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1 (1692) Fables choisies, mises en vers « A monseigneur, le dauphin. »
nt Esope est le Pere. Troupe de qui l’Histoire, encor que mensongere, Contient des veritez qui servent de leçons. Tout parle en
2 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVII. De l’Asne malade, et des Loups. »
t que ceste Fable approche fort du sujet de la precedente, et qu’elle contient par consequent les mesmes instructions, il seroit
3 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVIII. Des Taureaux, et du Lion. »
on, et sont invincibles par le moyen de leur bonne intelligence, elle contient une Allegorie assez commune, et que nous avons de
4 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVI. Du Cheval, et du Lion. »
Discours sur la trente-sixiesme Fable. Comme la Fable precedente contient la mesme Allegorie, qu’une de celles que nous avo
quelle la ruse fust payée par la ruse. Il est vray neantmoins qu’elle contient je ne sçay quoy de plus important que l’autre, qu
5 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXX. Du Loup, et de la Teste peinte. »
rties. Il y en a une autre bien plus excellente, et plus pure, qui ne contient rien de perissable, ny d’imparfaict, mais au cont
qui pour estre en nous tres-imparfaict, ne laisse pas toutes-fois de contenir quelque chose d’excellent et de grand par dessus
6 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIII. Du Lion, et de la Chévre. »
où il l’invite, et à boucher l’oreille à ses persuasions. Cecy semble contenir le mesme sens mystique, que la Fable d’Ulysse, qu
7 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVI. Du Paon, et de la Gruë. »
Fable. Je pense qu’il y a deux ou trois Fables dans ce livre, qui contiennent le mesme sens de celle-cy, à sçavoir que la Natur
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIX. Du Lion, et de l’Homme. »
reprendre la vanité des Sculptures, et particulierement de celles qui contiennent plus de flaterie que de verité. Ce qui arrive, ce
là comment il est mal-aisé d’avoir une Histoire toute pure, et qui ne contienne que des succés veritables. D’ailleurs, les gents
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXII. De la Brebis, et de la Corneille. »
action, qui n’est digne d’aucune sorte de loüange, pource qu’elle ne contient aucune difficulté. Quel honneur est-ce à un homme
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVIII. Du Berger, et du Loup . »
i utiles que ceux de ce livre. Ce n’est pas mentir que de dire qu’ils contiennent en eux un thresor de verité, et les plus nobles s
11 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIII. De l’Arbre, et du Roseau. »
ognuë de tous les hommes, qu’ayant passé en proverbe parmy nous, elle contient le plus grand secret de la prudence, à sçavoir, d
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XX. Des Colombes, et du Faucon leur Roy. »
Vertu. Aussi la premiere fin de l’establissement des Roys a esté pour contenir les Peuples en l’observation de ce qui est honnes
13 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXX. De l’Aigle, et du Corbeau. »
ours sur la soixante-dixiesme Fable. Ceste Fable soixante-dixiesme contient quelque chose de plus, que le blâme de l’ordinair
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXV. De la Nourrice, et du Loup. »
e que le temperamment des femmes, comme estant créé pour recevoir, ne contient pas tant de vigueur ny d’activeté ; au contraire
15 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
et que je désirais ne pas laisser sans emploi. D’autre part, elle en contenait qu’on pouvait considérer comme n’étant pas dans l
mais à l’égard des variantes, Daunou se trompe ; car l’exemplaire ne contient que celles du manuscrit de Pithou écrites par Nic
ds de Bongars composé de plus de cinq cents manuscrits sur vélin. Ils contiennent surtout des romans et des chansons de geste et fo
ni, apud Jacobum Salessium, 1602. (Cet opuscule, qui occupe 44 pages, contient des poèmes latins, dont les sujets sont empruntés
quel on a ensuite donné son nom. Cela est vrai ; mais ce manuscrit ne contenait qu’un fragment, à peine huit fables du premier li
t est écrit sur un parchemin d’une épaisseur moyenne. Il est in-4º et contient 54 feuillets, dont les fables de Phèdre n’occupen
qui me semble prouver que l’original dont se servait le copiste n’en contenait pas davantage. Ensuite, le petit traité, qui vien
euillet déchiré n’était pas dépourvu d’écriture et qu’au contraire il contenait le commencement du Liber monstrorum, qui, contrai
