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1 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVIII. Des Taureaux, et du Lion. »
es Taureaux, et du Lion. Quatre Taureaux firent une ligue pour leur commune conservation, et resolurent entr’eux de ne s’aban
e moyen de leur bonne intelligence, elle contient une Allegorie assez commune , et que nous avons des-ja veuë plusieurs fois dan
2 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — En quel temps Esope composa ses Fables. Chapitre XXV. »
des jeux solemnels, et des danses publiques, pour une marque de leur commune allegresse. Il leut devant eux les lettres du Roy
s de sa Cour. Les Roys avoient en ce temps-là paix ensemble, et en ce commun repos ils se visitoient souvent par lettres, s’en
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — II. Les Membres et l’Estomach. » p. 130
virent
 Que celuy qu’ils croyoient oisif et paresseux,
 A l’interest commun contribuoit plus qu’eux. 
Cecy peut s’appliquer à
es,
 Entretient seule tout l’Estat.
 Menenius le sceut bien dire.
 La Commune s’alloit separer du senat. Les mécontens disoient
4 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVII. Parole de Socrate. » p. 500
maison. Chacun se dit ami ; mais fol qui s’y repose ; Rien n’est plus commun que ce nom, Rien n’est plus rare que la chose.
5 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIII. Du Lion, et de la Chévre. »
apprend encore à nous défier des ennemis découverts, qui ont cela de commun avecque les Voluptez de nous attirer puissamment,
re soupçon. Aussi est-ce pour cela qu’on a fait passer pour maxime ce commun dire ; Que la Défiance est mere de la Seureté.  
6 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XII. Le Soleil et les Grenoüilles. » p. 314
eut dessein autrefois De songer à l’Hymenée. Aussi-tost on ouït d’une commune voix Se plaindre de leur destinée Les Citoyennes
7 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — VI. La Genisse, la Chevre et la Brebis en societé avec le Lion. » p. 339149
du voisinage,
 Firent societé, dit-on, au temps jadis,
 Et mirent en commun le gain et le dommage.
 Dans les lacqs de la Chev
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVI. De la Tortuë, et de l’Aigle. »
condition, que contre les autres, d’autant que c’est un effect moins commun , et qu’ayant eu plus d’égaux en leur premiere bas
e de leur achoppement, elle leur est, sans comparaison, beaucoup plus commune qu’aux hommes de condition, veu qu’il est presque
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE III. Du Rat, et de la Grenoüille. »
es à se deschirer en pieces, qu’à se guarantir courageusement de leur commun ennemy. Ce fut ainsi qu’en usa le Milan d’Esope,
un frere divisé d’avecques son frere, qu’il ne donne occasion à leur commun ennemy de les ruyner par brigues, ou par procez.
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIX. Du Loup, et des Chiens. »
les Gaulois, lors qu’appellez à la conqueste de ces pays-là, par les communes divisions de leurs habitans, ils y envoyerent ava
’en purent venir à bout, et s’accorderent ensemble contre leur Ennemy commun . Ceste resistance dura depuis jusqu’à ce que le g
11 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [58.]. DEL LEONE, DELL’ASINO, ET DELLA VOLPE. » p. 149
to fine Dato m’ha de le leggi la dottrina ; Ch’a ben patir quel, ch’è commune , insegna ; E m’ha fatto legista in un momento.
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VI. Du Lion, et de quelques autres Bestes. »
ant demeurez d’accord d’aller à la chasse ensemble, et de posseder en commun tout ce qui en proviendroit, il arriva qu’ils pri
13 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XVIII. L’Aigle et le Hibou. » p. 
t cause. Quelqu’un luy dit alors : N’en accuse que toy, Ou plutost la commune loy, Qui veut qu’on trouve son semblable Beau, bi
14 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 217 » pp. 342-342
croyez-nous ; livrez-nous tous les troupeaux et nous les mettrons en commun pour nous en rassasier. » Les chiens prêtèrent l’
15 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 41 » pp. 17-17
utres renards à s’écourter de même, afin de cacher dans la mutilation commune son infirmité personnelle. En conséquence il les
16 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 229 » pp. 348-348
nt que, tout ce que chacun aurait pris à la chasse, il le mettrait en commun et le partagerait également entre tous : de la so
17 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [100.]. DEL LEONE, E ’L LUPO, E LA VOLPE. » p. 258
OLPE. GIACEA ’L Leon nella spelonca infermo, E tutti a lui, come a commun Signore, Gli animali eran iti a visitarlo. Sol la
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVI. Du Lion, et du Rat. »
ur la preuve de ceste mesme recognoissance, qui ne me semble que trop commune d’homme à homme, puis qu’elle a passé jusques aux
ez prouvé par des exemples, que la recognoissance des biens-faits est commune mesme aux animaux.  
