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1 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XX. Le Coq et la Perle. » p. 503
oq détourna
 Une Perle qu’il donna
 Au beau premier Lapidaire.
 Je la crois fine, dit-il,
 Mais le moindre grain de mil
 Sero
t herita
 D’un manuscrit qu’il porta Chez son voisin le Libraire.
 Je crois , dit-il, qu’il est bon ;
 Mais le moindre ducaton
2 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XII. Les Medecins. » p. 114170
paya le tribut à Nature ; Aprés qu’en ses conseils Tant-pis eust esté cru . Ils triomphoient encor sur cette maladie. L’un d
maladie. L’un disoit, Il est mort, je l’avois bien prévû. S’il m’eust cru , disoit l’autre, il seroit plein de vie.
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — VII. La Besace. » p. 266
ais pour mon frere l’Ours, on ne l’a qu’ébauché. Jamais, s’il me veut croire , il ne se fera peindre. L’Ours venant là-dessus,
il me veut croire, il ne se fera peindre. L’Ours venant là-dessus, on crut qu’il s’alloit plaindre. 
Tant s’en faut ; de sa
4 (1180) Fables « Marie de France, n° 63. Le cheval et la haie » p. 673
Marie de France, n° 63 Le cheval et la haie Un cheval vit u herbe crut dedenz un pré, mes n’aparut la haie dunt fu clos
5 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCV. Du Singe, et de ses Enfans. »
Cela procede en nous, de ce que nostre volonté estant des-ja liée, le croit estre avecque raison, si bien qu’ayant pris peu à
espece de Loy, qui ne nous permet plus de les mes-estimer, ny de les croire defectueux, mais elle attache constamment nostre
nt ; bref, il faut corriger les fautes des nostres, mais non pas n’en croire aucunes en eux. Telles sont pour le jourd’huy la
6 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — X. La Montagne qui accouche. » p. 520
’enfant, Jettoit une clameur si haute, Que chacun au bruit accourant, Crut qu’elle accoucheroit, sans faute, D’une Cité plus
7 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XIII. La Poule aux œufs d’or. » p. 87
Poule, à ce que dit la Fable, Pondoit tous les jours un œuf d’or. Il crut que dans son corps elle avoit un tresor. Il la tu
8 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — VII. Le Mulet se vantant de sa Genealogie. » p. 315
prétendoit, pour cela, Qu’on le dust mettre dans l’Histoire. Il eust cru s’abaisser servant un Medecin. Estant devenu vieu
9 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XVI. La mort et le Buscheron. » p. 60
sembles belle !
 Vien viste, vien finir ma fortune cruelle.
 La mort crut , en venant, l’obliger en effet.
 Elle frappe à sa
ue j’y fais entrer, et qui est si beau et si à propos que je n’ay pas cru le devoir omettre. 


 Un pauvre Bucheron tout c
10 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XVI. Le Serpent et la Lime. » p. 93
ns à rien cherchez sur tout à mordre, Vous vous tourmentez vainement. Croyez -vous que vos dents impriment leurs outrages Sur t
11 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XIV. Le Lion malade, et le Renard. » p. 142
nce. Que sa Majesté nous dispense. Grammercy de son passe-port. Je le crois bon ; mais dans cet antre Je vois fort bien comme
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXX. Du Loup, et de la Teste peinte. »
t dans l’Escriture, « Faisons l’homme à nostre ressemblance ». Car de croire qu’il ait voulu entendre par là des traicts de vi
onté. Car l’entendement ne desire rien cognoistre que pource qu’il le croit vray ; et la volonté ne desire rien aymer, qu’à c
roit vray ; et la volonté ne desire rien aymer, qu’à cause qu’elle le croit bon. Tellement que c’est avoir l’ame plus belle,
13 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 117 » p. 93
pria de lui donner quelque chose. « Tu es bonne, répliqua la lime, de croire que tu obtiendras quelque chose de moi : j’ai l’h
14 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 219 » p. 153
le faire ; mais un vieux bélier s’écria : « Comment pourrais-je vous croire et vivre avec vous, alors que, même sous la garde
15 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XVII. La Belette entrée dans un Grenier. » p. 24
nd quelque bruit, veut sortir par le trou,
 Ne peut plus repasser, et croit s’estre méprise.
 Aprés avoir fait quelques tours
16 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XIX. L’Oracle et l’Impie. » p. 36
fait, il le fait à leurs yeux ; Même les actions que dans l’ombre il croit faire. Un Payen qui sentoit quelque peu le fagot,
17 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — V. Le Renard ayant la queuë coupée. » p. 17
x ? Que nous sert cette queue ? Il faut qu’on se la coupe. Si l’on me croit , chacun s’y resoudra. Votre avis est fort bon, di
18 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — III. Le Loup plaidant contre le Renard pardevant le Singe. » p. 474
it manquer condamnant un pervers. Quelques personnes de bon sens ont cru que l’impossibilité et la contradiction qui est d
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE C. Du Pescheur, et d’un petit Poisson. »
s pretentions, non seulement petites, mais encore mal asseurées. Nous croyons bien tous que les dons du Ciel ne se corrompent j
ous vous estes vangez, vous devez attendre le retour aussi ; Il est à croire qu’on se vangera de vos vengeances, et que ce ne
plustost de l’un que de l’autre ; N’est-ce pas se flatter, que de le croire trop facilement ? Mais je suppose que vous soyez
ents vous privent de ce que vous aymez le plus ; comment pourrez vous croire certaine la possession de vostre grandeur, et la
de mots remarquables, et d’illustres actions ? Certes, il n’est pas à croire que de tant de milliers de personnes, qui ont ves
20 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 64 » p. 38
ts ont beau faire profession de vertu : leur caractère empêche de les croire .
21 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XVII. Le Liévre et la Perdrix. » p. 473
tes pieds ? Au moment qu’elle rit, Son tour vient, on la trouve. Elle croit que ses aisles La sçauront garentir à toute extre
22 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 335 » p. 241
e c’était la cigale. « Tu te trompes, compère, lui dit-elle, si tu as cru que je descendrais : je me défie des renards depu
23 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XII. Le Dragon à plusieurs testes, et le Dragon à plusieurs queuës. » p. 
e Hydre au travers d’une haye.
