faveur, afin qu’il devînt père. Le sacrificateur lui dit : « Quand je
considère
le sacrifice, je prie pour que tu deviennes père
lque contrariété. » Or donc nous non plus nous ne devons pas, si nous
considérons
combien la vie est changeante, nous flatter d’obt
’autres n’eussent ni la volonté ni la possibilité de les réunir, j’ai
considéré
comme un devoir de l’accomplir. Bref, ayant étudi
as laisser sans emploi. D’autre part, elle en contenait qu’on pouvait
considérer
comme n’étant pas dans leur vrai milieu. Pour ne
ait fait partie, et à ce titre on ne doit pas s’étonner qu’il se soit
considéré
comme le compatriote de Linus et d’Orphée. 4º Épo
ute-puissance pour accuser Phèdre de lèse-majesté. Le Père Desbillons
considérait
donc les fables ii et vi du livre Ier comme écrit
dut la liberté ; car l’appui que Phèdre lui demande, montre qu’il le
considère
comme un personnage influent, et l’on sait que l’
ces mots, qui la rattachent à la précédente, ne permettent pas de la
considérer
comme le commencement d’un livre nouveau. Les édi
tion Brocas, étant une édition de classe, ne contenait pas les fables
considérées
comme immorales. Dom Vincent n’en avait pas moins
e iis quae in eo edendo sunt praestita, avait pour objet le manuscrit
considéré
en lui-même. Elle en fait l’histoire et la descri
point que, si auparavant elle m’avait semblé utile, dorénavant je la
considérais
non plus seulement comme fort opportune, mais mêm
dû être copié d’un seul trait, et que, partant, on aurait tort de le
considérer
comme un autographe. Comment expliquer cette cont
aître. En écrivant la vie de Phèdre, j’ai imité mes devanciers : j’ai
considéré
ces manuscrits comme contenant son œuvre, et j’ai
de Scriverius, déclara hardiment qu’ils étaient insensés ceux qui les
considéraient
comme l’œuvre d’un auteur contemporain d’Auguste
tes, à moins que je ne m’abuse étrangement, il ne peut nullement être
considéré
comme digne de cette époque, cet écrivain, à qui
ns le manuscrit de Pithou, est intitulée Idem Poeta, et qui peut être
considérée
comme servant de préambule à la fable Demetrius r
taient certainement fort peu nombreuses, et qu’en conséquence on peut
considérer
son recueil tout entier comme une œuvre de jeunes
sagacité de son neveu ? Cela ne me paraît pas douteux, et, lorsque je
considère
en outre que Perotti avait, à l’origine, formé so
scriptoribus, publiée à Leipzig en 1744214, en alléguant qu’il avait
considéré
Phèdre non comme un fabuliste latin, mais comme u
rnies par quelques-uns de ses devanciers, prétendit que Sénèque avait
considéré
Phèdre, non comme un Romain, mais comme un Thrace
e de Gellert, qui pense que, si Sénèque oublie Phèdre, c’est qu’il le
considère
non pas comme un fabuliste original, mais comme u
nt étaient pour la plupart empruntées à Ésope, il s’ensuit qu’il a pu
considérer
l’apologue comme un genre de littérature étranger
nneté des fables, ni sur la personnalité de leur auteur. Cependant il
considérait
avec raison que la question ne serait pas définit
é ensuite chez les peuples sémitiques ; les contes arabes, qu’on peut
considérer
comme des apologues, portent la trace de leur ori
able, implicitement nié tous ces faits, ils ne doivent pas moins être
considérés
comme entièrement conformes à la vérité. Secti
tres latines furent tombées en décadence, les fables ésopiques furent
considérées
comme se prêtant mieux que les autres monuments a
lle ont puisé Phèdre et Avianus, et ce n’est qu’à ce titre qu’il peut
considérer
le vieux Phrygien comme étant l’auteur des fables
llé d’employer les fables ésopiques dans l’enseignement scolaire ; il
considérait
comme excellent l’exercice qui consistait à les f
emment que du même auteur, et la xxxiie , Terraneola et Vulpes, qu’il
considère
comme digne de Lycophron, mais qui, s’il avait vo
ma réfutation : quand on nie ainsi l’évidence, on est jugé. Lorsqu’on
considère
ainsi en eux-mêmes les arguments d’Adry, on ne co
