/ 77
1 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XIV. Le Lion devenu vieux. » p. 481
lesse.
 Le Cheval s’approchant luy donne un coup de pied, 
Le Loup un coup de dent, le Bœuf un coup de corne.
 Le malheureux
chant luy donne un coup de pied, 
Le Loup un coup de dent, le Bœuf un coup de corne.
 Le malheureux Lion languissant, triste
2 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — VIII. La Goute et l’Araignée. » p. 587
Une servante vient balayer tout l’ouvrage.
 Autre toile tissuë, autre coup de balay.
 Le pauvre Bestion tous les jours démén
d’écouter.
 Elle la prend au mot, se glisse en la cabane :
 Point de coup de balay qui l’oblige à changer. 
La Goute d’autr
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XVII. Le Chien qui lâche sa proye pour l’ombre. » p. 133
quitta pour l’image, et pensa se noyer ; La riviere devint tout d’un coup agitée. A toute peine il regagna les bords, Et n’
4 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XIII. Les Voleurs et l’Asne. » p. 147
nt :
 L’un vouloit le garder ; l’autre le vouloit vendre.
 Tandis que coups de poing trottoient, 
Et que nos champions songea
5 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 85 » pp. 299-299
té, s’en allait le couper, et déjà, la hache en main, il assénait son coup . Les cigales et les moineaux le supplièrent de ne
ême. Lui, sans s’inquiéter d’eux, asséna un second, puis un troisième coup . Mais ayant fait un creux dans l’arbre, il trouva
6 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XV. Le Cerf et la Vigne. » p. 77
ats, S’estant mis à couvert, et sauvé du trépas ; Les Veneurs pour ce coup croyoient leurs chiens en faute. Ils les rappelle
7 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — IV. Les deux Mulets. » p. 491
au frein, et l’arreste.
 Le Mulet en se défendant, 
Se sent percer de coups , il gemit, il soûpire. Est-ce donc là, dit-il, ce
8 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — VII. La Lice et sa Compagne. » p. 480
Pour tirer d’eux ce qu’on leur prête, Il faut que l’on en vienne aux coups  ; Il faut plaider, il faut combattre. Laissez-leu
9 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — IV. Les Oreilles du Liévre. » p. 
IV. Les Oreilles du Liévre. Un animal cornu blessa de quelques coups Le Lion, qui plein de couroux, Pour ne plus tombe
10 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — FABLE I. Le Buscheron et Mercure. » p. 173
e ! S’écrioit-il, Jupiter rend la moy : Je tiendray l’estre encore un coup de toy. Sa plainte fut de l’Olimpe entenduë. Merc
voilà. Mercure, au lieu de donner celle-là, Leur en décharge un grand coup sur la teste. Ne point mentir, estre content du
11 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 237 » p. 164
t où était leur âne. « Il est mort, dit-il ; mais il reçoit autant de coups qu’il en a jamais reçus de son vivant. » Ainsi pa
12 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XII. Le Cigne et le Cuisinier. » p. 399
faire à leurs vaines envies. 
Un jour le Cuisinier ayant trop bû d’un coup ,
 Prit pour Oison le Cigne ; et le tenant au cou,
13 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 9 » pp. 277-277
s lieux déserts. » Cette fable montre que l’homme affligé par quelque coup de la fortune veut éviter jusqu’au lieu où le cha
14 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — II. Le Pot de terre et le Pot de fer. » p. 378
ue matiere dure Vous menace d’avanture, Entre deux je passeray, Et du coup vous sauveray. Cette offre le persuade. Pot de fe
15 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — V. L’Asne et le petit Chien. » p. 91
Vivra de pair à compagnon Avec Monsieur, avec Madame, Et j’auray des coups de baston ? Que fait-il ? Il donne la pate, Puis
16 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XIII. Le Villageois et le Serpent » p. 176
nd sa cognée, il vous tranche la Beste, Il fait trois Serpens de deux coups , Un tronçon, la queuë et la teste. L’insecte saut
17 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 275 » p. 190
sait dans une prairie. Un corbeau se posa sur lui et piqua sa plaie à coups de bec. L’âne sous l’impression de la douleur se
18 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 329 » p. 269
lui, l’attacha au râtelier. Ainsi bien des gens, en voulant, sous le coup d’une colère aveugle, se venger de leurs ennemis,
19 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 332 » pp. 217-217
auvages. Frappé et encorné par elles, il leur dit : « Si j’endure vos coups , ce n’est pas que j’aie peur de vous, mais je cra
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXII. De la Brebis, et de la Corneille. »
ede que du peu de generosité des mal-faisants, qui pour assener leurs coups sans peril, cherchent d’ordinaire une foible et n
ui n’a non plus de force qu’un vermisseau, et qui succumbe au premier coup qu’on luy porte ? Telles et autres meditations pe
21 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XXII. Le Chesne et le Rozeau. » p. 70
utables.
 Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu’icy
 Contre leurs coups épouvantables
 Resisté sans courber le dos :
 Mai
22 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XI. L’Asne et ses Maistres. » p. 179
rien. Mais icy, point d’aubeine ; ou si j’en ay quelqu’une, C’est de coups . Il obtint changement de fortune, Et sur l’état d
23 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 153 » pp. 250-250
qui se trouvait au bord d’une route et que les passants frappaient à coups de pierres, se disait en soupirant : « Malheureux
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVIII. Du Chevreau, et du Loup. »
un enclos de murailles capable de les deffendre, ils repriment tout à coup leurs ordinaires apprehensions, et ne songent pou
plus sortable à leur meschant naturel. Ils ne prennent pas celuy des coups , d’autant qu’ils n’ayment point à frapper, et que
25 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 37 » pp. 12-12
t la panthère contestaient de leur beauté. La panthère vantait à tous coups la variété de son pelage. Le renard prenant la pa
26 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 157 » pp. 121-121
tre ; mais arrivé sur la scène il chanta fort mal et se fit chasser à coups de pierres. Ainsi certains orateurs qui paraissai
27 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XVIII. La Chate metamorphosée en Femme. » p. 50
ûtumer. Quelque chose qu’on puisse faire, On ne sçauroit le reformer. Coups de fourche ny d’étrivieres Ne luy font changer de
28 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — VII. Le Singe et le Daufin. » p. 73
st mon amy, C’est une vieille connoissance. Nostre Magot prit pour ce coup Le nom d’un port pour un nom d’homme. De telles g
29 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXI. Du Geay. »
Du Geay. Le Geay s’estant vestu des plumes du Paon, devint tout à coup si fort amoureux de sa gentillesse, et de sa beau
Il n’est point de gents relevez, ny d’autres, qui ne leur donnent un coup de bec, et qui n’assaillent leur misere avec des
30 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 99 » pp. 302-302
au jour ; car plus que tous les autres arbres nous sommes exposés aux coups brutaux de la hache. » Zeus leur répondit : « C’e
31 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 104 » pp. 77-77
était vrai, qu’il y avait une bête cachée dessous, tuèrent la biche à coups de traits. Celle-ci se sentant mourir prononça ce
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — L’ingratitude de Xanthus. Chapitre XIX. »
ayant invité Xanthus à soupper, tandis que ce Miserable recevoit les coups , « Malheureux que je suis », s’écrioit-il contre
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVI. Du Satyre, et du Voyageur. »
quelle perseverance doit-on attendre d’un faux Amy, qui change à tout coup d’opinions, et comment nous sera fidele celuy qui
34 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XXI. L’œil du Maistre. » p. 492
e lieu. Le Cerf est reconnu ; chacun prend un épieu ; Chacun donne un coup à la beste. Ses larmes ne sçauroient la sauver du
35 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 217 » pp. 342-342
liberté ; vous, soumis et asservis aux hommes, vous endurez d’eux les coups , vous portez des colliers et vous gardez les trou
36 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 249 » pp. 169-169
e froid. « Malheureuse, dit-il, tu nous as perdus, toi et moi du même coup . » Cette fable montre que tout ce qu’on fait à co
37 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — FABLE I. Le Lion amoureux. » p. 140
maistre. Heureux qui peut ne le connoistre Que par recit, luy ny ses coups  ! Quand on en parle devant vous, Si la verité vou
38 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 294 » pp. 199-199
t son dard, lui dit : « Plût aux dieux que tu l’eusses fait ! du même coup tu aurais perdu les sauterelles que tu as prises.