 Mon sang commence à se glacer,
 Et je crois qu’à moins on s’effraye.
 Je n’en eus toutefois q
24 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 258 » p. 175
alchanceux que, même en obligeant leurs voisins, ils ne peuvent faire croire à leur bienfaisance.
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXV. De la Grenoüille, et du Bœuf. »
raison d’une Grenoüille à un Bœuf ». Elle toutesfois n’en voulut rien croire , et s’enfla derechef plus qu’auparavant : Ce qui
26 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — III. Le Loup devenu Berger. » p. 451
Loup qui commençoit d’avoir petite part Aux Brebis de son voisinage,
 Crut qu’il faloit s’aider de la peau du Renard,
 Et fa
27 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — VI. Le Renard, le Singe, et les Animaux. » p. 81
n petit compliment : Il dit au Roy : Je sçay, Sire, une cache ; Et ne crois pas qu’autre que moy la sçache. Or tout tresor pa
28 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XI. L’Asne et ses Maistres. » p. 179
re, Ce Baudet-cy m’occupe autant Que cent Monarques pourroient faire. Croit -il estre le seul qui ne soit pas content ? N’ay-j
29 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 302 » pp. 201-201
ssée par la soif, ayant aperçu un cratère d’eau peint sur un tableau, crut qu’il était véritable. Aussi, descendant à grand
30 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — IV. Les Grenoüilles qui demandent un Roy. » p. 44
laindre ;
 Et Jupin de leur dire : Et quoy ! vostre desir
 A ses loix croit -il nous astraindre ?
 Vous avez dû premierement

31 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — VI. Le combat des Rats et des Belettes. » p. 165
une armée. Les Belettes de leur part Déployerent l’étendard. Si l’on croit la Renommée, La Victoire balança. Plus d’un Guere
32 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — X. Le Lievre et la Tortuë. » p. 226
endant méprise une telle victoire, Tient la gageure à peu de gloire ; Croit qu’il y va de son honneur De partir tard. Il brou
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIII. Du Corbeau, et du Renard. »
nt voir que tu surpasses la neige en blancheur ? Certes, s’il en faut croire mon jugement, je treuve que tu as de l’avantage p
e blanc. Que si ta voix estoit aussi excellente que tes plumes, je ne croirois pas mentir, si je t’appellois le Roy des Oyseaux 
remier, l’experience fait voir aux Grands, qu’ils se trompent fort de croire qu’ils soient purement et veritablement aymez. Ca
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVIII. Des Taureaux, et du Lion. »
ne m’arresteray donc pas d’avantage sur ceste matiere, pource que je croirois estre ennuyeux au Lecteur, quand mesme j’alleguer
35 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XII. La Colombe et la Fourmy. » p. 235
ar hazard avoit une arbaleste. Dès qu’il void l’Oiseau de Venus Il le croit en son pot, et déjà luy fait feste. Tandis qu’à l
36 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XVIII. La Chate metamorphosée en Femme. » p. 50
n’y trouve plus rien de Chate : Et poussant l’erreur jusqu’au bout La croit femme en tout et par tout. Lors que quelques Sour
37 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — VII. Le Singe et le Daufin. » p. 73
fort amy De nostre espece ; En son Histoire Pline le dit, il le faut croire . Il sauva donc tout ce qu’il pût. Mesme un Singe
38 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 104 » pp. 77-77
rs, se cacha sous une vigne. Ceux-ci l’ayant un peu dépassée, elle se crut dès lors parfaitement cachée, et se mit à brouter
39 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — V. Le Cochet, le Chat et le Souriceau. » p. 716
ble contenance ; Un modeste regard, et pourtant l’œil luisant : Je le crois fort sympatisant Avec Messieurs les Rats ; car il
40 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — FABLE I. Le Meusnier, son Fils, et l’Asne. » p. 721
ier, plus de Veaux à mon âge. Passez vostre chemin, la fille, et m’en croyez . Aprés maints quolibets coup sur coup renvoyez, L
t m’en croyez. Aprés maints quolibets coup sur coup renvoyez, L’homme crut avoir tort, et mit son fils en croupe.
 Au bout d
41 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 259 » pp. 177-177
. Mais les broussailles poussées par le vent s’étant rapprochées, ils crurent voir, non plus un vaisseau de guerre, mais un vai
42 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XX. L’Ours et les deux Compagnons. » p. 65
urs, comme un sot, donna dans ce panneau. Il void ce corps gisant, le croit privé de vie, Et, de peur de supercherie Le tourn
43 (1180) Fables « Marie de France, n° 80. L’aigle, l’autour et la grue » p. 
aver s’il le purreient prendre. Mes [il] ne lur volt pas atendre ; el crus d’un chesne s’esteit mis. Les oiseus l’unt entur
44 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 106 » pp. 75-75
« Vraiment je suis bien malheureuse ; je surveillais la terre que je croyais pleine d’embûches, et la mer, où je comptais trou
45 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 217 » pp. 342-342
 ; et quand vos maîtres mangent, ils ne vous jettent que les os. Mais croyez -nous ; livrez-nous tous les troupeaux et nous les
46 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Par quelle advanture Esope reçeut le don de bien parler. Chapitre IIII. »
sans doute du bon accueil que j’ay fait aux Estrangers. Car il est à croire que pour recognoissance de cela, quelque Dieu m’a
47 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — VIII. La Goute et l’Araignée. » p. 587
au rebours voyant les Palais pleins
 De ces gens nommez Medecins,
 Ne crut pas y pouvoir demeurer à son aise. 