vi, la preuve que Perotti n’est pas l’auteur des fables nouvelles. Il
considère
ces deux vers comme l’épimythion d’une fable abse
l’Epitome de Perotti, l’authenticité des trente-deux fables nouvelles
considérées
en elles-mêmes ne peut pour les connaisseurs impa
originaux des Fabulæ antiquæ ? Évidemment oui, et l’on peut dès lors
considérer
le manuscrit de Leyde comme ayant sauvé un import
tinue jusqu’à l’année 1029, date de son départ pour la Palestine, est
considérée
aujourd’hui encore comme une source importante et
ultérieures et qui lui-même n’avait pas tardé à disparaître. Si l’on
considère
cette hypothèse comme fondée, je crois qu’il ne f
r n’avait pas fait cette facile remarque ; voulant compléter ce qu’il
considérait
comme une affabulation tronquée, il fit précéder
re IV, et 5, 7 et 9 du livre V. Ces deux circonstances l’empêchent de
considérer
le manuscrit de Wissembourg comme susceptible d’o
crédulité publique, et qu’elle devait par les critiques sérieux être
considérée
comme un de ces petits moyens de réclame, qui ont
séparaient les deux écrivains, qui, par suite, ne pouvaient plus être
considérés
comme n’en formant qu’un seul sous deux noms diff
ait impossible à déterminer. Tout à l’heure j’examinerai si l’on doit
considérer
les mots de civitate Attica comme indiquant un li
les elle ne lui semblait pas se rapporter, et que non seulement il ne
considérait
pas comme issues de Romulus, mais qui, dans sa co
t porté ce nom de Romulus, celui qu’on peut le plus vraisemblablement
considérer
comme l’auteur de nos paraphrases : c’est tout ce
lan général et une uniformité d’exécution qui ne permettent pas de le
considérer
comme une œuvre collective, due aux élèves d’une
nuscrit, dit-il, sont les deux textes donnés par Nilant qu’on ne peut
considérer
que comme des fragments ou des excerpta du vérita
t critique l’avait reléguée dans une note, c’est qu’il ne l’avait pas
considérée
comme se rapportant au texte des Fabulæ antiquæ,
n’est pas une pure copie du Romulus primitif, qui dès lors peut être
considéré
comme appartenant à une époque plus reculée. Mais
Jusqu’à ce jour la collection que j’appelle Romulus ordinaire a été
considérée
comme la plus ancienne de toutes celles auxquelle
ction II. Manuscrits du Romulus ordinaire. Les manuscrits que j’ai
considérés
comme contenant le texte du Romulus ordinaire son
tude trancher la question, j’ai trouvé plus simple et plus prudent de
considérer
les trois manuscrits du second groupe comme conte
r côte à côte quatre textes assez peu dissemblables pour pouvoir être
considérés
comme appartenant à une seule et même collection.
scrit, qui, malgré les nombreuses variantes qu’il présente, doit être
considéré
, non comme un dérivé, mais comme un exemplaire pl
nt la plus ancienne du Romulus ordinaire fut celle d’Ulm, que Schwabe
considéra
comme ayant la valeur d’un véritable manuscrit, e
is qui marque la fin de la première partie de l’édition ; car on peut
considérer
comme formant une seconde partie indépendante de
dacteur du catalogue imprimé de la Grenville library n’a pas hésité à
considérer
cette édition comme la plus ancienne. Aussi à la
u nombre de 353 ; mais ce numérotage doit être inexact ; car, si l’on
considère
que, d’après la table des cahiers, il y a 43 cahi
ement laissé de côté Romulus et son fils Tiberinus qu’il a sans doute
considérés
avec raison comme des personnages imaginaires, et
éraires, s’en écartent complètement. Dans cette situation j’aurais pu
considérer
les vingt-cinq premières fables et les quinze der
as non plus nécessaire d’opérer cette division, j’ai pris le parti de
considérer
les quarante fables comme formant dans leur ensem
les du second sont au contraire les moins anciennes et qu’il faut les
considérer
comme un abrégé des autres. Quant aux fables xxx,
ux siècles, était nécessairement ignoré du copiste. Ensuite, quand on
considère
le titre en lui-même, il me semble difficile d’y
