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1 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
nce. Les deux exemplaires de la Bibliothèque nationale portent sur le Catalogue imprimé de 1750, l’un la cote Y 6561, et l’autre
e communiquer l’exemplaire de l’édition de Pithou ; il portait sur le catalogue le nº 252 et la lettre F. Bongars l’avait fait re
tish Museum. L’un appartient au département des imprimés et figure au Catalogue général sous la cote 685. D. Q. C’est le plus bel
osley pense à tort qu’on devra s’étonner de ne pas le trouver dans le catalogue des manuscrits de ce dernier. Il est probable qu’
ais ma démarche fut infructueuse. Le manuscrit ne figurait pas sur le catalogue imprimé du fonds latin, et les bibliothécaires ne
sous ce titre inepte qu’il fut porté, dix autres années après, sur le catalogue des manuscrits provenant de la riche bibliothèque
rence de désordre. L’analyse de tous ces fragments se trouve dans les Catalogues des manuscrits de la Grande-Bretagne et de l’Irla
imprimés à Oxford en 1697, en deux volumes in-folio287, dans l’ancien catalogue des livres de la Bibliothèque de l’Université de
. § 2. — Apographe du manuscrit Vossianus latinus in-8º, 15. Le catalogue in-folio de la Bibliothèque de l’Université de Le
au xvie et au xviie  siècles. Je m’abstiens de reproduire d’après le catalogue imprimé, que chacun d’ailleurs peut consulter, la
es siens étaient conservés ; qu’enfin il lui avait été signalé par le catalogue de F.-Ad. Ebert, intitulé : Bibliothecæ Guelpherb
l, classé parmi les livres de théologie, dans lesquels, à défaut d’un catalogue soigneusement dressé, il n’avait pu le découvrir.
Bibliothèque du Lambeth palace où il fait partie du fonds Tenison. Le Catalogue imprimé des manuscrits de cette Bibliothèque en d
eotiscum, Gothicum, et Anglo-Saxonicum spectantia. » Le rédacteur du Catalogue qui avait ainsi décrit le manuscrit, n’avait pas
e ont plusieurs origines. Celui dont il s’agit ici est de ceux que le Catalogue appelle Codices Tenisoniani et qui sont ainsi nom
s’il n’avait pas été en relations avec lui, il avait au moins, par le Catalogue des manuscrits des Bibliothèques de l’Angleterre
qui en fait partie, porte le nº 59, et, comme sous ce numéro l’ancien catalogue imprimé en donne une analyse exacte, il est permi
’était pas perdu ; et, quant à l’âge du manuscrit, il est vrai que le catalogue imprimé l’avait à tort attribué au xie  siècle ;
alyse que copier, en l’altérant, celle qu’il en avait trouvée dans le Catalogue des manuscrits des collèges d’Oxford publié par l
premier, qui appartient à la bibliothèque royale de Munich, porte au catalogue la cote A. Gr. B. 12. Il est dans un parfait état
it en partie les remarques qui précèdent. Il n’est pas inscrit sur le catalogue général, ce qui le rend assez difficile à trouver
à un fonds spécial qu’on appelle Grenville library et qui possède son catalogue séparé. Ce catalogue, dans lequel il porte le nº 
’on appelle Grenville library et qui possède son catalogue séparé. Ce catalogue , dans lequel il porte le nº 7805, a été publié en
etit format in-fº, une réimpression latine de l’édition d’Ulm, que le Catalogue attribue à l’imprimerie de Sorg. La bibliothèque
anus. Enfin la bibliothèque publique de Linz, s’il faut en croire son catalogue , en possède un aussi sous la cote D. iv. 9. 2
on de celui de l’édition de 1481, coté Y 6592, ils ne figurent pas au catalogue imprimé, et par suite il est difficile d’en avoir
e indiquée par Panzer qui, dans ma pensée, avait dû faire allusion au catalogue de la Bibliothèque Bodléienne imprimé en 1674337.
talogue de la Bibliothèque Bodléienne imprimé en 1674337. Mais sur ce catalogue je ne retrouvai rien qui se rapportât à la préten
étendue édition de Romulus de 1482. C’est qu’en effet c’était dans le catalogue de 1738338, que l’édition était signalée et que P
r avait puisé sa propre citation. Mais je ne connaissais pas alors le catalogue de 1738, et le silence de celui de 1674 ne fit qu
édition est conservé dans la bibliothèque impériale de Vienne, où le catalogue lui donne la cote IV. H. 3. Au British Museum il
onne la cote IV. H. 3. Au British Museum il en existe un qui porte au catalogue de la Grenville library le nº 7808. En outre, M. 
