nt Esope est le Pere. Troupe de qui l’Histoire, encor que mensongere,
Contient
des veritez qui servent de leçons. Tout parle en
t que ceste Fable approche fort du sujet de la precedente, et qu’elle
contient
par consequent les mesmes instructions, il seroit
on, et sont invincibles par le moyen de leur bonne intelligence, elle
contient
une Allegorie assez commune, et que nous avons de
Discours sur la trente-sixiesme Fable. Comme la Fable precedente
contient
la mesme Allegorie, qu’une de celles que nous avo
quelle la ruse fust payée par la ruse. Il est vray neantmoins qu’elle
contient
je ne sçay quoy de plus important que l’autre, qu
rties. Il y en a une autre bien plus excellente, et plus pure, qui ne
contient
rien de perissable, ny d’imparfaict, mais au cont
qui pour estre en nous tres-imparfaict, ne laisse pas toutes-fois de
contenir
quelque chose d’excellent et de grand par dessus
où il l’invite, et à boucher l’oreille à ses persuasions. Cecy semble
contenir
le mesme sens mystique, que la Fable d’Ulysse, qu
Fable. Je pense qu’il y a deux ou trois Fables dans ce livre, qui
contiennent
le mesme sens de celle-cy, à sçavoir que la Natur
reprendre la vanité des Sculptures, et particulierement de celles qui
contiennent
plus de flaterie que de verité. Ce qui arrive, ce
là comment il est mal-aisé d’avoir une Histoire toute pure, et qui ne
contienne
que des succés veritables. D’ailleurs, les gents
action, qui n’est digne d’aucune sorte de loüange, pource qu’elle ne
contient
aucune difficulté. Quel honneur est-ce à un homme
i utiles que ceux de ce livre. Ce n’est pas mentir que de dire qu’ils
contiennent
en eux un thresor de verité, et les plus nobles s
ognuë de tous les hommes, qu’ayant passé en proverbe parmy nous, elle
contient
le plus grand secret de la prudence, à sçavoir, d
Vertu. Aussi la premiere fin de l’establissement des Roys a esté pour
contenir
les Peuples en l’observation de ce qui est honnes
ours sur la soixante-dixiesme Fable. Ceste Fable soixante-dixiesme
contient
quelque chose de plus, que le blâme de l’ordinair
e que le temperamment des femmes, comme estant créé pour recevoir, ne
contient
pas tant de vigueur ny d’activeté ; au contraire
et que je désirais ne pas laisser sans emploi. D’autre part, elle en
contenait
qu’on pouvait considérer comme n’étant pas dans l
mais à l’égard des variantes, Daunou se trompe ; car l’exemplaire ne
contient
que celles du manuscrit de Pithou écrites par Nic
ds de Bongars composé de plus de cinq cents manuscrits sur vélin. Ils
contiennent
surtout des romans et des chansons de geste et fo
ni, apud Jacobum Salessium, 1602. (Cet opuscule, qui occupe 44 pages,
contient
des poèmes latins, dont les sujets sont empruntés
quel on a ensuite donné son nom. Cela est vrai ; mais ce manuscrit ne
contenait
qu’un fragment, à peine huit fables du premier li
t est écrit sur un parchemin d’une épaisseur moyenne. Il est in-4º et
contient
54 feuillets, dont les fables de Phèdre n’occupen
qui me semble prouver que l’original dont se servait le copiste n’en
contenait
pas davantage. Ensuite, le petit traité, qui vien
euillet déchiré n’était pas dépourvu d’écriture et qu’au contraire il
contenait
le commencement du Liber monstrorum, qui, contrai
Ce manuscrit, qui était à peu près identique à celui de Pithou et qui
contenait
le même nombre de fables dans le même ordre, se t
À partir de cet épilogue les deux manuscrits de Pithou et de Reims ne
contenaient
plus que cinq fables. Il en résulte dans le nombr
Vacher, alors bibliothécaire de Saint-Remi ; mais ce spécimen, qui ne
contenait
que la fable Vulpis ad рersопат tragicam, ne pouv
e hasard me l’ayant fait rencontrer, je m’en suis rendu acquéreur. Il
contenait
et il contient encore le papier transparent, sur
ant fait rencontrer, je m’en suis rendu acquéreur. Il contenait et il
contient
encore le papier transparent, sur lequel Dom Vinc
le cinquième y manquent. » Il est évident qu’une pareille note, qui
