ard. Le Renard, et le Leopard, disputoient ensemble de leur beauté.
Ce dernier
loüoit hautement sa peau tachetée de diverses cou
ce qu’il est impossible, ce me semble, qu’en leur ame ils ne trouvent
ce dernier
plus estimable que l’autre.
is alloit voir un malade, Que visitoit aussi son confrere Tant-mieux,
Ce dernier
esperoit, quoique son camarade Soûtinst que le gi
à celle-cy, qui l’est conditionnellement, à sçavoir par imitation. En
ce dernier
rang se doit mettre l’entreprise de nostre Corbea
s, ou pour le zele qu’ils ont au bien public, et à la Vertu ? Quant à
ce dernier
poinct, il y a si peu d’hommes qui soient touchez
proposé un prix de gloire au Maistre et au Valet, quand il arrive que
ce dernier
est moindre que l’autre, il n’en remporte que des
Cæsar Tiberius, puis Cæsar, puis Dux, jamais Augustus. Au contraire,
ce dernier
nom est le seul par lequel il désigne Octave. Lor
mbler étonnant : quoiqu’il n’eût pas eu l’intention d’attaquer Séjan,
ce dernier
, connaissant l’attachement du fabuliste à la fami
n, et songeant à l’abominable réputation que l’histoire avait faite à
ce dernier
, ils en ont conclu que le ministre de Tibère, att
vant la chute de Séjan. Il croit que la première était dirigée contre
ce dernier
et la seconde à la fois contre son maître et cont
l’intention de fustiger Séjan, et dès lors, sous l’administration de
ce dernier
, il avait pu, sans rien craindre, non seulement é
Séjan, à qui elles avaient servi de grief ; mais il est probable que
ce dernier
n’y avait pas attaché une grande importance et qu
l avait dédié à son frère cette édition imprimée à Bâle. C’est à quoi
ce dernier
fait allusion au commencement de l’épître suivant
ra s’étonner de ne pas le trouver dans le catalogue des manuscrits de
ce dernier
. Il est probable qu’après l’avoir reçu de lui, so
ite appartenu à lord Stuart de Rothesay, et, à la vente des livres de
ce dernier
, le hasard me l’ayant fait rencontrer, je m’en su
entre l’édition Brocas et le manuscrit de Reims dans des endroits, où
ce dernier
s’éloignait de celui de Pithou. Pour parvenir à u
a bibliothèque passa à son fils Alexandre Petau, et après le décès de
ce dernier
elle fut mise en vente. Les richesses paléographi
té reliés par erreur avec le roman d’Otinel 135. » Quant au sujet de
ce dernier
roman, il se rattache à l’histoire légendaire des
is, sauf Rigault, nul ne s’en était servi. Dans son édition de 1599,
ce dernier
, qui en avait d’ailleurs assez exactement relevé
wabe, appelé par lui vir summus, qu’il produit sa nouvelle assertion.
Ce dernier
, il est vrai, dans son Excursus sur la fable xvi
Petau et en partie par Bongars. On sait aussi comment ceux acquis par
ce dernier
sont aujourd’hui conservés dans la bibliothèque d
son recueil, était-il déjà grand garçon, et, suivant l’expression de
ce dernier
, adolescentem suavissimum. D’autre part, il me pa
e la copie adressée par d’Orville à Burmann était sortie des mains de
ce dernier
et entrée dans la Bibliothèque du collège Louis-l
ie spéciale du texte de l’archevêque de Siponte167. Maintenant, comme
ce dernier
, avait-il un neveu, et sur quel document se sont
aire de minutieuses recherches dans la Bibliothèque Ambrosienne. Mais
ce dernier
, après avoir accédé à ce désir, n’était parvenu à
en, d’après lui, contemporain de Pétrone, et, comme il a démontré que
ce dernier
appartenait à l’époque de Claude et de Néron, il
mo, il eût pu faire prendre ou pu prendre lui-même, dans l’atelier de
ce dernier
, pendant l’impression, des extraits du travail de
rochure de Cassitto qui contenait ses propres conjectures pillées par
ce dernier
. Jannelli ne se contraint plus ; il accuse Cassi
ublic, contre la troisième édition de Cassitto, n’avaient pas empêché
