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1 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIV. De la Forest, et du Paysan. »
e sa trop grande facilité, et se fascha contre soy-mesme d’avoir esté cause de sa ruyne. Discours sur la quarante-quatriesm
d’accuser la Fortune des disgraces dont ils sont eux-mesmes la seule cause . Ceste proposition n’a pas besoin de grandes preu
onnes ignorantes en ce mestier, à signer des actes contre leur propre cause , sans sçavoir le dommage qu’ils se font. Mais ces
nostre imprudence, pource qu’avec l’amertume de sa douleur, elle nous cause encore celle de nostre repentir.  
2 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 218 » p. 153
surprendre un troupeau de moutons. Ne pouvant s’en rendre maîtres, à cause des chiens qui les gardaient, ils résolurent d’us
livrer leurs chiens. C’étaient les chiens, disaient-ils, qui étaient cause de leur inimitié ; on n’avait qu’à les leur livre
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XXI. Les Frelons, et les Moûches à miel. » p. 504
nt.
 Des Abeilles s’opposant, 
Devant certaine Guespe on traduisit la cause .
 Il estoit mal-aisé de décider la chose. 
Les té
ecy ?
 Dit une Abeille fort prudente.
 Depuis tantost six mois que la cause est pendante,
 Nous voicy comme aux premiers jour
4 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVIII. De l’Arondelle, et des autres Oyseaux. »
cela ne se doivent point chercher ailleurs que parmy nous. Quant à la cause , elle provient de divers endroicts : car quelques
s de quelque source que naisse ceste imprudence, soit de l’une de ces causes soit de toutes ensemble, c’est tousjours un dange
resque tousjours l’amitié de celuy qui entreprend de nous exhorter, à cause que se voyant si peu digne de creance envers nous
5 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLI. Du Cerf, et du Chasseur. »
se mit à loüer ses jambes, et à blasmer ses cornes, qui avoient esté cause de sa prise. Discours sur la quarante-uniesme F
piquent si fort, n’est que trop souvent la pire de leurs ennemies, à cause des Envieux qu’elle leur suscite. Que cela ne soi
yons pas en aucune Histoire, qu’Itacque ait oncques esté assaillie, à cause qu’elle estoit sterile ; Et au contraire, nous sç
6 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXV. Des Liévres craignans sans cause. »
FABLE XXV. Des Liévres craignans sans cause . La forest battuë des vents, faisoit plus de br
battuë des vents, faisoit plus de bruict que de coustume : ce qui fut cause que les Liévres espouvantez se mirent vistement à
7 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVI. Du Satyre, et du Voyageur. »
ayant pris garde qu’il soufloit dans ses mains, il luy en demanda la cause  : A quoy le Voyageur respondist, qu’il le faisoit
t donc plus à craindre, que les personnes declarées à nostre ruyne, à cause que sous l’appas des douces paroles, elle est cap
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Le voyage d’Esope en Delphes. Chapitre XXIX. »
e portast à mesdire d’eux, passant par les autres Villes : Ce qui fut cause qu’ils conspirerent meschamment contre sa vie. Po
e que voyant un de ses amis, qu’on appelloit Damas, il luy demanda la cause de sa plaincte, qu’Esope luy fit cognoistre en ce
assez prés de là, fust surpris de l’amour de ceste femme : ce qui fut cause que delaissant et bœufs et charruë, il s’en alla
il commença de pleurer comme elle. La femme en ayant voulu sçavoir la cause  ; “Ce que je pleure”, luy respondit le païsan, “c
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVI. De la Tortuë, et de l’Aigle. »
ur propre faute, veu le peu d’experience qu’ils ont de la grandeur, à cause que leur nourriture a esté prise au milieu de la
es, qui sont, à n’en point mentir, fâcheuses à supporter. Dequoy sont cause en partie les animositez qu’ils suscitent à l’enc
r faute, ou par les embusches de leurs Envieux. Quant à la troisiesme cause de leur achoppement, elle leur est, sans comparai
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVIII. Du Chevreau, et du Loup. »
e effusion de sang, et ne se resolvent pas souvent à un assassinat, à cause qu’il faut avoir quelque espece de courage pour l
mais par une violence qui naist de la peur. Voylà donc le moyen et la cause d’où procede la coustume des peureux, d’injurier
ctement les défauts de ces ames foibles, ne daignent s’en émouvoir, à cause que le mespris qu’ils font de si lasches Ennemis,
11 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 337 » p. 270
’ai fait aucun mal ? – Ce n’est pas moi, dit la cheville, qui suis la cause de ce que tu souffres, mais celui qui me frappe v
12 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — VII. Le Mulet se vantant de sa Genealogie. » p. 315
seroit bon Qu’à mettre un sot à la raison, Toujours seroit-ce à juste cause Qu’on le dit bon à quelque chose.