contient
autant de faussetés que de mots, ne peut avoir ét
manuscrit de Reims. L’édition Brocas, étant une édition de classe, ne
contenait
pas les fables considérées comme immorales. Dom V
nfin dans le volume de la collection des anciens poètes français, qui
contient
la chanson de geste intitulée Otinel et qui a été
uillet 18, c’est-à-dire les trois premières pages. Ces trois pages ne
contiennent
que huit fables du premier livre ; c’est par erre
variantes tirées du manuscrit de Daniel, et il en avait conclu qu’il
contenait
les 21 premières fables. En y regardant d’un peu
xie , dont il ne donnait pas même le premier vers, et qu’enfin il ne
contenait
pas toutes les fables comprises entre la xie et
ui ne s’explique pas, c’est que, dans sa préface, il déclare qu’il ne
contient
que des fables du IIe livre, quand lui-même, au b
. « Ce manuscrit, dit-il, n’est réellement qu’un fragment ; car il ne
contient
qu’une partie du premier livre et des variantes d
n cahier du format in-4º, dont les feuillets sont en papier et qui ne
contient
que 44 pages d’écriture. On y trouve onze extrait
colo Perotti que j’avais en vue. En copiant celles qui lui semblaient
contenir
les meilleures maximes, il nous en a conservé soi
meur G.-F. Simon, en 1748164. Dans le Delectus variarum lectionum que
contient
son édition, Philippe, lorsqu’il signale les vari
si l’on en croit Cassitto, ni l’un ni l’autre n’avaient aperçu qu’il
contenait
de nouvelles fables de Phèdre, et ce fut lui qui
à la fin de l’année 1808, publia les trente-deux fables nouvelles que
contenait
le manuscrit. C’est une édition in-8º de 23 pages
, quand apparaît, lecteur, une brochure de quelques petites pages qui
contenaient
ces mêmes fables publiées par J.-Ant. Cassitto. C
antes. Quelques semaines après, il publia une nouvelle édition qui ne
contenait
que les fables de Phèdre anciennes et nouvelles.
e en même temps que son Codex Perottinus, la brochure de Cassitto qui
contenait
ses propres conjectures pillées par ce dernier.
lui en avaient été apportées et qui, sous la date des nones de mars,
contenaient
, selon lui, maintes faussetés aussi impudentes qu
Italie, fut publiée une édition courante, in-8º, de 46 pages, qui ne
contenait
que le texte latin et en tête de laquelle on lisa
avec de légères modifications, les titres des diverses pièces de vers
contenues
dans le manuscrit. Les quatre derniers feuillets
les chiffres. Ce distique est intitulé : De asparagis et lacte. Il
contient
une de ces triviales facéties, familières à Perot
la recevoir. De là vient le premier cahier de quatorze feuillets, qui
contient
cette épître, et, à la suite, la table des matièr
bibliothèque du Vatican, un autre manuscrit parfaitement lisible, qui
contenait
identiquement le même texte, mais dont ils ignora
la plus aride de ma tâche, à la question de l’authenticité des fables
contenues
dans les différents manuscrits que j’ai fait conn
e inscription, qui, d’après Jean Troster192, existait encore en 1666,
contenait
ce vers de la fable xvii du livre III : Nisi uti
il essaye de l’anéantir. Il est, dit-il, incontestable que les fables
contenues
dans le manuscrit de Dijon ne sont que la traduct
r les fables de Phèdre : « Celui qui connaît cette œuvre sait qu’elle
contient
plus que de simples fables, c’est-à-dire une foul
é volontairement le rôle de mystificateur. Les fables de Romulus, qui
contiennent
des lambeaux de vers ïambiques, et qui, reproduit
rai que Christ suppose que ce qu’on appelle les manuscrits de Romulus
contient
non pas l’œuvre de Romulus, mais la traduction en
rme252 enfin en composa également soixante. Toutes ces collections ne
contiennent
que des fables de Phèdre un peu transformées. Or,
’il peut considérer le vieux Phrygien comme étant l’auteur des fables
contenues
dans son recueil. Toutes les fables d’Avianus son
l n’y voit qu’une réflexion très sensée. Bien des fables anciennes ne
contiennent
pas autre chose. N’est-ce pas d’ailleurs assez ?
