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1 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 93 » p. 326
τοῖς λόγοις καὶ οὐκ ἐν τοῖς ἔργοις. Codd. Ba 79 Bb 49. Un chasseur cherchait la piste d’un lion. Il demanda à un bûcheron s’il
r, et, claquant des dents, il dit : « C’est la piste seulement que je cherche , et non le lion lui-même. » Cette fable apprend à
2 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XVI. La Femme noyée. » p. 682
les flots 
Avoit fini ses jours par un sort déplorable,
 Son Epoux en cherchoit le corps,
 Pour luy rendre en cette avanture
 Les
nt de sa femme apperçu nulle trace ;
 Nulle, reprit l’un d’eux ; mais cherchez -la plus bas ;
 Suivez le fil de la riviere.
 Un a
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — II. Les Membres et l’Estomach. » p. 130
d’agir, les jambes de marcher. 
Tous dirent à Gaster, qu’il en allast chercher .
 Ce leur fut une erreur dont ils se repentirent 
Le peuple hors des murs estoit déja posté.
 La pluspart s’en alloient chercher une autre terre,
 Quand Menenius leur fit voir
 Q
4 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XVIII. Le Chat et un vieux Rat. » p. 79511
estoient prisonnieres ;
 Qu’elles n’osoient sortir ; qu’il avoit beau chercher  ;
 Le galand fait le mort ; et du haut d’un planc
e ouverte :
 Ce fut à luy bien avisé : 
La gent trote-menu s’en vient chercher sa perte.
 Un Rat sans plus s’abstient d’aller fl
5 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 194 » p. 139
erçue, dit : « Tu n’as que ce que tu mérites, puisque, née oiseau, tu cherchais ta vie sur la mer. » Ainsi les gens qui abandonne
6 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 321 » p. 368
lle Dure », répondit-elle. Alors précipitant son courant sur elle : «  Cherche un autre nom, dit-elle ; car je t’aurai vite rend
7 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XVI. Le Serpent et la Lime. » p. 93
s’adresse à vous, esprits du dernier ordre, Qui n’estant bons à rien cherchez sur tout à mordre, Vous vous tourmentez vainement
8 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XII. Tribut envoyé par les Animaux à Alexandre. » p. 339
pré Tout bordé de ruisseaux, de fleurs tout diapré ; Où maint Mouton cherchoit sa vie ; Sejour du frais, veritable patrie Des Ze
re Ambassade, Dit-il ; je sens un feu qui me brûle au dedans, Et veux chercher icy quelque herbe salutaire. Pour vous ne perdez
9 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — III. Le petit Poisson et le Pescheur » p. 18
uelque gros Partisan m’achetera bien cher, Au lieu qu’il vous en faut chercher Peut-estre encor cent de ma taille Pour faire un
10 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 64 » p. 38
dételé son attelage, le menait à l’abreuvoir. Or un loup affamé, qui cherchait pâture, ayant rencontré la charrue, se mit tout d
11 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XVII. Le Liévre et la Perdrix. » p. 473
e assez tranquille : Quand une Meute s’approchant Oblige le premier à chercher un azile. Il s’enfuit dans son fort, met les chie
12 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XIII. Le Villageois et le Serpent » p. 176
e deux coups, Un tronçon, la queuë et la teste. L’insecte sautillant, cherche à se réunir, Mais il ne put y parvenir. Il est b
13 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XX. La Discorde. » p. 
it jamais De demeure fixe et certaine. Bien souvent l’on perdoit à la chercher sa peine. Il falloit donc qu’elle eust un sejour
14 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — X. Le Loup et l’Agneau. » p. 155
teroit
 Dans le courant d’une onde pure.
 Un Loup survient à jeun qui cherchoit avanture, 
Et que la faim en ces lieux attiroit.

15 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — VIII. L’Homme et l’Idole de bois. » p. 285
, M’as-tu valu, dit-il, seulement une obole ? Va, sors de mon logis : cherche d’autres autels. Tu ressembles aux naturels Malhe
16 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 218 » p. 153
πολεμίοις χειρούμεναι. Codd. Pa 148 Pb 151 Pd 35 Ma 102. Des loups cherchaient à surprendre un troupeau de moutons. Ne pouvant s
17 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 53 » p. 30
nt survenue, le vaisseau chavira. Or, tandis que les autres passagers cherchaient à se sauver à la nage, l’Athénien, invoquant à ch
18 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 175 » p. 233
lodieux, en fit l’acquisition. Un jour qu’il donnait à dîner, il alla chercher le cygne et le pria de chanter pendant le festin.
