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1 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 287 » p. 192
« Sotte que tu es, pourquoi élèves-tu des êtres qui, une fois grands, commenceront par toi la première le cours de leurs méfaits. »
2 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XX. La Discorde. » p. 
; Faisoit d’une étincelle un feu long à s’éteindre. La Renommée enfin commença de se plaindre Que l’on ne luy trouvoit jamais De
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XII. Le Dragon à plusieurs testes, et le Dragon à plusieurs queuës. » p. 
passer 
Les cent testes d’une Hydre au travers d’une haye.
 Mon sang commence à se glacer,
 Et je crois qu’à moins on s’effraye
4 (1180) Fables « Marie de France — Prologue. Prologue »
peine, ki que m’en tienge pur vileine, de fere mut pur sa preere ; si commencerai la premere des fables ke Esopus escrist, que a su
5 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 96 » p. 63
qu’on lui permît de conter une fable d’Ésope. La demande accordée, il commença ainsi : « Déméter, l’hirondelle et l’anguille fai
6 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 314 » pp. 209-209
sance, ils saisirent une occasion où ils n’avaient rien à craindre et commencèrent par ravager son troupeau. Quand il s’aperçut du d
7 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — III. Phœbus et Borée. » p. 46
A qui plustost aura dégarny les épaules Du Cavalier que nous voyons. Commencez  : Je vous laisse obscurcir mes rayons. Il n’en fa
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Le voyage d’Esope en Delphes. Chapitre XXIX. »
fs et charruë, il s’en alla droict au tombeau ; où s’estant assis, il commença de pleurer comme elle. La femme en ayant voulu sç
nné ; lors qu’à son retour il trouva qu’on les luy avoit desrobez, il commença de s’abandonner aux cris et aux plainctes. A ce b
9 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — II. Les Membres et l’Estomach. » p. 130
II. Les Membres et l’Estomach. Je devois par la Royauté
 Avoir commencé mon Ouvrage.
 A la voir d’un certain costé,
 1Me
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIII. De l’Enfantement des Montagnes. »
er, avant que la besogne fust achevée, comme si Dieu se joüoit à voir commencer tant de merveilles sans les parfaire, et à destru
e, et de Zeuxis, combien de Michel l’Ange et du Titian n’ont esté que commencez , et par consequent leur gloire est demeurée impar
11 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIII. Des Loups, et de la Brebis. »
qui n’en a point, que de la poursuyvre pour cela seulement qu’on l’a commencée  ; Et si au contraire il a eu sujet de nous hayr,
12 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 73 » pp. 46-46
lui d’entre eux qui dépouillerait un voyageur de ses vêtements. Borée commença  ; il souffla avec violence. Comme l’homme serrait
13 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 125 » pp. 100-100
maison, prirent Momos pour arbitre. Momos, jaloux de leurs ouvrages, commença par dire que Zeus avait fait une bévue en ne mett
14 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 231 » pp. 159-159
e lui tenait trois propos vrais, de la laisser aller. Alors la brebis commença par lui dire qu’elle aurait voulu ne pas le renco
15 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XXII. L’Aloüette et ses petits, avec le Maistre d’un champ. » p. 325
e du jour. Nostre Aloüette de retour Trouve en alarme sa couvée. L’un commence . Il a dit que l’Aurore levée, L’on fist venir dem
16 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 245 » pp. 352-352
son cœur, et maudissait sa propre fortune. Comme ils s’apprêtaient à commencer le festin, soudain un homme ouvrit la porte. Effr
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVI. De la Tortuë, et de l’Aigle. »
De la Tortuë, et de l’Aigle. La Tortuë ennuyée de ramper sur terre, commença de promettre monts et merveilles à quiconque la v
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIX. Des Grenoüilles, et de leur Roy. »
Jupiter leur donna la Cygogne, qui se pourmenant par les marescages, commença de tesmoigner sa valeur aux Grenoüilles, et en en
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVI. Du Cheval, et du Lion. »
en pour executer son entreprise. C’est qu’il contrefit le Medecin, et commença d’entretenir le Cheval de divers discours. Mais l
20 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
e suis surtout attaché à marcher dans la voie philologique. J’ai bien commencé par m’occuper de Phèdre qui est le premier des fa
ever. S’il en est ainsi, j’aurai du moins la consolation d’avoir bien commencé ce que je n’aurai pu finir. Mais à cette heure, c
recherches, qui n’a encore été qu’en partie exploré. Lorsque je l’ai commencée , je me proposais seulement d’en faire la préface
e duquel il extrait ce membre de phrase : « Phères, derrière laquelle commence le Piérus qui se prolonge jusqu’en Macédoine18. »
i de Caligula. Pour tout concilier, il suppose que le troisième livre commencé sous Tibère ne fut achevé que pendant le règne de
mais ce qui est également vraisemblable, c’est que Phèdre, ne l’ayant commencé qu’à un âge très avancé, mourut avant de l’avoir
C’est seulement à partir de la deuxième partie de son livre IV, qu’il commence à être original. Du moins, c’est lui qui l’affirm
du barreau de cette ville, avait tenu à ce que son éducation fût bien commencée . Il l’avait envoyé à Paris, et l’avait fait entre
., lib. I, Comment. in Somn. Scip. » C’est seulement à la page 7 que commence le texte de Phèdre. Il est précédé de ce titre :
Là, en effet, existe une lacune, dont on ignore l’importance. La page commence par ce vers de la fable Leo regnans : Posquam la
ore réussi. Si, avant que l’impression de mon deuxième volume ait été commencée , j’ai été enfin admis à copier le texte de Phèdre
uite des derniers mots de la fable précédente, et, par conséquent, ne commencent la ligne que si la dernière ligne de la fable pré
le précédente est entièrement remplie. Quant au corps de la fable, il commence toujours avec la ligne, et sa première lettre, qu
ans le manuscrit après les fables de Phèdre, semble assez complet. Il commence ainsi : « “Primo namque de his ad ortum sermo pro
cata funditus et subversa legimus, etc…” « L’écrivain avait peut-être commencé à copier ce traité De Monstris avant d’avoir ache
rologue, par lequel Phèdre, après avoir quelque temps cessé d’écrire, commence la seconde série de fables qui doit le compléter.