mporain, que Phèdre rapporte comme celui dont la fable x du livre III
contient
le récit. Adry ne parle pas de la fable xvi ; il
fable xix, Adry reconnaît que la xxe , Servus profugus, et Æsopus, «
contient
une excellente morale », mais elle ne lui paraît
Pithou, auquel, quoi qu’on en ait dit, aucun feuillet ne manque, n’en
contient
pas davantage. » Il est vrai que Dressler a eu t
ibutæ, mais plus souvent sous la simple rubrique Appendix, qui semble
contenir
l’aveu de leur triomphe définitif. Chapitre I
endata. Paris, Renouard. In-8º de 21 feuilles un quart. Cette édition
contient
aussi les fables de Phèdre. Phædri Aug. lib. Fab
tomus III. Curante Angelo Maï. Romæ, typis Vaticanis. In-8º. Ce vol.
contient
, p. 278-314, les 32 fables nouvelles de Phèdre.
ipsiæ, in ædibus B. G. Teubneri. In-18. Ce recueil de poésies latines
contient
les 32 fables nouvelles. 1870. Phædri, e
nt en même temps les plus intéressantes au point de vue philologique,
contiennent
les fables directement dérivées du texte primitif
reliure on avait réuni en un seul volume des pièces, qui isolément ne
contenaient
pas des extraits ajoutés pêle-mêle les uns aux au
. À cet opuscule il est intéressant de comparer les œuvres analogues
contenues
dans le même manuscrit, notamment : 1º le petit t
premiers d’un autre codex. Fol. clv a à clxxxviii a. — Ces feuillets
contiennent
une des œuvres d’Hyginus, le Poeticon astronomico
i MDCCCLXXXIII. 5 vol. in-18. (Voyez les pages 31 à 70 du tome V, qui
contiennent
les fables d’Avianus. L’éditeur signale entre aut
qui pourraient vous intéresser peut-être. Les trois premiers volumes
contiennent
trois exemplaires des Fables d’Ésope et de Phèdre
onerius), l’une de ces copies portant la date de 1411. L’autre volume
contient
une série de fables d’Ésope en langue latine. « S
ttre me combla de joie. En me révélant l’existence d’un manuscrit qui
contenait
une collection latine de fables ésopiques, elle m
tation, j’aurais été conduit à croire que le manuscrit de Wissembourg
contenait
le texte de Phèdre conservé en vers ïambiques. Ma
de Wissembourg, comme sa première citation aurait pu le faire croire,
contenait
le texte de Phèdre, ou si au contraire il n’en re
nduit en erreur, en me faisant croire que le manuscrit de Wissembourg
contenait
une œuvre également éloignée de celle des manuscr
ement, comme M. Berger de Xivrey, que, si ce feuillet a existé, il ne
contenait
rien qui se rapportât à Phèdre ; il va plus loin
ermet pas de contester qu’il ait existé, mais encore il affirme qu’il
contenait
le commencement du traité De Monstris, dont les p
s écrivit de Hamm à M. Fleutelot au mois de mai 1844. En somme, elle
contenait
une analyse consciencieuse du manuscrit. Mais cel
d’eux, sauf le premier, est précédé d’une table spéciale. Le premier
contient
14 chapitres ; le deuxième et le troisième, 11 ;
du manuscrit de Phèdre et du texte original de Romulus ; mais elle ne
contient
rien qu’on ne trouve dans Romulus, excepté les de
oint, en eût au besoin fourni la preuve. Ce que le feuillet enlevé ne
contenait
pas, nous le savions ; ce qu’il contenait, le man
e que le feuillet enlevé ne contenait pas, nous le savions ; ce qu’il
contenait
, le manuscrit de Wissembourg nous l’apprend : c’e
eau comparatif qui précède il résulte que le manuscrit de Wissembourg
contient
, en outre de celles de Phèdre actuellement connue
d’hui elle appartient, les deux ou les quatre premiers feuillets, qui
contenaient
le Prologue et les huit premières fables du Livre
instruendum Tyberium filium suum, in Latinum venit. Le prologue qui
contient
ces lignes paraît avoir été en grande faveur au m
ait dédié sa compilation, mourut en 1439 ; le manuscrit de Dijon, qui
contenait
les fables de Romulus, remontait au xiie siècle.
