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1 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 315 » p. 267
tte et le mangeait avec les chiens. Mais à la fin le berger devina et comprit ce qui se passait, et tua le loup en le pendant à
2 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIII. Du Lion, et de la Chévre. »
es instructions touchant ceste nature d’évenements. Elles sont toutes comprises dessous l’exemple de ceste Chévre, qui nous appre
3 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ne laisse entrer qu’un seul de tous ceux que son Maistre avoit conviez. Chapitre XXI. »
et que je leur ay demandé, Que remuë le chien ? pas un d’eux n’a sçeu comprendre ma question. Les ayant donc pris pour des Ignoran
4 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XX. Testament expliqué par Esope. » p. 512
tâche d’entendre La volonté du Testateur, Mais en vain : car comment comprendre Qu’aussi-tost que chacune sœur Ne possedera plus
5 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « AU LECTEUR. Sur le sujet des Fables. »
’imiter la façon de vivre des Creatures raisonnables : La Meslée, qui comprend ensemble ce qui est pourveu de raison, et qui ne
t, quand ils disent que par Celius se doit entendre Dieu, en qui sont comprises toutes les creatures d’une maniere inefable ; et
6 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du thresor trouvé par Esope, et de l’ingratitude de Xanthus. Chapitre XXII. »
ue meditation que fit là dessus ce Philosophe, il n’y pût jamais rien comprendre et confessa franchement qu’il n’entendoit pas cel
7 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVII. Du Liévre, et de la Tortuë. »
la plus vray-semblable de toutes, que les Italiens ont, à mon advis, comprise en ces vers, Ingegno e forza à chi non l’opra è
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE L. Du Renard, et des Chasseurs. »
ien advisé luy reproche sa déloyauté de fort bonne grace, et luy fait comprendre en peu de paroles, qu’il n’est point de trahison
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIV. D’un Laboureur et de ses Enfants. »
e qu’Othon fit à Vitellius, et celle d’Auguste contre Antoine, sans y comprendre plusieurs autres calamitez publiques, dont ils n’
10 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
isse les plus agréables souvenirs. Ses fables sont courtes, faciles à comprendre et intéressantes par l’action qui en quelques ver
e faire profiter le public de mes travaux par une publication qui les comprendrait tous. Alors s’est forcément posée devant moi la q
Paris, tout en déclarant qu’il fallait se féliciter de ce que j’eusse compris Eude parmi les imitateurs du fabuliste romain, av
s à Heidelberg, en 1601 selon Niceron et en 1603 selon Fabricius5, et comprises dans deux volumes, le premier sans date, le secon
sur lequel il était né ; car ce mont, comme l’Olympe et l’Ossa, était compris dans la chaîne qui forme la limite de la Thessali
ait compatriote de Linus et d’Orphée ; les vers en litige ont été mal compris , et il n’a cité les noms de ces deux poètes de la
de la Thrace restée en dehors de la Macédoine. Mais ce que je ne puis comprendre , c’est que, pour soutenir cette thèse, ils aient
us, je m’explique son hypothèse erronée ; mais j’avoue que je ne puis comprendre comment le Père Brotier a pu l’accepter, au momen
Fabricius avait-il rejeté l’hypothèse de Scheffer. Le Père Desbillons comprit également qu’elle était inadmissible. Pour la com
amitatem deligens quædam meam. Il suffit, pour la connaître, de bien comprendre ce vers. Dans la plus ancienne des traductions fr
puisse être cette prétention, quand on songe que le deuxième livre ne comprend que huit fables, on reste convaincu qu’il ne nous
de son successeur. S’il y avait regardé de plus près, Schwabe aurait compris que l’affranchi de Caligula n’avait eu aucune rel
tions imprimées il se compose de dix fables ; mais en réalité il n’en comprend que cinq. Il est certain qu’il en renfermait d’au
ustice. Le 28 août 1594, Pithou en fut nommé le procureur général. Il comprit sa tâche, et travailla avec un succès complet à l