ique de La Haye, un exemplaire mutilé qui, dans la deuxième partie du catalogue imprimé des incunables, porte le nº 17 ; 9º À la
raduction allemande de Steinhöwel, sans lieu ni date, qui, d’après le catalogue général de la bibliothèque du British Museum, aur
c gravures sur bois. Voici dans quels termes elle est signalée par ce catalogue  : Erneuester Esopus : Das ist : Das gantze Leben
éditions qui précèdent il faut ajouter les suivantes qui figurent au catalogue de la Bibliothèque du British Museum, savoir : ce
t de alfonce et aucunes ioyeuses de poge florentin. Le rédacteur du catalogue imprimé de la Grenville library n’a pas hésité à
é copiées plus ou moins exactement sur elles. D’après le rédacteur du Catalogue de la Bibliothèque de Tours, où existe un exempla
tte édition sous le nº 3266, elle serait l’originale. Le rédacteur du Catalogue de la Grenville library affirmant au contraire qu
ui n’est que la réimpression de celle de 1499, m’a été révélée par le catalogue imprimé de la bibliothèque de Lyon, publié par M.
L’existence de cette édition m’a été révélée sous le nº 2019 par le catalogue de la librairie Techener, imprimé à Paris en 1869
le format in-fol. Le British Museum en possède un exemplaire porté au catalogue avec la mention suivante : The fables of Æ., R. 
by W. Caxton. B. Réimpression de 1550. Vers 1550, d’après le Catalogue de la Bibliothèque Bodléienne qui en possède un e
èque du British Museum sous la cote 12 304. aaa.32, est mentionnée au Catalogue dans les termes suivants : The Fables of Esope i
pour la table. Le British Museum en possède un exemplaire inscrit au catalogue sous la cote 12305. bb. 14 avec la mention suivan
onsacré au frontispice et les quatre derniers affectés à la table. Au catalogue du British Museum, qui, sous la cote E. 1889, en
e un exemplaire, qui figure sous le nº 593 dans la première partie du catalogue imprimé. J’emprunte à ce catalogue l’analyse qui
nº 593 dans la première partie du catalogue imprimé. J’emprunte à ce catalogue l’analyse qui suit : Fol. 1 a. — Titulus : Dye h
Un exemplaire de cette édition se trouve sous la cote 637. K. 5, au catalogue de la bibliothèque du British Museum. 8º Éditi
re sous la cote 12304 a 27 à la bibliothèque du British Museum, où le catalogue lui attribue la date de 1802. B. —  Fabulas | De
de l’âme, sur les vices et sur les vertus. Mais Bellarmin363, dans le catalogue où il énumère les écrits de saint Thomas d’Aquin,
la description nécessairement sommaire qui m’aura été fournie par les catalogues imprimés des bibliothèques publiques. § 1er. — 
l est dû à des mains diverses et contient plusieurs opuscules, que le catalogue imprimé de 1871 énumère dans les termes suivants 
Bibliothèque de l’Arsenal. A. Manuscrit 1010 (112. H. L.). Le catalogue général des manuscrits des Bibliothèques publique
ure en parchemin blanc. B. Manuscrit 1015 (114 H. L.). Le même catalogue , Arsenal, T. II, p. 232, donne de ce manuscrit l’
u brun. 3º Bibliothèque d’Auxerre. Manuscrit 92 (86). Le catalogue général des manuscrits des Bibliothèques publique
4º Bibliothèque de Chalon-sur-Saône. Manuscrit 5 (4). Le même catalogue , T. VI, p. 361, donne de ce manuscrit l’analyse s
) 5º Bibliothèque de Dijon. Manuscrit 568 (329). Le même catalogue , T. V, p. 140, donne de ce manuscrit l’analyse su
.) 6º Bibliothèque de Rouen. Manuscrit 1133 (U. 23). Le catalogue précité, T. I, p. 282, donne de ce manuscrit l’an
 U. 43.) 7º Bibliothèque de Troyes. A. Manuscrit 170. Le catalogue général des manuscrits des Bibliothèques publique
avec initiales en or et en couleur. B. Manuscrit 464. Le même catalogue , T. II, p. 208, donne de ce manuscrit l’analyse s
de Munich. C’est seulement par des extraits textuellement tirés du catalogue imprimé de la Bibliothèque royale de Munich que j
cessairement les fables du Romulus de Vincent de Beauvais, a, dans le Catalogue imprimé des manuscrits des collèges d’Oxford366,
hèque de l’Université de Cambridge. Manuscrit Ff. III. 22. Le Catalogue des manuscrits de cette Bibliothèque mentionne, T
ue du Corpus Christi college de Cambridge. Manuscrit VIII. Le Catalogue des manuscrits de la Bibliothèque du Corpus Chris
. 1º Bibliothèque royale de Bruxelles. Voici comment, dans le Catalogue imprimé des manuscrits de la Bibliothèque royale
possède, sous la cote 715, un manuscrit du Miroir historial, dont le Catalogue imprimé donne une analyse trop prolixe pour que j
anuscrit 86, que déjà, comme au docteur Oesterley, m’avait signalé le catalogue des manuscrits des collèges d’Oxford, publié dans
ongues lignes est du xve  siècle, et contient divers ouvrages dont le catalogue imprimé394 donne la nomenclature suivante : Fol.
