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1 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CX. Du Renard, et du Leopard. »
ard. Le Renard, et le Leopard, disputoient ensemble de leur beauté. Ce dernier loüoit hautement sa peau tachetée de diverses cou
ce qu’il est impossible, ce me semble, qu’en leur ame ils ne trouvent ce dernier plus estimable que l’autre.  
2 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XII. Les Medecins. » p. 114170
is alloit voir un malade, Que visitoit aussi son confrere Tant-mieux, Ce dernier esperoit, quoique son camarade Soûtinst que le gi
3 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXX. De l’Aigle, et du Corbeau. »
à celle-cy, qui l’est conditionnellement, à sçavoir par imitation. En ce dernier rang se doit mettre l’entreprise de nostre Corbea
4 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIII. Du Corbeau, et du Renard. »
s, ou pour le zele qu’ils ont au bien public, et à la Vertu ? Quant à ce dernier poinct, il y a si peu d’hommes qui soient touchez
5 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
proposé un prix de gloire au Maistre et au Valet, quand il arrive que ce dernier est moindre que l’autre, il n’en remporte que des
6 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
Cæsar Tiberius, puis Cæsar, puis Dux, jamais Augustus. Au contraire, ce dernier nom est le seul par lequel il désigne Octave. Lor
mbler étonnant : quoiqu’il n’eût pas eu l’intention d’attaquer Séjan, ce dernier , connaissant l’attachement du fabuliste à la fami
n, et songeant à l’abominable réputation que l’histoire avait faite à ce dernier , ils en ont conclu que le ministre de Tibère, att
vant la chute de Séjan. Il croit que la première était dirigée contre ce dernier et la seconde à la fois contre son maître et cont
l’intention de fustiger Séjan, et dès lors, sous l’administration de ce dernier , il avait pu, sans rien craindre, non seulement é
Séjan, à qui elles avaient servi de grief ; mais il est probable que ce dernier n’y avait pas attaché une grande importance et qu
l avait dédié à son frère cette édition imprimée à Bâle. C’est à quoi ce dernier fait allusion au commencement de l’épître suivant
ra s’étonner de ne pas le trouver dans le catalogue des manuscrits de ce dernier . Il est probable qu’après l’avoir reçu de lui, so
ite appartenu à lord Stuart de Rothesay, et, à la vente des livres de ce dernier , le hasard me l’ayant fait rencontrer, je m’en su
entre l’édition Brocas et le manuscrit de Reims dans des endroits, où ce dernier s’éloignait de celui de Pithou. Pour parvenir à u
a bibliothèque passa à son fils Alexandre Petau, et après le décès de ce dernier elle fut mise en vente. Les richesses paléographi
té reliés par erreur avec le roman d’Otinel 135. » Quant au sujet de ce dernier roman, il se rattache à l’histoire légendaire des
is, sauf Rigault, nul ne s’en était servi. Dans son édition de 1599, ce dernier , qui en avait d’ailleurs assez exactement relevé
wabe, appelé par lui vir summus, qu’il produit sa nouvelle assertion. Ce dernier , il est vrai, dans son Excursus sur la fable xvi
Petau et en partie par Bongars. On sait aussi comment ceux acquis par ce dernier sont aujourd’hui conservés dans la bibliothèque d
son recueil, était-il déjà grand garçon, et, suivant l’expression de ce dernier , adolescentem suavissimum. D’autre part, il me pa
e la copie adressée par d’Orville à Burmann était sortie des mains de ce dernier et entrée dans la Bibliothèque du collège Louis-l
ie spéciale du texte de l’archevêque de Siponte167. Maintenant, comme ce dernier , avait-il un neveu, et sur quel document se sont
aire de minutieuses recherches dans la Bibliothèque Ambrosienne. Mais ce dernier , après avoir accédé à ce désir, n’était parvenu à
en, d’après lui, contemporain de Pétrone, et, comme il a démontré que ce dernier appartenait à l’époque de Claude et de Néron, il
