oq détourna
Une Perle qu’il donna
Au beau premier Lapidaire.
Je la
crois
fine, dit-il,
Mais le moindre grain de mil
Sero
t herita
D’un manuscrit qu’il porta Chez son voisin le Libraire.
Je
crois
, dit-il, qu’il est bon ;
Mais le moindre ducaton
paya le tribut à Nature ; Aprés qu’en ses conseils Tant-pis eust esté
cru
. Ils triomphoient encor sur cette maladie. L’un d
maladie. L’un disoit, Il est mort, je l’avois bien prévû. S’il m’eust
cru
, disoit l’autre, il seroit plein de vie.
ais pour mon frere l’Ours, on ne l’a qu’ébauché. Jamais, s’il me veut
croire
, il ne se fera peindre. L’Ours venant là-dessus,
il me veut croire, il ne se fera peindre. L’Ours venant là-dessus, on
crut
qu’il s’alloit plaindre.
Tant s’en faut ; de sa
Marie de France, n° 63 Le cheval et la haie Un cheval vit u herbe
crut
dedenz un pré, mes n’aparut la haie dunt fu clos
Cela procede en nous, de ce que nostre volonté estant des-ja liée, le
croit
estre avecque raison, si bien qu’ayant pris peu à
espece de Loy, qui ne nous permet plus de les mes-estimer, ny de les
croire
defectueux, mais elle attache constamment nostre
nt ; bref, il faut corriger les fautes des nostres, mais non pas n’en
croire
aucunes en eux. Telles sont pour le jourd’huy la
’enfant, Jettoit une clameur si haute, Que chacun au bruit accourant,
Crut
qu’elle accoucheroit, sans faute, D’une Cité plus
Poule, à ce que dit la Fable, Pondoit tous les jours un œuf d’or. Il
crut
que dans son corps elle avoit un tresor. Il la tu
prétendoit, pour cela, Qu’on le dust mettre dans l’Histoire. Il eust
cru
s’abaisser servant un Medecin. Estant devenu vieu
sembles belle !
Vien viste, vien finir ma fortune cruelle.
La mort
crut
, en venant, l’obliger en effet.
Elle frappe à sa
ue j’y fais entrer, et qui est si beau et si à propos que je n’ay pas
cru
le devoir omettre.
Un pauvre Bucheron tout c
ns à rien cherchez sur tout à mordre, Vous vous tourmentez vainement.
Croyez
-vous que vos dents impriment leurs outrages Sur t
nce. Que sa Majesté nous dispense. Grammercy de son passe-port. Je le
crois
bon ; mais dans cet antre Je vois fort bien comme
t dans l’Escriture, « Faisons l’homme à nostre ressemblance ». Car de
croire
qu’il ait voulu entendre par là des traicts de vi
onté. Car l’entendement ne desire rien cognoistre que pource qu’il le
croit
vray ; et la volonté ne desire rien aymer, qu’à c
roit vray ; et la volonté ne desire rien aymer, qu’à cause qu’elle le
croit
bon. Tellement que c’est avoir l’ame plus belle,
pria de lui donner quelque chose. « Tu es bonne, répliqua la lime, de
croire
que tu obtiendras quelque chose de moi : j’ai l’h
le faire ; mais un vieux bélier s’écria : « Comment pourrais-je vous
croire
et vivre avec vous, alors que, même sous la garde
nd quelque bruit, veut sortir par le trou,
Ne peut plus repasser, et
croit
s’estre méprise.
Aprés avoir fait quelques tours
fait, il le fait à leurs yeux ; Même les actions que dans l’ombre il
croit
faire. Un Payen qui sentoit quelque peu le fagot,
x ? Que nous sert cette queue ? Il faut qu’on se la coupe. Si l’on me
croit
, chacun s’y resoudra. Votre avis est fort bon, di
it manquer condamnant un pervers. Quelques personnes de bon sens ont
cru
que l’impossibilité et la contradiction qui est d
s pretentions, non seulement petites, mais encore mal asseurées. Nous
croyons
bien tous que les dons du Ciel ne se corrompent j
ous vous estes vangez, vous devez attendre le retour aussi ; Il est à
croire
qu’on se vangera de vos vengeances, et que ce ne
plustost de l’un que de l’autre ; N’est-ce pas se flatter, que de le
croire
trop facilement ? Mais je suppose que vous soyez
ents vous privent de ce que vous aymez le plus ; comment pourrez vous
croire
certaine la possession de vostre grandeur, et la
de mots remarquables, et d’illustres actions ? Certes, il n’est pas à
croire
que de tant de milliers de personnes, qui ont ves
ts ont beau faire profession de vertu : leur caractère empêche de les
croire
.
tes pieds ? Au moment qu’elle rit, Son tour vient, on la trouve. Elle
croit
que ses aisles La sçauront garentir à toute extre
e c’était la cigale. « Tu te trompes, compère, lui dit-elle, si tu as
cru
que je descendrais : je me défie des renards depu
e Hydre au travers d’une haye.
Mon sang commence à se glacer,
Et je
crois
qu’à moins on s’effraye.
Je n’en eus toutefois q
alchanceux que, même en obligeant leurs voisins, ils ne peuvent faire
croire
à leur bienfaisance.
raison d’une Grenoüille à un Bœuf ». Elle toutesfois n’en voulut rien
croire
, et s’enfla derechef plus qu’auparavant : Ce qui
Loup qui commençoit d’avoir petite part Aux Brebis de son voisinage,
Crut
qu’il faloit s’aider de la peau du Renard,
Et fa
n petit compliment : Il dit au Roy : Je sçay, Sire, une cache ; Et ne
crois
pas qu’autre que moy la sçache. Or tout tresor pa
re, Ce Baudet-cy m’occupe autant Que cent Monarques pourroient faire.
