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1 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — En quel temps Esope composa ses Fables. Chapitre XXV. »
En quel temps Esope composa ses Fables. Chapitre XXV. Ce fut en ce mesme te
composa ses Fables. Chapitre XXV. Ce fut en ce mesme temps qu’Esope composa ses Fables, qu’il laissa au Roy Cresus, et tient
2 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LII. De l’Oyseleur, et du Merle. »
de raisons. Premierement, pource que la famille estant une Communauté composée de plusieurs personnes, et la Republique une Comm
auté composée de plusieurs personnes, et la Republique une Communauté composée de beaucoup de familles, il faut necessairement c
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — VII. La Besace. » p. 266
espire S’en vienne comparoistre aux pieds de ma grandeur. Si dans son composé quelqu’un trouve à redire,
 Il peut le declarer s
4 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XV. De l’Asne, et du Chien. »
elque raison. Car la sage Nature nous ayant tous produits esgalement, composez de pieces substantielles, qui sont le corps et l’
également hommes, et également individus de leur espece. Ils estoient composez d’ame, et de corps, et derechef l’ame et le corps
5 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
si jeune qu’eût alors été Phèdre, il faudrait admettre que, lorsqu’il composa ses premiers livres, il était déjà âgé de près de
er épilogue du livre IV et de la dernière fable du livre V, qu’il n’a composé ses fables qu’à un âge très avancé43. Cannegieter
Par suite de divisions arbitraires, dans les éditions imprimées il se compose de dix fables ; mais en réalité il n’en comprend
, ramassée avec beaucoup de soins et de connaissances littéraires, se composait de passés 5 000 volumes d’ouvrages imprimés et d’
rême obligeance, s’empressa de me montrer le superbe fonds de Bongars composé de plus de cinq cents manuscrits sur vélin. Ils c
n mot de celui de Florence. Indépendamment du fonds général qui ne se compose que de manuscrits, la Bibliothèque Laurentienne p
ché sa détermination, et qu’il ne peut davantage résister au désir de composer de nouvelles fables. Il s’excuse de manquer à la
dans le format in-12 chez Ambroise Drouart à la fin de 1599, elle se compose de deux catégories d’exemplaires, les uns portant
ues erreurs, a eu le mérite de recourir aux sources, s’en servir pour composer l’édition qu’il publia en 1783. Adry l’étudia à s
était donc un in-8º. Je ne saurais dire de combien de feuillets il se composait  ; mais ce qui est certain, c’est qu’ils étaient e
ri Guidonis Augensis super tractatum suum de musica. Le préambule se compose de quelques lignes ; puis vient le traité lui-mêm
vre, quand lui-même, au bas des huit fables du premier livre, dont se compose la Vetus Danielis Chartula, il a soin d’insérer d
que le quart environ du premier livre, et les huit fables dont il se compose , sont celles du milieu, et appartiennent les unes
vant d’écrire les œuvres d’érudit qu’il a laissées, il avait copié ou composé même, pour se distraire, des vers qu’il n’avait c
tantôt une fable, tantôt une autre, sans ordre ni méthode, ou bien il composait tantôt une épigramme, tantôt une épître à un ami.
me paraît constant que la dédicace de Perotti à son neveu fut par lui composée sept ou huit ans avant sa mort ; car elle se sign
ant les règnes de ses successeurs, et il n’hésite pas à admettre que, composées au temps où il versifiait lui-même ses fables anc
la colère. Il venait de découvrir une nouvelle brochure de Cassitto ; composée de quatre pages, elle apportait de nombreux chang
une préface et des documents de l’enquête qui occupent huit pages, se compose en outre de cent vingt pages consacrées à quinze
de luxe, dans le format in-folio, fut immédiatement publiée. Elle se compose de 80 pages consacrées, savoir : les pages 1 à 42
Italie, publié une édition in-folio, assez mal imprimée d’ailleurs et composée seulement de douze pages. Sur la première on lit 
t délai que j’avais, à exécuter entièrement ma copie. Le manuscrit se compose de deux parties bien distinctes reliées ensemble.
m Contrarium Venetum , comprend deux parties distinctes, un préambule composé par Perotti, qui y formule, à l’adresse de son am
urelius Prudentius, et enfin des poésies généralement épigrammatiques composées par Perotti lui-même, le tout, encore une fois, m
ppartiennent pas à Perotti, sur les 157 poésies dont son manuscrit se compose . Il n’est pas nécessaire de l’examiner longtemps
vait perdu de vue le commencement. Il n’est donc pas douteux qu’il le composa dans des temps et dans des lieux divers, et l’écr
’un auteur et surtout qu’un traducteur puissent oublier ce qu’ils ont composé . Cela m’est arrivé à moi-même à l’égard d’une fab
ait dans les œuvres de Phèdre, il en conclut qu’il avait dû également composer toutes les autres. Voici en quels termes tranchan
unique, et qu’il pouvait, par suite, se vanter impunément d’en avoir composé les fables. Suivant lui, l’absence dans Avianus d
tion dirigée contre lui. Il est vrai que, dans cette dédicace par lui composée à l’époque à laquelle il travaillait à son Cornu
use de lui, à la postérité les fables que ces hommes éminents avaient composées , qu’il les lui a dédiées à raison de ses bonnes q
formé son recueil sans but arrêté, et que ce ne fut qu’après l’avoir composé qu’il songea à en faire un livre d’éducation, je
ver la justification de sa thèse. Si les fables de Phèdre avaient été composées sous les règnes de Tibère et de Claude, Sénèque,
t du règne de Claude, comme antérieures aux fables qui n’auraient été composées que de la septième à la onzième année du même règ
ngé aux fables latines que nous connaissons, quand on voit qu’il en a composé quarante-deux réunies en un seul livre, et qu’auc
pu écrire un latin si barbare. Il est l’auteur de fables, qui ont été composées par lui en vers, qui ont ensuite été grossièremen
e les deux premiers livres, les seuls qui, suivant lui, fussent alors composés et publiés232, et, comme les fables qu’ils renfer
pas parvenues. Plutarque et Nicostrate n’avaient-ils pas, comme lui, composé des fables grecques qui sont entièrement perdues 
pas pensé. Mais ce n’est pas une raison pour en conclure qu’il avait composé ses fables dans la langue de son modèle. Importat
’Auguste il les écrivit sous les règnes de ses successeurs, qu’il les composa en ïambes latins, et que, si Sénèque, son contemp
