/ 2
1 (1495) Hecatomythium primum - Hecatomythium secundum « [Hecatomythivm primvm] — Abstemius 31. De vidva virvm petente » p. 
t sera corrigé dans les éditions postérieures, notamment celles de la collection dite Æsopus Dorpii.
2 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
moi-même ou faisant copier tous les manuscrits où je rencontrais des collections de fables latines, je me suis ainsi muni de tout
t à leur tour été imités, et de ces imitations sont nées de nouvelles collections de fables, qui, à défaut de valeur philologique,
M AVG PHAEDER. FRATRI. PIISSIMO et que lui-même il a dans sa propre collection reproduit cette épigraphe inédite d’une pierre fl
vec la désinence grecque. Ainsi notamment il cite, en la tirant de sa collection épigraphique, cette inscription : TI. CLAVDIVS.
strat de Strasbourg avait refusé à Bongars l’achat de cette précieuse collection . « René de Gravisette mourut en 1614, et son fils
e féliciter du refus fait par le magistrat de Strasbourg d’acheter la collection de Bongars ; car il est probable qu’elle n’aurait
ut des romans et des chansons de geste et forment une des plus belles collections qu’on puisse voir des monuments de la littérature
lequel Schwabe exprimait ce regret, a été reproduit, en 1826, dans la collection des classiques latins de Lemaire avec une note de
e, la trouveront dans les éditions de ses œuvres et notamment dans la collection des classiques latins de Lemaire. Mais j’ai trop
qui me parurent le plus propres à m’éclairer. Je songeai d’abord à la collection des classiques latins de Lemaire ; je consultai l
Lemaire ; je consultai le Phèdre qui a été publié en 1826 dans cette collection et qui n’est avec quelques additions que la réimp
aurais trouvée dans le troisième volume, publié à Rome en 1831, de sa collection des auteurs classiques édités d’après les manuscr
d’après les manuscrits du Vatican126. Sans même fouiller cette vaste collection , j’aurais pu puiser des renseignements précis soi
 Jules Fleutelot, qui figure en tête du Phèdre publié en 1839 dans la collection des classiques latins de M. Nisard, soit dans l’h
e par M. Edelestand du Méril en 1854, soit enfin dans le volume de la collection des anciens poètes français, qui contient la chan
reusement ma mauvaise étoile me fit diriger mes regards du côté de la collection Panckoucke. Les fables de Phèdre y sont précédées
un exemplaire chez le libraire Giuseppe Dura, qui possède une immense collection de livres anciens. Elle n’a qu’une valeur de curi
le cardinal A. Mai faisait paraître à Rome le troisième volume de sa collection des classiques du Vatican, le philologue Orelli,
ubliée en 1806, fut rééditée par le professeur Gail, en 1826, dans la Collection des classiques latins de Lemaire, avec des notes
uction était portée ensuite sur le cahier d’honneur. De là vint cette collection de fables latines qu’on attribue à Phèdre, et qui
tails on apercevait des lambeaux de vers, disjecti membra poetæ. Deux collections de ces fables en prose attribuées à deux Romulus
me. Salon de Parme252 enfin en composa également soixante. Toutes ces collections ne contiennent que des fables de Phèdre un peu tr
hèdre ; comme on donnait, en général, au moyen âge le nom d’Ésope aux collections de fables latines en prose, il a dû par Ésope vou
tre. Précisément parce qu’elles n’ont pas le caractère de fables, les collections de fables issues de celles de Phèdre les laissent
e montrerai que, si le plagiaire qui a pris ce pseudonyme a épuisé la collection de laquelle il les a tirées, cette dernière était
Lors même qu’aucune des fables nouvelles ne se rencontrerait dans la collection de Romulus, on n’en pourrait tirer aucun argument
ni. De plus, Schwabe dans sa seconde édition et Gail dans celle de la collection Lemaire ont essayé d’en donner une nomenclature c
s complète, si l’on s’en tenait à son œuvre et si l’on négligeait les collections de fables qui n’en sont que l’imitation plus ou m
imitation plus ou moins servile. Ainsi que je l’ai déjà expliqué, ces collections doivent nécessairement se diviser en deux classes
ne pouvons-nous nous rendre compte de ce qu’il a été que par les deux collections qui en ont été tirées. Chapitre premier. Fabu
antiquæ. Section I. Examen des Fabulæ antiquæ. De toutes les collections , celle des fables appelées Fabulæ antiquæ est la
l’œuvre originale. Voici la nomenclature des 67 fables qui forment la collection , avec l’indication des fables correspondantes de
’Æsopus ad Rufum. Mais cet examen comparatif suppose connues les deux collections de Wissembourg et du Romulus primitif. Je suis do
anuscrit Vossianus latinus in-8º, 15. Le manuscrit qui renferme la collection des Fabulæ antiquæ se trouve aujourd’hui à la bib
à une autre toute différente. « C’est, ajoute M. Pertz, une espèce de collection d’extraits ou de recueil de notes où se mêle tout