ssler, avait publié, ainsi que j’ai déjà eu l’occasion de le dire, un catalogue des manuscrits philologiques de la bibliothèque i
légiaques était signalé sous la cote 303. Ces fables, portant dans le catalogue un titre qui semblait emprunté au manuscrit, y ét
d’éviter les élisions. Aussi M. Fleutelot, rassuré d’ailleurs par le catalogue de M. Endlicher, n’hésita-t-il pas, dans sa préfa
rtant les cotes 1595, 19123, 24310 et 983. A. Manuscrit 8023. Le catalogue imprimé de 1744 donne du manuscrit 8023 l’analyse
ibro sit laus et gloria Christo. — Amen. B. Manuscrit 8259. Le catalogue imprimé de 1744 donne du manuscrit 8259 l’analyse
rio. Is codex sæculo decimo quinto exaratus videtur. De l’analyse du catalogue il ressort que l’écriture du manuscrit paraît êtr
e à la restitution des véritables leçons. C. Manuscrit 8460. Le catalogue imprimé de 1744 donne du manuscrit 8460 l’analyse
Finito libro sit laus et gloria Christo. D. Manuscrit 8509. Le catalogue imprimé de 1744 donne du manuscrit 8509 l’analyse
 5642 dans celui de Clément imprimé en 1682, enfin le nº 8509 dans le Catalogue des manuscrits latins imprimé en 1744. Il y avait
modernes, mais presque indéchiffrables. E. Manuscrit 8509 A. Le catalogue imprimé des manuscrits latins donne du manuscrit 
ontraire, sous le nº 5643, dans l’inventaire imprimé de 1682. Dans le catalogue imprimé des manuscrits latins on lui a, en 1744,
ture est la gothique française, qui, malgré l’indication contraire du catalogue , m’a paru être de la fin du xiiie  siècle. Les fa
Je ne puis mieux indiquer ce qu’il est qu’en renvoyant à la notice du catalogue . Les dernières pages sont remplies par un fragmen
ait l’abbaye, celui qui nous occupe n’était pas le moins précieux. Le catalogue manuscrit du fonds Saint-Victor, sur lequel il po
rer dans la Bibliothèque nationale qu’à l’époque de la Révolution. Le catalogue manuscrit du fonds Saint-Victor, sur lequel il po
orté successivement le nº 842 et le nº 7616, il figure aujourd’hui au catalogue sous le nº 1594. À raison de son importance, M. R
t 101 b par le mot Explicit . 3º Manuscrit de Douai. Dans les catalogues d’Haenel publiés à Leipzig en 1830, le manuscrit
r fidèle à son modeste programme et publier, tels qu’ils étaient, les catalogues des bibliothèques publiques. Mais, quoique cette
de copiste, Haenel avait, à son insu, transcrit la fausse mention du catalogue . Lorsqu’il était conservateur de la bibliothèque
i, en effet, comment, à cet égard, il s’exprimait dans son édition du catalogue des manuscrits de Douai : « Jusqu’à présent on ne
euillets en parchemin in-8º ou plutôt in-4º de petit format. Dans son catalogue , M. Duthillœul en fait à tort remonter l’écriture
demment publiées. Voici sur ce point les renseignements que, dans son catalogue , M. Duthillœul fournit lui-même : « En 1837, M. D
-septième. Je renvoie ceux qui désireront en avoir la nomenclature au Catalogue général des manuscrits des bibliothèques publique
n forment en apparence soixante et une. C’est par erreur que, dans le Catalogue général des manuscrits des bibliothèques publique
manuscrits des bibliothèques publiques des départements, l’auteur du catalogue de celle de Laon déclare que le manuscrit 461 ne
eux de le mieux connaître, à lire l’analyse qui en est donnée dans le Catalogue général des manuscrits des bibliothèques publique
ns, le plus précieux de tous. Il est signalé sous la cote 673 dans le Catalogue des Manuscrits de la bibliothèque de Lyon, publié
lle, et la jouissance à l’Académie441. » Voici maintenant comment le Catalogue de la bibliothèque du Palais des Arts s’exprime s
vé sous la cote 368, est analysé dans le premier des trois volumes du catalogue de cette Bibliothèque dressé par M. C. G. A. Lamb
rt et imprimé en 1862444. Malheureusement, l’analyse contenue dans ce catalogue n’est guère exacte et je ne peux me borner à la t
lume in-8º, dont les feuillets en papier sont non, comme l’indique le catalogue , au nombre de 54, mais bien au nombre de 57, et d