39 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 269 » pp. 357-357
s sens et le lança même au milieu des ennemis, où le cheval criblé de coups s’abattit. En voyant cela, l’âne changea d’avis e
40 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIV. De l’Asne, et du Loup. »
’espine, que l’Asne ne sentant plus de douleur, luy donna un si grand coup de son pied, qui estoit ferré, qu’il luy rompit l
41 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIV. Du Taureau, et du Bouc. »
lut entrer, le Bouc s’en vint au devant de luy, et le reçeut à grands coups de cornes. Ceste insolence irrita fort le Taureau
42 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XIV. Simonide préservé par les Dieux. » p. 522
promptement.
 Il sort de table, et la cohorte
 N’en perd pas un seul coup de dent.
 Ces deux hommes estoient les gemeaux de
43 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — IV. Le Jardinier et son Seigneur. » p. 
marierons-nous ? Quand aurons-nous des gendres ? Bon homme, c’est ce coup qu’il faut, vous m’entendez, Qu’il faut foüiller
44 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVI. Le Loup, la Mere et l’Enfant. » p. 158
ande qu’on ouvre, en disant Foin du Loup, Et croyant entrer tout d’un coup . Le Biquet soupçonneux par la fente regarde. Mont
45 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVII. Du Tygre, et du Renard. »
endant le Veneur poursuyvoit tousjours sa chasse, et tiroit de grands coups de fléches, dont il y eust une qui atteignist le
plus vaillants hommes de la terre, et ceux-là estoient tous percez de coups , estropiez de leurs membres, et déguisez de large
46 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 138 » pp. 115-115
mettait le pied sur un aspic endormi, qui se retourna et lui lança un coup de dent. Et lui, se sentant mourir se dit : « Mal
47 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 235 » pp. 163-163
nt trouver Zeus et le prièrent de leur donner de la force pour tuer à coups d’aiguillon ceux qui s’approcheraient de leurs ce
48 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XXII. L’Aloüette et ses petits, avec le Maistre d’un champ. » p. 325
us pourrons. Dés-lors que ce dessein fut sceu de l’Aloüette, C’est ce coup qu’il est bon de partir, mes enfans. Et les petit
49 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La mort d’Esope. Chapitre XXX. »
Jupiter de ne dédaigner sa petitesse : Mais l’Aigle irritée donna un coup d’aisle à l’Escarbot, puis il mit le Liévre en pi
t seul. Voila cependant qu’en passant chemin, l’air se couvrit tout à coup par la violence des pluyes et de l’orage. Ainsi l
50 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 244 » pp. 235-235
fourmi s’en étant aperçue, mordit le pied de l’oiseleur, qui, sous le coup de la douleur, jeta ses gluaux et fit aussitôt en
51 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope se justifie devant son Maistre, et luy fait voir qui avoit mangé les figues. Chapitre III. »
Mais enfin comme il apperçeut que des paroles on en vouloit venir aux coups , se jettant aux pieds de son Maistre, il le pria
52 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIV. D’un vieil Chien, et de son Maistre. »
n Maistre s’estant mis alors à le tancer aigrement, en adjoustant les coups aux menaces, le pauvre Chien luy répondit, qu’il
53 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLI. Du Cerf, et du Chasseur. »
’usurpation, non plus que les brossailles ne sont pas si sujettes aux coups de coignée, que les grands arbres. Ne mettons don
54 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIV. Du Lion affoibly de vieillesse. »
on avoit offensez, se mettent à l’assaillir avec des reproches et des coups , et prennent une cruelle vengeance de ses affront
55 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 345 » pp. 225-225
t un lingot et l’enfouit en un certain endroit, où il enfouit du même coup son cœur et son esprit. Tous les jours il venait
56 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE III. Du Rat, et de la Grenoüille. »
age de ses deux concurrents, que lors qu’ils se treuvent affoiblis de coups mutuels, et espuisez par des guerres continuelles
57 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIX. Du Loup, et des Chiens. »
, qu’il arrive quelquesfois que les divorces intestins cessent tout à coup à la veuë des armes estrangeres, et que les Citoy
58 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 201 » pp. 147-147
che, se battaient à qui l’aurait. Ils se portèrent l’un à l’autre des coups terribles, tant qu’enfin, pris de vertige, ils s’
59 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVI. Du Cheval, et du Lion. »
ront de toute sa force, et s’enfuyt à mesme temps. Le Lion, qui de ce coup estoit presque demeuré sur la place, estant à la
60 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — FABLE I. Le Meusnier, son Fils, et l’Asne. » p. 721
 : Ces gens sont fous, Le Baudet n’en peut plus, il mourra sous leurs coups .