lesquels il prétend établir qu’en réalité c’est bien Phèdre qui les a composées . 1º Les fables, s’occupant des mœurs, des institu
ur semblait trop concis. De là sortit un genre tout nouveau de fables composées en prose. L’ensemble en était grossier ; mais dan
nciennes qu’il adjuge à un auteur anonyme. Salon de Parme252 enfin en composa également soixante. Toutes ces collections ne con
que Phèdre254. 10º L’assertion d’Avianus, qui déclare que Phèdre n’a composé que cinq livres, ne prouve rien. Phèdre ne les pu
’à Perotti inclusivement on ne trouve personne qui ait été capable de composer les nouvelles fables ». Mais, pour démontrer qu’a
ème livre ; ensuite arrive un petit poème : De virtute ad Lentulum , composé par Perotti. La même confusion continue jusqu’à l
ue si, en dehors des fables qu’il copiait, il avait voulu lui-même en composer , il aurait recouru au rythme élégiaque ; c’est un
t traduit d’autres, il aurait toujours adopté. J’ai dit qu’il n’avait composé aucune de ses poésies en vers ïambiques. Je m’emp
es éditions de Phèdre est la viie du livre II, quinze vers également composés dans le rythme ïambique ; mais, comme ces quinze
syllabes il n’oublie pas l’ïambe, et il a bien soin de dire qu’il se compose d’une brève et d’une longue. Les différentes espè
latine, et que c’est seulement après être parvenu à l’âge mûr qu’il a composé ses traités de versification. De pareils écrits,
uve, dans les traités dont je viens de parler, la preuve qu’il ne les composa que dix ans plus tard. Ainsi, dans la dédicace à
de supposer que, contrairement à l’affirmation d’Avianus, il en avait composé un sixième livre. L’objection tirée de la nécessi
t agir ou parler son modèle. Au contraire, si l’on regarde de quoi se composent les fables nouvelles, on voit que sur les trente
Comitum, apud Isaacum Vaillant. 2 vol. in-fº grand format, à 2 col., composés , le premier, de 6 feuillets non paginés suivis de
chacune est suivie : 1º de notes ; 2º de cinq traductions italiennes composées par Malaspina, Trombelli, Migliarese, un anonyme
n totalité, au moins en grande partie, les divers éléments dont il se compose . J’ai dit plus haut que le manuscrit avait appart
endue plus pénible encore par le désordre qui s’y remarque ; il ne se composerait que de lambeaux d’œuvres très diverses, réunis ou
on devant un seul manuscrit, mais en face de 28 cahiers ou quaternes, composés , le premier de la table dressée par M. du Rieu, e
(Fol. xxii à xxix). Ici une explication est nécessaire. Ce quaterne, composé de huit feuillets, avait été intercalé dans le pr
cation de l’apocalypse, qui occupe deux quaternes. Le premier, qui se compose des feuillets lxiii à lxxi, est dans le format d’
xxiii a. — En tête de ce feuillet on lit : Prologus. Ce prologue se compose de dix vers ; à la suite vient l’ouvrage lui-même
terræ (fol. 50 a à 55 b). Le manuscrit, qui forme un volume in-4º, se compose de 57 feuillets anciens, dont plusieurs sont blan
copie ; ce qui est plus intéressant, c’est de savoir de quoi elle se compose . Malheureusement elle ne comprend que 17 fables,
s savent usuel dans tous les manuscrits très anciens. Le manuscrit se compose de 124 feuillets, dont le premier a été par une m
amen des fables, Tross observe qu’elles sont divisées en cinq livres, composés  : le premier d’un prologue et de 14 fables, le de
je vais à mon tour l’analyser. Les 123 feuillets numérotés dont il se compose sont précédés de deux autres. Le premier des deux
il est impossible de supposer raisonnablement qu’elles n’ont pas été composées par le même écrivain. M. Oesterley, publiant le m
l’Æsopus ad Rufum, la collection de Wissembourg n’a pu évidemment se composer de fables existant toutes également dans celle de
r élément d’appréciation, c’est que, quoique les Fabulæ antiquæ ne se composent que de fables dont la forme et le fond sont empru
e323. » Et plus loin M. Müller ajoute : « Quant à l’âge de celui qui composa l’Aesopus latin, sa suprême puérilité me semble i
ore supposer que l’Æsopus ad Rufum, source du Romulus primitif, a été composé au commencement du ixe  siècle, ou au plus tôt ve
ur un manuscrit antérieur, et il est au contraire supposable qu’il la composa avec l’aide d’un manuscrit de Phèdre, et dès lors
rivé, je vais ici dresser explicitement la liste de celles dont il se compose  : Romulus. Phèdre. I, 1. Le Coq et la Perle.
ière colonne. Au haut de la seconde commence un ouvrage qui a dû être composé à l’usage des écoliers ; car il porte ce titre :
e le texte de Romulus qu’il contient nous est parvenu tel qu’il a été composé à l’origine ; il en conclut que c’est bien un dér
ouvent de Saint-Bénigne le fameux manuscrit de Dijon. Ce manuscrit se composait , suivant lui, d’un cahier de parchemin in-folio,
était terminée. Le manuscrit forme un volume in-fol. de petit format, composé de 186 feuillets en papier et écrit tout entier d
texte du Romulus ordinaire. C’est un volume du petit format in-fol., composé de 167 feuillets : ceux portant les nos 1, 2, 129
la totalité des fables divisées en trois livres. Le premier livre se compose de 20 fables ; le second, de 27 sous 28 numéros,
illis Esopus narrat qui non intelligunt. Les deux premiers livres se composent de chacun vingt fables par suite du transfert du
dication de date, et sans pagination, signatures ni réclames. Elle se compose de 288 feuillets, répartis entre vingt-neuf cahie
des trois autres livres. En tête du second qui, comme le premier, se compose de vingt fables, est placée une table des matière
les fables elles-mêmes (fol. 105 a à 130 b). Enfin vient le livre IV, composé comme les trois premiers de vingt fables et précé
ivre I ne renferme pas la fable De Aquila et Vulpe et par suite ne se compose que de dix-neuf fables ; cette fable fait partie
es. En somme, les manuscrits, non comprise la dédicace de Romulus, se composent au total de quatre-vingt-deux fables et d’un épil
Volfenbüttel, et qui, avec la copie manuscrite de Gude, lui a servi à composer en 1806 son édition des fables de Romulus. Il a c
te E. 2. 326. Il ne comprend pas l’Hystoria Sigismunde. Il devrait se composer de 278 feuillets, et il n’en a que 270. Cela tien
r332, prétend même qu’elle est dépourvue de signatures. Enfin elle se compose de 129 feuillets, qui sont, comme ceux de l’éditi
au classement des feuillets de chaque cahier. Le dernier cahier étant composé de neuf feuillets, les cinq premiers sont excepti
