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1 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
ives, devaient aussi trouver leur place dans un travail véritablement complet . Amené ainsi à porter mon attention non seulement
phes. Qu’on ne croie pas pourtant qu’il en soit résulté entre eux une complète harmonie. Sur la vie de l’auteur, comme sur ses œ
in et caractère de l’homme. Une biographie de Phèdre ne serait pas complète , si elle n’était pas accompagnée d’une esquisse r
 xxv de la première partie du livre IV et v de l’appendice. Ce défaut complet d’originalité dans la pensée est reconnu par lui-
ossières avaient survécu, l’œuvre originale était tombée dans le plus complet oubli ; personne ne savait ce que Phèdre avait éc
e procureur général. Il comprit sa tâche, et travailla avec un succès complet à l’œuvre de conciliation qui lui avait été confi
ts, qui l’avaient étudié, n’en eussent pas donné une description plus complète et plus exacte. L’article, dans lequel Schwabe ex
qui vient dans le manuscrit après les fables de Phèdre, semble assez complet . Il commence ainsi : « “Primo namque de his ad or
anuscrit. » Cette citation me semble suffisante pour donner une idée complète du manuscrit, et je n’y ajouterais rien, si je n’
immorales. Dom Vincent n’en avait pas moins voulu que son travail fût complet  : pour faire exactement connaître les variantes d
rnier s’éloignait de celui de Pithou. Pour parvenir à une restitution complète , il faut nécessairement recourir à d’autres docum
que le public soit bien fixé sur les faits, il en entreprend le récit complet . Il raconte que c’est au mois d’avril 1808, que l
qui était restée si longtemps cachée. Mais personne, après la lecture complète du livre, ne douta plus qu’il n’appartînt à l’épo
rd’hui d’intérêt scientifique, je m’abstiendrai d’en donner l’analyse complète et je me bornerai à indiquer les principaux. Le p
re ; mais il en serait plus sûr, dit-il, s’il découvrait un manuscrit complet de Phèdre, où se trouveraient ces fables. Attendo
l formule montre qu’il n’a pas même eu connaissance de la publication complète qu’au mois de février 1811, Jannelli a faite de c
de précieux arguments ; en effet, ils dénotent une ignorance presque complète de la composition du vers ïambique. J’ai déjà rep
ione ad Pomponium. Pour donner à son extrait l’apparence d’une œuvre complète , spécialement faite pour Pomponius, il a été obli
eviens. Le livre II est d’une brièveté qui ne permet pas de le croire complet . Si même on s’en tenait purement et simplement au
elle de la collection Lemaire ont essayé d’en donner une nomenclature complète , arrêtée par l’un à l’année 1806 et poussée par l
es et demie. 1813.     Traduction en vers français des fables complètes de Phèdre, et des trente-deux nouvelles fables pu
e. Avignon, J.-A. Joly. In-18 de 5 feuilles. 1822.     Fables complètes de Phèdre affranchi d’Auguste, traduites par Augu
Paris, Igonette (1843). In-18 de 5 feuilles. 1839.     Œuvres complètes d’Horace, de Juvénal, de Perse, de Sulpicia, de T
renferment. Prolégomènes. Une étude sur Phèdre ne serait pas complète , si l’on s’en tenait à son œuvre et si l’on négli
s conclure que, si la découverte, au lieu d’être partielle, avait été complète , on retrouverait aujourd’hui dans les fables de P
’a pas non plus dédaigné de se faire simple copiste. Le manuscrit est complet et en bon état ; mais l’écriture n’en est pas par
e legis diversaque verbula ca[r]pis. Cette seconde copie, qui paraît complète et qui semble être de la main d’Adémar, occupe to
ue M. Robert de Lasteyrie, qui a fait du manuscrit de Leyde une étude complète , ne l’eût pas publiée. Si actuellement elle n’a p
te la cote 12 305 e 296. Comme la lettre de Tross est l’étude la plus complète qui ait été faite du manuscrit de Wissembourg, et
e aux derniers opuscules du manuscrit, il prétend qu’il jette un jour complet sur la question du feuillet arraché de celui de P
urrais pas trouver dans quelque autre ouvrage des renseignements plus complets . Je me rappelai que, quoique je ne lui eusse pas
portante sera étudiée dans cet ouvrage sous la dénomination de Dérivé complet . En tête de ce Dérivé figure un prologue dans leq
