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1 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XV. Le Cerf et la Vigne. » p. 77
sa mort arrivez. Vraye image de ceux qui profanent l’azile Qui les a conservez .
2 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 354 » pp. 228-228
vres se déplacent et se sauvent facilement d’un pays dans un autre et conservent leur liberté ; mais les riches retenus par le poi
3 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXV. Des Liévres craignans sans cause. »
diants, chargez d’âge et de maladies, qui toutesfois s’estudient à se conserver , comme si leur vie estoit accompagnée de tout ce
4 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 154 » pp. 118-118
à une certaine distance, et il use de la vitesse de ses pieds pour se conserver intact ; mais quand il se voit en prise, il se co
5 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIII. Du Cerf, et du Cheval. »
ercail, pour se faire manger à luy. Que s’il est bon au mauvais de se conserver par cét autre moyen, qui est de tenir les deux Pu
6 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE X. Du Rat de Ville et de celuy de Village. »
nité des uns et des autres, outre la peine d’acquerir, et le soucy de conserver , outre la satisfaction generale qu’on doit à tous
ntes qui gesnent les Courtisans. La santé au reste y est parfaitement conservée , loing des dissolutions des Cabarets, des fureurs
7 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXI. Du Larron, et du Chien. »
t pas punissable de mort, mais bien d’infamie. Au contraire, ceux qui conservent avecque fidelité les Places qui leur sont commise
8 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — FABLE I. Le Meusnier, son Fils, et l’Asne. » p. 721
eille à ces gens de le faire enchasser. 
Ils usent leurs souliers, et conservent leur Asne :
 Nicolas au rebours ; car quand il va
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VIII. Du Laboureur et du Serpent. »
la fin contrainct de le tuer de ceste mesme main dont tu luy as desja conservé la vie. Icy je ne puis m’empescher que je ne m’an
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIV. D’un Laboureur et de ses Enfants. »
, à la façon des Romans. Il en faut user neantmoins avec modestie, et conserver inviolablement la verité de qui elles reçoivent t
11 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVIII. D’un Oye, et de son Maistre. »
ont de plus grands gains aussi, je respondray, qu’en eschange ils les conservent moins long-temps. Dequoy sont témoins à leur domm
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
ui est double, à sçavoir de l’Individu, et de l’Espece. Le dessein de conserver leur Espece les fait engendrer, et celuy de conse
. Le dessein de conserver leur Espece les fait engendrer, et celuy de conserver l’Individu les porte à la queste, pour l’entreten
i ruminent, à qui le naturel instinct à donné certaines retenuës pour conserver leur provision, soit qu’ils se trouvent incapable
13 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
ntir. Car ils sont bourrelez du soing d’en acquerir d’avantage, et de conserver ce qu’ils ont gagné si peniblement. Il leur dépla
pour tuër l’innocent Polydore, que Priam luy avoit remis, affin de le conserver  ; et de faire revivre en luy les esperances de Tr
14 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
s yeux, je n’ai pas tardé à m’apercevoir qu’aucun d’eux ne nous avait conservé dans son intégrité l’œuvre du fabuliste romain. J
s imitations de son œuvre, tant en prose qu’en vers, qui nous ont été conservées par de nombreux manuscrits. Ce n’est qu’après, qu
ayant suivie pas à pas, peuvent fournir, pour l’amélioration du texte conservé , des leçons utiles, et permettre même dans une ce
dans la maison impériale, la forme étrangère de son nom lui avait été conservée et qu’ainsi, au lieu d’être appelé Phæder, il ava
voir été, mais d’être poursuivi par le ministre de Tibère, on ne peut conserver aucun doute sur l’époque de l’apparition de ses d
ERVNT. SIBI. ET. SVIS53, et cette autre, qui est encore, comme celle conservée par Gude, relative à un affranchi de Claude : TI
iens qui étaient nuls, ni dans sa liberté qu’il paraît avoir toujours conservée . J’en conclus que, pareil à tous les auteurs inap
 1871. » L’exemplaire qui porte le nº 222 est admirablement relié et conservé  ; ses marges sont pures de toute annotation. Ce q
maintenant à m’occuper des trois exemplaires de l’édition de Pithou, conservés à Londres et à Oxford ; je me bornerai à en donne
maroquin vert en est extrêmement soignée. L’exemplaire d’Oxford est conservé à la Bibliothèque Bodléienne, où il est depuis de
gues années catalogué sous la cote Auct. L. A. 9. Il est parfaitement conservé , et ses marges, quoique pleines, ne portent aucun
les rayons de sa bibliothèque, un des auteurs latins qui ont le mieux conservé , à travers les âges, l’empreinte d’une éternelle
