temps même, les scribes ont dû cesser de les faire figurer dans leurs
copies
. Cette manière de voir n’est pas dénuée de point
campagne le 25 juin, je vins, dès le lendemain 17, travailler à cette
copie
dans son cabinet, où je continuai à venir travail
re heures tous les jours suivants jusqu’au 25, jour où, ayant fini ma
copie
, j’amenai le dessinateur, qui exécuta sous mes ye
n, j’ai fait de nombreuses démarches pour être admis à prendre, sinon
copie
, au moins connaissance du manuscrit de Pierre Pit
« Au commencement ont été reliés 32 feuillets en papier, qui sont la
copie
du manuscrit, de la main de Pierre Pithou. Cette
r, qui sont la copie du manuscrit, de la main de Pierre Pithou. Cette
copie
offre cela de très remarquable que l’on y voit, e
hou, et ses observations en français pour le prote. Ainsi cette seule
copie
renferme tout le travail de son édition. Une auss
, qui est la reproduction fidèle, non pas du manuscrit, mais de cette
copie
. « M. Adry, jugeant du manuscrit par l’édition, a
es cette exactitude sévère de l’érudition moderne. Comme le prouve sa
copie
, que j’ai sous les yeux, il copiait le manuscrit,
plus la moindre trace aujourd’hui, ce qu’explique cette réunion de la
copie
de Pithou sous la même reliure que le manuscrit.
ont les dernières traces ont disparu, lorsque Pithou a fait relier sa
copie
avec le manuscrit. » Cette citation me semble su
it empressé de lui donner cette satisfaction, et lui avait envoyé une
copie
, faite sur papier transparent : 1º du prologue du
Ranæ metuentes Taurorum prælia. En envoyant à M. de Foncemagne cette
copie
, qu’il avait eu soin de prendre dans trois endroi
n qu’il publia en 1783. Adry l’étudia à son tour, et en prit même une
copie
entière, dont il comptait faire usage, pour écrir
est ainsi qu’à la suite des premiers vers de la fable Leo regnans, il
copie
, sans noter la lacune, les deux derniers vers d’u
eul sans doute, a voulu ménager l’espace et pour cela a fait toute sa
copie
sans rompre la ligne, et le second, s’étant servi
e sa copie sans rompre la ligne, et le second, s’étant servi de cette
copie
, ne s’est pas aperçu qu’il copiait des ïambes et
t ce qu’ils auraient dû faire : je l’ai vu et lu, et j’en ai pris une
copie
littérale qui n’est pas dénuée d’intérêt : car l’
ut. Il suspendit sa publication et pria son élève de lui adresser une
copie
du manuscrit. Après de longues semaines d’attente
en palpitant d’émotion ; mais quel fut son désappointement, quand la
copie
lui eut donné une idée de ce qu’était l’original
ernent l’Anthologie grecque et Théocrite. Parmi les autres figure une
copie
du manuscrit napolitain de Perotti, qui dans le f
.23. Dans le catalogue157 de ce fonds imprimé à Oxford en 1806, cette
copie
à la page 84 est mentionnée en ces termes : N. Pe
i, et Phædri. Ms. in-4o, pp. 56. Adry n’en a pas moins affirmé que la
copie
adressée par d’Orville à Burmann était sortie des
n’ont pas d’ailleurs songé à contester que le Collège ait possédé une
copie
tirée directement ou indirectement du manuscrit.
opie tirée directement ou indirectement du manuscrit. Voici sur cette
copie
le petit conte, dont Ginguené, en l’empruntant à
uelques erreurs de détail, j’avais nettement exprimé l’opinion que la
copie
du collège Louis-le-Grand n’était pas l’autograph
bord les faits. Sur quoi est basée la croyance à l’existence de cette
copie
? Sur ce que, dans leurs éditions de Phèdre, Étie
un et l’autre sans doute, savaient où d’Orville avait pris sa célèbre
copie
. Mais alors comment, s’il n’existait pas à Paris
sa célèbre copie. Mais alors comment, s’il n’existait pas à Paris de
copie
du manuscrit de Parme, Philippe a-t-il pu en extr
et ne me détermine pas à penser qu’ils ont eu à leur disposition deux
copies
distinctes. Burmann n’avait, des variantes du tex
es de Phèdre. Il me semble que, si Philippe avait eu sous les yeux la
copie
de d’Orville ou une copie de cette dernière, y tr
que, si Philippe avait eu sous les yeux la copie de d’Orville ou une
copie
de cette dernière, y trouvant nécessairement les
le ressortir clairement de ses notes qu’il n’a pas prétendu avoir une
copie
du manuscrit de Perotti. Comme Philippe, il ne vi
suffisamment comprendre qu’il n’est pas en situation de consulter une
copie
spéciale du texte de l’archevêque de Siponte167.