 Hé quoy, charger ainsi cette pauvre Bourique !

61 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VIII. Du Laboureur et du Serpent. »
r son sifflement. Le Laboureur y accourut aussi-tost, et adjousta les coups aux paroles, en se plaignant du tort qu’elle luy
62 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIX. Du Renard, et de la Cigongne. »
oins d’avantage que les autres : Car encore qu’ils sçachent donner un coup de bec fort à propos, et de bonne grace, à cause
63 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIII. De l’Arbre, et du Roseau. »
les, au lieu que cét arbre orgueilleux, pour s’estre roidy contre les coups de l’orage, se trouve entierement déplacé de son
64 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXII. D’un Enfant, et de sa Mere. »
Mere, il approcha sa bouche de son oreille, qu’il luy arracha tout à coup à belles dents. Elle fit à l’instant un grand cry
65 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 297 » pp. 200-200
fut approchée, il lui saisit le lobe de l’oreille et le trancha d’un coup de dents. Elle lui reprocha son impiété : non con
66 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ameine à son Maistre un homme niais, et sans soucy. Chapitre XVI. »
quoy l’ayant fait dépoüiller tout nud, il le traita rudement à grands coups de foüet. Ce que voyant l’homme sans soucy ; « Po
67 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XV. De l’Asne, et du Chien. »
mis à crier, voila venir les valets, qui traicterent le pauvre Asne à coups de bastons, pour recompense de ce qu’il croyoit f
68 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVI. Du Lion, et du Rat. »
mme il en avoit démembré desja beaucoup d’autres, se prosterna tout à coup à ses pieds, baissant la teste, et luy applaudiss
69 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVII. Du Taureau, et du Rat. »
i l’œil prend garde aux choses nuisibles ; si la main va au devant du coup , pour parer la teste ; si la chair environne les
70 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du present fait à la maistresse de Xanthus. Chapitre XII. »
la premiere fois que je me presentay devant elle : On verra bien à ce coup , s’il est veritable qu’elle ayme mon Maistre ». C
71 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IX. Du Sanglier, et de l’Asne. »
peux faire impunément, car ta paresse et ta coüardise te sauvent des coups , et te mettent en seureté ». Discours sur la ne
72 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XL. De l’Asne, et du Cheval. »
et la porter dans le chemin de la consolation, que d’arrester tout à coup ses mouvements, quand la bonne Fortune l’emporte
73 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
rive que ce dernier est moindre que l’autre, il n’en remporte que des coups  ; Que s’il est trouvé plus excellent, cela n’empe
74 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIX. Du Sapin, et du Buisson. »
miserable que tu és, quand le Bucheron te met en pieces, et t’abat à coups de coignée, combien voudrois-tu donner pour estre
75 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIII. Des Coqs, et de la Perdrix. »
rent pas plustost cette nouvelle compagne, que chacun luy donnant son coup de bec, ils commencerent à la chasser. Cependant
76 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
t devant luy de rejoindre la fente de ceste Cruche, et donna quelques coups de marteau dessus, comme si c’eust esté à dessein
u’ils ayment nostre Espece, ils ne s’en éloignent jamais, ny pour les coups , ny pour la faim et que toutes choses leur semble
77 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
fameuse satire Ménippée, il sut la rendre si acérée qu’il frappa d’un coup mortel les meneurs de la Sainte Union. Henri IV,
s en plus furieux, Jannelli voulut porter à son adversaire le dernier coup  : il songea à soumettre le débat à des juges impa
nt que secondaires, n’avaient pas plus de valeur que le principal. Le coup , porté par le grand critique de Harlem, n’en avai
aient été publiées à l’époque de la Renaissance leur avaient porté un coup fatal. 7º Édition de Schwabe de 1806. Penda
Ils sont précédés d’un feuillet également en parchemin, ajouté après coup et non paginé. Le relieur a en outre placé trois
rès le vingt-sixième vers, le double distique qui la montre brisant à coups de pierres les dents de son défunt époux. Je ne d
/ 77