tte et le mangeait avec les chiens. Mais à la fin le berger devina et
comprit
ce qui se passait, et tua le loup en le pendant à
es instructions touchant ceste nature d’évenements. Elles sont toutes
comprises
dessous l’exemple de ceste Chévre, qui nous appre
et que je leur ay demandé, Que remuë le chien ? pas un d’eux n’a sçeu
comprendre
ma question. Les ayant donc pris pour des Ignoran
tâche d’entendre La volonté du Testateur, Mais en vain : car comment
comprendre
Qu’aussi-tost que chacune sœur Ne possedera plus
’imiter la façon de vivre des Creatures raisonnables : La Meslée, qui
comprend
ensemble ce qui est pourveu de raison, et qui ne
t, quand ils disent que par Celius se doit entendre Dieu, en qui sont
comprises
toutes les creatures d’une maniere inefable ; et
ue meditation que fit là dessus ce Philosophe, il n’y pût jamais rien
comprendre
et confessa franchement qu’il n’entendoit pas cel
la plus vray-semblable de toutes, que les Italiens ont, à mon advis,
comprise
en ces vers, Ingegno e forza à chi non l’opra è
ien advisé luy reproche sa déloyauté de fort bonne grace, et luy fait
comprendre
en peu de paroles, qu’il n’est point de trahison
e qu’Othon fit à Vitellius, et celle d’Auguste contre Antoine, sans y
comprendre
plusieurs autres calamitez publiques, dont ils n’
isse les plus agréables souvenirs. Ses fables sont courtes, faciles à
comprendre
et intéressantes par l’action qui en quelques ver
e faire profiter le public de mes travaux par une publication qui les
comprendrait
tous. Alors s’est forcément posée devant moi la q
Paris, tout en déclarant qu’il fallait se féliciter de ce que j’eusse
compris
Eude parmi les imitateurs du fabuliste romain, av
s à Heidelberg, en 1601 selon Niceron et en 1603 selon Fabricius5, et
comprises
dans deux volumes, le premier sans date, le secon
sur lequel il était né ; car ce mont, comme l’Olympe et l’Ossa, était
compris
dans la chaîne qui forme la limite de la Thessali
ait compatriote de Linus et d’Orphée ; les vers en litige ont été mal
compris
, et il n’a cité les noms de ces deux poètes de la
de la Thrace restée en dehors de la Macédoine. Mais ce que je ne puis
comprendre
, c’est que, pour soutenir cette thèse, ils aient
us, je m’explique son hypothèse erronée ; mais j’avoue que je ne puis
comprendre
comment le Père Brotier a pu l’accepter, au momen
Fabricius avait-il rejeté l’hypothèse de Scheffer. Le Père Desbillons
comprit
également qu’elle était inadmissible. Pour la com
amitatem deligens quædam meam. Il suffit, pour la connaître, de bien
comprendre
ce vers. Dans la plus ancienne des traductions fr
puisse être cette prétention, quand on songe que le deuxième livre ne
comprend
que huit fables, on reste convaincu qu’il ne nous
de son successeur. S’il y avait regardé de plus près, Schwabe aurait
compris
que l’affranchi de Caligula n’avait eu aucune rel
tions imprimées il se compose de dix fables ; mais en réalité il n’en
comprend
que cinq. Il est certain qu’il en renfermait d’au
ustice. Le 28 août 1594, Pithou en fut nommé le procureur général. Il
comprit
sa tâche, et travailla avec un succès complet à l
n fonds spécial qui du nom du donateur est appelé fonds d’Elci et qui
comprend
à la fois des manuscrits et des imprimés. Parmi l
qu’un fragment, à peine huit fables du premier livre. Il est aisé de
comprendre
qu’il n’ait pas jugé qu’un si mince lambeau mérit
ite reçu de son frère, en aurait ainsi publié la première édition. On
comprend
, sans que j’aie besoin d’insister, tout ce qu’il
virgule, il ne signifie rien, le calligraphe, qui paraît n’avoir pas
compris
ce qu’il écrivait, les ayant placés comme au hasa
ommencement d’un livre nouveau. Les éditeurs l’ont en général si bien
compris
qu’ils ont, les uns, supprimé le mot Idem, les au
essairement recourir à d’autres documents : d’abord, pour le prologue
compris
