es Taureaux, et du Lion. Quatre Taureaux firent une ligue pour leur
commune
conservation, et resolurent entr’eux de ne s’aban
e moyen de leur bonne intelligence, elle contient une Allegorie assez
commune
, et que nous avons des-ja veuë plusieurs fois dan
des jeux solemnels, et des danses publiques, pour une marque de leur
commune
allegresse. Il leut devant eux les lettres du Roy
s de sa Cour. Les Roys avoient en ce temps-là paix ensemble, et en ce
commun
repos ils se visitoient souvent par lettres, s’en
virent
Que celuy qu’ils croyoient oisif et paresseux,
A l’interest
commun
contribuoit plus qu’eux.
Cecy peut s’appliquer à
es,
Entretient seule tout l’Estat.
Menenius le sceut bien dire.
La
Commune
s’alloit separer du senat. Les mécontens disoient
maison. Chacun se dit ami ; mais fol qui s’y repose ; Rien n’est plus
commun
que ce nom, Rien n’est plus rare que la chose.
apprend encore à nous défier des ennemis découverts, qui ont cela de
commun
avecque les Voluptez de nous attirer puissamment,
re soupçon. Aussi est-ce pour cela qu’on a fait passer pour maxime ce
commun
dire ; Que la Défiance est mere de la Seureté.
eut dessein autrefois De songer à l’Hymenée. Aussi-tost on ouït d’une
commune
voix Se plaindre de leur destinée Les Citoyennes
du voisinage,
Firent societé, dit-on, au temps jadis,
Et mirent en
commun
le gain et le dommage.
Dans les lacqs de la Chev
condition, que contre les autres, d’autant que c’est un effect moins
commun
, et qu’ayant eu plus d’égaux en leur premiere bas
e de leur achoppement, elle leur est, sans comparaison, beaucoup plus
commune
qu’aux hommes de condition, veu qu’il est presque
es à se deschirer en pieces, qu’à se guarantir courageusement de leur
commun
ennemy. Ce fut ainsi qu’en usa le Milan d’Esope,
un frere divisé d’avecques son frere, qu’il ne donne occasion à leur
commun
ennemy de les ruyner par brigues, ou par procez.
les Gaulois, lors qu’appellez à la conqueste de ces pays-là, par les
communes
divisions de leurs habitans, ils y envoyerent ava
’en purent venir à bout, et s’accorderent ensemble contre leur Ennemy
commun
. Ceste resistance dura depuis jusqu’à ce que le g
to fine Dato m’ha de le leggi la dottrina ; Ch’a ben patir quel, ch’è
commune
, insegna ; E m’ha fatto legista in un momento.
ant demeurez d’accord d’aller à la chasse ensemble, et de posseder en
commun
tout ce qui en proviendroit, il arriva qu’ils pri
t cause. Quelqu’un luy dit alors : N’en accuse que toy, Ou plutost la
commune
loy, Qui veut qu’on trouve son semblable Beau, bi
croyez-nous ; livrez-nous tous les troupeaux et nous les mettrons en
commun
pour nous en rassasier. » Les chiens prêtèrent l’
utres renards à s’écourter de même, afin de cacher dans la mutilation
commune
son infirmité personnelle. En conséquence il les
nt que, tout ce que chacun aurait pris à la chasse, il le mettrait en
commun
et le partagerait également entre tous : de la so
OLPE. GIACEA ’L Leon nella spelonca infermo, E tutti a lui, come a
commun
Signore, Gli animali eran iti a visitarlo. Sol la
ur la preuve de ceste mesme recognoissance, qui ne me semble que trop
commune
d’homme à homme, puis qu’elle a passé jusques aux
ez prouvé par des exemples, que la recognoissance des biens-faits est
commune
mesme aux animaux.
