du Testateur, Mais en vain : car comment comprendre Qu’aussi-tost que
chacune
sœur Ne possedera plus sa part hereditaire Il luy
ue peut-estre pas une sœur N’auroit ce qui luy pourroit plaire. Ainsi
chacune
prit son inclination ; Le tout à l’estimation. Ce
es autres, n’estant pas toutes esgalement belles et necessaires, mais
chacune
selon sa proportion, et la dignité de son estre.
ituërent l’Estat Democratique. Or de dire maintenant en quoy consiste
chacune
de ces Republiques, cela n’est ny de nostre loisi
nes en jalousie, sans en estre accablé neantmoins, veu l’interest que
chacune
d’elles prend à l’envy, pour empescher l’accroiss
, « un grand Temple, dans lequel est un pilier contenant douze Villes
chacune
desquelles est soustenuë de trente poutres, que d
adopte, il y a un point qui est incontestable, c’est que l’origine de
chacune
est grecque et que la forme grecque est Φαίδρος.
nuscrit avec les initiales V C, c’est-à-dire vetus codex, en avant de
chacune
d’elles. Jacques Bongars, en même temps que Rigau
— XV. — Graculus Aesopicus. 118 Je pourrais donner l’analyse de
chacune
de ces conversations ; mais je m’aperçois que je
in-12, les deux autres in-8º. J’ai en ma possession un exemplaire de
chacune
d’elles. La première, en 42 pages sans la préface
outée au bas, et les notes latines de Jannelli rejetées à la suite de
chacune
d’elles. Le frontispice est ainsi formulé : Nouv
s les fables nouvelles les unes après les autres et en prononçant sur
chacune
d’elles un jugement particulier262 ». Mais, après
urs points de dissemblance, il analyse la composition particulière de
chacune
d’elles. Il prend la même peine pour l’ïambe nouv
sur Phèdre divisée en 113 paragraphes et les fables elles-mêmes, dont
chacune
est suivie : 1º de notes ; 2º de cinq traductions
, Extravagantes et Novi, et, par abréviation, Gud., Aug., Helm., etc.
Chacune
de ces classes a sa série de numéros indépendante
ables que les deux premiers, je l’ai divisé en cinq parties affectées
chacune
à un dérivé spécial et à ses sous-dérivés, et, po
rivés, et, pour qu’on sache immédiatement quelle sera la part faite à
chacune
d’elles, je crois devoir dès à présent avertir qu
’Avianus, de Deligame, d’Alphonse, les facéties du Pogge et d’autres,
chacune
avec son titre y indiqué, en latin, — le tout mis
égiaques n’a point traduit le livre IV de Romulus, il s’ensuit qu’ici
chacune
des fables du prosateur latin n’est accompagnée q
e titre occupe trois lignes et le point précis où, d’après mes notes,
chacune
d’elles finit, est celui qui comme tel est égalem
ravures sur bois, placées soit à la suite, soit au milieu du texte de
chacune
d’elles. Fol. 86 b (n. ii b). — Fin des fabulæ no
le collecte figure dans les deux sous le nº xxviii, mais encore, dans
chacune
d’elles, la dix-septième de ces fables, par une e
’incurie des imprimeurs, on ne peut confondre les deux éditions. Dans
chacune
d’elles les caractères des fables en vers sont, i
ol. 67 a à 80 a. — Fabule extrauagantes. Ces 17 fables sont suivies
chacune
de sa gravure. Les titres courants sont très faut
me livre, qui ne se compose plus que des fables de Romulus surmontées
chacune
d’une gravure. Fol. 60 6. — Finitur liber Esopi
ungitur. Fol. 78 a. — Commencement des fables d’Avianus, comprenant
chacune
d’abord une gravure, puis le texte en vers, enfin
a table des fables d’Avianus commencent les fabulæ collectæ précédées
chacune
d’une gravure. Fol. 104 a. — Expliciunt fabule e
o et Pincerna latrone et De Cive et Milite seruientibus uno domino, à
chacune
desquelles il a ajouté, sans doute pour la symétr
opi ex translatione Remicii. Comme précédemment, Brant a, en tête de
chacune
des dix-sept fables traduites en latin par Ranuti
t toujours à la même symétrie, Brant a fait l’inverse : il a ajouté à
chacune
une fable en prose. Fol. 109 b (q. iii b). — À ce
-il besoin d’ajouter que, fidèle à son système, Brant a fait précéder
chacune
des fabulæ collectæ de distiques élégiaques génér
d’Avianus, de Doligame Alphonse, et joyeusetés du Pogge et d’autres,
chacune
avec son titre, traduites du latin par le docteur
Fol. 61 a à 68 b. — Treize fables attribuées à Alphonse, accompagnées
chacune
d’une gravure et terminées par ce double avis :
ale. Un volume du grand format in-folio, à 2 colonnes de 66 lignes
chacune
sans gardes, signatures ni pages numérotées. Il e
toriale en quatre volumes grand in-folio à deux colonnes de 62 lignes
chacune
, imprimés en lettres rondes comme celles du Specu
formée de trois volumes, grand in-folio, à deux colonnes de 52 lignes
chacune
, sans chiffres, réclames ni signatures. Cette édi
tionale, sous les cotes G. 209 et G. 210, et celle d’Épinal possèdent
chacune
un exemplaire de l’édition. Section V. Éditio
l degré de ressemblance, il faut les examiner une à une et porter sur
chacune
un jugement spécial. D’abord il en est deux qu’on
let 101. Ce sont seulement les soixante fables primitivement connues.