n fonds spécial qui du nom du donateur est appelé fonds d’Elci et qui comprend à la fois des manuscrits et des imprimés. Parmi l
qu’un fragment, à peine huit fables du premier livre. Il est aisé de comprendre qu’il n’ait pas jugé qu’un si mince lambeau mérit
ite reçu de son frère, en aurait ainsi publié la première édition. On comprend , sans que j’aie besoin d’insister, tout ce qu’il
virgule, il ne signifie rien, le calligraphe, qui paraît n’avoir pas compris ce qu’il écrivait, les ayant placés comme au hasa
ommencement d’un livre nouveau. Les éditeurs l’ont en général si bien compris qu’ils ont, les uns, supprimé le mot Idem, les au
essairement recourir à d’autres documents : d’abord, pour le prologue compris dans les 34 premiers vers, au fac-simile, dont j’
Vatican, qui ont été apportés à Paris. » J’avoue que j’avais peine à comprendre comment des savants sérieux avaient pu se résoudr
est du xie  siècle. Elle est fine, mais très lisible. Ce manuscrit ne comprend que les feuillets 17, 18, 19 et 20 ; les fables d
rable, s’ouvre au fol. 103. Ce feuillet et les suivants, jusques et y compris le feuillet 108, appartiennent au roman de Fier-à
me le premier vers, et qu’enfin il ne contenait pas toutes les fables comprises entre la xie et la xxie . Schwabe, plein de conf
ire qu’il est presque aussi ancien que celui de Pithou. Ensuite il ne comprend que le quart environ du premier livre, et les hui
s ; seulement, comme il est rare qu’une idée fausse soit parfaitement comprise de celui même qui l’accepte, en voulant la reprod
applicables aux vingt et une premières fables. C’est à n’y plus rien comprendre . On peut dire, à la décharge de M. Panckoucke, qu
étant celles que j’ai précédemment indiquées, il s’ensuit qu’elles ne comprennent pas la fable xvi, Ovis, Cervus et Lupus. Il n’en
ment donnée dans la première. Malheureusement les critiques n’ont pas compris la cause de cette suppression. Il en est résulté
de celui de l’avant-dernière ; enfin, comme le manuscrit, l’apographe comprend au total 83 vers qui ont été copiés avec une exac
ann, et chaque fois, par les mots  Ms. Perotti , il fait suffisamment comprendre qu’il n’est pas en situation de consulter une cop
hum Perottum, fratris filium, adolescentem suavissimum 168. Ayant mal compris ou retenu ce que d’Orville lui avait expliqué, il
doré pendant assez longtemps La dame devint veuve173. Cette façon de comprendre le texte, qui d’ailleurs me semble la plus exacte
i-je aucun argument. Mais j’aime à reconnaître que, si Jannelli a mal compris les premiers mots de la fable Mulier vidua et Mil
publication, des leçons que son rival avait proposées ou adoptées. On comprend sans peine la colère de Jannelli, voyant paraître
dédicace à M. le baron de Pommereul et la préface qui en occupent 23, comprend la traduction en vers italiens des trente-deux fa
uillets du cahier sont restés blancs. La deuxième partie du manuscrit comprend soixante-quatorze feuillets, savoir : 57 écrits e
ntitulée : De divitiis et paupertate ad Andream Contrarium Venetum , comprend deux parties distinctes, un préambule composé par
ue, et probablement sans autre ordre que l’ordre chronologique. Elles comprennent des fables de Phèdre et des fables d’Avianus, un
sous une forme plus explicite, s’impose mieux à la pensée. Il l’avait compris et avait été ainsi conduit à commettre une altéra
é à toute interpolation des textes anciens. Enfin, suivant lui, on ne comprendrait pas qu’après avoir, dans ses commentaires, été si
utes les explications que j’ai données sur le manuscrit de Naples, on comprendra que je ne dise que quelques mots de ce second man
Mais, au moins, elle excluait l’idée du plagiat. Burmann aurait dû le comprendre . Pourtant il oublie presque immédiatement sa prem
entre ces deux substantifs. Ils ont une portée très différente qui se comprend et sur laquelle je n’ai pas besoin d’insister, et
Il a fait une déclaration dont la fausseté saute aux yeux, et l’on ne comprend pas au premier abord comment il a pu dire qu’il a
rappeler qu’il en était, non le traducteur, mais le copiste, et l’on comprendra que, retrouvant cette fable après bien des années
aux qui s’en rencontraient dans les œuvres de Romulus. Puis, comme il comprend que le manuscrit de Romulus, conservé à Dijon, de
