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1 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
temps même, les scribes ont dû cesser de les faire figurer dans leurs copies . Cette manière de voir n’est pas dénuée de point
campagne le 25 juin, je vins, dès le lendemain 17, travailler à cette copie dans son cabinet, où je continuai à venir travail
re heures tous les jours suivants jusqu’au 25, jour où, ayant fini ma copie , j’amenai le dessinateur, qui exécuta sous mes ye
n, j’ai fait de nombreuses démarches pour être admis à prendre, sinon copie , au moins connaissance du manuscrit de Pierre Pit
« Au commencement ont été reliés 32 feuillets en papier, qui sont la copie du manuscrit, de la main de Pierre Pithou. Cette
r, qui sont la copie du manuscrit, de la main de Pierre Pithou. Cette copie offre cela de très remarquable que l’on y voit, e
hou, et ses observations en français pour le prote. Ainsi cette seule copie renferme tout le travail de son édition. Une auss
, qui est la reproduction fidèle, non pas du manuscrit, mais de cette copie . « M. Adry, jugeant du manuscrit par l’édition, a
es cette exactitude sévère de l’érudition moderne. Comme le prouve sa copie , que j’ai sous les yeux, il copiait le manuscrit,
plus la moindre trace aujourd’hui, ce qu’explique cette réunion de la copie de Pithou sous la même reliure que le manuscrit.
ont les dernières traces ont disparu, lorsque Pithou a fait relier sa copie avec le manuscrit. » Cette citation me semble su
it empressé de lui donner cette satisfaction, et lui avait envoyé une copie , faite sur papier transparent : 1º du prologue du
Ranæ metuentes Taurorum prælia. En envoyant à M. de Foncemagne cette copie , qu’il avait eu soin de prendre dans trois endroi
n qu’il publia en 1783. Adry l’étudia à son tour, et en prit même une copie entière, dont il comptait faire usage, pour écrir
est ainsi qu’à la suite des premiers vers de la fable Leo regnans, il copie , sans noter la lacune, les deux derniers vers d’u
eul sans doute, a voulu ménager l’espace et pour cela a fait toute sa copie sans rompre la ligne, et le second, s’étant servi
e sa copie sans rompre la ligne, et le second, s’étant servi de cette copie , ne s’est pas aperçu qu’il copiait des ïambes et
t ce qu’ils auraient dû faire : je l’ai vu et lu, et j’en ai pris une copie littérale qui n’est pas dénuée d’intérêt : car l’
ut. Il suspendit sa publication et pria son élève de lui adresser une copie du manuscrit. Après de longues semaines d’attente
en palpitant d’émotion ; mais quel fut son désappointement, quand la copie lui eut donné une idée de ce qu’était l’original 
ernent l’Anthologie grecque et Théocrite. Parmi les autres figure une copie du manuscrit napolitain de Perotti, qui dans le f
.23. Dans le catalogue157 de ce fonds imprimé à Oxford en 1806, cette copie à la page 84 est mentionnée en ces termes : N. Pe
i, et Phædri. Ms. in-4o, pp. 56. Adry n’en a pas moins affirmé que la copie adressée par d’Orville à Burmann était sortie des
n’ont pas d’ailleurs songé à contester que le Collège ait possédé une copie tirée directement ou indirectement du manuscrit.
opie tirée directement ou indirectement du manuscrit. Voici sur cette copie le petit conte, dont Ginguené, en l’empruntant à
uelques erreurs de détail, j’avais nettement exprimé l’opinion que la copie du collège Louis-le-Grand n’était pas l’autograph
bord les faits. Sur quoi est basée la croyance à l’existence de cette copie  ? Sur ce que, dans leurs éditions de Phèdre, Étie
un et l’autre sans doute, savaient où d’Orville avait pris sa célèbre copie . Mais alors comment, s’il n’existait pas à Paris
sa célèbre copie. Mais alors comment, s’il n’existait pas à Paris de copie du manuscrit de Parme, Philippe a-t-il pu en extr
et ne me détermine pas à penser qu’ils ont eu à leur disposition deux copies distinctes. Burmann n’avait, des variantes du tex
es de Phèdre. Il me semble que, si Philippe avait eu sous les yeux la copie de d’Orville ou une copie de cette dernière, y tr
que, si Philippe avait eu sous les yeux la copie de d’Orville ou une copie de cette dernière, y trouvant nécessairement les
le ressortir clairement de ses notes qu’il n’a pas prétendu avoir une copie du manuscrit de Perotti. Comme Philippe, il ne vi
suffisamment comprendre qu’il n’est pas en situation de consulter une copie spéciale du texte de l’archevêque de Siponte167.