d’imprimeur ; elle est ornée de nombreuses figures sur bois. Elle se compose de 16 cahiers signés, dont les signatures vont de
à q. Les cahiers portant les lettres a, c, e, g, i, l, n, p et q, se composent de 8 feuillets, et ceux portant les lettres b, d,
d prologue en vers élégiaques, qui se lie plus intimement à l’ouvrage composé tout entier dans le même rythme, qui est annoncé
le premier. C’est un petit in-folio du même format que le précédent, composé de 82 feuillets répartis entre 13 cahiers qui son
peu moins succincte. C’est un petit in-fº chiffré, signé de a à h et composé de huit cahiers dont les six premiers comprennent
res suivantes : a, b, c, d, e, f, g, h, i, k, m, n, o, p, q. Ils sont composés , les uns de huit feuillets et les autres de six f
qui a été jusque-là observée, le cahier q est numéroté de 1 à 4 et se compose de huit feuillets ; ce dernier cahier ne comprend
ère, elle est enjolivée de nombreuses gravures sur bois. Le volume se compose de 104 feuillets, dont voici maintenant le conten
ri quarti. Fol. 54 a. — Commencement du quatrième livre, qui ne se compose plus que des fables de Romulus surmontées chacune
e partie n’est pas paginée, mais porte des signatures de a à s, et se compose de cahiers alternants de six et de huit feuillets
seconde série de signatures de a à m, mises sur des cahiers qui sont composés de 6 et de 8 feuillets, à l’exception des deux de
nealogia deorum. Puis commence l’œuvre véritable de Brant : elle se compose de 140 fables, anecdotes, moralités ou récits, co
rant : elle se compose de 140 fables, anecdotes, moralités ou récits, composés toujours d’une première partie en vers élégiaques
mêmes gravures sur bois que l’édition originale. Les 167 feuillets se composent de 34 feuillets non numérotés, consacrés à la vie
D. Édition de 1483. L’édition de 1483 forme un volume in-folio composé de 169 feuillets, imprimé en caractères gothiques
. A. Édition de 1491345. La réimpression de 1494 forme un volume composé de 151 feuillets, imprimé en caractères gothiques
econde de a à l. Il se divise en deux parties. La première partie se compose de 114 feuillets, dont les six premiers ne porten
ut-|ter sitten : Zelamē | geordnet. La deuxième partie du volume se compose de 68 feuillets portant les numéros 111 à 178. Il
exemplaire auquel j’ai emprunté l’analyse qui va suivre. Le volume se compose de 72 feuillets non paginés, mais signés de a à f
e un volume in-4º imprimé en caractères gothiques à longues lignes et composé de 77 feuillets non chiffrés, mais signés de a à 
eux éditions de 1499 et de 1502. Elle forme un volume in-fol., qui se compose de 60 feuillets, imprimés en lettres gothiques, n
 7703. Elle forme un volume in-8º, imprimé en caractères gothiques et composé de 128 feuillets numérotés. Le fol. 1 a porte ce
and pleasant in wordes, after he | came to his speche. Le volume se compose de 151 feuillets numérotés, non compris le fronti
Londres et exécutée par le même imprimeur que la précédente. Elle se compose de 182 pages chiffrées, non compris un premier fe
e même imprimeur que les deux précédentes, une nouvelle réimpression, composée , comme celle de 1647, de 182 pages chiffrées, non
llyflower, | A. et J. Churchil, and J. Hindmarsh, 1692. Le volume se compose de 480 pages numérotées, précédées de 7 feuillets
ange a été faite, comme la première, dans le format in-fol. ; elle se compose de 476 pages chiffrées, que précèdent six feuille
ulement de signatures de a à r. Les signatures portent sur 17 cahiers composés chacun de six feuillets, sauf l’avant-dernier qui
du format in-12 allongé, consiste dans un petit volume signé, qui se compose de 211 feuillets chiffrés, suivis de 5 autres san
, imp. de la V. de Barco Lopez. Cette édition forme un volume in-8º, composé de xxiv-352 pages et orné de gravures362. C
us lui assigne la même date qu’au précédent. Le Speculum morale ne se compose que de trois livres qui contiennent des dissertat
r de ses enfants. C’est pour leur instruction que Vincent de Beauvais composa son œuvre qu’il adressa à leur mère, la reine Mar
e manuscrit 11412 est un volume in-quarto de très petit format. Il se compose de 160 feuillets en vélin, dont le dernier ne por
it 18600. Le manuscrit 18600 est un petit in-4º, relié en veau et composé de 45 feuillets en vélin. Il est dû à des mains d
vient de l’abbaye de Saint-Trond, forme deux volumes in-fol., qui se composent , le premier, de 286 feuillets, le second de 345,
primé en lettres rondes tirant sur le gothique. La première partie se compose des 18 premiers livres et occupe 318 feuillets. L
erment : le prologue et la table des chapitres. La deuxième partie se compose des livres XIX à XXXIII et occupe 327 feuillets.
deux premiers Speculum. Le tome I renferme les livres I à VIII. Il se compose de 155 feuillets, dont les deux premiers sont con
| historialis finit. Le tome II renferme les livres IX à XVI. Il se compose de 176 feuillets, dont les 3 premiers sont occupé
u dernier feuillet du tome II, la deuxième colonne du recto qui ne se compose que de 13 lignes, se termine par celle-ci : Expl
rialis vincētij. Le tome III renferme les livres XVII à XXIV. Il se compose de 175 feuillets. En tête il porte la table des c
catorum explicit. Le tome IV renferme les livres XXV à XXXII. Il se compose de 191 feuillets, et commence par la table des ma
orale, sans réclames, signatures, ni pagination. Le premier volume se compose de 168 feuillets ; le deuxième, de 204 ; le trois
um doctrinale en un volume in-folio, imprimé en caractères gothiques, composé de 255 feuillets signés et numérotés, et terminé
 1494, en un volume in-folio, encore imprimé en caractères gothiques, composé de 423 feuillets signés et numérotés, et terminé
histoire générale. Tome I, comprenant les huit premiers livres. Il se compose d’abord de dix feuillets préliminaires signés, ma
gneurs les presidens. Tome II, comprenant les livres IX à XV. Il se compose d’abord de 12 feuillets préliminaires signés, mai
commence le xvie. Tome III, comprenant les livres XVI à XXII. Il se compose d’abord de 12 feuillets préliminaires signés, mai
roer hystorial. Tome IV, comprenant les livres XXIII à XXVII. Il se compose d’abord de 10 feuillets préliminaires signés, mai
roir hystorial. Tome V, comprenant les livres XXVIII à XXXII. Il se compose d’abord de 8 feuillets préliminaires dont le prem
ome I, comprenant les huit premiers livres du Miroir historial. Il se compose d’abord de 8 feuillets signés, mais non chiffrés.