textes sous silence ; il est trop instruit pour les ignorer ; mais il comprend qu’il lui serait impossible de les mettre en harm
ntée » ; ces deux reproches ne me paraissent pas fondés. Le sens s’en comprend bien, et la leçon qu’elle donne est bonne à ne pa
scerpsit dominum, et fecit partes facinoris. Il est pourtant aisé de comprendre que la bande de chats « déchira son maître et se
é. Lorsqu’on considère ainsi en eux-mêmes les arguments d’Adry, on ne comprend pas comment ils ont pu exercer sur les esprits un
té acceptée. Mais en Allemagne la chose avait été différente, et l’on comprend sans peine qu’aux savants de ce pays qui n’avaien
nt séparé, distingué celles qu’on est convenu d’appeler nouvelles, on comprendrait qu’à chaque groupe pût être attribuée une origine
avaient trop légèrement formulés. Les Allemands eux-mêmes ont si bien compris qu’ils n’étaient pas fondés, que non seulement da
tant que la réimpression partielle de la deuxième édition de Schwabe, comprend seulement : La vie de Phèdre, les trois Dissertat
numérotées, suivies d’un errata de 3 pages non numérotées. Le volume comprend d’abord une étude sur Phèdre divisée en 113 parag
us d’écriture. Les divers éléments dont le manuscrit est formé et qui comprennent une copie malheureusement incomplète des Fabulæ a
ant, c’est de savoir de quoi elle se compose. Malheureusement elle ne comprend que 17 fables, qui sont même dépourvues de leurs
Æsopus ad Rufum. Pour établir la nomenclature exacte des fables qu’il comprenait et donner une idée aussi nette que possible de le
ithou et de Reims, était l’œuvre d’un moine ignorant, qui n’avait pas compris que Phèdre avait voulu faire prononcer par le Cor
étends en toute modestie que ce mot fabri n’est que l’abréviation mal comprise du mot fabularum, qu’on trouve aux endroits corre
le Lion médecin, la Hache et les Arbres, l’Estomac et les Membres. On comprend dès lors l’intérêt que présente le manuscrit de W
nt du xviiie  siècle, d’éprouver quelques doutes d’ailleurs faciles à comprendre . Dans le manuscrit de la bibliothèque de Leyde qu
Attica, trouver l’indication du lieu de sa naissance, ils en ont mal compris le sens, et qu’en supposant que ce personnage eût
cause. Avec un peu de réflexion indépendante, les critiques auraient compris que, s’il était impossible de se procurer le moin
eut dresser la table des fables qu’il renfermait et affirmer qu’il en comprenait  84. Ce qui, pour être discutable, ne m’en paraît
ne m’en paraît pas moins vraisemblable, c’est que ces fables étaient comprises , non pas, comme dans le Romulus ordinaire, dans q
de la dédicace, et, s’il voulait la prendre au sérieux, il aurait dû comprendre qu’il était facile de donner autrement à ces mots
deux collections de Wissembourg et de Romulus, on voit la première ne comprendre que des fables existant dans la seconde. Dérivée
dans celle de Romulus, qu’à la condition que cette dernière elle-même comprît toutes celles de l’Æsopus ad Rufum. On peut m’obj
e même que Nilant avait choisie aurait dû l’éclairer, et il aurait dû comprendre que, si cet éminent critique l’avait reléguée dan
s induit à juger le plus ancien de tous. Plusieurs indices m’ont fait comprendre qu’il ne devait par son ancienneté être placé qu’
manuscrits peuvent se partager en deux groupes égaux. Le premier doit comprendre les trois premiers manuscrits, le second les troi
ce groupe que je l’emprunterai, et, comme des trois manuscrits qu’il comprend deux sont des apographes modernes et qu’un seul,
iens de faire sommairement du manuscrit Burnéien suffit pour en faire comprendre l’importance. En effet, si des doutes pouvaient e
nd, de 27 sous 28 numéros, et le troisième, de 36, l’épilogue à Rufus compris  ; ce qui donne un total de 83 fables, qui non seu
sitions opérées sans doute par un copiste un peu trop indépendant qui comprenait et croyait pouvoir améliorer ce qu’il écrivait. E
rlestaine house. C’est un volume in-4º, qui, formé d’éléments divers, comprend 146 feuillets en parchemin et dont l’écriture m’a
ibro secundo fabularum Esopi viri clarissimi atque ingeniosi , et qui comprend les titres suivants (fol. 83 a) : De Ranis. i.