ce dernier
d’en faire continuer l’impression et de lui donne
bien conforme à celui de Naples, qu’il porte même la note, qui, dans
ce dernier
, figure en marge d’un ancien oracle de Delphes et
il avait emprunté la fable qui précède, et ensuite, en l’empruntant à
ce dernier
, il n’avait fait que la copier et n’avait pas eu
falsus adstruit scriptor ? An æmulatur improbi jocos Phædri ? Dans
ce dernier
vers, il fait, selon Christ, allusion au philosop
qui ne pouvait laisser d’incertitude sur le véritable personnage que
ce dernier
avait eu en vue, et le savant Christ, pour qui l’
à Phèdre, ne voulant sans doute pas mettre en vers élégiaques ce que
ce dernier
avait déjà traduit en ïambes. Comment Christ n’a-
son traité De Generibus metrorum, il se félicite de l’invitation que
ce dernier
lui a faite de se livrer à une étude qui, en le r
’il n’a pas été copié sur le manuscrit de Reims, il a du moins, comme
ce dernier
, été copié sur un troisième plus ancien, duquel m
he définitif. Chapitre IV. Éditions des fables de Phèdre. Dans
ce dernier
chapitre sur Phèdre je devrais peut-être énumérer
l avait dû l’acheter à la vente de la bibliothèque de Paul Petau. Car
ce dernier
, en tête du feuillet 195 où commencent les fables
uos extremi veraces mundi quos appellant polos. Fol. cxc a. — Entre
ce dernier
membre de phrase et le mot Pisces , un copiste m
nt ; Jésus-Christ ou un autre personnage. Fol. ccxii a. — Le recto de
ce dernier
feuillet porte une écriture peu lisible qui n’est
, et l’avait immédiatement signalé à Jean-Frédéric Nilant, son neveu.
Ce dernier
, ému de cette découverte, pria le bibliothécaire,
eût laissé, ils l’avaient complaisamment donné à M. E du Méril. Mais
ce dernier
, pendant le siège de Paris, était allé mourir en
iber secundus Aesopi Fabri. « Quel est, s’écrie-t-il, celui qui, sous
ce dernier
mot, ne reconnaît pas immédiatement le nom de Phè
it des fables étrangères au manuscrit de Pithou, cela tenait à ce que
ce dernier
était incomplet. Tross veut que cette vérité ress
essler, il a raison ; mais à l’égard de Gude il oublie évidemment que
ce dernier
a été propriétaire du manuscrit. Voulant justifie
, modo, Quia digne nostris meritis uti non potes. Tross propose pour
ce dernier
vers cette variante : Quia digna nostris meritis
fabri : “Qui ne voit pas à l’instant même le nom de Phèdre caché dans
ce dernier
mot ?” Je prétends en toute modestie que ce mot f
davantage de celui de Phèdre, il s’ensuit que, pour la restitution de
ce dernier
dans les fables ci-dessus énumérées, le manuscrit
s de Phèdre qui ne se rencontrent pas dans le texte de Romulus et que
ce dernier
en possède aussi que le manuscrit de Wissembourg
, et que réciproquement c’est par suite d’une altération analogue que
ce dernier
ne possède pas toutes les expressions de Phèdre c
mulus primitif, la dissemblance est au contraire très apparente entre
ce dernier
et celui des Fabulæ antiquæ. Ainsi, pour produire
hait de Phèdre beaucoup plus que celui de Romulus, il en a conclu que
ce dernier
avait dû avoir son anonyme pour origine. Voici en
postérieur à Romulus324. » Il continue en disant que Nilant a publié
ce dernier
anonyme d’après un manuscrit du xiiie siècle, de
ain et celle du Romulus primitif, c’est, à défaut du texte disparu de
ce dernier
, à celui du Romulus ordinaire que j’ai eu recours
783, il épouse la fille du docteur Rose, et collabore à Chiswick avec
ce dernier
dans la Monthley Review. Ayant, en 1792, obtenu,
de trente-trois ou trente-quatre, mais ne s’élève point au-dessus de
ce dernier
chiffre. L’édition est ornée de nombreuses gravur
, il en aura pour la symétrie attribué un pareil nombre au quatrième.