Croit
-il estre le seul qui ne soit pas content ? N’ay-j
ssée par la soif, ayant aperçu un cratère d’eau peint sur un tableau,
crut
qu’il était véritable. Aussi, descendant à grand
laindre ;
Et Jupin de leur dire : Et quoy ! vostre desir
A ses loix
croit
-il nous astraindre ?
Vous avez dû premierement
une armée. Les Belettes de leur part Déployerent l’étendard. Si l’on
croit
la Renommée, La Victoire balança. Plus d’un Guere
endant méprise une telle victoire, Tient la gageure à peu de gloire ;
Croit
qu’il y va de son honneur De partir tard. Il brou
nt voir que tu surpasses la neige en blancheur ? Certes, s’il en faut
croire
mon jugement, je treuve que tu as de l’avantage p
e blanc. Que si ta voix estoit aussi excellente que tes plumes, je ne
croirois
pas mentir, si je t’appellois le Roy des Oyseaux
remier, l’experience fait voir aux Grands, qu’ils se trompent fort de
croire
qu’ils soient purement et veritablement aymez. Ca
ne m’arresteray donc pas d’avantage sur ceste matiere, pource que je
croirois
estre ennuyeux au Lecteur, quand mesme j’alleguer
ar hazard avoit une arbaleste. Dès qu’il void l’Oiseau de Venus Il le
croit
en son pot, et déjà luy fait feste. Tandis qu’à l
n’y trouve plus rien de Chate : Et poussant l’erreur jusqu’au bout La
croit
femme en tout et par tout. Lors que quelques Sour
fort amy De nostre espece ; En son Histoire Pline le dit, il le faut
croire
. Il sauva donc tout ce qu’il pût. Mesme un Singe
rs, se cacha sous une vigne. Ceux-ci l’ayant un peu dépassée, elle se
crut
dès lors parfaitement cachée, et se mit à brouter
ble contenance ; Un modeste regard, et pourtant l’œil luisant : Je le
crois
fort sympatisant Avec Messieurs les Rats ; car il
ier, plus de Veaux à mon âge. Passez vostre chemin, la fille, et m’en
croyez
. Aprés maints quolibets coup sur coup renvoyez, L
t m’en croyez. Aprés maints quolibets coup sur coup renvoyez, L’homme
crut
avoir tort, et mit son fils en croupe.
Au bout d
. Mais les broussailles poussées par le vent s’étant rapprochées, ils
crurent
voir, non plus un vaisseau de guerre, mais un vai
urs, comme un sot, donna dans ce panneau. Il void ce corps gisant, le
croit
privé de vie, Et, de peur de supercherie Le tourn
aver s’il le purreient prendre. Mes [il] ne lur volt pas atendre ; el
crus
d’un chesne s’esteit mis. Les oiseus l’unt entur
« Vraiment je suis bien malheureuse ; je surveillais la terre que je
croyais
pleine d’embûches, et la mer, où je comptais trou
; et quand vos maîtres mangent, ils ne vous jettent que les os. Mais
croyez
-nous ; livrez-nous tous les troupeaux et nous les
sans doute du bon accueil que j’ay fait aux Estrangers. Car il est à
croire
que pour recognoissance de cela, quelque Dieu m’a
au rebours voyant les Palais pleins
De ces gens nommez Medecins,
Ne
crut
pas y pouvoir demeurer à son aise.
Elle prend l’
une année, Et la Veuve d’une journée, La difference est grande. On ne
croiroit
jamais Que ce fust la mesme personne. L’une fait
lles n’y pourroient estre sans miracle. Ce qui ne sera pas mal-aisé à
croire
, si nous considerons que le cours des choses ne p
est certes beaucoup moins supportable que le premier. Car, de grace,
croyons
-nous que le stupide et le contre-faict soit de to
mestier, que Promethée et Mercure ont les premiers inventé, s’il faut
croire
à ce qu’en disent les Poëtes. Mais quant aux autr
n en peut dire de mesme des hommes d’affaires, parmy lesquels je veux
croire
qu’il y en a plusieurs d’incorruptibles en leur p
viande traversait une rivière. Ayant aperçu son ombre dans l’eau, il
crut
que c’était un autre chien qui tenait un morceau
rion, ville de Phrygie, que l’on surnommoit la grande. Ce qui me fait
croire
tres-veritable ce qu’allegue le divin Platon en s
: « Seigneur », luy dit-il, « tu ne te fâcheras point, si tu me veux
croire
, Car je sçay le vray moyen de faire en sorte, que
nu.
Nous n’écoutons d’instincts que ceux qui sont les nôtres,
Et ne
croyons
le mal que quand il est venu.
vant qu’ils soient venus ? C’est erreur, ou plutost c’est crime de le
croire
. Le Firmament se meut ; les Astres font leur cour
e
A de certains cordons se tenoit par la pate.