Chacune
d’elles est précédée d’une glose dont l’écriture
du recto du feuillet 73 et finissent au bas du verso du feuillet 96 ;
chacune
d’elles est accompagnée d’un commentaire. Seules
ent un roi. Les fables ne sont précédées d’aucun titre général ; mais
chacune
porte un titre spécial. En marge des trois premie
emiers feuillets numérotés contiennent les fables de Walther, suivies
chacune
d’une traduction en vers français de 8 syllabes,
e foiz : Sus saiche cruse est bonne noiz. Puis se succèdent, suivies
chacune
de sa traduction, les fables latines de Walther,
u nombre de quatre en général, à l’affabulation primitive. En tête de
chacune
des fables latines est une miniature, qui, quoiqu
uoir une robe d’un chanoine de troies. La fable xix n’est pas, comme
chacune
des dix-huit autres, la traduction d’une des fabl
ccupent tout l’intervalle, ne portent aucun titre. Le commencement de
chacune
d’elles se révèle aux yeux par la dimension et le
surmonté non plus d’aucun titre. Il en est autrement des fables, dont
chacune
a le sien écrit à l’encre rouge. Elles se termine
seule colonne. Le manuscrit a renfermé les fables de Walther, suivies
chacune
de sa traduction en vers français de huit syllabe
a, y sont surmontées de ce titre à l’encre rouge : Incipit Esopus.
Chacune
a son titre spécial à l’encre rouge. Celle qui da
ticuliers, mais sont accompagnées de gloses interlinéaires et suivies
chacune
d’un commentaire. Celui qui s’applique au prologu
e ordinaires, commencent sans titre général au recto du feuillet 297.
Chacune
d’elles porte son titre particulier en marge, en
çu leurs titres, écrits à l’encre rouge. L’espace ménagé au-dessus de
chacune
des autres pour les recevoir n’a pas été rempli.
inate. Elles sont accompagnées de gloses interlinéaires, et suivies
chacune
d’un commentaire d’une écriture plus fine que le
peu plus loin la copie des fables de Boner, en laissant au-dessus de
chacune
l’espace nécessaire à la fable latine. Malheureus
es s’applique le mot Esopus s’étendent du feuillet 14 au feuillet 33.