ait été, au moyen âge, un des principaux abris, dans lesquels s’était conservé l’héritage du passé. « Les belles-lettres, dit l’
nsieur, ligne par ligne et le moins mal qu’il m’a été possible ; j’ai conservé la grosseur des lettres, laquelle varie quelquefo
liciter sans réserve. Car, peu de temps après, l’exemplaire qui avait conservé , malgré l’incendie, les leçons du manuscrit, a di
st possible que, dans l’édition de M. Berger de Xivrey qui nous les a conservées , il se soit glissé quelques fautes typographiques
y avait lieu de supprimer le mot Item. Néanmoins les deux copistes le conservent  ; ce qui, soit dit en passant, démontre leur égal
avait été chargé par elle de lui enseigner la littérature grecque. Il conserva cette situation jusqu’en 1651, date à laquelle se
ère fable : De Boue et Asino 134. Les huit fables du premier livre, conservées dans le manuscrit de Daniel, étaient : 1º La xie
rs. On sait aussi comment ceux acquis par ce dernier sont aujourd’hui conservés dans la bibliothèque de la ville de Berne et comm
3 à 35 a été transcrit le fragment des fables de Phèdre qui avait été conservé dans le fameux manuscrit soustrait au pillage. Le
lles qui lui semblaient contenir les meilleures maximes, il nous en a conservé soixante-quatre, sur lesquelles trente-deux ne se
vait copié ou composé même, pour se distraire, des vers qu’il n’avait conservés que pour lui et les siens. Il avait à sa disposit
nombreux manuscrits qui sont entrés, et qui, aujourd’hui encore, sont conservés dans la Bibliothèque Bodléienne ; les plus précie
es nouvelles, et que, si nous devons nous féliciter qu’il nous en ait conservé le texte, nous sommes fondés à regretter qu’il ne
ant son œuvre, et j’ai puisé, dans le texte incomplet qu’ils nous ont conservé , les renseignements relatifs à sa personne. L’hyp
vres de Romulus. Puis, comme il comprend que le manuscrit de Romulus, conservé à Dijon, devient contre lui une arme qu’il faut b
ite été grossièrement mises en prose, et qui, sauf quelques fragments conservés dans la traduction en prose et mis en œuvre par P
l’art de l’écriture, et c’est d’abord par la tradition qu’elle s’est conservée . Née dans l’Inde, elle.se trouve dans les plus an
tés dans la prosodie latine. Les écoliers, en les traduisant en vers, conservaient dans leur traduction le rythme de l’original, et
grecque. Est-ce là une hypothèse fantaisiste ? Non ; la forme grecque conservée au nom de Phèdre, telle qu’elle se trouvait sans
ïambes adoptés par Phèdre ne lui sont pas spéciaux ; la forme grecque conservée à son nom n’est pas le seul exemple qu’on trouve
ement détruite, et les arguments que fournit l’examen des manuscrits, conservent toute leur valeur. Si maintenant, en dehors des p
presque toutes disparu. On n’en peut plus citer que deux, celle qui, conservée à la Bibliothèque de Leyde, a été publiée par Nil
ne se trouvaient pas les fables ésopiques. Mais la partie qu’il avait conservée ayant ensuite été réclamée, il l’avait envoyée au
lettre sur l’apostolat de saint Martial et quelques vers acrostiches, conservés dans les Analecta de Mabillon, ses autres ouvrage
figure d’un moine, qui n’est autre qu’Adémar. Son portrait a donc été conservé  ; mais l’inexpérience du dessinateur permet de do
à croire que le manuscrit de Wissembourg contenait le texte de Phèdre conservé en vers ïambiques. Mais il ne s’en était pas tenu
ulement le manuscrit de Wissembourg existait encore, mais qu’il était conservé dans la bibliothèque de Wolfenbüttel, et qu’il av
iré qu’à 50 exemplaires, et ses fils, libraires à Paris, n’en avaient conservé aucun. Le seul que leur père leur eût laissé, ils
rouver dans la bibliothèque de Wolfenbüttel où tous les siens étaient conservés  ; qu’enfin il lui avait été signalé par le catalo
mulus que j’appellerai anglo-latin et qui en était issu, la lui avait conservée , que le traducteur anglais de ce Romulus agit de
Le manuscrit 303 de la Bibliothèque impériale de Vienne qui nous l’a conservé ne semble pas lui-même antérieur au xive  siècle 
s primitif a péri ; mais, à l’aide du Romulus ordinaire et du Romulus conservé à Vienne, on peut dresser la table des fables qu’
dinaire, et cela, en me servant du plus ancien des manuscrits qui l’a conservé , c’est-à-dire du manuscrit Burnéien. De cette faç
de l’Æsopus ad Rufum ait dû son existence à ces versions corrigées et conservées par les professeurs. On aperçoit dans cet Æsopus
, il n’y a pas partout identité entre les deux collections, elles ont conservé un air de famille saisissant qui trahit une origi
-même, ne se retrouve plus que dans des manuscrits qui ne nous en ont conservé que des copies plus ou moins infidèles ou même de
e ce dernier en possède aussi que le manuscrit de Wissembourg n’a pas conservées . Or aucune des deux collections n’a été tirée dir
tent du texte de Phèdre, tandis que le manuscrit de Wissembourg les a conservées  : Phèdre.   Cani perpasto ...............