mo, il eût pu faire prendre ou pu prendre lui-même, dans l’atelier de ce dernier , pendant l’impression, des extraits du travail de
rochure de Cassitto qui contenait ses propres conjectures pillées par ce dernier . Jannelli ne se contraint plus ; il accuse Cassi
ublic, contre la troisième édition de Cassitto, n’avaient pas empêché ce dernier d’en faire continuer l’impression et de lui donne
bien conforme à celui de Naples, qu’il porte même la note, qui, dans ce dernier , figure en marge d’un ancien oracle de Delphes et
il avait emprunté la fable qui précède, et ensuite, en l’empruntant à ce dernier , il n’avait fait que la copier et n’avait pas eu
falsus adstruit scriptor ? An æmulatur improbi jocos Phædri ? Dans ce dernier vers, il fait, selon Christ, allusion au philosop
qui ne pouvait laisser d’incertitude sur le véritable personnage que ce dernier avait eu en vue, et le savant Christ, pour qui l’
à Phèdre, ne voulant sans doute pas mettre en vers élégiaques ce que ce dernier avait déjà traduit en ïambes. Comment Christ n’a-
son traité De Generibus metrorum, il se félicite de l’invitation que ce dernier lui a faite de se livrer à une étude qui, en le r
’il n’a pas été copié sur le manuscrit de Reims, il a du moins, comme ce dernier , été copié sur un troisième plus ancien, duquel m
he définitif. Chapitre IV. Éditions des fables de Phèdre. Dans ce dernier chapitre sur Phèdre je devrais peut-être énumérer
l avait dû l’acheter à la vente de la bibliothèque de Paul Petau. Car ce dernier , en tête du feuillet 195 où commencent les fables
uos extremi veraces mundi quos appellant polos. Fol. cxc a. — Entre ce dernier membre de phrase et le mot Pisces , un copiste m
nt ; Jésus-Christ ou un autre personnage. Fol. ccxii a. — Le recto de ce dernier feuillet porte une écriture peu lisible qui n’est
, et l’avait immédiatement signalé à Jean-Frédéric Nilant, son neveu. Ce dernier , ému de cette découverte, pria le bibliothécaire,
eût laissé, ils l’avaient complaisamment donné à M. E du Méril. Mais ce dernier , pendant le siège de Paris, était allé mourir en
iber secundus Aesopi Fabri. « Quel est, s’écrie-t-il, celui qui, sous ce dernier mot, ne reconnaît pas immédiatement le nom de Phè
it des fables étrangères au manuscrit de Pithou, cela tenait à ce que ce dernier était incomplet. Tross veut que cette vérité ress
essler, il a raison ; mais à l’égard de Gude il oublie évidemment que ce dernier a été propriétaire du manuscrit. Voulant justifie
, modo, Quia digne nostris meritis uti non potes. Tross propose pour ce dernier vers cette variante : Quia digna nostris meritis
fabri : “Qui ne voit pas à l’instant même le nom de Phèdre caché dans ce dernier mot ?” Je prétends en toute modestie que ce mot f
davantage de celui de Phèdre, il s’ensuit que, pour la restitution de ce dernier dans les fables ci-dessus énumérées, le manuscrit
s de Phèdre qui ne se rencontrent pas dans le texte de Romulus et que ce dernier en possède aussi que le manuscrit de Wissembourg
, et que réciproquement c’est par suite d’une altération analogue que ce dernier ne possède pas toutes les expressions de Phèdre c
mulus primitif, la dissemblance est au contraire très apparente entre ce dernier et celui des Fabulæ antiquæ. Ainsi, pour produire
hait de Phèdre beaucoup plus que celui de Romulus, il en a conclu que ce dernier avait dû avoir son anonyme pour origine. Voici en
postérieur à Romulus324. » Il continue en disant que Nilant a publié ce dernier anonyme d’après un manuscrit du xiiie  siècle, de
ain et celle du Romulus primitif, c’est, à défaut du texte disparu de ce dernier , à celui du Romulus ordinaire que j’ai eu recours
783, il épouse la fille du docteur Rose, et collabore à Chiswick avec ce dernier dans la Monthley Review. Ayant, en 1792, obtenu,