Ce dernier
livre est terminé par une sorte d’avis ainsi form
, le cahier q est numéroté de 1 à 4 et se compose de huit feuillets ;
ce dernier
cahier ne comprend aucun feuillet blanc. La dispo
m libri secundi fabularum Esopi. Au-dessous de la table annoncée par
ce dernier
titre on lit celui-ci : Prohemium libri secundi
rimeur à Augsbourg et sans doute proche parent de son confrère d’Ulm.
Ce dernier
lui avait vraisemblablement communiqué un exempla
cette préface, et sur un feuillet final on lit, toujours en allemand,
ce dernier
avis : « Imprimé à Fribourg en Brisgau par Jean F
des caractères gothiques pareils à ceux d’Antoine Sorg, soit même par
ce dernier
avec les siens pour le compte du monastère. Le pr
été adopté dans le Romulus de Vienne, et, détail spécial et topique,
ce dernier
ne dit pas, comme les deux autres, que c’est à sa
, et la fable xxxi a sa correspondante dans la cent vingt-neuvième de
ce dernier
Dérivé. Les deux réunies sous le nº xxxv ont leur
moyen de certains traits communs à Phèdre et à Romulus, combinés dans
ce dernier
avec d’autres qui ne sont plus communs qu’à Romul
directement à Ésope de compiler pour lui quelques fables joviales, et
ce dernier
, pour ne pas contrarier un si haut personnage, tr
u fameux Accio Zuccho. Je ne me permettrai pas d’en induire que c’est
ce dernier
qui en est l’auteur ; mais ce que je peux raisonn
ce manuscrit n’a rien de commun avec celui dont il est ici question.
Ce dernier
en effet est un de ceux de Naples qui ont été app
. 45 recto, et, comme dans les manuscrits 8023 et 8460, est suivie de
ce dernier
vers, ou plutôt de cette espèce de soupir de soul
ables, surtout par rapport à l’histoire ecclésiastique, de sorte qu’à
ce dernier
égard elle paraît préférable à plusieurs autres b
Haenel et de celui de la bibliothèque de Douai. » J’ajoute que dans
ce dernier
il trouva les deux fables De Capone et Ancipitre
i : Omne genus pestis superat mens dissona verbis, et finissant par
ce dernier
de la fable xi : Non stolidus doctum debet adire
et laignelat, et, au verso du quatrième feuillet, se terminent par
ce dernier
: Auuec genz que de deu non cure. Fol. 4 b, 5 a
ant par ce premier : La rate san uai per la terre, et finissant par
ce dernier
: Portoit la poinne qui lo fait. Fol. 6 a, 6 b
yme de Névelet, et que l’un des deux remontait au xiie siècle. C’est
ce dernier
qui porte la cote 87.5. Aug. ; mais, ainsi que j’
i ; Esopi fabulæ carmine. Les 60 fables élégiaques annoncées par
ce dernier
titre s’étendent du feuillet 136 au feuillet 152.
Grammatica latina, S. Prosperi Aquitanici liber, Esopi fabulæ quædam.
Ce dernier
titre, qui se rapporte aux fables de Walther, ind
pi è greco in latinum , et suivies d’une sorte d’épilogue terminé par
ce dernier
vers du Livre II des Géorgiques : Et iam tempus
nale, porte dans le fonds français la cote 1594. Non seulement, comme
ce dernier
manuscrit, il contient le texte latin de Walther
a royne a tres belle chiere Madame iehanne de borgomgne. En marge de
ce dernier
vers il a écrit cette note : « femme de Philipes
lyse du manuscrit 1594. Il est complet et contient le vers, que, dans
ce dernier
manuscrit, le copiste a oublié ; ainsi, après le
ice finem ; Multa quidem risu fiunt portantia mortem. Au-dessous de
ce dernier
vers on lit : Et sic finitur Æsopus. Après vie
et à la fin de chacune d’elles les distiques élégiaques dans lesquels
ce dernier
avait placé l’épimythion des siennes. En se référ
a fois par les Fabulæ antiquæ et par le Romulus ordinaire, c’est dans
ce dernier
qu’il prenait le thème à mettre en vers latins, e
de l’œuvre de Neckam, Walther n’y avait pas été non plus étranger483.