nt mirouer hystorial. Tome II, comprenant les livres IX à XV. Il se compose d’abord de 8 feuillets, dont le premier au recto
miroir hystorial. Tome III, comprenant les livres XVI à XXII. Il se compose d’abord de 6 feuillets signés, mais non numérotés
roir hystorial. Tome IV, comprenant les livres XXIII à XXVII. II se compose d’abord de 6 feuillets signés, mais non numérotés
r || hystorial. Tome V, comprenant les livres XXVIII à XXXII. Il se compose d’abord de 6 feuillets signés, mais non numérotés
aître vers 1480 deux éditions anglaises du Miroir historial. L’une se compose de cent feuillets sans lettres initiales. L’autre
par M. Henri O. Coxe. C’est un petit in-folio du xive  siècle, qui se compose de 241 feuillets en parchemin et dont l’écriture
ordinaire que celui d’Oxford est l’abrégé. J’ai dit que cet abrégé se composait de quarante-cinq fables. En voici la nomenclature
e connaître le contenu, donner la liste entière des fables dont il se compose , accompagnées de leur corrélation avec les collec
rd’hui à la bibliothèque royale de Munich. Il forme un volume in-fol. composé de 334 feuillets, dont l’écriture à longues ligne
s, les 47 dernières395. Je laisse de côté le second groupe uniquement composé de fables d’Eude de Cherrington. Dans la première
me sur ce point : « Sur les 116 morceaux (rangés sous 79 numéros) qui composent le Liber parabolarum d’Odon de Cerington, il n’y
i demande un os à son Maître. Les quarante-huit fables dont se compose cette liste offrent un intérêt spécial. D’abord,
e qu’au dire de certaines personnes un Grec d’Athènes, nommé Ésope, a composé un livre de fables et que, suivant les uns, l’emp
ant les autres, l’empereur Théodose à un certain Anglais a demandé de composer pour lui un livre à la fois utile et agréable. Ce
Théodose qui prie Romulus, orateur et philosophe de premier ordre, de composer pour lui un livre unissant le charme à l’utilité.
l’empereur Théodose, pour son amusement personnel, chargeant Ésope de composer des fables grecques, puis, bien longtemps après,
n donner ici la traduction : « Puisque vous me demandez si Romulus a composé les fables latines d’Ésope en prose ou en vers él
inventé. — Salon, poète de Parme, pendant qu’il étudiait à Athènes, a composé en vers ces mêmes fables, qu’il a traduites du gr
l’opinion de ceux qui reportaient à Salon de Parme l’honneur d’avoir composé les fables élégiaques n’était pas au moins en app
hèse sur une fable du Castor, qu’un certain Bernard de Chartres avait composée , dont Girald Barry407 avait reproduit deux vers,
pas déraisonnable de lui attribuer également les fables de l’Anonyme composées dans le même rythme. Mais cette opinion trouva p
s’agissait de Walther de Châtillon, auteur du xiie  siècle, qui avait composé le célèbre poème d’Alexandre le Grand. Mais, en
dition scolaire in-4º, sans date, ni lieu, ni nom d’imprimeur, qui se compose de 42 feuillets signés de a à c, et, sauf la vign
ulement comme un précepteur, mais encore comme un père. Walther avait composé pour lui un livre intitulé : Pro latinæ linguæ ex
arqué que l’épimythion de la seconde, quoique bien placé à la fin, se composait de quatre vers contrairement à l’usage de Walther
 : en effet, dans les fables xxi, xxviii, et xxxviii, l’épimythion se compose de quatre vers. Ils ont encore cherché à appuyer
n homme lettré, qui d’ailleurs n’a pas eu d’autres prétentions que de composer de simples exercices de prosodie latine, et qui p
into sæculo videtur exarata. Le manuscrit est du format in-4º. Il se compose de 134 feuillets, dont la première partie est en
scrit paraît être du xve  siècle. Il appartient au format in-4º et se compose de 234 feuillets en papier. Les fables commencent
lets sont en parchemin. L’écriture paraît être du xive  siècle. Il se compose de 125 feuillets. Les fables ésopiques commencent
épaisseur trop faible du volume : Esopiæ fabulæ cum scholiis. Il se compose de 27 feuillets en parchemin. L’écriture est la g
Le manuscrit 11344 forme un volume in-4º de très petit format. Il se compose de 81 feuillets en parchemin, dont l’écriture for
ment à l’ancien fonds, portait le nº 597, est un volume in-8º, qui se compose seulement de dix-neuf feuillets en parchemin, écr
les fonds latins, avait la cote Supp. l. 391, forme un volume in-8º, composé de 21 feuillets en parchemin, dont l’écriture est
du fonds latin sous la cote 1749. Il appartient au format in-4º et se compose de 177 feuillets en papier. Il est formé de la ré
ns les manuscrits du Romulus ordinaire et que chacun de ses livres se composait des mêmes fables, et fournissent un argument de p
. Il forme un vol. in-4º, dont les feuillets sont en parchemin. Il se compose de 115 feuillets numérotés, dont l’écriture gothi
men. C’est un volume in-4º, dont l’écriture est du xve  siècle. Il se compose de 38 feuillets anciens en parchemin, précédés d’
qui commence au fol. 35 b et se termine au fol. 36 a. Cet épilogue se compose seulement de 18 vers, comprenant les 16 premiers
riens s’esgaye Et que la terre de mainte couleur gaye..... Elle est composée de quatrains, dont chaque vers rime avec les troi
s de Coislin, léguée à cette abbaye en 1732. C’est un volume in-folio composé de 152 feuillets en parchemin, dont l’écriture, d
en vers français que les manuscrits 1594 et 1595. Cette traduction se compose de 39 fables précédées d’un prologue et suivies d
vies d’un épilogue. Le prologue, comme celui du manuscrit 1595, ne se compose que de 26 vers commençant par celui-ci : Ce liur
que cy vous recite. L’épilogue, comme celui du manuscrit 1595, ne se compose que de dix-huit vers dont les deux derniers sont
ctroya… Les fables d’Avianus sont précédées d’un prologue, qui ne se compose que des quatorze premiers vers de celui du manusc
écédées d’un prologue, qui, comme celui des mss. 1595 et 19123, ne se compose que de 26 vers. Elles sont en outre suivies d’un
les d’Avianus servent de base, sont précédées d’un prologue qui ne se compose que de dix vers, et d’un épilogue, qui, comme dan
nce que de la main qui l’a écrite et signée : « Le présent manuscrit, composé de 92 feuillets, y compris les blancs. Paris, le
nçais de Walther, ni avec celle de Marie de France. Ces fables, ainsi composées , commencent au fol. 75 a par ce titre général :
de Wolfenbüttel. » Réduit aux fables de Walther, le manuscrit 714 se compose de vingt feuillets en parchemin in-8º ou plutôt i
n. Baptistæ Boisot abbatis sancti Vincentii Vesontini. Le volume se compose de 168 feuillets, dont le dernier est collé sur l
allo et iaspide. Les douze vers latins, dont cette première fable se compose , se terminent au commencement du fol. 2 a. Fol. 2
n surmontée de ce titre : Dou poul et de la iaspe. La traduction se compose ensuite de trente-quatre vers, qu’à titre de spéc
Dou lou et de laignelat. Les soixante-dix vers dont la traduction se compose commencent par ce premier : Entre lo lou et laig
miniature et la traduction intitulée : Dou chien et de la burbiz et composée de quarante vers. Fol. 7 a, 7 b et 8 a. —  De Can
ion intitulée : Du chien qui porte la pece de char en son boiche et composée de cinquante-quatre vers. La même disposition se
ommence au fol. 85 b. Les quatre-vingt-douze vers latins dont elle se compose sont, comme toujours, suivis d’une miniature appr
thèque de Wolfenbüttel. A. Manuscrit 37.34 Aug. Ce manuscrit, composé de deux cents feuillets en papier, forme un volum
ion entre la vingt-deuxième et la vingt-troisième. La fable xlviii se compose de 36 vers. Indépendamment des deux distiques qui
nt après les deux que d’ordinaire elle précède. La fable xlviii ne se compose que des trente vers authentiques. La fable lx n’a
nc. C. Manuscrit 185 Helmst. Ce manuscrit, du format in-fº, est composé de 244 feuillets en papier dont l’écriture à deux
um et virtutum instructionem finaliter ordinate. La fable xlviii se compose de trente-cinq vers. Elle possède les deux distiq
e. D. Manuscrit 622 Helmst. Ce manuscrit, du format in-4º, se compose de 343 feuillets en papier dont l’écriture est du
tre particulier en marge, en face du premier vers. La fable xlviii se compose de trente-deux vers, dont les deux derniers, s’aj
   Femina ; nil fidei mens mulieris habet. Ainsi accrue, la fable se compose de trente-six vers. 5º Manuscrit de Haenel.