remiers feuillets contiennent, non pas, suivant la mention erronée du catalogue , seulement les 45 premières fables de Walther, ma
illets, qui sont en partie blancs, contiennent diverses pièces que le Catalogue analyse en ces termes : « Les prières qui termine
e sous la cote C. b. 37. Voici la description qu’on en trouve dans le Catalogue  : « Æsopus in glosa mistici sensus. Manuscrit de
euillet 76, non par la date 1411 faussement relevée dans l’analyse du catalogue , mais par celle de 1407 écrite en chiffres arabes
n 1436 et dans les années suivantes et dont l’origine est indiquée au catalogue imprimé de la Bibliothèque par cette mention : Au
d’Augustins, dans lequel il portait le nº 109. Ce manuscrit, dont le catalogue indique l’origine par cette mention : Aug. S. Ur
Lorsqu’en 1873 j’ai été visiter la bibliothèque royale de Munich, le catalogue des manuscrits n’était pas encore entièrement imp
er d’autre description que celle qui m’est aujourd’hui fournie par le catalogue complété. Le manuscrit 5311 forme un volume in-4,
e manuscrit 5311 forme un volume in-4, dont l’origine est indiquée au catalogue par cette mention : Chiem. ep. 11. Il porte la d
us le titre Excerpta ex Esopo probablement imaginé par les auteurs du catalogue , il renferme les épimythions des 60 fables de Wal
du xve  siècle, forme un volume in-4º, dont l’origine est indiquée au catalogue par cette mention : Ebersb. 141. Il se compose d
er. C’est ce qui résulte de la désignation suivante que j’emprunte au catalogue  : Apologi vel fabulae Esopi (quidam asserunt mag
du xve  siècle, forme un volume in-4º dont l’origine est indiquée au catalogue par cette mention : Ind. 280. Il se compose de 2
accompagnées d’un commentaire, les fables de Walther, qui, suivant le catalogue , sont intitulées Liber Esopi et sont le dernier d
xve  siècle, forme un volume in-fol., dont l’origine est indiquée au catalogue par cette mention : Em. B 42. Il se compose de 3
orze autres ouvrages. J. Manuscrit 14301. Ce manuscrit, dont le catalogue indique l’origine par cette mention : Em. D 26,
ées d’un commentaire et interprétées par des gloses ; c’est ce que le catalogue révèle en ces termes : Æsopi fabulae cum comment
anuscrit qui remonte au xve  siècle et dont l’origine est indiquée au catalogue par cette mention : Em. G. 87, forme un volume i
b. Ces dernières sont accompagnées d’un commentaire ; c’est ce que le catalogue fait connaître en ces termes : Æsopi fabulæ cum
xve  siècle, forme un volume in-fol., dont l’origine est indiquée au catalogue par cette mention : S. Nic. 213. Il se compose d
é de 236 feuillets. Il renferme de nombreux ouvrages énumérés dans le catalogue de la Bibliothèque. Le premier consiste dans les
es plus curieux manuscrits de Walther. Voici l’analyse qu’en donne le catalogue imprimé de la bibliothèque : « Liber Exopi, editu
erreur, que M. Robert a su éviter et que, d’après lui sans doute, le catalogue de la Grenville library a relevée dans une notice
at in-8º. Il a appartenu au couvent de Saint-Jacques de Liège. Sur le catalogue de ce couvent, qui se trouve actuellement à la bi
suite du traité de Tolentino, furent apportés à Paris ? Non ; car le catalogue de ces manuscrits a été publié450 ; il montre que
par exception ont été placées immédiatement avant la soixantième. Le catalogue de la bibliothèque du palais Brera renvoie pour p
i comprenait elle-même divers fonds et notamment le fonds Strozzi. Le catalogue de la bibliothèque Léopoldine, imprimé à Florence
e écriture italienne du xiiie  siècle. Voici, telle qu’elle figure au catalogue , la nomenclature des ouvrages contenus dans le ma
est du xive  siècle. De son ancienne cote N. CXVI qui est rappelée au Catalogue il ressort qu’il a appartenu à la Bibliothèque de
bliothèque de Nani, et que c’est celui que Morelli a analysé dans son Catalogue intitulé : Codices manuscripti latini bibliothec