ntus explicit feliciter. Mais où finissait le quatrième livre et où commençait le cinquième ? Voilà ce que Pithou, après avoir é
à la fin du prologue, qui est intitulé Poeta ad Particulonem, et qui commence par ce vers : Cum destinassem terminum operi sta
vre V, il le laisse dans le livre, auquel il appartient. Puis il fait commencer le cinquième livre par la pièce de vers Æsopi nom
essée à Particulon, Phèdre s’arrête, et, dans un premier épilogue qui commence par ce vers : Supersunt mihi quæ scribam, sed pa
ettement indiquée par un épilogue intitulé Poeta ad Particulonem, qui commence par ce vers : Adhuc supersunt multa quæ possim l
ement il présentait une lacune. Alors que le premier livre des fables commençait à la troisième page de l’exemplaire de la veuve B
n, il s’aperçut de son omission, et au bas de la page 3, sur laquelle commençait le livre I, il écrivit : « J’ai manqué dans le te
ée au bas de la troisième page de l’exemplaire de la veuve Brocas, où commence le premier livre des fables, Dom Vincent s’exprim
en rattachée à la fin d’une suivante, que les mots Et vindicabit, qui commençaient la seconde, étaient sur la même ligne que les mot
t Menander poeta : le dernier vers manque, et les deux, qui devraient commencer la fable suivante, sont également absents. Cepend
conjectures de Gude, le premier vers de l’épilogue du deuxième livre commence par les mots : Æsopi ingenio , qui sont la vérit
tais à la bibliothèque. Le manuscrit m’attendait, ouvert à la page où commençaient les fables de Phèdre. § 2. — Description du ma
haque chapitre est ornée d’arabesques. C’est un traité de musique. Il commence par un préambule intitulé : Proœmium magistri Gu
cors. Sans intervalle, elle est suivie du psaume LXXXV en grec, qui commence au premier tiers du recto du feuillet 19 et qui s
uction latine écrite en lettres de moindre grosseur. Cette traduction commence par cette phrase qui diffère également des deux v
peu plus près, il aurait vu que, s’il se terminait à la xxie , il ne commençait pas à la première, qu’il partait de la xie , dont
ôt après l’apparition du manuscrit de Pithou, la librairie Panckoucke commença à éditer sa traduction des classiques latins. Phè
s auteurs latins. Ce recueil, qui est de la main de Daniel, avait été commencé par lui avant la destruction de l’abbaye de Saint
t même cahier les recevait les unes à la suite des autres. Il l’avait commencé dans sa jeunesse ; c’est lui-même qui nous en fou
ate scripta sint. » Malheureusement, quoiqu’il eût, dès sa jeunesse, commencé sa compilation poétique, et qu’il l’eût reprise à
s Claudii et Neronis aevo pluribus argumentis constituitur , Jannelli commence par démontrer que Pétrone florissait sous Claude
e Jannelli et qu’on put juger du texte par une publication exacte, on commença à croire à l’authenticité, et partout, dès l’anné
nd soixante-quatorze feuillets, savoir : 57 écrits et 17 blancs. Elle commence par un prologue, ou dédicace adressée par Niccolo
er. Dans son épître à son concitoyen Veltrius, il déclare qu’il avait commencé de bonne heure à écrire le recueil de vers qu’il
y trouvait bien quelques poésies fort légères. Mais, quand il l’avait commencé , il ne pensait pas à son neveu, et plus tard, qua
cisci Patritii ecloga. 7º Marasii Siculi elegiae. Le texte de Perotti commence au recto du feuillet 100 et s’étend jusqu’au vers
sies est absolument le même que dans le manuscrit de Naples. Le texte commence par la lettre en prose à Titus Mannus Veltrius de
rder son sang-froid. Dans la préface de son édition in-4º de 1727, il commence par supposer que Perotti a eu dans les mains un m
sans ménagement. « Il est aujourd’hui évident, dit-il, que Perotti a commencé dès sa jeunesse à copier dans son recueil des fab
Perotti, qui lui paraît la fournir. La déclaration, par laquelle elle commence , annonce bien une certaine bonne foi ; mais il ne
est donc, suivant sa propre déclaration, dans sa jeunesse qu’il avait commencé son recueil, et, ainsi que je l’ai expliqué, c’es
Le chapitre xxvii des Consolations, que Sénèque a adressées à Polybe, commence par cette phrase : « Non audeo te usque eo produc
relle dura ainsi de longues années ; mais le temps apaise tout ; elle commençait à se calmer, lorsqu’en 1746, un professeur de Lei
sur lesquelles ils étaient fondés. Je les réfuterai une à une. 1º Il commence par prendre à la lettre les deux vers de Perotti 
es qu’elles ne doivent pas être du même auteur, il n’aurait pas fallu commencer par baser les doutes sur ce qu’elles en diffèrent
raire ; tôt ou tard elle est suivie d’une réaction, et cette réaction commençait déjà à se faire sentir ; car, dans la même éditio
copiste n’a fait suivre d’aucune fable le titre du livre II et a fait commencer le livre III, non pas par le prologue intitulé Ph
livre IV est encore plus incomplète. Ainsi que je l’ai expliqué, elle commençait par le prologue Poeta ad Particulonem, dont le pr
ibliothèque de Paul Petau. Car ce dernier, en tête du feuillet 195 où commencent les fables ésopiques, avait écrit cette note : H
