/ 1
1 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
ses fables, a été ajoutée à son nom, peut avoir été inventée par les copistes , auxquels nous devons ses manuscrits ? Je répondr
de Pithou et de Reims ne permet de supposer qu’elles soient dues aux copistes du moyen âge, tandis qu’il ressort des lambeaux d
mots ; et ce qui me semble prouver que l’original dont se servait le copiste n’en contenait pas davantage. Ensuite, le petit t
voie le texte de notre Phèdre, avec les fautes et les bévues de notre copiste . « À sa façon d’écrire vous jugerez aisément qu’i
pages arrachées, et qu’enfin, ainsi que l’atteste Dom Vincent108, le copiste , sans se préoccuper des vers, les avait écrits co
démontre que son assertion est parfaitement vraie. L’indifférence du copiste avait été plus loin encore ; comme celui du manus
 : Phædri Augusti liberti liber secundus . À la fin du manuscrit, le copiste , heureux sans doute d’avoir achevé son travail, a
e de l’édition classique de 1743, on est tenté de croire que les deux copistes avaient dû puiser à deux sources différentes. Mai
t Cæsar. Il y avait lieu de supprimer le mot Item. Néanmoins les deux copistes le conservent ; ce qui, soit dit en passant, démo
ndant le tout est réuni, comme s’il ne faisait qu’une seule fable. Le copiste , à qui est dû le manuscrit de Reims, n’a pas dava
t à la suite du précédent. Il est vraisemblable que, si l’un des deux copistes , pour économiser le parchemin, a eu l’idée de ne
ien observés, et que, si, au lieu de copier le manuscrit de Reims, le copiste de celui de Pithou les avait eus sous les yeux, i
ures semblent être à peu près de la même époque, et, suivant l’âge du copiste , le manuscrit le plus récent peut être celui qui
compte des renseignements paléographiques, en revenir à ces fautes de copiste , qui, dans le manuscrit de Pithou, n’ont été que
de parchemin et surtout de travail, à laquelle visaient toujours les copistes . Le verso du feuillet 18 est occupé par une prièr
i-même, en sont la preuve convaincante. S’il était dû à la plume d’un copiste , le premier de ces espaces blancs n’existerait pa
e d’un copiste, le premier de ces espaces blancs n’existerait pas. Le copiste n’eût pas manqué de copier, sans intervalle, la s
i dans son recueil poétique, faut-il dire qu’il n’a pas été un simple copiste et le flétrir de l’épithète de plagiaire ? Il y a
orum et ne pas se rappeler qu’il en était, non le traducteur, mais le copiste , et l’on comprendra que, retrouvant cette fable a
. La première chose, en effet, qu’il y déclare, c’est qu’il n’est que copiste . En voici le commencement : Non sunt hi mei, quo
après il ne leur restera aucune incertitude. Mais que Perotti ait été copiste ou qu’il ait été plagiaire, ce qui est certain, c
lorsqu’il semble regretter que Perotti n’ait pas été plus servilement copiste , je partage ce sentiment206. Mais il ne devait pa
ar le texte qu’il en a fidèlement reproduit avec toutes les fautes du copiste , par le fac-similé de l’écriture qu’il a ajouté à
ts de fautes, et ne s’expliquent que par l’incurie ou l’ignorance des copistes du moyen âge. Ainsi aucun argument de M. du Méril
s fautes qui nous choquent, il faut les attribuer non pas aux simples copistes , mais aux grammairiens et aux pédagogues. Les pre
étendre qu’il ne nous en est rien parvenu. Car, dans ce manuscrit, le copiste n’a fait suivre d’aucune fable le titre du livre 
nuscrit. Qu’on me permette, avant d’en donner l’analyse, de parler du copiste à qui sont dus, sinon en totalité, au moins en gr
émar, s’il a été auteur, n’a pas non plus dédaigné de se faire simple copiste . Le manuscrit est complet et en bon état ; mais l
férence semblerait indiquer que le manuscrit est l’œuvre de plusieurs copistes . Il est néanmoins possible qu’il soit presque ent
emat, in angustia quid rogat ? Puis à la suite, sans interruption, le copiste a transcrit l’hymne à saint Benoît dont voici le
sophique, qui occupe les trois premières pages du quaterne, et que le copiste a laissée incomplète. Elle commence par ce distiq