dans les 34 premiers vers, au fac-simile, dont j’
Vatican, qui ont été apportés à Paris. » J’avoue que j’avais peine à
comprendre
comment des savants sérieux avaient pu se résoudr
est du xie siècle. Elle est fine, mais très lisible. Ce manuscrit ne
comprend
que les feuillets 17, 18, 19 et 20 ; les fables d
rable, s’ouvre au fol. 103. Ce feuillet et les suivants, jusques et y
compris
le feuillet 108, appartiennent au roman de Fier-à
me le premier vers, et qu’enfin il ne contenait pas toutes les fables
comprises
entre la xie et la xxie . Schwabe, plein de conf
ire qu’il est presque aussi ancien que celui de Pithou. Ensuite il ne
comprend
que le quart environ du premier livre, et les hui
s ; seulement, comme il est rare qu’une idée fausse soit parfaitement
comprise
de celui même qui l’accepte, en voulant la reprod
applicables aux vingt et une premières fables. C’est à n’y plus rien
comprendre
. On peut dire, à la décharge de M. Panckoucke, qu
étant celles que j’ai précédemment indiquées, il s’ensuit qu’elles ne
comprennent
pas la fable xvi, Ovis, Cervus et Lupus. Il n’en
ment donnée dans la première. Malheureusement les critiques n’ont pas
compris
la cause de cette suppression. Il en est résulté
de celui de l’avant-dernière ; enfin, comme le manuscrit, l’apographe
comprend
au total 83 vers qui ont été copiés avec une exac
ann, et chaque fois, par les mots Ms. Perotti , il fait suffisamment
comprendre
qu’il n’est pas en situation de consulter une cop
hum Perottum, fratris filium, adolescentem suavissimum 168. Ayant mal
compris
ou retenu ce que d’Orville lui avait expliqué, il
doré pendant assez longtemps La dame devint veuve173. Cette façon de
comprendre
le texte, qui d’ailleurs me semble la plus exacte
i-je aucun argument. Mais j’aime à reconnaître que, si Jannelli a mal
compris
les premiers mots de la fable Mulier vidua et Mil
publication, des leçons que son rival avait proposées ou adoptées. On
comprend
sans peine la colère de Jannelli, voyant paraître
dédicace à M. le baron de Pommereul et la préface qui en occupent 23,
comprend
la traduction en vers italiens des trente-deux fa
uillets du cahier sont restés blancs. La deuxième partie du manuscrit
comprend
soixante-quatorze feuillets, savoir : 57 écrits e
ntitulée : De divitiis et paupertate ad Andream Contrarium Venetum ,
comprend
deux parties distinctes, un préambule composé par
ue, et probablement sans autre ordre que l’ordre chronologique. Elles
comprennent
des fables de Phèdre et des fables d’Avianus, un
sous une forme plus explicite, s’impose mieux à la pensée. Il l’avait
compris
et avait été ainsi conduit à commettre une altéra
é à toute interpolation des textes anciens. Enfin, suivant lui, on ne
comprendrait
pas qu’après avoir, dans ses commentaires, été si
utes les explications que j’ai données sur le manuscrit de Naples, on
comprendra
que je ne dise que quelques mots de ce second man
Mais, au moins, elle excluait l’idée du plagiat. Burmann aurait dû le
comprendre
. Pourtant il oublie presque immédiatement sa prem
entre ces deux substantifs. Ils ont une portée très différente qui se
comprend
et sur laquelle je n’ai pas besoin d’insister, et
Il a fait une déclaration dont la fausseté saute aux yeux, et l’on ne
comprend
pas au premier abord comment il a pu dire qu’il a
rappeler qu’il en était, non le traducteur, mais le copiste, et l’on
comprendra
que, retrouvant cette fable après bien des années
aux qui s’en rencontraient dans les œuvres de Romulus. Puis, comme il
comprend
que le manuscrit de Romulus, conservé à Dijon, de
textes sous silence ; il est trop instruit pour les ignorer ; mais il
comprend
qu’il lui serait impossible de les mettre en harm
ntée » ; ces deux reproches ne me paraissent pas fondés. Le sens s’en
comprend
bien, et la leçon qu’elle donne est bonne à ne pa
scerpsit dominum, et fecit partes facinoris. Il est pourtant aisé de