Le peuple des Souris
croit
que c’est châtiment ;
Qu’il a fait un larcin de
dit. Et quant à goûter la premiere De ce qu’on sert devant les Dieux,
Croyez
-vous qu’il en vaille mieux ? Si vous entrez par t
t de plus vil prix ? à quel propos donc nous veux-tu servir ce que tu
crois
estre meilleur, et plus excellent que toute autre
sope : Le mensonge et les vers de tout temps sont amis. Mais je ne me
crois
pas si cheri du Parnasse, Que de sçavoir orner to
ut que je vous montre Ce que ma force peut en semblable rencontre. On
crut
qu’il se moquoit ; on soûrit, mais à tort. Il sep
comme il arrivait au bord d’une rivière avec une charge d’éponges, il
crut
que, s’il se laissait tomber encore, il se relève
que des Dieux enfin implore l’aide ; Dépose en son giron ses œufs, et
croit
qu’en paix Ils seront dans ce lieu, que pour ses
aye ? » « C’est en effect une verité », dirent-ils « du moins nous la
croyons
telle, si nous ne resvons ». A ces mots Xanthus t
soit tournée en arriere, et qui ne regarde ta caverne. Ce qui me fait
croire
que plusieurs bestes y sont voirement entrées ; m
eureux que je suis ! », s’escria-t’il, « n’ay-je pas esté bien fol de
croire
que le Coq me seroit fidele, apres luy avoir tué
leur exemple ? N’est-ce pas une espece de brutalité, ou de folie, de
croire
que leurs conseils seront authorisez par la Jeune
cueille à propos, Et les garde en sa memoire. La Bique, comme on peut
croire
, N’avoit pas vû le glouton. Dés qu’il la voit par
», continüa la servante, « n’entre point dans le logis, si tu me veux
croire
, autrement tout le monde s’enfuira ». Comme elle
que vous voulez avoir une autre femme que moy. Certes, il est bien à
croire
, que n’osant sans honte me dire, que je sorte de
it alors venir la chienne, et s’adressant à Xanthus : « Il est bien à
croire
», adjousta-il, « que celle-cy t’ayme grandement
n’estoit pas d’humeur de rien faire qu’à sa teste, ne voulut point le
croire
, et le quittant là, se retira chez ses parents. C
t. Elle n’est pas perduë, Luy dit ce Dieu, la connoîtras-tu bien ? Je
crois
l’avoir prés d’icy rencontrée. Lors une d’or à l’
les, ô que si je l’eusse pensé ! Or outre le mal qui nous vient de ne
croire
un bon amy, qui nous conseille fidellement, il en
et serviteur de Saladin leur Roy ? Tout de mesme avons-nous sujet de
croire
, qu’une autre nation vengera ceux du Levant des v
cieuses. Avecques cela, je ne dors jamais à découvert, et n’est pas à
croire
combien je suis agreable à tous ceux de la maison
». Discours sur la quarante-cinquiesme Fable. Nous pouvons bien
croire
Esope sur la douceur de la liberté, pour avoir de
ance de la chasteté d’une femme, les autres ne sont pas d’humeur à le
croire
. L’extrême inégalité des deux partis paroist clai
à ? Pourquoy feront-ils manger leur bien à une ennemie ? Car il est à
croire
que s’ils ne l’aiment point dés le commencement d
ils se doivent proposer les malheurs que j’ay des jà representez, et
croire
qu’ils les communiqueront tous à la personne qu’i
montre que les menteurs ne gagnent qu’une chose, c’est de n’être pas
crus
, même lorsqu’ils disent la vérité. Chambry 31
urnent incessamment la chose en la pire partie. Or ne devons-nous pas
croire
, que le sens et l’experience manquant aux jeunes
ncore que toute sorte de feincte soit odieuse, quand on se veut faire
croire
plus excellent que l’on n’est, celle là toutesfoi
merveilles, la consideration desquelles a convié beaucoup de gents à
croire
qu’ils estoient capables de raisonner ; Ce qui to
re jusques à la fin des siecles, donna sujet à ceste opinion, et fist
croire
à beaucoup de gents, que les esprits vertueux avo
n peut dire raisonnablement là dessus : car il m’est permis, ou de ne
croire
pas cét exemple, ou de le croire avec ceste condi
ssus : car il m’est permis, ou de ne croire pas cét exemple, ou de le
croire
avec ceste condition, que son Precepteur l’avoit
re heureuse, que d’aucun raisonnement. Quant aux voix des animaux, je
crois
bien qu’elles sont un signe naturel de leurs appe
à propos de s’imaginer qu’ils le fassent par art ; mais il est bien à
croire
que si nostre Esope n’eust point eu de plus excel
voir fuyr le Lion devant luy, vient à tel point de stupidité, que de
croire
que ce soit à son occasion. Telle espece d’orguei
; « Mal-advisé que tu es », luy dit-il, « apprends une autrefois à ne
croire
point ta folle teste, et à te servir de tes jambe
et nous fait rechercher avecque soin le violement de ceste loy. Nous
croyons
que les Legislateurs, ou les Magistrats, nous en
ve d’une femme mariée : puis il vient à cajoler la vefve, et il est à
croire
que s’il trouvoit une Androgine, elle n’échappero
graisserai et je serai pour toi un manger plus agréable. » Le loup le
crut
et s’en alla. À quelque temps de là il revint, et
ir franchy toutes les regles de la nature et de la Religion, est-il à
croire
que tels ingrats observent les loix d’une simple
que ceste comparaison du Presomptueux à la Mouche. Car il n’est pas à
croire
combien grande est la foiblesse de ceste sorte d’
tois aussi adroit à les commenter, qu’Esope le fût à les faire, je ne
croirois
pas qu’il y eût au monde un meilleur ouvrage que
t ; Car alors s’ils en reçoivent le moindre déplaisir, il n’est pas à
croire
combien est grande la violence où leur passion le
ay pas moins d’amour pour toy, que j’en avois pour ma femme ; Je veux
croire
aussi, que de ton costé tu m’aymeras comme tu as
ongne de tout manger. Discours sur la vingt-neufviesme Fable. Te
crois
-tu si remply de finesse, ô fallacieux Renard, que
permettez qu’il se soüille de si bonne heure de vos ordures ? Comment
croyez
-vous qu’il soit benit de Dieu, si vous en faites
abondamment, d’autant que leur naturel ardant et vigoureux leur fait
croire
toutes choses faciles, et les porte vertement aux
Dieu plus dur et plus insensible que le metail mesme, n’estant pas à
croire
qu’il écoute ceux qui l’auront oublié pour une Cr
Dans nostre Religion mesme on nous permet, voire on nous conseille de
croire
que les metaux precieux, et les thresors, sont en
ra vivre en ceste condition, et demeurer homme de bien : car il est à
croire
, qu’un naturel moderé parmy les richesses, ne ser
st-ce pourtant », adjoûta Esope, « que tu m’achepteras, si tu me veux
croire
, et je m’asseure que tu ne seras pas fâché de m’a
re une dispute Philosophique, que l’allegorie d’une Fable. Puis je ne
crois
pas qu’il soit necessaire d’en alleguer d’avantag
lat de leur ostentation, il ne s’ensuit pas pour cela qu’on les doive
croire
heureux. Il faut attendre la fin avant qu’en juge
er aux paroles d’une femme. Ce qui peut bien estre vray, s’il en faut
croire
divers Autheurs, et particulierement les Poëtes.