point commandé exprés, de ne laisser venir à ton Festin des gents du
commun
, et des ignorants mais seulement des hommes docte
omme, à sçavoir de courir sus à un Malheureux. Elle est toutesfois si
commune
, que nous ne voyons jamais personne tomber en la
s, avec le Maistre d’un champ. Ne t’attens qu’à toy seul, c’est un
commun
Proverbe. Voicy comme Esope le mit En credit. Le
’imaginant qu’ils en vivroient en meilleure intelligence, et que leur
commune
affection s’affermiroit par leur conversation mut
son ennemy, il jugeoit comme impossible de s’en venger ; s’aidant du
commun
remede, qui reste seul aux miserables, et à ceux
s moindre, à sçavoir la passion d’aquerir de la loüange, qui leur est
commune
avec les Vaillants, mais qui agit plus foiblement
seconde Fable, que l’oppression des petits par les Grands, qui est si
commune
dans le commerce des hommes, qu’il n’y en a point
re une bonne action, et de respecter en eux, le mesme Dieu qu’ils ont
commun
avecque nous. C’est en luy que nostre action doit
c la peau en plus. » Cette fable montre que, si les grands font cause
commune
avec les petits, les uns et les autres assureront
ur avoir, disoient-ils, commis un sacrilege bien manifeste ; et d’une
commune
voix ils le condamnerent à mourir. Durant ces cho
ue les mocqueurs sont quelquesfois le sujet d’une risée, outre que la
commune
experience le prouve, il y a des raisons qui le p
é, à sçavoir, que l’une nous rend semblables à Dieu, l’autre nous est
commune
avecque les bestes. Quant à la ressemblance de Di
e les Sages ayant condamné ce qui leur sembloit mauvais, et tous d’un
commun
accord approuvé le bien, c’est à dire la mediocri
ir de là, leur Ambition n’aboutit qu’à un peu de fumée. C’est bien la
commune
interpretation de ceste Fable, de l’appliquer aux
este faute neantmoins, en matiere d’eslection, n’a pas laissé d’estre
commune
à divers Peuples du monde, comme aux Agrigentins,
este maniere de presomption a esté remarquée par Esope, comme la plus
commune
de celles qui tombent d’ordinaire en praticque pa
a cent-septiesme Fable. Voicy un exemple qui nous fait souvenir du
commun
Proverbe, qui dit, « qu’il n’y a point de petits
t en vertu les unze Pairs ses Compagnons, veilla jour et nuict à leur
commune
ruyne, et fit amitié avec les Roys Sarrasins, tou
parole et dit : « J’ai un moyen, pour peu que tu désires notre salut
commun
. Veuille bien appuyer tes pieds de devant contre
Mais au lieu de m’amuser au long recit d’une chose qui n’est que trop
commune
à la Cour de tous les grands Princes, il me suffi
et la permission de parler ». Tout le peuple s’escria pour lors d’un
commun
accord : « ô Xanthus, affranchy Esope : obey aux
ans une seule Ville, mais à une certaine humeur libertine, qui estant
commune
à la pluspart des hommes, leur fait hayr toutes l
e. Cela se prouve par toutes les inductions des choses crées ; par la
commune
opinion des hommes, par les proverbes, et par les
istaux, que la moindre vapeur obscurcit plus que les mediocres et les
communs
. Supposons neantmoins qu’elle vive tant que nous
et l’autre Envieux, envoya vers eux Apollon, pour satisfaire à leurs
communes
prieres. Il leur permit donc de souhaitter à leur
des demons ? une terre plus pesante ; c’est à dire plus terre que la
commune
? Si tu n’as besoin que d’un Viatique pour acheve
mme est un Animal, puis que l’estre Animal le specifie d’avec l’estre
commun
, et le met hors du pair des choses qui ne sont po
effort extraordinaire, pour la craincte de la punition, qui est aussi
commune
aux autres animaux, qu’à luy. Le troisiesme exemp
é le sort dans le palais d’Auguste, et dont il avait dû, pendant leur
commun
esclavage, se concilier la sincère affection. Cet
de la faire débiter, et qui en distribua des Exemplaires à leurs amis
communs
. De ce nombre étoit le P. Sirmond : il étoit alor
laisse pas apparaître ce qui, dans ce que l’un et l’autre avaient de
commun
, pouvait s’écarter des leçons du manuscrit de Pit
e, c’est que, lorsqu’au contraire une variante lui est indiquée comme
commune
aux deux manuscrits, il a soin de le mentionner ;
l’un de l’autre en ligne directe, ou bien ils descendent d’une souche
commune
en ligne collatérale. Laquelle de ces deux hypoth
pièce est dédiée ? C’est ce qu’on ignore encore : ce nom était assez
commun
; le portrait qu’en fait notre auteur dramatique
opularité qu’à l’habileté, avec laquelle il savait se servir du fonds
commun
. Ce ne fut que longtemps après sa mort que ses fa
comme le ferait déjà supposer le petit nombre de fables qui leur sont
communes
, Phèdre s’était sans doute ainsi que Babrius serv
iennes, soit nouvelles, on demeure convaincu qu’elles ont une origine
commune
. Supposons maintenant que les manuscrits de Phèdr
N’y a-t-il pas là une ressemblance frappante, qui trahit une origine
commune
? Mais ce n’est pas la seule ; les autres fabulis
Pierre Aubin, il avait continué pendant tout le moyen âge à être fort
commun
en Italie305. Non seulement Schwabe avait cru à
S’il avait existé un auteur du nom de Romulus, il n’avait eu rien de
commun
avec Ranutio. L’autorité dont Schwabe jouissait a
r de Marie de France, ce nom serait-il supposé ? En est-il un de plus
commun
parmi ceux qui entendent et qui parlent la langue
lles ont conservé un air de famille saisissant qui trahit une origine
commune
. La question qui reste à résoudre est celle de sa
de l’anonyme de Nilant, il y en a cinquante-deux seulement qui soient
communes
aux deux collections et par conséquent quinze étr
l’une et à l’autre. C’est ce qui ressort du tableau suivant : fables
communes
à l’anonyme de nilant et à l’æsopus ad rufum.
