédicace commence par ces mots : Romulus filio suo Tyberio
se détaillée. Au verso du quatrième feuillet se trouvait notamment la dédicace de Romulus à son fils. Nilant, en homme judicieux
ns cette pensée, il ne leur avait pas donné pour préambule la fameuse dédicace , il n’en avait pas moins eu soin de la publier en
Pertz, qui lui avait assigné le xe  siècle. Or si, à cette époque, la dédicace existait, il en était évidemment de même des fabl
mitif. Quoi qu’il en soit, la collection était précédée de la fameuse dédicace à Tiberinus. En ayant déjà cité des extraits, aya
fabuliste, au moins de divers auteurs grecs. Il est vrai que, dans la dédicace à Tiberinus, on lit cette phrase qui semble lui d
it pu s’apercevoir qu’elle était aussi fantaisiste que le reste de la dédicace , et, s’il voulait la prendre au sérieux, il aurai
lus primitif. D’abord, dans les unes comme dans les autres, figure la dédicace à Rufus. Ce premier point a son importance. Mais
re partie en tête de l’Épilogue, en a fait entrer la seconde dans une dédicace fictive et s’est efforcé de donner à l’œuvre par
ms les plus connus de l’histoire et de la géographie romaines dans sa dédicace qu’il n’avait pas même eu le mérite de puiser dan
fables dans le même ordre, qu’il les aurait fait précéder de la même dédicace ou ne les aurait fait précéder d’aucune, enfin qu
mulus, dans laquelle, quoiqu’il eût été rationnel de la supprimer, la dédicace à Rufus a été seulement altérée320. Le doute à c
erreur, c’est que le codex Vossianus latinus in-8º, 15, contenait la dédicace à Tiberinus, et que Nilant l’avait publiée lui-mê
er à l’analyse que j’ai donnée du fameux manuscrit. On y verra que la dédicace occupe le verso du fol. 4, tandis que les fables,
mulus ordinaire, qu’il portait en tête, sans modification notable, la dédicace à Tibérinus, que les mots Memoriam tibi tradam fo
ne et ceteris auibus. xx.   À la suite de cette table se trouve la dédicace de Romulus ainsi conçue (fol. 61 b) : Incipit p
pposita loca que tibi moueant risum et acuant satis ingenium. Cette dédicace est suivie d’abord d’une traduction allemande, pu
ns les éditions primitives. En somme, les manuscrits, non comprise la dédicace de Romulus, se composent au total de quatre-vingt
en vers élégiaques, suivi d’une gravure commune à ce prologue et à la dédicace à Tiberinus qui vient ensuite et qui commence par
que les gravures sont au nombre de 80, non comprise celle qui orne la dédicace de Romulus à son fils. Fol. 38b (e.vib). Fin du l
évelet. Au-dessous est une gravure sur bois qui elle-même surmonte la dédicace de Romulus à son fils. Cette dédicace commence ai
bois qui elle-même surmonte la dédicace de Romulus à son fils. Cette dédicace commence ainsi : Romulus Tyberino filio de civit
ularités typographiques : non seulement dans la première phrase de la dédicace de Romulus à son fils Tiberinus la ponctuation si
brum. Fol. 18 b. — Gravure, puis prologue en vers élégiaques, enfin dédicace de Romulus, dont le commencement a subi le traves
Ésope copié sur celui des éditions précédentes. Fol. 2 a (a. ii a). —  Dédicace de Sébastien Brant à Adelberg de Rapperg, doyen d
e de gravures aussi grand. Fol. 23 a (d. i a). — Il est occupé par la dédicace de Romulus, précédée elle-même du prologue de l’a
genoux. Ensuite, inspirée sans doute par celle de Romulus, vient une dédicace qu’il adresse à son fils Onophrius et qui est int