en a faite me permet d’en dire quelques mots. C’était un cahier in-4º composé de treize feuillets en parchemin. L’écriture étai
illet disparu. Les fables étaient précédées d’un ouvrage de grammaire composé en vers par le professeur Alexandre de la Ville-D
ables de Walther sont contenues dans ce manuscrit du format in-folio, composé de 373 feuillets en papier, dont l’écriture est d
intéressant que le précédent, forme un volume du petit format in-4º, composé de 108 feuillets en papier dont l’écriture est du
orme un volume in-4º, partie en parchemin et partie en papier, qui se compose de 229 feuillets écrits et de quatre blancs à la
ue par cette mention : Chiem. ep. 11. Il porte la date de 1449 et se compose de 272 feuillets. Du feuillet 257 b au feuillet 2
ine est indiquée au catalogue par cette mention : Ebersb. 141. Il se compose de 263 feuillets, dont les 47 premiers contiennen
rigine est indiquée au catalogue par cette mention : Ind. 280. Il se compose de 217 feuillets, et renferme, accompagnées d’un
rigine est indiquée au catalogue par cette mention : Em. B 42. Il se compose de 333 feuillets, dont les vingt-cinq premiers so
ine est indiquée au catalogue par cette mention : S. Nic. 213. Il se compose de 336 feuillets et renferme sept ouvrages, parmi
. N. Manuscrit 22404. Ce manuscrit est un in-4 du xve  siècle composé de 236 feuillets. Il renferme de nombreux ouvrage
Manuscrit B. Eg. 832. Le manuscrit B. Eg. 832 est un volume in-18, composé de 321 feuillets dont l’écriture est du xve  sièc
rtius. B. Manuscrit 15. A. XXVIII. Le manuscrit ainsi coté se compose de 16 feuillets en parchemin, dont l’écriture, du
pi. D. Manuscrit Add. 10088. Ce manuscrit est un grand in-4º, composé de dix-huit feuillets en parchemin. L’écriture, q
E. Manuscrit Add. 10089. Le manuscrit 10089 est un volume in-fol. composé de 69 feuillets en parchemin et écrit par une mai
uscrit Add. 10093. Le manuscrit 10093 forme un petit volume in-4º, composé de 65 feuillets en parchemin et écrit par une mai
qui ne le cède en rien au précédent. Les fables sont au nombre de 61, composées de 60 ordinaires, et d’une soixante et unième en
it à feuillets en parchemin que celui qui porte le nº 18107. Il ne se compose que de 18 feuillets, uniquement consacrés aux 62 
ction en vers français. L’épimythion des fables de Walther, qui ne se compose presque toujours que d’un simple distique élégiaq
ion : C’est la substance de ce romans. Puis vient un épilogue, qui, composé de 84 vers français, commence par les quatre suiv
mirablement conservé dans une superbe reliure en maroquin vert. Il se compose de 32 feuillets en parchemin portant une belle éc
e terminent au feuillet 136 b. Elles sont au nombre de soixante-deux, composées des soixante authentiques et des deux intitulées 
ns les Canonici latini porte le nº 128, est un volume in-4º qui ne se compose que de 20 feuillets, partie en parchemin et parti
dans le fonds Bodley portait le nº 2159, est un volume in-4º, qui se compose de 349 feuillets en papier et dont l’écriture est
manuscrit de Walther sous le nº CCLXIX. C’est un volume in-4º, qui se compose de 44 feuillets en parchemin et dont l’écriture e
t 1694. Ce manuscrit consiste dans un volume in-4º de grand format composé de 190 feuillets en parchemin, chiffrés par pages
rit, qui, à tort classé dans les in-folio, est du format in-4º, ne se compose que de vingt-quatre feuillets en parchemin, dont
’encre rouge. Le texte n’est accompagné d’aucune glose. Les fables se composent des soixante authentiques, et des deux complément
a été écrit sur parchemin par une main du xive  siècle. Quoiqu’il se compose de 201 feuillets, il ne présente que quelques cou
mo iiiio xxxii. D. Manuscrit 12881. Le manuscrit 12881 ne se compose que de deux feuillets en parchemin du format in-8
voir être attribués au même dessinateur. Le manuscrit de Bruxelles se compose de 134 feuillets. Dans ce nombre sont compris deu
Le manuscrit xviii. 191. C, dont l’écriture est du xve  siècle, se compose de 178 feuillets en papier et forme un volume du
llet. Le reste de la page est rempli par une fable en vers élégiaques composée seulement de quatorze vers. Je regrette de ne pou
le manuscrit palatin. C’est un de ceux dont Névelet s’est servi pour composer sa Mythologia Æsopica 448. Ayant formé le projet
volume in-4º qui figure sous le nº 1710 dans le fonds Palatin. Il se compose de 63 feuillets en parchemin qui renferment diver
fables de Walther est du xiiie  siècle. Le cahier qui les contient se compose de vingt feuillets. Le premier, qui est le douziè
rmat pourvu d’une reliure ancienne dont les plats sont en bois. Il se compose de 90 feuillets en papier dont l’écriture est du
us dans le manuscrit, en occupent les feuillets 73 a à 91 a. Elles se composent des soixante authentiques et des deux complémenta
fables sont annoncées par ce titre : Incipit liber exopi. Elles se composent des soixante ordinaires et des deux complémentair
enne. A. Manuscrit 350. Le manuscrit 350 est un volume in-4º, composé de 52 feuillets en parchemin dont l’écriture est
mpli. La fable xlviii, intitulée : De Viro defuncto et Uxore , ne se compose que des trente vers authentiques. B. Manuscrit
authentiques. B. Manuscrit 607. Le manuscrit 607, volume in-4º composé de deux cahiers en parchemin de huit feuillets ch
bles de Walther, auxquelles se rapportent les mots Æsopus, Fabulæ, se composent des soixante authentiques et des deux qui y sont
0. Œuvre d’un copiste italien du xive  siècle, le manuscrit 640 se compose de vingt-quatre feuillets en parchemin du format
les trente vers primitifs. E. Manuscrit 725. Le manuscrit 725, composé de 64 feuillets en parchemin du format in-4º, off
ncées par ces mots à l’encre rouge : Incipit liber Esopi. Elles se composent des soixante authentiques et des deux complémenta
plus artistique qu’il m’ait été donné de rencontrer. C’est un in-fol. composé seulement de dix-sept feuillets en parchemin, mai
s S. Salvatore. — Manuscrit 2795. Ce manuscrit est un volume in-4º composé de vingt feuillets en parchemin remplis par une g
troisième, seulement quatre. Il ne renferme que les fables de Walther composées des soixante authentiques, des deux qui en sont l
escia. Manuscrit A. VI. 16. Ce manuscrit, du format in-4º, se compose de vingt-six feuillets en parchemin, dont l’écrit