ction III. Éditions des Fabulæ antiquæ. Malgré son importance, la collection de Leyde n’a été qu’une seule fois imprimée. En p
n certain Rufus, d’où étaient directement ou indirectement issues les collections ultérieures et qui lui-même n’avait pas tardé à d
faut partir de cette idée qu’on ne connaît et qu’il n’existe que deux collections qui soient la copie ou plutôt l’imitation directe
, parmi nos manuscrits, quatre volumes du xve  siècle, renfermant des collections de fables, trois en langue allemande et l’un en l
de joie. En me révélant l’existence d’un manuscrit qui contenait une collection latine de fables ésopiques, elle me porta à pense
l avait dû en dire, et bientôt il me fut possible d’apercevoir que la collection du manuscrit de Wissembourg différait sensiblemen
dès lors l’intérêt que présente le manuscrit de Wissembourg ; car, la collection des Fabulæ antiquæ étant muette et le texte du Ro
quel je me suis livré m’a clairement démontré qu’il s’est servi d’une collection dérivée du Romulus primitif dont je parlerai plus
ens ne les lui a pas suggérés, ont pu lui être fournis par toutes les collections de fables latines ; mais, deux lignes plus loin,
r, ainsi ajouté au nom de Romulus, lui fut maintenu dans les diverses collections de fables dérivées de celle de Nilant. Nous verro
pus quidam homo græcus, etc. De même les manuscrits qui renferment la collection de fables appelée Romulus de Nilant, appliquent à
te salutem. Æsopus quidam homo græcus, etc.315. Il est vrai que cette collection n’est qu’une imitation du Romulus primitif, mais
ans les manuscrits, on le voit servir de titre, non pas seulement aux collections qui n’ont été que des copies altérées du type pri
partie puisées à d’autres sources. Je pourrais citer comme exemple la collection contenue dans le manuscrit du collège Merton, qui
nom de Romulus qu’on a pris l’habitude de donner à presque toutes les collections de fables latines datant du moyen âge. C’est un e
que je ne suivrai pas. On ne peut raisonnablement appeler Romulus les collections de fables, qui, comme celles des manuscrits de Le
e Wissembourg, ne sont pas dérivées soit du type primitif, soit de la collection presque identique qui figure dans la vieille édit
on presque identique qui figure dans la vieille édition d’Ulm, ni les collections qui ont bien l’une de ces deux origines, mais qui
n entendu que toutes les fois que je donnerai le nom de Romulus à une collection , il s’agira, sinon de la plus ancienne de celles
été adoptée par l’auteur du Romulus primitif. Quoi qu’il en soit, la collection était précédée de la fameuse dédicace à Tiberinus
35, 36, 37, 38, 39, 40, 41 et 42. De ce qui précède il ressort que la collection du Romulus primitif possède un grand nombre de fa
ri. Mais l’importance du nombre n’est pas la seule que présente cette collection  ; c’est encore par sa grande ressemblance avec l’
e méthodique, de prendre pour exemple la fable qui m’a déjà, pour les collections précédemment étudiées, servi de terme de comparai
beaux de ses ïambes qu’on retrouve ici. Plus loin je montrerai que la collection de l’anonyme de Nilant a, en général, suivi de pl
s de Phèdre et même les fragments de ses ïambes se retrouvent dans la collection de Romulus. Mais ma tâche ne doit pas s’arrêter l
ercer, les auraient paraphrasées en prose, je ne puis supposer que la collection de l’Æsopus ad Rufum ait dû son existence à ces v
s. Ce premier point a son importance. Mais ce qui rend, dans les deux collections , la parenté frappante, c’est la similitude des le
ccasion de l’expliquer, nous ne possédons pas dans toute sa pureté la collection dont le manuscrit de Wissembourg est l’exemplaire
ourg doit nécessairement différer de celui de ce Romulus. Ensuite, la collection du Romulus primitif ayant disparu, on est obligé
ces deux causes d’écart, il n’y a pas partout identité entre les deux collections , elles ont conservé un air de famille saisissant
a question qui reste à résoudre est celle de savoir si l’une des deux collections a été la fille de l’autre, ou si toutes les deux
exactement déterminer le nombre et les sujets. Il est évident que la collection de Wissembourg n’a pu donner naissance à celle de
i qu’une, ou plutôt j’en donnerai quatre qui n’en font qu’une : Si la collection de Wissembourg avait été copiée sur celle de Romu
e empruntée qu’à l’Æsopus ad Rufum. La conclusion, c’est que les deux collections du manuscrit de Wissembourg et de Romulus sont de
que l’Æsopus ad Rufum a été un Corpus fabularum, formé de toutes les collections de fables alors connues. Non seulement l’Æsopus a
llement extraites de Phèdre, sont au contraire entrées toutes dans la collection de Romulus, dans laquelle, quoiqu’il eût été rati
gard devient impossible, quand, rapprochant l’une de l’autre les deux collections de Wissembourg et de Romulus, on voit la première