par M. du Rieu. Deuxième quaterne (Fol. i). Fol. i a. — Le manuscrit commence par un feuillet qui ne dépend pas des autres, et
us, qui occupe les six premières lignes de la page. La septième ligne commence par ces mots, qui, dans le texte du premier livre
ières pages du quaterne, et que le copiste a laissée incomplète. Elle commence par ce distique : Hæc quicumque legis diversaque
logium Bedæ. C’est un petit poème en vers hexamètres dont le prologue commence ainsi : Bis sena mensum vertigine volvitur annus
22 à 29. Fol. xxii a. — Gloses sur Perse. Fol. xxii b à xxix b. — Ici commence une seconde copie de l’œuvre, dont la première co
      Senex fidelis, prima credendi via. La Psychomachia elle-même commence ensuite par ce premier vers : Christe graves hom
iii a. — Fragment contenant des notions sur la grammaire. Ce fragment commence ainsi : Theodorus monacus quidam a Tharso Cilili
inus, le Poeticon astronomicon, précédé d’une épître dédicatoire, qui commence ainsi : Higinus M. Fabio plurimam salutem. Etsi
ndrier précieux pour la détermination de l’âge exact du manuscrit. Il commence à l’année 1007 ; cette date doit être celle à laq
mpu au fol. cxcii a, par des Sententiæ præsagientes, dont la première commence par ces mots : A. quicquid videris, in gaudium c
e aussi nette que possible de leur texte, je vais donc être obligé de commencer par étudier minutieusement les deux dérivés auxqu
e, | Typis Schulzianis, | MDCCCXLIV. Dans la lettre elle-même, Tross commence par expliquer que c’est M. Fleutelot qui, en rapp
monstris, belluis, serpentibus , etc. Il s’est trompé. L’opuscule qui commence en cet endroit, est un autre traité sur la nature
Romulus de Nilant, dans lequel la dédicace placée en tête des fables commence par ces mots : Romæ imperator Tiberino filio suo
i est adressée à Laurent de Médicis surnommé le Magnifique308, et qui commence par ces mots : Magnifico domino Laurencio Javina
tait ainsi de la déclaration de Ranutio d’Arezzo lui-même qu’il avait commencé son œuvre au moment où Nicolas V, n’étant pas enc
ion de Nicolas V et celle de sa mort, on verra que Ranutio a dû avoir commencé son œuvre avant le 6 mars 1447 et l’avoir menée à
discussion. Dans la vieille édition d’Ulm, imprimée par Zeiner, elle commence par ces mots : « Romulus Tiberino filio de Civita
ancien de ceux contenant les fables du Romulus ordinaire, la dédicace commence ainsi : Romulus Tyberino filio. De civitate attic
lus que Vincent de Beauvais avait inséré dans son Miroir historial312 commence ainsi : De civitate Attica Æsopus quidam homo græ
Incipit Prologus in tres libros fabularum Æsopi Atheniensis ; puis il commence ainsi : Romæ Imperator Tiberino filio suo salutem
in latinum ad Tyberium filium suum de civitate Attica, et la dédicace commence par ces mots : Romulus filio suo Tyberio de civit
e en deux colonnes. Il n’y a que dix feuillets. Les fables de Romulus commencent en tête du verso du premier feuillet et se termin
erso du sixième, au bas de la première colonne. Au haut de la seconde commence un ouvrage qui a dû être composé à l’usage des éc
uillets 150 bis à 161, xive  siècle, ne contient que trois livres. Il commence ainsi : Incipit prologus super librum fabularum Æ
: Incipit prologus super librum fabularum Æsopi gentilis. Le prologue commence par ces mots : Memoriam tibi tradam. Ce manuscrit
Walther et à celles du Romulus ordinaire. Les fables de Walther, qui commencent au haut du feuillet 13 vº et finissent au milieu
nte : Explicit liber tertius prosa Esopi. Au haut du feuillet 35 a, commence , sans titre, la fable lx de Walther ordinairement
ntion d’être le portrait en pied du père de la fable. Le feuillet 2 a commence par ce titre : Vita Esopi fabulatoris clarissimi
e à ce prologue et à la dédicace à Tiberinus qui vient ensuite et qui commence par ces mots : [R]omulus tyberino filio. de ciui
elle-même surmonte la dédicace de Romulus à son fils. Cette dédicace commence ainsi : Romulus Tyberino filio de civitate athic
Esopi. La table du livre III n’occupe que la moitié de la page. Puis commencent les fables, dont la première, au-dessus de sa dés
(n. ii b). — Fin des fabulæ novæ. Elles sont suivies d’une table qui commence sur la même page et qui est intitulée : Registru
ent leur texte est identique, mais encore dans chaque édition la même commence et finit aux mêmes pages. Enfin les deux éditions
—  Registrum fabularum predictarum extrauagantium. Sur la même page commencent les dix-sept fables traduites par Ranutio d’Arezz
arum registrum sequitur. À la suite de la table des fables d’Avianus commencent les fabulæ collectæ précédées chacune d’une gravu
ébastien Brant à Adelberg de Rapperg, doyen de l’église de Bâle. Elle commence par ces mots : Adebero de Rapperg, insignis eccl
à chacune une fable en prose. Fol. 109 b (q. iii b). — À ce feuillet commencent sans titre les fabulæ collectas des éditions préc
x. La deuxième partie, séparée de la première par un feuillet blanc, commence au feuillet 125 et ne renferme plus que l’œuvre d