strum capitulorum Tercii libri Esopi. Voici les vingt titres qu’elle comprend (fol. 105 a) : De Leone et pastore. i. De Eq
ar l’exposé qui précède que, dans l’édition d’Ulm, l’œuvre de Romulus comprend quatre-vingts fables divisées en quatre livres ég
e du livre II, dans lequel elle est la huitième et qui, la possédant, comprend vingt et une fables ; le livre III, au contraire,
t la xxe dans les éditions primitives. En somme, les manuscrits, non comprise la dédicace de Romulus, se composent au total de
où il dépend du fonds d’Elci et où il porte la cote E. 2. 326. Il ne comprend pas l’Hystoria Sigismunde. Il devrait se composer
huit feuillets font défaut ; il en résulte deux lacunes. La première comprend la fin de la version allemande de la fable xi, le
dans son titre, il serait presque impossible de l’en distinguer. Elle comprend 129 feuillets non chiffrés et formés de la réunio
vingt fables, il s’ensuit que les gravures sont au nombre de 80, non comprise celle qui orne la dédicace de Romulus à son fils.
e 8 feuillets, et ceux portant les lettres b, d, f, h, k, m et o n’en comprennent que 6. Il s’ensuit que le volume embrasse en tout
2 feuillets répartis entre 13 cahiers qui sont signés de a à n et qui comprennent , les douze premiers, six feuillets chacun, et le
ffré, signé de a à h et composé de huit cahiers dont les six premiers comprennent huit feuillets et les deux derniers seulement six
ensemble. Ceux qui sont signés des lettres a, c, e, g, i, l, n, p, q, comprennent chacun huit feuillets ; ceux qui sont signés des
huit feuillets ; ceux qui sont signés des lettres b, d, f, h, k, m, o comprennent chacun six feuillets. Les quatre premiers feuille
éroté de 1 à 4 et se compose de huit feuillets ; ce dernier cahier ne comprend aucun feuillet blanc. La disposition est la même
ers feuillets, est consacrée aux divers groupes de fables latines que comprend l’édition de Steinhöwel, et la seconde, qui rempl
ymétrie, une traduction latine en prose. Il s’ensuit que le livre III comprend 42 fables. Comme les fables du livre IV n’ont pas
u’on a déjà pu s’en convaincre, M. H. Oesterley a, mieux que Schwabe, compris son rôle d’éditeur des fables de Romulus. Ayant r
u grec en latin par le savant maître Rimicius, lesquelles ne sont pas comprises dans les quatre livres de Romulus. Ici commencent
u grec en latin par le savant maître Rimicius, lesquelles ne sont pas comprises par Romulus dans ses quatre livres, et commenceme
t in-4º en 1545. Le volume, numéroté non par page, mais par feuillet, comprend clxxiiii feuillets chiffrés, précédés de douze au
i me permettent d’en donner le signalement. Les douze premières pages comprennent d’abord le titre, ensuite les deux préfaces allem
, mais signés de a à f ; les cahiers portant les signatures a, k et f comprennent huit feuillets chacun ; les autres n’en ont que s
on entendement et te donnront cause de ioye. La traduction de Macho comprend , à la suite des fables de Romulus, les divers gro
de a à k par cahiers de 8 feuillets à l’exception du dernier qui n’en comprend que 5. Voici le frontispice : Les subtiles fable
. Il est signé de a à s, et comme les cahiers, sauf le dernier qui ne comprend que six feuillets, sont chacun formés de huit, le
to his speche. Le volume se compose de 151 feuillets numérotés, non compris le frontispice. C. Réimpression de H. Wykes de
rimeur que la précédente. Elle se compose de 182 pages chiffrées, non compris un premier feuillet pour le frontispice et quatre
mpression, composée, comme celle de 1647, de 182 pages chiffrées, non compris le premier feuillet consacré au frontispice et le
hiers composés chacun de six feuillets, sauf l’avant-dernier qui n’en comprend que quatre. Voici l’analyse du contenu. Fol. 1 a.