xistant dans la seconde. Dérivée directement de l’Æsopus ad Rufum, la collection de Wissembourg n’a pu évidemment se composer de f
mplètement, n’aboutirait qu’à des résultats approximatifs. D’abord la collection de Wissembourg, ainsi que je l’ai précédemment ex
ue le manuscrit de Wissembourg n’a pas conservées. Or aucune des deux collections n’a été tirée directement de Phèdre, et l’une et
lant, il y en a cinquante-deux seulement qui soient communes aux deux collections et par conséquent quinze étrangères à l’Æsopus, e
ente-deux qui ne se retrouvent pas dans l’Anonyme. En un mot les deux collections présentent au total quatre-vingt-dix-neuf sujets
presque les vers du poète ancien ; dans la même fable des deux autres collections , ils sont très altérés. Pour n’en citer qu’une ph
 ? Quand au contraire on cherche la même phrase dans les deux autres collections , on trouve dans celles de Romulus et de Wissembou
la valeur des opinions qui ont été exprimées sur l’origine des trois collections , d’en apercevoir la fausseté et de découvrir la v
sser sous silence, pendant que je discute et que je rencontre tant de collections de fables dont l’ordre et la disposition sont pre
on se réfère au tableau que j’ai dressé, on voit qu’il existe dans la collection de Romulus 32 fables étrangères aux Fabulæ antiqu
quæ. Dans l’hypothèse de Nilant, il faudrait au moins concéder que la collection de Leyde n’a pas été l’unique source de celle de
’anonyme de Nilant, celui de Wissembourg et Romulus ont extrait leurs collections . Ces collections découlent de cette source unique
t, celui de Wissembourg et Romulus ont extrait leurs collections. Ces collections découlent de cette source unique ; cela est démon
mais encore beaucoup d’autres, est ensuite devenu la source des trois collections de l’anonyme de Nilant, de celui de Wissembourg e
is pour ma part l’avoir bien établi. Mais qu’il en soit de même de la collection des Fabulæ antiquæ, voilà ce qu’on ne saurait adm
lativement aux époques auxquelles il faut faire remonter les diverses collections . Disons d’abord que rien n’autorise M. L. Müller
le plus ancien, n’est pas antérieur au xe  siècle. Il est vrai que la collection contenue dans ce manuscrit n’est pas une pure cop
trés aient pu avoir l’idée de transformer le poète ancien. Quant à la collection de Wissembourg, comme le manuscrit qui la renferm
celui où elle a elle-même pris naissance. Enfin, en ce qui touche la collection de Leyde, il n’est pas présumable que le moine Ad
et de Wissembourg, mais même à celui de ce Romulus. Je négligerai les collections dans lesquelles elles sont l’élément dominant, et
ction I. Observations sur le Romulus ordinaire. Jusqu’à ce jour la collection que j’appelle Romulus ordinaire a été considérée
immédiate du Romulus primitif. Dès lors la conclusion s’imposait : la collection que, comme tous mes devanciers, j’avais prise pou
its du second groupe comme contenant, malgré leurs variantes, la même collection que les trois du premier. La solution opposée aur
ution opposée aurait eu des conséquences que je tenais à éviter : les collections du second groupe non seulement diffèrent de celle
es pour pouvoir être considérés comme appartenant à une seule et même collection . Ne faisant paraître qu’un seul texte, comme c’es
État, moyennant la somme de 337 000 francs, se rendit acquéreur de sa collection . Elle fût placée au British Museum, et aujourd’hu
e, toujours conforme à lui-même, tout en servant de source à d’autres collections qui n’en étaient que l’altération. La filiation d
ur montrer comment, tout en donnant lieu à des imitations variées, la collection la plus proche du Romulus primitif s’était conser
a publication du manuscrit Burnéien, exprimé son opinion sur les deux collections de Nilant et avoir bien imprudemment allégué que
Romulus de ce philologue ne seraient que des dérivés semblables de la collection du Romulus ordinaire, M. Oesterley donne la nomen
copiste, du moins par un autre aussi ancien. Il a été donné aux deux collections un seul et même titre général ; un seul titre ser
l. 187 b à 202 a). C’est un choix plus ou moins heureux fait dans une collection plus considérable de fables d’Ésope traduites par
deux séries et l’alternance de leur distribution. Quant aux diverses collections de fables, non seulement leur texte est identique
s étaient établis : en 1480, Gérard Leeu s’était occupé d’imprimer la collection de fables en prose de Nicole de Pergame et il en
voir voulu se faire concurrence à lui-même, n’avait pas dû publier la collection de Romulus, qui, faisant double emploi avec celle
savant Lemaire de faire figurer les fables de Phèdre dans sa célèbre collection des classiques latins, prit pour base de son trav
la vie d’Ésope, de 119 feuillets numérotés, occupés par les diverses collections de fables, et de 14 feuillets non numérotés, remp