19 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 277 » p. 264
âne ayant parcouru tout l’écrit, sans rien trouver de ce que le chien cherchait , celui-ci reprit la parole : « Jette ce papier à
20 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — II. Conseil tenu par les Rats. » p. 613
mais pour un Diable. Or un jour qu’au haut et au loin Le galand alla chercher femme ; Pendant tout le sabat qu’il fit avec sa D
21 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 151 » pp. 116-116
2 Mf 72 Mj 77 Cd 64. Un crabe, étant monté de la mer sur le rivage, cherchait sa vie solitairement. Un renard affamé l’aperçut 
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIV. Du Charbonnier, et du Foullon. »
ficile d’effacer. Car les Médisans estans sans cesse aux aguets, pour chercher quelque nouvelle matiere à leurs calomnies, comme
23 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — VIII. Le Cheval et le Loup. » p. 187
rajeunie, Et que les animaux quittent tous la maison, Pour s’en aller chercher leur vie. Un Loup, dis-je, au sortir des rigueurs
24 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — V. Le Cochet, le Chat et le Souriceau. » p. 716
hi les Monts qui bornent cet Etat ; Et trotois comme un jeune Rat Qui cherche à se donner carriere. Lorsque deux animaux m’ont
25 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 90 » pp. 58-58
capable de pondre une fois le jour. Cette fable montre que, lorsqu’on cherche par cupidité à avoir plus que l’on n’a, on perd m
26 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XXI. L’œil du Maistre. » p. 492
ant sauvé dans une estable à bœufs, Fut d’abord averty par eux, Qu’il cherchât un meilleur azile. Mes freres, leur dit-il, ne me
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du Pays, et de la condition d’Esope. Chapitre J . »
y. Car il nous fait voir par espreuve, que sans se mettre en peine de chercher à persuader autruy, ny par les définitions, ny pa
28 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — VIII. L’Hirondelle et les petits Oyseaux. » p. 39
en estat
 De passer comme nous les deserts et les ondes,
 Ny d’aller chercher d’autres mondes.
 C’est pourquoy vous n’avez qu’u
29 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 68 » pp. 43-43
t un étang ; mais l’été l’ayant desséché, elles le quittèrent pour en chercher un autre. Elles rencontrèrent alors un puits prof
30 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 83 » pp. 42-42
ir et leur dit : « Mes enfants, je vais quitter ce monde ; mais vous, cherchez ce que j’ai caché dans ma vigne, et vous trouvere
31 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 181 » pp. 252-252
il descendrait, quand celui-ci aurait ouvert. Alors, comme le renard cherchait à parler au portier, le chien bondit brusquement
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ne laisse entrer qu’un seul de tous ceux que son Maistre avoit conviez. Chapitre XXI. »
nous ne resvons ». A ces mots Xanthus tout enflammé de colere, envoya chercher Esope, et luy demanda, pour quelle raison il avoi
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXV. Du Renard, trahy par le Coq. »
de rendre le bien pour le mal. Que si on la veut trouver, il la faut chercher dans les Cloistres, et n’attendre pas que ce mira
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIV. Du Taureau, et du Bouc. »
XCIV. Du Taureau, et du Bouc. Le Taureau poursuivy par le Lion, cherchoit à se cacher en quelque lieu, quand se trouvant pr
35 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVI. Le Loup, la Mere et l’Enfant. » p. 158
eux et fourches fieres L’ajustent de toutes manieres. Que veniez-vous chercher en ce lieu, luy dit-on ? Aussi-tost il conta l’af
36 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — II. Le Lion et le Chasseur. » p. 326
de courage N’est que dans le danger que l’on touche du doigt. Tel le cherchoit , dit-il, qui, changeant de langage, S’enfuit auss
37 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XXII. L’Aloüette et ses petits, avec le Maistre d’un champ. » p. 325
r et prendre l’essor, De mille soins divers l’Aloüette agitée S’en va chercher pâture, avertit ses enfans D’estre toujours au gu
38 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVIII. De l’Arondelle, et des autres Oyseaux. »
causez par son incredulité. Les Histoires de cela ne se doivent point chercher ailleurs que parmy nous. Quant à la cause, elle p
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXII. Du Chat, et du Coq. »
ta Mere, et n’espargnes pas mesmes tes sœurs ». Le coq voulut encore chercher des excuses à cecy, mais le Chat ne les voulut pa
40 (1180) Fables « Marie de France, n° 73. Le mulot qui cherche à se marier » p. 73