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ne laisse entrer qu’un seul de tous ceux que son Maistre avoit conviez. Chapitre XXI. »
point commandé exprés, de ne laisser venir à ton Festin des gents du commun , et des ignorants mais seulement des hommes docte
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIV. Du Taureau, et du Bouc. »
omme, à sçavoir de courir sus à un Malheureux. Elle est toutesfois si commune , que nous ne voyons jamais personne tomber en la
21 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XXII. L’Aloüette et ses petits, avec le Maistre d’un champ. » p. 325
s, avec le Maistre d’un champ. Ne t’attens qu’à toy seul, c’est un commun Proverbe. Voicy comme Esope le mit En credit. Le
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XII. De l’Aigle, et du Renard. »
’imaginant qu’ils en vivroient en meilleure intelligence, et que leur commune affection s’affermiroit par leur conversation mut
son ennemy, il jugeoit comme impossible de s’en venger ; s’aidant du commun remede, qui reste seul aux miserables, et à ceux
23 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVIII. Du Chevreau, et du Loup. »
s moindre, à sçavoir la passion d’aquerir de la loüange, qui leur est commune avec les Vaillants, mais qui agit plus foiblement
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE II. Du Loup, et de l’Aigneau. »
seconde Fable, que l’oppression des petits par les Grands, qui est si commune dans le commerce des hommes, qu’il n’y en a point
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VII. Du Loup, et de la Gruë. »
re une bonne action, et de respecter en eux, le mesme Dieu qu’ils ont commun avecque nous. C’est en luy que nostre action doit
26 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 142 » pp. 181-181
c la peau en plus. » Cette fable montre que, si les grands font cause commune avec les petits, les uns et les autres assureront
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Le voyage d’Esope en Delphes. Chapitre XXIX. »
ur avoir, disoient-ils, commis un sacrilege bien manifeste ; et d’une commune voix ils le condamnerent à mourir. Durant ces cho
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIX. Du Renard, et de la Cigongne. »
ue les mocqueurs sont quelquesfois le sujet d’une risée, outre que la commune experience le prouve, il y a des raisons qui le p
29 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXX. Du Loup, et de la Teste peinte. »
é, à sçavoir, que l’une nous rend semblables à Dieu, l’autre nous est commune avecque les bestes. Quant à la ressemblance de Di
30 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XC. De deux Chiens. »
e les Sages ayant condamné ce qui leur sembloit mauvais, et tous d’un commun accord approuvé le bien, c’est à dire la mediocri
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIII. De l’Enfantement des Montagnes. »
ir de là, leur Ambition n’aboutit qu’à un peu de fumée. C’est bien la commune interpretation de ceste Fable, de l’appliquer aux
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XX. Des Colombes, et du Faucon leur Roy. »
este faute neantmoins, en matiere d’eslection, n’a pas laissé d’estre commune à divers Peuples du monde, comme aux Agrigentins,
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXX. De l’Aigle, et du Corbeau. »
este maniere de presomption a esté remarquée par Esope, comme la plus commune de celles qui tombent d’ordinaire en praticque pa
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVII. Du Taureau, et du Rat. »
a cent-septiesme Fable. Voicy un exemple qui nous fait souvenir du commun Proverbe, qui dit, « qu’il n’y a point de petits
35 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIX. Du Loup, et du Renard. »
t en vertu les unze Pairs ses Compagnons, veilla jour et nuict à leur commune ruyne, et fit amitié avec les Roys Sarrasins, tou
36 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 40 » pp. 9-9
parole et dit : « J’ai un moyen, pour peu que tu désires notre salut commun . Veuille bien appuyer tes pieds de devant contre
37 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIX. Du Lion, et de l’Homme. »