Elle prend l’
48 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XXI. La jeune Veuve. » p. 
une année, Et la Veuve d’une journée, La difference est grande. On ne croiroit jamais Que ce fust la mesme personne. L’une fait
49 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LI. Du Paon, et du Rossignol. »
lles n’y pourroient estre sans miracle. Ce qui ne sera pas mal-aisé à croire , si nous considerons que le cours des choses ne p
est certes beaucoup moins supportable que le premier. Car, de grace, croyons -nous que le stupide et le contre-faict soit de to
50 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXII. D’un Enfant, et de sa Mere. »
mestier, que Promethée et Mercure ont les premiers inventé, s’il faut croire à ce qu’en disent les Poëtes. Mais quant aux autr
n en peut dire de mesme des hommes d’affaires, parmy lesquels je veux croire qu’il y en a plusieurs d’incorruptibles en leur p
51 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 186 » pp. 133-133
viande traversait une rivière. Ayant aperçu son ombre dans l’eau, il crut que c’était un autre chien qui tenait un morceau
52 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du Pays, et de la condition d’Esope. Chapitre J . »
rion, ville de Phrygie, que l’on surnommoit la grande. Ce qui me fait croire tres-veritable ce qu’allegue le divin Platon en s
53 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Invention d’Esope, pour faire retourner sa Maistresse avec Xanthus. Chapitre XIII. »
 : « Seigneur », luy dit-il, « tu ne te fâcheras point, si tu me veux croire , Car je sçay le vray moyen de faire en sorte, que
54 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — VIII. L’Hirondelle et les petits Oyseaux. » p. 39
nu.
 Nous n’écoutons d’instincts que ceux qui sont les nôtres, 
Et ne croyons le mal que quand il est venu.
55 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XIII. L’Astrologue qui se laisse tomber dans un puits. » p. 40
vant qu’ils soient venus ? C’est erreur, ou plutost c’est crime de le croire . Le Firmament se meut ; les Astres font leur cour
56 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XVIII. Le Chat et un vieux Rat. » p. 79511
e
 A de certains cordons se tenoit par la pate.
 Le peuple des Souris croit que c’est châtiment ;
 Qu’il a fait un larcin de
57 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — III. La Moûche et la Fourmy. » p. 521
dit. Et quant à goûter la premiere De ce qu’on sert devant les Dieux, Croyez -vous qu’il en vaille mieux ? Si vous entrez par t
58 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du second service de Langues. Chapitre XV. »
t de plus vil prix ? à quel propos donc nous veux-tu servir ce que tu crois estre meilleur, et plus excellent que toute autre
59 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — FABLE I. Contre ceux qui ont le goust difficile. » p. 
sope : Le mensonge et les vers de tout temps sont amis. Mais je ne me crois pas si cheri du Parnasse, Que de sçavoir orner to
60 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVIII. Le Vieillard et ses enfans. » p. 53
ut que je vous montre Ce que ma force peut en semblable rencontre. On crut qu’il se moquoit ; on soûrit, mais à tort. Il sep
61 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 266 » pp. 180-180
comme il arrivait au bord d’une rivière avec une charge d’éponges, il crut que, s’il se laissait tomber encore, il se relève
62 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — VIII. L’Aigle et l’Escarbot. » p. 3
que des Dieux enfin implore l’aide ; Dépose en son giron ses œufs, et croit qu’en paix Ils seront dans ce lieu, que pour ses
63 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ne laisse entrer qu’un seul de tous ceux que son Maistre avoit conviez. Chapitre XXI. »
aye ? » « C’est en effect une verité », dirent-ils « du moins nous la croyons telle, si nous ne resvons ». A ces mots Xanthus t
64 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVI. Du Lion, et du Renard. »
soit tournée en arriere, et qui ne regarde ta caverne. Ce qui me fait croire que plusieurs bestes y sont voirement entrées ; m
65 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXV. Du Renard, trahy par le Coq. »
eureux que je suis ! », s’escria-t’il, « n’ay-je pas esté bien fol de croire que le Coq me seroit fidele, apres luy avoir tué
66 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVII. De deux Escrevices. »
leur exemple ? N’est-ce pas une espece de brutalité, ou de folie, de croire que leurs conseils seront authorisez par la Jeune
67 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVI. Le Loup, la Mere et l’Enfant. » p. 158
cueille à propos, Et les garde en sa memoire. La Bique, comme on peut croire , N’avoit pas vû le glouton. Dés qu’il la voit par
68 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Xanthus fait un present d’Esope à sa femme. Chapitre VIII. »
», continüa la servante, « n’entre point dans le logis, si tu me veux croire , autrement tout le monde s’enfuira ». Comme elle
que vous voulez avoir une autre femme que moy. Certes, il est bien à croire , que n’osant sans honte me dire, que je sorte de
69 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du present fait à la maistresse de Xanthus. Chapitre XII. »
it alors venir la chienne, et s’adressant à Xanthus : « Il est bien à croire  », adjousta-il, « que celle-cy t’ayme grandement 
n’estoit pas d’humeur de rien faire qu’à sa teste, ne voulut point le croire , et le quittant là, se retira chez ses parents. C
70 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — FABLE I. Le Buscheron et Mercure. » p. 173
t. Elle n’est pas perduë, Luy dit ce Dieu, la connoîtras-tu bien ? Je crois l’avoir prés d’icy rencontrée. Lors une d’or à l’
71 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVIII. De l’Arondelle, et des autres Oyseaux. »
les, ô que si je l’eusse pensé ! Or outre le mal qui nous vient de ne croire un bon amy, qui nous conseille fidellement, il en
72 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVIII. De l’Esprevier, et de la Colombe. »
et serviteur de Saladin leur Roy ? Tout de mesme avons-nous sujet de croire , qu’une autre nation vengera ceux du Levant des v