ies). » Fol. 153 b, portant le nº cxix. Là se terminent les diverses collections de fables. Fol. 154 a à 158 b. —  Dӡ (Das) Regist
par une mort heureuse. — Fin de la vie d’Ésope. » Fol. 35 a à 158. —  Collections de fables imprimées avec les mêmes caractères que
ntes, je m’abstiens de l’analyser. D’ailleurs elle renferme les mêmes collections de fables, qui occupent les 154 premiers feuillet
175 feuillets paginés, qui contiennent la vie d’Ésope et les diverses collections de fables. Sur la première page du volume se trou
Chapitre II. Dérivés en prose du Romulus ordinaire. Première collection . Romulus de Vincent de Beauvais. Si je commenc
er un véritable dérivé, elles l’ont suivi d’aussi près que les autres collections dont j’aurai ensuite à m’occuper. Section I. No
semble les éditions des traductions du Miroir historial. Deuxième collection . Romulus du Collège du Corpus Christi, à Oxford.
t ouvrage, je m’abstiens ici de toute autre explication. Troisième collection . Romulus de Munich. Section I. Examen des fa
Munich. Section I. Examen des fables.     Quand on examine la collection du manuscrit 5337 de la Bibliothèque royale de Mu
ingt-cinq premières fables et les quinze dernières comme formant deux collections indépendantes et voir dans la première, ainsi sép
fables dont il se compose, accompagnées de leur corrélation avec les collections plus anciennes qui en ont été les principales sou
en indiquer l’origine ni même en signaler de semblables dans d’autres collections . Peut-être quelques-unes d’entre elles sont-elles
les originales. Les quinze fables qui forment la seconde partie de la collection du Romulus de Munich, ont été presque toutes publ
. Description du manuscrit.     Le manuscrit 5337, qui renferme la collection du Romulus de Munich, provient de l’ancienne bibl
sopus explicit etc. Finis libelli fabularum Esopi etc. Quatrième collection . Romulus mixte de Berne. Les fables que j’ai m
spécial. Quant à présent, je me restreins à la première partie de la collection . Comme le Romulus d’Oxford que j’ai décrit plus h
et même avec les fables d’Eude, qui, quoique la seconde partie de la collection leur ait été spécialement affectée, n’en font pas
a liste des quarante-huit fables qui forment la première partie de la collection et indiquer en même temps leur corrélation avec l
nt les fautes grossières dont le manuscrit pullule. Chapitre III. Collections en vers. Première collection. Fables de Walt
nuscrit pullule. Chapitre III. Collections en vers. Première collection . Fables de Walther l’Anglais. Section I. Sou
vi de base à des compilations en prose ; elles ont encore inspiré des collections de fables en vers ; elles paraissent notamment av
it existé un auteur nommé Romulus et que son œuvre consistait dans la collection que j’ai baptisée du nom de Romulus ordinaire. Ne
ée du nom de Romulus ordinaire. Ne supposant pas qu’il y eût d’autres collections susceptibles d’être revêtues du nom de Romulus, i
qu’il s’agissait uniquement de faire, c’était de découvrir, parmi les collections de fables en prose latine dérivées de celle qui a
ar exemple, ce que dans la fable de la Grenouille et du Rat les trois collections m’ont offert : Rom. ordinaire. Ila grossum
r, n’hésita-t-il pas, dans sa préface publiée en tête du Phèdre de la collection Nisard, à considérer Hildebert comme le véritable
i est bien admis, et ce qui ne pouvait être controversé, c’est que la collection complète en comprend au moins soixante. En voici,
peut être convenablement placé qu’à la fin de la dernière fable de la collection , et que, même dans les manuscrits et dans les anc
ependant, personne ne le conteste, elles appartiennent bien à la même collection que les 58 premières. En somme d’une part, les ra
autres volumes échappés à la destruction, il alla enrichir l’immense collection du palais Mazarin. Les fables ésopiques qu’il re
oult mourir Et la Dame qui le porta. En la nommer grand déport a. La collection des fables d’Avianus, qui suit ce prologue, compr
crits en l’honneur de Jeanne de Bourgogne n’y ont pas été ajoutés. La collection des fables d’Avianus se termine au feuillet 131 b
rie de France. Le copiste, pour donner en apparence plus d’unité à la collection totale, en a supprimé le prologue, qui en aurait
de 1407 écrite en chiffres arabes. L’opuscule suivant, qui forme une collection d’exorcismes, commence immédiatement au-dessous d
dulci.       Si bene perpendis, noster hic actor agit. La fin de la collection est annoncée par ces mots : Explicit apologiarum
i sont actuellement les derniers du manuscrit. Il est probable que la collection à l’origine était entière, et qu’elle n’est deven
º. C’est un fragment d’un manuscrit du xive  siècle, qui contenait la collection complète des fables de Walther et dont il n’est r
nombreuses variantes que ces fables présentent font regretter que la collection ne soit pas complète. § 6. — Belgique.
