avocat au Parlement de Paris. C’est lui qui, ainsi que je l’ai répété
d’après
Grosley, avait communiqué à son frère le précieux
ausseté de plusieurs idées que l’on s’était formées sur le manuscrit,
d’après
l’édition de Pithou, qui est la reproduction fidè
il trouvait des corrections, indiquait par des étoiles les lieux où,
d’après
le sens, il devait y avoir des lacunes, sans rend
e l’édition Brocas, il n’avait pas été sans doute jusqu’à transcrire,
d’après
le manuscrit, le texte entier de ces fables ; mai
it de Reims, j’ai remarqué que, toutes les fois que le titre, indiqué
d’après
le manuscrit de Reims, était en désaccord avec ce
’édition Panckoucke105, ensuite, pour le surplus, aux variantes, que,
d’après
le Père Sirmond, Rigault a publiées, et à celles
fausse. Ils avaient cru que Pithou avait publié les fables de Phèdre
d’après
un vieux codex, qui, légué au collège de Troyes,
s, serait ensuite passé à l’abbaye de Saint-Remi. Cette erreur était,
d’après
Dom Vincent, formulée dans les Éphémérides troyen
is furatus fuerit vel aliquo ingenio tulerit, anathema sit. » Ce qui,
d’après
M. Gaston Paris115, veut dire : « Ce livre appart
i aveugle dans les assertions du Père Desbillons116, Schwabe affirme,
d’après
lui, que la reine de Suède le communiqua à Gérard
publié à Rome en 1831, de sa collection des auteurs classiques édités
d’après
les manuscrits du Vatican126. Sans même fouiller
spéciales les variantes du manuscrit qu’il déclare avoir transcrites
d’après
Schwabe. L’incohérence est telle, que je ne puis
nées, per aliquot annos. Donc l’auteur des fables nouvelles est bien,
d’après
lui, contemporain de Pétrone, et, comme il a démo
xistence. Vers 1830, à l’époque où il publiait les anciens classiques
d’après
les manuscrits du Vatican, le cardinal Angelo Maï
publiait une édition de Phèdre, dans laquelle il avait fait figurer,
d’après
Jannelli, les 32 fables nouvelles. La publication
vetustorum et aliarum in Dacia antiquitatum 189 et ensuite rapportée
d’après
lui par Gruter dans ses Inscriptiones antiquæ 190
190 et par Gude dans ses notes sur Phèdre191. Cette inscription, qui,
d’après
Jean Troster192, existait encore en 1666, contena
234, et nous savons que l’abbé Pluche lui-même l’avait reproduit, non
d’après
l’original, mais d’après une copie, qui lui en av
’abbé Pluche lui-même l’avait reproduit, non d’après l’original, mais
d’après
une copie, qui lui en avait été envoyée par dom L
y a encore moins touché le cardinal Angelo Maï. En 1831, en publiant,
d’après
le manuscrit du Vatican, les nouvelles fables de
uilles et demie. Phædri Aug. lib. fabular, libri V. Nouvelle édition
d’après
les meilleurs textes avec sommaire et notes en fr
s : Indice. 1855. Phædri fabularum libri V. Nouvelle édition
d’après
les meilleurs textes, renfermant des notes histor
s 1 sixième. Phædri Augusti lib. fabularum libri V. Nouvelle édition
d’après
les meilleurs textes, avec une vie de Phèdre et l
. 1879. Phædri Aug. lib. fabular. libri V. Nouvelle édition,
d’après
les meilleurs textes, précédée d’une notice sur P
les complètes de Phèdre, et des trente-deux nouvelles fables publiées
d’après
le manuscrit de Perotti ; avec le texte en regard
çaise ; précédées du texte pur et accompagnées de notes explicatives,
d’après
les principes de MM. de Port-Royal, Du Marsais, B
tion en vers français des хххii nouvelles fables attribuées à Phèdre,
d’après
le manuscrit de Perroti, par M. J. H. Rossand. Sa
. In-12 de 148 pages. 1878. Les auteurs latins expliqués,
d’après
une méthode nouvelle, par deux traductions frança
p. 1881. Fables de Phèdre anciennes et nouvelles, éditées
d’après
les manuscrits et accompagnées d’une traduction l
en bon état ; mais l’écriture n’en est pas partout également lisible.