néral, mais pourvues de titres particuliers à l’encre rouge. Elles se composent des soixante authentiques et des deux additionnel
eux premiers feuillets. Elles sont au nombre de soixante et une et se composent des soixante authentiques et de la fable compléme
galement imprimée à Rome. Elle forme un volume du grand format in-4º, composé de vingt feuillets. Il porte au verso du premier
te cette mention est complétée par une épitaphe en l’honneur d’Ésope, composée de huit vers élégiaques surmontés de ce titre :
eregali octaua madij mo cccclxxxi. Elle est du format in-folio et se compose de 30 feuillets. La seconde est intitulée : Aeso
itué au nº 997, possèdent chacune un exemplaire de cette édition in-4 composée de 34 feuillets signés de A à E, ornée d’un doubl
te 139, possèdent chacune un exemplaire de cette édition in-4º qui se compose de 42 feuillets. —  Esopus moralisatus cum bono c
1. b., possèdent chacune un exemplaire de cette édition in-4º, qui se compose de 32 feuillets. — Édition classique in-4º des fa
de a à z, puis de deux signatures de fantaisie, enfin de A à L. Il se compose de trente-cinq cahiers de huit feuillets chacun e
t. Le volume qui est dans le format in-4 des éditions classiques, se compose de 38 feuillets. La bibliothèque impériale de Vie
ension habituelle, imprimé en caractères gothiques, signé de a à f et composé de six cahiers de six feuillets chacun, soit, au
e est formé de vingt-sept cahiers, et comme les vingt-six premiers se composent de huit feuillets et le vingt-septième de quatre,
B, possèdent des exemplaires de cette édition classique in-4º, qui se compose de 36 feuillets, imprimés en caractères gothiques
eur, qui, sans indication d’année, porte la date du 24 décembre et se compose de 37 feuillets457. 1497. Esopus morali
aractères gothiques sur deux colonnes, par cahiers signés de a à z et composés chacun de huit feuillets, à l’exception du dernie
n volume in-4º non chiffré, mais signé, dont les cahiers A, C, D sont composés de huit feuillets et tes cahiers B et E de six, s
ençant par ces mots : Græcia disciplinarum mater , etc. Le volume se compose de six cahiers signés de a à f, et comprenant, sa
Esopi || Thobiam. Cette édition est contenue dans un volume in-4º, composé de 92 feuillets et imprimé en caractères gothique
iens, non chiffré, mais signé de a à d. Les quatre cahiers dont il se compose comprenant chacun huit feuillets, il s’ensuit qu’
ement les fables de Walther et celles d’Avianus. Les premières qui se composent des soixante-deux le plus ordinairement publiées,
ns, non chiffrée, mais signée de a à h, dont les cahiers a, d et h se composent de huit feuillets chacun, et les cahiers b, c, e,
mento  ; tel est le titre d’une autre édition de la même année qui se compose de 30 feuillets, qui a été imprimée à Rouen pour
ose et qui ne sont précédées ni suivies d’aucune table. Les fables se composent des soixante-deux plus usuelles, suivies de celle
imprimée dans le format in-4º, non chiffrée, mais signée de a à g et composée de six cahiers de huit feuillets chacun et d’un s
dont les feuillets, non paginés, sont signés de A à Q. Le cahier A se compose de 6 feuillets, le cahier Q, de 10, et tous les a
e in-4º de très petite dimension, non chiffré, mais signé de A à R et composé de dix-sept cahiers de huit feuillets et par cons
as été faite à la préface. Les fables sont au nombre de soixante-six, composées des soixante ordinaires et de six autres intitulé
llets non chiffrés sont signés de a à f. Les cinq premiers cahiers se composent de huit feuillets et le sixième de six ; ce qui d
e forme un volume in-4º de grand format, imprimé sur deux colonnes et composé de 132 feuillets numérotés. Les fables de Walther
es lettres I et M. Édition in-8º, non chiffrée, mais signée de a à m, composée de 12 cahiers de 8 feuillets chacun, soit, en tou
nt analysées, non chiffrée, mais signée de A à D, dont les cahiers se composent de huit feuillets, à l’exception du dernier qui n
ion qui porte ce titre consiste dans un volume in-4º de petit format, composé de deux cahiers de 8 feuillets chacun, soit de se
lettres initiales. Les fables, étant au nombre de soixante-trois, se composent des soixante authentiques, des deux qui y sont le
imprimé en caractères gothiques, non chiffré, mais signé de a à e, et composé de cinq cahiers de huit feuillets chacun, soit en
de réclames et porte des signatures qui vont de a à e et par suite se compose de cinq cahiers ; chaque cahier comprenant huit f
sa Ionæ Rosæ. m.dc.x. Le volume que forme cette première édition se compose de 678 pages chiffrées précédées de seize non chi
iæ. || Apud Iacobum Turlinum. || Superiorum permissu. Édition in-12, composée de 167 pages chiffrées. Les pages 23 à 70 sont re
Nilantii. || Patavi, || Typis Seminarii. || MDCCCXIII. Le volume se compose de 296 pages. Il existe un exemplaire de cette éd
ginals || (sog. anonymus Neveleti.)  || Zum ersten mal. Le volume se compose de xliv-166 pages, non compris le feuillet consac
qui elle-même est passée dans la Laurentienne, forme un volume in-4º, composé de 64 feuillets en parchemin dont l’écriture ital
ture, due à une main italienne, est de la fin du xive  siècle. Il est composé de pièces diverses, dont la première, contenue da
est du xve  siècle, est un volume in-fol. de 277 millimètres sur 212, composé de 86 feuillets en papier chiffrés par une main a
. Ghivizzani ne mentionne pas, et qu’il ne paraît pas avoir connu, se compose de 68 feuillets en parchemin, dont l’écriture ita
nne. Manuscrit N. 133. Ce manuscrit, du format in-fol., n’est composé que de vingt-neuf feuillets en papier dont l’écri
portait la cote 1267, consiste dans un cahier in-fº de petit format, composé de soixante feuillets en papier dont l’écriture e
hèques italiennes, n’avait pu le connaître, est un petit volume in-4º composé de 98 feuillets chiffrés en parchemin dont l’écri
|| MDCCCXI. Cette édition, qui forme un volume in-8º de grand format composé de xx-196 pages, a été tirée du manuscrit Mocenig
 || di G. Antonelli ed. Le volume appartient au format in-16. Il se compose de xv-199 pages chiffrées. La version italienne d
o Romagnoli  || 1866. Édition en deux volumes in-8º de petit format, composés , le premier, de ccxvii pages, le second, de 288.