veu, et sur quel document se sont fondés ceux qui ont prétendu que la
copie
du collège Louis-le-Grand était passée dans ses m
exact ne mettait donc les savants sur sa trace. Cependant, puisque la
copie
en était perdue, il était important de le retrouv
avait déjà trouvé, il avait chargé un sieur Gargiulli d’en faire une
copie
. Mais, si l’on en croit Cassitto, ni l’un ni l’au
t Perotti, Justiniani, Jordano, qui pourront me servir de témoins. Je
copie
aussitôt toutes les fables inédites, et le lendem
outes les fables inédites, et le lendemain je reviens collationner ma
copie
avec le manuscrit171. » Nous verrons plus loin,
, par les explications de Jannelli, que Cassitto ne prit pas lui-même
copie
des fables nouvelles, et que ce fut son frère qui
ibliothèque au mois de juin 1808, Jannelli ne savait pas que déjà une
copie
en avait été prise. Il s’était mis à l’œuvre, et
de le faire paraître tout entier. Ce n’est pas tout : pendant que sa
copie
était sous presse, il rédigea en latin trois long
entièrement achevé, et non seulement plusieurs savants avaient lu la
copie
des fables nouvellement découvertes, mais encore
erdus, très rapidement et comme à la dérobée, m’a-t-on dit, en fit la
copie
. Il y a plus : Cassitto ne vit le manuscrit qu’un
; Qu’il a fallu beaucoup de temps et un travail soutenu pour prendre
copie
des fables, et que, malgré l’affirmation formulée
ême travailleur, qui me le confia, et immédiatement j’en entrepris la
copie
; mais, comme il ne m’était permis de rester à la
été rouge. L’état dans lequel se trouvait le manuscrit en rendait la
copie
très longue et très difficile, et, limité par le
ins ainsi, dans le court délai que j’avais, à exécuter entièrement ma
copie
. Le manuscrit se compose de deux parties bien dis
tage. Il aurait pris les précautions nécessaires pour n’employer à sa
copie
que le papier indispensable. Le manuscrit est don
ancher. Il dut donc faire de son recueil lentement formé une première
copie
pour son neveu ; mais ce n’est pas celle que poss
pas celle que possède la bibliothèque napolitaine ; c’est une seconde
copie
qu’il avait dû faire pour Veltrius. Après l’ayoir
il est probable qu’il ne donna ni à Pirrho Perotti, ni à Veltrius les
copies
qu’il leur destinait, et que c’est là ce qui expl
pour lesquelles ensuite le temps a dû lui manquer. Voilà pourquoi la
copie
, qui est devenue le manuscrit de Naples, avait ét
que je ne dise que quelques mots de ce second manuscrit qui en est la
copie
exacte. C’est un petit in-folio, dont les feuille
e fois du manuscrit qu’il possédait, Perotti a pu oublier sa première
copie
, et, sans s’en douter, en faire une autre. Mais c
commence, il est impossible que la seconde s’en trouve précisément la
copie
littérale. Cet argument est bien simple ; mais il
n l’œuvre de Phèdre, il lui reproche ce qu’il appelle ses larcins. La
copie
du manuscrit que d’Orville lui avait adressée éta
e. Perotti avait évidemment, avant de la recopier, oublié sa première
copie
, et cependant c’était vraisemblablement peu de te
i ait encore fait défaut, que, de même qu’il avait oublié la première
copie
par lui faite d’une autre fable et l’avait une se
foi. Or savez-vous comment, dans l’index du manuscrit, cette seconde
copie
est intitulée ? Elle porte ce titre moral : De J
bien cette accusation serait injuste ; car le modèle a dû précéder la
copie
et Perotti n’a vécu qu’au xve siècle. Il est vra
lui-même l’avait reproduit, non d’après l’original, mais d’après une
copie
, qui lui en avait été envoyée par dom Le Vacher,
permette, à moi qui ai vu et copié celui de Naples et qui possède une
copie
littérale de celui de Rome, de signaler ici les é
atteindre son but, il n’a pas fait grand effort ; car sa prose est la
copie
presque littérale des vers de l’auteur latin. Pou
67 il n’y en a dans ce cas que 37, de sorte que les 30 autres sont la
copie
presque littérale de celles qui ne nous sont pas
— Gloses sur Perse. Fol. xxii b à xxix b. — Ici commence une seconde
copie