la fin. Le manuscrit ne comprend que deux ouvrages. Le premier est la collection des épigrammes de Prosper. Il est précédé d’une t
é le projet de réunir dans une sorte de répertoire général toutes les collections grecques et latines des fables ésopiques, il s’en
). Les mots Fabulæ Æsopi metricæ désignent les fables de Walther. La collection qui commence au milieu du verso du feuillet xx po
i sont la transformation en vers élégiaques de fables appartenant aux collections en prose. Elles occupent les pages 71 à 149. Cett
es éditions Bipontines, introduites dans le dix-septième volume d’une collection d’auteurs latins publiée à Bruxelles par l’imprim
e petit volume in-8 qui renferme cette édition est le cinquième d’une collection de vieux auteurs français qui porte ce titre géné
G. Antonelli ed. Édition en 1 volume qui est le vingt-sixième d’une collection d’ouvrages destinés à l’instruction de la jeuness
ces dérivés dans le manuscrit 14961 de la Bibliothèque nationale. La collection qu’il renferme, ne se compose que de 28 fables, d
de Walther, source directe, mais bien dénaturée. Néanmoins toutes ces collections du moyen âge forment une chaîne, dont les anneaux
Description du manuscrit. Le manuscrit dans lequel j’ai trouvé la collection dérivée de Walther porte à la Bibliothèque nation
du verso du folio 32. Je ne connais pas d’autre manuscrit de la même collection , que d’ailleurs le moine, à qui elle est due, n’a
’avait probablement faite que pour son usage personnel. Deuxième collection . Fables d’Alexandre Neckam. Section I. Notic
que c’était, non pas parce qu’il le préférait, mais parce que l’autre collection , enfouie dans le monastère où elle était née, ne
t guère connu que de nom. Ce qui est possible, c’est qu’en dehors des collections alors existantes, les manuscrits aient conservé i
s à peine avais-je publié ma première édition, qu’en relisant dans la collection de Neckam la fable du Loup et de l’Agneau, je m’a
pond à la xxxvie des Fabulæ antiquæ de Nilant ; je ne connais pas de collection ancienne qui contienne les sujets de la deuxième
ol. 110 a et se terminent au fol. 118 b. Il y en a quarante-deux ; la collection est donc complète. Elle est précédée de ce titre 
ans l’édition bien connue de Névelet sert de titre général à diverses collections de fables ésopiques, de même le mot Mythologiæ, a
scrit 24432 ; les deux mêmes font défaut, et le même épilogue clôt la collection . Elles commencent au bas du feuillet 1 b, que déc
mplaires et intitulé : Fables en vers du xiiie  siècle. Comme dans la collection de la Bibliothèque nationale, le traducteur, suiv
du distique élégiaque qui dans le texte latin forme l’épimythion. La collection de Chartres, comme celle de la Bibliothèque natio
xii. De Pavone, Graculo et Avibus, qui au contraire existent dans la collection parisienne. Mais en revanche on y trouve la tradu
hèque nationale, et qui, avec des sujets différents, donnent aux deux collections le même nombre de pièces. Deuxième parti
dit, page 288, qu’au xie  siècle il avait été corrigé à l’aide d’une collection de fables dérivée du Romulus primitif. C’est de c
’une collection de fables dérivée du Romulus primitif. C’est de cette collection que je vais maintenant m’occuper. Malheureusement
ités dans les bibliothèques desquelles ils se trouvaient, donner à la collection elle-même le nom de Romulus de Vienne et de Berli
partant de là, je donnerai seulement le nom de Romulus de Vienne à la collection que j’avais antérieurement appelée Romulus de Vie
aureau et du Veau. Il est en effet difficile de comprendre comment la collection qui possède ces fables peut provenir de celle dan