veloppe le crane et la chair, à combien plus forte raison devons-nous
croire
que ce puissant Protecteur garantira ses membres
s, chez qui la santé florissoit, à l’égal de la Vertu. Il n’est pas à
croire
que la Mere de Massinissa l’eust caressé et dorlo
encore sur toutes les œuvres latines qui en ont été l’imitation, j’ai
cru
devoir diviser mon ouvrage en trois livres consac
-elles la source unique à laquelle ont puisé ses biographes. Qu’on ne
croie
pas pourtant qu’il en soit résulté entre eux une
si, il était encore loin de la vieillesse. Mais c’est inutilement, je
crois
, donner de ce mot une interprétation fausse, que
s qui s’offraient à lui, il n’avait fait aucun choix. S’il fallait en
croire
Scheffer, ce serait le désir de la vengeance qui
n 188130, quoique ayant l’intuition de leur erreur, je ne m’étais pas
cru
l’autorité nécessaire pour me permettre de me sép
maintenant rechercher quelles sont celles dans lesquelles Séjan avait
cru
deviner des allusions hostiles ? Cela me semble f
les susceptibilités de Séjan. Je ne partage pas cette opinion, et je
crois
qu’aucune des fables qui l’avaient irrité, ne nou
ann, tout en reconnaissant que Phèdre a vécu sous le règne de Tibère,
croit
pouvoir induire du premier épilogue du livre IV e
on seulement écrites, mais encore connues avant la chute de Séjan. Il
croit
que la première était dirigée contre ce dernier e
pour entraver ses projets. Dans la deuxième fable, le Père Desbillons
croyait
que, par le soliveau, Phèdre avait désigné Tibère
tentes une allusion satirique au gouvernement de Tibère. Seulement il
croit
qu’il n’était pas désigné par le soliveau, et qu’
sur l’époque de l’apparition de ses deux premiers livres. Voilà, je
crois
, la vérité ; c’est faute de l’avoir ainsi envisag
es poursuites et que sa condamnation n’a pas encore été prononcée. Je
crois
, pour moi, qu’à défaut de documents contraires, l
avoir été son principal protecteur ; j’ai nommé Particulon. Il est à
croire
que, comme Eutyque, Particulon était un affranchi
par la fausse division qu’il a faite des cinq livres de Phèdre. Il a
cru
que c’était, non le quatrième livre, mais le cinq
ri adscripserunt Praxitelen suo. Malheureusement on est obligé de le
croire
sur son affirmation ; car il reste si peu de chos
erstition n’avait point de prise, qui se moquait des sorciers, qui ne
croyait
pas au merveilleux, et qui pensait que le raisonn
cacher, en aurait laissé longtemps ignorer l’existence. Je ne puis le
croire
. Qu’on se rappelle les dates. C’est en 1562 que l
ie siècle, dans la famille Le Peletier. Il ne faudrait pas cependant
croire
qu’il provenait de la succession de François Pith
manuscrit connu de Gude fut celui de Reims. Beaucoup, comme Lessing,
croyaient
que le manuscrit de Pithou n’existait plus. Il s’
qui pourtant était facilement visible. Voilà la vérité ; il était, je
crois
, important de la révéler. Car, ainsi qu’on le ver
de la comédie intitulée : Querolus ou Aulularia, qui y est jointe. Je
crois
que vous n’aurez point de peine à vous persuader
mencement du suivant. J’en envoyai un spécimen à M. de Foncemagne. Je
crus
même qu’il ne serait pas inutile d’en donner une
ut, avant d’avoir pu exécuter son projet. Après sa mort, s’il faut en
croire
Barbier, ses manuscrits furent achetés par M. Ren
la peine de publier les variantes signalées par Dom Vincent, n’a pas
cru
devoir reproduire en même temps dans son intégral
Gude de ne désigner par les lettres MS que le manuscrit de Reims, je
crois
qu’on doit accepter cette hypothèse comme vraie,
variante forte et dans la fable xi la variante ut ipse, Dom Vincent a
cru
apercevoir forti et ipse ut. Quand on est obligé
our différer de la précédente, n’en est pas moins fausse. Ils avaient
cru
que Pithou avait publié les fables de Phèdre d’ap
et la similitude qui existait entre les deux manuscrits pouvait faire
croire
que celui de Reims n’était autre que celui qui av
Dom Vincent en marge de l’édition classique de 1743, on est tenté de
croire
que les deux copistes avaient dû puiser à deux so
yen terme, lui assigne le viiie siècle. Au contraire le Père Brotier
crut
reconnaître que celui de Pithou était du ixe siè
s’exprime dans une langue étrangère (la latine). Ces mêmes auteurs le
croient
Grec, et peut-être un Marseillais, antérieur à la
siècle (ibid. p. 93, not. col. 1). “Vossius, écrit en effet D. Rivet,
croit
que c’est à Rutilius (Claudius Rutilius Numatianu
e cette comédie les suivait dans le manuscrit de Reims, Dom Vincent a
cru
pouvoir l’attribuer à Phèdre, la raison qui l’a d
une époque relativement peu éloignée de sa mort, a porté Angelo Maï à
croire
qu’il ne devait pas être originaire d’Arezzo et q
ment les 21 premières fables du IIe livre139. » À lire ces lignes, on
croirait
que le manuscrit n’existait plus. Comme aucun sav
’ai donc à m’occuper du sien ; mais, avant de parler de l’ouvrage, je