Marie de France, n° 73 Le mulot qui cherche à se marier Jadis fu [si] enorguilliz li mulez,
41 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 245 » pp. 352-352
ls revenaient pour prendre des figues sèches, une autre personne vint chercher quelque chose à l’intérieur de la chambre. À sa v
42 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — D’un seul grain de lentille qu’Esope fit cuire en un Pot, et de quelques autres choses facetieuses. Chapitre X. »
toit commandé. Mais cependant que les pieds cuisoient, Xanthus qui ne cherchoit qu’un pretexte pour le battre, le voyant empesché
43 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXII. De la Brebis, et de la Corneille. »
generosité des mal-faisants, qui pour assener leurs coups sans peril, cherchent d’ordinaire une foible et nuë simplicité ; pource
44 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVIII. De l’Asne vestu de la peau du Lion. »
’enfuyoient loing de luy. Cependant, le Maistre qui l’avoit perdu, le cherchoit de tous côtez, et fut bien estonné de voir qu’ain
45 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 74 » pp. 49-49
ls souhaitent d’en trouver le remède, et, quand ils l’ont trouvé, ils cherchent à s’y soustraire. Chambry 74.2 Aliter — Aut
46 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVIII. Du Chevreau, et du Loup. »
ereuses. Il faut donc que pour se contenter ils se vengent, et qu’ils cherchent pour cét effect le moyen le plus sortable à leur
47 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 200 » pp. 336-336
t le mangea pour se dédommager de sa peine. Mais le lion, après avoir cherché tous les morceaux, ne retrouvait pas le cœur. Alo
stance, lui dit : « Véritablement ce cerf n’avait pas de cœur ; ne le cherche plus ; car quel cœur pouvait avoir un animal qui
48 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VII. Du Loup, et de la Gruë. »
os luy étoient demeurez dans la gueule, ce qui l’incommodoit fort. Il cherchoit de toutes parts pour se les faire tirer, et implo
49 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIX. Des Grenoüilles, et de leur Roy. »
re, pour la seule dispute du tien et du mien, d’avoir esté obligez de chercher à leur convoitise des moderateurs, dont ils n’aur
50 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVIII. De l’Ours, et des Mouches à Miel. »
eur puissance, ils font gloire d’opprimer les petits, et de les aller chercher jusques dans leurs maisons, qu’ils ruynent de fon
51 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIX. Du Renard, et de la Cigongne. »
tout le monde leur est surveillant et ennemy. Ceux qu’ils ont raillez cherchent à s’en revencher, et tel qu’ils ne cognoissent pa
52 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE L. Du Renard, et des Chasseurs. »
r la fuite du Loup en la Loge du Bucheron, nous sommes advertis de ne chercher jamais nostre asyle dans les maisons suspectes. C
53 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CII. De l’Enfant, et du Larron. »
mpuë ». A ces mots le Larron se dépoüilla, et se jetta dedans pour la chercher . Mais comme il eust bien foüillé, voyant qu’il av
54 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
r revenir à l’Avarice, elle ne donne point de repos à son Patient. Il cherche jour et nuict des inventions pour accroistre son
les Mers, pour transporter les riches denrées d’un lieu en un autre, chercher par le traffic l’augmentation de son bien. Les Po
tous les jours de nouveaux aprests pour déguiser nos viandes, et qui cherchons les Espiceries à trois mille lieuës, pour échauff
la découverte d’un corps mort, ou celle de quelque thresor caché. Que cherches -tu donc, ô Avare ? une chose qui est en la posses
55 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIII. De l’Enfantement des Montagnes. »
ptueux, ou taxer generallement l’Orgueil et la Vanité des hommes, qui cherchent à se rendre immortels par des Bastiments, qui met
56 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVI. Du Renard, et du Chat. »
ture quand il est question de s’opposer aux pieges d’un Ennemy, et de chercher son salut dans la contre-finesse. Car comme un ch
57 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 3 » pp. 1-1
bre, y déposa ses petits. Mais un jour que le renard était sorti pour chercher pâture, l’aigle à court de nourriture fondit sur
58 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVI. Du Lion, et du Rat. »
qu’on avoit pris. Il accourut donc pour le secourir, et sçeut si bien chercher les nœuds des cordages, que les ayant treuvez, il
59 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXX. De l’Aigle, et du Corbeau. »
nt contraincts la pluspart du temps d’aller chez les Estrangers, pour chercher à debiter leurs impertinences.  