nd du fol. clv a au fol. clxxxviii a, et les dessins, par lesquels le copiste , du fol. clxxii a au fol. clxxxi a, a voulu repré
nt au milieu du texte de nombreux dessins à la plume, par lesquels le copiste a essayé de représenter les signes du Zodiaque et
iii b à cxc a. — Extrait de Pline. Une main plus récente que celle du copiste en a exactement déterminé l’étendue par ces mots 
ol. cxc a. — Entre ce dernier membre de phrase et le mot Pisces , un copiste moins ancien qu’Adémar a écrit ce titre d’une lis
rtial : Monasterium Sancti Martialis lx monachi. Au-dessous le même copiste a écrit, tant dans le milieu de la page qu’en mar
art. En tête de la première page, à gauche de la note de P. Petau, le copiste , qui est certainement Adémar, a placé le portrait
de ces 17 fables il y a plusieurs pages blanches qui montrent que le copiste avait l’intention de compléter son travail. J’ai
loqui. Il avait fait remarquer que le mot Vulpis, par une erreur de copiste , était ainsi écrit pour Vulpes, mot qui rend le v
clut que toutes ont bien leur origine dans l’œuvre de Phèdre, dont le copiste a suivi la division. À l’appui de sa thèse il pui
graves leur ont été bien funestes. La première, c’est l’ignorance du copiste , sur laquelle il insiste avec raison, et, pour en
nstance a été la fièvre de correction, éprouvée au xie  siècle par un copiste moins ignorant, qui, dans le désir de donner un s
délicate. J’ose même prétendre que le modèle sur lequel le précédent copiste a travaillé était simplement une copie maladroite
ite de quelque manuscrit de Phèdre défectueux ou incomplet, et que ce copiste , peu habitué aux ïambes et les considérant comme
vre originale, on ne doit pas oublier qu’il est lui-même l’œuvre d’un copiste ignorant, qui, en commettant les fautes les plus
ette valeur réelle est amoindrie par cette double circonstance que le copiste était absolument étranger à la langue latine, et
ue d’ailleurs il ne connaissait peut-être pas. Ainsi, par exemple, le copiste avait écrit Garulus et inprudenti  ; le correcte
qui Tenison tenait-il son apographe, où avait-il été écrit et à quel copiste était-il dû ? Voilà ce que rien n’indique, de tel
té achevée qu’après des retards encore augmentés par la négligence du copiste . Si maintenant on veut bien se rappeler la date d
mots de civitate Attica y ont été appliqués à Ésope ; mais encore le copiste , se rappelant sans doute que, d’après la traditio
rquer qu’il suffit qu’une faute de ponctuation ait été commise par le copiste du manuscrit Burnéien, pour que le sens des premi
ers mots du prologue ait été altéré, et l’on n’ignore pas combien les copistes du moyen âge se préoccupaient peu de ponctuer exa
ore l’écriture ne peuvent laisser le moindre doute sur l’intention du copiste de placer les mots de civitate attica dans l’en-t
ne n’avait pu donner la plus légère indication sur un auteur dont les copistes et les compilateurs du moyen âge, en nous conserv
mplaire unique. Cet exemplaire altéré profondément par l’ignorance du copiste , qui, en les écrivant, défigurait les mots, a don
rg avait été copiée sur celle de Romulus, étant donnée l’ignorance du copiste , il est probable qu’il eût suivi les divisions ad
manuscrit de Wissembourg, tel qu’il est sorti de la plume du premier copiste et le texte du Romulus primitif, tel qu’il a été
joute que c’est celui auquel, pendant tout le cours du moyen âge, les copistes , plagiaires, compilateurs, prosateurs et poètes,
petit nombre de variantes qui peuvent être mises au compte du savant copiste . Si cette copie n’a pas d’importance pour la déte
l’ordre des mots, soit d’erreurs involontaires dues à l’ignorance des copistes , et quelquefois aussi la conséquence de modificat
sent en général à de légères transpositions opérées sans doute par un copiste un peu trop indépendant qui comprenait et croyait
omprenait et croyait pouvoir améliorer ce qu’il écrivait. En outre ce copiste , trouvant probablement trop longs les titres qui
ont été encadrées dans celles du Romulus ordinaire, sinon par le même copiste , du moins par un autre aussi ancien. Il a été don