omulus primitif, directement tiré de l’Æsopus ad Rufum, ne nous a été conservé par aucun manuscrit, et, d’autre part, celui qu’o
Je me suis d’abord aperçu qu’il lui manquait deux fables heureusement conservées par le Romulus de Vienne. Je reconnais que ce pre
procédés que précédemment, dans quelle mesure le Romulus ordinaire a conservé les phrases et les expressions de Phèdre. Mais, l
une fois de plus que la composition originaire de notre ouvrage s’est conservée pendant des siècles entiers sans aucun changement
ons variées, la collection la plus proche du Romulus primitif s’était conservée intacte jusqu’à l’époque de la Renaissance, il ét
laire (auquel manque un feuillet) a appartenu à Lord Spencer, qui l’a conservé jusqu’au jour où il a eu la bonne fortune de s’en
l s’ensuit que l’exemplaire de la Grenville library, d’ailleurs mieux conservé , plus grand de marges et superbement relié, a plu
tembri. die vero vicesima sexta. Un exemplaire de cette édition est conservé dans la bibliothèque impériale de Vienne, où le c
on, j’ajoute que j’en ai trouvé, sous la cote X. E. 28, un exemplaire conservé dans la bibliothèque impériale de Vienne. 2º É
l’édition de 1561, dont l’existence m’a été révélée par un exemplaire conservé sous la cote 7707 dans la Grenville library. En t
es fables il a constamment écourté le récit. Mais il n’en a pas moins conservé souvent les expressions de son modèle. Reste à sa
’âge du manuscrit qui les possède, d’affirmer que ce Romulus, quoique conservé par un manuscrit du xve  siècle, remonte au moins
écutée la traduction latine des fables d’Ésope dont le nom aurait été conservé à l’œuvre nouvelle. La même incertitude relativem
onnaissance d’un manuscrit du xiie  siècle, qui, sous la cote 11, est conservé dans la Bibliothèque de Beauvais. Ce manuscrit, q
au xiie  siècle le plus ancien des manuscrits des fables élégiaques, conservé à la bibliothèque de Wolfenbüttel, il n’en est pa
ent dans le plus ancien des manuscrits de Walther, dans celui qui est conservé à Wolfenbüttel, et qu’on a longtemps considéré co
un intérêt purement historique. Quant à Phèdre, comme elle n’en a pas conservé les expressions, elle est sans utilité pour la cr
ès de nature à en amener la destruction complète, M. Robert voulut en conserver les miniatures et les reproduire dans sa publicat
risti. Quant aux fables, M. Duthillœul les fit relier à part et leur conserva le nº 714. Il devait tout naturellement supprimer
cette bibliothèque copié et publié par Haenel440. Aujourd’hui il est conservé à Lyon dans la bibliothèque du Palais des Arts (d
es de Walther qui, dans la Bibliothèque municipale de Carpentras, est conservé sous la cote 368, est analysé dans le premier des
s soixante fables de Walther, forme un volume in-folio, admirablement conservé dans une superbe reliure en maroquin vert. Il se
s 1 à 28, et deux autres qui précédaient ceux occupés par le fragment conservé des fables élégiaques et qui devaient eux-mêmes p
. Le manuscrit avait renfermé à l’origine soixante fables. Les fables conservées sont d’abord les fables 42 à 60. La quarante-deux
, qui possède après le quatorzième vers le distique suivant, rarement conservé dans les autres manuscrits et dans les éditions i
i. M. cccc. lxxxxiiij die xvi. Februari. Un exemplaire parfaitement conservé de cette édition figure, sous la cote 28, parmi l
ires de cette édition, qui ne contient aucune indication de lieu, est conservé à la bibliothèque Bodléienne. 1499. Fab
Le verso de ce feuillet est blanc. Un exemplaire de cette édition est conservé , sous la cote A. Gr. B. 65, à la Bibliothèque roy
cc. xxxviij. die. viij. Martii. Un exemplaire de cette édition est conservé à la bibliothèque Ambrosienne sous la cote E̱. X.