avouer que l’identité entre les deux textes n’est pas toujours aussi complète que dans les exemples que je viens d’exhiber. Cel
démontré, il y a, sinon identité absolue, au moins conformité presque complète entre le texte de Wissembourg et celui du Romulus
contient les fables du Romulus ordinaire ; elles s’y trouvent bien au complet et elles seraient dans le même ordre que dans les
marque seulement la révélation relative à l’existence d’un exemplaire complet , qui était, en 1814, la propriété de Georges John
tantôt précédées et tantôt suivies de leurs gravures. Le désordre est complet  : ainsi la gravure de la fable iv est au milieu d
péciale, porte le nº xvi. Malgré cette similitude, rendue encore plus complète par l’ignorance ou l’incurie des imprimeurs, on n
bliothèque de l’Arsenal, sous la cote 12708, un magnifique exemplaire complet , à pleines marges, dont la reliure porte sur les
on des fables de Phèdre, tira le Romulus ordinaire de l’oubli presque complet dans lequel la découverte de Gude ne l’avait poin
fables d’Avianus. » Fol. 137 (100). —  Gesamlet fabeln , ou « Fables complètes  ». Fol. 165 (128) a. —  Hyenach volget daӡ Regist
emblable dans sa partie supérieure à ceux des éditions précédentes se complète ainsi : The eighth Edition corrected. | London :
prologue. La traduction que cette édition renferme a le mérite d’être complète . Rien de ce qui existe dans l’édition de Zeiner n
ire des extraits. Mais la Bibliothèque nationale possède 2 manuscrits complets du Miroir doctrinal, dans lesquels se trouve le R
Miroir historial. Les fables qui commencent au fol. xcvij rº, sont au complet . Elles sont précédées de ce titre à l’encre rouge
Dérivé partiel du Romulus anglo-latin et à la cinquantième du Dérivé complet de ce Romulus, et la fable xxxi a sa correspondan
fables xxi du Dérivé partiel du Romulus anglo-latin et lix du Dérivé complet de ce Romulus. Enfin les fables xxxviii et xxxix
les fables dont les sujets se retrouvent dans les Dérivés partiel et complet du Romulus anglo-latin, ont été empruntées à l’un
et abrégé présente en même temps d’évidentes affinités avec le dérivé complet du Romulus anglo-latin, avec le Romulus de Munich
avec leurs principales sources : Romulus ordinaire.   Dérivé complet du Romulus anglo-latin. Eude 399.     Romul
ans ma Dissertation sur Romulus, c’est-à-dire de la Préface du Dérivé complet du Romulus anglo-latin. De ce début il résulterai
admis, et ce qui ne pouvait être controversé, c’est que la collection complète en comprend au moins soixante. En voici, suivant
es les 60 premières y figurent ; encore la soixantième n’est-elle pas complète . Elle s’arrête à ce vers : Surgo, surge, miser :
bles sont suivies de trois ouvrages poétiques, dont le premier paraît complet , à en juger par ces mots qui le terminent : Expl
ques sont le seul ouvrage qu’il renferme ; mais elles sont plus qu’au complet , c’est-à-dire qu’elles sont au nombre de 62. Elle
Si entre ce manuscrit et la copie de Rigault il n’y a pas conformité complète , cela tient sans doute à ce que Rigault aura cru
n des 5 fables étrangères à Walther, je vais faire connaître la liste complète de celles que le manuscrit contient dans sa premi
te latin et la traduction en vers français. Mais elle est loin d’être complète . Elle ne contient que 19 fables. Comme dans la pr
a été atteint ne fit des progrès de nature à en amener la destruction complète , M. Robert voulut en conserver les miniatures et
. Par malheur, son entreprise n’a pas été couronnée d’un succès aussi complet qu’il semble le croire. Les miniatures de son liv
celui de la ville de Douai serait à la fois le plus ancien et le plus complet . Cependant il doit en exister un troisième ; celu
érudit de l’Université de Bautzen, voulant publier une édition aussi complète que possible des fables de Phèdre, et ayant lu da
lui à profit dans une nouvelle édition des fables de Phèdre, la plus complète que l’on ait publiée jusqu’ici et dans laquelle i
d’un autre cahier, deux autres feuillets, qui, si le manuscrit était complet , seraient les lxxe et lxxie . Cette lacune est d