Ce manuscrit, qui était à peu près identique à celui de Pithou et qui contenait le même nombre de fables dans le même ordre, se t
À partir de cet épilogue les deux manuscrits de Pithou et de Reims ne contenaient plus que cinq fables. Il en résulte dans le nombr
Vacher, alors bibliothécaire de Saint-Remi ; mais ce spécimen, qui ne contenait que la fable Vulpis ad рersопат tragicam, ne pouv
e hasard me l’ayant fait rencontrer, je m’en suis rendu acquéreur. Il contenait et il contient encore le papier transparent, sur
ant fait rencontrer, je m’en suis rendu acquéreur. Il contenait et il contient encore le papier transparent, sur lequel Dom Vinc
le cinquième y manquent. » Il est évident qu’une pareille note, qui contient autant de faussetés que de mots, ne peut avoir ét
manuscrit de Reims. L’édition Brocas, étant une édition de classe, ne contenait pas les fables considérées comme immorales. Dom V
nfin dans le volume de la collection des anciens poètes français, qui contient la chanson de geste intitulée Otinel et qui a été
uillet 18, c’est-à-dire les trois premières pages. Ces trois pages ne contiennent que huit fables du premier livre ; c’est par erre
variantes tirées du manuscrit de Daniel, et il en avait conclu qu’il contenait les 21 premières fables. En y regardant d’un peu
 xie , dont il ne donnait pas même le premier vers, et qu’enfin il ne contenait pas toutes les fables comprises entre la xie et
ui ne s’explique pas, c’est que, dans sa préface, il déclare qu’il ne contient que des fables du IIe livre, quand lui-même, au b
. « Ce manuscrit, dit-il, n’est réellement qu’un fragment ; car il ne contient qu’une partie du premier livre et des variantes d
n cahier du format in-4º, dont les feuillets sont en papier et qui ne contient que 44 pages d’écriture. On y trouve onze extrait
colo Perotti que j’avais en vue. En copiant celles qui lui semblaient contenir les meilleures maximes, il nous en a conservé soi
meur G.-F. Simon, en 1748164. Dans le Delectus variarum lectionum que contient son édition, Philippe, lorsqu’il signale les vari
si l’on en croit Cassitto, ni l’un ni l’autre n’avaient aperçu qu’il contenait de nouvelles fables de Phèdre, et ce fut lui qui
à la fin de l’année 1808, publia les trente-deux fables nouvelles que contenait le manuscrit. C’est une édition in-8º de 23 pages
, quand apparaît, lecteur, une brochure de quelques petites pages qui contenaient ces mêmes fables publiées par J.-Ant. Cassitto. C
antes. Quelques semaines après, il publia une nouvelle édition qui ne contenait que les fables de Phèdre anciennes et nouvelles.
e en même temps que son Codex Perottinus, la brochure de Cassitto qui contenait ses propres conjectures pillées par ce dernier.
lui en avaient été apportées et qui, sous la date des nones de mars, contenaient , selon lui, maintes faussetés aussi impudentes qu
Italie, fut publiée une édition courante, in-8º, de 46 pages, qui ne contenait que le texte latin et en tête de laquelle on lisa
avec de légères modifications, les titres des diverses pièces de vers contenues dans le manuscrit. Les quatre derniers feuillets
les chiffres. Ce distique est intitulé : De asparagis et lacte. Il contient une de ces triviales facéties, familières à Perot
la recevoir. De là vient le premier cahier de quatorze feuillets, qui contient cette épître, et, à la suite, la table des matièr
bibliothèque du Vatican, un autre manuscrit parfaitement lisible, qui contenait identiquement le même texte, mais dont ils ignora
la plus aride de ma tâche, à la question de l’authenticité des fables contenues dans les différents manuscrits que j’ai fait conn
e inscription, qui, d’après Jean Troster192, existait encore en 1666, contenait ce vers de la fable xvii du livre III : Nisi uti
il essaye de l’anéantir. Il est, dit-il, incontestable que les fables contenues dans le manuscrit de Dijon ne sont que la traduct
r les fables de Phèdre : « Celui qui connaît cette œuvre sait qu’elle contient plus que de simples fables, c’est-à-dire une foul
é volontairement le rôle de mystificateur. Les fables de Romulus, qui contiennent des lambeaux de vers ïambiques, et qui, reproduit
rai que Christ suppose que ce qu’on appelle les manuscrits de Romulus contient non pas l’œuvre de Romulus, mais la traduction en
rme252 enfin en composa également soixante. Toutes ces collections ne contiennent que des fables de Phèdre un peu transformées. Or,
’il peut considérer le vieux Phrygien comme étant l’auteur des fables contenues dans son recueil. Toutes les fables d’Avianus son
l n’y voit qu’une réflexion très sensée. Bien des fables anciennes ne contiennent pas autre chose. N’est-ce pas d’ailleurs assez ?