crois
devoir dire d’abord quelques mots de l’auteur. Il
pas l’autographe de d’Orville162. Aujourd’hui je vais plus loin : je
crois
que le collège n’en a possédé aucune. Rétablisson
-t-il ainsi voulu se référer à un Manuscriptus Parisiensis ? Je ne le
crois
pas, et je suis persuadé que c’est le manuscrit d
e Perotti. Peut-être, à raison de cette circonstance, Philippe a-t-il
cru
naturel de l’appeler Parmensis. Il ne faut pas, e
vait chargé un sieur Gargiulli d’en faire une copie. Mais, si l’on en
croit
Cassitto, ni l’un ni l’autre n’avaient aperçu qu’
iées par J.-Ant. Cassitto. Cette apparition m’émut, non pas que je me
crusse
devancé dans la conquête de je ne sais quelle pet
reddere, ce qui seul est vraiment naturel, etc. « Nous n’aurions pas
cru
que cela pût avoir de l’intérêt ni pour nous, ni
et qu’on put juger du texte par une publication exacte, on commença à
croire
à l’authenticité, et partout, dès l’année 1812, o
de lui en faire un grand reproche. Ainsi que je l’ai déjà dit, je ne
crois
pas qu’il ait de prime abord destiné son recueil
s nécessité, ne lui étaient pas aussi antipathiques qu’on pourrait le
croire
. Pourquoi donc, s’il avait trouvé les mêmes mots
l’égard de Phèdre, eût pu fouler aux pieds ses propres principes. Je
crois
que Jannelli s’est laissé aller à le défendre out
es, est le même que celui dont parle Martial ? Ils veulent nous faire
croire
qu’il fut affranchi de César Auguste, que par le
me borne à ces courts extraits. Ce qui en ressort, c’est que Burmann
croit
trouver dans le manuscrit découvert par d’Orville
it, et Perotti serait un plagiaire ! Non, je ne puis me résoudre à le
croire
. Et quant aux vers, qui complètent la dédicace et
que l’œuvre d’autrui qui puisse s’apprécier ainsi. En voilà assez, je
crois
. S’il existe encore des sceptiques, je les engage
n audace, quelques-uns s’empressèrent de relever le passage oublié et
crurent
y trouver la justification de sa thèse. Si les fa
mi ses Ouvrages, et que l’y ayant retrouvée dans un âge avancé il ait
cru
réellement l’avoir faite. Ce qui est d’autant plu
vait donné la description ; mais leur parole devait suffire. Ne pas y
croire
, ce n’était pas seulement avoir à leur égard une
il leur avait donné un certificat d’identité assez en règle pour les
croire
à l’abri de tous les soupçons. Malheureusement l’
ls ont pu exercer sur les esprits une si profonde influence ; il faut
croire
que c’est sa réputation de savant consciencieux q
l’on comprend sans peine qu’aux savants de ce pays qui n’avaient pas
cru
à l’authenticité des fables anciennes, les nouvel
retracerai point les débats auxquels elles ont donné lieu. M. Maï les
croit
de Phèdre ; mais il en serait plus sûr, dit-il, s
quam prosunt divitiæ. Qu’on scande ces vers et qu’on me dise si l’on
croit
encore que Perotti a pu écrire les fables nouvell
il en a fait un sixième livre ; mais il est probable qu’il n’a jamais
cru
que Phèdre en eût écrit plus de cinq. Il est vrai
; j’y reviens. Le livre II est d’une brièveté qui ne permet pas de le
croire
complet. Si même on s’en tenait purement et simpl
re III les fables, dont, à l’exemple de Pithou, tous les éditeurs ont
cru
devoir former le livre II. Dans le second volume
core d’autres raisons. Après celles que je viens d’exposer, je ne les
crois
pas nécessaires et je les néglige. Le bon sens pu
’année 1822. Comme leurs deux éditions sont dans toutes les mains, je
crois
pouvoir m’abstenir de mentionner celles qu’ils on
érale de celles qui ne nous sont pas parvenues. Et il ne faudrait pas
croire
que c’est là une supposition risquée. La découver
dique sa cote, mais un in-4º, dont l’écriture sur vélin, s’il faut en
croire
Tross279, remonte au xe siècle. Cette appréciati
J’aurais pu me borner à recopier ici une de ces nomenclatures ; j’ai
cru
devoir m’aider de toutes, me servir en même temps
rné d’un dessin d’un genre si identique, qu’au premier aspect j’avais
cru
y voir une fable oubliée par Nilant. Limax ab h
diffère du texte de Nilant par quelques variantes intéressantes, j’ai
cru
devoir lui donner une place dans cette étude sur
rdé à disparaître. Si l’on considère cette hypothèse comme fondée, je
crois
qu’il ne faut l’admettre que dans certaines limit
rmule. Si Gude s’était borné à cette citation, j’aurais été conduit à
croire
que le manuscrit de Wissembourg contenait le text
nuscrit de Wissembourg, comme sa première citation aurait pu le faire
croire
, contenait le texte de Phèdre, ou si au contraire
vait en apparence rendu cette question facile à résoudre : on pouvait
croire
en effet que, pour être édifié, il suffisait de c
? La comparaison ainsi faite m’avait induit en erreur, en me faisant
croire
que le manuscrit de Wissembourg contenait une œuv
avait pu y lire l’analyse sommaire du manuscrit des Fabulæ antiquæ et
croire
que ce qu’il possédait en était bien l’apographe.
