/ 1
1 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
, pareils à ceux qui, de nos jours, remplissent dans les journaux les colonnes consacrées aux nouvelles diverses ; c’est ainsi q
irablement nette, est sur vélin, et se divise sur chaque page en deux colonnes . Il n’y a que dix feuillets. Les fables de Romulu
r feuillet et se terminent au verso du sixième, au bas de la première colonne . Au haut de la seconde commence un ouvrage qui a
gues lignes, sauf sur les feuillets 115 a à 128 b, où elle est à deux colonnes . Voici l’analyse du contenu. Fol. 1 à 2, 129 à 13
volume in-4º de 70 feuillets réimprimés en lettres gothiques, à deux colonnes de 40 lignes, illustrés de gravures sur bois et s
me in-fol. de 100 feuillets, imprimé en caractères gothiques sur deux colonnes , orné de gravures sur bois inspirées par celles d
dernier non chiffré. Fol. 1 a. — Six gravures xylographiques sur deux colonnes se rapportant à la vie d’Ésope avec ce titre plac
). — Frontispice dans l’encadrement duquel sont six gravures sur deux colonnes . Au-dessous on lit : Libro de sabio y clarissimo
riture est d’une finesse extraordinaire, elle a été disposée sur deux colonnes . La dernière fable se termine au milieu de la deu
deux colonnes. La dernière fable se termine au milieu de la deuxième colonne du feuillet 107 verso. Les fables sont seulement
ol. 1-4 ; table des chapitres des livres I à XXXII, fol. 12-15, sur 4  colonnes . Début de l’ouvrage : « Deus est substancia incor
olume contient 424 feuillets, et le second 431. Beau manuscrit à deux colonnes , avec initiales en or et en couleur. B. Manus
ie  siècle. Provenance inconnue. Manuscrit en gothique mixte, à deux colonnes , avec initiales coloriées et titres à l’encre rou
rdeliers de Freising, forme un volume in-fol., dont l’écriture à deux colonnes est du xve  siècle. Il porte la date de 1473. Les
raison de cinquante-deux lignes sur chaque face, une écriture à deux colonnes . Ce manuscrit contient seulement les quatorze pre
e premier, de 286 feuillets, le second de 345, dont l’écriture à deux colonnes sur vélin est irréprochable et qui contiennent to
s. 1º Speculum naturale. Un volume du grand format in-folio, à 2  colonnes de 66 lignes chacune sans gardes, signatures ni p
livre XIX : ij. De opere sexte diei. Et primo de anima. La première colonne du verso du dernier feuillet ne renferme que 27 l
2º Speculum doctrinale. Un volume du grand format in-folio à deux colonnes de 67 lignes par page sans gardes, signatures ni
nation. L’ouvrage qui embrasse 400 feuillets se termine à la deuxième colonne du recto du dernier feuillet, qui n’a que 60 lign
le. Première édition. Un volume in-folio de 474 feuillets à 2  colonnes de 62 lignes chaque. Il est imprimé en lettres ro
facile à distinguer du premier par cette circonstance que la dernière colonne de l’avant-dernier feuillet est terminée par une
iale Vincentii Beluacensis fra. Le contenu se termine à la deuxième colonne du recto du dernier feuillet par ces mots : Prim
ont occupés par la table, et dont le quatrième commence à la deuxième colonne du recto par ce titre : I. De promotōne claudij
ad imperium || Comestor. Au dernier feuillet du tome II, la deuxième colonne du recto qui ne se compose que de 13 lignes, se t
e particulière du livre XVII, qui commence par ce titre à la première colonne du recto du folio 3 : I. De cōtemporalitate. ix.
ralitate. ix. regnorū. Le dernier feuillet est terminé à la deuxième colonne du verso par cette ligne : ordinis predicatorum
s matières. Puis on lit au verso du deuxième feuillet sur la deuxième colonne  : I. De imperio Karoli magni et forma. Enfin, a
oli magni et forma. Enfin, au verso du dernier feuillet, la première colonne se termine par cette souscription : Speculum Vin
dition du Speculum historiale en quatre volumes grand in-folio à deux colonnes de 62 lignes chacune, imprimés en lettres rondes
tellin. Quatrième volume. Au verso du dernier feuillet, la deuxième colonne se termine par une souscription imprimée en lettr
ut publié une édition formée de trois volumes, grand in-folio, à deux colonnes de 52 lignes chacune, sans chiffres, réclames ni
 XXXII. Au verso du dernier feuillet du troisième volume, la première colonne se termine par cette souscription en 10 vers suiv
lrich Zell de Cologne une édition in-folio du Speculum morale, à deux colonnes de 56 lignes, qui ne porte ni signatures, ni récl
du plus grand format in-folio, imprimé en caractères gothiques à deux colonnes , sans signatures, réclames, ni pages numérotées.