mporain, que Phèdre rapporte comme celui dont la fable x du livre III contient le récit. Adry ne parle pas de la fable xvi ; il
fable xix, Adry reconnaît que la xxe , Servus profugus, et Æsopus, «  contient une excellente morale », mais elle ne lui paraît
Pithou, auquel, quoi qu’on en ait dit, aucun feuillet ne manque, n’en contient pas davantage. » Il est vrai que Dressler a eu t
ibutæ, mais plus souvent sous la simple rubrique Appendix, qui semble contenir l’aveu de leur triomphe définitif. Chapitre I
endata. Paris, Renouard. In-8º de 21 feuilles un quart. Cette édition contient aussi les fables de Phèdre. Phædri Aug. lib. Fab
tomus III. Curante Angelo Maï. Romæ, typis Vaticanis. In-8º. Ce vol. contient , p. 278-314, les 32 fables nouvelles de Phèdre.
ipsiæ, in ædibus B. G. Teubneri. In-18. Ce recueil de poésies latines contient les 32 fables nouvelles. 1870. Phædri, e
nt en même temps les plus intéressantes au point de vue philologique, contiennent les fables directement dérivées du texte primitif
reliure on avait réuni en un seul volume des pièces, qui isolément ne contenaient pas des extraits ajoutés pêle-mêle les uns aux au
. À cet opuscule il est intéressant de comparer les œuvres analogues contenues dans le même manuscrit, notamment : 1º le petit t
premiers d’un autre codex. Fol. clv a à clxxxviii a. — Ces feuillets contiennent une des œuvres d’Hyginus, le Poeticon astronomico
i MDCCCLXXXIII. 5 vol. in-18. (Voyez les pages 31 à 70 du tome V, qui contiennent les fables d’Avianus. L’éditeur signale entre aut
qui pourraient vous intéresser peut-être. Les trois premiers volumes contiennent trois exemplaires des Fables d’Ésope et de Phèdre
onerius), l’une de ces copies portant la date de 1411. L’autre volume contient une série de fables d’Ésope en langue latine. « S
ttre me combla de joie. En me révélant l’existence d’un manuscrit qui contenait une collection latine de fables ésopiques, elle m
tation, j’aurais été conduit à croire que le manuscrit de Wissembourg contenait le texte de Phèdre conservé en vers ïambiques. Ma
de Wissembourg, comme sa première citation aurait pu le faire croire, contenait le texte de Phèdre, ou si au contraire il n’en re
nduit en erreur, en me faisant croire que le manuscrit de Wissembourg contenait une œuvre également éloignée de celle des manuscr
ement, comme M. Berger de Xivrey, que, si ce feuillet a existé, il ne contenait rien qui se rapportât à Phèdre ; il va plus loin 
ermet pas de contester qu’il ait existé, mais encore il affirme qu’il contenait le commencement du traité De Monstris, dont les p
s écrivit de Hamm à M. Fleutelot au mois de mai 1844. En somme, elle contenait une analyse consciencieuse du manuscrit. Mais cel
d’eux, sauf le premier, est précédé d’une table spéciale. Le premier contient 14 chapitres ; le deuxième et le troisième, 11 ;
du manuscrit de Phèdre et du texte original de Romulus ; mais elle ne contient rien qu’on ne trouve dans Romulus, excepté les de
oint, en eût au besoin fourni la preuve. Ce que le feuillet enlevé ne contenait pas, nous le savions ; ce qu’il contenait, le man
e que le feuillet enlevé ne contenait pas, nous le savions ; ce qu’il contenait , le manuscrit de Wissembourg nous l’apprend : c’e
eau comparatif qui précède il résulte que le manuscrit de Wissembourg contient , en outre de celles de Phèdre actuellement connue
d’hui elle appartient, les deux ou les quatre premiers feuillets, qui contenaient le Prologue et les huit premières fables du Livre
instruendum Tyberium filium suum, in Latinum venit. Le prologue qui contient ces lignes paraît avoir été en grande faveur au m
ait dédié sa compilation, mourut en 1439 ; le manuscrit de Dijon, qui contenait les fables de Romulus, remontait au xiie  siècle.