13 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 133 » pp. 113-113
hagrin de mourir, du moment que je vois mourir avec moi celui qui est cause de ma mort. » Cette fable montre qu’on supporte f
ment les malheurs, quand on les voit partagés par ceux qui en sont la cause . Chambry 133.2 Aliter — Autre version.
14 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XVI. La mort et le Buscheron. » p. 60
-t-il, ostez-moy cet objet ;
 Qu’il est hideux ! que sa rencontre
 Me cause d’horreur et d’effroy ! 
N’approche pas, ô mort,
efois ma Fable à celle d’Esope : non que la mienne le merite : mais à cause du mot de Mecenas que j’y fais entrer, et qui est
15 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De la response qu’Esope fist à un Juge. Chapitre XVII. »
ne sçay », luy respondit Esope, sans en dire d’avantage ; ce qui fut cause que sur la croyance qu’eust le Preteur, qu’il se
sseurément je ne pensois pas aller où je vay, et que ta rencontre est cause de mon emprisonnement ? » Le Preteur estonné de c
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIV. Du Taureau, et du Bouc. »
c’est », luy dit-il, « ce que tu me fais un si rude accueil, c’est à cause que je suis en fuitte ; mais si celuy qui me pour
consequent les hommes du monde que nous devons le plus apprehender, à cause que nos autres ennemis ne sont redoutables qu’ent
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IX. Du Sanglier, et de l’Asne. »
lant à Drances, tesmoigna d’avoir pour indifferentes ses calomnies, à cause du demerite de son ennemy. C’est ce qui fait qu’u
e mesme est capable de nous y porter. J’estime pour moy, que les deux causes ensemble, et l’une sans l’autre et accompagnées,
e se trouve en l’Ours, qui ne met jamais la dent sur un corps mort, à cause , comme je croy, qu’il est incapable de resistance
trepris ordinairement que pour la loüange. Mais c’est assez parlé des causes de ceste Vertu ; Il faut finir, apres avoir exhor
18 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 220 » p. 260
rer. Le loup changeant d’avis s’écria : « La présomption nous est une cause de malheur. »
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Description du corps, et de la vivacité de son esprit. Chapitre II. »
oit à se faire entendre. Toutes lesquelles choses semblent avoir esté cause de sa servitude. Car c’eust esté merveille, si es
20 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — II. Le Pot de terre et le Pot de fer. » p. 378
luy faloit si peu, Si peu, que la moindre chose De son débris seroit cause . Il n’en reviendroit morceau. Pour vous, dit-il,
21 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Ennus est adopté par Esope, qui en reçoit une grande injure. Chapitre XXVI. »
pus ne pouvant souffrir le Roy dans une peine, dont il cognoissoit la cause , le fût trouver aussi tost, et luy dit qu’Esope v
du crime dont Ennus l’avoit chargé, et respondit si pertinemment aux causes de son accusation, qu’il n’y a point de doute, qu
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVI. Du Lion, et du Rat. »
nvers les foibles, tant pource qu’elle est meslée de Generosité, qu’à cause qu’elle appartient à la Justice. Ainsi, quand mes
ient apparemment une douleur excessive. Androde ayant apperçeu que la cause en procedoit d’une longue espine, que le pauvre L
me cét effect estoit extraordinaire, le Peuple en voulut apprendre la cause , de la bouche mesme de l’Esclave, qui se mit à la
23 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 39 » p. 14
tourna ses regards et se mit à soupirer. Le renard lui en demanda la cause . Alors le singe lui montrant les tombeaux répondi
24 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 241 » pp. 80-80
n instant de plaisir. » C’est ainsi que la gourmandise est souvent la cause de bien des maux. Chambry 241.2 Aliter — Au
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVIII. Du Chien envieux, et du Bœuf. »
d’autruy. Sans qu’il soit donc necessaire de dire aucune chose de ses causes , ou de sa definition, il suffira de conclure, qu’
délivrer. Ce qu’il faut faire en toutes façons, s’il est possible, à cause que ceste peine estant de la nature fort ennuyeus