ttre, j’ai, dans ma première édition488, supposé « que l’auteur de la collection contenue dans les trois manuscrits de Vienne et d
trois manuscrits de Vienne et de Berlin connaissait non seulement la collection du Romulus Burnéien, mais encore la source à laqu
re la quinzième du livre I, et dans celui de Vienne la seizième de la collection , et à laquelle, pour ne pas prolonger une démonst
a d’ailleurs valu une ressemblance intime. Comme on trouvera les deux collections dans le deuxième volume de cet ouvrage, on pourra
nsidérables dans les autres fables ; de sorte qu’en définitive, si la collection de Vienne n’est pas un dérivé du Romulus ordinair
parler que de la fable ésopique, on voit qu’il possède plusieurs des collections du moyen âge qui nous sont parvenues. On y aperço
 132 à 137, et sont au nombre de 80, suivies d’un double épilogue. La collection en comprenant au total 81, il s’ensuit que, sauf
èque autrichienne, porte la cote 901. Je commence par affirmer que la collection contenue dans ce manuscrit n’est ni une copie ni
if du Romulus de Vienne conservé dans un manuscrit plus ancien que la collection du manuscrit 901 a été empruntée. Toute la questi
la question est de savoir quelle est la nature de cet emprunt. Si la collection du manuscrit 303 est une copie plus ou moins alté
et, si dans le reste de la fable elles n’étaient pas plus graves, la collection du manuscrit 901 ne serait, comme celle du manusc
ivé. § 1er. — Examen du deuxième dérivé.     Ayant fait de la collection contenue dans le manuscrit 901 un dérivé du Romul
sible. J’ai donc à l’établir, et, pour cela, je vais mettre les trois collections en présence par des extraits empruntés à chacune
ans la première édition de cet ouvrage, il n’a pas été question de la collection que je vais maintenant examiner sous le nom de Ro
de l’Aigle est la huitième du livre II. Au contraire, dans toutes les collections qui m’ont paru directement nées du Romulus primit
ue leur classement, comme leur nombre, serait identique dans les deux collections , si celle qui, dans le Romulus ordinaire, est la
t, j’ai explicitement donné la nomenclature des fables de chacune des collections que j’ai analysées, je ne crois pas devoir ici ch
ent y était-il entré ; c’est ce que je vais sommairement rappeler. La collection formée par le bibliophile anglais comprenait quat
on du manuscrit qui m’intéressait. C’était celui qui, d’abord dans la collection Libri et ensuite dans la collection Ashburham, av
’était celui qui, d’abord dans la collection Libri et ensuite dans la collection Ashburham, avait porté la cote 1555. Il consiste
mplets, de sorte que dans la publication que je fais à mon tour de la collection du Romulus de Nilant, au lieu des 45 fables précé
se composer uniquement des mêmes fables. Or, si l’on compare les deux collections , on trouve dans ce Romulus quinze fables et un ép
Le Chauve et la Mouche. 66. 32. L’Aigle et le Milan. 67. Les deux collections , composées l’une de 50 fables, l’autre de 67, n’e
r de le démontrer, comparer les textes des fables, qui, dans les deux collections , traitent des mêmes sujets ? Prenons alors pour e
m aliena quærunt, propria amittunt. Voici la même fable tirée de la collection qui nous occupe : Sæpe amittit propria, quisquis
t placé à la fin de la précédente. Les 51 fables, dont se compose la collection , sont divisées en deux livres et comprennent : 1º
nes, assez difficile à déchiffrer. Il se compose de 192 feuillets. La collection de fables qu’il contient commence au recto du feu
emment calquée sur celle du Romulus primitif. En effet, dans les deux collections , les mêmes fables appartiennent aux mêmes livres.