veu, et sur quel document se sont fondés ceux qui ont prétendu que la copie du collège Louis-le-Grand était passée dans ses m
exact ne mettait donc les savants sur sa trace. Cependant, puisque la copie en était perdue, il était important de le retrouv
avait déjà trouvé, il avait chargé un sieur Gargiulli d’en faire une copie . Mais, si l’on en croit Cassitto, ni l’un ni l’au
t Perotti, Justiniani, Jordano, qui pourront me servir de témoins. Je copie aussitôt toutes les fables inédites, et le lendem
outes les fables inédites, et le lendemain je reviens collationner ma copie avec le manuscrit171. » Nous verrons plus loin,
, par les explications de Jannelli, que Cassitto ne prit pas lui-même copie des fables nouvelles, et que ce fut son frère qui
ibliothèque au mois de juin 1808, Jannelli ne savait pas que déjà une copie en avait été prise. Il s’était mis à l’œuvre, et
de le faire paraître tout entier. Ce n’est pas tout : pendant que sa copie était sous presse, il rédigea en latin trois long
entièrement achevé, et non seulement plusieurs savants avaient lu la copie des fables nouvellement découvertes, mais encore
erdus, très rapidement et comme à la dérobée, m’a-t-on dit, en fit la copie . Il y a plus : Cassitto ne vit le manuscrit qu’un
 ; Qu’il a fallu beaucoup de temps et un travail soutenu pour prendre copie des fables, et que, malgré l’affirmation formulée
ême travailleur, qui me le confia, et immédiatement j’en entrepris la copie  ; mais, comme il ne m’était permis de rester à la
été rouge. L’état dans lequel se trouvait le manuscrit en rendait la copie très longue et très difficile, et, limité par le
ins ainsi, dans le court délai que j’avais, à exécuter entièrement ma copie . Le manuscrit se compose de deux parties bien dis
tage. Il aurait pris les précautions nécessaires pour n’employer à sa copie que le papier indispensable. Le manuscrit est don
ancher. Il dut donc faire de son recueil lentement formé une première copie pour son neveu ; mais ce n’est pas celle que poss
pas celle que possède la bibliothèque napolitaine ; c’est une seconde copie qu’il avait dû faire pour Veltrius. Après l’ayoir
il est probable qu’il ne donna ni à Pirrho Perotti, ni à Veltrius les copies qu’il leur destinait, et que c’est là ce qui expl
pour lesquelles ensuite le temps a dû lui manquer. Voilà pourquoi la copie , qui est devenue le manuscrit de Naples, avait ét
que je ne dise que quelques mots de ce second manuscrit qui en est la copie exacte. C’est un petit in-folio, dont les feuille
e fois du manuscrit qu’il possédait, Perotti a pu oublier sa première copie , et, sans s’en douter, en faire une autre. Mais c
commence, il est impossible que la seconde s’en trouve précisément la copie littérale. Cet argument est bien simple ; mais il
n l’œuvre de Phèdre, il lui reproche ce qu’il appelle ses larcins. La copie du manuscrit que d’Orville lui avait adressée éta
e. Perotti avait évidemment, avant de la recopier, oublié sa première copie , et cependant c’était vraisemblablement peu de te
i ait encore fait défaut, que, de même qu’il avait oublié la première copie par lui faite d’une autre fable et l’avait une se
foi. Or savez-vous comment, dans l’index du manuscrit, cette seconde copie est intitulée ? Elle porte ce titre moral : De J
bien cette accusation serait injuste ; car le modèle a dû précéder la copie et Perotti n’a vécu qu’au xve  siècle. Il est vra
lui-même l’avait reproduit, non d’après l’original, mais d’après une copie , qui lui en avait été envoyée par dom Le Vacher,
permette, à moi qui ai vu et copié celui de Naples et qui possède une copie littérale de celui de Rome, de signaler ici les é
atteindre son but, il n’a pas fait grand effort ; car sa prose est la copie presque littérale des vers de l’auteur latin. Pou
67 il n’y en a dans ce cas que 37, de sorte que les 30 autres sont la copie presque littérale de celles qui ne nous sont pas
— Gloses sur Perse. Fol. xxii b à xxix b. — Ici commence une seconde copie de l’œuvre, dont la première copie incomplète déb