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXI. De Venus, et d’une Chatte. »
ict en bas, et se mit à poursuivre le Rat pour le manger : ce qui fut cause que la Déesse irritée, voulut qu’elle reprit sa p
son de leur Pere ? Or pource que c’est du Philosophe de rechercher la cause des choses, ce ne sera point mal à propos d’essay
les contrainctes, quelques justes qu’elles soient. Il y a encore une cause à cela, que je trouve plus apparente que toutes l
sme il arrive fort souvent, que nous aymons les personnes inégales, à cause que tels desseins nous sont plus deffendus que le
27 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 58 » pp. 283-283
t ne pas s’emporter sans mesure ; car il arrive souvent que la colère cause de grands dommages aux gens irascibles. Chamb
28 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 146 » pp. 220-220
l a peur, ne vienne nous attaquer. » Cette fable montre qu’une petite cause ferme parfois l’accès des grands emplois. Cha
29 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — VII. La Besace. » p. 266
e mettray remede à la chose.
 Venez singe, parlez le premier, et pour cause .
 Voyez ces animaux : faites comparaison De leurs
30 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XIII. Le Cheval s’estant voulu vanger du Cerf. » p. 269
Sage s’il eût remis une legere offense. Quel que soit le plaisir que cause la vengeance, C’est l’acheter trop cher, que l’ac
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IV. Du Cerf, et de la Brebis. »
fust bien asseurée de ne luy rien devoir, si ne laissa t’elle pas, à cause du Loup, qui estoit là present, de luy promettre,
de malheur que de peché. Aussi est ce pour cela qu’Esope baille ceste cause à disputer à la Brebis, qui est le plus innocent,
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIX. Des Grenoüilles, et de leur Roy. »
les choses, non pource qu’elles estoient bonnes, et honnestes, mais à cause que c’estoit leur volonté. Voylà donc comme les d
n Peuple, de changer non seulement de forme, mais encore de Prince, à cause des tragiques évenements qui ont accoustumé de s’
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVI. Du Cheval, et du Lion. »
er ; Mais pource qu’il n’en pouvoit pas venir à bout si facilement, à cause que la vieillesse avoit beaucoup diminué de ses f
personnes les plus vigoureuses, deviennent apprehensives par l’âge, à cause , comme nous avons dit cy-dessus, du refroidisseme
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La mort d’Esope. Chapitre XXX. »
t avecque l’Aigle ; luy toutesfois n’en voulut rien faire. Ce qui fut cause que Jupiter ordonna pour le mieux, que les Escarb
coup par la violence des pluyes et de l’orage. Ainsi l’obscurité fut cause que les asnes se fourvoyerent, et qu’ils jetteren
ne cherchasse à me perdre, plutost que de mourir indignement, et sans cause . Je maudits vostre pays, et appelle les Dieux à t
35 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIX. Du Loup, et du Renard. »
quand le Renard qui s’en apperçeut le fût visiter, et luy demanda la cause de son repos. Le Loup se douta tout aussi-tost, q
our le renvoyer, il feignit qu’il se trouvoit mal, et que c’estoit la cause qu’il se reposoit ; luy disant au reste, qu’il l’
se relevent apres leur cheute ; pource que cela se peut en effect, à cause des changemens ordinaires de la fortune. Que si e
36 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 89 » pp. 55-55
que pour beaucoup de gens ce sont leurs propres résolutions qui sont causes de leurs malheurs. Chambry 89.2 Aliter — Au
37 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Xanthus voulant tromper Esope, est trompé luy-mesme. Chapitre XI. »
pres qu’il auroit apperçeu le larcin qu’il avoit fait de ce pied, fut cause qu’il le remit dans le pot. Comme il fut donc que
38 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VI. Du Lion, et de quelques autres Bestes. »
qu’il n’y a pas un de vous qui me vaille ; la seconde l’est aussi, à cause des grands advantages que ma force me donne par d
39 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — V. Le Loup et le Chien. » p. 346
collier dont je suis attaché 
De ce que vous voyez est peut-estre la cause . 