e. Sa publication me dispense de donner du manuscrit une analyse plus complète . 7º Manuscrit de Carpentras. Le manuscrit d
ut diligentius liber suus raperetur. » L’œuvre de Walther n’est pas complète . Le copiste n’a transcrit que les 55 premières fa
d intérêt ; car, n’ayant pas été altéré par l’humidité, son texte est complet et permet de combler les lacunes de l’autre. Form
s que j’ai déjà transcrits dans mon analyse du manuscrit 1594. Il est complet et contient le vers, que, dans ce dernier manuscr
iculiers et ne sont accompagnées d’aucune glose. Elles ne sont pas au complet  : après celle de l’Épervier et du Rossignol qui e
tre manuscrits des fables de Walther ; encore deux seulement sont-ils complets . Ils appartiennent à la bibliothèque impériale de
fragment d’un manuscrit du xive  siècle, qui contenait la collection complète des fables de Walther et dont il n’est resté qu’u
ue ces fables présentent font regretter que la collection ne soit pas complète . § 6. — Belgique. Bibliothèque royale d
tie des quarante et une premières fables. Car l’ouvrage précédent est complet , et les deux feuillets perdus ne pouvaient s’y ra
 : Hæc mouet, ut fiat esca Leonis Equus. Celles qui la suivent sont complètes . Ces 19 fables occupent 12 feuillets. La dernièr
ement du commentaire était la copie littérale de la préface du Dérivé complet du Romulus anglo-latin dont on trouvera le texte
ste à la bibliothèque du palais Brera sous la cote AM. X. 7. S’il est complet , l’édition n’a pas de frontispice et ne porte pas
vec raison de la trouver si longue, et cependant elle est loin d’être complète  ; en effet, ne pouvant déterminer avec certitude
ous de ce titre, dans un encadrement xylographique, le frontispice se complète ainsi : Avtores. || Poete morales octo cum Appen
lupart des petites éditions d’écolier, la copie du prologue du dérivé complet du Romulus anglo-latin. Fol. 2 a (a iiª) à 43 b (
nt ces mots : Il piu bel fior ne coglie. Plus bas le frontispice se complète ainsi : Firenze || nella stamperia del Giglio ||
ale, qui en signale cinquante-cinq, ne prétend pas en donner la liste complète  ; en effet, elle ne comprend ni celui qui est int
de la Bibliothèque nationale, en publia, en 1854, la première édition complète . Elle renferme quarante-deux fables ; en voici la
nchait les deux distiques de Walther, le dialogue restait encore très complet , de sorte qu’il est immédiatement devenu certain
Phèdre ; peut-être Neckam en a-t-il trouvé le sujet dans un manuscrit complet de cet auteur. C’est là une hypothèse qui n’est p
inent au fol. 118 b. Il y en a quarante-deux ; la collection est donc complète . Elle est précédée de ce titre : Hic incipit Eso
tous les trois le même rang, en faire trois exemplaires plus ou moins complets et exacts de la même œuvre, et, à raison des deux
qui avaient sur celui de Leyde l’avantage d’être plus anciens et plus complets , de sorte que dans la publication que je fais à m
la Bibliothèque nationale étant à la fois un peu plus ancien et aussi complet que le plus ancien et le plus complet des deux au
ois un peu plus ancien et aussi complet que le plus ancien et le plus complet des deux autres, c’est celui dont je dois donner
souscription : Explicit liber Esopi. Le manuscrit de Leyde, moins complet que les deux autres, ne possède que 45 fables, et
estion aux pages 294 et 478 et à laquelle j’ai donné le nom de Dérivé complet , le roi ne serait plus l’auteur de la traduction 
intitulée : La Statue d’Esope , a été également omise dans le Dérivé complet , cette fable n’en est pas une et n’est qu’une piè
rie avait dû composer sa version poétique sur un manuscrit à peu près complet de la traduction anglaise. Or, comme sa version n
bles. Je me suis demandé s’il n’existait pas d’autres manuscrits plus complets contenant la même collection, et mes recherches m
arie de France. Une étude sur le Romulus anglo-latin ne serait pas complète , si elle n’était pas au moins suivie d’un coup d’
e défaut d’espace, je n’entreprendrais pas ici d’écrire la biographie complète de Marie : je ne voudrais pas m’exposer à refaire
numéro de la fable latine correspondante dans les Dérivés partiel et complet du Romulus anglo-latin. Traduction de Marie.