60 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVII. Du Taureau, et du Rat. »
ns son trou, s’en mist tellement en fougue, qu’élevant ses cornes, il chercha son ennemy de tous costez, sans qu’il luy fût pos
61 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIX. Du Loup, et du Renard. »
our nous, car en mesme temps ceste peste que nous couvons dans l’ame, cherche de nouveaux objects pour se nourrir, et s’address
62 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XII. De l’Aigle, et du Renard. »
. Mais un jour entre les autres, il arriva qu’estant sorty, pour leur chercher quelque proye, l’Aigle, qui en avoit besoin aussi
63 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXI. De Venus, et d’une Chatte. »
s, que si on leur vouloit choisir des ennemis, l’on n’en iroit jamais chercher d’autres. Cét aveugle ne recognoist bien souvent
64 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXIII. Des Coqs, et de la Perdrix. »
en font de mesme, pour jouyr du fruict de leur tromperie, apres avoir cherché leur advancement dans la ruyne des familles. Bref
65 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
u par la nourriture, à plus forte raison le discours les convieroit à chercher de plus en plus les moyens de se maintenir en vie
66 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
, sorti de l’enfance, l’homme lettré, au milieu des luttes de la vie, cherche à se rappeler son premier âge, il est rare qu’il
t, quoique ma traduction fût déjà très avancée, je l’interrompis pour chercher le mot de l’énigme. En le cherchant, j’ai vu qu’i
e leur personne. Sans cesse il s’interrompt, pour signaler le mal que cherchaient à lui faire des persécuteurs et des envieux plus
e II, où il montre l’esclave obséquieux, qui, à force d’empressement, cherche à obtenir de Tibère les soufflets de la liberté,
evenait chaque jour plus grande. En entrant dans cette voie, il avait cherché à en supprimer les périls, et, comme il le déclar
est question dans ces inscriptions, ne me paraît être celui dont nous cherchons la trace ; je la verrais plutôt dans celle que le
t peut seul expliquer les choses en apparence surnaturelles. Quand on cherche quelles étaient ses idées en métaphysique, on lui
ester indifférents aux déchirements de la patrie, des hommes éminents chercher dans les lettres et dans les arts une diversion à
lence des frères Pithou, on a vainement essayé de résoudre. Adry en a cherché sans succès la solution. Ce savant a imaginé une
e l’existence d’un cinquième livre ; mais, quand on prend la peine de chercher en dehors les renseignements qu’il ne fournit pas
les éditions de Phèdre plus récentes me fourniraient le renseignement cherché . Je recourus à la consciencieuse publication de M
othèque. N’espérant plus le découvrir à Paris, je pris le parti de le chercher ailleurs. Mais où aller ? Était-il à Rome ou à St
 Guessard et Michelant, peu préoccupés d’ailleurs de Phèdre qu’ils ne cherchaient pas dans ce manuscrit, en signalent seulement sep
ù se trouvait le manuscrit de Perotti. D’Orville pourtant n’avait pas cherché à faire un mystère de sa découverte. En voyageant
Cassitto est moins qu’un plagiaire ordinaire ; c’est un plagiaire qui cherche , par toutes sortes de mauvais artifices, à dissim
n ni des sources diverses ni de la nature variée des sujets. Quand on cherche à mettre un peu d’ordre dans ce chaos, on s’aperç
alors si grande, ils ne prenaient pas la peine d’examiner, ils durent chercher d’autres documents et finirent par en trouver un
enant je voulais aller plus loin, et si, en dehors de la dédicace, je cherchais d’autres indices dans le texte du manuscrit, je n
lé d’une ancienne fable de Phèdre que Perotti a copiée deux fois, j’y chercherai un nouveau témoignage de sa bonne foi. Or savez-v
les de Phèdre, avait donné une foi inébranlable dans leur ancienneté, cherchèrent la réponse, et ce fut à qui trouverait la bonne.