que 120, dont le dernier est blanc. En effet, les cahiers a, A, et K comprennent chacun huit feuillets, tandis que les autres n’en
57. L’édition de 1657 forme un volume in-16. de 176 feuillets, non compris ceux, au nombre de 8, consacrés à la table. En vo
que la dernière série de fables, intitulée : Fabulas collectas, n’en comprend que 21. J’ai trouvé sous la cote 15915 un exempla
ans le format in-8, et, en outre des feuillets paginés de 1 à 352, en comprend douze autres qui, les précédant, sont consacrés a
par les deux Romulus de Vincent de Beauvais, c’est d’abord parce que, compris dans les plus grands ouvrages de cet illustre enc
uvre immense, qui pourrait s’appeler l’Encyclopédie du xiiie  siècle, comprend quatre parties intitulées, la première : Speculum
eauvais, lui en refuse nettement la paternité. Le Speculum doctrinale comprend dix-huit livres. C’est par erreur que quelques bi
es de Romulus occupent les chap. 114 à 124 du livre IV ; car elles ne comprennent pas le chapitre 124. Pour qu’on voie plus aisémen
Manuscrits du Miroir historial. Les manuscrits du Miroir historial comprennent des volumes in-folio catalogués sous les cotes 48
s fables de Romulus. Elles n’existent que dans le manuscrit 4897, qui comprend les 16 premiers livres du Miroir et dans le manus
lée Asinus et Leo et qui fait entièrement disparaître les huit autres comprises entre elles. B. Manuscrit 11412. Le manuscr
2 colonnes de 62 lignes chaque. Il est imprimé en lettres rondes. Il comprend trois livres. Les 3 premiers feuillets contiennen
riale. Première édition372. Cette édition, inconnue à Daunou, comprend 4 vol. in-fº à 2 col. de 67 lignes, imprimés avec
ques, sans indication de lieu, ni d’année, ni de nom d’imprimeur, qui comprend les 4 miroirs de Vincent de Beauvais ? Ce qui por
s cahiers sont toujours de huit feuillets, sauf le cahier nn qui n’en comprend que 4 et le cahier llll qui n’en comprend que 6.
sauf le cahier nn qui n’en comprend que 4 et le cahier llll qui n’en comprend que 6. D’après leur numérotage, les feuillets ser
. La solution n’en était pas très aisée, et la raison en est facile à comprendre . En effet l’Anonyme de Névelet, en composant sa t
e ne pas prendre cette peine, il n’en avait pas moins instinctivement compris le néant de l’hypothèse favorable à Salon. Dans l
e la bibliothèque Grenville, il ne faut pas lire bien des lignes pour comprendre que le glossateur, qui probablement vivait dans l
miers livres du Romulus ordinaire. Il est supposable que, si elles ne comprennent pas le quatrième, c’est que l’exercice littéraire
qui ne pouvait être controversé, c’est que la collection complète en comprend au moins soixante. En voici, suivant l’ordre le p
puscules transcrits par des mains diverses. Le premier de ces cahiers comprend quatorze feuillets numérotés de 1 à 14, et renfer
e dans la copie de P. Pithou on lit : Fructum cape. Cette copie ne comprend que les soixante fables ordinaires ; elles porten
t l’écriture sur parchemin paraît être de la fin du xiiie  siècle. Il comprend 177 feuillets. Au bas du recto du premier feuille
et finissent au recto du feuillet 35. Elles sont au nombre de 62, et comprennent , outre les soixante fables ordinaires, les deux c
pas tout ; les noms d’Ysopet et d’Avionnet montrent que le manuscrit comprend deux séries de fables ; le volume se divise en ef
déport a. La collection des fables d’Avianus, qui suit ce prologue, comprend , comme la précédente, le texte latin et la traduc
et, le texte latin est criblé de barbarismes qui montrent qu’il ne le comprenait pas ; ainsi il a écrit Solo pour Sole, Thomas pou
pose que des quatorze premiers vers de celui du manuscrit 1594, et ne comprend pas les seize derniers, peut-être dus à l’amplifi
laquelle je me suis précédemment expliqué. Quant à l’épilogue, il ne comprend que les six premiers vers de celui du manuscrit 1
écrite et signée : « Le présent manuscrit, composé de 92 feuillets, y compris les blancs. Paris, le 1er Mai 1822. B. Gail. »
s en papier doré sur tranche sont dans une belle reliure du temps. Il comprend 103 feuillets écrits, 3 blancs qui les précèdent
t 91, où elles sont annoncées par ces mots : Incipit Esopus. Elles comprennent les soixante fables ordinaires, qui même, à cause
ments des fables de Walther, réunis sur deux feuillets. Ces fragments comprennent  : 1º Ce distique par lequel se termine le préambu
ace interne du deuxième plat, et, comme la plupart des manuscrits, il comprend plusieurs ouvrages. Les fables de Walther commenc
aduction, qui porte ce titre : De la rate et de la renoille , et qui comprend cinquante-quatre vers, commençant par ce premier 
elative à la matrone d’Ephèse, ne se composant que de trente vers, ne comprend pas les mauvaises additions qui y ont été faites.