mes du grand format in-folio, imprimés en caractères gothiques à deux colonnes et ornés de gravures sur bois. Il paraît que ces
historial se terminent par cette souscription placée sur la deuxième colonne  : Cy finist le premier volume de || Vincent hyst
dernier feuillet par cette souscription placée au bas de la première colonne  : Cy finist le xve liure du miroir  || historial
dernier feuillet par cette souscription placée au bas de la première colonne  : Cy finist le vingt et deuziesme || liure du mi
dernier feuillet par cette souscription qui se trouve sur la première colonne  : Cy fine le xxviie liure || Du miroir hystorial
dernier feuillet par cette souscription placée au bas de la deuxième colonne  : A l’honneur et louenge De nostre || seigneur i
-folio, dont les feuillets, imprimés en caractères gothiques sur deux colonnes , sont signés et numérotés. L’imprimeur en avait f
1 feuillets en parchemin et dont l’écriture très lisible est sur deux colonnes . Les fables qu’il renferme, commencent au fol. 11
ne où il porte le nº 676. C’est un petit in-4º dont l’écriture à deux colonnes sur vélin est du xiiie  siècle. Les fables qui oc
posé de 152 feuillets en parchemin, dont l’écriture, disposée en deux colonnes , est du xve  siècle. Il renferme la même traducti
r tenir Et conuient Ysopet fenir. Le prologue commence à la première colonne du feuillet 109, et l’épilogue, à la deuxième du
lus remplies n’ont que 27 lignes et ne sont écrites que sur une seule colonne . Le manuscrit a renfermé les fables de Walther, s
st, non du xiie  siècle, mais du xiiie . C’est un volume in-4º à deux colonnes , à tort qualifié in-fº, et formé de trente-neuf f
que final ainsi transposé est lui-même, vers le milieu de la première colonne du feuillet 19 b, suivi de ces trois vers léonins
in-fº, est composé de 244 feuillets en papier dont l’écriture à deux colonnes est due à une main du xve  siècle. Il porte le mi
es aux soixante authentiques, elles commencent au haut de la deuxième colonne du feuillet 110 b. Elles ne portent pas de titres
actères au point de pouvoir sur le dernier feuillet placer une double colonne de vers. Ce feuillet ne contenait qu’une partie d
euillets en parchemin, chiffrés par pages, dont l’écriture est à deux colonnes . Il contient de nombreux ouvrages en prose et en
e et en vers et notamment les fables de Walther, qui, au bas de la 2e  colonne de la page 200, sont annoncées en ces termes : I
erme la fable De Lupo et Opilione qui commence au haut de la première colonne de la page 370. Quoiqu’elle ait déjà été publiée,
illets, au nombre de 62, sont en parchemin et dont l’écriture à trois colonnes est du xiiie  siècle. D’après la table manuscrite
-deux ordinaires, forment le douzième. Elles commencent à la première colonne du feuillet 58 b, ne portent pas de titre général
nées d’aucun commentaire et se terminent vers le haut de la troisième colonne du feuillet 61 b par les mots Explicit Esopus .
