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1 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 114 » p. 310
faveur, afin qu’il devînt père. Le sacrificateur lui dit : « Quand je considère le sacrifice, je prie pour que tu deviennes père 
2 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 23 » pp. 13-13
lque contrariété. » Or donc nous non plus nous ne devons pas, si nous considérons combien la vie est changeante, nous flatter d’obt
3 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
’autres n’eussent ni la volonté ni la possibilité de les réunir, j’ai considéré comme un devoir de l’accomplir. Bref, ayant étudi
as laisser sans emploi. D’autre part, elle en contenait qu’on pouvait considérer comme n’étant pas dans leur vrai milieu. Pour ne
ait fait partie, et à ce titre on ne doit pas s’étonner qu’il se soit considéré comme le compatriote de Linus et d’Orphée. 4º Épo
ute-puissance pour accuser Phèdre de lèse-majesté. Le Père Desbillons considérait donc les fables ii et vi du livre Ier comme écrit
dut la liberté ; car l’appui que Phèdre lui demande, montre qu’il le considère comme un personnage influent, et l’on sait que l’
ces mots, qui la rattachent à la précédente, ne permettent pas de la considérer comme le commencement d’un livre nouveau. Les édi
tion Brocas, étant une édition de classe, ne contenait pas les fables considérées comme immorales. Dom Vincent n’en avait pas moins
e iis quae in eo edendo sunt praestita, avait pour objet le manuscrit considéré en lui-même. Elle en fait l’histoire et la descri
point que, si auparavant elle m’avait semblé utile, dorénavant je la considérais non plus seulement comme fort opportune, mais mêm
dû être copié d’un seul trait, et que, partant, on aurait tort de le considérer comme un autographe. Comment expliquer cette cont
aître. En écrivant la vie de Phèdre, j’ai imité mes devanciers : j’ai considéré ces manuscrits comme contenant son œuvre, et j’ai
de Scriverius, déclara hardiment qu’ils étaient insensés ceux qui les considéraient comme l’œuvre d’un auteur contemporain d’Auguste
tes, à moins que je ne m’abuse étrangement, il ne peut nullement être considéré comme digne de cette époque, cet écrivain, à qui
ns le manuscrit de Pithou, est intitulée Idem Poeta, et qui peut être considérée comme servant de préambule à la fable Demetrius r
taient certainement fort peu nombreuses, et qu’en conséquence on peut considérer son recueil tout entier comme une œuvre de jeunes
sagacité de son neveu ? Cela ne me paraît pas douteux, et, lorsque je considère en outre que Perotti avait, à l’origine, formé so
scriptoribus, publiée à Leipzig en 1744214, en alléguant qu’il avait considéré Phèdre non comme un fabuliste latin, mais comme u
rnies par quelques-uns de ses devanciers, prétendit que Sénèque avait considéré Phèdre, non comme un Romain, mais comme un Thrace
e de Gellert, qui pense que, si Sénèque oublie Phèdre, c’est qu’il le considère non pas comme un fabuliste original, mais comme u
nt étaient pour la plupart empruntées à Ésope, il s’ensuit qu’il a pu considérer l’apologue comme un genre de littérature étranger
nneté des fables, ni sur la personnalité de leur auteur. Cependant il considérait avec raison que la question ne serait pas définit
é ensuite chez les peuples sémitiques ; les contes arabes, qu’on peut considérer comme des apologues, portent la trace de leur ori