essous tant de la soixantième que des deux complémentaires, le second copiste a transcrit les vingt-deux fables du livre IV du
du feuillet 107 verso. Les fables sont seulement au nombre de 27. Le copiste a omis les deux fables qui commencent par les mot
st probable que ce Miroir a eu moins de vogue que l’autre, et que les copistes , le connaissant moins, ont moins songé à en faire
je la transcrive ici. Je me contente de dire que ce manuscrit que le copiste a terminé, d’après sa propre déclaration, en 1350
e ce nom n’était que l’altération de celui de Romulus, commise par un copiste illettré. Dans le manuscrit 216. NB. 1 de la Bibl
i edito a magistro Gauffredo. Ce maître Geoffroy ne peut pas être le copiste  : car ce volume qui renferme les écrits de huit a
le auteur, oublié depuis deux siècles, était nécessairement ignoré du copiste . Ensuite, quand on considère le titre en lui-même
edito (lisez editus) a magistro Gauffredo se rapportent évidemment au copiste , à qui, avant la découverte de l’imprimerie, pouv
te Haenel, il avait trouvé la note suivante écrite de la main même du copiste  : « In principio huius operis attenduntur quatuor
r on ne doit pas rendre le poète élégiaque responsable des fautes des copistes , et surtout des éditeurs, qui, en faisant imprime
ui, comme tous ceux de la même nature, est évidemment une addition du copiste  : Christus laudetur, Æsopi quia finis habetur. F
u plutôt de cette espèce de soupir de soulagement qu’au moyen âge les copistes avaient l’habitude de pousser à la fin de leur tâ
e ; les miniatures dont chaque fable s’y trouve ornée et le talent du copiste à la plume duquel il est dû, en avaient fait ce q
te de Walther. Après le titre vient le prologue de Walther, auquel le copiste a fait l’addition suivante : Ut loquar uberius a
ologue ainsi accru est suivi d’une traduction, en tête de laquelle le copiste , fort préoccupé de la symétrie, a placé un titre
e reproduis ici, parce qu’il fournit des renseignements utiles sur le copiste et sur le temps où il vivait : comment l’acteur
cote. En regardant de plus près le manuscrit, il aurait vu que, si le copiste était un calligraphe distingué, il était en même
tion. Ce qui est dans tous les cas certain, c’est que ce n’est pas le copiste du manuscrit 1594 qui a augmenté les morales des
t suivies de la traduction de dix-huit fables d’Avianus. Toutefois le copiste , confondant en une seule la douzième et la treizi
rs très soignée, était évidemment destiné à être un livre de luxe. Le copiste , au-dessus de chaque fable, avait ménagé un grand
omme on le sait déjà, qu’une partie de l’œuvre de Marie de France. Le copiste , pour donner en apparence plus d’unité à la colle
davantage porté à croire qu’en exécutant machinalement son travail de copiste , Haenel avait, à son insu, transcrit la fausse me
res est :       Tristior immensas pauperat usus opes. On le voit, le copiste ne s’est attaché qu’à extraire des fables de Walt
in versibus exametris. Il y a dans le manuscrit des fautes dues au copiste , qui ne devait avoir aucune notion de la langue l
offre en outre de mauvaises leçons qui ne sauraient être imputées au copiste . C’est ainsi que, dans le premier vers de la fabl
us liber suus raperetur. » L’œuvre de Walther n’est pas complète. Le copiste n’a transcrit que les 55 premières fables ; la de
le manuscrit, précède les fables, paraît avoir été écrit par le même copiste , qui a, dans la souscription suivante, exactement
forme un volume in-fº, dont l’écriture à longues lignes est due à un copiste du xve  siècle nommé Théodoric Block. Il renferme
abet. On voit, par cette seule citation, à quel point l’ignorance du copiste a rendu le texte défectueux. B. Manuscrit 87.5
apier dont l’écriture est du milieu du xve  siècle. Il est l’œuvre du copiste And. Soteflesch qui l’a signé. Les fables de Wal
euillet avait été détaché, et à partir de la fable vingt-huitième, le copiste , dans la crainte de manquer de parchemin, avait s
occupent les feuillets 76 et suivants. L’écriture est de la main d’un copiste nommé Burkhardus Zingg. E. Manuscrit 4409.