Attaché ? dit le Loup, vous ne courez donc pas

40 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXII. De la Mouche, et du Chariot. »
ux qui couroient dans une lice, où la poussiere estoit grande, tant à cause des chevaux, qui l’esmouvoient de leurs pieds, qu
, au lieu de le donner à Dieu, qui est la vraye source et la legitime cause de tout ce qu’il y a de bien et d’honneste dans l
41 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « AU LECTEUR. Sur le sujet des Fables. »
rendre à la lettre, tiennent du des-honneste, et de l’impie mesme ; A cause de quoy le divin Platon les bannit entierement de
l, comme à celle de Narcisse, qui ravy de sa propre beauté, trouva la cause de sa mort dans la belle source où il se miroit,
de ses humeurs, l’homme veut du mal à l’un, et qu’il ayme l’autre, à cause qu’il le croit sa moitié, comme se l’imagine le P
42 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLV. Du Loup, et du Chien. »
Si je le suis », respondit le Chien, « le soing de mon Maistre en est cause . Car il m’amadoüe, quand je le flatte, et me trai
Loup voyant le col du Chien tout pelé, s’advisa de luy en demander la cause . « Tu dois sçavoir », luy respondit le Chien, « q
. A quoy déroge autant qu’il luy est possible celuy qui s’asservit, à cause qu’il se laisse guider par la volonté d’autruy, e
43 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 130 » pp. 316-316
l s’enfle. » Cette fable montre que les combats et les querelles sont cause de grands dommages. Chambry 130.2 Aliter —
44 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope découvre le derriere de sa Maistresse. Chapitre XX. »
eassent, et elle m’a fait response que ses fesses avoient des yeux, à cause dequoy la trouvant endormie, je les luy ay découv
45 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — En quel temps Esope composa ses Fables. Chapitre XXV. »
le mettoit en grande estime de toutes parts. Avecque cela, il estoit cause , que ce mesme Prince reçevoit de grands tributs,
46 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XVIII. L’Aigle et le Hibou. » p. 
Dieux sont par luy suppliez De punir le brigand qui de son deüil est cause . Quelqu’un luy dit alors : N’en accuse que toy, O
47 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XC. De deux Chiens. »
uccession de temps, les querelles venant à naistre dans les Armées, à cause du commandement, et du contraste de la loüange, l
ne decision des inimitiez, on ne faisoit point de duels, que pour des causes tres justes, à sçavoir pour l’honneur d’une Femme
48 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVIII. D’un Oye, et de son Maistre. »
les executer, nous ne la prendrons neantmoins que du dernier biais, à cause que nous avons cy devant discouru assez au long,
monde. Ce qui procede, à ne point flatter, des empeschements que nous cause la promptitude, et des avantages que leur donne l
49 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Partement d’Esope, et son arrivée en Lydie. Chapitre XXIV. »
, et soubmis à tes pieds, je te prie de ne me point faire mourir sans cause , car je ne suis pas homme qui veüille nuire à per
50 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXII. D’un Enfant, et de sa Mere. »
stant un grand cry, pour l’extrême douleur qu’elle sentit, ce qui fût cause , que ceux qui menoient le larron au supplice l’ay
j’ay arraché l’oreille à celle qui m’a mis au monde, puis qu’elle est cause que l’on m’en oste aujourd’huy ; car si elle m’eu
51 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LII. De l’Oyseleur, et du Merle. »
lon la maxime des Philosophes, une chose est maintenuë par les mesmes causes dont elle est produite, puis que la conservation
52 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope est derechef vendu. Chapitre VII. »
ent si laid, qu’ils s’imaginerent de voir quelque Monstre. Ce qui fût cause que tous ensemble commencerent à s’en mocquer. As
éclatté de rire. Ce qui fit qu’un d’entr’eux, luy en ayant demandé la cause  ; « Retire-toy d’icy », respondit Esope, « ô breb
’Esclave. Ce qu’oyant Esope, le rire luy échappa, comme auparavant. A cause dequoy un des Disciples s’obstinant plus fort à v