comprendre
que la bande de chats « déchira son maître et se
é. Lorsqu’on considère ainsi en eux-mêmes les arguments d’Adry, on ne
comprend
pas comment ils ont pu exercer sur les esprits un
té acceptée. Mais en Allemagne la chose avait été différente, et l’on
comprend
sans peine qu’aux savants de ce pays qui n’avaien
nt séparé, distingué celles qu’on est convenu d’appeler nouvelles, on
comprendrait
qu’à chaque groupe pût être attribuée une origine
avaient trop légèrement formulés. Les Allemands eux-mêmes ont si bien
compris
qu’ils n’étaient pas fondés, que non seulement da
tant que la réimpression partielle de la deuxième édition de Schwabe,
comprend
seulement : La vie de Phèdre, les trois Dissertat
numérotées, suivies d’un errata de 3 pages non numérotées. Le volume
comprend
d’abord une étude sur Phèdre divisée en 113 parag
us d’écriture. Les divers éléments dont le manuscrit est formé et qui
comprennent
une copie malheureusement incomplète des Fabulæ a
ant, c’est de savoir de quoi elle se compose. Malheureusement elle ne
comprend
que 17 fables, qui sont même dépourvues de leurs
Æsopus ad Rufum. Pour établir la nomenclature exacte des fables qu’il
comprenait
et donner une idée aussi nette que possible de le
ithou et de Reims, était l’œuvre d’un moine ignorant, qui n’avait pas
compris
que Phèdre avait voulu faire prononcer par le Cor
étends en toute modestie que ce mot fabri n’est que l’abréviation mal
comprise
du mot fabularum, qu’on trouve aux endroits corre
le Lion médecin, la Hache et les Arbres, l’Estomac et les Membres. On
comprend
dès lors l’intérêt que présente le manuscrit de W
nt du xviiie siècle, d’éprouver quelques doutes d’ailleurs faciles à
comprendre
. Dans le manuscrit de la bibliothèque de Leyde qu
Attica, trouver l’indication du lieu de sa naissance, ils en ont mal
compris
le sens, et qu’en supposant que ce personnage eût
cause. Avec un peu de réflexion indépendante, les critiques auraient
compris
que, s’il était impossible de se procurer le moin
eut dresser la table des fables qu’il renfermait et affirmer qu’il en
comprenait
84. Ce qui, pour être discutable, ne m’en paraît
ne m’en paraît pas moins vraisemblable, c’est que ces fables étaient
comprises
, non pas, comme dans le Romulus ordinaire, dans q
de la dédicace, et, s’il voulait la prendre au sérieux, il aurait dû
comprendre
qu’il était facile de donner autrement à ces mots
deux collections de Wissembourg et de Romulus, on voit la première ne
comprendre
que des fables existant dans la seconde. Dérivée
dans celle de Romulus, qu’à la condition que cette dernière elle-même
comprît
toutes celles de l’Æsopus ad Rufum. On peut m’obj
e même que Nilant avait choisie aurait dû l’éclairer, et il aurait dû
comprendre
que, si cet éminent critique l’avait reléguée dan
s induit à juger le plus ancien de tous. Plusieurs indices m’ont fait
comprendre
qu’il ne devait par son ancienneté être placé qu’
manuscrits peuvent se partager en deux groupes égaux. Le premier doit
comprendre
les trois premiers manuscrits, le second les troi
ce groupe que je l’emprunterai, et, comme des trois manuscrits qu’il
comprend
deux sont des apographes modernes et qu’un seul,
iens de faire sommairement du manuscrit Burnéien suffit pour en faire
comprendre
l’importance. En effet, si des doutes pouvaient e
nd, de 27 sous 28 numéros, et le troisième, de 36, l’épilogue à Rufus
compris
; ce qui donne un total de 83 fables, qui non seu
sitions opérées sans doute par un copiste un peu trop indépendant qui
comprenait
et croyait pouvoir améliorer ce qu’il écrivait. E
rlestaine house. C’est un volume in-4º, qui, formé d’éléments divers,
comprend
146 feuillets en parchemin et dont l’écriture m’a
ibro secundo fabularum Esopi viri clarissimi atque ingeniosi , et qui
comprend
les titres suivants (fol. 83 a) : De Ranis. i.