anscrire ici, et je m’empresse de passer à la nomenclature des fables
contenues
dans chacun des trois livres, avec l’indication d
étant le plus ancien de ceux connus, est vraisemblablement celui qui
contient
la reproduction la moins imparfaite du Romulus pr
alogue que ce dernier ne possède pas toutes les expressions de Phèdre
contenues
dans le texte de Wissembourg. Cette allégation fo
erley à cette erreur, c’est que le codex Vossianus latinus in-8º, 15,
contenait
la dédicace à Tiberinus, et que Nilant l’avait pu
scrits dans lesquels elles manquaient pouvaient, malgré cette lacune,
contenir
le vrai texte du Romulus primitif. Aussi, dans ma
e titre : Incipiunt propositiones ad acuendos juvenes , et paraît ne
contenir
que des problèmes d’arithmétique. Quant au texte
n autre intérêt : pour lui, il démontre que le texte de Romulus qu’il
contient
nous est parvenu tel qu’il a été composé à l’orig
acho. » De l’analyse qui précède il ressort d’abord que le manuscrit
contient
les fables du Romulus ordinaire ; elles s’y trouv
collège Corpus Christi 42, feuillets 150 bis à 161, xive siècle, ne
contient
que trois livres. Il commence ainsi : Incipit pro
ne de jeter un simple coup d’œil sur le manuscrit, il aurait vu qu’il
contenait
le Romulus ordinaire, qu’il portait en tête, sans
um in primum Esopi librum (fol. 61 a). Voici la nomenclature qu’elle
contient
: De gallo et margarita. i. De lupo et agno.
et pas de constater la disparition. La deuxième impression de Sorg ne
contient
pas plus que la première la traduction allemande
in-folio de 72 feuillets. Le premier est blanc et les trois suivants
contiennent
, sous forme de lettre, un premier prologue en pro
et ouvrage, à donner l’analyse détaillée de ce livre, dont, quoiqu’il
contînt
un recueil de fables, je n’aurais peut-être pas d
ui porte la cote Y 6536, mais qui malheureusement est incomplet et ne
contient
que la seconde partie du volume ; 2º À la bibliot
qu’il ait été le premier à réimprimer la traduction allemande qu’elle
contenait
. La réimpression de Günther Zainer forme un volum
ix premiers ne portent pas de numéros. Les 108 numérotés qui suivent,
contiennent
l’œuvre de Steinhöwel. Les feuillets non numéroté
ivent, contiennent l’œuvre de Steinhöwel. Les feuillets non numérotés
contiennent
ce qui suit : Fol. 1 a. — Titre ainsi conçu : In
aperçu aucune lacune dans les signatures. Les feuillets 111 a à 178 a
contiennent
la traduction de l’œuvre de Brant suivie de cette
divise en deux parties, l’une renfermant le texte allemand des fables
contenues
dans l’édition d’Ulm, l’autre, la traduction alle
in la table des matières. Viennent ensuite 175 feuillets paginés, qui
contiennent
la vie d’Ésope et les diverses collections de fab
6 et en 1589, a imprimé trois fois la traduction allemande des fables
contenues
dans l’édition de Steinhöwel et de celles ajoutée
IV, que par exception ne précède aucune table, qui comme le précédent
contient
douze gravures et qui se termine par cette souscr
dans cette bibliothèque sous le nº 4693. Comme les précédentes, elle
contient
la traduction de Macho intitulée : Les subtiles
écédentes, est une réimpression de la traduction de J. Macho. Elle ne
contient
aucune date. Le verso du dernier feuillet, qui re
auernier, anno M.D. et lxi. Ainsi que l’annonce le titre, le volume
contient
une traduction distincte de celle de J. Macho et
ndese en Palacio, y en su casa en la calle de Toledo. L’édition ne
contient
pas le texte latin des fables et n’en offre que l
10º Édition de 1683. L’édition de 1683 forme un volume in-8, qui
contient
la traduction espagnole sans le texte latin. Voic
u précédent. Le Speculum morale ne se compose que de trois livres qui
contiennent
des dissertations sur les mouvements de l’âme, su
t composé de 45 feuillets en vélin. Il est dû à des mains diverses et
contient
plusieurs opuscules, que le catalogue imprimé de
rage : « Quoniam multitudo librorum et temporis brevitas… » Ce volume
contient
les livres I-VIII. Parchemin. 259 feuillets. 383
ncent de Beauvais : Speculum doctrinale. — Livres I-IX. — Ce volume
contient
aussi le commencement du livre X. — Commencement
» — xiiie -xive siècles. Clairvaux, Q. 52 et 53. Le premier volume
contient