53 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 30 » pp. 24-24
ssait par là, entendit ses plaintes et s’approchant lui en demanda la cause . Quand il sut ce qui était arrivé : « Eh bien ! d
54 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De quelles viandes Esope traicta les Hostes de Xanthus. Chapitre XIV. »
e on fait des harangues, des prieres, des compliments : on plaide des causes  : on paroist éloquent : on traicte les mariages :
55 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du second service de Langues. Chapitre XV. »
ue ? n’est-ce point elle qui démolit les citez ? elle qui est souvent cause de la mort des hommes ? elle qui est la source de
56 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXII. Du Loup, et de la Truye. »
façon les gents de bien, lors qu’il les approche pour les assister, à cause qu’il rend leur Vertu suspecte, et semble la voul
57 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La vente d’Esope. Chapitre V. »
tres qui ne s’y portoit pas si ardemment qu’il eust voulu, ce qui fut cause , qu’il se mit à le frapper pour une legere faute.
ayant pris garde à cela ; « pourquoy », luy dit-il, « frappe-tu sans cause ce bon-homme, qui ne t’a fait aucun tort, et d’où
58 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ameine à son Maistre un homme niais, et sans soucy. Chapitre XVI. »
voulut faire accroire à son Cuisinier, qu’il l’avoit mal apprestée à cause dequoy l’ayant fait dépoüiller tout nud, il le tr
vive ». Là dessus, il fist derechef signe à sa femme de luy obeyr, à cause d’Esope, et commanda en mesme temps, qu’on luy ap
59 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XX. Des Colombes, et du Faucon leur Roy. »
de la succession, il est absolument necessaire de n’en pas sortir, à cause des inconvenients qui s’y rencontrent, et du zele
hoses necessaire, voire mesme à celles dont ils ont esté la veritable cause  ? Il est, certes, mal-aisé de sçavoir au vray d’o
60 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIII. Des Loups, et de la Brebis. »
eu sujet de nous hayr, nous ne l’avons pas de nous y fier beaucoup, à cause que nous l’avons aigry. Pour ce qui est de l’autr
61 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIV. D’un vieil Chien, et de son Maistre. »
puis courir. Mais si tu n’estois ingrat ; comme tu m’as aymé jeune, à cause du profit, cette mesme consideration devroit t’ob
62 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVII. Du Chien, et de la Brebis. »
Avecque cela, les malins esprits sont en quelque façon excusables, à cause des peines qu’ils souffrent depuis tant d’années,
63 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIII. De la Fourmy, et de la Mouche. »
pompes et aux richesses mal establies. D’un costé la Mouche plaide la cause des gents de Cour, et de ces Ambitieux, qui ne vi
fait, Ou mesme son envie. Je ne sçay donc point quelle peut estre la cause du mescontentement de ces grands hommes. Mais je
64 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XL. De l’Asne, et du Cheval. »
té, attirent sur eux de tous costez le peril, l’Envie, et la hayne, à cause qu’ils n’ont personne qui reprime leur humeur alt
our nous pouvoir approcher. L’on peut adjouster à cela une troisiesme cause , qui est tirée de nostre volonté propre. Car cest
65 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 239 » pp. 165-165
cornes, furent pris et dévorés. Ainsi souvent la vaine gloire est une cause de malheur. Chambry 239.2 Aliter — Autre ve
66 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE V. Du Chien, et de l’Ombre. »
esté sage ; mais maintenant tu as moins que rien, et ta folie en est cause  ». Discours sur la cinquiesme Fable. Ce Chie
67 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XI. De l’Aigle, et de la Corneille. »
l est vray que c’est une honte bien suportable à une ame genereuse, à cause qu’elle tesmoigne la candeur et la sincerité dont
68 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVI. Du Chévreau, et du Loup. »
des affaires, qu’ils s’imaginent à tout moment de le devoir estre, à cause dequoy ils ont tousjours l’œil au guet, et tourne