ejus artis. Item ars practica ad cognoscendum futura. In charta. La collection de Romulus, signalée dans la nomenclature qui pré
on de 1709, il n’a fait qu’une publication forcément incomplète de la collection à laquelle il a attaché son nom. Chapitre II
’ai dit que le Romulus de Nilant avait été la source d’une importante collection de fables, de laquelle était indirectement venue
Marie de France. Dans ma première édition, voulant attribuer à cette collection un nom qui la distinguât des autres, je l’ai appe
tion anglaise. Or, ce roi a régné de 1100 à 1135 ; il s’ensuit que la collection ne peut être plus récente que la fin du xie  sièc
ion anglaise. Si, au contraire, on s’en rapporte au prologue de cette collection de 136 fables dérivée du Romulus anglo-latin, don
tin existait encore, j’avais cru en apercevoir un fragment dans cette collection de vingt-deux fables qui, M. Robert en ayant été,
ue, tout en s’appropriant presque entièrement le Romulus primitif, la collection commence par reproduire, séparées en deux groupes
omulus de Nilant, auquel avaient été ajoutés des emprunts faits à des collections diverses ? Il y a, en outre, une particularité à
lier et le Lion. Or, ces deux fables existent à la même place dans la collection qui porte le nom de Nilant. Comment pourrait-il e
Comment pourrait-il en être ainsi, si le Romulus anglo-latin, dont la collection de 136 fables est dérivée, n’était pas lui-même i
e, n’était pas lui-même issu du Romulus de Nilant ? La généalogie des collections est donc bien établie. On m’objectera peut-être,
n anglaise. Or, comme sa version ne comprend que 103 fables et que la collection que je prenais pour un fragment du Romulus anglo-
ce compte exact. Pour le rectifier, il est parti de cette idée que la collection de 22 fables et celle de 136, qu’il ne considérai
renfermaient pas de fables étrangères à ce Romulus, et, voyant que la collection de 22 fables en possédait une qui manquait dans l
il n’existait pas d’autres manuscrits plus complets contenant la même collection , et mes recherches m’en ont fait découvrir deux a
glaise dont elle s’est servie. À l’égard des deux qui dépendent de la collection intercalée, je ne saurais être affirmatif : j’ign
que les manuscrits n’embrassent pas plus de cent trois fables, que la collection de Marie doit être nécessairement restreinte à ce
i l’on compare les cent trois fables bien authentiques à celles de la collection latine qui en comprend 136, on en trouve une qui
toutes celles que Marie a traduites, on est obligé d’admettre que la collection latine de 136 fables n’est elle-même qu’un dérivé
nche li besti||aires. Che sont les || fables de plusieurs bestes. La collection est complète ; elle comprend même 104 numéros ; m
res la présente, ainsi que la précédente, comme appartenant à la même collection que les autres, le texte de l’une et de l’autre e
en a exagéré l’étendue : « N a . Il manque plusieurs pages dans cette collection de fables. » C’est après le vingt et unième vers
est Mires qu’est appelé le royal auteur de la traduction anglaise. La collection se termine par cette souscription : Explicit Yso
ne peut être que Henri Beau-Clerc. Les vingt fables qui manquent à la collection , sont celles qui dans mon tableau portent les nos
Elles sont au nombre de 88, d’où il suit que, pour être complète, la collection devait en posséder 15 de plus. Les quinze qui man
e pas autant du Romulus primitif, et qu’ils ont été engendrés par une collection interposée qui est le Romulus anglo-latin. Il y a
ie, lui ont substitué le Loup par un procédé identique fourni par une collection intermédiaire à la fois plus proche qu’eux du Rom
e qu’eux du Romulus de Nilant et plus voisine d’eux que lui. Et cette collection intermédiaire ne peut être autre que le Romulus a
au contraire ce dernier en est issu, ou si enfin les fables des deux collections dérivent d’un auteur commun qui serait le Romulus
ace blanc qui les précède, et, comme si elles appartenaient à la même collection , sans titre général qui les annonce, commencent a
Burnéien, que les fables, dont les sujets ne se trouvaient ni dans la collection de ce Romulus, ni dans celle du manuscrit de Leyd
ivées du Romulus anglo-latin, étaient par le fond communes aux quatre collections précédentes, avaient revêtu une forme souvent trè
Il en a commis deux autres aussi étonnantes. Il a voulu voir dans la collection qu’il avait découverte le Romulus qui avait servi
la première de ces deux hypothèses. Il est évident que l’auteur de la collection n’aurait pas pu, comme il l’a fait dans ce prolog
que, comme on l’a vu, son texte est moins éloigné que celui de cette collection du texte du Romulus anglo-latin. Mais ce serait t
analyse, d’abord parce que c’est le plus ancien, ensuite parce que la collection du Dérivé complet du Romulus anglo-latin s’y trou