73 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLV. Du Loup, et du Chien. »
cieuses. Avecques cela, je ne dors jamais à découvert, et n’est pas à croire combien je suis agreable à tous ceux de la maison
 ». Discours sur la quarante-cinquiesme Fable. Nous pouvons bien croire Esope sur la douceur de la liberté, pour avoir de
74 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »
ance de la chasteté d’une femme, les autres ne sont pas d’humeur à le croire . L’extrême inégalité des deux partis paroist clai
à ? Pourquoy feront-ils manger leur bien à une ennemie ? Car il est à croire que s’ils ne l’aiment point dés le commencement d
ils se doivent proposer les malheurs que j’ay des jà representez, et croire qu’ils les communiqueront tous à la personne qu’i
75 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 319 » pp. 210-210
montre que les menteurs ne gagnent qu’une chose, c’est de n’être pas crus , même lorsqu’ils disent la vérité. Chambry 31
76 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVI. Du Chévreau, et du Loup. »
urnent incessamment la chose en la pire partie. Or ne devons-nous pas croire , que le sens et l’experience manquant aux jeunes
77 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIX. De la Grenoüille, et du Renard. »
ncore que toute sorte de feincte soit odieuse, quand on se veut faire croire plus excellent que l’on n’est, celle là toutesfoi
78 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
merveilles, la consideration desquelles a convié beaucoup de gents à croire qu’ils estoient capables de raisonner ; Ce qui to
re jusques à la fin des siecles, donna sujet à ceste opinion, et fist croire à beaucoup de gents, que les esprits vertueux avo
n peut dire raisonnablement là dessus : car il m’est permis, ou de ne croire pas cét exemple, ou de le croire avec ceste condi
ssus : car il m’est permis, ou de ne croire pas cét exemple, ou de le croire avec ceste condition, que son Precepteur l’avoit
re heureuse, que d’aucun raisonnement. Quant aux voix des animaux, je crois bien qu’elles sont un signe naturel de leurs appe
à propos de s’imaginer qu’ils le fassent par art ; mais il est bien à croire que si nostre Esope n’eust point eu de plus excel
79 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIV. De l’Asne, et du Lion. »
voir fuyr le Lion devant luy, vient à tel point de stupidité, que de croire que ce soit à son occasion. Telle espece d’orguei
80 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVII. Du Liévre, et de la Tortuë. »
; « Mal-advisé que tu es », luy dit-il, « apprends une autrefois à ne croire point ta folle teste, et à te servir de tes jambe
81 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXI. De Venus, et d’une Chatte. »
et nous fait rechercher avecque soin le violement de ceste loy. Nous croyons que les Legislateurs, ou les Magistrats, nous en
ve d’une femme mariée : puis il vient à cajoler la vefve, et il est à croire que s’il trouvoit une Androgine, elle n’échappero
82 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 185 » pp. 134-134
graisserai et je serai pour toi un manger plus agréable. » Le loup le crut et s’en alla. À quelque temps de là il revint, et
83 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VII. Du Loup, et de la Gruë. »
ir franchy toutes les regles de la nature et de la Religion, est-il à croire que tels ingrats observent les loix d’une simple
84 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXII. De la Mouche, et du Chariot. »
que ceste comparaison du Presomptueux à la Mouche. Car il n’est pas à croire combien grande est la foiblesse de ceste sorte d’
85 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVIII. Du Berger, et du Loup . »
tois aussi adroit à les commenter, qu’Esope le fût à les faire, je ne croirois pas qu’il y eût au monde un meilleur ouvrage que
86 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVIII. De l’Ours, et des Mouches à Miel. »
t ; Car alors s’ils en reçoivent le moindre déplaisir, il n’est pas à croire combien est grande la violence où leur passion le
87 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Le voyage d’Esope en Delphes. Chapitre XXIX. »
ay pas moins d’amour pour toy, que j’en avois pour ma femme ; Je veux croire aussi, que de ton costé tu m’aymeras comme tu as
88 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIX. Du Renard, et de la Cigongne. »
ongne de tout manger. Discours sur la vingt-neufviesme Fable. Te crois -tu si remply de finesse, ô fallacieux Renard, que
89 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CII. De l’Enfant, et du Larron. »
permettez qu’il se soüille de si bonne heure de vos ordures ? Comment croyez -vous qu’il soit benit de Dieu, si vous en faites
90 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
abondamment, d’autant que leur naturel ardant et vigoureux leur fait croire toutes choses faciles, et les porte vertement aux
Dieu plus dur et plus insensible que le metail mesme, n’estant pas à croire qu’il écoute ceux qui l’auront oublié pour une Cr
Dans nostre Religion mesme on nous permet, voire on nous conseille de croire que les metaux precieux, et les thresors, sont en
ra vivre en ceste condition, et demeurer homme de bien : car il est à croire , qu’un naturel moderé parmy les richesses, ne ser
91 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La vente d’Esope. Chapitre V. »
st-ce pourtant », adjoûta Esope, « que tu m’achepteras, si tu me veux croire , et je m’asseure que tu ne seras pas fâché de m’a
92 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XV. De l’Asne, et du Chien. »
re une dispute Philosophique, que l’allegorie d’une Fable. Puis je ne crois pas qu’il soit necessaire d’en alleguer d’avantag
93 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXI. Du Dieu Mercure, et d’un Charpentier. »
lat de leur ostentation, il ne s’ensuit pas pour cela qu’on les doive croire heureux. Il faut attendre la fin avant qu’en juge
94 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXV. De la Nourrice, et du Loup. »
er aux paroles d’une femme. Ce qui peut bien estre vray, s’il en faut croire divers Autheurs, et particulierement les Poëtes.