n 1479. Cette première édition forme un volume in-4º de petit format, composé de 120 feuillets non chiffrés, mais signés de a à
xante-quatrième, qu’ils ne renferment que très rarement. L’édition se compose même de 66 numéros ; mais cela tient à ce que le
st une édition de 1487 imprimée en caractères gothiques. Le volume se compose de 13 cahiers signés de a à n, et comprenant chac
ducteur, est un in-4º non chiffré, mais signé de a à i et, par suite, composé de neuf cahiers qui, étant formés de 8 feuillets
illets chacun, et, comme il y en a neuf, il s’ensuit que le volume se compose de 72 feuillets. Réimpression de l’édition de 149
xécutée en caractères italiens, non chiffrée, mais signée de a à i et composée de 9 cahiers dont les feuillets, à raison de 8 pa
signée de a à i, et par conséquent formée de neuf cahiers, qui, étant composés de huit feuillets chacun, en donnent au volume un
et les cahiers étant au nombre de cinq, il s’ensuit que le volume se compose de quatre-vingts feuillets. Il se termine par une
la finesse des gravures ornées d’encadrements pompéiens. Le volume se compose de 168 feuillets qui ne présentent ni réclames, n
ncadrements pompéiens. Signés de a à y, les cahiers dont le volume se compose sont au nombre de 22 formés de 8 feuillets, sauf
siste dans un petit volume in-4º, non chiffré, mais signé de A à E et composé de quarante feuillets. Le frontispice au recto du
961 de la Bibliothèque nationale. La collection qu’il renferme, ne se compose que de 28 fables, dans lesquelles la morale chrét
au xive  siècle, a été par M. L. Delisle reportée au xiiie et qui se compose de 293 feuillets en parchemin. Sur le recto du pr
ngleterre. Il y enseigna même les lettres, et il est probable qu’il y composa le poème intitulé : Laus sapientiae divinae. Il
endant plusieurs siècles, tout ce qu’on sut, c’était que Neckam avait composé sous le titre de Novus Aesopus un recueil d’apolo
’est pas douteux, c’est que sur les quarante-deux fables dont elle se compose , il y en a trente-sept dont le Romulus ordinaire
un petit volume in-12, dont l’écriture est du xive  siècle, et ne se compose aujourd’hui que de 19 feuillets, dont le premier
ne portent pas au catalogue le véritable nom de leur auteur, et que, composées en vers élégiaques, elles avaient pu, à première
Il porte la cote Vesp. M. B. xxiii, et forme un volume in-8º allongé, composé de 126 feuillets en parchemin. Il renferme les ou
ienne, et par suite plus voisine de l’époque où l’ouvrage latin a été composé . 1º Première traduction. L’auteur en est inc
en effet ce qu’on lit dans l’un des quatre sixains dont l’épilogue se compose  : Un clerc de grant science Et de grant sapience
qu’elle est surtout importante par le nombre des fables dont elle se compose . En comprenant quatre-vingt-une, elle possède tou
partiellement analysé, forme un volume in-8º de petit format ; il se compose de 166 feuillets en parchemin, dont l’écriture tr
ction II. Examen du Romulus de Florence. Le Romulus de Florence se compose des mêmes fables que le Romulus ordinaire. Sembla
avoir jeté un rapide coup d’œil sur chacun des manuscrits dont ils se composaient , il dressa la liste de ceux dont l’acquisition lu
probablement comme dans le Romulus primitif, divisées en trois livres composés , les deux premiers, chacun de vingt, et le troisi
ulus de Nilant n’était que la copie des Fabulæ antiquæ, il devrait se composer uniquement des mêmes fables. Or, si l’on compare
la Mouche. 66. 32. L’Aigle et le Milan. 67. Les deux collections, composées l’une de 50 fables, l’autre de 67, n’en ont donc
nt l’écriture sur parchemin est bien conservée et très lisible. Il se compose de 43 feuillets. Le premier et les deux derniers
remière, est placé à la fin de la précédente. Les 51 fables, dont se compose la collection, sont divisées en deux livres et co
du xiiie  siècle à deux colonnes, assez difficile à déchiffrer. Il se compose de 192 feuillets. La collection de fables qu’il c
au xiiie  siècle. Mais il ne faut pas oublier que sa traduction a été composée sur une première version en langue anglaise que p
i suit, on comprendra qu’il n’en est rien. Le Romulus de Nilant ne se compose au total que de 50 fables empruntées aux trois li
ns avoir au moins essayé de dresser la liste des fables dont il s’est composé . Combien en possédait-il ? Il est difficile de fa
ent, étaient un fragment du Romulus anglo-latin et que Marie avait dû composer sa version poétique sur un manuscrit à peu près c
e.     La traduction poétique de Marie comprend cent trois fables, composées en vers de huit syllabes, précédées d’un prologue
ition écrite dans le rythme octosyllabique que Marie avait adopté, et composée par quelque copiste lettré peu de temps après l’a
ois fables dont la liste précède, sont-elles les seules que Marie ait composées  ? Telle est maintenant la question à résoudre. Po
t, qui portait autrefois la cote 7534. 3. 3, forme un volume in-fol., composé de 210 feuillets en parchemin. Les écritures qui
par la copie que j’en ai donnée, l’épilogue qui suit les fables ne se compose que de vingt-deux vers. B. Manuscrit 1593.