anscrire ici, et je m’empresse de passer à la nomenclature des fables contenues dans chacun des trois livres, avec l’indication d
étant le plus ancien de ceux connus, est vraisemblablement celui qui contient la reproduction la moins imparfaite du Romulus pr
alogue que ce dernier ne possède pas toutes les expressions de Phèdre contenues dans le texte de Wissembourg. Cette allégation fo
erley à cette erreur, c’est que le codex Vossianus latinus in-8º, 15, contenait la dédicace à Tiberinus, et que Nilant l’avait pu
scrits dans lesquels elles manquaient pouvaient, malgré cette lacune, contenir le vrai texte du Romulus primitif. Aussi, dans ma
e titre : Incipiunt propositiones ad acuendos juvenes , et paraît ne contenir que des problèmes d’arithmétique. Quant au texte
n autre intérêt : pour lui, il démontre que le texte de Romulus qu’il contient nous est parvenu tel qu’il a été composé à l’orig
acho. » De l’analyse qui précède il ressort d’abord que le manuscrit contient les fables du Romulus ordinaire ; elles s’y trouv
collège Corpus Christi 42, feuillets 150 bis à 161, xive  siècle, ne contient que trois livres. Il commence ainsi : Incipit pro
ne de jeter un simple coup d’œil sur le manuscrit, il aurait vu qu’il contenait le Romulus ordinaire, qu’il portait en tête, sans
um in primum Esopi librum (fol. 61 a). Voici la nomenclature qu’elle contient  : De gallo et margarita. i. De lupo et agno.
et pas de constater la disparition. La deuxième impression de Sorg ne contient pas plus que la première la traduction allemande
in-folio de 72 feuillets. Le premier est blanc et les trois suivants contiennent , sous forme de lettre, un premier prologue en pro
et ouvrage, à donner l’analyse détaillée de ce livre, dont, quoiqu’il contînt un recueil de fables, je n’aurais peut-être pas d
ui porte la cote Y 6536, mais qui malheureusement est incomplet et ne contient que la seconde partie du volume ; 2º À la bibliot
qu’il ait été le premier à réimprimer la traduction allemande qu’elle contenait . La réimpression de Günther Zainer forme un volum
ix premiers ne portent pas de numéros. Les 108 numérotés qui suivent, contiennent l’œuvre de Steinhöwel. Les feuillets non numéroté
ivent, contiennent l’œuvre de Steinhöwel. Les feuillets non numérotés contiennent ce qui suit : Fol. 1 a. — Titre ainsi conçu : In
aperçu aucune lacune dans les signatures. Les feuillets 111 a à 178 a contiennent la traduction de l’œuvre de Brant suivie de cette
divise en deux parties, l’une renfermant le texte allemand des fables contenues dans l’édition d’Ulm, l’autre, la traduction alle
in la table des matières. Viennent ensuite 175 feuillets paginés, qui contiennent la vie d’Ésope et les diverses collections de fab
6 et en 1589, a imprimé trois fois la traduction allemande des fables contenues dans l’édition de Steinhöwel et de celles ajoutée
IV, que par exception ne précède aucune table, qui comme le précédent contient douze gravures et qui se termine par cette souscr
dans cette bibliothèque sous le nº 4693. Comme les précédentes, elle contient la traduction de Macho intitulée : Les subtiles
écédentes, est une réimpression de la traduction de J. Macho. Elle ne contient aucune date. Le verso du dernier feuillet, qui re
auernier, anno M.D. et lxi. Ainsi que l’annonce le titre, le volume contient une traduction distincte de celle de J. Macho et
ndese en Palacio, y en su casa en la calle de Toledo. L’édition ne contient pas le texte latin des fables et n’en offre que l
10º Édition de 1683. L’édition de 1683 forme un volume in-8, qui contient la traduction espagnole sans le texte latin. Voic
u précédent. Le Speculum morale ne se compose que de trois livres qui contiennent des dissertations sur les mouvements de l’âme, su
t composé de 45 feuillets en vélin. Il est dû à des mains diverses et contient plusieurs opuscules, que le catalogue imprimé de