strum capitulorum Tercii libri Esopi. Voici les vingt titres qu’elle
comprend
(fol. 105 a) : De Leone et pastore. i. De Eq
ar l’exposé qui précède que, dans l’édition d’Ulm, l’œuvre de Romulus
comprend
quatre-vingts fables divisées en quatre livres ég
e du livre II, dans lequel elle est la huitième et qui, la possédant,
comprend
vingt et une fables ; le livre III, au contraire,
t la xxe dans les éditions primitives. En somme, les manuscrits, non
comprise
la dédicace de Romulus, se composent au total de
où il dépend du fonds d’Elci et où il porte la cote E. 2. 326. Il ne
comprend
pas l’Hystoria Sigismunde. Il devrait se composer
huit feuillets font défaut ; il en résulte deux lacunes. La première
comprend
la fin de la version allemande de la fable xi, le
dans son titre, il serait presque impossible de l’en distinguer. Elle
comprend
129 feuillets non chiffrés et formés de la réunio
vingt fables, il s’ensuit que les gravures sont au nombre de 80, non
comprise
celle qui orne la dédicace de Romulus à son fils.
e 8 feuillets, et ceux portant les lettres b, d, f, h, k, m et o n’en
comprennent
que 6. Il s’ensuit que le volume embrasse en tout
2 feuillets répartis entre 13 cahiers qui sont signés de a à n et qui
comprennent
, les douze premiers, six feuillets chacun, et le
ffré, signé de a à h et composé de huit cahiers dont les six premiers
comprennent
huit feuillets et les deux derniers seulement six
ensemble. Ceux qui sont signés des lettres a, c, e, g, i, l, n, p, q,
comprennent
chacun huit feuillets ; ceux qui sont signés des
huit feuillets ; ceux qui sont signés des lettres b, d, f, h, k, m, o
comprennent
chacun six feuillets. Les quatre premiers feuille
éroté de 1 à 4 et se compose de huit feuillets ; ce dernier cahier ne
comprend
aucun feuillet blanc. La disposition est la même
ers feuillets, est consacrée aux divers groupes de fables latines que
comprend
l’édition de Steinhöwel, et la seconde, qui rempl
ymétrie, une traduction latine en prose. Il s’ensuit que le livre III
comprend
42 fables. Comme les fables du livre IV n’ont pas
u’on a déjà pu s’en convaincre, M. H. Oesterley a, mieux que Schwabe,
compris
son rôle d’éditeur des fables de Romulus. Ayant r
u grec en latin par le savant maître Rimicius, lesquelles ne sont pas
comprises
dans les quatre livres de Romulus. Ici commencent
u grec en latin par le savant maître Rimicius, lesquelles ne sont pas
comprises
par Romulus dans ses quatre livres, et commenceme
t in-4º en 1545. Le volume, numéroté non par page, mais par feuillet,
comprend
clxxiiii feuillets chiffrés, précédés de douze au
i me permettent d’en donner le signalement. Les douze premières pages
comprennent
d’abord le titre, ensuite les deux préfaces allem
, mais signés de a à f ; les cahiers portant les signatures a, k et f
comprennent
huit feuillets chacun ; les autres n’en ont que s
on entendement et te donnront cause de ioye. La traduction de Macho
comprend
, à la suite des fables de Romulus, les divers gro
de a à k par cahiers de 8 feuillets à l’exception du dernier qui n’en
comprend
que 5. Voici le frontispice : Les subtiles fable
. Il est signé de a à s, et comme les cahiers, sauf le dernier qui ne
comprend
que six feuillets, sont chacun formés de huit, le
to his speche. Le volume se compose de 151 feuillets numérotés, non
compris
le frontispice. C. Réimpression de H. Wykes de
rimeur que la précédente. Elle se compose de 182 pages chiffrées, non
compris
un premier feuillet pour le frontispice et quatre
mpression, composée, comme celle de 1647, de 182 pages chiffrées, non
compris
le premier feuillet consacré au frontispice et le
hiers composés chacun de six feuillets, sauf l’avant-dernier qui n’en
comprend
que quatre. Voici l’analyse du contenu. Fol. 1 a.