t l’œuvre du vieux Boner, c’est-à-dire du prince des minnesingers. Le copiste , laissant son travail inachevé, s’est arrêté à la
4409 méritait une mention toute spéciale. Il est l’œuvre de plusieurs copistes , comme l’atteste cette mention finale : Codicem c
par un artiste spécial, avait été à cet effet laissé en blanc par le copiste . Mais à la fin des fables qui se terminent au bas
e le manuscrit est du xve  siècle et qu’il a été écrit en 1462 par un copiste nommé Jean Benoît. Il s’ensuit que, lorsqu’en 147
e gothique et par les miniatures, qu’on le croirait écrit par le même copiste et illustré par le même artiste. Malgré l’existen
l est complet et contient le vers, que, dans ce dernier manuscrit, le copiste a oublié ; ainsi, après le vers : Si comme ruth
. Il s’ensuit que, si les deux manuscrits ont été écrits par le même copiste , celui de la Grenville library n’est pas la copie
des fables est annoncée par ce vers faux qui était usuel au temps du copiste  : Laus tibi sit, Christe, quando liber explicit
celle de l’Épervier et du Rossignol qui est la quarante-cinquième, le copiste n’a pas poursuivi son travail. Le manuscrit renfe
le texte latin, je croirais que les trois manuscrits émanent du même copiste . Mais, si ces variantes sont trop nombreuses pour
ieur. Au verso du feuillet 132, une main moins ancienne que celle du copiste primitif a écrit ce qui suit : « C’est le liure d
xte manque de pureté et les fautes qu’on y aperçoit démontrent que le copiste ne devait avoir aucune connaissance de la langue
º 534. Il contient un grand nombre d’œuvres distinctes, dues à divers copistes . Les fables de Walther, qui ne s’y trouvent que p
potuissem. Enfin au-dessous une main qui n’est pas non plus celle du copiste du manuscrit a ajouté ces mots : Manus domini.