Mais au lieu de m’amuser au long recit d’une chose qui n’est que trop commune à la Cour de tous les grands Princes, il me suffi
38 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
et la permission de parler ». Tout le peuple s’escria pour lors d’un commun accord : « ô Xanthus, affranchy Esope : obey aux
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXI. De Venus, et d’une Chatte. »
ans une seule Ville, mais à une certaine humeur libertine, qui estant commune à la pluspart des hommes, leur fait hayr toutes l
40 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIX. Du Sapin, et du Buisson. »
e. Cela se prouve par toutes les inductions des choses crées ; par la commune opinion des hommes, par les proverbes, et par les
41 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE C. Du Pescheur, et d’un petit Poisson. »
istaux, que la moindre vapeur obscurcit plus que les mediocres et les communs . Supposons neantmoins qu’elle vive tant que nous
42 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
et l’autre Envieux, envoya vers eux Apollon, pour satisfaire à leurs communes prieres. Il leur permit donc de souhaitter à leur
des demons ? une terre plus pesante ; c’est à dire plus terre que la commune  ? Si tu n’as besoin que d’un Viatique pour acheve
43 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
mme est un Animal, puis que l’estre Animal le specifie d’avec l’estre commun , et le met hors du pair des choses qui ne sont po
effort extraordinaire, pour la craincte de la punition, qui est aussi commune aux autres animaux, qu’à luy. Le troisiesme exemp
44 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
é le sort dans le palais d’Auguste, et dont il avait dû, pendant leur commun esclavage, se concilier la sincère affection. Cet
de la faire débiter, et qui en distribua des Exemplaires à leurs amis communs . De ce nombre étoit le P. Sirmond : il étoit alor
laisse pas apparaître ce qui, dans ce que l’un et l’autre avaient de commun , pouvait s’écarter des leçons du manuscrit de Pit
e, c’est que, lorsqu’au contraire une variante lui est indiquée comme commune aux deux manuscrits, il a soin de le mentionner ;
l’un de l’autre en ligne directe, ou bien ils descendent d’une souche commune en ligne collatérale. Laquelle de ces deux hypoth
pièce est dédiée ? C’est ce qu’on ignore encore : ce nom était assez commun  ; le portrait qu’en fait notre auteur dramatique
opularité qu’à l’habileté, avec laquelle il savait se servir du fonds commun . Ce ne fut que longtemps après sa mort que ses fa
comme le ferait déjà supposer le petit nombre de fables qui leur sont communes , Phèdre s’était sans doute ainsi que Babrius serv
iennes, soit nouvelles, on demeure convaincu qu’elles ont une origine commune . Supposons maintenant que les manuscrits de Phèdr
N’y a-t-il pas là une ressemblance frappante, qui trahit une origine commune  ? Mais ce n’est pas la seule ; les autres fabulis
Pierre Aubin, il avait continué pendant tout le moyen âge à être fort commun en Italie305. Non seulement Schwabe avait cru à
S’il avait existé un auteur du nom de Romulus, il n’avait eu rien de commun avec Ranutio. L’autorité dont Schwabe jouissait a
r de Marie de France, ce nom serait-il supposé ? En est-il un de plus commun parmi ceux qui entendent et qui parlent la langue
lles ont conservé un air de famille saisissant qui trahit une origine commune . La question qui reste à résoudre est celle de sa
de l’anonyme de Nilant, il y en a cinquante-deux seulement qui soient communes aux deux collections et par conséquent quinze étr
l’une et à l’autre. C’est ce qui ressort du tableau suivant : fables communes à l’anonyme de nilant et à l’æsopus ad rufum.
érences profondes qui devaient empêcher de leur attribuer une origine commune . En effet, cette impossibilité de les rattacher à
œuvre qui devra l’immortaliser. En vertu d’un vote de la Chambre des Communes , l’État, moyennant la somme de 337 000 francs, se
à d.iib). Prologue des fables en vers élégiaques, suivi d’une gravure commune à ce prologue et à la dédicace à Tiberinus qui vi
nen puncten materi disӡ büchlins , ou : « Table synoptique des points communs que présentent les matières de ce livre. » Fol. 