dans sa préface publiée en tête du Phèdre de la collection Nisard, à
considérer
Hildebert comme le véritable auteur des fables él
le poétique archevêque de Tours, l’épigramme de l’Hermaphrodite était
considérée
comme son œuvre. Le manuscrit de Beauvais, au fº
fut nommé archevêque de Palerme et primat du royaume, et son élève le
considéra
, tant qu’il vécut, non seulement comme un précept
her, dans celui qui est conservé à Wolfenbüttel, et qu’on a longtemps
considéré
comme remontant au xiie siècle. Malgré ces circo
de plus en faveur de la solution que j’ai adoptée et qui a consisté à
considérer
son œuvre comme dérivée de ce Romulus et non de c
u’elles soient les mêmes que celles du manuscrit 1594, on ne peut les
considérer
comme en étant la copie littérale ; car entre les
xime : Prudencia non sapit fatuis. C’est un commentaire, qu’on peut
considérer
comme un fragment manuscrit des fables de Walther
lume in-fol. de 57 feuillets, et, bien qu’écrit sur papier, peut être
considéré
comme un livre de luxe. Il ne renferme que les fa
vient le préambule Græcia disciplinarum mater , qui, n’ayant pas été
considéré
par l’éditeur comme un simple commentaire, a été
6, Aug., j’ai trouvé un manuscrit in-4º de grand format, pouvant être
considéré
comme contenant une traduction en prose des fable
uoique la date indiquée soit celle de la fin de janvier 1491, il faut
considérer
l’impression du volume comme achevée seulement en
Sous ce titre figure le prologue de Walther, qui dans l’édition est
considéré
comme la première fable. Puis vient la paraphrase
Walther au contraire n’en a presque rien gardé, et si l’on veut bien
considérer
comment il a traduit la phrase que j’ai citée plu
es, subi les conséquences de ces transcriptions successives et que je
considérerai
, non comme une imitation, mais comme une copie un
imilaires le texte pur du Romulus primitif, j’avais dû nécessairement
considérer
le Romulus de Vienne comme en étant issu. Mainten
que impériale de Vienne que se trouve le texte que j’ai pensé pouvoir
considérer
, non comme une imitation, mais comme une copie al
algré l’exacte indication fournie par M. Léopold Delisle, je ne dusse
considérer
le manuscrit de Florence que comme un exemplaire
quante numéros, ne comprend que quarante-neuf fables ; car on ne peut
considérer
comme une vraie fable la dernière pièce intitulée
à, et, puisque, selon lui, aucun des deux rois anglais ne devait être
considéré
comme l’auteur de la traduction, il aurait dû, ai
e cette idée que la collection de 22 fables et celle de 136, qu’il ne
considérait
que comme des dérivés, l’un direct, l’autre très
t ne la portait pas vers les traductions des ouvrages latins, qu’elle
considérait
comme très méritantes, mais par lesquelles elle n
uve formulés dans les mêmes termes, de sorte qu’ils ne sauraient être
considérés
comme l’œuvre de Marie ; ensuite les termes, dans
t que la solution que j’ai déjà adoptée est la seule vraie : quand on
considère
que le texte latin, tout en comprenant cent trent
comprend 100 ; mais seuls les 98 premiers concernent Marie ; il faut
considérer
comme lui étant étrangers les deux derniers qui d
scrit in-fol., intitulé : Mouchet , qui, étant moderne, ne peut être
considéré
comme une véritable source. Il a été relié en qua
u Romulus anglo-latin, en revanche il ne me paraît pas possible de le
considérer
avec lui comme un abrégé de ce Romulus. Tout à l’
nsi que l’examen isolé de la première fable pourrait le faire croire,
considérer
ce recueil comme une imitation abrégée du Romulus
ion et de l’Âne chassant et du Lion malade et du Renard, doivent être
considérées
comme des dérivés raccourcis, les autres sont d’u
irects de Phèdre, mais encore du Romulus Roberti. Il n’en a pas moins
considéré
ce Romulus comme un fragment du texte qu’il avait
ses Trois Dissertations, été porté à croire que Cassitto avait à tort
considéré
comme la troisième sa dernière édition et qu’en r