95 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVII. Du Taureau, et du Rat. »
veloppe le crane et la chair, à combien plus forte raison devons-nous croire que ce puissant Protecteur garantira ses membres
96 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIX. De la femelle du Singe, et de ses deux Enfants. »
s, chez qui la santé florissoit, à l’égal de la Vertu. Il n’est pas à croire que la Mere de Massinissa l’eust caressé et dorlo
97 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
encore sur toutes les œuvres latines qui en ont été l’imitation, j’ai cru devoir diviser mon ouvrage en trois livres consac
-elles la source unique à laquelle ont puisé ses biographes. Qu’on ne croie pas pourtant qu’il en soit résulté entre eux une
si, il était encore loin de la vieillesse. Mais c’est inutilement, je crois , donner de ce mot une interprétation fausse, que
s qui s’offraient à lui, il n’avait fait aucun choix. S’il fallait en croire Scheffer, ce serait le désir de la vengeance qui
n 188130, quoique ayant l’intuition de leur erreur, je ne m’étais pas cru l’autorité nécessaire pour me permettre de me sép
maintenant rechercher quelles sont celles dans lesquelles Séjan avait cru deviner des allusions hostiles ? Cela me semble f
les susceptibilités de Séjan. Je ne partage pas cette opinion, et je crois qu’aucune des fables qui l’avaient irrité, ne nou
ann, tout en reconnaissant que Phèdre a vécu sous le règne de Tibère, croit pouvoir induire du premier épilogue du livre IV e
on seulement écrites, mais encore connues avant la chute de Séjan. Il croit que la première était dirigée contre ce dernier e
pour entraver ses projets. Dans la deuxième fable, le Père Desbillons croyait que, par le soliveau, Phèdre avait désigné Tibère
tentes une allusion satirique au gouvernement de Tibère. Seulement il croit qu’il n’était pas désigné par le soliveau, et qu’
sur l’époque de l’apparition de ses deux premiers livres. Voilà, je crois , la vérité ; c’est faute de l’avoir ainsi envisag
es poursuites et que sa condamnation n’a pas encore été prononcée. Je crois , pour moi, qu’à défaut de documents contraires, l
avoir été son principal protecteur ; j’ai nommé Particulon. Il est à croire que, comme Eutyque, Particulon était un affranchi
par la fausse division qu’il a faite des cinq livres de Phèdre. Il a cru que c’était, non le quatrième livre, mais le cinq
ri adscripserunt Praxitelen suo. Malheureusement on est obligé de le croire sur son affirmation ; car il reste si peu de chos
erstition n’avait point de prise, qui se moquait des sorciers, qui ne croyait pas au merveilleux, et qui pensait que le raisonn
cacher, en aurait laissé longtemps ignorer l’existence. Je ne puis le croire . Qu’on se rappelle les dates. C’est en 1562 que l
ie  siècle, dans la famille Le Peletier. Il ne faudrait pas cependant croire qu’il provenait de la succession de François Pith
manuscrit connu de Gude fut celui de Reims. Beaucoup, comme Lessing, croyaient que le manuscrit de Pithou n’existait plus. Il s’
qui pourtant était facilement visible. Voilà la vérité ; il était, je crois , important de la révéler. Car, ainsi qu’on le ver
de la comédie intitulée : Querolus ou Aulularia, qui y est jointe. Je crois que vous n’aurez point de peine à vous persuader
mencement du suivant. J’en envoyai un spécimen à M. de Foncemagne. Je crus même qu’il ne serait pas inutile d’en donner une
ut, avant d’avoir pu exécuter son projet. Après sa mort, s’il faut en croire Barbier, ses manuscrits furent achetés par M. Ren
la peine de publier les variantes signalées par Dom Vincent, n’a pas cru devoir reproduire en même temps dans son intégral
Gude de ne désigner par les lettres MS que le manuscrit de Reims, je crois qu’on doit accepter cette hypothèse comme vraie,
variante forte et dans la fable xi la variante ut ipse, Dom Vincent a cru apercevoir forti et ipse ut. Quand on est obligé
our différer de la précédente, n’en est pas moins fausse. Ils avaient cru que Pithou avait publié les fables de Phèdre d’ap
et la similitude qui existait entre les deux manuscrits pouvait faire croire que celui de Reims n’était autre que celui qui av
Dom Vincent en marge de l’édition classique de 1743, on est tenté de croire que les deux copistes avaient dû puiser à deux so
yen terme, lui assigne le viiie  siècle. Au contraire le Père Brotier crut reconnaître que celui de Pithou était du ixe  siè
s’exprime dans une langue étrangère (la latine). Ces mêmes auteurs le croient Grec, et peut-être un Marseillais, antérieur à la
siècle (ibid. p. 93, not. col. 1). “Vossius, écrit en effet D. Rivet, croit que c’est à Rutilius (Claudius Rutilius Numatianu
e cette comédie les suivait dans le manuscrit de Reims, Dom Vincent a cru pouvoir l’attribuer à Phèdre, la raison qui l’a d
une époque relativement peu éloignée de sa mort, a porté Angelo Maï à croire qu’il ne devait pas être originaire d’Arezzo et q
ment les 21 premières fables du IIe livre139. » À lire ces lignes, on croirait que le manuscrit n’existait plus. Comme aucun sav
’ai donc à m’occuper du sien ; mais, avant de parler de l’ouvrage, je crois devoir dire d’abord quelques mots de l’auteur. Il
pas l’autographe de d’Orville162. Aujourd’hui je vais plus loin : je crois que le collège n’en a possédé aucune. Rétablisson
-t-il ainsi voulu se référer à un Manuscriptus Parisiensis ? Je ne le crois pas, et je suis persuadé que c’est le manuscrit d
e Perotti. Peut-être, à raison de cette circonstance, Philippe a-t-il cru naturel de l’appeler Parmensis. Il ne faut pas, e
vait chargé un sieur Gargiulli d’en faire une copie. Mais, si l’on en croit Cassitto, ni l’un ni l’autre n’avaient aperçu qu’
iées par J.-Ant. Cassitto. Cette apparition m’émut, non pas que je me crusse devancé dans la conquête de je ne sais quelle pet
reddere, ce qui seul est vraiment naturel, etc. « Nous n’aurions pas cru que cela pût avoir de l’intérêt ni pour nous, ni
et qu’on put juger du texte par une publication exacte, on commença à croire à l’authenticité, et partout, dès l’année 1812, o
de lui en faire un grand reproche. Ainsi que je l’ai déjà dit, je ne crois pas qu’il ait de prime abord destiné son recueil