es feuillets sont en papier et dont l’écriture est du xve  siècle. Il comprend plusieurs ouvrages, dont la nomenclature a été, d
écédées de ce titre général : Incipit liber apologorum Esopi. Elles comprennent les soixante fables authentiques et les deux comp
t du xve  siècle, forme un volume in-4º de 245 feuillets en papier et comprend onze ouvrages. Les fables, qui en sont le cinqui
u catalogue, il renferme les épimythions des 60 fables de Walther. Il comprend quinze ouvrages dont ces épimythions sont le trei
nion adoptée, elles sont bien dérivées du Romulus ordinaire. Elles ne comprennent que 60 fables, et sont précédées de ces deux dist
s marges d’en offrir d’autres destinées à illustrer les fables. Il ne comprend que les 60 fables authentiques et se termine par
de 160 sont en parchemin, et dont l’écriture est du xive  siècle. Il comprend plusieurs ouvrages désignés par ces titres : Flo
seul ouvrage contenu dans le manuscrit, sont au nombre de 63 ; elles comprennent les 60 fables primitives, auxquelles s’ajoutent l
ue les 25 premiers. Indépendamment des 62 fables ordinaires, elles en comprennent une soixante-troisième, qui est la même que la so
gmentés de deux neufs laissés blancs. La première partie du manuscrit comprend 63 fables sous 64 numéros à cause de la division
fables, dont l’écriture est du xve  siècle, sont au nombre de 61, et comprennent les 60 fables ordinaires et la fable De Capone et
uillets sont en parchemin et dont l’écriture est du xiiie  siècle. Il comprend trois ouvrages, savoir : les distiques de Denys C
ans le manuscrit 303. Quant à présent, je me contente de dire qu’elle comprend les fables de Walther qui s’étendent du feuillet 
dont les feuillets en papier portent une écriture du xve  siècle. Il comprend 226 feuillets écrits et 6 laissés blancs. Les 60 
nuscrit de Bruxelles se compose de 134 feuillets. Dans ce nombre sont compris deux feuillets blancs, qui le terminent et dont l
n papier au commencement du volume et trois à la fin. Le manuscrit ne comprend que deux ouvrages. Le premier est la collection d
mpose de 90 feuillets en papier dont l’écriture est du xve  siècle et comprend , d’après la nomenclature qu’on lit sur un feuille
fables qui forment le troisième ouvrage sont celles de Walther. Elles comprennent non seulement les soixante dont il est incontesta
liothèque Laurentienne a été englobée la bibliothèque Léopoldine, qui comprenait elle-même divers fonds et notamment le fonds Stro
uels : Explicit liber Exopi. deo gracias, amen. La fable xlviii ne comprend que les trente vers authentiques. C. Manuscrit
. La quarante-huitième, intitulée : De Viro mortuo et Uxore sua , ne comprend que les trente vers primitifs. E. Manuscrit 72
its de la même bibliothèque précédemment analysés, la fable xlviii ne comprend que trente vers. La soixante-deuxième fable se te
itre écrit à l’encre rouge. Elles sont au nombre de soixante-trois et comprennent les soixante authentiques, les deux complémentair
Esopi. Deo gratias. Amen. Les fables, au nombre de soixante-trois, comprennent les soixante ordinaires auxquelles s’ajoutent les
petit format. À en juger par le numérotage des feuillets, il a dû en comprendre  367 ; mais les 60 premiers ont disparu, de sorte
souscription la date de 1460. Les fables sont, au nombre de 62. Elles comprennent les deux complémentaires De Capone et Accipitre e
t pas chiffrée, mais est signée de a à e. Les quatre premiers cahiers comprennent chacun huit feuillets et le cinquième seulement q
et composés chacun de huit feuillets, à l’exception du dernier qui en comprend dix. Il s’ensuit que les feuillets sont au nombre
gné de a à f et, chaque cahier se composant de six feuillets, il n’en comprend au total que trente-six. Au-dessous du titre, est