érences profondes qui devaient empêcher de leur attribuer une origine
commune
. En effet, cette impossibilité de les rattacher à
œuvre qui devra l’immortaliser. En vertu d’un vote de la Chambre des
Communes
, l’État, moyennant la somme de 337 000 francs, se
à d.iib). Prologue des fables en vers élégiaques, suivi d’une gravure
commune
à ce prologue et à la dédicace à Tiberinus qui vi
nen puncten materi disӡ büchlins , ou : « Table synoptique des points
communs
que présentent les matières de ce livre. » Fol.
. En d’autres termes : « Ici commence la table synoptique des points
communs
dans la matière du livre. » Cette table se termi
disӡ büchlinsӡ. Ce qui signifie : « Ici commence la table des points
communs
dans la matière du livre. » Fol. 112 a à 115 a.
des sujets les fables de Phèdre et celles de l’Anonyme n’ont rien de
commun
, que cependant il existe entre elles un trait d’u
toucher au doigt la filiation des textes au moyen de certains traits
communs
à Phèdre et à Romulus, combinés dans ce dernier a
et à Romulus, combinés dans ce dernier avec d’autres qui ne sont plus
communs
qu’à Romulus et à l’Anonyme. » Et à l’exemple déj
é imprimée par François Ulgoleto qui l’avait faite à frais et risques
communs
avec un associé nommé Octavien Saladi. C’était pa
soixante-trois premières fables, avec lesquelles elle n’avait rien de
commun
. On ne peut davantage reconnaître le style de l’a
ue, contrairement à ma première supposition, ce manuscrit n’a rien de
commun
avec celui dont il est ici question. Ce dernier e
distique en vers de huit syllabes. Ce distique n’a d’ailleurs rien de
commun
avec la vieille paraphrase du premier traducteur
ait dû appartenir à l’abbaye d’Anchin, située sur le territoire de la
commune
de Pecquencourt. C’était une abbaye de Bénédictin
ons quest de solez parée Est plus uoluntiers escoutée ; Car cilz fait
commun
soutilz laz Qui melle sent auuec soulez. Tulles a
sa cuisse. Les fables sont précédées de ce préambule en prose latine
commun
à la plupart des petites éditions classiques du m
gure en tête du recto du premier feuillet d’un volume du format in-4º
commun
aux éditions classiques du même temps. Non chiffr
édées du préambule en prose et accompagnées de la glose interlinéaire
communs
à la plupart des petites éditions classiques. Ell
a préface en vers et les fables sont précédées chacune du commentaire
commun
à toutes les éditions qui commencent par le même
issus l’un de l’autre, et qu’ils appartiennent seulement à un auteur
commun
. Cette communauté d’origine leur a d’ailleurs va
constitue une œuvre qui, comme lui, ne s’éloigne pas beaucoup de leur
commun
modèle. Section II. Manuscrit de Vienne 303.
, c’est que l’un et l’autre, présentant des expressions qui leur sont
communes
et que Phèdre n’a pas employées, dérivent directe
nes et que Phèdre n’a pas employées, dérivent directement d’un auteur
commun
, qui, n’étant pas le fabuliste romain, ne peut êt
fables, l’autre de 67, n’en ont donc au total que 35, qui leur soient
communes
, et par suite ne peuvent être la copie l’une de l
Vache, la Chèvre et la Brebis pour partager le produit de leur chasse
commune
. Mais ce sujet de fable n’y est traité qu’une foi
ulus et le Dérivé de 136 fables offrent des expressions qui leur sont
communes
, qui, en même temps sont étrangères au Romulus pr
sort qu’il y a, dans le Romulus Roberti, des expressions qui lui sont
communes
avec le Dérivé complet et qui ne se trouvent pas
s de Nilant, c’est qu’ils les ont puisés dans une source qui leur est
commune
, et si, par ces expressions et ces lambeaux de ph
e, et si, par ces expressions et ces lambeaux de phrase, cette source
commune
s’écarte du Romulus primitif plus que le Romulus
ne peuvent être issus l’un de l’autre et qu’ils sont nés d’un auteur
commun
qui ne peut être que le Romulus anglo-latin. Ro
il faut remarquer que, dans cet exemple, il y a des expressions, qui,
communes
aux deux Dérivés partiel et complet, n’appartienn
ssu, ou si enfin les fables des deux collections dérivent d’un auteur
commun
qui serait le Romulus anglo-latin. Mais, à défaut
même plus conforme que lui au Romulus anglo-latin qui est leur auteur
commun
. Je pourrais me livrer à de pareilles recherches
les fables, qui, dérivées du Romulus anglo-latin, étaient par le fond
communes
aux quatre collections précédentes, avaient revêt
tre eux une parenté frappante établie par des expressions qui ne sont
communes
qu’à eux. Pour en fournir la preuve, je vais exhi
offrir des expressions qui, étrangères au Romulus primitif, lui sont
communes
avec ce Dérivé. Maintenant, sans prétendre expliq
l’a mise en vers français. Puis le Romulus anglo-latin a subi la loi
commune
: il a été imité, et, tandis qu’il restait oublié
uer que c’est une petite addition qui, étant étrangère à leur origine
commune
et constituant une exception unique à leur confor
Par rapport à mes infortunes, Je me suis appliqué des fables peu
communes
Où je me plains de mes malheurs. Dans une traduc
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