424 feuillets, et le second 431. Beau manuscrit à
ets 285 et 286, il y en avait un qui a été coupé ou arraché. Comme il
contenait
les dernières fables du Miroir historial, il s’en
ux lignes sur chaque face, une écriture à deux colonnes. Ce manuscrit
contient
seulement les quatorze premiers livres du Miroir
le de Bruxelles, sont analysés les manuscrits du Miroir historial qui
contiennent
le Romulus de Vincent de Beauvais. 9146-9148. —
5, dont l’écriture à deux colonnes sur vélin est irréprochable et qui
contiennent
tous les livres du Miroir historial et par conséq
en lettres rondes. Il comprend trois livres. Les 3 premiers feuillets
contiennent
la table des matières. Le quatrième commence ains
ahiers sont de 8 feuillets, à l’exception des cahiers d, e, f, qui ne
contiennent
chacun que 6 feuillets. Il y a 39 cahiers de 8 fe
feuillets signés et numérotés. Les livres du Miroir historial qu’ils
contiennent
sont terminés par cette souscription : Cy finist
pé par la table. Puis viennent 260 feuillets signés et numérotés qui
contiennent
les livres du Miroir historial terminés eux-mêmes
pés par la table. Puis viennent 243 feuillets signés et numérotés qui
contiennent
les livres du Miroir historial terminés par cette
les cinq autres. Puis viennent 202 feuillets signés et numérotés qui
contiennent
les livres du Miroir historial terminés par cette
pés par la table. Puis viennent 218 feuillets signés et numérotés qui
contiennent
les 5 derniers livres clos ainsi au recto du dern
t plus possible. En effet dans la première fable le Romulus de Vienne
contient
le mot quemdam que ne possèdent ni le Romulus ord
34 feuillets, dont l’écriture à longues lignes est du xve siècle, et
contient
divers ouvrages dont le catalogue imprimé394 donn
us mixte de Berne. Les fables que j’ai maintenant à analyser, sont
contenues
dans un manuscrit de la bibliothèque cantonale de
it considérée comme son œuvre. Le manuscrit de Beauvais, au fº 77 vº,
contient
un petit poème de vingt-quatre hexamètres rimés,
e Romulus, faite par Pierre Crinitus, j’examinai avec soin les gloses
contenues
dans les manuscrits des fables élégiaques que pos
é beaucoup d’autres éditions du même temps, qui, imprimées en France,
contenaient
la même phrase, et, comme celle de Lyon, contrast
, et que, même dans les manuscrits et dans les anciennes éditions qui
contiennent
les deux fables complémentaires, c’est presque co
ne sont pas les seules que je publierai. Les manuscrits nombreux qui
contiennent
son œuvre m’en ont révélé quelques autres, qui ce
e vers : Surgo, surge, miser : pudor est mactare sedentem. Ce vers
contient
des leçons qui sont en désaccord soit avec celles
ar une main du xive siècle. Les premier et dix-neuvième feuillets ne
contiennent
que des fragments de prières latines ; très étran
tiques ; on y trouve un assez grand nombre d’anciennes éditions. Elle
contient
aussi plusieurs manuscrits très estimables, surto
qui a rapport à la musique a été déchiré et volé. » Le manuscrit ne
contient
que les soixante fables de Walther. Elles sont pr
tre de chaque fable à l’encre rouge est accompagné du distique qui en
contient
la morale. Je dois enfin signaler une particulari
dre, remarqua, dans la librairie du vieux monastère, un manuscrit qui
contenait
les fables d’un auteur alors inconnu ; il en tran
oit d’une fenestre mal joincte. Les 89 premiers feuillets numérotés
contiennent
les fables de Walther, suivies chacune d’une trad
je vais faire connaître la liste complète de celles que le manuscrit
contient
dans sa première partie, et à cet effet transcrir
duction en vers français. Mais elle est loin d’être complète. Elle ne
contient
que 19 fables. Comme dans la première partie du m
t de Marie de France, dresser le tableau comparatif des fables qu’ils
contiennent
. Ms. 1594. Ms. 1595. Mb. 19123. Ms. 243
me in-fol., dont l’écriture sur parchemin est du xive siècle, et qui
contient
, soit en totalité, soit par extraits, 31 ouvrages
t-huit vers français ainsi conçus : Cilz liures quest ci en présence
Contient
de grand profit sentence : Raisons quest de solez
du xve siècle et du commencement du xvie . Les 35 premiers feuillets
contiennent
, non pas, suivant la mention erronée du catalogue