Les deux personnages sont vus de profil. Le titre et la gravure sont compris dans un encadrement xylographique contenant huit
est annoncée par ce titre : Incipit liber fabularum Esopi. Elle ne comprend que ses soixante fables, accompagnées de la glose
Cette édition, imprimée dans le format in-4º en caractères gothiques, comprend six cahiers signés de a à f, dont les cinq premie
ti.)  || Zum ersten mal. Le volume se compose de xliv-166 pages, non compris le feuillet consacré au frontispice. Les pages i
feuillet 58 b et se terminant à la deuxième du feuillet 68 a, elle ne comprend que vingt-quatre fables, et, comme elle est close
analogue à celle de la première édition. Le titre et la gravure sont compris dans un encadrement à fond noir. Les fables sont
ont au nombre de 22 formés de 8 feuillets, sauf le cahier f, qui n’en comprend que 4 et les cahiers u et x qui n’en comprennent
f le cahier f, qui n’en comprend que 4 et les cahiers u et x qui n’en comprennent que 6, de sorte que le nombre total des feuillets
-cinq, ne prétend pas en donner la liste complète ; en effet, elle ne comprend ni celui qui est intitulé : Suppletio defectuum
ur aurait fait que des emprunts partiels ; car, bien que son œuvre ne comprenne que quarante-deux fables, les sujets dont il a fa
tion qu’il fait des rôles entre les divers personnages. Je vais faire comprendre ma pensée par deux exemples. J’emprunte le premie
hangé en homme et du Taureau et du Veau. Il est en effet difficile de comprendre comment la collection qui possède ces fables peut
ommairement rappeler. La collection formée par le bibliophile anglais comprenait quatre fonds : le fonds Libri, le fonds Barrois,
l’objet d’un accord ultérieur. Pour ne parler que du fonds Libri qui comprenait 1923 manuscrits, voici, d’après la liste dressée,
Épilogue. Rufus. Épilogue. Cette liste, sous cinquante numéros, ne comprend que quarante-neuf fables ; car on ne peut considé
II, 12. Épilogue. Rufus. III, 14. En revanche, les Fabulæ antiquæ comprennent les 32 fables suivantes, qui n’existent pas dans
re plus logiques, n’exprimait pas le même regret. Il déclarait ne pas comprendre de quelle utilité pouvaient être des variantes vi
on songe à l’état dans lequel était alors tombée la langue latine, on comprend que ce qui doit toucher dans une œuvre de cette l
fables qui forment le second ouvrage sont au nombre de 51, si l’on y comprend la dernière pièce. Elles sont précédées de la déd
ables, dont se compose la collection, sont divisées en deux livres et comprennent  : 1º 18 fables appartenant toutes, sauf la sixièm
s précédés de la même dédicace et suivis du même épilogue. Le premier comprend 18 fables ; le deuxième, 20, et le troisième, 12
ici en contradiction avec moi-même ; mais, en lisant ce qui suit, on comprendra qu’il n’en est rien. Le Romulus de Nilant ne se c
à peu près complet de la traduction anglaise. Or, comme sa version ne comprend que 103 fables et que la collection que je prenai
puiser dans le Romulus primitif. Au contraire, la traduction de Marie comprend , presque dans leur intégrité, les autres éléments
j’examinerais maintenant la valeur littéraire de ses œuvres ; mais on comprend qu’alors que je n’ai pu même me livrer à la criti
des fables de Marie de France.     La traduction poétique de Marie comprend cent trois fables, composées en vers de huit syll
paraphrase du texte latin, s’en écarte encore plus que les fables. Il comprend quarante vers, qui, dans un des manuscrits, sont
hèque nationale, j’en ai remarqué deux qui contenaient des fables non comprises dans les 103 publiées par M. de Roquefort ; ce so
uefort ; ce sont les manuscrits 2173 et 14971. Le manuscrit 2173, qui comprend 104 numéros, possède par exception 104 fables, et