num defensio ex joanne bocacio, Li xiiii de genealogia deorum. Puis commence l’œuvre véritable de Brant : elle se compose de 1
e Heinrico Steinhöwel , etc. Ce texte peut se traduire ainsi : « Ici commence le livre et la vie du très célèbre fabuliste Ésop
 Ici finit le IVe livre du très illustre fabuliste et maître Ésope et commencent les anciennes fables courantes que l’on attribue
ugeschriben werdent Esopo | mit irem Register. Autrement dit : « Ici commencent les nouvelles fables mises en allemand d’après Ri
squelles ne sont pas comprises dans les quatre livres de Romulus. Ici commencent les fables d’Avianus avec leur table. » Fol. 126
lten Fabeln). Littéralement : « Ici finissent les fables d’Avianus et commence la table de ses fables (et plus exactement : des
wen geteutschten falblen (sic) von Rimicio , etc. En français : « Ici commencent les nouvelles fables mises en allemand d’après Ri
(83). —  vahent an die fabeln Auiani , etc., ce qui signifie : « Ici commencent les fables d’Avianus. » Fol. 137 (100). —  Gesam
gemeinē puncten der materi disӡ büchlins. En d’autres termes : « Ici commence la table synoptique des points communs dans la ma
. Adelfonsi. vnd etlicher schimpfreden. Pogii. Autrement dit : « Ici commencent le livre et la vie du fabuliste Ésope mise du gre
Ici finit le quatrième livre du célèbre fabuliste et maître Ésope, et commencent les vieilles fables courantes qu’on lui attribue.
finissent les vieilles fables courantes que l’on attribue à Ésope, et commencent les nouvelles fables mises en allemand d’après Ri
eynen puncten | der materien disӡ büchlinsӡ. Ce qui signifie : « Ici commence la table des points communs dans la matière du li
das buch | des hochberemten fabeltichters Esopi. Traduction : « Ici commence la préface du livre du très célèbre fabuliste Éso
et le nº cxiij : Hienach volget das Register. C’est-à-dire : « Ici commence la table. » Fol. 144 a à 151 b. — Table, à la fi
— Table du livre I des fables de Romulus surmontée de ce titre : Cy commence le registre des fables de esope du premier liure.
. Fol. 19 a. — Commencement du livre I, annoncé en ces termes : Cy commence la preface du premier liure de esope. Puis vient
t suivi de ces deux phrases : Cy finist le second liure de Esope. Et commence le registre des fables du tiers. Fol. 28 a à 28
du tiers. Fol. 28 a à 28 b. — Table du livre III. Fol. 28 b. —  Cy commence le tiers liure des subtilles fables de esepe (sic
ingenieux. Fol. g. viii b. —  Cy finist le second liure de esope et commence le registre du tiers liure des fables de Esope.
. j. v b. —  Cy finist le tiers liure des subtiles fables de esope et commence la table du quart liure dicelles. Fol. k. viii
À la suite de cette phrase vient la table et au-dessous de la table commencent les fables. Fol. o. vi b. — Fin des fables. Fol. 
ousse (sic). Fol. s. ii b. —  Cy finissent les fables de Alfonse. Et commence aulcunes aultres fables du Poge florentin. Les f
édition, qui, comme les précédentes, est ornée de gravures sur bois, commence par le titre ou sommaire suivant : Ci commence
e gravures sur bois, commence par le titre ou sommaire suivant : Ci commence le livre des subtilles hystoires et fables de Eso
n rouge et porte au verso le portrait d’Ésope. La vie de ce fabuliste commence sur le recto du deuxième feuillet et finit au bas
, non chiffrés, signés de a à h et illustrés de gravures sur bois. Il commence par ce titre : Les subtilles fables de Esope aue
 lignes, illustrés de gravures sur bois et signés de A à Q. Le volume commence par ce titre : Esopet en Françoys auecque les Fa
e nombre total des feuillets est de 142. Ils sont chiffrés. L’ouvrage commence par ce titre placé en tête du recto du premier fe
a Tabla de las fabulas que se contienen en este libro. La table qui commence au fol. 211 b occupe en outre les cinq feuillets
e. Première collection. Romulus de Vincent de Beauvais. Si je commence mon étude par les deux Romulus de Vincent de Beau
fables du Miroir historial, qui occupent les feuillets 106 et 107 et commencent sans titre préalable au haut du recto du feuillet
sont seulement au nombre de 27. Le copiste a omis les deux fables qui commencent par les mots Nocturnus quidam fur et Securis cum
dicra philosophorum (41). — XIII s. » Les fables du Miroir historial commencent en tête du recto du folio 38 et se terminent au b
porte la date de 1473. Les fables du Miroir historial qu’il renferme, commencent au haut de la première col. du feuillet 284 rº et
mulus de Vincent de Beauvais tiré du Miroir historial. Les fables qui commencent au fol. xcvij rº, sont au complet. Elles sont pré
Les huit premiers feuillets sont consacrés à la table et le neuvième commence par cette première ligne du livre XIX : ij. De o
3 premiers feuillets contiennent la table des matières. Le quatrième commence ainsi : Incipit primvs liber specvli moralis ||
premiers sont consacrés à la table des matières, et dont le troisième commence par cette ligne : Speculum historiale Vincentii
, dont les 3 premiers sont occupés par la table, et dont le quatrième commence à la deuxième colonne du recto par ce titre : I.