de l’œuvre, dont la première copie incomplète déb
xxix b. — Ici commence une seconde copie de l’œuvre, dont la première
copie
incomplète débute en tête du fol. xiv par ce vers
rs : Hæc quicumque legis diversaque verbula ca[r]pis. Cette seconde
copie
, qui paraît complète et qui semble être de la mai
Il commence à l’année 1007 ; cette date doit être celle à laquelle la
copie
a été faite. Mais il ne faut pas oublier que le m
es divers éléments dont le manuscrit est formé et qui comprennent une
copie
malheureusement incomplète des Fabulæ antiquæ, do
à une exhumation effectuée en 1685, et celle qui, consistant dans la
copie
partielle des Fabulæ antiquæ, paraît par son écri
avant la date de 1685, et alors elles étaient sa propriété. Quand la
copie
qu’on y trouve des Fabulæ antiquæ a été faite, le
issé ainsi un spécimen de son écriture, qui, différant de celle de la
copie
des Fabulæ antiquæ, ne permet pas de la lui attri
æ antiquæ. Mais il importe peu de découvrir de quelle main est cette
copie
; ce qui est plus intéressant, c’est de savoir de
vait l’intention de compléter son travail. J’ai moi-même transcrit sa
copie
, et, comme elle diffère du texte de Nilant par qu
qu’on ne connaît et qu’il n’existe que deux collections qui soient la
copie
ou plutôt l’imitation directe des fables de ce Co
vit au maire de la ville pour le prier de lui faire faire par eux une
copie
du manuscrit. La lettre fut reçue par l’adjoint,
de Phèdre mises en vers allemands par Bohner (Bonerius), l’une de ces
copies
portant la date de 1411. L’autre volume contient
s anciens manuscrits de Romulus. C’est bien certainement, non pas une
copie
modifiée de Romulus, mais une paraphrase particul
dèle sur lequel le précédent copiste a travaillé était simplement une
copie
maladroitement faite de quelque manuscrit de Phèd
ier de faire exécuter pour moi, moyennant rémunération pécuniaire, la
copie
du manuscrit de Wissembourg. Ses notions paléogra
empressa de répondre personnellement à mon désir et de m’adresser une
copie
littérale des fables, accompagnée des ratures et
temps avant qu’il n’eût été acquis par Gude, il en avait été fait une
copie
que j’ai retrouvée depuis la publication de ma pr
n à la fin du xvie siècle, au moins au commencement du xviie . Cette
copie
est d’une rigoureuse exactitude, et les fautes du
manquait n’a pas été reconstitué. J’aurais voulu savoir par qui cette
copie
avait été écrite, et, par cette voie indirecte, c
pas tentées. Lorsqu’on examine quel a été dans le passé le sort de la
copie
, on ne peut pas se reporter à plus de deux siècle
ière. C’est à cela que je vais me borner. Le manuscrit dans lequel la
copie
a été englobée existe aujourd’hui, sous la cote 7
ion avait fait une singulière confusion : ce qu’il avait pris pour la
copie
du manuscrit de Leyde, c’était la copie du manusc
: ce qu’il avait pris pour la copie du manuscrit de Leyde, c’était la
copie
du manuscrit de Wissembourg. Cette erreur s’expli
état de santé. Ajoutez à cela les retards du libraire, qui a fait sa
copie
, non pas quand il le devait, mais quand il l’a pu
Tyberino filio. De civitate attica Esopus quidam homo græcus, etc. La
copie
que Gude avait sans doute soigneusement prise du
pistes du moyen âge se préoccupaient peu de ponctuer exactement leurs
copies
. Il ne faut donc tirer aucun argument du texte du
e pas lui-même antérieur au xive siècle ; mais rien n’indique que la
copie
qu’il renferme, quoique beaucoup moins ancienne q
enne que l’œuvre elle-même, ne soit pas parfaitement fidèle. Or cette
copie
porte : Romulus Tyberino filio de Civitate salute
vir de titre, non pas seulement aux collections qui n’ont été que des
copies
altérées du type primitif, mais encore à celles d
es des divers Romulus ont été des paraphrases en prose, ou plutôt les
copies
un peu modifiées d’une première paraphrase en pro
ouve plus que dans des manuscrits qui ne nous en ont conservé que des
copies
plus ou moins infidèles ou même des imitations pl
en ont, en beaucoup d’endroits, été l’imitation plutôt que la simple