aites. Les vingt et un derniers feuillets, qui sont en partie blancs,
contiennent
diverses pièces que le Catalogue analyse en ces t
plats : Codex monasterii Sancti Mathie apostoli extra Treviros. Il
contient
trois ouvrages, dont l’énumération figure au-dess
s dents de son défunt époux, on y trouve, avant le distique final qui
contient
la vraie affabulation, le suivant que j’ai déjà s
est due à une main du xve siècle. Il porte le millésime de 1471. Il
contient
les fables d’Avianus, qui occupent les feuillets
cune des autres pour les recevoir n’a pas été rempli. La fable xlviii
contient
les deux distiques, souvent introduits après le v
le dernier feuillet placer une double colonne de vers. Ce feuillet ne
contenait
qu’une partie de la fable lviii, et cependant rie
oyale de Munich. A. Manuscrit 237. Les fables de Walther sont
contenues
dans ce manuscrit du format in-folio, composé de
: Ebersb. 141. Il se compose de 263 feuillets, dont les 47 premiers
contiennent
les fables de Walther. C’est ce qui résulte de la
t, dont le catalogue indique l’origine par cette mention : Em. D 26,
contient
plusieurs opuscules, qui, d’après les dates qu’il
rme un volume in-4º de 429 feuillets. Parmi les ouvrages variés qu’il
contient
et qui sont au nombre de douze se trouvent les fa
de 69 feuillets en parchemin et écrit par une main du xve siècle. Il
contient
quatre ouvrages désignés par les titres suivants
e 65 feuillets en parchemin et écrit par une main du xive siècle. Il
contient
quatre ouvrages annoncés par ces titres : Catonis
n’est devenue incomplète que par la disparition des feuillets qui en
contenaient
la fin. G. Manuscrit Add. 10389. J’arrive à
crit 11675, petit volume in-8º de huit feuillets en parchemin, qui ne
contient
que le prologue et les trente-deux premières fabl
français la cote 1594. Non seulement, comme ce dernier manuscrit, il
contient
le texte latin de Walther et celui d’Avianus, amp
déjà transcrits dans mon analyse du manuscrit 1594. Il est complet et
contient
le vers, que, dans ce dernier manuscrit, le copis
és, l’un au commencement, l’autre à la fin. Les 60 fables de Walther,
contenues
dans ce manuscrit, ne portent aucun titre ; mais
er et dont l’écriture est du xve siècle. Les fables de Walther qu’il
contient
occupent les feuillets 192 b à 203 b, et sont au
archemin, chiffrés par pages, dont l’écriture est à deux colonnes. Il
contient
de nombreux ouvrages en prose et en vers et notam
siècle. Le premier feuillet et le dernier sont blancs. Le volume ne
contient
que les fables de Walther qui occupent les feuill
evue les manuscrits du Romulus ordinaire, décrire ce manuscrit qui en
contient
une copie, je ne puis maintenant que me référer à
u format in-8º. C’est un fragment d’un manuscrit du xive siècle, qui
contenait
la collection complète des fables de Walther et d
pier sont au nombre de 120 et portent une écriture du xve siècle. Il
contient
deux ouvrages. Le premier est un poème religieux
. Ce manuscrit forme un volume in-4º, dont les feuillets en papier
contiennent
seulement les 60 fables de Walther et les deux co
llement à la bibliothèque royale de Bruxelles, il porte le nº 534. Il
contient
un grand nombre d’œuvres distinctes, dues à diver
les élégiaques et qui devaient eux-mêmes porter les nos 187 et 188 et
contenir
une partie des quarante et une premières fables.
it a ajouté ces mots : Manus domini. Non seulement les cahiers qui
contenaient
les quarante et une premières fables de Walther,
iothèque Palatine, un des fonds de celle du Vatican. Le manuscrit qui
contenait
les fables de Walther fut-il, à la fin du siècle
criture des fables de Walther est du xiiie siècle. Le cahier qui les
contient
se compose de vingt feuillets. Le premier, qui es
de 52 feuillets en parchemin, dont l’écriture est du xive siècle. Il
contient
quatre ouvrages, qui sont sur un premier feuillet
re, due à une main italienne, est du xive siècle. Les ouvrages qu’il
contient
sont énumérés dans les termes suivants sur le pre
n parchemin, dont l’écriture est du xiiie siècle. Les vingt premiers
contiennent
les fables de Walther, précédées de leur prologue
acun d’un titre à l’encre rouge. Le recto du feuillet xxvi et dernier
contient
un opuscule écrit par une autre main. § 10.