te la table des chapitres et la table particulière du livre XVII, qui commence par ce titre à la première colonne du recto du fo
V renferme les livres XXV à XXXII. Il se compose de 191 feuillets, et commence par la table des matières. Puis on lit au verso d
remière colonne : Cy finist le xve liure du miroir  || historial. Et commence le xvie. Tome III, comprenant les livres XVI à 
titre : Le quart volume || de Vincent miroir || hystorial. La table commence au verso du premier feuillet et occupe les cinq a
riture très lisible est sur deux colonnes. Les fables qu’il renferme, commencent au fol. 113 verso et finissent au fol. 117 recto.
i de faire un choix de fables amusantes. Romulus, pour lui complaire, commence par traduire en prose latine les fables grecques
portent un nom, c’est toujours celui d’Ésope. Ainsi le manuscrit 8509 commence par ces mots : Incipit liber Esopi  ; le manuscri
it 14381 n’a ni phrase initiale ni phrase finale ; le manuscrit 15135 commence par cette invocation : Sancti Spiritus assit nobi
i de l’épigramme, qui, dans la pensée du scribe étant du même auteur, commence , sans intervalle et sans titre, au bas de la même
n parchemin. Les fables, dont l’écriture paraît être du xive  siècle, commencent au feuillet 63 et finissent au feuillet 101. Ce s
au format in-4º et se compose de 234 feuillets en papier. Les fables commencent en tête du recto du feuillet 73 et finissent au b
du xive  siècle. Il se compose de 125 feuillets. Les fables ésopiques commencent au recto du feuillet 48 et finissent au verso du
r, 6º le livre de Tobie. Les fables, dont j’ai seulement à m’occuper, commencent au recto du fol. 28 vers le bas de la page. Elles
plus qu’au complet, c’est-à-dire qu’elles sont au nombre de 62. Elles commencent au haut du recto du deuxième feuillet, ne sont pr
huius libri. Il est entièrement consacré aux fables de Walther, qui commencent au recto du feuillet 2, et qui ne sont accompagné
olution. Les fables de Walther, qu’entre autres ouvrages il renferme, commencent sans titre général au milieu du verso du feuillet
se collection du palais Mazarin. Les fables ésopiques qu’il renferme commencent au recto du feuillet 27 et finissent au recto du
nairement 261 feuillets en parchemin ; mais le traité de musique, qui commençait au feuillet 96 et finissait au feuillet 112, a di
gratia. Amen. Puis au-dessous on lit : Incipit Esopus. Les fables commencent au recto du feuillet 113 et finissent au recto du
préoccupé de la symétrie, a placé un titre général ainsi conçu : Ci commence la compilation de Ysopet-Avionnet. Voici la trad
e du manuscrit. Elle s’étend du feuillet 89 a au feuillet 113 b. Elle commence par ce prologue : Or vous ai des fables aprises
publierai le texte. Le manuscrit 1594 se termine par un épilogue, qui commence au milieu du recto du feuillet 112 et finit au mi
e Cangé 106, porte aujourd’hui le nº 1595 ; c’est par lui que je vais commencer mon examen. C’est un volume in-4º, dont l’écritur
s du manuscrit 1594, sont suivies d’un épilogue en vers français, qui commence au fol. 35 b et se termine au fol. 36 a. Cet épil
mier. Les feuillets 36 b à 37 a sont occupés par une pastourelle, qui commence par ces deux vers : (A)u temp pascour que toutes
: Le liure fait a chier tenir Et conuient Ysopet fenir. Le prologue commence à la première colonne du feuillet 109, et l’épilo
lther, ni avec celle de Marie de France. Ces fables, ainsi composées, commencent au fol. 75 a par ce titre général : Cy cōmence l
ter l’écriture au xiie  siècle ; elle n’est que du xiiie . Les fables commencent au recto du premier feuillet. Elles ne portent pa
au verso d’un feuillet et au recto du suivant. Il en résulte qu’elles commencent réellement au recto du feuillet 91, où elles sont
des manuscrits, il comprend plusieurs ouvrages. Les fables de Walther commencent au feuillet 105 b et se terminent au feuillet 123
anuscrits, ses estampes et les ouvrages rares qu’elle renferme. Il la commença en 1734, et il ne cessa pendant trente ans de l’a
i lo jape… « Le volume, assez précieux par cette version peu connue, commence par un prologue et se termine par une fable intit
et de laignelat. Les soixante-dix vers dont la traduction se compose commencent par ce premier : Entre lo lou et laignelat, et
e ainsi jusqu’à la dernière fable de Walther De Cive et Equite , qui commence au fol. 85 b. Les quatre-vingt-douze vers latins
de la langue latine. C’est ainsi qu’au lieu du mot Cervus, par lequel commence la fable xxxi, il a écrit Servus. Le manuscrit of
es arabes. L’opuscule suivant, qui forme une collection d’exorcismes, commence immédiatement au-dessous de cette date par ce tit
la fable à laquelle il s’applique. Le préambule a été omis ; le texte commence par ce premier vers de la première fable : Dum r
eurs une plus longue analyse, consiste dans les fables d’Avianus, qui commencent au feuillet 88 a et finissent au feuillet 97 a, e
ères, je m’arrête seulement aux secondes. En tête de la page où elles commencent on lit ces deux mots qui leur tiennent lieu de ti
de Walther qui les suivent. Limitées aux soixante authentiques, elles commencent au haut de la deuxième colonne du feuillet 110 b.