yen âge à être fort commun en Italie305. Non seulement Schwabe avait
cru
à l’existence d’un fabuliste nommé Romulus, mais
uliste nommé Romulus, mais encore, à l’imitation de Lessing, il avait
cru
devoir démontrer qu’il ne fallait pas le confondr
n’était que le résultat d’une mauvaise ponctuation, et Schwabe avait
cru
y voir une transposition maladroitement faite par
que soient les manuscrits présentant les leçons qui précèdent, je ne
crois
pas qu’on doive s’y arrêter. D’abord il convient
dicace de Romulus à son fils. Nilant, en homme judicieux, n’avait pas
cru
devoir la mettre en tête des Fabulæ antiquæ, auxq
ns substituées différeront assez peu des vraies, pour qu’on puisse se
croire
devant un spécimen à peu près exact de son texte.
ent écrites, non en prose grecque, mais en vers latins ? J’ai peine à
croire
qu’on se soit au moyen âge si bien souvenu des re
qu’il en a été la source. Je m’empresse de dire que pourtant je ne le
crois
pas. Je pourrais invoquer bien des raisons solide
r à la reconstitution certaine du texte même de ces fables ? Je ne le
crois
pas. À mon avis, toute tentative de ce genre, san
us haut, ajouta à l’auteur anonyme une certaine parure de langage, je
crois
qu’il appartient à l’époque carlovingienne. L’âge
, ne sait quel âge attribuer à celles du manuscrit de Wissembourg, et
croit
que celles de l’anonyme de Nilant ne remontent qu
tif soient, les unes et les autres, dérivées de l’Æsopus ad Rufum, je
crois
pour ma part l’avoir bien établi. Mais qu’il en s
n sache immédiatement quelle sera la part faite à chacune d’elles, je
crois
devoir dès à présent avertir qu’elles seront cons
ancien manuscrit des fables de Romulus, et j’ai de graves raisons de
croire
qu’il ne lui a jamais appartenu. « Ce manuscrit d
pécialement qu’aux latins. Signé : Pierre Crinitus de Florence. » Je
crois
inutile de m’étendre davantage sur le contenu du
du Romulus ordinaire édité d’après la copie de Pierre Crinitus. Je ne
crois
pas utile de prendre une seconde fois la même pei
s sans doute par un copiste un peu trop indépendant qui comprenait et
croyait
pouvoir améliorer ce qu’il écrivait. En outre ce
ui a servi à composer en 1806 son édition des fables de Romulus. Il a
cru
que cet exemplaire était un spécimen unique, lui
. » Je ne m’arrête pas à l’hypothèse que le rédacteur de la notice a
cru
pouvoir risquer sur l’auteur des gravures sur boi
trouvé commode de reproduire la gravure de la fable précédente. Je ne
crois
pas utile de pousser plus loin la comparaison : j
us la cote A. Gr. B. 15, un exemplaire de l’édition de Sorg, que j’ai
cru
reconnaître à la répétition de la même gravure da
ables d’Avianus. Enfin la bibliothèque publique de Linz, s’il faut en
croire
son catalogue, en possède un aussi sous la cote D
ui de la Grenville library. Un examen trop rapide pourrait leur faire
croire
à tort que ce ne sont pas des exemplaires de la m
t est relié avec deux autres ouvrages, qu’à raison de leur contenu je
crois
devoir analyser ici. Le premier est le Speculum S
la table des matières, que, pour indiquer le contenu de l’ouvrage, je
crois
devoir transcrire ici : Capitulum primum est de
thiques et illustré de gravures sur bois, est une réimpression que je
crois
pouvoir attribuer à Hannsen Schönsperger, et qui
e j’aie eu sous les yeux, ils n’ont jamais existé ; ce qui me le fait
croire
, c’est que je n’ai aperçu aucune lacune dans les
ente la figure d’Ésope, porte bien le nombre xv, dans lequel Panzer a
cru
voir la date de 1515352 ; mais Brunet plus judici
D, E, F, G, H, I, K. La pagination, si on ne la vérifiait pas, ferait
croire
à l’existence de 133 feuillets ; mais il n’y en a
à la fin de cet ouvrage, le Romulus du Miroir historial, je n’ai pas
cru
devoir plus haut en reproduire le préambule. Au c
il existe encore des manuscrits nombreux que je pourrais analyser, je
crois
la liste de ceux que j’ai signalés suffisamment l
comprend les 4 miroirs de Vincent de Beauvais ? Ce qui porterait à le
croire
, c’est que Panzer374 qui la signale d’après Maitt
e rendu par Jean de Amerbach à l’illustre Vincent de Beauvais. Panzer
croit
pouvoir lui attribuer une édition in-folio qu’il
e première édition in-folio du Speculum naturale 380 et, s’il faut en
croire
Panzer381, il la réimprima même, vers 1486, dans