s nécessité, ne lui étaient pas aussi antipathiques qu’on pourrait le croire . Pourquoi donc, s’il avait trouvé les mêmes mots
l’égard de Phèdre, eût pu fouler aux pieds ses propres principes. Je crois que Jannelli s’est laissé aller à le défendre out
es, est le même que celui dont parle Martial ? Ils veulent nous faire croire qu’il fut affranchi de César Auguste, que par le
me borne à ces courts extraits. Ce qui en ressort, c’est que Burmann croit trouver dans le manuscrit découvert par d’Orville
it, et Perotti serait un plagiaire ! Non, je ne puis me résoudre à le croire . Et quant aux vers, qui complètent la dédicace et
que l’œuvre d’autrui qui puisse s’apprécier ainsi. En voilà assez, je crois . S’il existe encore des sceptiques, je les engage
n audace, quelques-uns s’empressèrent de relever le passage oublié et crurent y trouver la justification de sa thèse. Si les fa
mi ses Ouvrages, et que l’y ayant retrouvée dans un âge avancé il ait cru réellement l’avoir faite. Ce qui est d’autant plu
vait donné la description ; mais leur parole devait suffire. Ne pas y croire , ce n’était pas seulement avoir à leur égard une
il leur avait donné un certificat d’identité assez en règle pour les croire à l’abri de tous les soupçons. Malheureusement l’
ls ont pu exercer sur les esprits une si profonde influence ; il faut croire que c’est sa réputation de savant consciencieux q
l’on comprend sans peine qu’aux savants de ce pays qui n’avaient pas cru à l’authenticité des fables anciennes, les nouvel
retracerai point les débats auxquels elles ont donné lieu. M. Maï les croit de Phèdre ; mais il en serait plus sûr, dit-il, s
quam prosunt divitiæ. Qu’on scande ces vers et qu’on me dise si l’on croit encore que Perotti a pu écrire les fables nouvell
il en a fait un sixième livre ; mais il est probable qu’il n’a jamais cru que Phèdre en eût écrit plus de cinq. Il est vrai
; j’y reviens. Le livre II est d’une brièveté qui ne permet pas de le croire complet. Si même on s’en tenait purement et simpl
re III les fables, dont, à l’exemple de Pithou, tous les éditeurs ont cru devoir former le livre II. Dans le second volume
core d’autres raisons. Après celles que je viens d’exposer, je ne les crois pas nécessaires et je les néglige. Le bon sens pu
’année 1822. Comme leurs deux éditions sont dans toutes les mains, je crois pouvoir m’abstenir de mentionner celles qu’ils on
érale de celles qui ne nous sont pas parvenues. Et il ne faudrait pas croire que c’est là une supposition risquée. La découver
dique sa cote, mais un in-4º, dont l’écriture sur vélin, s’il faut en croire Tross279, remonte au xe  siècle. Cette appréciati
J’aurais pu me borner à recopier ici une de ces nomenclatures ; j’ai cru devoir m’aider de toutes, me servir en même temps
rné d’un dessin d’un genre si identique, qu’au premier aspect j’avais cru y voir une fable oubliée par Nilant. Limax ab h
diffère du texte de Nilant par quelques variantes intéressantes, j’ai cru devoir lui donner une place dans cette étude sur
rdé à disparaître. Si l’on considère cette hypothèse comme fondée, je crois qu’il ne faut l’admettre que dans certaines limit
rmule. Si Gude s’était borné à cette citation, j’aurais été conduit à croire que le manuscrit de Wissembourg contenait le text
nuscrit de Wissembourg, comme sa première citation aurait pu le faire croire , contenait le texte de Phèdre, ou si au contraire
vait en apparence rendu cette question facile à résoudre : on pouvait croire en effet que, pour être édifié, il suffisait de c
? La comparaison ainsi faite m’avait induit en erreur, en me faisant croire que le manuscrit de Wissembourg contenait une œuv
avait pu y lire l’analyse sommaire du manuscrit des Fabulæ antiquæ et croire que ce qu’il possédait en était bien l’apographe.
yen âge à être fort commun en Italie305. Non seulement Schwabe avait cru à l’existence d’un fabuliste nommé Romulus, mais
uliste nommé Romulus, mais encore, à l’imitation de Lessing, il avait cru devoir démontrer qu’il ne fallait pas le confondr
n’était que le résultat d’une mauvaise ponctuation, et Schwabe avait cru y voir une transposition maladroitement faite par
que soient les manuscrits présentant les leçons qui précèdent, je ne crois pas qu’on doive s’y arrêter. D’abord il convient
dicace de Romulus à son fils. Nilant, en homme judicieux, n’avait pas cru devoir la mettre en tête des Fabulæ antiquæ, auxq
ns substituées différeront assez peu des vraies, pour qu’on puisse se croire devant un spécimen à peu près exact de son texte.
ent écrites, non en prose grecque, mais en vers latins ? J’ai peine à croire qu’on se soit au moyen âge si bien souvenu des re
qu’il en a été la source. Je m’empresse de dire que pourtant je ne le crois pas. Je pourrais invoquer bien des raisons solide
r à la reconstitution certaine du texte même de ces fables ? Je ne le crois pas. À mon avis, toute tentative de ce genre, san
us haut, ajouta à l’auteur anonyme une certaine parure de langage, je crois qu’il appartient à l’époque carlovingienne. L’âge
, ne sait quel âge attribuer à celles du manuscrit de Wissembourg, et croit que celles de l’anonyme de Nilant ne remontent qu
tif soient, les unes et les autres, dérivées de l’Æsopus ad Rufum, je crois pour ma part l’avoir bien établi. Mais qu’il en s
n sache immédiatement quelle sera la part faite à chacune d’elles, je crois devoir dès à présent avertir qu’elles seront cons
ancien manuscrit des fables de Romulus, et j’ai de graves raisons de croire qu’il ne lui a jamais appartenu. « Ce manuscrit d
pécialement qu’aux latins. Signé : Pierre Crinitus de Florence. » Je crois inutile de m’étendre davantage sur le contenu du
du Romulus ordinaire édité d’après la copie de Pierre Crinitus. Je ne crois pas utile de prendre une seconde fois la même pei
s sans doute par un copiste un peu trop indépendant qui comprenait et croyait pouvoir améliorer ce qu’il écrivait. En outre ce
ui a servi à composer en 1806 son édition des fables de Romulus. Il a cru que cet exemplaire était un spécimen unique, lui
. » Je ne m’arrête pas à l’hypothèse que le rédacteur de la notice a cru pouvoir risquer sur l’auteur des gravures sur boi