que 120, dont le dernier est blanc. En effet, les cahiers a, A, et K
comprennent
chacun huit feuillets, tandis que les autres n’en
57. L’édition de 1657 forme un volume in-16. de 176 feuillets, non
compris
ceux, au nombre de 8, consacrés à la table. En vo
que la dernière série de fables, intitulée : Fabulas collectas, n’en
comprend
que 21. J’ai trouvé sous la cote 15915 un exempla
ans le format in-8, et, en outre des feuillets paginés de 1 à 352, en
comprend
douze autres qui, les précédant, sont consacrés a
par les deux Romulus de Vincent de Beauvais, c’est d’abord parce que,
compris
dans les plus grands ouvrages de cet illustre enc
uvre immense, qui pourrait s’appeler l’Encyclopédie du xiiie siècle,
comprend
quatre parties intitulées, la première : Speculum
eauvais, lui en refuse nettement la paternité. Le Speculum doctrinale
comprend
dix-huit livres. C’est par erreur que quelques bi
es de Romulus occupent les chap. 114 à 124 du livre IV ; car elles ne
comprennent
pas le chapitre 124. Pour qu’on voie plus aisémen
Manuscrits du Miroir historial. Les manuscrits du Miroir historial
comprennent
des volumes in-folio catalogués sous les cotes 48
s fables de Romulus. Elles n’existent que dans le manuscrit 4897, qui
comprend
les 16 premiers livres du Miroir et dans le manus
lée Asinus et Leo et qui fait entièrement disparaître les huit autres
comprises
entre elles. B. Manuscrit 11412. Le manuscr
2 colonnes de 62 lignes chaque. Il est imprimé en lettres rondes. Il
comprend
trois livres. Les 3 premiers feuillets contiennen
riale. Première édition372. Cette édition, inconnue à Daunou,
comprend
4 vol. in-fº à 2 col. de 67 lignes, imprimés avec
ques, sans indication de lieu, ni d’année, ni de nom d’imprimeur, qui
comprend
les 4 miroirs de Vincent de Beauvais ? Ce qui por
s cahiers sont toujours de huit feuillets, sauf le cahier nn qui n’en
comprend
que 4 et le cahier llll qui n’en comprend que 6.
sauf le cahier nn qui n’en comprend que 4 et le cahier llll qui n’en
comprend
que 6. D’après leur numérotage, les feuillets ser
. La solution n’en était pas très aisée, et la raison en est facile à
comprendre
. En effet l’Anonyme de Névelet, en composant sa t
e ne pas prendre cette peine, il n’en avait pas moins instinctivement
compris
le néant de l’hypothèse favorable à Salon. Dans l
e la bibliothèque Grenville, il ne faut pas lire bien des lignes pour
comprendre
que le glossateur, qui probablement vivait dans l
miers livres du Romulus ordinaire. Il est supposable que, si elles ne
comprennent
pas le quatrième, c’est que l’exercice littéraire
qui ne pouvait être controversé, c’est que la collection complète en
comprend
au moins soixante. En voici, suivant l’ordre le p
puscules transcrits par des mains diverses. Le premier de ces cahiers
comprend
quatorze feuillets numérotés de 1 à 14, et renfer
e dans la copie de P. Pithou on lit : Fructum cape. Cette copie ne
comprend
que les soixante fables ordinaires ; elles porten
t l’écriture sur parchemin paraît être de la fin du xiiie siècle. Il
comprend
177 feuillets. Au bas du recto du premier feuille
et finissent au recto du feuillet 35. Elles sont au nombre de 62, et
comprennent
, outre les soixante fables ordinaires, les deux c
pas tout ; les noms d’Ysopet et d’Avionnet montrent que le manuscrit
comprend
deux séries de fables ; le volume se divise en ef
déport a. La collection des fables d’Avianus, qui suit ce prologue,
comprend
, comme la précédente, le texte latin et la traduc
et, le texte latin est criblé de barbarismes qui montrent qu’il ne le
comprenait
pas ; ainsi il a écrit Solo pour Sole, Thomas pou
pose que des quatorze premiers vers de celui du manuscrit 1594, et ne
comprend
pas les seize derniers, peut-être dus à l’amplifi
laquelle je me suis précédemment expliqué. Quant à l’épilogue, il ne
comprend
que les six premiers vers de celui du manuscrit 1
écrite et signée : « Le présent manuscrit, composé de 92 feuillets, y
compris
les blancs. Paris, le 1er Mai 1822. B. Gail. »
s en papier doré sur tranche sont dans une belle reliure du temps. Il
comprend
103 feuillets écrits, 3 blancs qui les précèdent
t 91, où elles sont annoncées par ces mots : Incipit Esopus. Elles
comprennent
les soixante fables ordinaires, qui même, à cause
ments des fables de Walther, réunis sur deux feuillets. Ces fragments
comprennent
: 1º Ce distique par lequel se termine le préambu
ace interne du deuxième plat, et, comme la plupart des manuscrits, il
comprend
plusieurs ouvrages. Les fables de Walther commenc
aduction, qui porte ce titre : De la rate et de la renoille , et qui
comprend
cinquante-quatre vers, commençant par ce premier
elative à la matrone d’Ephèse, ne se composant que de trente vers, ne
comprend
pas les mauvaises additions qui y ont été faites.