xxix b. — Ici commence une seconde copie de l’œuvre, dont la première copie incomplète débute en tête du fol. xiv par ce vers
rs : Hæc quicumque legis diversaque verbula ca[r]pis. Cette seconde copie , qui paraît complète et qui semble être de la mai
Il commence à l’année 1007 ; cette date doit être celle à laquelle la copie a été faite. Mais il ne faut pas oublier que le m
es divers éléments dont le manuscrit est formé et qui comprennent une copie malheureusement incomplète des Fabulæ antiquæ, do
à une exhumation effectuée en 1685, et celle qui, consistant dans la copie partielle des Fabulæ antiquæ, paraît par son écri
avant la date de 1685, et alors elles étaient sa propriété. Quand la copie qu’on y trouve des Fabulæ antiquæ a été faite, le
issé ainsi un spécimen de son écriture, qui, différant de celle de la copie des Fabulæ antiquæ, ne permet pas de la lui attri
æ antiquæ. Mais il importe peu de découvrir de quelle main est cette copie  ; ce qui est plus intéressant, c’est de savoir de
vait l’intention de compléter son travail. J’ai moi-même transcrit sa copie , et, comme elle diffère du texte de Nilant par qu
qu’on ne connaît et qu’il n’existe que deux collections qui soient la copie ou plutôt l’imitation directe des fables de ce Co
vit au maire de la ville pour le prier de lui faire faire par eux une copie du manuscrit. La lettre fut reçue par l’adjoint,
de Phèdre mises en vers allemands par Bohner (Bonerius), l’une de ces copies portant la date de 1411. L’autre volume contient
s anciens manuscrits de Romulus. C’est bien certainement, non pas une copie modifiée de Romulus, mais une paraphrase particul
dèle sur lequel le précédent copiste a travaillé était simplement une copie maladroitement faite de quelque manuscrit de Phèd
ier de faire exécuter pour moi, moyennant rémunération pécuniaire, la copie du manuscrit de Wissembourg. Ses notions paléogra
empressa de répondre personnellement à mon désir et de m’adresser une copie littérale des fables, accompagnée des ratures et
temps avant qu’il n’eût été acquis par Gude, il en avait été fait une copie que j’ai retrouvée depuis la publication de ma pr
n à la fin du xvie  siècle, au moins au commencement du xviie . Cette copie est d’une rigoureuse exactitude, et les fautes du
manquait n’a pas été reconstitué. J’aurais voulu savoir par qui cette copie avait été écrite, et, par cette voie indirecte, c
pas tentées. Lorsqu’on examine quel a été dans le passé le sort de la copie , on ne peut pas se reporter à plus de deux siècle
ière. C’est à cela que je vais me borner. Le manuscrit dans lequel la copie a été englobée existe aujourd’hui, sous la cote 7
ion avait fait une singulière confusion : ce qu’il avait pris pour la copie du manuscrit de Leyde, c’était la copie du manusc
: ce qu’il avait pris pour la copie du manuscrit de Leyde, c’était la copie du manuscrit de Wissembourg. Cette erreur s’expli
état de santé. Ajoutez à cela les retards du libraire, qui a fait sa copie , non pas quand il le devait, mais quand il l’a pu
Tyberino filio. De civitate attica Esopus quidam homo græcus, etc. La copie que Gude avait sans doute soigneusement prise du
pistes du moyen âge se préoccupaient peu de ponctuer exactement leurs copies . Il ne faut donc tirer aucun argument du texte du
e pas lui-même antérieur au xive  siècle ; mais rien n’indique que la copie qu’il renferme, quoique beaucoup moins ancienne q
enne que l’œuvre elle-même, ne soit pas parfaitement fidèle. Or cette copie porte : Romulus Tyberino filio de Civitate salute
vir de titre, non pas seulement aux collections qui n’ont été que des copies altérées du type primitif, mais encore à celles d
es des divers Romulus ont été des paraphrases en prose, ou plutôt les copies un peu modifiées d’une première paraphrase en pro
ouve plus que dans des manuscrits qui ne nous en ont conservé que des copies plus ou moins infidèles ou même des imitations pl
en ont, en beaucoup d’endroits, été l’imitation plutôt que la simple copie , et l’on conçoit que cette seule circonstance suf