de trente-trois ou trente-quatre, mais ne s’élève point au-dessus de ce dernier chiffre. L’édition est ornée de nombreuses gravur
, il en aura pour la symétrie attribué un pareil nombre au quatrième. Ce dernier livre est terminé par une sorte d’avis ainsi form
, le cahier q est numéroté de 1 à 4 et se compose de huit feuillets ; ce dernier cahier ne comprend aucun feuillet blanc. La dispo
m libri secundi fabularum Esopi. Au-dessous de la table annoncée par ce dernier titre on lit celui-ci : Prohemium libri secundi
rimeur à Augsbourg et sans doute proche parent de son confrère d’Ulm. Ce dernier lui avait vraisemblablement communiqué un exempla
cette préface, et sur un feuillet final on lit, toujours en allemand, ce dernier avis : « Imprimé à Fribourg en Brisgau par Jean F
des caractères gothiques pareils à ceux d’Antoine Sorg, soit même par ce dernier avec les siens pour le compte du monastère. Le pr
été adopté dans le Romulus de Vienne, et, détail spécial et topique, ce dernier ne dit pas, comme les deux autres, que c’est à sa
, et la fable xxxi a sa correspondante dans la cent vingt-neuvième de ce dernier Dérivé. Les deux réunies sous le nº xxxv ont leur
moyen de certains traits communs à Phèdre et à Romulus, combinés dans ce dernier avec d’autres qui ne sont plus communs qu’à Romul
directement à Ésope de compiler pour lui quelques fables joviales, et ce dernier , pour ne pas contrarier un si haut personnage, tr
u fameux Accio Zuccho. Je ne me permettrai pas d’en induire que c’est ce dernier qui en est l’auteur ; mais ce que je peux raisonn
ce manuscrit n’a rien de commun avec celui dont il est ici question. Ce dernier en effet est un de ceux de Naples qui ont été app
. 45 recto, et, comme dans les manuscrits 8023 et 8460, est suivie de ce dernier vers, ou plutôt de cette espèce de soupir de soul
ables, surtout par rapport à l’histoire ecclésiastique, de sorte qu’à ce dernier égard elle paraît préférable à plusieurs autres b
Haenel et de celui de la bibliothèque de Douai. » J’ajoute que dans ce dernier il trouva les deux fables De Capone et Ancipitre
i : Omne genus pestis superat mens dissona verbis, et finissant par ce dernier de la fable xi : Non stolidus doctum debet adire
et laignelat, et, au verso du quatrième feuillet, se terminent par ce dernier  : Auuec genz que de deu non cure. Fol. 4 b, 5 a
ant par ce premier : La rate san uai per la terre, et finissant par ce dernier  : Portoit la poinne qui lo fait. Fol. 6 a, 6 b
yme de Névelet, et que l’un des deux remontait au xiie  siècle. C’est ce dernier qui porte la cote 87.5. Aug. ; mais, ainsi que j’
i  ; Esopi fabulæ carmine. Les 60 fables élégiaques annoncées par ce dernier titre s’étendent du feuillet 136 au feuillet 152.
Grammatica latina, S. Prosperi Aquitanici liber, Esopi fabulæ quædam. Ce dernier titre, qui se rapporte aux fables de Walther, ind
pi è greco in latinum , et suivies d’une sorte d’épilogue terminé par ce dernier vers du Livre II des Géorgiques : Et iam tempus
nale, porte dans le fonds français la cote 1594. Non seulement, comme ce dernier manuscrit, il contient le texte latin de Walther
a royne a tres belle chiere Madame iehanne de borgomgne. En marge de ce dernier vers il a écrit cette note : « femme de Philipes
lyse du manuscrit 1594. Il est complet et contient le vers, que, dans ce dernier manuscrit, le copiste a oublié ; ainsi, après le
ice finem ; Multa quidem risu fiunt portantia mortem. Au-dessous de ce dernier vers on lit : Et sic finitur Æsopus. Après vie
et à la fin de chacune d’elles les distiques élégiaques dans lesquels ce dernier avait placé l’épimythion des siennes. En se référ
a fois par les Fabulæ antiquæ et par le Romulus ordinaire, c’est dans ce dernier qu’il prenait le thème à mettre en vers latins, e
de l’œuvre de Neckam, Walther n’y avait pas été non plus étranger483. Ce dernier , traduisant en vers élégiaques, d’après le Romulu