et suivies chacune d’un commentaire. Celui qui s’applique au prologue commence ainsi : Incipiunt fabule Esopi ad detestacionem
l’a signé. Les fables de Walther, limitées aux soixante ordinaires, commencent sans titre général au recto du feuillet 297. Chac
habet. À la fin des fables de Walther viennent celles d’Avianus qui commencent au fol. 65. C’est tout ce que renferme le manuscr
iaques, qui sont le huitième des vingt et un ouvrages qu’il renferme, commencent au recto du feuillet 83 par le prologue ordinaire
et qui sont au nombre de douze se trouvent les fables de Walther qui commencent au feuillet 393. Elles sont accompagnées d’un com
, les vraies fables d’Avianus, et le cinquième, celles de Walther qui commencent au feuillet 68 a et se terminent au feuillet 123 
mier : Sonelus , et le second : Commentum. Le prologue latin, qui commence au verso du premier feuillet, est également suivi
dvx Iste liber est mei Jarandi de nobilibus Chairi   Les fables commencent au recto du deuxième feuillet et portent pour tit
du volume est consacré à l’œuvre de Rimicius. Au recto du feuillet 26 commence par les mots : Novas nimirum merces la dédicace
 fables ordinaires par un véritable calligraphe du xve  siècle. Elles commencent au feuillet 2 a sans titre, ne sont pourvues d’au
ce romans. Puis vient un épilogue, qui, composé de 84 vers français, commence par les quatre suivants : Or vous ai conté maint
cédées d’un prologue de trente vers qui est intitulé Addition, et qui commence ainsi : Or vous ai des fables aprinses Qui en Ys
t toutes tirées d’Avianus. Aussi portent-elles ce titre général : Ci commence le liure Auionnet. Elles sont suivies de l’épil
cahiers renferme, fort lisiblement écrites, les fables de Walther qui commencent au feuillet 116 b du volume et se terminent au fe
t les fables de Walther, est complété par le poème d’Eva columba, qui commence au haut du feuillet 137 a et finit au milieu du f
araît être du xive  siècle. Il renferme les 60 fables de Walther, qui commencent au feuillet 98 a et finissent au feuillet 118 b.
, comprenant douze églogues. Puis viennent les fables de Walther, qui commencent au feuillet 32 et se terminent par les mots : Ex
r. Les distiques de Denys Caton, précédés de la dédicace à son fils, commencent au feuillet i a et sont terminés au bas du feuill
Finito libro sit laus et gloria Christo. Au haut du feuillet xii a commencent les fables d’Avianus, qui se terminent vers le ha
i son travail. Le manuscrit renferme la fable De Lupo et Opilione qui commence au haut de la première colonne de la page 370. Qu
qui précède. Cette pièce est intitulée : Ad Paulinum Augustinus , et commence par ces mots : Apostolus Paulus ad Timotheum scr
, comprenant les soixante-deux ordinaires, forment le douzième. Elles commencent à la première colonne du feuillet 58 b, ne porten
écrits et 6 laissés blancs. Les 60 fables de Walther qu’il renferme, commencent au feuillet 164 a, où elles ont pour titre le seu
feuillets 1 et 2 a sont remplis par la préface des épigrammes, qui ne commencent au feuillet 2 b qu’après cet avertissement : « Is
is salvetur omnibus oris. Amm̄m. C’est au verso du feuillet 25 que commencent les fables de Walther, dont l’écriture est la mêm
seulement les 60 fables de Walther et les deux complémentaires. Elles commencent au recto du premier feuillet par ce titre : Inci
bles conservées sont d’abord les fables 42 à 60. La quarante-deuxième commence au deuxième vers ainsi conçu : Hæc mouet, ut fia
e seconde main et relative à la fable De Gallo et Jaspide. Les fables commencent au recto du second feuillet ; elles ne sont précé
bulæ Æsopi metricæ désignent les fables de Walther. La collection qui commence au milieu du verso du feuillet xx porte un titre
n du xive  siècle. Le recto du premier feuillet, en tête duquel elles commencent précédées de ce titre général : Incipit liber Es
-4º et ne renferme que deux ouvrages. Le premier, en vers hexamètres, commence , sans titre, au haut du feuillet 1 a, mais se ter
: Explicit liber Senece. Deo gratias. Amen. Le second ouvrage, qui commence au haut du feuillet 7 a, consiste dans les 60 fab
od credere non debemus. À la suite de ces observations préliminaires commencent les fables annoncées par ces mots à l’encre rouge
es fables de Walther dues à un copiste italien du xive  siècle. Elles commencent au haut du recto du premier feuillet sans titre g
n moindre qui ont appartenu à un autre manuscrit de Walther. Le texte commence à ce cinquième vers de la fable xli dans laquelle
le verso est blanc. Les fables de Walther, accrues d’un commentaire, commencent au verso du feuillet B iiii, c’est-à-dire à la pa
s feuillets est de 212. Les fables de Walther, au nombre de soixante, commencent au feuillet v 7 a, c’est-à-dire au recto du feuil
c’est au feuillet portant la signature v 7, que les fables de Walther commencent par ce titre : Incipit liber fabularum Esopi.