opus fabularum. Au-dessous s’en trouve une seconde, dans laquelle le copiste se donne le nom de Jean fils et déclare avoir ach
liure à plats en bois, ne possède que les fables de Walther dues à un copiste italien du xive  siècle. Le recto du premier feui
e les quinze distiques ordinaires. D. Manuscrit 640. Œuvre d’un copiste italien du xive  siècle, le manuscrit 640 se comp
lets en parchemin, qui ne portent que les fables de Walther dues à un copiste italien du xive  siècle. Elles commencent au haut
lourde pierre. Le manuscrit n’a guère de valeur ; il est l’œuvre d’un copiste qui ne connaissait ni la langue, ni la prosodie l
Les titres spéciaux à chaque fable, laissés d’abord en blanc par le copiste , n’ont pas tous été remplis : il en manque plus d
Lupo se termine au recto du feuillet 22. Pour en remplir le verso, le copiste l’a pourvu de la fable déjà rencontrée, De pueris
dessin et le coloris sont, l’un et l’autre, également défectueux. Le copiste ayant laissé au bas des pages un espace blanc des
rés par une main moderne. L’écriture à deux colonnes est de plusieurs copistes . Les feuillets 35 à 38, 49 et 85 sont blancs. À l
ersonnages, Ésope assis qui lit ses fables, sur un siège inférieur un copiste qui les écrit, et quatre auditeurs dont deux sont
certain pour moi que j’étais en présence d’une interpolation due à un copiste . Ce qui rend la chose encore plus claire, c’est q
’a pas été perdu, et l’espace blanc qui suit ce titre démontre que le copiste n’a pas continué sa copie. J’ajoute que, si court
par le simple mot Ysopet. Au-dessous de l’espace blanc réservé par le copiste à l’artiste qui devait peindre le titre, vient un
l pullule de phrases et de mots défigurés par l’évidente ignorance du copiste , et, par suite, il est dénué de valeur philologiq
bus, De Bubulco et Lupo. À la suite de la dernière fable en prose, le copiste a ajouté les deux fables de l’Anonyme de Névelet,
rement manifestée par leur auteur de jouer un autre rôle que celui de copiste uniquement préoccupé d’améliorer par de simples c
les deux autres manuscrits et qui me semble avoir été une addition du copiste . Les fables se terminent par le mot Amen en têt
ce que les autres, que, si ce n’est pas Marie qui a écrit ce nom, les copistes qui, dans deux manuscrits, l’ont substitué à celu
ui, manquant complètement dans l’autre, m’a paru être une addition de copiste et ne devoir pas être comptée. D’autre part, comm
rythme octosyllabique que Marie avait adopté, et composée par quelque copiste lettré peu de temps après l’apparition de son œuv
est suivie de cette mention ajoutée par une main plus récente : « Le copiste semble avoir écrit à Paris. Les formes qu’il empl
e ne l’ai pas vu en d’autres textes aussi anciens. Voyez fo 56 ro. Le copiste suit le dialecte du nord de la France. » Quand o
in que le titre général dans l’espace blanc sans doute destiné par le copiste primitif à être orné de miniatures. Elles sont en
a cote N. 2, dit, en parlant de la soixante-troisième fable, que « le copiste a négligé d’en achever la transcription529 ». Cel
nt les vingt-deux fables du Romulus Roberti. Si en effet, soit que le copiste n’eût pas achevé sa transcription, soit que les f
notions paléographiques les plus élémentaires, avait procédé comme le copiste du xive  siècle, à qui est dû le manuscrit 347 B 
ant, conforme au Romulus primitif, je suis porté à penser que quelque copiste aura, à une époque antérieure au xive  siècle, su
n à la plume grossièrement exécuté et encore plus mal enluminé par le copiste . À la suite des 136 fables du Dérivé complet vien
te analyse par une dernière observation : par une inadvertance que le copiste , en tournant à la fois deux des pages de son cahi
a seconde est d’une obscénité qui en explique aisément l’omission. Le copiste à qui sont dues ces suppressions ne s’en est pas
ent la collection n’est pas complète. Jusqu’à la soixantième fable le copiste a respecté l’ordre ordinaire et n’a presque rien
cables à chacune d’elles. Quoique la dernière inachevée montre que le copiste avait ou copié un manuscrit incomplet ou laissé s
de l’auteur, est considérablement aggravé par l’ignorance évidente du copiste , qui, ayant sans doute sous les yeux un modèle di
autographe. Il est, en effet, rempli de fautes qui démontrent que le copiste n’avait aucune connaissance de la langue latine,
d Pastorem veniebat. La fin de la colonne n’a pas été remplie par le copiste , qui a évidemment laissé sa tâche incomplète. Au
(Voyez t. I, p. xl et xlj.) 435. Il faut lire peccat. L’ignorance du copiste peut seule expliquer l’emploi du mot putat. 436.
/ 1