copie
, et l’on conçoit que cette seule circonstance suf
our donner une idée à peu près exacte de ce qu’il a été, mais non des
copies
assez littérales pour permettre une restitution q
vrai que la collection contenue dans ce manuscrit n’est pas une pure
copie
du Romulus primitif, qui dès lors peut être consi
tout cramponnés ; car il n’en est pas un dont il soit resté autant de
copies
littérales ou altérées et qui ait été le point de
ire sont les six suivants : 1º Le manuscrit du British Museum ; 2º La
copie
manuscrite du manuscrit de Dijon ; 3º Le manuscri
e je reproduirai. Comme dans ma première édition j’avais opté pour la
copie
de Pierre Crinitus, mon choix actuel permettra à
ssi, après l’avoir exposée, m’abstiendrai-je de la réfuter. § 2. —
Copie
manuscrite du manuscrit de Dijon. Le manus
, et il n’y a pas à espérer qu’il se retrouve jamais. Heureusement la
copie
de Gude n’a pas subi le même sort. Gude, on le sa
nt peu d’intérêt pour Gude, qui les a bien signalés, mais qui ne prit
copie
que des fables. La compétence du savant à qui cet
qui ne prit copie que des fables. La compétence du savant à qui cette
copie
est due lui donne une valeur presque égale à cell
ès la mort de Gude, avait acheté ses livres. Il en est résulté que sa
copie
est passée dans la bibliothèque de Wolfenbüttel,
iaux importants pour un ouvrage semblable, j’ai eu connaissance d’une
copie
de Romulus, que je ne soupçonnais pas auparavant
ariantes qui peuvent être mises au compte du savant copiste. Si cette
copie
n’a pas d’importance pour la détermination du tex
ulus pas laisser échapper une occasion si naturelle de me procurer la
copie
du manuscrit de Crinitus. Mais je ne devais m’arr
er d’en demander communication, de manière à me permettre de faire ma
copie
soit à la Légation, soit à mon hôtel. Il s’empres
e me réserver, et, au bout de trois jours, le dimanche 13 juillet, ma
copie
était terminée. Le manuscrit forme un volume in-f
n, qu’il avait signée et dont voici la traduction : « J’ai terminé la
copie
de ces fables d’Ésope le 30 juin 1495, lorsque j’
e les ai notées au bas du texte du Romulus ordinaire édité d’après la
copie
de Pierre Crinitus. Je ne crois pas utile de pren
j’ai, au mois de juillet 1875, passé plusieurs soirées à en faire la
copie
entière, et je me suis ainsi assuré que la pureté
mme l’espace n’était pas suffisant, il a, pour l’achever, continué sa
copie
en marge de deux petits poèmes en vers hexamètres
é imprimées dans la seconde moitié du xve siècle n’en ont été que la
copie
. En effet, lorsqu’on jette les yeux sur les autre
. Ethic. dans la bibliothèque ducale de Volfenbüttel, et qui, avec la
copie
manuscrite de Gude, lui a servi à composer en 180
duction allemande de Steinhöwel. Comme la première, elle n’est que la
copie
servile du texte latin de l’édition originale. Po
er feuillet présente au verso le portrait d’Ésope en pied, qui est la
copie
exacte de celui publié par Zeiner ; toutefois, qu
a réimpression de celle de Sorg, la deuxième a été de la première une
copie
encore plus servile. Non seulement elles ont le m
itre, le texte n’est accompagné d’aucun commentaire. C’est une simple
copie
des éditions précédentes, faite avec si peu d’att
les éditions du xve siècle sont, ainsi qu’on a pu l’apercevoir, des
copies
tantôt directes, tantôt indirectes, mais toujours
ns l’ancien manuscrit de Dijon et s’était donné la peine d’en prendre
copie
; Nilant, dans la préface de ses Fabulæ antiquæ,
tout en différant assez de leur modèle pour n’en être pas une simple
copie
et pour constituer un véritable dérivé, elles l’o
mots Nocturnus quidam fur et Securis cum facta esset. À la fin de sa
copie
il a ajouté les trois titres qui suivent : De Ca
mps elles s’en éloignent sensiblement, souvent aussi elles en sont la
copie
littérale ou n’en diffèrent que par quelques vari
ue leur valeur philologique : c’est la défectuosité de leur texte. La
copie
contenue dans le manuscrit 679 est probablement d