Chacune
d’elles porte un titre à l’encre rouge, et est en
deux sonnets qui s’y rapportent. Il en est de même des fables : après
chacune
d’elles viennent deux sonnets. Comme dans les édi
e Walther, contenues dans ce manuscrit, ne portent aucun titre ; mais
chacune
d’elles est suivie d’une glose très différente de
e rencontre fréquemment, elles ne portent pas de titre initial ; mais
chacune
d’elles est pourvue de son titre spécial écrit à
général ne les précède, et l’espace blanc laissé pour le titre entre
chacune
d’elles n’a pas été rempli. Seule la première let
et 8 à 17 sont également pourvues d’une paraphrase placée en tête de
chacune
d’elles. B. Manuscrit 639. Le manuscrit 639
econd feuillet ; elles ne sont précédées d’aucun titre général ; mais
chacune
d’elles est accompagnée d’un titre spécial écrit
ituellement ajoutées, ne portent pas de titre général, sont précédées
chacune
d’un titre particulier à l’encre rouge et se term
62 fables ne sont précédées d’aucun titre général, mais sont pourvues
chacune
d’un titre particulier à l’encre rouge. La quaran
mbre de 62. Elles ne portent aucun titre général, mais sont précédées
chacune
d’un titre particulier écrit à l’encre rouge. Tou
aut du recto du premier feuillet sans titre général, mais sont munies
chacune
de son titre écrit à l’encre rouge. Elles sont au
t principio virgo Maria meo ! Les fables munies de titres spéciaux à
chacune
d’elles, également écrits à l’encre rouge, sont a
pit liber esopi. Les fables ne sont encombrées d’aucune glose ; mais
chacune
a son titre spécial. La fable xlviii De viro et u
e royale de Bruxelles, sous le nº 1529 substitué au nº 997, possèdent
chacune
un exemplaire de cette édition in-4 composée de 3
et la bibliothèque publique de Nuremberg sous la cote 139, possèdent
chacune
un exemplaire de cette édition in-4º qui se compo
t la bibliothèque publique de Linz sous la cote B. 131. b., possèdent
chacune
un exemplaire de cette édition in-4º, qui se comp
cote Inc. c. a. 716 et la bibliothèque royale de Stuttgart possèdent
chacune
un exemplaire de cette édition. — Esopus cum com
pouvant déterminer avec certitude l’époque précise de l’apparition de
chacune
d’elles, j’ai cru devoir me dispenser de citer le
ommentaire qu’on rencontre spécialement dans les éditions classiques.
Chacune
des fables est illustrée d’une gravure sur bois.
du texte des fables. La préface en vers et les fables sont précédées
chacune
du commentaire commun à toutes les éditions qui c
à Cordoue, la Bibliothèque provinciale, sous la cote 8. 98, possèdent
chacune
un exemplaire de cette rare édition. 1557.
prologue métrique, accompagnées d’une glose placée, partie en tête de
chacune
d’elles, partie en interligne et ornées chacune d
ée, partie en tête de chacune d’elles, partie en interligne et ornées
chacune
d’une gravure occupant un espace plus grand que c
oue, la Bibliothèque de l’Université, sous la cote 53. 329, possèdent
chacune
un exemplaire de cette édition. 1561. Æ
cède le prologue connu. Elles sont accompagnées d’une glose et ornées
chacune
d’une gravure sur bois. Elles sont au nombre de 6
yser montrent, par les longs intervalles qui séparent l’apparition de
chacune
d’elles, combien s’affaiblit au xvie siècle l’at
issima, e di grande dolciezza. Les fables ne portent pas de titres ;
chacune
d’elles est agrémentée d’une miniature dont le de
Francesco, et ora la traslatato in latino. Les fables sont pourvues
chacune
de deux titres, l’un pour elle-même, l’autre pour
uno dassiena. Elles viennent immédiatement après ce titre, ornées
chacune
d’un dessin à la plume grossièrement colorié. La
uscriptions sont à l’encre rouge. Puis commencent les fables, suivies
chacune
d’une morale, qui porte pour titre le mot Notabil
rone, sous la cote 183.4, enfin la Bibliothèque de Bergame détiennent
chacune
un exemplaire de cette édition. 1782. V
e sous la cote 178. 1 et celles de Brescia et de Bergame en possèdent
chacune
un exemplaire. — Volgarizzamento || delle favole
A. XXXIX. GG. 33, et celle de Vérone, sous la cote 183. 1, possèdent
chacune
un exemplaire de cette édition. 1837. F
èque de Vérone, sous la cote 181. 1, et celle de Bergame en possèdent
chacune
un exemplaire. 1840. Esopo || volgarizz
ibliothèque Marcienne, sous le nº 58848, et celle de Vérone possèdent
chacune
un exemplaire. 1854. Esopo || volgarizz
us la cote L. 3. 6, et celle de Vérone, sous la cote 182.1, possèdent
chacune
un exemplaire de cette édition. 1856. E
-24. L’édition et la réimpression sont, au palais Brera, représentées
chacune
par un exemplaire. 2º Traduction en vers d’Ac
viennent en effet les fables latines avec leur traduction italienne.