mulus anglo-latin. Traduction de Marie. Dérivé partiel. Dérivé complet . 1. Le Coq et la Perle. 1. 2. Le Loup et l’
éalité il n’en existe que 99, dont aucune ne porte de titre ; l’œuvre complète en comprenant 103, il en manque 4, qui sont celle
a pas étudié le manuscrit525, de 88 fables seulement, mais de l’œuvre complète de Marie, qui, ainsi qu’on s’en souvient, se comp
aires. Che sont les || fables de plusieurs bestes. La collection est complète  ; elle comprend même 104 numéros ; mais cela tien
s de fables ; car il en a 104, tandis que, parmi les autres, les plus complets , sous un nombre égal de numéros, n’en possèdent e
ue suivent les mots : « Avril 1862531 ». Les fables de Marie qui sont complètes et qui même, à cause de la division en deux de la
ues chacune d’un titre spécial formulé en latin. Elles ne sont pas au complet et sont seulement au nombre de 67, de sorte qu’il
du prologue. Elles sont au nombre de 88, d’où il suit que, pour être complète , la collection devait en posséder 15 de plus. Les
e le Dérivé partiel n’est pas un simple fragment d’une imitation plus complète . Ce qui me paraît fortifier cette supposition, c’
e fait que, comme dans la traduction de Marie et comme dans le Dérivé complet , l’Abeille a été substituée à la Fourmi. Mais est
açon de résoudre la question, c’est de voir lequel du texte du Dérivé complet et du texte du Romulus Roberti se rapproche le pl
es trois textes : Romulus primitif : In capite regis sedeo. Dérivé complet  : Juxta regem sedeo, vel, si magis voluero, super
omulus Roberti est donc plus voisin du Romulus primitif que le Dérivé complet qui dès lors ne peut lui avoir donné naissance. J
fenestra rapuisse fertur et cum eo conscendit altam arborem. Dérivé complet  : Corvus perfidie pinguem caseum in villa furatus
oduire les expressions du Romulus de Nilant abandonnées par le Dérivé complet . Il n’est donc pas douteux que c’est, non pas de
Romulus Roberti, des expressions qui lui sont communes avec le Dérivé complet et qui ne se trouvent pas dans le Romulus de Nila
empruntés au Romulus primitif, tandis que les deux Dérivés partiel et complet portent les mots in quercu resedit étrangers à ce
les mots in quercu resedit étrangers à ce Romulus. Si, dans le Dérivé complet et dans le Romulus Roberti se rencontrent des exp
escendue et s’est interposée entre lui et les deux Dérivés partiel et complet . D’où il suit enfin que, loin d’avoir donné le jo
nt et du Singe. La comparaison des textes des deux Dérivés partiel et complet va encore nous montrer qu’ils ne peuvent être iss
Simii ; sed pro fide datâ et verecundia facere non ausus sum. Dérivé complet  : Tum confessus est desiderium se habere comedend
usjurandum. Comme dans le Romulus de Nilant, le Loup, dans le Dérivé complet , dit qu’il n’oserait pas violer son serment. Le v
m cibum mihi », dit celui-là. Or, ces mots ne sont pas dans le Dérivé complet . De ce double rapprochement ne doit-on pas conclu
le, il y a des expressions, qui, communes aux deux Dérivés partiel et complet , n’appartiennent pas au Romulus de Nilant, qu’ils
mulus anglo-latin. Il y a même ici, entre les deux Dérivés partiel et complet , quelque chose de plus probant qu’une simple iden
obert s’est tenu plus près du Romulus anglo-latin que celui du Dérivé complet . Ainsi, comme la version de Marie, le texte du Ro
en scène un Chevreuil et les Barons du roi des animaux que le Dérivé complet ne fait pas intervenir. En ce qui touche les quin
us de texte latin qui permette de savoir si elles sont nées du Dérivé complet ou si au contraire ce dernier en est issu, ou si
-à-dire pour la fable du Bœuf et du Loup. Dans cette fable, le Dérivé complet place en présence l’un de l’autre un Loup et une
ue non seulement le Romulus Roberti n’est pas une imitation du Dérivé complet , mais qu’il est même plus conforme que lui au Rom
anglo-latin dont elles s’étaient moins écartées que celles du Dérivé complet . J’ajoute, en terminant, qu’on doit maintenant s’
à une besogne superflue que je me serai adonné. Section V. Dérivé complet du Romulus anglo-latin. § 1. — Examen du Dér
. Dérivé complet du Romulus anglo-latin. § 1. — Examen du Dérivé complet .     Le dérivé latin, auquel maintenant je pas
ndiquera leur corrélation avec celles du Romulus primitif : Dérivé complet . Romulus primitif. 1. Le Coq et la Perle. I,
songé à les faire paraître. Seulement, au lieu d’en faire une édition complète , il crut devoir ne publier, à la suite du Romulus