n’est pas la seule : il en existe une seconde qui est écrite sur deux colonnes , et qui s’étend du feuillet 60 a au feuillet 68 b
exte auquel elle se rapporte. Elle se termine au milieu de la seconde colonne du feuillet 68 b par cette première souscription 
rit 688 est un volume in-4º de petit format, dont l’écriture sur deux colonnes appartient au xiiie  siècle. Il renferme plusieur
bris. Au verso du dernier feuillet est représenté un soubassement de colonne qui porte cette inscription : Lepidis-||simi Eso
de 1494 et 1496. Elle a été imprimée en caractères gothiques sur deux colonnes , par cahiers signés de a à z et composés chacun d
euvième. Elle forme un volume in-4º de grand format, imprimé sur deux colonnes et composé de 132 feuillets numérotés. Les fables
2 et finissent au verso du feuillet 113 vers le milieu de la deuxième colonne . Au recto du feuillet 102, en tête de la première
la deuxième colonne. Au recto du feuillet 102, en tête de la première colonne , est une vignette, dans laquelle on lit le mot Es
traduction. Encore n’est-elle que partielle. Commençant à la deuxième colonne du feuillet 58 b et se terminant à la deuxième du
pier portent une écriture italienne de la fin du xive  siècle, à deux colonnes sur les 29 premiers et à longues lignes sur les a
 feuillets en papier chiffrés par une main moderne. L’écriture à deux colonnes est de plusieurs copistes. Les feuillets 35 à 38,
em . Fol. 3 b (a 3 vº). — Face, gravée sur bois, d’un soubassement de colonne portant ces mots : Lepidis||simi || Aesopi || fa
deux sonnets italiens qui en sont la traduction. Au bas de la seconde colonne de la table qui occupe le verso du feuillet 71 on
 Le recto de l’avant-dernier feuillet est rempli par une table à deux colonnes intitulée : Tabula in fabulas Esopi. Le verso d
auquel pourtant il en reste encore 443 en parchemin, écrits sur deux colonnes en caractères gothiques par une main du xive  siè
titulé : De la misère de l’ome. Il commence à la fin de la deuxième colonne du feuillet 437 b, et est incomplet comme le manu
s feuillets en parchemin portent une écriture du xiiie  siècle à deux colonnes , assez difficile à déchiffrer. Il se compose de 1
en parchemin et partie en papier et dont l’écriture très fine, à deux colonnes , est du commencement du xive  siècle. Il a fait p
autres œuvres poétiques. Les fables de Marie commencent à la deuxième colonne du verso du feuillet 88 ; elles portent ce titre
rme un volume in-4º de 218 feuillets écrits, dont l’écriture sur deux colonnes est due à une main du xiiie  siècle. Les 218 feui
re moins ancienne que le reste. Ils occupent la moitié de la première colonne du feuillet 99 a. À la suite des fables de Marie,
ait la cote 7856.3.3, forme un volume in-4º, dont l’écriture sur deux colonnes est du xiiie  siècle. Il se compose de 250 feuill
volume in-4º de 241 feuillets en parchemin, dont l’écriture sur deux colonnes est du xiiie  siècle. Il a appartenu à Baluze qui
nt en tête du feuillet 159 a et se terminent au milieu de la deuxième colonne du feuillet 186 a. Elles sont annoncées par ce ti
ormat, composé de 97 feuillets en parchemin, dont l’écriture sur deux colonnes appartient au xiiie  siècle. Voici, d’après le ca
i se compose de 56 feuillets en parchemin et dont l’écriture sur deux colonnes est du xive  siècle. L’œuvre de Marie s’étend du
ol., qui comprend 205 feuillets en parchemin et dont l’écriture sur 3  colonnes est du xive  siècle. Il a appartenu au duc de Coi
ge : Ci commences de Ysopes , et se terminent au haut de la deuxième colonne du feuillet 24 b par cette souscription : Explic
fol., composé de 118 feuillets en parchemin, dont l’écriture sur deux colonnes est la gothique du xiiie  siècle. Les feuillets e
les de Marie, qui commencent par le prologue en 40 vers à la première colonne du feuillet 55 b et qui se terminent par l’épilog
b et qui se terminent par l’épilogue en 22 vers au bas de la première colonne du feuillet 80 b. L’écriture, qui est sur deux co
de la première colonne du feuillet 80 b. L’écriture, qui est sur deux colonnes , offre cette particularité que la lettre v, qui d
me in-4º, composé de 49 feuillets en parchemin, dont l’écriture sur 2  colonnes est du xiiie  siècle. Il possédait à l’origine 50