our donner une idée à peu près exacte de ce qu’il a été, mais non des copies assez littérales pour permettre une restitution q
vrai que la collection contenue dans ce manuscrit n’est pas une pure copie du Romulus primitif, qui dès lors peut être consi
tout cramponnés ; car il n’en est pas un dont il soit resté autant de copies littérales ou altérées et qui ait été le point de
ire sont les six suivants : 1º Le manuscrit du British Museum ; 2º La copie manuscrite du manuscrit de Dijon ; 3º Le manuscri
e je reproduirai. Comme dans ma première édition j’avais opté pour la copie de Pierre Crinitus, mon choix actuel permettra à
ssi, après l’avoir exposée, m’abstiendrai-je de la réfuter. § 2. —  Copie manuscrite du manuscrit de Dijon.     Le manus
, et il n’y a pas à espérer qu’il se retrouve jamais. Heureusement la copie de Gude n’a pas subi le même sort. Gude, on le sa
nt peu d’intérêt pour Gude, qui les a bien signalés, mais qui ne prit copie que des fables. La compétence du savant à qui cet
qui ne prit copie que des fables. La compétence du savant à qui cette copie est due lui donne une valeur presque égale à cell
ès la mort de Gude, avait acheté ses livres. Il en est résulté que sa copie est passée dans la bibliothèque de Wolfenbüttel,
iaux importants pour un ouvrage semblable, j’ai eu connaissance d’une copie de Romulus, que je ne soupçonnais pas auparavant
ariantes qui peuvent être mises au compte du savant copiste. Si cette copie n’a pas d’importance pour la détermination du tex
ulus pas laisser échapper une occasion si naturelle de me procurer la copie du manuscrit de Crinitus. Mais je ne devais m’arr
er d’en demander communication, de manière à me permettre de faire ma copie soit à la Légation, soit à mon hôtel. Il s’empres
e me réserver, et, au bout de trois jours, le dimanche 13 juillet, ma copie était terminée. Le manuscrit forme un volume in-f
n, qu’il avait signée et dont voici la traduction : « J’ai terminé la copie de ces fables d’Ésope le 30 juin 1495, lorsque j’
e les ai notées au bas du texte du Romulus ordinaire édité d’après la copie de Pierre Crinitus. Je ne crois pas utile de pren
j’ai, au mois de juillet 1875, passé plusieurs soirées à en faire la copie entière, et je me suis ainsi assuré que la pureté
mme l’espace n’était pas suffisant, il a, pour l’achever, continué sa copie en marge de deux petits poèmes en vers hexamètres
é imprimées dans la seconde moitié du xve  siècle n’en ont été que la copie . En effet, lorsqu’on jette les yeux sur les autre
. Ethic. dans la bibliothèque ducale de Volfenbüttel, et qui, avec la copie manuscrite de Gude, lui a servi à composer en 180
duction allemande de Steinhöwel. Comme la première, elle n’est que la copie servile du texte latin de l’édition originale. Po
er feuillet présente au verso le portrait d’Ésope en pied, qui est la copie exacte de celui publié par Zeiner ; toutefois, qu
a réimpression de celle de Sorg, la deuxième a été de la première une copie encore plus servile. Non seulement elles ont le m
itre, le texte n’est accompagné d’aucun commentaire. C’est une simple copie des éditions précédentes, faite avec si peu d’att
les éditions du xve  siècle sont, ainsi qu’on a pu l’apercevoir, des copies tantôt directes, tantôt indirectes, mais toujours
ns l’ancien manuscrit de Dijon et s’était donné la peine d’en prendre copie  ; Nilant, dans la préface de ses Fabulæ antiquæ,
tout en différant assez de leur modèle pour n’en être pas une simple copie et pour constituer un véritable dérivé, elles l’o
mots Nocturnus quidam fur et Securis cum facta esset. À la fin de sa copie il a ajouté les trois titres qui suivent : De Ca
mps elles s’en éloignent sensiblement, souvent aussi elles en sont la copie littérale ou n’en diffèrent que par quelques vari
ue leur valeur philologique : c’est la défectuosité de leur texte. La copie contenue dans le manuscrit 679 est probablement d