es qui se composent des soixante-deux le plus ordinairement publiées, commencent au feuillet a ii a et finissent au feuillet c iii
ques. Le verso du même est occupé par la table. Les fables de Walther commencent au recto du deuxième feuillet, précédées du préam
it de cinquante-deux feuillets au total. Au verso du premier feuillet commencent les fables de Walther précédées du préambule en p
ont précédées chacune du commentaire commun à toutes les éditions qui commencent par le même préambule. En outre, chaque distique
colonnes et composé de 132 feuillets numérotés. Les fables de Walther commencent au recto du feuillet 102 et finissent au verso du
e quarante. Les fables de Walther, auxquelles le volume est consacré, commencent au verso du premier feuillet sans autre titre que
tre derniers sont blancs. La traduction des fables en langue vulgaire commence au feuillet 49, qui portait autrefois le nº 51, e
Walther par un traducteur Siennois. Le recto du premier feuillet, où commence le prologue, est orné d’un encadrement et d’une l
ment habituel. La première fable est celle du Coq et de la Perle, qui commence par les mots : Per una stagione con grande solec
Les quarante-six fables ésopiques en langue vulgaire qu’il renferme commencent au feuillet 30 a et se terminent au feuillet 48 b
ues par Minutoli. La première fable, qui est intitulée : Del Gallo , commence par ces mots : Dicie che uno Ghallo andando per
r et qui n’est que la copie d’un vieux codex faite au siècle dernier, commence ainsi : Questo libro si chiama Isopo volgarizzat
bles sont précédées d’un prologue, qui, au recto du premier feuillet, commence en ces termes : Sforza si la presente scriptura
dition de Padoue de 1811. Elles sont précédées d’une introduction qui commence par ces mots : Isforzasi la presente scriptura a
ple apographe. Il contient l’Esopo volgarizzato per uno da Siena, qui commence au recto du deuxième feuillet par ce double titre
 : le titre général est immédiatement suivi de la première fable, qui commence par ces mots : Per una stagione chon grande soll
ar cette souscription : Finiscono li capitoli de Esopo. Au-dessous commence une préface surmontée de ce titre : Incomīcia il
Exopo. Tous les titres et souscriptions sont à l’encre rouge. Puis commencent les fables, suivies chacune d’une morale, qui por
par l’académicien Louis Rigoli. Les fables, précédées d’un préambule, commencent à la page 20. Leur nombre est de cinquante-trois
eronae die || XXVI Junii. M.CCCC.LXXVIIII. Au verso du même feuillet commence une Concionetta qui se termine au milieu du recto
es. Le volume présente d’abord un feuillet blanc ; au recto du second commence la table comprenant 64 fables classées sous 66 nu
immédiatement par un Sonetto materiale et par un Sonetto morale. Puis commencent les fables, illustrées chacune d’une gravure et s
ose de 168 feuillets qui ne présentent ni réclames, ni signatures. Il commence par un feuillet blanc ; puis au recto du deuxième
talienne. À la suite de la vie d’Ésope il y a un feuillet blanc. Puis commencent les fables sur le recto d’une page ornée d’un lar
et 45, qui est agrémenté d’un encadrement xylographique à arabesques, commencent les fables par ce titre : Prothesis comparativa.
les, dans ce volumineux recueil, n’occupent que deux feuillets. Elles commencent au haut du recto du folio 31 et finissent au bas
ance dans sa jeunesse, Neckam acheva à Paris son éducation littéraire commencée en Angleterre. Il y enseigna même les lettres, et
lle natale. Il paraît qu’il avait formulé à cet effet une demande qui commençait par ces mots : « Si vis, veniam ; sin autem, tu a
vorat Agnum. C’est à M. Robert qu’était réservée la bonne fortune de commencer la découverte des fables de Neckam ; vers 1825, i
s loin que dans Phèdre du premier distique de Neckam ; en effet, elle commence ainsi : Lupus osse devorato fauce inhæso. Et c
i sont dans cette nomenclature désignées par les mots Aesopi fabulae, commencent à la fin du fol. 110 a et se terminent au fol. 11
n tête. Le dernier ouvrage est intitulé : De la misère de l’ome. Il commence à la fin de la deuxième colonne du feuillet 437 b
llet 437 b, et est incomplet comme le manuscrit lui-même. Les fables commencent au feuillet 171 a. Le titre a été laissé en blanc
ite à l’encre rouge : Cy finent les fables d’Ysopes le philosophe et commence la complainte de celi qui ce livre rima. L’épilo
deux mêmes font défaut, et le même épilogue clôt la collection. Elles commencent au bas du feuillet 1 b, que décore une superbe mi
une superbe miniature, et sont annoncées par cette suscription : Ci commencent les fables Ysopet et les moralités qui sont dessu
euxième qui, dans la bibliothèque autrichienne, porte la cote 901. Je commence par affirmer que la collection contenue dans ce m
erme les cinquante fables du dérivé viennois du Romulus de Vienne qui commencent sans dédicace préalable au recto du feuillet 7 et
versione prosaïca Romulo ascripta (fol. 33 b à 50 a). Les fables qui commencent au folio 33 b, sont celles de l’Anonyme de Névele
anuscrit, est celle qui, habituellement intitulée : De Lupo et Vulpe, commence par ce vers : Respondere Lupo de furti labe tene
repris la copie ; mais le temps me faisant défaut, à peine l’avais-je commencée que je dus l’interrompre, et, l’un des employés d
e Florence une imitation ou une simple copie du Romulus ordinaire, je commençai par rechercher si leur nature ne m’obligeait pas
cle. Les vingt premiers sont remplis par les fables de Romulus. Elles commencent au haut du recto du premier feuillet par ce titre