direct du Romulus primitif. Pour sortir d’embarras, ce qu’il y a, je
crois
, de mieux à faire, c’est, comme précédemment, de
nt et même celle que, quoiqu’elle n’en fît pas partie, M. Grimm avait
cru
bon de ne pas négliger. Section II. Descriptio
é par des raisons que j’ai alors exposées et qu’aujourd’hui encore je
crois
plausibles396. Mais M. Gaston Paris n’a pas été d
mier que les fables de l’Anonyme étaient issues. À son tour M. Robert
crut
que ce qu’il y avait à décider, c’était si ces fa
n s’est livré sur l’Anonyme de Névelet à des conjectures erronées. Je
crois
avoir trouvé son vrai nom dans un manuscrit dont
e que plus loin je ferai des manuscrits de l’Anonyme de Névelet, j’ai
cru
pouvoir, dans cet exposé, me dispenser de citatio
ranquillement dans leur opinion, et continuent, s’il plaît au ciel, à
croire
que les fables ésopiques en vers élégiaques sont
e prosélytes, et le champ des hypothèses demeura ouvert. S’il faut en
croire
le célèbre Christ410, les uns, oubliant que cette
récepteur de J. Pflugius en Italie412. Adoptant l’opinion que, sans y
croire
, Gyraldi avait signalée, Marcheselli pensa que l’
avait vu un exemplaire dans la riche bibliothèque d’Apostolo Zeno, il
crut
pouvoir les attribuer à Nicolas Jenson, homme let
n, et je ne vois pas pourquoi il auroit mis son nom aux fables : j’ai
cru
quelque temps que ce Galfred ou Gauffred était ce
nom, qu’il me semble difficile de choisir d’une manière certaine : je
crois
, soit dit en passant, que Fabricius attribue à Ge
e au nom de Galfred substituer celui de Garritus ? Voilà ce que je ne
crois
pas. Il ne faut pas oublier quelles erreurs gross
vrai que les ouvrages connus du célèbre Hildebert permettaient de le
croire
l’auteur des fables élégiaques. Lorsqu’on examine
m de Walther par lequel il désigne le véritable auteur. Je fus, je le
crois
du moins, mis par ce texte sur la vraie piste. Co
plus loin. La question de la paternité des fables élégiaques est, je
crois
, maintenant résolue, et je n’y reviendrai plus. D
gements des critiques sur les fables de Walther. On ne saurait
croire
combien ont été différents les uns des autres les
la Bibliothèque nationale. Schwabe, sur la foi du savant Labbé, a
cru
qu’il n’existait à la Bibliothèque nationale qu’u
tres manuscrits, soit avec celles des éditions imprimées. Et qu’on ne
croie
pas que ce soit là une particularité exceptionnel
t, et je les ai comparées avec les leçons adoptées par Rigault. Je ne
crois
pas bien utile de reproduire ce travail comparati
pas conformité complète, cela tient sans doute à ce que Rigault aura
cru
devoir corriger les passages qui lui paraissaient
gneur Jean, duc de Normandie, depuis roi de France, ce qui peut faire
croire
qu’il étoit normand ; il parle aussi de Bonne de
entière destruction dont le temps le menace chaque jour ; nous avons
cru
rendre un véritable service en reproduisant, avec
furent faits, étoit une nouvelle recommandation que nous n’avons pas
cru
devoir négliger. Ce ne sera pas, nous l’espérons,
prise n’a pas été couronnée d’un succès aussi complet qu’il semble le
croire
. Les miniatures de son livre ne sont que la caric
à la traduction du seul texte de Walther. Cette différence me porte à
croire
que l’auteur des additions latines et françaises
Dressler : Dressler n’ayant eu recours qu’à deux manuscrits, il avait
cru
qu’il n’en existait pas d’autre, et que, s’il y e
imine liber. Explicit liber esopus. deo gracias. Amen. S’il faut en
croire
M. Duthillœul, le manuscrit, avant d’entrer à la
ur curiosité. Quoique je désire ne pas m’arrêter aux hors-d’œuvre, je
crois
devoir, à cause de son originalité misanthropique
uffisante pour le faire bien connaître. À raison de son importance je
crois
devoir en donner une analyse plus étendue. Par so
n se compose ensuite de trente-quatre vers, qu’à titre de spécimen je
crois
intéressant de transcrire ici : A son fort bec l
ble tellement par l’écriture gothique et par les miniatures, qu’on le
croirait
écrit par le même copiste et illustré par le même
uleux et peu intelligent bibliophile, qui avait écrit ce titre, avait
cru
pouvoir prendre cette date supposée. Il s’était a
donner la description. Sans les variantes qu’offre le texte latin, je
croirais
que les trois manuscrits émanent du même copiste.