trouvé commode de reproduire la gravure de la fable précédente. Je ne crois pas utile de pousser plus loin la comparaison : j
us la cote A. Gr. B. 15, un exemplaire de l’édition de Sorg, que j’ai cru reconnaître à la répétition de la même gravure da
ables d’Avianus. Enfin la bibliothèque publique de Linz, s’il faut en croire son catalogue, en possède un aussi sous la cote D
ui de la Grenville library. Un examen trop rapide pourrait leur faire croire à tort que ce ne sont pas des exemplaires de la m
t est relié avec deux autres ouvrages, qu’à raison de leur contenu je crois devoir analyser ici. Le premier est le Speculum S
la table des matières, que, pour indiquer le contenu de l’ouvrage, je crois devoir transcrire ici : Capitulum primum est de
thiques et illustré de gravures sur bois, est une réimpression que je crois pouvoir attribuer à Hannsen Schönsperger, et qui
e j’aie eu sous les yeux, ils n’ont jamais existé ; ce qui me le fait croire , c’est que je n’ai aperçu aucune lacune dans les
ente la figure d’Ésope, porte bien le nombre xv, dans lequel Panzer a cru voir la date de 1515352 ; mais Brunet plus judici
D, E, F, G, H, I, K. La pagination, si on ne la vérifiait pas, ferait croire à l’existence de 133 feuillets ; mais il n’y en a
à la fin de cet ouvrage, le Romulus du Miroir historial, je n’ai pas cru devoir plus haut en reproduire le préambule. Au c
il existe encore des manuscrits nombreux que je pourrais analyser, je crois la liste de ceux que j’ai signalés suffisamment l
comprend les 4 miroirs de Vincent de Beauvais ? Ce qui porterait à le croire , c’est que Panzer374 qui la signale d’après Maitt
e rendu par Jean de Amerbach à l’illustre Vincent de Beauvais. Panzer croit pouvoir lui attribuer une édition in-folio qu’il
e première édition in-folio du Speculum naturale 380 et, s’il faut en croire Panzer381, il la réimprima même, vers 1486, dans
direct du Romulus primitif. Pour sortir d’embarras, ce qu’il y a, je crois , de mieux à faire, c’est, comme précédemment, de
nt et même celle que, quoiqu’elle n’en fît pas partie, M. Grimm avait cru bon de ne pas négliger. Section II. Descriptio
é par des raisons que j’ai alors exposées et qu’aujourd’hui encore je crois plausibles396. Mais M. Gaston Paris n’a pas été d
mier que les fables de l’Anonyme étaient issues. À son tour M. Robert crut que ce qu’il y avait à décider, c’était si ces fa
n s’est livré sur l’Anonyme de Névelet à des conjectures erronées. Je crois avoir trouvé son vrai nom dans un manuscrit dont
e que plus loin je ferai des manuscrits de l’Anonyme de Névelet, j’ai cru pouvoir, dans cet exposé, me dispenser de citatio
ranquillement dans leur opinion, et continuent, s’il plaît au ciel, à croire que les fables ésopiques en vers élégiaques sont
e prosélytes, et le champ des hypothèses demeura ouvert. S’il faut en croire le célèbre Christ410, les uns, oubliant que cette
récepteur de J. Pflugius en Italie412. Adoptant l’opinion que, sans y croire , Gyraldi avait signalée, Marcheselli pensa que l’
avait vu un exemplaire dans la riche bibliothèque d’Apostolo Zeno, il crut pouvoir les attribuer à Nicolas Jenson, homme let
n, et je ne vois pas pourquoi il auroit mis son nom aux fables : j’ai cru quelque temps que ce Galfred ou Gauffred était ce
nom, qu’il me semble difficile de choisir d’une manière certaine : je crois , soit dit en passant, que Fabricius attribue à Ge
e au nom de Galfred substituer celui de Garritus ? Voilà ce que je ne crois pas. Il ne faut pas oublier quelles erreurs gross
vrai que les ouvrages connus du célèbre Hildebert permettaient de le croire l’auteur des fables élégiaques. Lorsqu’on examine
m de Walther par lequel il désigne le véritable auteur. Je fus, je le crois du moins, mis par ce texte sur la vraie piste. Co
plus loin. La question de la paternité des fables élégiaques est, je crois , maintenant résolue, et je n’y reviendrai plus. D
gements des critiques sur les fables de Walther.     On ne saurait croire combien ont été différents les uns des autres les
la Bibliothèque nationale. Schwabe, sur la foi du savant Labbé, a cru qu’il n’existait à la Bibliothèque nationale qu’u
tres manuscrits, soit avec celles des éditions imprimées. Et qu’on ne croie pas que ce soit là une particularité exceptionnel
t, et je les ai comparées avec les leçons adoptées par Rigault. Je ne crois pas bien utile de reproduire ce travail comparati
pas conformité complète, cela tient sans doute à ce que Rigault aura cru devoir corriger les passages qui lui paraissaient
gneur Jean, duc de Normandie, depuis roi de France, ce qui peut faire croire qu’il étoit normand ; il parle aussi de Bonne de
entière destruction dont le temps le menace chaque jour ; nous avons cru rendre un véritable service en reproduisant, avec
furent faits, étoit une nouvelle recommandation que nous n’avons pas cru devoir négliger. Ce ne sera pas, nous l’espérons,
prise n’a pas été couronnée d’un succès aussi complet qu’il semble le croire . Les miniatures de son livre ne sont que la caric
à la traduction du seul texte de Walther. Cette différence me porte à croire que l’auteur des additions latines et françaises
Dressler : Dressler n’ayant eu recours qu’à deux manuscrits, il avait cru qu’il n’en existait pas d’autre, et que, s’il y e
imine liber. Explicit liber esopus. deo gracias. Amen. S’il faut en croire M. Duthillœul, le manuscrit, avant d’entrer à la
ur curiosité. Quoique je désire ne pas m’arrêter aux hors-d’œuvre, je crois devoir, à cause de son originalité misanthropique
uffisante pour le faire bien connaître. À raison de son importance je crois devoir en donner une analyse plus étendue. Par so
n se compose ensuite de trente-quatre vers, qu’à titre de spécimen je crois intéressant de transcrire ici : A son fort bec l
ble tellement par l’écriture gothique et par les miniatures, qu’on le croirait écrit par le même copiste et illustré par le même
uleux et peu intelligent bibliophile, qui avait écrit ce titre, avait cru pouvoir prendre cette date supposée. Il s’était a
donner la description. Sans les variantes qu’offre le texte latin, je croirais que les trois manuscrits émanent du même copiste.