i bibliothecæ Nanianæ , et publié à Venise en 1776. Voici, d’après le Catalogue de Saint-Marc, l’indication du contenu du manuscr
o baduaria nobilis Venetarum. De l’ancienne cote A.Z. nº 434 que le Catalogue rappelle, il ressort que le manuscrit a appartenu
et l’écriture qui les remplit est du xive  siècle. Voici, d’après le Catalogue de la Bibliothèque, les ouvrages qui s’y trouvent
appartenait déjà à la bibliothèque à l’époque où Haenel publiait ses catalogues  ; cet éditeur l’avait mentionné sous la cote A. V
nt je n’ai retrouvé aucun exemplaire. Elle n’est pas datée ; mais le Catalogue de la Bibliothèque de l’Université de Ferrare, où
Le tout se termine au feuillet 62. Les deux derniers sont blancs. Le catalogue in-fol. des manuscrits de la bibliothèque Léopold
suo, e andossene via con esso, et par bene parlate sue liberato. Le catalogue des manuscrits de la Bibliothèque Laurentienne do
papier dont l’écriture est du siècle dernier. Voici comment, dans le Catalogue de la Bibliothèque, il est analysé : Copia fedel
e Riccardienne, un exemplaire malheureusement incomplet, qui, dans le Catalogue des Incunables, porte le nº 560. Mais je ne l’ai
trouve un exemplaire à la Grenville library sous la cote 7735, et le catalogue de cette bibliothèque (t. I, p. 14, 2e col.) la d
e Walther porte à la Bibliothèque nationale le nº 14961. Sur l’ancien catalogue du fonds Saint-Victor auquel il a appartenu, il a
e 704 et est intitulé : Sermones diversi et quædam moralia. Dans le catalogue publié par M. Léopold Delisle470 après la fusion
in-4º, dont l’écriture sur parchemin est du xve  siècle et auquel le catalogue donne le nom de Codex Bigotianus. M. Robert lui a
nº 19, a-t-elle été substituée à l’ancienne. Il avait été inscrit au catalogue imprimé des manuscrits latins comme renfermant le
ns doute empêché de les reconnaître, c’est qu’elles ne portent pas au catalogue le véritable nom de leur auteur, et que, composée
s sont en parchemin et dont l’écriture, contrairement à la mention du catalogue où le xiiie  siècle lui est assigné, est très pro
. § 3. — Manuscrit de Leyde Vossianus latinus in-8º, 46.     Le catalogue in-fol. de la Bibliothèque de l’Université de Ley
omulus qu’il renfermait et auquel il a ainsi attaché son nom. Dans le catalogue ci-dessus indiqué, le contenu en est analysé en c
ture sur deux colonnes appartient au xiiie  siècle. Voici, d’après le catalogue imprimé, la liste des ouvrages qu’il contient :
nuscrits, appartenant à la Bibliothèque nationale, et portant dans le Catalogue imprimé en 1744, l’un la cote 347 B, l’autre la c
ote 347 C. Faute de les avoir suffisamment parcourus, le rédacteur du Catalogue , adoptant pour chacun d’eux la même formule, en a
us détaillée. Si je me conformais à l’ordre suivi par le rédacteur du Catalogue , je devrais d’abord analyser le manuscrit 347 B ;
étant retourné à Trèves, j’ai acquis, par une mention inscrite sur le catalogue de la Bibliothèque, la certitude qu’il était irré
papier, partie en parchemin et dont l’écriture est du xve  siècle. Le catalogue de la Bibliothèque donne en ces termes la nomencl
tish Museum, il en existe un autre, qui m’a d’abord été révélé par le Catalogue in-fol. des manuscrits des bibliothèques anglaise
e possède, non pas le nº 85 qui lui a été attribué par les auteurs du Catalogue publié à Oxford, ni le nº 1362 que, par suite de
è Theatro Sheldoniano. | M.DC.LXXIV. Il existe des exemplaires de ce catalogue à la Bibliothèque nationale sous la cote Q. 340 e
ano. | M.DCCXXXVIII. Voyez t. I, p. 76. Il existe un exemplaire de ce catalogue en 2 volumes in-fol. à la Bibliothèque nationale
u libraire, 5e édition, tome I, col. 93. 350. Bibliothèque de Lyon. Catalogue des livres qu’elle renferme dans la classe des Be
dine. Paris et Lyon, 1812. 3 vol. in-8º. (Voyez t. I, p. 436.) 444. Catalogue descriptif et raisonné des manuscrits de la Bibli
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