D’après
M. Pertz, dont l’appréciation est heureusement fo
qui en font une sorte de Nomenclator universalis. Je vais ici donner,
d’après
la table de M. du Rieu, l’indication de chaque tr
poème de Remus Favinus, intitulé : De Ponderibus et Mensuris , édité
d’après
un manuscrit de Vienne, et, au bas de la page 27,
645, le petit poème Est et non en 25 vers, attribué à Ausone et édité
d’après
plusieurs manuscrits et notamment d’après le manu
attribué à Ausone et édité d’après plusieurs manuscrits et notamment
d’après
le manuscrit Woss. lat. in-fol. 111. — Voyez auss
e nº 687, le petit poème intitulé Conflictus veris et hiemis et édité
d’après
un manuscrit de Turin. — Voyez enfin, pages 221 à
s diverses au xvie et au xviie siècles. Je m’abstiens de reproduire
d’après
le catalogue imprimé, que chacun d’ailleurs peut
ttit. Æsopus quidam græce sapiens, etc. Enfin le manuscrit de Munich,
d’après
lequel, dans ma première édition, j’ai publié le
liqués à Ésope ; mais encore le copiste, se rappelant sans doute que,
d’après
la tradition, Ésope n’était pas Athénien, a subst
e. En effet, dans le manuscrit de Leyde Vossianus latinus, in-8º, 15,
d’après
lequel Nilant avait publié ses Fabulæ antiquæ, il
l’Æsopus ad Rufum. On peut m’objecter que, si l’Æsopus ad Rufum n’a,
d’après
ce qui précède, constitué qu’un recueil très rest
s324. » Il continue en disant que Nilant a publié ce dernier anonyme
d’après
un manuscrit du xiiie siècle, dernière erreur tr
parchemin in-folio, dont l’écriture devait remonter à cinq cents ans.
D’après
un usage bien fréquent, les fables de Romulus n’é
porter chez moi le manuscrit, il lui fallait une garantie ; et comme,
d’après
mes explications, il supposait bien que le chargé
édition, je les ai notées au bas du texte du Romulus ordinaire édité
d’après
la copie de Pierre Crinitus. Je ne crois pas util
ire de l’édition de Sorg, que Hain signale sous le nº 325. C’est donc
d’après
lui que je dois la décrire331. C’est une réimpres
erum Cardinalem. Ce titre occupe trois lignes et le point précis où,
d’après
mes notes, chacune d’elles finit, est celui qui c
trement dit : « Ici commencent les nouvelles fables mises en allemand
d’après
Rimicius, qui sont attribuées aussi à Ésope, avec
En français : « Ici commencent les nouvelles fables mises en allemand
d’après
Rimicius. » Fol. 120 (83). — vahent an die fabe
ttribue à Ésope, et commencent les nouvelles fables mises en allemand
d’après
Rimitius, que l’on attribue aussi à Ésope, avec l
. Fol. 2 a. — Commencement de la première table des matières, établie
d’après
leur nature. Fol. 5 a. — Commencement de la secon
ion de la traduction allemande de Steinhöwel, sans lieu ni date, qui,
d’après
le catalogue général de la bibliothèque du Britis
ndes pour n’avoir pas été copiées plus ou moins exactement sur elles.