r à un affranchi d’Auguste. Enfin, pour faire accepter cette idée, il cherche par de nombreux exemples à démontrer que les fabl
puyant sur l’édition diplomatique de M. Berger de Xivrey, M. du Méril cherche à en tirer, au profit de sa thèse, un nouvel argu
rop pressé d’en finir pour exposer les arguments à l’aide desquels il cherche à démontrer qu’aucun auteur autre que Phèdre n’a
ur. Si maintenant, en dehors des particularités qu’ils présentent, je cherche de nouveaux éléments de conviction, je n’ai encor
dre feuillet du manuscrit. On conçoit quel fut mon mécompte : pour le chercher à Leyde où il n’était pas, j’avais quitté Paris o
elle me porta à penser que ces fables étaient peut-être celles que je cherchais , et ne rendit que plus vif mon désir de visiter l
’était d’en connaître le contenu. Sachant que Gude l’avait étudié, je cherchai dans ses notes sur Phèdre ce qu’il avait dû en di
érée, c’était encore à l’aide du manuscrit de Wissembourg qu’il avait cherché à rétablir l’ancien texte. Là encore tous les man
On aperçoit dans cet Æsopus, lorsqu’à laide du Romulus ordinaire on cherche à se rendre compte de ce qu’il a été, un plan gén
s dixit : Cur turbulentam fecisti mihi aquam ? Quand au contraire on cherche la même phrase dans les deux autres collections,
ad Rufum due à une main inexpérimentée, il ne faut peut-être pas lui chercher une date d’apparition antérieure à celle du manus
imeur de 1530 à 1544, et que c’est entre ces deux années « qu’il faut chercher la date de son Esopet355 ». Quoi qu’il en soit, s
oq et le Chat. 41. Le Coq et son Maître. 42. Le Mulot qui cherche femme. 75. 43. La Grenouille qui s’enfle. II
qui va la première arrêter mon attention, Tous les critiques qui ont cherché à découvrir l’origine de ces fables, sont partis
e titre. Du reste, il est aisé de juger qu’après avoir laborieusement cherché à justifier sa thèse, M. Robert, d’abord très con
ans un manuscrit de la bibliothèque royale de Madrid. Il fallait donc chercher ailleurs l’introuvable nom de l’Anonyme. En 1838,
détail plus caractéristique, dans ses nombreuses œuvres poétiques, on chercherait peut-être en vain un vers présentant une élision.
i, et xxxviii, l’épimythion se compose de quatre vers. Ils ont encore cherché à appuyer leur thèse sur ce distique final : Fin
que qu’il a été fait à l’œuvre primitive quelques additions. Quand on cherche ce qu’elles sont, on voit qu’elles ont porté sur
nt au feuillet 171 a. Le titre a été laissé en blanc ; mais, si on le cherche à la table des matières, on le voit formulé par l
ec un dédain qu’il ne méritait pas. Partant de cette idée, Lessing494 chercha à démontrer que le texte du manuscrit de Leyde ét
teur, a reçu le nom de Romulus Roberti. C’était une erreur : le texte cherché était bien irrévocablement perdu. Mais on me perm
et sa Fille. 92. L’Homme et le Serpent. II, 10. 93. Le Mulot qui cherche Femme. 94. L’Âne et le Sanglier. I, 11. 95.
en France, mais en Angleterre, c’est dans ce dernier royaume que nous cherchons le comte Guillaume. Heureusement l’éloge qu’elle
oursuivis. 62. 63. Le Paysan et le Serpent. 115. 64. Le Rat qui cherche femme. 116. 65. L’Escarbot vaniteux. 7. 117.
sa Fille. 115. L’Homme et le Serpent. II, 10. 116. Le Mulot qui cherche femme. 117. L’Escarbot vaniteux. 118. L’Âne
omplet désarroi. Leur successeur a, pour me le communiquer, vainement cherché le manuscrit. Malgré le désordre qu’il n’avait pu
aux, timidement il est vrai, contre cette affirmation formelle547, et cherche immédiatement à justifier la grave attitude qu’il
lement ne se rencontrent pas dans les lexiques ordinaires, mais qu’on chercherait même en vain dans ceux de la basse-latinité. Enfi
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