69 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXII. De la Brebis, et de la Corneille. »
isins. Nous avons dit, ce me semble, en peu de paroles, quelle est la cause  ; et quelle l’experience de ce mal. Venons mainte
70 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVIII. De l’Asne vestu de la peau du Lion. »
votion, est capable de tenir les personnes plus long temps abusées, à cause que l’exercice de la Vertu n’est pas sujet à la c
71 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
e. Il n’est pas besoin icy de discourir plus long-temps de l’Envie, à cause que nous avons des-jà traicté de ceste matiere. T
ent de hazard en une Ville, où ils furent contraints de se separer, à cause que l’un des deux estoit obligé de visiter la mai
rs, pour ne faire voir qu’une partie des Perfidies que l’Avarice nous cause . Mais nostre siecle est trop plein de nouveaux ex
rouva peu à peu des appas dans sa Moralité, qui la luy firent aymer à cause d’elle-mesme, et non pour l’amour de la Gloire, t
Fugitif, qui se presente chargé de l’habillement d’autruy. Voyons la cause de sa fuite, et du gain qu’il vient de faire.  
72 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIX. De la Belette, et du Renard. »
, d’où pensant sortir apres s’estre bien soulé, il ne le pût faire, à cause que son ventre l’en empescha, pour estre un peu t
73 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIV. De l’Asne, et du Lion. »
ue je choquerois plusieurs Fascheux, qui s’interesseroient dans ceste cause . Laissons-les donc joüyr à leur aise de la fausse
74 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIX. Du Loup, et des Chiens. »
qu’il trouvast moyen de les diviser derechef, ou que toutes les deux causes ensemble contribuassent à la subjection des Gaulo
75 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIII. Du Renard, et du Buisson. »
es differences touchant la maniere de converser avecque les hommes, à cause qu’il me semble fort difficile de les exprimer, v
76 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSIEUR. MONSIEUR. DE SAINCT SYMON, premier Gentil-homme de la Chambre. du Roy, et son premier Escuyer. »
Philosophe, non pas pour le plaisir qu’elles peuvent donner ; mais à cause des belles leçons qu’elles font aux hommes. Aussi
77 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De quelle façon Esope nourrit, et dressa quatre Poussins d’Aigle. Chapitre XXVIII. »
y maintenant à montrer, si tu és assez habile homme pour m’en dire la cause  ». « Je le feray », répondit Esope, « mais ce ne
le Roy Lycerus ; Car tu dois sçavoir que ce mauvais chat est la seule cause d’une perte qu’il a faite la nuict passée pour lu
78 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 60 » pp. 35-35
ourquoi il en usait ainsi. Il répondit qu’il se chauffait les mains à cause du froid. Après, on leur servit à manger. Comme l
79 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXI. Du Larron, et du Chien. »
tez, celle-là principalement qui s’adresse du serviteur au Maistre, à cause que la confiance y est plus necessaire. Aussi est
80 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LV. Du Vautour, et des autres Oyseaux. »
e peur, que de faire mourir son Ennemy quand on a dequoy luy nuire, à cause qu’on tesmoigne par là de le craindre, en le lais
81 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVIII. De l’Ours, et des Mouches à Miel. »
ouffrir une petite picqueure, et lécher le miel en patience, qu’estre cause du grand mal que toutes les Abeilles m’ont fait,
82 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE C. Du Pescheur, et d’un petit Poisson. »
es, si vous abandonnez celle-là, qui est de courte durée, et qui vous cause mille remords ? De plus, avec la certitude que vo
elle est compagne de la Vertu ? Est-ce qu’elle est de longue durée, à cause qu’elle survit à nostre mort ? Mais je trouve l’u
83 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 142 » pp. 181-181
t, avec la peau en plus. » Cette fable montre que, si les grands font cause commune avec les petits, les uns et les autres as