able, implicitement nié tous ces faits, ils ne doivent pas moins être considérés comme entièrement conformes à la vérité. Secti
tres latines furent tombées en décadence, les fables ésopiques furent considérées comme se prêtant mieux que les autres monuments a
lle ont puisé Phèdre et Avianus, et ce n’est qu’à ce titre qu’il peut considérer le vieux Phrygien comme étant l’auteur des fables
llé d’employer les fables ésopiques dans l’enseignement scolaire ; il considérait comme excellent l’exercice qui consistait à les f
emment que du même auteur, et la xxxiie , Terraneola et Vulpes, qu’il considère comme digne de Lycophron, mais qui, s’il avait vo
ma réfutation : quand on nie ainsi l’évidence, on est jugé. Lorsqu’on considère ainsi en eux-mêmes les arguments d’Adry, on ne co
vi, la preuve que Perotti n’est pas l’auteur des fables nouvelles. Il considère ces deux vers comme l’épimythion d’une fable abse
l’Epitome de Perotti, l’authenticité des trente-deux fables nouvelles considérées en elles-mêmes ne peut pour les connaisseurs impa
originaux des Fabulæ antiquæ ? Évidemment oui, et l’on peut dès lors considérer le manuscrit de Leyde comme ayant sauvé un import
tinue jusqu’à l’année 1029, date de son départ pour la Palestine, est considérée aujourd’hui encore comme une source importante et
ultérieures et qui lui-même n’avait pas tardé à disparaître. Si l’on considère cette hypothèse comme fondée, je crois qu’il ne f
r n’avait pas fait cette facile remarque ; voulant compléter ce qu’il considérait comme une affabulation tronquée, il fit précéder
re IV, et 5, 7 et 9 du livre V. Ces deux circonstances l’empêchent de considérer le manuscrit de Wissembourg comme susceptible d’o
crédulité publique, et qu’elle devait par les critiques sérieux être considérée comme un de ces petits moyens de réclame, qui ont
séparaient les deux écrivains, qui, par suite, ne pouvaient plus être considérés comme n’en formant qu’un seul sous deux noms diff
ait impossible à déterminer. Tout à l’heure j’examinerai si l’on doit considérer les mots de civitate Attica comme indiquant un li
les elle ne lui semblait pas se rapporter, et que non seulement il ne considérait pas comme issues de Romulus, mais qui, dans sa co
t porté ce nom de Romulus, celui qu’on peut le plus vraisemblablement considérer comme l’auteur de nos paraphrases : c’est tout ce
lan général et une uniformité d’exécution qui ne permettent pas de le considérer comme une œuvre collective, due aux élèves d’une
nuscrit, dit-il, sont les deux textes donnés par Nilant qu’on ne peut considérer que comme des fragments ou des excerpta du vérita
t critique l’avait reléguée dans une note, c’est qu’il ne l’avait pas considérée comme se rapportant au texte des Fabulæ antiquæ,
n’est pas une pure copie du Romulus primitif, qui dès lors peut être considéré comme appartenant à une époque plus reculée. Mais
Jusqu’à ce jour la collection que j’appelle Romulus ordinaire a été considérée comme la plus ancienne de toutes celles auxquelle
ction II. Manuscrits du Romulus ordinaire. Les manuscrits que j’ai considérés comme contenant le texte du Romulus ordinaire son
tude trancher la question, j’ai trouvé plus simple et plus prudent de considérer les trois manuscrits du second groupe comme conte
r côte à côte quatre textes assez peu dissemblables pour pouvoir être considérés comme appartenant à une seule et même collection.