othèque royale de Munich présente un préambule qui n’est guère que la
copie
altérée de l’épître dédicatoire du Romulus ordina
que je l’ai dit, je m’arrêtai à Munich, et, après avoir transcrit la
copie
des fables de Romulus, faite par Pierre Crinitus,
vers que les moines du moyen âge aimaient à placer à la fin de leurs
copies
: Finito libro sit laus et gloria Christo. — Ame
iers comprend quatorze feuillets numérotés de 1 à 14, et renferme une
copie
des fables de Walther faite par Pierre Pithou sur
manuscrits de l’abbaye de Saint-Victor, j’ai voulu les comparer à sa
copie
. Mais je n’avais pas poussé mon examen comparatif
logue, les deux manuscrits portent Fructum lege , tandis que dans la
copie
de P. Pithou on lit : Fructum cape. Cette copi
tandis que dans la copie de P. Pithou on lit : Fructum cape. Cette
copie
ne comprend que les soixante fables ordinaires ;
e trouve cette souscription finale : Hactenus de vetusto codice. La
copie
se termine au milieu du recto du fol. 14. J. M
s’écarter des leçons qu’il a préférées. Si entre ce manuscrit et la
copie
de Rigault il n’y a pas conformité complète, cela
ris généralement monochrome. Espérons donc, sans souhaiter de mal aux
copies
, que les originaux leur survivront. B. Manuscr
celles du manuscrit 1594, on ne peut les considérer comme en étant la
copie
littérale ; car entre les unes et les autres il e
cien des deux, c’est-à-dire celui qui porte le nº 24310, doit être la
copie
exacte de l’autre. Pourtant il n’en est pas ainsi
travaillait à l’édition qu’il a publiée en 1838, il s’est servi d’une
copie
de ce manuscrit, qui avait été très soigneusement
iversité de Vienne, venu à Lyon au mois de septembre 1871, avait pris
copie
du manuscrit avec l’intention bien arrêtée de le
st blanc ; ce qui montre que le scribe avait l’intention d’achever sa
copie
. Il n’a pourvu les fables ni d’un titre général,
qui a, dans la souscription suivante, exactement donné la date de sa
copie
: « Est finitum et completum per me p. de || Rijs
n ce qui touche les fables de Walther, aisé de reconnaître une simple
copie
de celui de Göttingen, analysé à la page 559. Au
dix-huitième, De Leone et Mure ; mais il a poussé un peu plus loin la
copie
des fables de Boner, en laissant au-dessus de cha
ire à la fable latine. Malheureusement il n’a pas non plus terminé la
copie
de l’œuvre allemande, de sorte qu’à la suite quat
’était autorisé de ces trois vers de l’épilogue, dont j’ai déjà donné
copie
: En le honneur de ma dame chiere La royne a tre
crits par le même copiste, celui de la Grenville library n’est pas la
copie
de l’autre. L’hypothèse inverse n’aurait rien d’i
47, en ayant reconnu ici les leçons généralement bonnes, j’en ai pris
copie
dans l’intention d’en donner une édition nouvelle
scrits du Romulus ordinaire, décrire ce manuscrit qui en contient une
copie
, je ne puis maintenant que me référer à l’analyse
bro sit laus et gloria Christo. Enfin plus bas la date à laquelle la
copie
a été exécutée, est énoncée en ces termes : Anno
le le copiste se donne le nom de Jean fils et déclare avoir achevé sa
copie
le 29 juillet 1415. 4º Bibliothèque Laurentie
était souvent, au moyen âge, placée par les scribes en tête de leurs
copies
: Adsit principio virgo Maria meo ! Immédiateme
, les fables sont suivies de celle en vers hexamètres dont j’ai donné
copie
plus haut. Section VI. Éditions des fables
aient toujours été les mêmes. Le commencement du commentaire était la
copie
littérale de la préface du Dérivé complet du Romu
e édition, qui a été publiée dans le grand format in-4º, n’est qu’une
copie
de l’édition lyonnaise de 1494. Il s’en trouve, s
qui est, comme celui de la plupart des petites éditions d’écolier, la
copie
du prologue du dérivé complet du Romulus anglo-la
t un peu modernisé. Manuscrit 2805. Ce manuscrit est une simple
copie
du manuscrit Mocenigo. Manuscrit 1600. Sans
Ce manuscrit, dont les feuillets sont en papier et qui n’est que la
copie
d’un vieux codex faite au siècle dernier, commenc
e blanc qui suit ce titre démontre que le copiste n’a pas continué sa