es feuillets sont en papier et dont l’écriture est du xve siècle. Il
comprend
plusieurs ouvrages, dont la nomenclature a été, d
écédées de ce titre général : Incipit liber apologorum Esopi. Elles
comprennent
les soixante fables authentiques et les deux comp
t du xve siècle, forme un volume in-4º de 245 feuillets en papier et
comprend
onze ouvrages. Les fables, qui en sont le cinqui
u catalogue, il renferme les épimythions des 60 fables de Walther. Il
comprend
quinze ouvrages dont ces épimythions sont le trei
nion adoptée, elles sont bien dérivées du Romulus ordinaire. Elles ne
comprennent
que 60 fables, et sont précédées de ces deux dist
s marges d’en offrir d’autres destinées à illustrer les fables. Il ne
comprend
que les 60 fables authentiques et se termine par
de 160 sont en parchemin, et dont l’écriture est du xive siècle. Il
comprend
plusieurs ouvrages désignés par ces titres : Flo
seul ouvrage contenu dans le manuscrit, sont au nombre de 63 ; elles
comprennent
les 60 fables primitives, auxquelles s’ajoutent l
ue les 25 premiers. Indépendamment des 62 fables ordinaires, elles en
comprennent
une soixante-troisième, qui est la même que la so
gmentés de deux neufs laissés blancs. La première partie du manuscrit
comprend
63 fables sous 64 numéros à cause de la division
fables, dont l’écriture est du xve siècle, sont au nombre de 61, et
comprennent
les 60 fables ordinaires et la fable De Capone et
uillets sont en parchemin et dont l’écriture est du xiiie siècle. Il
comprend
trois ouvrages, savoir : les distiques de Denys C
ans le manuscrit 303. Quant à présent, je me contente de dire qu’elle
comprend
les fables de Walther qui s’étendent du feuillet
dont les feuillets en papier portent une écriture du xve siècle. Il
comprend
226 feuillets écrits et 6 laissés blancs. Les 60
nuscrit de Bruxelles se compose de 134 feuillets. Dans ce nombre sont
compris
deux feuillets blancs, qui le terminent et dont l
n papier au commencement du volume et trois à la fin. Le manuscrit ne
comprend
que deux ouvrages. Le premier est la collection d
mpose de 90 feuillets en papier dont l’écriture est du xve siècle et
comprend
, d’après la nomenclature qu’on lit sur un feuille
fables qui forment le troisième ouvrage sont celles de Walther. Elles
comprennent
non seulement les soixante dont il est incontesta
liothèque Laurentienne a été englobée la bibliothèque Léopoldine, qui
comprenait
elle-même divers fonds et notamment le fonds Stro
uels : Explicit liber Exopi. deo gracias, amen. La fable xlviii ne
comprend
que les trente vers authentiques. C. Manuscrit
. La quarante-huitième, intitulée : De Viro mortuo et Uxore sua , ne
comprend
que les trente vers primitifs. E. Manuscrit 72
its de la même bibliothèque précédemment analysés, la fable xlviii ne
comprend
que trente vers. La soixante-deuxième fable se te
itre écrit à l’encre rouge. Elles sont au nombre de soixante-trois et
comprennent
les soixante authentiques, les deux complémentair
Esopi. Deo gratias. Amen. Les fables, au nombre de soixante-trois,
comprennent
les soixante ordinaires auxquelles s’ajoutent les
petit format. À en juger par le numérotage des feuillets, il a dû en
comprendre
367 ; mais les 60 premiers ont disparu, de sorte
souscription la date de 1460. Les fables sont, au nombre de 62. Elles
comprennent
les deux complémentaires De Capone et Accipitre e
t pas chiffrée, mais est signée de a à e. Les quatre premiers cahiers
comprennent
chacun huit feuillets et le cinquième seulement q
et composés chacun de huit feuillets, à l’exception du dernier qui en
comprend
dix. Il s’ensuit que les feuillets sont au nombre