ent la soixantième. Ce classement semble donner raison à ceux qui les
croient
de Walther comme les soixante autres. Comme dans
c certitude l’époque précise de l’apparition de chacune d’elles, j’ai
cru
devoir me dispenser de citer les nombreuses éditi
ui donne à l’édition sa valeur particulière, c’est qu’elle est, je le
crois
du moins, la première qui attribue l’œuvre à Salo
les de Walther à notre époque leur vogue ancienne : aujourd’hui on ne
croit
plus à leur valeur littéraire, et l’intérêt qu’el
s ans à sa prétendue promotion au titre d’abbé de Chichester ; Warton
croit
qu’il ne décéda qu’en 1217 ; d’autres, tels que P
t j’ai dressé la table. J’ai exposé les raisons qui m’empêchent de le
croire
, et je les tiens toujours pour bonnes. J’ajoute q
ste. Ce qui rend la chose encore plus claire, c’est que, s’il faut en
croire
M. du Méril, les deux distiques font défaut dans
dant au classement des nombreux matériaux que j’avais réunis, j’avais
cru
pouvoir leur assigner à tous les trois le même ra
première édition, j’avais exposé au sujet de son origine. Ayant alors
cru
voir dans le manuscrit Burnéien et dans les manus
d’Ésope. 80. Épilogue. Rufus. Épilogue I. Épilogue II Je
crois
qu’il est inutile d’ajouter aucun commentaire à c
cher au classement des fables plus d’importance qu’il ne convient, je
crois
devoir faire remarquer qu’il est en harmonie avec
ature des fables de chacune des collections que j’ai analysées, je ne
crois
pas devoir ici changer de procédé. En conséquence
, la copie prise par Gude du manuscrit de Dijon et l’exemplaire qu’il
croyait
unique de la vieille édition d’Ulm et que pour ce
a compléter. Dans la liste que j’ai précédemment dressée, je n’ai pas
cru
devoir tenir compte de ce second fragment qui ne
érité le surnom de Beau-Clerc, on est tout naturellement conduit à le
croire
le véritable auteur ou tout au moins le véritable
question de savoir si le Romulus anglo-latin existait encore, j’avais
cru
en apercevoir un fragment dans cette collection d
ulus de Nilant et ce mystérieux Romulus anglo-latin, dont j’ai à tort
cru
voir un fragment dans le Romulus Roberti. En effe
37 fables. Il est possible que ce nombre soit le vrai ; mais je ne le
crois
pas. Le premier élément à faire entrer dans la co
autant son personnel (sic) qu’on estimait ses ouvrages. Pour nous qui
croyons
que Marie n’écrivait pas en France, mais en Angle
e soit la gravité du témoignage qui la fortifie, je n’hésite pas à la
croire
fausse. Si l’on acceptait sur la personnalité du
est maintenant la question à résoudre. Pour la trancher, je n’ai pas
cru
devoir m’en rapporter à son éditeur. M. de Roquef
uatre vers et se termine par ces deux derniers, que M. de Roquefort a
cru
devoir emprunter à ce manuscrit et publier, mais
nuscrit en possède non 93, comme un numérotage inexact porterait à le
croire
, mais seulement 92. Les manquantes sont celles qu
on a donné ensuite le nom de Romulus Roberti, et dans lesquelles j’ai
cru
reconnaître un fragment du Romulus anglo-latin, e
nsi. Sans doute le Romulus anglo-latin a péri ; mais il est permis de
croire
que dans la version poétique de Marie, quoiqu’ell
t-il, ainsi que l’examen isolé de la première fable pourrait le faire
croire
, considérer ce recueil comme une imitation abrégé
les résultats qu’il donnerait me semblent tout indiqués. On peut, je
crois
, tenir dès maintenant pour certain que, en dehors
a dû être écrit. Sur ce point, je n’ai que quelques mots à dire : je
crois
qu’à défaut d’autre élément d’appréciation, il fa
vec les fautes dont elle fourmillait. Dans cette situation chacun, je
crois
, sera d’avis qu’en publiant, d’après le manuscrit
aire paraître. Seulement, au lieu d’en faire une édition complète, il
crut
devoir ne publier, à la suite du Romulus Burnéien
désire, c’est avant tout le triomphe de la vérité. Au surplus, je ne
crois
pas qu’on doive trouver, dans la révélation que j
n’en avait pas non plus été le père. Allant maintenant plus loin, je
crois
pouvoir ajouter que le Dérivé complet, quoique mo
entre eux un air de famille qui frappe. Après les avoir comparés, je
crois
pouvoir affirmer qu’ils sont la copie l’un de l’a
piste à qui sont dues ces suppressions ne s’en est pas tenu là ; il a
cru
devoir faire au texte quelques corrections. Enfin
é : le Romulus anglo-latin a d’abord été composé en Angleterre, et je
crois
pouvoir ajouter qu’il ne s’est pas propagé au deh
Le manuscrit finit avec la fable cxxv, et je ne vois aucune raison de
croire
qu’il soit à la fin mutilé, puisqu’il conclut par
ystème d’enseignement préconisé par Quintilien. Quant à moi, je ne le
crois
pas et je suis convaincu que, lorsqu’on saura à q
existe une autre moins ancienne que j’ai déjà publiée et dont j’avais
cru
à tort être le premier éditeur. Je veux parler de
on, M. Thomas Wright lui assigne le xiiie siècle, et pour ma part je
crois
cette opinion très admissible. § 2. — Manuscri
ésentent, et, quoique ces variantes soient très fautives, je n’ai pas
cru
devoir les négliger ; dans le second volume de ce
Museum. § 3. — Édition unique. J’ai dit qu’à tort j’avais
cru
être le premier éditeur des fables du Dérivé ryth
s sine causa innocentes opprimunt. Devant ce second exemple, on peut
croire
que l’auteur du Romulus de Berne connaissait Phèd
testé par trop de manuscrits pour être contestable. Mais ce que je ne
crois
pas, c’est que pour une seule et même fable ils a
ses Apes Urbanæ, Léon Allatius l’appelle Jacob Schioppi de Vérone. Je
crois
néanmoins qu’il ne faut pas le confondre avec son
, l’homme veut du mal à l’un, et qu’il ayme l’autre, à cause qu’il le
croit
sa moitié, comme se l’imagine le Poëte Aristophan
estant d’ordinaire beaucoup plus traictable que le meschant, il est à
croire
, qu’il prendra nos excuses en meilleure part, et
u’à moy ». Xanthus rasseuré par ces paroles d’Esope, se resolut de le
croire
, et ne faillist point le lendemain de se trouver
▲