rage : « Quoniam multitudo librorum et temporis brevitas… » Ce volume contient les livres I-VIII. Parchemin. 259 feuillets. 383
ncent de Beauvais : Speculum doctrinale. — Livres I-IX. — Ce volume contient aussi le commencement du livre X. — Commencement 
 » — xiiie -xive  siècles. Clairvaux, Q. 52 et 53. Le premier volume contient 424 feuillets, et le second 431. Beau manuscrit à
ets 285 et 286, il y en avait un qui a été coupé ou arraché. Comme il contenait les dernières fables du Miroir historial, il s’en
ux lignes sur chaque face, une écriture à deux colonnes. Ce manuscrit contient seulement les quatorze premiers livres du Miroir
le de Bruxelles, sont analysés les manuscrits du Miroir historial qui contiennent le Romulus de Vincent de Beauvais. 9146-9148. — 
5, dont l’écriture à deux colonnes sur vélin est irréprochable et qui contiennent tous les livres du Miroir historial et par conséq
en lettres rondes. Il comprend trois livres. Les 3 premiers feuillets contiennent la table des matières. Le quatrième commence ains
ahiers sont de 8 feuillets, à l’exception des cahiers d, e, f, qui ne contiennent chacun que 6 feuillets. Il y a 39 cahiers de 8 fe
 feuillets signés et numérotés. Les livres du Miroir historial qu’ils contiennent sont terminés par cette souscription : Cy finist
pé par la table. Puis viennent 260 feuillets signés et numérotés qui contiennent les livres du Miroir historial terminés eux-mêmes
pés par la table. Puis viennent 243 feuillets signés et numérotés qui contiennent les livres du Miroir historial terminés par cette
les cinq autres. Puis viennent 202 feuillets signés et numérotés qui contiennent les livres du Miroir historial terminés par cette
pés par la table. Puis viennent 218 feuillets signés et numérotés qui contiennent les 5 derniers livres clos ainsi au recto du dern
t plus possible. En effet dans la première fable le Romulus de Vienne contient le mot quemdam que ne possèdent ni le Romulus ord
34 feuillets, dont l’écriture à longues lignes est du xve  siècle, et contient divers ouvrages dont le catalogue imprimé394 donn
us mixte de Berne. Les fables que j’ai maintenant à analyser, sont contenues dans un manuscrit de la bibliothèque cantonale de
it considérée comme son œuvre. Le manuscrit de Beauvais, au fº 77 vº, contient un petit poème de vingt-quatre hexamètres rimés,
e Romulus, faite par Pierre Crinitus, j’examinai avec soin les gloses contenues dans les manuscrits des fables élégiaques que pos
é beaucoup d’autres éditions du même temps, qui, imprimées en France, contenaient la même phrase, et, comme celle de Lyon, contrast
, et que, même dans les manuscrits et dans les anciennes éditions qui contiennent les deux fables complémentaires, c’est presque co
ne sont pas les seules que je publierai. Les manuscrits nombreux qui contiennent son œuvre m’en ont révélé quelques autres, qui ce
e vers : Surgo, surge, miser : pudor est mactare sedentem. Ce vers contient des leçons qui sont en désaccord soit avec celles
ar une main du xive  siècle. Les premier et dix-neuvième feuillets ne contiennent que des fragments de prières latines ; très étran
tiques ; on y trouve un assez grand nombre d’anciennes éditions. Elle contient aussi plusieurs manuscrits très estimables, surto
qui a rapport à la musique a été déchiré et volé. » Le manuscrit ne contient que les soixante fables de Walther. Elles sont pr
tre de chaque fable à l’encre rouge est accompagné du distique qui en contient la morale. Je dois enfin signaler une particulari
dre, remarqua, dans la librairie du vieux monastère, un manuscrit qui contenait les fables d’un auteur alors inconnu ; il en tran
oit d’une fenestre mal joincte. Les 89 premiers feuillets numérotés contiennent les fables de Walther, suivies chacune d’une trad
je vais faire connaître la liste complète de celles que le manuscrit contient dans sa première partie, et à cet effet transcrir
duction en vers français. Mais elle est loin d’être complète. Elle ne contient que 19 fables. Comme dans la première partie du m