scrit, qui, malgré les nombreuses variantes qu’il présente, doit être considéré , non comme un dérivé, mais comme un exemplaire pl
nt la plus ancienne du Romulus ordinaire fut celle d’Ulm, que Schwabe considéra comme ayant la valeur d’un véritable manuscrit, e
is qui marque la fin de la première partie de l’édition ; car on peut considérer comme formant une seconde partie indépendante de
dacteur du catalogue imprimé de la Grenville library n’a pas hésité à considérer cette édition comme la plus ancienne. Aussi à la
u nombre de 353 ; mais ce numérotage doit être inexact ; car, si l’on considère que, d’après la table des cahiers, il y a 43 cahi
ement laissé de côté Romulus et son fils Tiberinus qu’il a sans doute considérés avec raison comme des personnages imaginaires, et
éraires, s’en écartent complètement. Dans cette situation j’aurais pu considérer les vingt-cinq premières fables et les quinze der
as non plus nécessaire d’opérer cette division, j’ai pris le parti de considérer les quarante fables comme formant dans leur ensem
les du second sont au contraire les moins anciennes et qu’il faut les considérer comme un abrégé des autres. Quant aux fables xxx,
ux siècles, était nécessairement ignoré du copiste. Ensuite, quand on considère le titre en lui-même, il me semble difficile d’y
dans sa préface publiée en tête du Phèdre de la collection Nisard, à considérer Hildebert comme le véritable auteur des fables él
le poétique archevêque de Tours, l’épigramme de l’Hermaphrodite était considérée comme son œuvre. Le manuscrit de Beauvais, au fº 
fut nommé archevêque de Palerme et primat du royaume, et son élève le considéra , tant qu’il vécut, non seulement comme un précept
her, dans celui qui est conservé à Wolfenbüttel, et qu’on a longtemps considéré comme remontant au xiie  siècle. Malgré ces circo
de plus en faveur de la solution que j’ai adoptée et qui a consisté à considérer son œuvre comme dérivée de ce Romulus et non de c
u’elles soient les mêmes que celles du manuscrit 1594, on ne peut les considérer comme en étant la copie littérale ; car entre les
xime : Prudencia non sapit fatuis. C’est un commentaire, qu’on peut considérer comme un fragment manuscrit des fables de Walther
lume in-fol. de 57 feuillets, et, bien qu’écrit sur papier, peut être considéré comme un livre de luxe. Il ne renferme que les fa
vient le préambule Græcia disciplinarum mater , qui, n’ayant pas été considéré par l’éditeur comme un simple commentaire, a été
6, Aug., j’ai trouvé un manuscrit in-4º de grand format, pouvant être considéré comme contenant une traduction en prose des fable
uoique la date indiquée soit celle de la fin de janvier 1491, il faut considérer l’impression du volume comme achevée seulement en
Sous ce titre figure le prologue de Walther, qui dans l’édition est considéré comme la première fable. Puis vient la paraphrase
Walther au contraire n’en a presque rien gardé, et si l’on veut bien considérer comment il a traduit la phrase que j’ai citée plu
es, subi les conséquences de ces transcriptions successives et que je considérerai , non comme une imitation, mais comme une copie un
imilaires le texte pur du Romulus primitif, j’avais dû nécessairement considérer le Romulus de Vienne comme en étant issu. Mainten
que impériale de Vienne que se trouve le texte que j’ai pensé pouvoir considérer , non comme une imitation, mais comme une copie al
algré l’exacte indication fournie par M. Léopold Delisle, je ne dusse considérer le manuscrit de Florence que comme un exemplaire
quante numéros, ne comprend que quarante-neuf fables ; car on ne peut considérer comme une vraie fable la dernière pièce intitulée
à, et, puisque, selon lui, aucun des deux rois anglais ne devait être considéré comme l’auteur de la traduction, il aurait dû, ai
e cette idée que la collection de 22 fables et celle de 136, qu’il ne considérait que comme des dérivés, l’un direct, l’autre très
t ne la portait pas vers les traductions des ouvrages latins, qu’elle considérait comme très méritantes, mais par lesquelles elle n
uve formulés dans les mêmes termes, de sorte qu’ils ne sauraient être considérés comme l’œuvre de Marie ; ensuite les termes, dans
t que la solution que j’ai déjà adoptée est la seule vraie : quand on considère que le texte latin, tout en comprenant cent trent
comprend 100 ; mais seuls les 98 premiers concernent Marie ; il faut considérer comme lui étant étrangers les deux derniers qui d
scrit in-fol., intitulé : Mouchet , qui, étant moderne, ne peut être considéré comme une véritable source. Il a été relié en qua
u Romulus anglo-latin, en revanche il ne me paraît pas possible de le considérer avec lui comme un abrégé de ce Romulus. Tout à l’
nsi que l’examen isolé de la première fable pourrait le faire croire, considérer ce recueil comme une imitation abrégée du Romulus
ion et de l’Âne chassant et du Lion malade et du Renard, doivent être considérées comme des dérivés raccourcis, les autres sont d’u
irects de Phèdre, mais encore du Romulus Roberti. Il n’en a pas moins considéré ce Romulus comme un fragment du texte qu’il avait
ses Trois Dissertations, été porté à croire que Cassitto avait à tort considéré comme la troisième sa dernière édition et qu’en r
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