ns les éditions imprimées. Ainsi la fable xlviii De Milite et Femina,
contient
, à la suite du vingt-sixième vers, les quatre qui
satus cum bono commento. Un des exemplaires de cette édition, qui ne
contient
aucune indication de lieu, est conservé à la bibl
cun huit feuillets, il s’ensuit qu’il n’en possède en tout que 32. Il
contient
seulement les fables de Walther et celles d’Avian
ique d’un autre imprimeur, est la réimpression de celle de 1519. Elle
contient
, entre autres ouvrages, les fables de Walther att
ition m’induisant en erreur, m’avaient porté à supposer que l’édition
contenait
avec le texte une traduction en prose italienne.
eliciter. Au recto du dernier feuillet du volume les ouvrages qu’il
contient
sont terminés par cette souscription générale :
cle. Les cinquante-trois fables en prose italienne qu’il possède sont
contenues
dans douze feuillets et se terminent au recto du
t les feuillets sont en papier et dont l’écriture est du xve siècle,
contient
une fable en vers intitulée : Una favola d’Isopo
dont l’écriture italienne à longues lignes est du xive siècle. Il ne
contient
que la version italienne en langue vulgaire des f
ser. Manuscrit 375 Varior. (classe VII, palch. 9). Ce manuscrit
contient
la traduction en vers de quelques fables dont voi
19. Vide Meletius monachus no 34. C’est donc un simple apographe. Il
contient
l’Esopo volgarizzato per uno da Siena, qui commen
Anno Domini || M.cccc.lxxxxvi || A di xvii. di Septembre. Le volume
contient
non seulement la traduction en prose des fables d
a première fois publié le texte du manuscrit Gadd. reliqui 176 et qui
contient
trois fables, d’après l’éditeur inédites, intitul
composés, le premier, de ccxvii pages, le second, de 288. Le premier
contient
, de la page vii à la page clii, la dissertation a
taires. Alors que la plupart des manuscrits qui nous sont parvenus ne
contiennent
que 60 ou 62 fables, Accio Zuccho a traduit la so
traduction d’Accio Zuccho fut enfin imprimée à Venise. L’édition qui
contient
à la fois les distiques de Walther et les sonnets
accompagnée d’une gravure sur bois et suivie des deux sonnets qui en
contiennent
la traduction. Les gravures sont d’un dessin de b
e se compose de 72 feuillets. Réimpression de l’édition de 1491, elle
contient
le texte de Walther et la traduction d’Accio Zucc
igurant au recto du premier feuillet d’un très petit volume in-16 qui
contient
avec le texte latin la traduction d’Accio Zuccho.
le nombre total des feuillets est de 168. Voici maintenant ce qu’ils
contiennent
: Fol. 1 a (a. i a). — La première page est blanc
nnes intitulée : Tabula in fabulas Esopi. Le verso du même feuillet
contient
le registre des cahiers. Fol. 168 (y. iiiiiiii).