D’après
le rédacteur du Catalogue de la Bibliothèque de T
’ai rencontré aucun exemplaire de cette édition, et je n’en parle que
d’après
Brunet348, qui la signale comme une « édition rar
1499, qui paraît n’être que la réimpression de la précédente, forme,
d’après
Brunet349, un volume de 77 ff. non chiffrés, impr
de lescu de France. 9º Édition de 1526. Je me borne à citer,
d’après
Brunet354, l’édition de 1526, qui a été publiée à
nto English by W. Caxton. B. Réimpression de 1550. Vers 1550,
d’après
le Catalogue de la Bibliothèque Bodléienne qui en
cum, t. I, p. 41, col. 1, nº 358. J’en ai donné l’analyse qui précède
d’après
un exemplaire, qui, sous la cote I. Z. 13, existe
été achevée d’imprimer à Burgos, le 22 août 1496. Je vais en donner,
d’après
Hain360, une courte analyse : Fol. 1 a. — Titre e
ci. Je me contente de dire que ce manuscrit que le copiste a terminé,
d’après
sa propre déclaration, en 1350 et qui vient de l’
is ? Ce qui porterait à le croire, c’est que Panzer374 qui la signale
d’après
Maittaire, suppose qu’elle pourrait bien avoir ét
é la seule édition du Miroir historial publiée en 1474. Maittaire376,
d’après
le P. Le Long, et Panzer377, d’après Maittaire, a
l publiée en 1474. Maittaire376, d’après le P. Le Long, et Panzer377,
d’après
Maittaire, affirment que le Speculum historiale f
e finit . M’abstenant de toute hypothèse, je me borne à la mentionner
d’après
lui379. § 6. — Éditions de Nuremberg. De 1
dont les signatures vont de a 1 à z 4 et de aa 1 à rr 5, ne seraient,
d’après
leur numérotage, qu’au nombre de 311 ; mais c’est
nn qui n’en comprend que 4 et le cahier llll qui n’en comprend que 6.
D’après
leur numérotage, les feuillets seraient au nombre
; mais ce numérotage doit être inexact ; car, si l’on considère que,
d’après
la table des cahiers, il y a 43 cahiers de 8 feui
stri carminis adduxit ; fecit inde quemdam librum latinis uersibus. »
D’après
ce texte, Salon, savant chercheur, aurait été à A
Anonyme ancien, il ajoutait : « Je lui ai substitué celui de Galfred,
d’après
un manuscrit du xive siècle, et je l’ai fait ave
e celle de Lyon, contrastaient avec l’ineptie des gloses reproduites,
d’après
les manuscrits, par la plupart des éditions étran
sieurs Walther, parmi lesquelles figurait celle de Walther l’Anglais.
D’après
Bale, ce Walther, appelé aussi le Panormitain, av
évention qui nous fait quelquefois assigner une date à ces esquisses,
d’après
l’impression que leur aspect produit sur nous. Ce
et le plus complet. Cependant il doit en exister un troisième ; celui
d’après
lequel ont été imprimées les deux fables que nous
ables ne sont pas rangées dans l’ordre ordinaire. Elles se terminent,
d’après
la pagination, au recto du feuillet 97 et, en réa
ine par cette mention : Em. D 26, contient plusieurs opuscules, qui,
d’après
les dates qu’il porte, ont été écrits de 1425 à 1
Mais il avait là commis une erreur, que M. Robert a su éviter et que,
d’après
lui sans doute, le catalogue de la Grenville libr
n parchemin et dont l’écriture à trois colonnes est du xiiie siècle.