anc non rempli. Les fables sont au nombre de 136, c’est-à-dire que la collection est complète. Chaque fable est surmontée d’un tit
s tegmine vela ;       Uti sic scuto non scelus esse puto. Enfin la collection se termine au haut du feuillet 57 a par la morali
rnier qui est la copie de l’autre. 2º Dans le manuscrit 1107 les deux collections ayant été mélangées, le scribe qui l’aurait copié
Aniani fabulae. La dernière partie du manuscrit est occupée par deux collections de fables, le Dérivé complet du Romulus anglo-lat
ncre rouge : Explicit Auianus de fabulis deo gracias , etc. Les deux collections de fables sont suivies de deux tables des matière
e colonne du feuillet 37 b et qui sont seulement au nombre de 134. La collection , pour être complète, devrait en posséder deux de
e manuscrit Théol. 140, le mot perfidie a disparu. Malheureusement la collection n’est pas complète. Jusqu’à la soixantième fable
 A. VII de la Bibliothèque du British Museum. Au British Museum la collection du Dérivé complet du Romulus anglo-latin est cont
prologue ordinaire, mais ne portent ni titre général applicable à la collection , ni titres spéciaux applicables à chacune d’elles
ont la même origine, et que la source à laquelle ils ont puisé est la collection contenue dans le manuscrit de la bibliothèque de
faisant un titre de gloire de la découverte de ce manuscrit, dont la collection a servi de texte aux traductions allemandes de Gé
éfinitivement tous les doutes545. » Je pourrais rappeler que, la même collection de fables se trouvant plus complète dans plusieur
e Marie de France et de Gérard de Minden. Il n’est pas douteux que la collection contenue non seulement dans le manuscrit Th. 140
103 fables, c’est-à-dire un nombre de fables inférieur à celui de la collection latine du manuscrit par lui découvert ; mais il n
ent de ce tableau que la traduction allemande a bien été faite sur la collection latine, à laquelle j’ai donné la qualification de
    C’est ici pour la première fois qu’il aura été question de la collection de fables en vers hexamètres dont je vais mainten
t passer sa royauté sur la tête du Loup. On en pourra conclure que la collection hexamétrique est dérivée, non pas du Romulus de N
imultanément devant soi le texte de ce dernier Romulus et celui de la collection hexamétrique, on retrouve si constamment dans la
es ont entre elles est saisissante. Dans ces conditions, alors que la collection du véritable Romulus anglo-latin a disparu, on ne
atin a disparu, on ne me blâmera pas, je l’espère, d’avoir fait de la collection hexamétrique un dérivé direct du Romulus de Nilan
— Examen du Dérivé.     Le Dérivé hexamétrique n’est pas la seule collection poétique née de la prose du Romulus de Nilant. Il
t j’avais cru à tort être le premier éditeur. Je veux parler de cette collection en vers rythmiques disposés en quatrains qui, dan
la complète concordance que l’ordre des fables présente dans les deux collections . On va pouvoir en juger. Voici d’ailleurs l’énumé
non seulement elle démontre, comme je l’ai affirmé, que dans les deux collections l’ordre des fables est absolument le même, mais e
le fond est resté semblable. On peut enfin ajouter que, dans les deux collections , le nombre des fables, dont le Romulus primitif a
our l’autre la source indirecte, est également identique ; car, si la collection rythmique renferme trois dernières fables que le
’on désire bien déterminer la corrélation qui peut exister entre deux collections de fables, on ne doive pas s’en tenir à ces signe
Chien et de la Brebis, du Lion, du Buffle et du Loup, dans les trois collections du Romulus primitif, du Romulus de Nilant et du D
me prosaïque les trois fables n’appartenaient pas à une seule et même collection  ; car le sujet de l’une d’elles, celle du Loup qu
icateur ait ajouté à sa version celle de trois fables étrangères à la collection qu’il avait entrepris de traduire. En procédant a
eux colonnes, est du xvie  siècle. Il ne renferme qu’un extrait de la collection complète des fables rythmiques. Cet extrait, qui
ompé. Elles ont en effet paru, en 1842, dans le huitième volume de la collection de la Percy Society, collection dont le titre gén
n 1842, dans le huitième volume de la collection de la Percy Society, collection dont le titre général est ainsi conçu : Early En
ossir le nombre de leurs fables, ont pu en emprunter les sujets à des collections diverses. C’est un fait qui a été fréquent et qui
livre IV, chap. viii. Certains éditeurs et notamment Lemaire, dans sa collection des classiques latins, substituent au mot Pierus
VIII, in-8º. (Voyez p. 111.) 267. Voyez dans l’édition de 1839 de la collection Nisard la notice sur Phèdre, p. 707, 2e col. et 7
traduites avec peu de changements et imprimées par Wynkin de Worde. » Collection des auteurs latins publiée sous la direction de M
/ 2