s rapiens adsportavit, et ad nemus veniens in quercu resedit. Dérivé complet du Romulus anglo-latin. Corvus perfidie pinguem c
omparabilis ulla avis, si vocis venustas responderet corpori. Dérivé complet du Romulus anglo-latin. In tota vita mea non vidi
autre opinion que M. Gaston Paris a formulée sur l’origine du Dérivé complet et qui est en contradiction flagrante avec les te
mulus est lui-même issu du Romulus de Nilant, ce dernier et le Dérivé complet seraient à plus forte raison dissemblables. Or, c
ibus facere valet, et tamen alios inanibus verbis comminatur. Dérivé complet . Hæc fabula monet illos derideri, qui, cum viribu
tion intermédiaire entre celui du Romulus primitif et celui du Dérivé complet . Je vais le démontrer par quelques citations :
tur : Si te non nossem quis esses, posset me terrere vox tua. Dérivé complet . Veni mecum in proximum montem, et ostendam tibi
ne part se rapprocher du Romulus primitif beaucoup plus que le Dérivé complet , et d’autre part offrir des expressions qui, étra
En résumé, deux choses sont bien démontrées, à savoir : que le Dérivé complet ne doit pas être confondu avec le Romulus anglo-l
peut-être pas bien nécessaire, établi qu’il n’était pas né du Dérivé complet , mais encore j’ai, ce qui était peut-être moins é
. Allant maintenant plus loin, je crois pouvoir ajouter que le Dérivé complet , quoique moins conforme au Romulus anglo-latin, n
ut porter à croire que le Romulus Roberti est le frère aîné du Dérivé complet , c’est que, comme on l’a vu, son texte est moins
dis que, dans la fable du Lion malade, telle que la possède le Dérivé complet , le Loup et le Renard sont appelés Lupus et Vulpe
es ont au contraire été maintenues543. § 2. — Manuscrits du Dérivé complet .     Les seuls manuscrits du Dérivé complet qu
— Manuscrits du Dérivé complet.     Les seuls manuscrits du Dérivé complet que j’aie pu découvrir sont les sept suivants : 1
e que c’est le plus ancien, ensuite parce que la collection du Dérivé complet du Romulus anglo-latin s’y trouve entière. Il for
assimilatur Soli et Lune et stellis. Item quedam miracula. Le Dérivé complet , qui esi le premier ouvrage contenu dans le manus
Les fables sont au nombre de 136, c’est-à-dire que la collection est complète . Chaque fable est surmontée d’un titre écrit à l’
plus mal enluminé par le copiste. À la suite des 136 fables du Dérivé complet vient sans interruption la version en prose latin
pum Tusculanum. 6º [Sermo.] 7º Clemens quintus. Les fables du Dérivé complet occupent les cinquante-quatre premiers feuillets.
érivées d’Avianus ont été placées avant les trois dernières du Dérivé complet . Pour quiconque a pu les voir, les deux manuscrit
vés. Ils étaient morts et avaient laissé la bibliothèque dans le plus complet désarroi. Leur successeur a, pour me le communiqu
ie du manuscrit est occupée par deux collections de fables, le Dérivé complet du Romulus anglo-latin et le Dérivé d’Avianus en
moitié du xve  siècle. Il renferme, entre autres ouvrages, le Dérivé complet du Romulus anglo-latin, qui s’étend du feuillet 3
l. et qui est suivi d’une version en prose des fables d’Avianus aussi complète que celle du manuscrit précédent. Le feuillet 36
nt occupés tout entiers par deux tables des matières, celle du Dérivé complet et celle des fables en prose tirées d’Avianus. La
37 b et qui sont seulement au nombre de 134. La collection, pour être complète , devrait en posséder deux de plus, celles qui, da
i, à la Bibliothèque de l’Université de Göttingen, renferme le Dérivé complet du Romulus anglo-latin ; il se trouve également d
qui, dans les manuscrits, viennent ordinairement à la suite du Dérivé complet du Romulus anglo-latin, enfin du feuillet 127 b a
0, le mot perfidie a disparu. Malheureusement la collection n’est pas complète . Jusqu’à la soixantième fable le copiste a respec
itre général : Psalterium cum glosis et tractatus varii. Le Dérivé complet du Romulus anglo-latin qu’il contient commence à
is la publication de ma première édition je me suis procuré une copie complète du texte contenu dans le manuscrit 215 de la Bibl
hèque du British Museum. Au British Museum la collection du Dérivé complet du Romulus anglo-latin est contenue dans un manus
 A. VII sont les mêmes que les quarante-neuf premières des manuscrits complets du Dérivé. Il en est autrement des sept dernières
elles en diffèrent. En voici les titres : Ms. 15. A. VII. Dérivé complet . Romulus primitif. 50. La Femme et sa Poule.