t-troisième ; elle commence, au recto du feuillet 74, par le prologue composé de 40 vers. Ce prologue est suivi non pas, comme
mais de l’œuvre complète de Marie, qui, ainsi qu’on s’en souvient, se compose de 103 fables. Ces 103 fables sont closes par l’é
in-4º, dont l’écriture sur deux colonnes est du xiiie  siècle. Il se compose de 250 feuillets anciens, auxquels le relieur a a
 58. IV. Le liure nômé Secret des Secrets ou du Gouvernement des Roys composé par Aristote et mis en francois par Jofroy de Wat
43 vº. V. Le liure de Clergie ou l’Image du Monde. En uers. Page 144. Composé l’an 1245. VI. Le Sermon de la Croix, en Vers. Pa
sion en deux de la fable du Prêtre et du Loup, de sorte qu’elle ne se compose en réalité que de 103 fables, précédées des quara
actuelle, portait la cote 7791, est un volume in-4º de grand format, composé de 97 feuillets en parchemin, dont l’écriture sur
14971, qui a porté la cote 63228, forme un grand volume in-4º, qui se compose de 56 feuillets en parchemin et dont l’écriture s
s, mais sont précédées du prologue ordinaire et suivies de l’épilogue composé seulement de 22 vers. H. Manuscrit 24310. L
re-Dame, dans lequel il portait la cote 193. C’est un volume in-fol., composé de 118 feuillets en parchemin, dont l’écriture su
les termes suivants : 1º L’image du Monde par Gautier de Metz qui le composa en 1245. À la fin de cet ouvrage on voit que ce m
e, remplie à l’encre rouge par des traits de forme gothique. Il ne se compose que des 38 premiers vers ; les deux derniers font
qui a été également connu de M. de Roquefort, forme un volume in-4º, composé de 145 feuillets anciens en parchemin, que le rel
et auquel M. de Roquefort donne la cote M. 17, forme un volume in-4º, composé de 49 feuillets en parchemin, dont l’écriture sur
Vespasian B. XIV. Ce manuscrit forme un volume in-8º très allongé, composé de 114 feuillets en parchemin, dont l’écriture es
4333. Ce manuscrit forme un volume du petit format in-4º, qui est composé de 120 feuillets en parchemin, savoir : 117 écrit
scrit E.e.6.11. Ce manuscrit, qui est un in-4º de petit format, se compose de 83 feuillets en parchemin, dont l’écriture est
es qu’il contient d’ouvrages divers. Il forme un fort volume in-fol., composé de 385 feuillets anciens en papier, eux-mêmes pré
ge en chiffres romains dont il a été pourvu, on devrait dire qu’il se compose de 194 feuillets ; mais, les deux premiers n’étan
soutenir qu’elle a écrit un mensonge, on ne peut affirmer qu’elle l’a composée sur le texte latin ; car elle-même dans son épilo
e n’est pas davantage sur la traduction anglaise que ce dernier a été composé . J’aurais pu, à la rigueur, me dispenser de justi
plus grande s’explique aisément par ce fait qu’à l’époque où il a été composé le Romulus anglo-latin n’avait pas encore disparu
vec des titres spéciaux à chacune des quarante-cinq fables dont il se compose . Plus nombreuses que dans les autres manuscrits,
manuscrit, comme le précédent, est un volume in-fol. de petit format, composé de 194 feuillets en papier, dont l’écriture à deu
contenue dans un manuscrit in-4º du xive  siècle, coté 15. A. VII et composé de 84 feuillets en parchemin, qui portent sur deu
l ne faut pas ajouter foi à la déclaration de Marie qui affirme avoir composé sa traduction sur une première version anglaise,
pas hésité à affirmer que Marie de France et Gérard de Minden avaient composé leurs traductions sur le même texte latin. Marie
lle. Il est évident qu’elle n’aurait pas procédé ainsi, si elle avait composé sa traduction sur le Dérivé complet ; car alors,
sumé, voici ce qui s’est passé : le Romulus anglo-latin a d’abord été composé en Angleterre, et je crois pouvoir ajouter qu’il
ois pouvoir ajouter qu’il ne s’est pas propagé au dehors. Ce Romulus, composé en Angleterre, y fut traduit en langue anglaise,
correspondantes de ce Romulus, la nomenclature de celles dont elle se compose  : Dérivé hexamétrique. Romulus de Nilant.
intenant de déterminer approximativement l’époque à laquelle il a été composé . Il me paraît supposable qu’il a été écrit fort p
est utile forti. Ce vers doit être compris comme si les mots qui le composent se présentaient ainsi : Nec est utile misero part
ds Rawlinson et porte la cote B. N. Rawl. 111, forme un volume in-8º, composé de cinquante et un feuillets en parchemin, dont l
être classé dans le format in-36, et qui, relativement très gros, se compose de 277 feuillets en parchemin, couverts d’une écr
tous ceux qui l’ont connu. Le manuscrit forme un volume in-fol. et se compose de 269 feuillets, dont les uns sont en papier et
il renferme est le trois-cent vingt-huitième des opuscules dont il se compose , et sur le cahier où il figure il occupe les feui
aum Striederum, MDCCXXXXVII. (Cette dissertation forme un vol. in-12, composé de 176 pages, dont 166 pour la dissertation, et 1
ut pas le confondre avec son ami Jacob de Vérone pour lequel il avait composé dans sa jeunesse l’épitaphe suivante : Invida fa
tecteur des lettres, il les cultivait lui-même, écrivait des vers, et composait des chansons, qui furent, après sa mort, plusieur
s premiers érudits de son époque. Parmi les nombreux ouvrages qu’il a composés et qu’en général il a publiés dans sa ville natal
6 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XX. Testament expliqué par Esope. » p. 512
er une rente Dés le decés du mort courante. La chose ainsi reglée, on composa trois lots. En l’un les maisons de bouteille, Les
7 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXV. De la Nourrice, et du Loup. »
et non de vivacité. Les tettons mesmes, s’avalent par l’âge, et sont composez d’une chair mollasse et glandugineuse, prouvent i
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXI. De la Fourmy, et de la Cigale. »
bien le repos de son esprit : il s’occupa à de si hautes pensées, et composa des ouvrages si Divins, qu’on luy donna depuis à
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVII. Du Tygre, et du Renard. »
tuellement battu les armées du grand Seigneur, dont la moindre estoit composée de trente mille Soldats, et quelques-unes alloien
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « AU LECTEUR. Sur le sujet des Fables. »
a Nature ; et celle de ce bas monde, qui est tres-estroicte, bien que composée de diverses Creatures, entre lesquelles il y a de
11 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
des autres Creatures, puis qu’il n’y a rien dans le monde qui ne soit composé de genre, et de difference. Cela estant plus clai
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