gné de a à f et, chaque cahier se composant de six feuillets, il n’en
comprend
au total que trente-six. Au-dessous du titre, est
Les deux personnages sont vus de profil. Le titre et la gravure sont
compris
dans un encadrement xylographique contenant huit
est annoncée par ce titre : Incipit liber fabularum Esopi. Elle ne
comprend
que ses soixante fables, accompagnées de la glose
Cette édition, imprimée dans le format in-4º en caractères gothiques,
comprend
six cahiers signés de a à f, dont les cinq premie
ti.) || Zum ersten mal. Le volume se compose de xliv-166 pages, non
compris
le feuillet consacré au frontispice. Les pages i
feuillet 58 b et se terminant à la deuxième du feuillet 68 a, elle ne
comprend
que vingt-quatre fables, et, comme elle est close
analogue à celle de la première édition. Le titre et la gravure sont
compris
dans un encadrement à fond noir. Les fables sont
ont au nombre de 22 formés de 8 feuillets, sauf le cahier f, qui n’en
comprend
que 4 et les cahiers u et x qui n’en comprennent
f le cahier f, qui n’en comprend que 4 et les cahiers u et x qui n’en
comprennent
que 6, de sorte que le nombre total des feuillets
-cinq, ne prétend pas en donner la liste complète ; en effet, elle ne
comprend
ni celui qui est intitulé : Suppletio defectuum
ur aurait fait que des emprunts partiels ; car, bien que son œuvre ne
comprenne
que quarante-deux fables, les sujets dont il a fa
tion qu’il fait des rôles entre les divers personnages. Je vais faire
comprendre
ma pensée par deux exemples. J’emprunte le premie
hangé en homme et du Taureau et du Veau. Il est en effet difficile de
comprendre
comment la collection qui possède ces fables peut
ommairement rappeler. La collection formée par le bibliophile anglais
comprenait
quatre fonds : le fonds Libri, le fonds Barrois,
l’objet d’un accord ultérieur. Pour ne parler que du fonds Libri qui
comprenait
1923 manuscrits, voici, d’après la liste dressée,
Épilogue. Rufus. Épilogue. Cette liste, sous cinquante numéros, ne
comprend
que quarante-neuf fables ; car on ne peut considé
II, 12. Épilogue. Rufus. III, 14. En revanche, les Fabulæ antiquæ
comprennent
les 32 fables suivantes, qui n’existent pas dans
re plus logiques, n’exprimait pas le même regret. Il déclarait ne pas
comprendre
de quelle utilité pouvaient être des variantes vi
on songe à l’état dans lequel était alors tombée la langue latine, on
comprend
que ce qui doit toucher dans une œuvre de cette l
fables qui forment le second ouvrage sont au nombre de 51, si l’on y
comprend
la dernière pièce. Elles sont précédées de la déd
ables, dont se compose la collection, sont divisées en deux livres et
comprennent
: 1º 18 fables appartenant toutes, sauf la sixièm
s précédés de la même dédicace et suivis du même épilogue. Le premier
comprend
18 fables ; le deuxième, 20, et le troisième, 12
ici en contradiction avec moi-même ; mais, en lisant ce qui suit, on
comprendra
qu’il n’en est rien. Le Romulus de Nilant ne se c
à peu près complet de la traduction anglaise. Or, comme sa version ne
comprend
que 103 fables et que la collection que je prenai
puiser dans le Romulus primitif. Au contraire, la traduction de Marie
comprend
, presque dans leur intégrité, les autres éléments
j’examinerais maintenant la valeur littéraire de ses œuvres ; mais on
comprend
qu’alors que je n’ai pu même me livrer à la criti
des fables de Marie de France. La traduction poétique de Marie
comprend
cent trois fables, composées en vers de huit syll
paraphrase du texte latin, s’en écarte encore plus que les fables. Il
comprend
quarante vers, qui, dans un des manuscrits, sont