. En d’autres termes : « Ici commence la table synoptique des points communs dans la matière du livre. » Cette table se termi
disӡ büchlinsӡ. Ce qui signifie : « Ici commence la table des points communs dans la matière du livre. » Fol. 112 a à 115 a.
des sujets les fables de Phèdre et celles de l’Anonyme n’ont rien de commun , que cependant il existe entre elles un trait d’u
toucher au doigt la filiation des textes au moyen de certains traits communs à Phèdre et à Romulus, combinés dans ce dernier a
et à Romulus, combinés dans ce dernier avec d’autres qui ne sont plus communs qu’à Romulus et à l’Anonyme. » Et à l’exemple déj
é imprimée par François Ulgoleto qui l’avait faite à frais et risques communs avec un associé nommé Octavien Saladi. C’était pa
soixante-trois premières fables, avec lesquelles elle n’avait rien de commun . On ne peut davantage reconnaître le style de l’a
ue, contrairement à ma première supposition, ce manuscrit n’a rien de commun avec celui dont il est ici question. Ce dernier e
distique en vers de huit syllabes. Ce distique n’a d’ailleurs rien de commun avec la vieille paraphrase du premier traducteur
ait dû appartenir à l’abbaye d’Anchin, située sur le territoire de la commune de Pecquencourt. C’était une abbaye de Bénédictin
ons quest de solez parée Est plus uoluntiers escoutée ; Car cilz fait commun soutilz laz Qui melle sent auuec soulez. Tulles a
sa cuisse. Les fables sont précédées de ce préambule en prose latine commun à la plupart des petites éditions classiques du m
gure en tête du recto du premier feuillet d’un volume du format in-4º commun aux éditions classiques du même temps. Non chiffr
édées du préambule en prose et accompagnées de la glose interlinéaire communs à la plupart des petites éditions classiques. Ell
a préface en vers et les fables sont précédées chacune du commentaire commun à toutes les éditions qui commencent par le même
issus l’un de l’autre, et qu’ils appartiennent seulement à un auteur commun . Cette communauté d’origine leur a d’ailleurs va
constitue une œuvre qui, comme lui, ne s’éloigne pas beaucoup de leur commun modèle. Section II. Manuscrit de Vienne 303.
, c’est que l’un et l’autre, présentant des expressions qui leur sont communes et que Phèdre n’a pas employées, dérivent directe
nes et que Phèdre n’a pas employées, dérivent directement d’un auteur commun , qui, n’étant pas le fabuliste romain, ne peut êt
fables, l’autre de 67, n’en ont donc au total que 35, qui leur soient communes , et par suite ne peuvent être la copie l’une de l
Vache, la Chèvre et la Brebis pour partager le produit de leur chasse commune . Mais ce sujet de fable n’y est traité qu’une foi
ulus et le Dérivé de 136 fables offrent des expressions qui leur sont communes , qui, en même temps sont étrangères au Romulus pr
sort qu’il y a, dans le Romulus Roberti, des expressions qui lui sont communes avec le Dérivé complet et qui ne se trouvent pas
s de Nilant, c’est qu’ils les ont puisés dans une source qui leur est commune , et si, par ces expressions et ces lambeaux de ph
e, et si, par ces expressions et ces lambeaux de phrase, cette source commune s’écarte du Romulus primitif plus que le Romulus
ne peuvent être issus l’un de l’autre et qu’ils sont nés d’un auteur commun qui ne peut être que le Romulus anglo-latin. Ro
il faut remarquer que, dans cet exemple, il y a des expressions, qui, communes aux deux Dérivés partiel et complet, n’appartienn
ssu, ou si enfin les fables des deux collections dérivent d’un auteur commun qui serait le Romulus anglo-latin. Mais, à défaut
même plus conforme que lui au Romulus anglo-latin qui est leur auteur commun . Je pourrais me livrer à de pareilles recherches
les fables, qui, dérivées du Romulus anglo-latin, étaient par le fond communes aux quatre collections précédentes, avaient revêt
tre eux une parenté frappante établie par des expressions qui ne sont communes qu’à eux. Pour en fournir la preuve, je vais exhi
offrir des expressions qui, étrangères au Romulus primitif, lui sont communes avec ce Dérivé. Maintenant, sans prétendre expliq
l’a mise en vers français. Puis le Romulus anglo-latin a subi la loi commune  : il a été imité, et, tandis qu’il restait oublié
uer que c’est une petite addition qui, étant étrangère à leur origine commune et constituant une exception unique à leur confor
     Par rapport à mes infortunes, Je me suis appliqué des fables peu communes Où je me plains de mes malheurs. Dans une traduc
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