6 à 48, 57 à 65 et 72 à 103. Elles se terminent au bas de la première colonne du feuillet 49 a par cette souscription : Explic
pliciunt fabule Isopi. || Deo gracias. Amen. Au haut de la deuxième colonne du feuillet 49 a, on lit ce commencement d’ex lib
qu’un propriétaire plus récent a fait disparaître. Au bas de la même colonne , contrairement à l’indication de M. de Roquefort5
dont les feuillets sont en parchemin et dont l’écriture est sur deux colonnes . Il contient un grand nombre de pièces, parmi le
gé, composé de 114 feuillets en parchemin, dont l’écriture est à deux colonnes . Parmi les ouvrages qu’il contient, figurent les
n volume in-4º de 162 feuillets en parchemin, dont l’écriture est à 2  colonnes . Sur un feuillet en papier ajouté par le relieur,
pourvues de titres spéciaux, et se terminent au milieu de la première colonne du feuillet 67 b par l’épilogue en 22 vers, qui a
parchemin, savoir : 117 écrits et 3 blancs, et dont l’écriture à deux colonnes est du xiiie  siècle. L’œuvre de Marie y occupe l
illets, au nombre de 162, sont en parchemin et dont l’écriture à deux colonnes est du xive  siècle. Il a appartenu à plusieurs b
traité est précédé d’un prologue qui commence au haut de la première colonne du premier feuillet par ce titre : Incipit Prolo
in libro de natura rerum , et qui se termine au milieu de la première colonne du feuillet 157 a par la souscription suivante :
exte d’Avianus, qui finissent à l’antépénultième ligne de la deuxième colonne du feuillet 159 b et sont closes par ces mots :
l du Romulus anglo-latin, qui se terminent vers le bas de la deuxième colonne du verso du dernier feuillet. Le petit vide qui
édent, un volume in-fol. de très petit format, dont l’écriture à deux colonnes , sur parchemin, est du xive  siècle. Si l’on s’en
remier feuillet et en dehors de la première ligne de chacune des deux colonnes , on lit : Ave Maria. N’étant que la copie du m
rietatibus rerum, dont le prologue, commençant au haut de la première colonne du recto du premier feuillet, est annoncé par ce
turis rer/. L’ouvrage se termine à la septième ligne de la première colonne du feuillet 184 a (en réalité 185 a), et la fin e
en prose latine d’Avianus qui, se terminant au milieu de la première colonne du feuillet 189 a (en réalité 190 a), sont closes
x fables du Dérivé du Romulus anglo-latin, qui, au bas de la première colonne du feuillet 194 b (en réalité 195 b), sont suivie
encre noire : Explicit, expliceat, ludere scriptor eat. La deuxième colonne est vide. Tel est le manuscrit 347 B. Quoique exé
0, forme un volume in-fol. de petite dimension dont l’écriture à deux colonnes est de la première moitié du xve  siècle. Il renf
it registrum fabularum Esopi , qui se lit vers le haut de la première colonne du feuillet 37 a. Elle est immédiatement suivie d
: Incipit Registrum fabularum Auiani , et qui, au bas de la deuxième colonne du feuillet 37 a, se termine par cette souscripti
prologus Esopi in librum fabularum , commence en tête de la première colonne du feuillet 37 b et qui sont seulement au nombre
it format, composé de 194 feuillets en papier, dont l’écriture à deux colonnes est du xve  siècle. Il contient plusieurs ouvrage
31 à 536, dont les feuillets sont en papier et dont l’écriture à deux colonnes est du xve  siècle. Conformément à l’usage adopté
complet du Romulus anglo-latin qu’il contient commence à la première colonne du feuillet 1 a et se termine à la première colon
nce à la première colonne du feuillet 1 a et se termine à la première colonne du feuillet 26 a. Il débute par son prologue ordi
par ces deux mots : Incipit Auianus. Elles commencent à la première colonne du feuillet 26 a et se terminent à la deuxième du
 A. VII et composé de 84 feuillets en parchemin, qui portent sur deux colonnes une écriture très fine. Les fables occupent les f
pier et les autres en parchemin, et dont l’écriture, disposée en deux colonnes , est du xvie  siècle. Il ne renferme qu’un extrai
fables rythmiques. Cet extrait, qui s’étend du milieu de la deuxième colonne du feuillet 204 a au milieu de la première colonn
ieu de la deuxième colonne du feuillet 204 a au milieu de la première colonne du feuillet 206 b, comprend le prologue et 20 fab
à ce vers : Plaudens atque Lupus ad Pastorem veniebat. La fin de la colonne n’a pas été remplie par le copiste, qui a évidemm
/ 1