othèque royale de Munich présente un préambule qui n’est guère que la copie altérée de l’épître dédicatoire du Romulus ordina
que je l’ai dit, je m’arrêtai à Munich, et, après avoir transcrit la copie des fables de Romulus, faite par Pierre Crinitus,
vers que les moines du moyen âge aimaient à placer à la fin de leurs copies  : Finito libro sit laus et gloria Christo. — Ame
iers comprend quatorze feuillets numérotés de 1 à 14, et renferme une copie des fables de Walther faite par Pierre Pithou sur
manuscrits de l’abbaye de Saint-Victor, j’ai voulu les comparer à sa copie . Mais je n’avais pas poussé mon examen comparatif
logue, les deux manuscrits portent Fructum lege , tandis que dans la copie de P. Pithou on lit : Fructum cape. Cette copi
tandis que dans la copie de P. Pithou on lit : Fructum cape. Cette copie ne comprend que les soixante fables ordinaires ;
e trouve cette souscription finale : Hactenus de vetusto codice. La copie se termine au milieu du recto du fol. 14. J. M
s’écarter des leçons qu’il a préférées. Si entre ce manuscrit et la copie de Rigault il n’y a pas conformité complète, cela
ris généralement monochrome. Espérons donc, sans souhaiter de mal aux copies , que les originaux leur survivront. B. Manuscr
celles du manuscrit 1594, on ne peut les considérer comme en étant la copie littérale ; car entre les unes et les autres il e
cien des deux, c’est-à-dire celui qui porte le nº 24310, doit être la copie exacte de l’autre. Pourtant il n’en est pas ainsi
travaillait à l’édition qu’il a publiée en 1838, il s’est servi d’une copie de ce manuscrit, qui avait été très soigneusement
iversité de Vienne, venu à Lyon au mois de septembre 1871, avait pris copie du manuscrit avec l’intention bien arrêtée de le
st blanc ; ce qui montre que le scribe avait l’intention d’achever sa copie . Il n’a pourvu les fables ni d’un titre général,
qui a, dans la souscription suivante, exactement donné la date de sa copie  : « Est finitum et completum per me p. de || Rijs
n ce qui touche les fables de Walther, aisé de reconnaître une simple copie de celui de Göttingen, analysé à la page 559. Au
dix-huitième, De Leone et Mure ; mais il a poussé un peu plus loin la copie des fables de Boner, en laissant au-dessus de cha
ire à la fable latine. Malheureusement il n’a pas non plus terminé la copie de l’œuvre allemande, de sorte qu’à la suite quat
’était autorisé de ces trois vers de l’épilogue, dont j’ai déjà donné copie  : En le honneur de ma dame chiere La royne a tre
crits par le même copiste, celui de la Grenville library n’est pas la copie de l’autre. L’hypothèse inverse n’aurait rien d’i
47, en ayant reconnu ici les leçons généralement bonnes, j’en ai pris copie dans l’intention d’en donner une édition nouvelle
scrits du Romulus ordinaire, décrire ce manuscrit qui en contient une copie , je ne puis maintenant que me référer à l’analyse
bro sit laus et gloria Christo. Enfin plus bas la date à laquelle la copie a été exécutée, est énoncée en ces termes : Anno
le le copiste se donne le nom de Jean fils et déclare avoir achevé sa copie le 29 juillet 1415. 4º Bibliothèque Laurentie
était souvent, au moyen âge, placée par les scribes en tête de leurs copies  : Adsit principio virgo Maria meo ! Immédiateme
, les fables sont suivies de celle en vers hexamètres dont j’ai donné copie plus haut. Section VI. Éditions des fables
aient toujours été les mêmes. Le commencement du commentaire était la copie littérale de la préface du Dérivé complet du Romu
e édition, qui a été publiée dans le grand format in-4º, n’est qu’une copie de l’édition lyonnaise de 1494. Il s’en trouve, s
qui est, comme celui de la plupart des petites éditions d’écolier, la copie du prologue du dérivé complet du Romulus anglo-la
t un peu modernisé. Manuscrit 2805. Ce manuscrit est une simple copie du manuscrit Mocenigo. Manuscrit 1600. Sans
Ce manuscrit, dont les feuillets sont en papier et qui n’est que la copie d’un vieux codex faite au siècle dernier, commenc
e blanc qui suit ce titre démontre que le copiste n’a pas continué sa copie . J’ajoute que, si courte qu’elle soit, elle prése