rois fables bien authentiques à celles de la collection latine qui en comprend  136, on en trouve une qui ne correspond à aucune
dre. Dans le manuscrit 1593 de la Bibliothèque nationale, l’épilogue comprend vingt-quatre vers et se termine par ces deux dern
 » Ce manuscrit, qui fut un de ceux employés par M. de Roquefort526, comprend un trop grand nombre d’œuvres pour que j’en donne
les || fables de plusieurs bestes. La collection est complète ; elle comprend même 104 numéros ; mais cela tient à la division
par ce titre : Ce sont les chapitres des fables ysope. La table en comprend  100 ; mais seuls les 98 premiers concernent Marie
. Manuscrit 19152. Le manuscrit 19152 forme un volume in-fol., qui comprend 205 feuillets en parchemin et dont l’écriture sur
suit le dialecte du nord de la France. » Quand on lit ces lignes, on comprend que, contrairement à l’affirmation de M. de Roque
xiiie  siècle. L’œuvre de Marie y occupe les feuillets 73 à 96. Elle comprend le prologue, 83 fables dépourvues de titres parti
: Ave Maria. N’étant que la copie du manuscrit 347 C, le ms. 347 B comprend les mêmes ouvrages dans le même ordre. Le premier
u Dérivé complet.     Le dérivé latin, auquel maintenant je passe, comprend un prologue et 136 fables. En lisant le prologue,
ibus verbis se putant esse terribiles. En produisant cet exemple, je comprends bien que je fournis, à l’avance, un argument non
lequel le roi Henri Beau-Clerc avait fait sa traduction anglaise, ne comprenait que 114 fables, c’est-à-dire un nombre sensibleme
tait issu. M. Oesterley déclare que la traduction allemande de Gérard comprend 103 fables, c’est-à-dire un nombre de fables infé
nt tirées du Dérivé complet, et, comme, ainsi qu’on s’en souvient, il comprend 136 fables, il s’ensuit que les feuillets manquan
ec ceux manquant dans l’autre. Quoi qu’il en soit, la première lacune comprend la fin de la fable de l’Estomac et des Membres, l
antibus : Partiri misero cum nec est utile forti. Ce vers doit être compris comme si les mots qui le composent se présentaien
ion unique à leur conformité, ne la fait que mieux ressortir. Mais je comprends que, lorsqu’on désire bien déterminer la corrélat
iste n’avait aucune connaissance de la langue latine, et que, sans la comprendre , il copiait l’œuvre d’un auteur qui déjà depuis l
du feuillet 204 a au milieu de la première colonne du feuillet 206 b, comprend le prologue et 20 fables choisies, dont la derniè
de Berne est le moins complet des dérivés du Romulus primitif. Il ne comprend en effet que les treize fables suivantes, puisées
iduam B. Casp. Fritschii, A. C. N. CIƆӀƆ CCXXXXVII, in-8º. (Le volume comprend 142 pages et 1 feuillet consacré au titre.) 221.
11 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSEIGNEUR. MOROSINI, AMBASSADEUR. ORDINAIRE DE LA. SERENISSIME REPUBLIQVE. DE VENISE, PRES DE SA MAJESTÉ. TRES-CHRESTIENNE. »
si magnifique, ny si pompeux qu’en cette Edition derniere. Car sans y comprendre les corrections necessaires, je me persuade d’avo
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
ens, il leur fût facile d’en faire de mesme des brebis ». Les Samiens comprirent incontinent le sens de la Fable, et resolurent en
13 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXI. De Venus, et d’une Chatte. »
femme. Le troisiesme poinct de mon Discours sera le vray but d’Esope, compris dans la fin de la Fable, à sçavoir qu’on ne chang
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
anges et insupportables, à sçavoir l’Envie et l’Avarice, qui ont esté compris à dessein sous une mesme Fable, pour donner à ent
15 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
preuve. Car nous ne voyons aucuns animaux inventer des Arts, ny mesme comprendre ceux qui sont des-jà inventez, autrement que par
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