copie
. J’ajoute que, si courte qu’elle soit, elle prése
s sont pas parvenus tous dans leur intégrité. Tandis que de nouvelles
copies
en étaient faites, les premières disparaissaient
uvelles copies en étaient faites, les premières disparaissaient ; ces
copies
nouvelles étaient rarement irréprochables, et de
sives et que je considérerai, non comme une imitation, mais comme une
copie
un peu altérée du vrai texte ; et, partant de là,
’ai pensé pouvoir considérer, non comme une imitation, mais comme une
copie
altérée du Romulus de Vienne. Ce manuscrit, qui p
ar affirmer que la collection contenue dans ce manuscrit n’est ni une
copie
ni une imitation faites sur le manuscrit 303 de l
t la nature de cet emprunt. Si la collection du manuscrit 303 est une
copie
plus ou moins altérée, mais une copie du Romulus
ection du manuscrit 303 est une copie plus ou moins altérée, mais une
copie
du Romulus de Vienne, on doit regarder le manuscr
tion du manuscrit 901 ne serait, comme celle du manuscrit 303, qu’une
copie
du Romulus de Vienne. Mais, lorsqu’on poursuit le
t. Ici, il n’y a plus simple interversion, il y a transformation. La
copie
est devenue un dérivé. Mais passons à la moralité
03 et 901. Si l’on part de cette idée que le premier des deux est une
copie
bonne ou mauvaise du Romulus de Vienne, celui de
suite, en bien des endroits, les deux dérivés sont plus exacts que la
copie
. Mais cette constatation ne me détermine pas à ch
’elles fussent, ne l’avaient pas modifié au point d’en faire, non une
copie
, mais une imitation ? Au contraire, ces variantes
e même du manuscrit. Pendant mon séjour à Florence, j’en entrepris la
copie
; mais le temps me faisant défaut, à peine l’avai
r si elles faisaient du texte de Florence une imitation ou une simple
copie
du Romulus ordinaire, je commençai par rechercher
pareille assertion. En effet, si le Romulus de Nilant n’était que la
copie
des Fabulæ antiquæ, il devrait se composer unique
tal que 35, qui leur soient communes, et par suite ne peuvent être la
copie
l’une de l’autre. Faut-il, pour achever de le dém
runswick, Lauger, conservateur de la bibliothèque de Wolfenbüttel, la
copie
prise par Gude du manuscrit de Dijon et l’exempla
son confrère De la Rue a bien voulu lui « communiquer les différentes
copies
des fables françoises qu’il avoit faites à Londre
cédemment dressé, les nos 12, 35, 95 et 96. Ainsi qu’on l’a vu par la
copie
que j’en ai donnée, l’épilogue qui suit les fable
ui suivent la première, comme elles sont, dans le Romulus Roberti, la
copie
presque littérale du texte du Romulus primitif, o
certain que, en dehors des quatre premières fables qui ne sont que la
copie
presque littérale du Romulus primitif, ou, si l’o
e de chacune des deux colonnes, on lit : Ave Maria. N’étant que la
copie
du manuscrit 347 C, le ms. 347 B comprend les mêm
a dû emprunter ses fables à ce Romulus dont elles ont été, non pas la
copie
, mais l’imitation. Quant au texte sur lequel Mari
n ne suppose que, dans le manuscrit 347 C, le scribe, en exécutant sa
copie
, a substitué, dans la fable 21, les noms d’Isengr
e. Après les avoir comparés, je crois pouvoir affirmer qu’ils sont la
copie
l’un de l’autre. Pour s’en convaincre, il suffit
07, il est tout naturel d’en conclure que c’est ce dernier qui est la
copie
de l’autre. 2º Dans le manuscrit 1107 les deux co
mélangées, le scribe qui l’aurait copié n’aurait pu rétablir dans sa
copie
l’ordre détruit dans son modèle. 3º Dans quelques
mots se trouvent dans le manuscrit 1108, qui dès lors n’a pu être la
copie
de l’autre. C’est ainsi que l’avant-dernière fabl
. Depuis la publication de ma première édition je me suis procuré une
copie
complète du texte contenu dans le manuscrit 215 d
ouille. Dans le Romulus ordinaire qui, on le sait, n’est guère que la
copie
du Romulus primitif et dans le Romulus de Vienne,
uvera qu’une chose : c’est que le Romulus anglo-latin devait être une
copie
presque littérale du Romulus de Nilant. En effet,