sion judiciaire. Le manuscrit renferme deux ouvrages. Le premier, qui commence au recto du 2e feuillet, porte ce titre : Incipi
par cette souscription : Hucusque hystoria Daretis. Le second, qui commence au recto du même feuillet, porte à l’encre rouge
deux qui sont incomplètes ; ce sont les fables 40 et 50. La fable 40, commencée au verso du folio 35, s’arrête aux mots Cui Iuno
par l’espace blanc jugé nécessaire à son achèvement, et la fable 50, commencée au recto du fol. 39, s’arrête aux mots iacentem
l se compose de 192 feuillets. La collection de fables qu’il contient commence au recto du feuillet 96. Ces fables sont classées
s’appropriant presque entièrement le Romulus primitif, la collection commence par reproduire, séparées en deux groupes, mais ra
dantes des 103 qui ont été éditées ; elles ne portent pas de titre et commencent l’une par ce vers : N’a pas encor passé dix ans,
du Renard et beaucoup d’autres œuvres poétiques. Les fables de Marie commencent à la deuxième colonne du verso du feuillet 88 ; e
française. De ces œuvres celle de Marie est la vingt-troisième ; elle commence , au recto du feuillet 74, par le prologue composé
s, j’ai eu l’occasion d’en signaler une, qui, dans le manuscrit 2173, commence par ce vers : Dou vilain cont(e) qui prist a fam
sont au contraire des numéros de feuillets. Ainsi les fables de Marie commencent au feuillet 198 rº et se terminent au feuillet 21
li drois || bestiaires de la devine escripture. Les fables de Marie commencent en tête du feuillet 159 a et se terminent au mili
7º De la Vieille qui oint la paume au Chevalier. Les fables de Marie commencent au feuillet 58 a et se terminent au feuillet 92 b
quefort en a pris connaissance527. Les fables de Marie qu’il renferme commencent au haut du feuillet 15 a par ce titre à l’encre r
ommencent au haut du feuillet 15 a par ce titre à l’encre rouge : Ci commences de Ysopes , et se terminent au haut de la deuxièm
du feuillet 89 a au feuillet 114 b. Elle porte ce titre général : Ci commence Esopes. Le prologue qui précède les fables est
œuvres contenues dans le manuscrit figurent les fables de Marie, qui commencent par le prologue en 40 vers à la première colonne
t à l’origine 50 feuillets ; mais il est privé du premier, sur lequel commençait un Bestiaire. Les fables de Marie débutent par le
bas du feuillet 28 b, elles sont annoncées par ce titre général : Ci commence ysopet en françois qui contient LXXXI chapitres.
de variantes. Il y a une première série commençant par ce titre : Ci commence de Ysopes. Sur la première page, l’auteur de la
es ont surnommé Glanville535. Ce traité est précédé d’un prologue qui commence au haut de la première colonne du premier feuille
partenaient à la même collection, sans titre général qui les annonce, commencent aussitôt, dépourvues également de titres particul
90 a), sont closes par ces mots : Expliciunt Apologi Auiani. Puis commencent , sans intervalle apparent, les vingt-deux fables
e Trèves. Le manuscrit 1108, autrefois CV, est celui par lequel je commence mon analyse, d’abord parce que c’est le plus anci
Dérivé complet, qui esi le premier ouvrage contenu dans le manuscrit, commence au haut du verso du premier feuillet par ce premi
annoncé par ces mots : Sequitur prologus Esopi in librum fabularum , commence en tête de la première colonne du feuillet 37 b e
s 1108, dans le manuscrit Théol. 126 la fable du Renard et du Corbeau commence par ces mots : Corvus perfidie pinguem caseum ,
atus varii. Le Dérivé complet du Romulus anglo-latin qu’il contient commence à la première colonne du feuillet 1 a et se termi
nguées des premières que par ces deux mots : Incipit Auianus. Elles commencent à la première colonne du feuillet 26 a et se term
e est la traduction de celle qui, dans l’œuvre d’Eude de Cherrington, commence par ces mots : « Cornix semel videns se turpem, e
21 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — FABLE I. Le Meusnier, son Fils, et l’Asne. » p. 721
oins ;
 (Comme ils se confioient leurs pensers et leurs soins)
 Racan commence ainsi : Dites-moy, je vous prie, Vous qui devez s
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIV. D’un Laboureur et de ses Enfants. »
s, pour faire veoir combien la discorde leur a esté dommageable. Pour commencer donc par celuy des Perses, n’est il pas vray que
23 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CII. De l’Enfant, et du Larron. »
xperience. Car à peine avons-nous atteint l’âge de cinq ans, que nous commençons dés là de conçevoir des haynes, et des vengeances
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIV. Du Singe, et du Renard. »
s, par une maniere de tyrannie. Mais le monde se raffinant peu à peu, commença d’avoir en haine ceux qui regnoient par la force,
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXII. D’un Enfant, et de sa Mere. »
orge aussi de larcins, et de choses illegitimement acquises. Car pour commencer par les Souverainetez, l’on tient qu’elles vienne
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ameine à son Maistre un homme niais, et sans soucy. Chapitre XVI. »
asteau sur la table, que ce Vilain hoste, le tournant de tous costez, commença d’en manger, comme si ç’eust esté du pain, et com
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
tion vertueuse, mais encore à la perfection de toute Vertu. Car ayant commencé à bien faire pour l’amour de l’honneur, nous veno
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