Quoique ce numéro soit moins élevé que celui du manuscrit précédent, ce dernier étant un peu plus ancien, j’ai trouvé naturel de
leçons du manuscrit de Vienne 303. Je vais prendre pour exemple dans ce dernier manuscrit et dans celui de Berlin et mettre en pr
Phèdre que le Romulus ordinaire, et si dès lors il n’était pas, comme ce dernier lui-même, issu du Romulus primitif. La comparaiso
de Phèdre que ne possède pas le Romulus ordinaire, ne procède pas de ce dernier , et la seconde, c’est que l’un et l’autre, présen
anuscrit se retrouvent dans celui d’Oxford. Il s’ensuit que celles de ce dernier manuscrit sont au nombre de 50 et dépassent de 5
tant pas dans le Romulus de Nilant, ont été reléguées après celles de ce dernier . Enfin, du nº 113 au nº 136, le Dérivé se termine
soit lui qui soit issu du Romulus de Nilant et qu’il se pourrait que ce dernier qui ne renferme qu’une partie de son contenu en f
toutes celles qu’on retrouve dans le Dérivé et même une de plus ; car ce dernier n’a pas conservé la fable de l’Homme en mal d’enf
ns que Marie n’écrivait pas en France, mais en Angleterre, c’est dans ce dernier royaume que nous cherchons le comte Guillaume. He
i je suis d’accord avec le savant membre de l’Institut pour voir dans ce dernier texte, non pas un fragment, mais un dérivé partie
mulus anglo-latin lui-même qu’elle doit son existence ? Les fables de ce dernier ne nous étant pas parvenues, il n’y a qu’une faço
plus que le Romulus de Nilant, c’est que, loin d’avoir été la base de ce dernier , elle en est au contraire descendue et s’est inte
érivé complet. De ce double rapprochement ne doit-on pas conclure que ce dernier et le Romulus Roberti ont été tirés de la même œu
tte de savoir si elles sont nées du Dérivé complet ou si au contraire ce dernier en est issu, ou si enfin les fables des deux coll
glo-latin celui de M. Robert et que, dans celle-ci, je donne le pas à ce dernier sur son co-dérivé. Je passe, sans plus tarder, à
apport ; et, comme ce Romulus est lui-même issu du Romulus de Nilant, ce dernier et le Dérivé complet seraient à plus forte raison
Romulus primitif beaucoup plus que celui du Romulus de Nilant ; mais ce dernier et le Dérivé ont entre eux une parenté frappante
exte de Nilant, et qu’il n’offrirait pas, s’il ne se rattachait pas à ce dernier par une filiation évidente. Non seulement il y a
ble, mais encore je peux citer un cas, dans lequel, chose singulière, ce dernier se rapproche du Romulus primitif plus que le Romu
Dérivé. Maintenant, sans prétendre expliquer comment dans cette fable ce dernier par son épimythion est, plus que le Romulus de Ni
o-latin, et que ce n’est pas davantage sur la traduction anglaise que ce dernier a été composé. J’aurais pu, à la rigueur, me disp
été copiés sur un troisième, cette identité obligerait à supposer que ce dernier était lui-même orné des mêmes dessins pareillemen
us que le manuscrit 1107, il est tout naturel d’en conclure que c’est ce dernier qui est la copie de l’autre. 2º Dans le manuscrit
nfermer le texte le plus conforme aux leçons primitives, c’est encore ce dernier que je suivrai. 7º Manuscrit 15. A. VII de la
Dérivé complet, ni celui du Romulus primitif, mais qui paraît issu de ce dernier , je les publierai dans le second volume de cet ou
de l’extrait tiré du prologue de Gérard de Minden, et l’on verra que ce dernier les a dans sa version littéralement suivies. En r
que le Romulus primitif, en contenait deux qui n’existaient pas dans ce dernier , celle du Buffle, du Loup et du Lion et celle de
de Nilant. En effet, lorsqu’on a simultanément devant soi le texte de ce dernier Romulus et celui de la collection hexamétrique, o
mulus par l’auteur du Romulus de Nilant ; or cette forme nouvelle que ce dernier a seul pu lui fournir, a été traduite dans le Dér
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