D’après
la table manuscrite placée en tête, il renferme o
ue impériale de Vienne. A. Manuscrit 303. Je donnerai plus loin,
d’après
M. Endlicher, la nomenclature des ouvrages conten
0 feuillets en papier dont l’écriture est du xve siècle et comprend,
d’après
la nomenclature qu’on lit sur un feuillet ajouté
ripti latini bibliothecæ Nanianæ , et publié à Venise en 1776. Voici,
d’après
le Catalogue de Saint-Marc, l’indication du conte
parchemin, et l’écriture qui les remplit est du xive siècle. Voici,
d’après
le Catalogue de la Bibliothèque, les ouvrages qui
nt celles de Walther qui occupent les 19 premiers feuillets (61 à 79,
d’après
le numérotage du ms.). En tête du prologue on lit
u feuillet 19 b, s’achève au bas du feuillet 35 a (ff. 79 vº à 95 rº,
d’après
le numérotage du manuscrit), où sa fin est indiqu
cote L. B. 9. 44 et un autre à celle de Grenoble sous la cote 173. —
D’après
Hain (Repertorium bibliographicum, t. I, p. 241,
e Engolisme die XVII. mensis Maii anno domini M. cccc. lxxxxi. C’est
d’après
Hain (Repertorium bibliographicum, t. I, p. 241,
èque de Bergame. 1829. En 1829, les fables de Walther furent,
d’après
les éditions Bipontines, introduites dans le dix-
sède des traductions en langage vulgaire des fables de Walther. C’est
d’après
l’ouvrage de M. Ghivizanni que j’en vais donner u
scrit 1645. La traduction contenue dans ce manuscrit se rapproche,
d’après
M. Ghivizzani, tantôt du manuscrit Mocenigo, tant
gue des Incunables, porte le nº 560. Mais je ne l’ai pas vu, et c’est
d’après
la description qui en a été faite par M. Ghivizza
t avoir été calquée sur celle que l’abbé Berti avait publiée en 1811,
d’après
le manuscrit Mocenigo. La Bibliothèque de l’Unive
le texte du manuscrit Gadd. reliqui 176 et qui contient trois fables,
d’après
l’éditeur inédites, intitulées : Della Volpe e d
s, est signalée par Panzer, Annal. typogr., t. II. p. 84, nº 512, et,
d’après
lui, par Hain, Repertorium bibliographicum, t. I,
poétique. Il naquit à Saint-Alban, au mois de septembre 1157. Tanner,
d’après
Thomas James, prétend que dans un manuscrit qui d
été non plus étranger483. Ce dernier, traduisant en vers élégiaques,
d’après
le Romulus ordinaire, la fable du Loup et de l’Ag
chez le libraire F. Beck, en 1 vol. in-4º489. Je me borne à indiquer,
d’après
lui, les titres des ouvrages qu’il renferme : I.
rois pas devoir ici changer de procédé. En conséquence voici, établis
d’après
l’ordre suivi dans le manuscrit lui-même, les tit
r ne parler que du fonds Libri qui comprenait 1923 manuscrits, voici,
d’après
la liste dressée, les numéros de ceux qui étaient
ment recouru au manuscrit de la bibliothèque de l’Université de Leyde
d’après
lequel la publication en avait été faite, je me s
dont l’écriture sur deux colonnes appartient au xiiie siècle. Voici,
d’après
le catalogue imprimé, la liste des ouvrages qu’il
l n’en existe que 56, et par suite il en manque 47, dont les numéros,
d’après
mon tableau, sont les suivants : 22, 24 à 25, 46
t. Dans cette situation chacun, je crois, sera d’avis qu’en publiant,
d’après
le manuscrit 347 C, avec les variantes offertes p
veniâ. In-8º. 25. Fables de Phèdre anciennes et nouvelles, éditées
d’après
les manuscrits et accompagnées d’une traduction l
elques-unes. 30. Fables de Phèdre anciennes et nouvelles, éditées
d’après
les manuscrits et accompagnées d’une traduction l
ages. 133. Otinel, chanson de geste, publiée pour la première fois,
d’après
les manuscrits de Rome et de Middlehill, par MM.
nt. » (Voyez p. 7 de l’édition in-8º des 32 fables nouvelles publiées
d’après
Angelo Maï par Orelli à Zurich en 1832.) 204. L’
res romains par Paganino de Paganinis, à Venise, en 1489. Elle forme,
d’après
Brunet, un volume in-fol. de 18 et 255 feuillets.