hèque nationale, j’en ai remarqué deux qui contenaient des fables non
comprises
dans les 103 publiées par M. de Roquefort ; ce so
uefort ; ce sont les manuscrits 2173 et 14971. Le manuscrit 2173, qui
comprend
104 numéros, possède par exception 104 fables, et
rois fables bien authentiques à celles de la collection latine qui en
comprend
136, on en trouve une qui ne correspond à aucune
dre. Dans le manuscrit 1593 de la Bibliothèque nationale, l’épilogue
comprend
vingt-quatre vers et se termine par ces deux dern
» Ce manuscrit, qui fut un de ceux employés par M. de Roquefort526,
comprend
un trop grand nombre d’œuvres pour que j’en donne
les || fables de plusieurs bestes. La collection est complète ; elle
comprend
même 104 numéros ; mais cela tient à la division
par ce titre : Ce sont les chapitres des fables ysope. La table en
comprend
100 ; mais seuls les 98 premiers concernent Marie
. Manuscrit 19152. Le manuscrit 19152 forme un volume in-fol., qui
comprend
205 feuillets en parchemin et dont l’écriture sur
suit le dialecte du nord de la France. » Quand on lit ces lignes, on
comprend
que, contrairement à l’affirmation de M. de Roque
xiiie siècle. L’œuvre de Marie y occupe les feuillets 73 à 96. Elle
comprend
le prologue, 83 fables dépourvues de titres parti
: Ave Maria. N’étant que la copie du manuscrit 347 C, le ms. 347 B
comprend
les mêmes ouvrages dans le même ordre. Le premier
u Dérivé complet. Le dérivé latin, auquel maintenant je passe,
comprend
un prologue et 136 fables. En lisant le prologue,
ibus verbis se putant esse terribiles. En produisant cet exemple, je
comprends
bien que je fournis, à l’avance, un argument non
lequel le roi Henri Beau-Clerc avait fait sa traduction anglaise, ne
comprenait
que 114 fables, c’est-à-dire un nombre sensibleme
tait issu. M. Oesterley déclare que la traduction allemande de Gérard
comprend
103 fables, c’est-à-dire un nombre de fables infé
nt tirées du Dérivé complet, et, comme, ainsi qu’on s’en souvient, il
comprend
136 fables, il s’ensuit que les feuillets manquan
ec ceux manquant dans l’autre. Quoi qu’il en soit, la première lacune
comprend
la fin de la fable de l’Estomac et des Membres, l
antibus : Partiri misero cum nec est utile forti. Ce vers doit être
compris
comme si les mots qui le composent se présentaien
ion unique à leur conformité, ne la fait que mieux ressortir. Mais je
comprends
que, lorsqu’on désire bien déterminer la corrélat
iste n’avait aucune connaissance de la langue latine, et que, sans la
comprendre
, il copiait l’œuvre d’un auteur qui déjà depuis l
du feuillet 204 a au milieu de la première colonne du feuillet 206 b,
comprend
le prologue et 20 fables choisies, dont la derniè
de Berne est le moins complet des dérivés du Romulus primitif. Il ne
comprend
en effet que les treize fables suivantes, puisées
iduam B. Casp. Fritschii, A. C. N. CIƆӀƆ CCXXXXVII, in-8º. (Le volume
comprend
142 pages et 1 feuillet consacré au titre.) 221.
si magnifique, ny si pompeux qu’en cette Edition derniere. Car sans y
comprendre
les corrections necessaires, je me persuade d’avo
ens, il leur fût facile d’en faire de mesme des brebis ». Les Samiens
comprirent
incontinent le sens de la Fable, et resolurent en
femme. Le troisiesme poinct de mon Discours sera le vray but d’Esope,
compris
dans la fin de la Fable, à sçavoir qu’on ne chang
anges et insupportables, à sçavoir l’Envie et l’Avarice, qui ont esté
compris
à dessein sous une mesme Fable, pour donner à ent
preuve. Car nous ne voyons aucuns animaux inventer des Arts, ny mesme
comprendre
ceux qui sont des-jà inventez, autrement que par