t de Marie de France, dresser le tableau comparatif des fables qu’ils contiennent . Ms. 1594. Ms. 1595. Mb. 19123. Ms. 243
me in-fol., dont l’écriture sur parchemin est du xive  siècle, et qui contient , soit en totalité, soit par extraits, 31 ouvrages
t-huit vers français ainsi conçus : Cilz liures quest ci en présence Contient de grand profit sentence : Raisons quest de solez
du xve  siècle et du commencement du xvie . Les 35 premiers feuillets contiennent , non pas, suivant la mention erronée du catalogue
aites. Les vingt et un derniers feuillets, qui sont en partie blancs, contiennent diverses pièces que le Catalogue analyse en ces t
plats : Codex monasterii Sancti Mathie apostoli extra Treviros. Il contient trois ouvrages, dont l’énumération figure au-dess
s dents de son défunt époux, on y trouve, avant le distique final qui contient la vraie affabulation, le suivant que j’ai déjà s
est due à une main du xve  siècle. Il porte le millésime de 1471. Il contient les fables d’Avianus, qui occupent les feuillets 
cune des autres pour les recevoir n’a pas été rempli. La fable xlviii contient les deux distiques, souvent introduits après le v
le dernier feuillet placer une double colonne de vers. Ce feuillet ne contenait qu’une partie de la fable lviii, et cependant rie
oyale de Munich. A. Manuscrit 237. Les fables de Walther sont contenues dans ce manuscrit du format in-folio, composé de
 : Ebersb. 141. Il se compose de 263 feuillets, dont les 47 premiers contiennent les fables de Walther. C’est ce qui résulte de la
t, dont le catalogue indique l’origine par cette mention : Em. D 26, contient plusieurs opuscules, qui, d’après les dates qu’il
rme un volume in-4º de 429 feuillets. Parmi les ouvrages variés qu’il contient et qui sont au nombre de douze se trouvent les fa
de 69 feuillets en parchemin et écrit par une main du xve  siècle. Il contient quatre ouvrages désignés par les titres suivants 
e 65 feuillets en parchemin et écrit par une main du xive  siècle. Il contient quatre ouvrages annoncés par ces titres : Catonis
n’est devenue incomplète que par la disparition des feuillets qui en contenaient la fin. G. Manuscrit Add. 10389. J’arrive à
crit 11675, petit volume in-8º de huit feuillets en parchemin, qui ne contient que le prologue et les trente-deux premières fabl
français la cote 1594. Non seulement, comme ce dernier manuscrit, il contient le texte latin de Walther et celui d’Avianus, amp
déjà transcrits dans mon analyse du manuscrit 1594. Il est complet et contient le vers, que, dans ce dernier manuscrit, le copis
és, l’un au commencement, l’autre à la fin. Les 60 fables de Walther, contenues dans ce manuscrit, ne portent aucun titre ; mais
er et dont l’écriture est du xve  siècle. Les fables de Walther qu’il contient occupent les feuillets 192 b à 203 b, et sont au
archemin, chiffrés par pages, dont l’écriture est à deux colonnes. Il contient de nombreux ouvrages en prose et en vers et notam
 siècle. Le premier feuillet et le dernier sont blancs. Le volume ne contient que les fables de Walther qui occupent les feuill
evue les manuscrits du Romulus ordinaire, décrire ce manuscrit qui en contient une copie, je ne puis maintenant que me référer à
u format in-8º. C’est un fragment d’un manuscrit du xive  siècle, qui contenait la collection complète des fables de Walther et d
pier sont au nombre de 120 et portent une écriture du xve  siècle. Il contient deux ouvrages. Le premier est un poème religieux
. Ce manuscrit forme un volume in-4º, dont les feuillets en papier contiennent seulement les 60 fables de Walther et les deux co
llement à la bibliothèque royale de Bruxelles, il porte le nº 534. Il contient un grand nombre d’œuvres distinctes, dues à diver
les élégiaques et qui devaient eux-mêmes porter les nos 187 et 188 et contenir une partie des quarante et une premières fables.