fables de Neckam, j’ai remarqué, non sans surprise, que la même fable
contenait
également ce double distique, et j’en avais concl
bulæ antiquæ de Nilant ; je ne connais pas de collection ancienne qui
contienne
les sujets de la deuxième et de la troisième ; la
porté le nº 261 ; mais la cote 2094 ne lui a jamais appartenu. Il ne
contient
des fables de Neckam que les six premières et le
liothèque nationale. Le manuscrit de la Bibliothèque nationale qui
contient
le Novus Aesopus tout entier provient du cabinet
de la fable. Le distique élégiaque qui, à la fin de chaque fable, en
contient
la morale, est reproduit dans une table qui occup
le numéro de la fable, et à droite, le titre. Les feuillets 18 et 19
contiennent
la fin du Luparius, poème en vers élégiaques. « C
in-8º, écrit sur parchemin en gothique de la fin du xive siècle. Il
contient
deux ouvrages, les fables françaises qui occupent
collection de Chartres, comme celle de la Bibliothèque nationale, ne
contient
pas la traduction de la fable xi de Neckam, De St
synoptique, non seulement donnant la nomenclature générale des fables
contenues
dans les trois manuscrits de Vienne et de Berlin,
onnue, qu’il en eût été de même ; en effet, comme le manuscrit qui la
contenait
dépendait d’une bibliothèque privée inaccessible
— Manuscrit Digbéien nº 172. Des deux derniers manuscrits, qui
contiennent
le Romulus anglo-latin, le plus important est cel
iffrer. Il se compose de 192 feuillets. La collection de fables qu’il
contient
commence au recto du feuillet 96. Ces fables sont
e le nombre des fables du Romulus de Nilant. L’un des deux manuscrits
contient
même le commencement d’une fable inachevée qui, m
semblé lui donner raison. J’en ai compulsé plusieurs qui paraissaient
contenir
104 fables ; tels sont, par exemple, les manuscri
oit être nécessairement restreinte à ce chiffre. Si tel manuscrit qui
contient
cent trois fables n’offrait pas uniquement les mê
rits français de la Bibliothèque nationale, j’en ai remarqué deux qui
contenaient
des fables non comprises dans les 103 publiées pa
une raison, qui s’applique à toutes, c’est que le Romulus latin n’en
contient
aucune qui y corresponde. Ensuite, si on les exam
nd un trop grand nombre d’œuvres pour que j’en donne ici la liste. Il
contient
, avant les fables de Marie, quatorze fabliaux en
cle. Voici, d’après le catalogue imprimé, la liste des ouvrages qu’il
contient
: 1º L’Ymage dou monde. 2º Les fables d’« Isopet
n Explicit Esopes , écrite en gros caractères. Le manuscrit qui les
contient
a été connu de M. de Roquefort qui lui attribue l
cer l’existence de Marie au milieu du xiiie siècle. Parmi les œuvres
contenues
dans le manuscrit figurent les fables de Marie, q
llets sont en parchemin et dont l’écriture est sur deux colonnes. Il
contient
un grand nombre de pièces, parmi lesquelles les f
annoncées par ce titre général : Ci commence ysopet en françois qui
contient
LXXXI chapitres. Puis au commencement du feuille
chemin, dont l’écriture est à deux colonnes. Parmi les ouvrages qu’il
contient
, figurent les fables de Marie qui occupent les fe
crit, suivant l’usage adopté à Bruxelles, porte autant de cotes qu’il
contient
d’ouvrages divers. Il forme un fort volume in-fol
r (f. 386) porte seulement en tête cet ex-libris : « En ce livre sont
contenues
plusieurs vies des saints et des saintes, en rime
meo. Il renferme trois œuvres distinctes. Les 156 premiers feuillets
contiennent
les dix-neuf livres du traité De Proprietatibus r
urg, ni dans le Romulus Roberti. Il en est résulté que des 134 fables
contenues
dans le manuscrit de Göttingen il n’a publié que
a Bibliothèque donne en ces termes la nomenclature des ouvrages qu’il
contient
: 1º Sermo de passione domini, incerti auctoris.
ets en papier, dont l’écriture à deux colonnes est du xve siècle. Il
contient
plusieurs ouvrages. On y trouve notamment, du feu
et tractatus varii. Le Dérivé complet du Romulus anglo-latin qu’il
contient
commence à la première colonne du feuillet 1 a et
ement inférieur à celui du Dérivé complet, et que par suite ce Dérivé
contenait
bien des fables étrangères au Romulus dont il éta
. 246549, mais la cote 997 Novi. « Le manuscrit, dit M. Oesterley550,
contient
encore 125 chapitres, bien qu’il ait perdu par le
comme il le suppose, les feuillets qui manquent à la fin du manuscrit
contenaient
des fables maintenant perdues, il est vraisemblab
e étant loin de posséder autant de fables que le Romulus primitif, en
contenait
deux qui n’existaient pas dans ce dernier, celle
t pas pouvoir être mis en doute ; car cinquante-trois manuscrits, qui
contiennent
une partie ou la totalité de ses ouvrages et qui
le volume, publié en 1874 par la Société de l’histoire de France, qui
contient
les chroniques de l’abbaye de Saint-Martial. 286
elot s’exprime ainsi : « Un livre anglais, imprimé à Londres en 1503,
contient
les fables d’Hildebert traduites avec peu de chan
esme qu’elle fait commettre. Car toutes les autres passions illicites
contiennent
pour le moins quelque apparence de plaisir, et re