s sont pas parvenus tous dans leur intégrité. Tandis que de nouvelles copies en étaient faites, les premières disparaissaient 
uvelles copies en étaient faites, les premières disparaissaient ; ces copies nouvelles étaient rarement irréprochables, et de
sives et que je considérerai, non comme une imitation, mais comme une copie un peu altérée du vrai texte ; et, partant de là,
’ai pensé pouvoir considérer, non comme une imitation, mais comme une copie altérée du Romulus de Vienne. Ce manuscrit, qui p
ar affirmer que la collection contenue dans ce manuscrit n’est ni une copie ni une imitation faites sur le manuscrit 303 de l
t la nature de cet emprunt. Si la collection du manuscrit 303 est une copie plus ou moins altérée, mais une copie du Romulus
ection du manuscrit 303 est une copie plus ou moins altérée, mais une copie du Romulus de Vienne, on doit regarder le manuscr
tion du manuscrit 901 ne serait, comme celle du manuscrit 303, qu’une copie du Romulus de Vienne. Mais, lorsqu’on poursuit le
t. Ici, il n’y a plus simple interversion, il y a transformation. La copie est devenue un dérivé. Mais passons à la moralité
03 et 901. Si l’on part de cette idée que le premier des deux est une copie bonne ou mauvaise du Romulus de Vienne, celui de
suite, en bien des endroits, les deux dérivés sont plus exacts que la copie . Mais cette constatation ne me détermine pas à ch
’elles fussent, ne l’avaient pas modifié au point d’en faire, non une copie , mais une imitation ? Au contraire, ces variantes
e même du manuscrit. Pendant mon séjour à Florence, j’en entrepris la copie  ; mais le temps me faisant défaut, à peine l’avai
r si elles faisaient du texte de Florence une imitation ou une simple copie du Romulus ordinaire, je commençai par rechercher
pareille assertion. En effet, si le Romulus de Nilant n’était que la copie des Fabulæ antiquæ, il devrait se composer unique
tal que 35, qui leur soient communes, et par suite ne peuvent être la copie l’une de l’autre. Faut-il, pour achever de le dém
runswick, Lauger, conservateur de la bibliothèque de Wolfenbüttel, la copie prise par Gude du manuscrit de Dijon et l’exempla
son confrère De la Rue a bien voulu lui « communiquer les différentes copies des fables françoises qu’il avoit faites à Londre
cédemment dressé, les nos 12, 35, 95 et 96. Ainsi qu’on l’a vu par la copie que j’en ai donnée, l’épilogue qui suit les fable
ui suivent la première, comme elles sont, dans le Romulus Roberti, la copie presque littérale du texte du Romulus primitif, o
certain que, en dehors des quatre premières fables qui ne sont que la copie presque littérale du Romulus primitif, ou, si l’o
e de chacune des deux colonnes, on lit : Ave Maria. N’étant que la copie du manuscrit 347 C, le ms. 347 B comprend les mêm
a dû emprunter ses fables à ce Romulus dont elles ont été, non pas la copie , mais l’imitation. Quant au texte sur lequel Mari
n ne suppose que, dans le manuscrit 347 C, le scribe, en exécutant sa copie , a substitué, dans la fable 21, les noms d’Isengr
e. Après les avoir comparés, je crois pouvoir affirmer qu’ils sont la copie l’un de l’autre. Pour s’en convaincre, il suffit
07, il est tout naturel d’en conclure que c’est ce dernier qui est la copie de l’autre. 2º Dans le manuscrit 1107 les deux co
mélangées, le scribe qui l’aurait copié n’aurait pu rétablir dans sa copie l’ordre détruit dans son modèle. 3º Dans quelques
mots se trouvent dans le manuscrit 1108, qui dès lors n’a pu être la copie de l’autre. C’est ainsi que l’avant-dernière fabl
. Depuis la publication de ma première édition je me suis procuré une copie complète du texte contenu dans le manuscrit 215 d
ouille. Dans le Romulus ordinaire qui, on le sait, n’est guère que la copie du Romulus primitif et dans le Romulus de Vienne,
uvera qu’une chose : c’est que le Romulus anglo-latin devait être une copie presque littérale du Romulus de Nilant. En effet,
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