éressante est, ainsi que je l’ai déjà dit, celle qui est actuellement conservée à Lyon dans le Palais des Arts. Elle a été publié
âge. Les traductions qui ont été faites au moyen âge, nous ont été conservées dans des manuscrits dont quelques-uns, au cours t
léienne, sous la cote Mortara 1109, et quelques-uns des derniers sont conservés dans les bibliothèques italiennes et notamment da
ppartenu à l’abbaye de Saint-Germain des Prés, et qui est aujourd’hui conservé à la Bibliothèque nationale, dans le fonds latin,
en avait tiré une phrase prosaïque qui était probablement la suivante conservée dans le Romulus ordinaire : Ossa lupus cum devor
t qu’en dehors des collections alors existantes, les manuscrits aient conservé isolément, mêlées à d’autres matières, quelques f
ais encore, imitant comme lui le Romulus ordinaire, il en a davantage conservé les expressions. J’ai montré par un exemple le so
moi que par trois manuscrits beaucoup moins anciens qui ne l’ont pas conservée dans toute sa pureté. Dans ma première édition, e
u Romulus primitif qui a été la base des deux. Quiconque sur ce point conservera un doute pourra, par la comparaison des textes, l
au manuscrit 901, et que c’est au texte primitif du Romulus de Vienne conservé dans un manuscrit plus ancien que la collection d
u Romulus primitif ? Dans sa Notice sur des manuscrits du fonds Libri conservés à la Laurentienne, M. Léopold Delisle avait bien
M. Léopold Delisle, dans sa Notice sur des manuscrits du fonds Libri conservés à Florence491, en a fait une courte description q
e s’écartent pas assez de celles du Romulus primitif pour n’avoir pas conservé en grand nombre les expressions de Phèdre. Pour q
st un in-fol. de petit format, dont l’écriture sur parchemin est bien conservée et très lisible. Il se compose de 43 feuillets. L
u-Clerc. Il est vrai que, dans la plupart des manuscrits qui nous ont conservé l’œuvre de Marie, son épilogue attribue la traduc
retrouve dans le Dérivé et même une de plus ; car ce dernier n’a pas conservé la fable de l’Homme en mal d’enfant. On arrive ai
été traduit en langue anglaise. Mais, comme cette traduction n’a été conservée par aucun manuscrit, je me contente de la mention
il y a fait partie du fonds Saint-Germain, dans lequel il a longtemps conservé la même cote et où M. de Roquefort en a pris conn
re des phrases et les expressions du Romulus primitif ont été si bien conservées qu’il est impossible de ne pas y voir une imitati
xive  siècle, il me semble vraisemblable que l’œuvre qu’ils nous ont conservée ne remonte pas à un temps antérieur. Quoi qu’il e
ste a respecté l’ordre ordinaire et n’a presque rien omis ; il a même conservé les fables vii et lx qui n’existent pas dans le m
nte que le xie  siècle. L’ancienneté du manuscrit unique qui nous l’a conservé ne permet point, en tout cas, de lui assigner une
ourd’hui en Angleterre et que c’est à Londres et à Cambridge que sont conservés les deux seuls exemplaires du Dérivé, on doit tro
mot inferior, employé par Phèdre, la leçon du fabuliste romain a été conservée dans le Romulus de Berne. Lorsqu’on arrive à la m
du quatrième livre du Romulus ordinaire, et si le milieu n’a pas été conservé , la fin est entrée dans la dédicace à Tiberinus.
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