s : Cy commence la preface du premier liure de esope. Puis vient la dédicace de Romulus qui débute ainsi : Romulle filӡ de Th
bute ainsi : Romulle filӡ de Thybere de la cite de atique salut. La dédicace est ornée d’une gravure. Fol. 19 a à 23 b. — Prem
te. Elle est suivie des fables de Romulus précédées elles-mêmes de la dédicace ainsi traduite : Romuleo filӡ de Thibère de la c
. 30 b. — Table du livre I des fables de Romulus. Fol. 31 a à 41 a. —  Dédicace de Romulus et livre I. Fol. 41 b. — Table du livr
t prologus oft prefa-|cye van dyerste boec van esopus. Fol. 26 a. —  Dédicace de Romulus surmontée d’une gravure et commencemen
ope assis qui écrit et deux autres personnages. Plus bas se trouve la dédicace de Romulus à son fils précédée de ce titre : Aqu
t que la traduction de celles de Romulus, ne sont pas précédées de sa dédicace ni divisées en quatre livres. Elles sont au nombr
3 a. —  Aqui comiençan | las fabulas de Ysopo. Il y a 80 fables sans dédicace et avec une seule série de numéros. Fol. 67 b. — 
ans l’édition de Zeiner n’a été oublié, et l’on y trouve notamment la dédicace à Tiberinus qui dans l’édition de Plantin avait é
dans le Romulus ordinaire. Ms. 86. Romulus ordinaire. Prologue. Dédicace . 1. Le Coq et la Perle. I, 1 2. Le Loup et l’
Toutes sont des variations plus ou moins extravagantes sur la fictive dédicace à Tiberinus placée en tête du Romulus ordinaire.
logue ordinaire, au-dessous duquel ou lit cette glose inspirée par la dédicace de Romulus à son fils. « Romula (sic) filius Tib
ecto du feuillet 26 commence par les mots : Novas nimirum merces la dédicace au cardinal Anthoine du titre de Saint-Chrysogone
nus, celles de Walther. Les distiques de Denys Caton, précédés de la dédicace à son fils, commencent au feuillet i a et sont te
ditions les plus anciennes. C’est lui-même qui nous l’apprend dans sa dédicace à Pierre Névelet-Dosche son père449. Il dit ensui
y en a en tout 22, savoir : 4 de 8 feuillets et 2 de 6, comprenant la dédicace , l’épître, la vie d’Ésope et deux feuillets blanc
te fables du dérivé viennois du Romulus de Vienne qui commencent sans dédicace préalable au recto du feuillet 7 et qui se termin
par la rédaction et le classement, elles sont de même précédées de la dédicace de Romulus à son fils appelé Tyberius et non plus
de cet Anonyme avaient été publiées 45 autres fables, précédées de la dédicace de Romulus à son fils Tiberinus492, et plus loin,
son fils Tiberinus492, et plus loin, j’ai ajouté qu’en tête de cette dédicace ce Romulus était qualifié d’empereur romain493. J
 51, si l’on y comprend la dernière pièce. Elles sont précédées de la dédicace amplifiée de Romulus à son fils et suivies de l’é
omulus primitif, et sont divisées en trois livres précédés de la même dédicace et suivis du même épilogue. Le premier comprend 1
de tous les dérivés directs du Romulus primitif le seul qui, dans la dédicace à Tiberinus, donne à l’auteur fictif de cette déd
l qui, dans la dédicace à Tiberinus, donne à l’auteur fictif de cette dédicace le titre d’empereur romain. C’est la seule dans l
éambule, qui, figurant en tête du Dérivé de 136 fables, y remplace la dédicace de Romulus à son fils. On y lit ces phrases : Lib
’empereur, c’est celui à qui est dû le Romulus de Nilant. Or, dans la dédicace à Tiberinus que l’auteur du Romulus hexamétrique
aire, et si le milieu n’a pas été conservé, la fin est entrée dans la dédicace à Tiberinus. 321. « Ungleich ferner stehen der
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