texte, qui, malgré la similitude des sujets, n’est ni celui du Dérivé complet , ni celui du Romulus primitif, mais qui paraît is
ans le second volume de cet ouvrage. § 3. — Traductions du Dérivé complet . 1º Traduction de Gérard de Minden. Il y
pourrais rappeler que, la même collection de fables se trouvant plus complète dans plusieurs autres manuscrits que j’ai analysé
bles, c’est-à-dire un nombre sensiblement inférieur à celui du Dérivé complet , et que par suite ce Dérivé contenait bien des fa
omulus anglo-latin et qui au contraire appartiennent toutes au Dérivé complet . En voici la liste : Gérard de Minden. Déri
au Dérivé complet. En voici la liste : Gérard de Minden. Dérivé complet . 1. Le Lion et le Berger. 23. 25. 2. Le Chev
a collection latine, à laquelle j’ai donné la qualification de Dérivé complet , et sur ce point je suis d’accord avec M. H. Oest
pas procédé ainsi, si elle avait composé sa traduction sur le Dérivé complet  ; car alors, trouvant dans le prologue de ce Déri
le aurait fait comme le poète allemand, qui, voyant en tête du Dérivé complet le prologue qui le précède, l’a littéralement tra
cède, l’a littéralement traduit. En effet, dans le prologue du Dérivé complet on lit : « Liber… iste primo grece conscriptus es
été imité, et, tandis qu’il restait oublié en Angleterre, son Dérivé complet accueilli avec plus de faveur s’est répandu hors
Toutes ces dernières sans exception se rapportent à celles du Dérivé complet  ; il y en a même deux qui sont la traduction de l
ues, il est vraisemblable qu’elles étaient également tirées du Dérivé complet , et, comme, ainsi qu’on s’en souvient, il compren
aient pas plus de treize, qui auraient été les suivantes : Dérivé complet . 1. La Vache, la Chèvre, le Bélier et le Lion.
rectement sans doute, mais avec facilité, de quelles fables du Dérivé complet celles du poète allemand sont la traduction.
e fable étrangère au Romulus de Nilant, pour que la démonstration fût complète . Mais, pour la rendre plus irréfutable, je vais s
e la fable De Leone regnante, qui, commençant par le vers précité, se complète par le suivant : Ut nostræ nullum gentis post læ
mmédiatement fournie, avant tout examen comparatif des textes, par la complète concordance que l’ordre des fables présente dans
duction de Marie, et par la fable 121 De Lupo et Nauta dans le Dérivé complet du Romulus anglo-latin d’où l’une et l’autre ont
e ne connais que deux manuscrits contenant les fables rimées. Le plus complet appartient à la bibliothèque du British Museum, o
 fables et l’autre 34. Quoique je ne connaisse aucun autre exemplaire complet de la même œuvre, il me paraît très certain que l
s, est du xvie  siècle. Il ne renferme qu’un extrait de la collection complète des fables rythmiques. Cet extrait, qui s’étend d
on I. Examen du Romulus de Berne. Le Romulus de Berne est le moins complet des dérivés du Romulus primitif. Il ne comprend e
i, MDCCCVI, 2 vol. in-8°. (Voyez t. II, p. 152, note 24.) 3. Œuvres complètes d’Horace, de Juvénal, de Perse, de Sulpicien, de
Macedonia] Musarum parens domusque Pieria. »  Pomponius Mela, œuvres complètes , avec la traduction en français, publiées sous la
Maï. Romæ, 1831, in-8º. (Voyez la note de la page 308.) 130. Œuvres complètes d’Horace, de Juvénal, de Perse, de Sulpicia, de T
) 172. Voyez page 106. 173. Traduction en vers français des fables complètes de Phèdre. Paris, 1813, in-8º. (Voyez page 295.)
237. Ienaische Litt. Z. Intelligenzblatt, 30 mai 1812. 238. Œuvres complètes d’Horace, de Juvénal, de Perse, de Sulpicien, de
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