ent la soixantième. Ce classement semble donner raison à ceux qui les croient de Walther comme les soixante autres. Comme dans
c certitude l’époque précise de l’apparition de chacune d’elles, j’ai cru devoir me dispenser de citer les nombreuses éditi
ui donne à l’édition sa valeur particulière, c’est qu’elle est, je le crois du moins, la première qui attribue l’œuvre à Salo
les de Walther à notre époque leur vogue ancienne : aujourd’hui on ne croit plus à leur valeur littéraire, et l’intérêt qu’el
s ans à sa prétendue promotion au titre d’abbé de Chichester ; Warton croit qu’il ne décéda qu’en 1217 ; d’autres, tels que P
t j’ai dressé la table. J’ai exposé les raisons qui m’empêchent de le croire , et je les tiens toujours pour bonnes. J’ajoute q
ste. Ce qui rend la chose encore plus claire, c’est que, s’il faut en croire M. du Méril, les deux distiques font défaut dans
dant au classement des nombreux matériaux que j’avais réunis, j’avais cru pouvoir leur assigner à tous les trois le même ra
première édition, j’avais exposé au sujet de son origine. Ayant alors cru voir dans le manuscrit Burnéien et dans les manus
d’Ésope. 80. Épilogue. Rufus. Épilogue I. Épilogue II Je crois qu’il est inutile d’ajouter aucun commentaire à c
cher au classement des fables plus d’importance qu’il ne convient, je crois devoir faire remarquer qu’il est en harmonie avec
ature des fables de chacune des collections que j’ai analysées, je ne crois pas devoir ici changer de procédé. En conséquence
, la copie prise par Gude du manuscrit de Dijon et l’exemplaire qu’il croyait unique de la vieille édition d’Ulm et que pour ce
a compléter. Dans la liste que j’ai précédemment dressée, je n’ai pas cru devoir tenir compte de ce second fragment qui ne
érité le surnom de Beau-Clerc, on est tout naturellement conduit à le croire le véritable auteur ou tout au moins le véritable
question de savoir si le Romulus anglo-latin existait encore, j’avais cru en apercevoir un fragment dans cette collection d
ulus de Nilant et ce mystérieux Romulus anglo-latin, dont j’ai à tort cru voir un fragment dans le Romulus Roberti. En effe
37 fables. Il est possible que ce nombre soit le vrai ; mais je ne le crois pas. Le premier élément à faire entrer dans la co
autant son personnel (sic) qu’on estimait ses ouvrages. Pour nous qui croyons que Marie n’écrivait pas en France, mais en Angle
e soit la gravité du témoignage qui la fortifie, je n’hésite pas à la croire fausse. Si l’on acceptait sur la personnalité du
est maintenant la question à résoudre. Pour la trancher, je n’ai pas cru devoir m’en rapporter à son éditeur. M. de Roquef
uatre vers et se termine par ces deux derniers, que M. de Roquefort a cru devoir emprunter à ce manuscrit et publier, mais
nuscrit en possède non 93, comme un numérotage inexact porterait à le croire , mais seulement 92. Les manquantes sont celles qu
on a donné ensuite le nom de Romulus Roberti, et dans lesquelles j’ai cru reconnaître un fragment du Romulus anglo-latin, e
nsi. Sans doute le Romulus anglo-latin a péri ; mais il est permis de croire que dans la version poétique de Marie, quoiqu’ell
t-il, ainsi que l’examen isolé de la première fable pourrait le faire croire , considérer ce recueil comme une imitation abrégé
les résultats qu’il donnerait me semblent tout indiqués. On peut, je crois , tenir dès maintenant pour certain que, en dehors
a dû être écrit. Sur ce point, je n’ai que quelques mots à dire : je crois qu’à défaut d’autre élément d’appréciation, il fa
vec les fautes dont elle fourmillait. Dans cette situation chacun, je crois , sera d’avis qu’en publiant, d’après le manuscrit
aire paraître. Seulement, au lieu d’en faire une édition complète, il crut devoir ne publier, à la suite du Romulus Burnéien
désire, c’est avant tout le triomphe de la vérité. Au surplus, je ne crois pas qu’on doive trouver, dans la révélation que j
n’en avait pas non plus été le père. Allant maintenant plus loin, je crois pouvoir ajouter que le Dérivé complet, quoique mo
entre eux un air de famille qui frappe. Après les avoir comparés, je crois pouvoir affirmer qu’ils sont la copie l’un de l’a
piste à qui sont dues ces suppressions ne s’en est pas tenu là ; il a cru devoir faire au texte quelques corrections. Enfin
é : le Romulus anglo-latin a d’abord été composé en Angleterre, et je crois pouvoir ajouter qu’il ne s’est pas propagé au deh
Le manuscrit finit avec la fable cxxv, et je ne vois aucune raison de croire qu’il soit à la fin mutilé, puisqu’il conclut par
ystème d’enseignement préconisé par Quintilien. Quant à moi, je ne le crois pas et je suis convaincu que, lorsqu’on saura à q
existe une autre moins ancienne que j’ai déjà publiée et dont j’avais cru à tort être le premier éditeur. Je veux parler de
on, M. Thomas Wright lui assigne le xiiie  siècle, et pour ma part je crois cette opinion très admissible. § 2. — Manuscri
ésentent, et, quoique ces variantes soient très fautives, je n’ai pas cru devoir les négliger ; dans le second volume de ce
Museum. § 3. — Édition unique.     J’ai dit qu’à tort j’avais cru être le premier éditeur des fables du Dérivé ryth
s sine causa innocentes opprimunt. Devant ce second exemple, on peut croire que l’auteur du Romulus de Berne connaissait Phèd
testé par trop de manuscrits pour être contestable. Mais ce que je ne crois pas, c’est que pour une seule et même fable ils a
ses Apes Urbanæ, Léon Allatius l’appelle Jacob Schioppi de Vérone. Je crois néanmoins qu’il ne faut pas le confondre avec son
98 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « AU LECTEUR. Sur le sujet des Fables. »
, l’homme veut du mal à l’un, et qu’il ayme l’autre, à cause qu’il le croit sa moitié, comme se l’imagine le Poëte Aristophan
99 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XII. De l’Aigle, et du Renard. »
estant d’ordinaire beaucoup plus traictable que le meschant, il est à croire , qu’il prendra nos excuses en meilleure part, et
100 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
u’à moy ». Xanthus rasseuré par ces paroles d’Esope, se resolut de le croire , et ne faillist point le lendemain de se trouver
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