Chacune
d’elles est immédiatement suivie de deux sonnets
cote C. 1. a. 5 et la Grenville Library, sous la cote 7729 possèdent
chacune
un exemplaire de cette édition. 1483. Pub
bles illustrées comprenant le texte latin et la traduction italienne.
Chacune
est ornée d’une gravure au-dessous de laquelle se
bliothèque du British Museum, la Bodléienne et la Colombine possèdent
chacune
un exemplaire de cette édition : la première, sou
Bibliothèque de l’Université de Ferrare sous la cote O. 66 possèdent
chacune
un exemplaire de cette édition. — Esopo con la v
iale et par un Sonetto morale. Puis commencent les fables, illustrées
chacune
d’une gravure et suivies chacune des deux sonnets
is commencent les fables, illustrées chacune d’une gravure et suivies
chacune
des deux sonnets qui la paraphrasent. Au bas du v
a cote 7743 et la Bibliothèque de Vérone sous la cote 105.4 possèdent
chacune
un exemplaire de cette édition. ― Le fabule de Y
les arabesques ressortent en blanc. Voici la disposition adoptée pour
chacune
des fables : d’abord le texte latin, puis une gra
e « dont certains passages, dit Brunet469, sont en patois vénitien ».
Chacune
d’elles est ornée d’une petite gravure sur bois.
ement chrétien de celles de Walther. On retrouve en effet à la fin de
chacune
d’elles les distiques élégiaques dans lesquels ce
t cette particularité qui ne permet aucun doute sur leur origine, que
chacune
d’elles est suivie du distique élégiaque qui dans
mettre les trois collections en présence par des extraits empruntés à
chacune
d’elles. Comme précédemment, je me sers d’abord d
i commencent au folio 33 b, sont celles de l’Anonyme de Névelet, dont
chacune
est précédée de la fable correspondante du dérivé
squ’à présent, j’ai explicitement donné la nomenclature des fables de
chacune
des collections que j’ai analysées, je ne crois p
t premières seulement sont accompagnées d’un numéro d’ordre, qui pour
chacune
, sauf pour la première, est placé à la fin de la
nt précédées de titres très explicites qui font connaître le sujet de
chacune
. On les trouvera dans le second volume de cet ouv
suivrai celui qui a été adopté par M. de Roquefort. Enfin, en face de
chacune
, j’aurai soin d’indiquer le numéro de la fable la
que de 103 fables, précédées des quarante vers du prologue, pourvues
chacune
d’un titre spécial, mais non suivies de l’épilogu
èdent et les suivent. Elles ne sont accompagnées d’aucun titre ; mais
chacune
est surmontée d’un dessin colorié. Le manuscrit 2
ont toutes pourvues de titres particuliers écrits à l’encre rouge, et
chacune
d’elles est surmontée d’une miniature à fond d’or
tre général en tête du prologue, ni d’un titre particulier en tête de
chacune
d’elles. Le manuscrit en possède non 93, comme un
e titre général : Incipit liber qui dicitur esope , et sont pourvues
chacune
d’un titre spécial formulé en latin. Elles ne son
2 à 23, 40 à 41, 46, 50 à 52, 71 à 75 et 80 à 81. Elles sont pourvues
chacune
d’un titre spécial et suivies d’un épilogue en 26
ur auteur commun. Je pourrais me livrer à de pareilles recherches sur
chacune
des quatorze dernières fables du Romulus Roberti
ment après viennent, sans titre général et sans titres particuliers à
chacune
d’elles, les fables de la version en prose du tex
aut du recto du premier feuillet et en dehors de la première ligne de
chacune
des deux colonnes, on lit : Ave Maria. N’étant
ment après viennent, sans titre général et sans titres particuliers à
chacune
d’elles, les fables de la version en prose latine
Dérivé d’Avianus sans titre général, mais avec des titres spéciaux à
chacune
des quarante-cinq fables dont il se compose. Plus
mendari pulchrum indicauit et utile. Elles sont au nombre de 136, et
chacune
d’elles est pourvue d’un titre toujours écrit à l
général applicable à la collection, ni titres spéciaux applicables à
chacune
d’elles. Quoique la dernière inachevée montre que
ion en livres. Il faut en outre observer que les sujets traités dans
chacune
sont également pareils, et à ce point de vue la p
[1570] Gravures originales réalisées par Verdizzotti lui-même pour
chacune
des cent et une fables et reprises dans la plupar
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