Ce dernier
, traduisant en vers élégiaques, d’après le Romulu
Quoique ce numéro soit moins élevé que celui du manuscrit précédent,
ce dernier
étant un peu plus ancien, j’ai trouvé naturel de
leçons du manuscrit de Vienne 303. Je vais prendre pour exemple dans
ce dernier
manuscrit et dans celui de Berlin et mettre en pr
Phèdre que le Romulus ordinaire, et si dès lors il n’était pas, comme
ce dernier
lui-même, issu du Romulus primitif. La comparaiso
de Phèdre que ne possède pas le Romulus ordinaire, ne procède pas de
ce dernier
, et la seconde, c’est que l’un et l’autre, présen
anuscrit se retrouvent dans celui d’Oxford. Il s’ensuit que celles de
ce dernier
manuscrit sont au nombre de 50 et dépassent de 5
tant pas dans le Romulus de Nilant, ont été reléguées après celles de
ce dernier
. Enfin, du nº 113 au nº 136, le Dérivé se termine
soit lui qui soit issu du Romulus de Nilant et qu’il se pourrait que
ce dernier
qui ne renferme qu’une partie de son contenu en f
toutes celles qu’on retrouve dans le Dérivé et même une de plus ; car
ce dernier
n’a pas conservé la fable de l’Homme en mal d’enf
ns que Marie n’écrivait pas en France, mais en Angleterre, c’est dans
ce dernier
royaume que nous cherchons le comte Guillaume. He
i je suis d’accord avec le savant membre de l’Institut pour voir dans
ce dernier
texte, non pas un fragment, mais un dérivé partie
mulus anglo-latin lui-même qu’elle doit son existence ? Les fables de
ce dernier
ne nous étant pas parvenues, il n’y a qu’une faço
plus que le Romulus de Nilant, c’est que, loin d’avoir été la base de
ce dernier
, elle en est au contraire descendue et s’est inte
érivé complet. De ce double rapprochement ne doit-on pas conclure que
ce dernier
et le Romulus Roberti ont été tirés de la même œu
tte de savoir si elles sont nées du Dérivé complet ou si au contraire
ce dernier
en est issu, ou si enfin les fables des deux coll
glo-latin celui de M. Robert et que, dans celle-ci, je donne le pas à
ce dernier
sur son co-dérivé. Je passe, sans plus tarder, à
apport ; et, comme ce Romulus est lui-même issu du Romulus de Nilant,
ce dernier
et le Dérivé complet seraient à plus forte raison
Romulus primitif beaucoup plus que celui du Romulus de Nilant ; mais
ce dernier
et le Dérivé ont entre eux une parenté frappante
exte de Nilant, et qu’il n’offrirait pas, s’il ne se rattachait pas à
ce dernier
par une filiation évidente. Non seulement il y a
ble, mais encore je peux citer un cas, dans lequel, chose singulière,
ce dernier
se rapproche du Romulus primitif plus que le Romu
Dérivé. Maintenant, sans prétendre expliquer comment dans cette fable
ce dernier
par son épimythion est, plus que le Romulus de Ni
o-latin, et que ce n’est pas davantage sur la traduction anglaise que
ce dernier
a été composé. J’aurais pu, à la rigueur, me disp
été copiés sur un troisième, cette identité obligerait à supposer que
ce dernier
était lui-même orné des mêmes dessins pareillemen
us que le manuscrit 1107, il est tout naturel d’en conclure que c’est
ce dernier
qui est la copie de l’autre. 2º Dans le manuscrit
nfermer le texte le plus conforme aux leçons primitives, c’est encore
ce dernier
que je suivrai. 7º Manuscrit 15. A. VII de la
Dérivé complet, ni celui du Romulus primitif, mais qui paraît issu de
ce dernier
, je les publierai dans le second volume de cet ou
de l’extrait tiré du prologue de Gérard de Minden, et l’on verra que
ce dernier
les a dans sa version littéralement suivies. En r
que le Romulus primitif, en contenait deux qui n’existaient pas dans
ce dernier
, celle du Buffle, du Loup et du Lion et celle de
de Nilant. En effet, lorsqu’on a simultanément devant soi le texte de
ce dernier
Romulus et celui de la collection hexamétrique, o
mulus par l’auteur du Romulus de Nilant ; or cette forme nouvelle que
ce dernier
a seul pu lui fournir, a été traduite dans le Dér
▲