it a ajouté ces mots : Manus domini. Non seulement les cahiers qui contenaient les quarante et une premières fables de Walther,
iothèque Palatine, un des fonds de celle du Vatican. Le manuscrit qui contenait les fables de Walther fut-il, à la fin du siècle
criture des fables de Walther est du xiiie  siècle. Le cahier qui les contient se compose de vingt feuillets. Le premier, qui es
de 52 feuillets en parchemin, dont l’écriture est du xive  siècle. Il contient quatre ouvrages, qui sont sur un premier feuillet
re, due à une main italienne, est du xive  siècle. Les ouvrages qu’il contient sont énumérés dans les termes suivants sur le pre
n parchemin, dont l’écriture est du xiiie  siècle. Les vingt premiers contiennent les fables de Walther, précédées de leur prologue
acun d’un titre à l’encre rouge. Le recto du feuillet xxvi et dernier contient un opuscule écrit par une autre main. § 10.
ns les éditions imprimées. Ainsi la fable xlviii De Milite et Femina, contient , à la suite du vingt-sixième vers, les quatre qui
satus cum bono commento. Un des exemplaires de cette édition, qui ne contient aucune indication de lieu, est conservé à la bibl
cun huit feuillets, il s’ensuit qu’il n’en possède en tout que 32. Il contient seulement les fables de Walther et celles d’Avian
ique d’un autre imprimeur, est la réimpression de celle de 1519. Elle contient , entre autres ouvrages, les fables de Walther att
ition m’induisant en erreur, m’avaient porté à supposer que l’édition contenait avec le texte une traduction en prose italienne.
eliciter. Au recto du dernier feuillet du volume les ouvrages qu’il contient sont terminés par cette souscription générale :
cle. Les cinquante-trois fables en prose italienne qu’il possède sont contenues dans douze feuillets et se terminent au recto du
t les feuillets sont en papier et dont l’écriture est du xve  siècle, contient une fable en vers intitulée : Una favola d’Isopo
dont l’écriture italienne à longues lignes est du xive  siècle. Il ne contient que la version italienne en langue vulgaire des f
ser. Manuscrit 375 Varior. (classe VII, palch. 9). Ce manuscrit contient la traduction en vers de quelques fables dont voi
19. Vide Meletius monachus no 34. C’est donc un simple apographe. Il contient l’Esopo volgarizzato per uno da Siena, qui commen
Anno Domini || M.cccc.lxxxxvi || A di xvii. di Septembre. Le volume contient non seulement la traduction en prose des fables d
a première fois publié le texte du manuscrit Gadd. reliqui 176 et qui contient trois fables, d’après l’éditeur inédites, intitul
composés, le premier, de ccxvii pages, le second, de 288. Le premier contient , de la page vii à la page clii, la dissertation a
taires. Alors que la plupart des manuscrits qui nous sont parvenus ne contiennent que 60 ou 62 fables, Accio Zuccho a traduit la so
traduction d’Accio Zuccho fut enfin imprimée à Venise. L’édition qui contient à la fois les distiques de Walther et les sonnets
accompagnée d’une gravure sur bois et suivie des deux sonnets qui en contiennent la traduction. Les gravures sont d’un dessin de b
e se compose de 72 feuillets. Réimpression de l’édition de 1491, elle contient le texte de Walther et la traduction d’Accio Zucc
igurant au recto du premier feuillet d’un très petit volume in-16 qui contient avec le texte latin la traduction d’Accio Zuccho.
le nombre total des feuillets est de 168. Voici maintenant ce qu’ils contiennent  : Fol. 1 a (a. i a). — La première page est blanc
nnes intitulée : Tabula in fabulas Esopi. Le verso du même feuillet contient le registre des cahiers. Fol. 168 (y. iiiiiiii).