84 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VIII. Du Laboureur et du Serpent. »
nfant. Mais il arriva que celuy-cy, par une extrême ingratitude, fust cause de sa condemnation, et le reduisit à tel poinct,
85 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVIII. Du Laboureur et du Serpent. »
va depuis, que le Laboureur estant devenu fort pauvre, et imputant la cause de ce malheur à l’offense qu’il avoit faite au Se
86 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIX. Du Renard, et de la Cigongne. »
finité d’exemples, que la fraude tombe d’ordinaire sur son autheur, à cause qu’il se treuve toûjours quelque preservatif cont
87 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXX. Du Loup, et de la Teste peinte. »
pource qu’il le croit vray ; et la volonté ne desire rien aymer, qu’à cause qu’elle le croit bon. Tellement que c’est avoir l
88 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVII. Des Oyseaux, et des Bestes à quatre pieds. »
ndonne pendant nostre querelle, il le fait, sans doute, pource que la cause de nostre Ennemy luy semble plus juste, ou plus a
89 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVII. Du Laboureur, et de la Cigongne. »
que les contraires ont tous accoustumé de se fuyr naturellement, qu’à cause qu’ils se fortifient à cela par une reflexion con
90 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIV. D’un Laboureur et de ses Enfants. »
mble, et ne tenoient conte des remonstrances de leur Pere. Ce qui fut cause qu’un jour qu’ils estoient de repos en la maison,
91 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CII. De l’Enfant, et du Larron. »
un puits, lors qu’il y survint un Larron, qui luy en ayant demandé la cause  : « Je pleure », dit-il, « pource que ma Cruche,
92 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Subtile response d’Esope, touchant les superfluitez que la Nature rejette. Chapitre XVIII. »
railles. Il est advenu depuis, que les autres ont eu peur, ce qui est cause , qu’ils regardent ordinairement les ordures de le
93 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIII. De l’Enfantement des Montagnes. »
pour observer le siege de la Bile, et juger par ceste espreuve de la cause de nos guerres, de nos animositez, et de nos divi
94 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIV. Du Singe, et du Renard. »
’ay assez parlé contre les personnes envieuses du bien d’autruy, qu’à cause qu’il me semble veritablement qu’Esope luy fait j
95 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXX. De l’Aigle, et du Corbeau. »
ntmoins ne se doit, ny simplement, ny absolument appeller Temerité, à cause que ce nom est general à ceste imperfection, et à
96 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXI. Du Dieu Mercure, et d’un Charpentier. »
hoses, voila que Mercure émeu de pitié luy apparut, et s’enquit de la cause de sa plaincte, qu’il n’eust pas plustost cognuë
97 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
ortune une Cruche pleine d’eau, où ne pouvant atteindre pour boire, à cause qu’elle estoit un peu trop profonde, elle essaya
nctement, ny mesme confusément ; Ainsi ceste puissante et universelle Cause rend les Animaux capables de tout ce qu’ils font,
mangeoit bien l’avoine, ou si sa maigreur provenoit de quelque autre cause . Pour s’en éclaircir, il la vint voir repaistre a
re Animal de la moitié de sa nourriture, et que c’estoit la veritable cause de sa maigreur. Tels, et une infinité de semblabl
98 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 254 » pp. 173-173
e, il s’était assis sur la berge et pleurait. Hermès, ayant appris la cause de sa tristesse, le prit en pitié ; il plongea da
99 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du present fait à la maistresse de Xanthus. Chapitre XII. »
de tirer le laict à la Brebis, et de luy tondre la laine, ce qui est cause qu’elle suit paisiblement, et se laisse prendre p
100 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXI. De la Fourmy, et de la Cigale. »
loing ceste honte, dont Cardan veut qu’ils ne soient affranchis, qu’à cause du general consentement des hommes. Mais au défau
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