fables de Neckam, j’ai remarqué, non sans surprise, que la même fable contenait également ce double distique, et j’en avais concl
bulæ antiquæ de Nilant ; je ne connais pas de collection ancienne qui contienne les sujets de la deuxième et de la troisième ; la
porté le nº 261 ; mais la cote 2094 ne lui a jamais appartenu. Il ne contient des fables de Neckam que les six premières et le
liothèque nationale. Le manuscrit de la Bibliothèque nationale qui contient le Novus Aesopus tout entier provient du cabinet
de la fable. Le distique élégiaque qui, à la fin de chaque fable, en contient la morale, est reproduit dans une table qui occup
le numéro de la fable, et à droite, le titre. Les feuillets 18 et 19 contiennent la fin du Luparius, poème en vers élégiaques. « C
in-8º, écrit sur parchemin en gothique de la fin du xive  siècle. Il contient deux ouvrages, les fables françaises qui occupent
collection de Chartres, comme celle de la Bibliothèque nationale, ne contient pas la traduction de la fable xi de Neckam, De St
synoptique, non seulement donnant la nomenclature générale des fables contenues dans les trois manuscrits de Vienne et de Berlin,
onnue, qu’il en eût été de même ; en effet, comme le manuscrit qui la contenait dépendait d’une bibliothèque privée inaccessible
— Manuscrit Digbéien nº 172.     Des deux derniers manuscrits, qui contiennent le Romulus anglo-latin, le plus important est cel
iffrer. Il se compose de 192 feuillets. La collection de fables qu’il contient commence au recto du feuillet 96. Ces fables sont
e le nombre des fables du Romulus de Nilant. L’un des deux manuscrits contient même le commencement d’une fable inachevée qui, m
semblé lui donner raison. J’en ai compulsé plusieurs qui paraissaient contenir 104 fables ; tels sont, par exemple, les manuscri
oit être nécessairement restreinte à ce chiffre. Si tel manuscrit qui contient cent trois fables n’offrait pas uniquement les mê
rits français de la Bibliothèque nationale, j’en ai remarqué deux qui contenaient des fables non comprises dans les 103 publiées pa
une raison, qui s’applique à toutes, c’est que le Romulus latin n’en contient aucune qui y corresponde. Ensuite, si on les exam
nd un trop grand nombre d’œuvres pour que j’en donne ici la liste. Il contient , avant les fables de Marie, quatorze fabliaux en
cle. Voici, d’après le catalogue imprimé, la liste des ouvrages qu’il contient  : 1º L’Ymage dou monde. 2º Les fables d’« Isopet
n Explicit Esopes , écrite en gros caractères. Le manuscrit qui les contient a été connu de M. de Roquefort qui lui attribue l
cer l’existence de Marie au milieu du xiiie  siècle. Parmi les œuvres contenues dans le manuscrit figurent les fables de Marie, q
llets sont en parchemin et dont l’écriture est sur deux colonnes. Il contient un grand nombre de pièces, parmi lesquelles les f
annoncées par ce titre général : Ci commence ysopet en françois qui contient LXXXI chapitres. Puis au commencement du feuille
chemin, dont l’écriture est à deux colonnes. Parmi les ouvrages qu’il contient , figurent les fables de Marie qui occupent les fe
crit, suivant l’usage adopté à Bruxelles, porte autant de cotes qu’il contient d’ouvrages divers. Il forme un fort volume in-fol
r (f. 386) porte seulement en tête cet ex-libris : « En ce livre sont contenues plusieurs vies des saints et des saintes, en rime
meo. Il renferme trois œuvres distinctes. Les 156 premiers feuillets contiennent les dix-neuf livres du traité De Proprietatibus r
urg, ni dans le Romulus Roberti. Il en est résulté que des 134 fables contenues dans le manuscrit de Göttingen il n’a publié que 
a Bibliothèque donne en ces termes la nomenclature des ouvrages qu’il contient  : 1º Sermo de passione domini, incerti auctoris.
ets en papier, dont l’écriture à deux colonnes est du xve  siècle. Il contient plusieurs ouvrages. On y trouve notamment, du feu
et tractatus varii. Le Dérivé complet du Romulus anglo-latin qu’il contient commence à la première colonne du feuillet 1 a et
ement inférieur à celui du Dérivé complet, et que par suite ce Dérivé contenait bien des fables étrangères au Romulus dont il éta
. 246549, mais la cote 997 Novi. « Le manuscrit, dit M. Oesterley550, contient encore 125 chapitres, bien qu’il ait perdu par le
comme il le suppose, les feuillets qui manquent à la fin du manuscrit contenaient des fables maintenant perdues, il est vraisemblab
e étant loin de posséder autant de fables que le Romulus primitif, en contenait deux qui n’existaient pas dans ce dernier, celle
t pas pouvoir être mis en doute ; car cinquante-trois manuscrits, qui contiennent une partie ou la totalité de ses ouvrages et qui
le volume, publié en 1874 par la Société de l’histoire de France, qui contient les chroniques de l’abbaye de Saint-Martial. 286
elot s’exprime ainsi : « Un livre anglais, imprimé à Londres en 1503, contient les fables d’Hildebert traduites avec peu de chan
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIX. Du Loup, et du Renard. »
esme qu’elle fait commettre. Car toutes les autres passions illicites contiennent pour le moins quelque apparence de plaisir, et re
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