te perdu, et, pour me les procurer toutes, j’ai visité la plupart des
bibliothèques
publiques de l’Europe. Copiant moi-même ou faisan
i, dit M. Berger de Xivrey, avait publié, en 1576, un manuscrit de la
bibliothèque
de Pierre Pithou, contenant la traduction des Nov
Pierre Pithou. Je n’en connais que 14 exemplaires, savoir : deux à la
Bibliothèque
nationale, le troisième à la Bibliothèque de l’Ar
plaires, savoir : deux à la Bibliothèque nationale, le troisième à la
Bibliothèque
de l’Arsenal, le quatrième à la Bibliothèque Maza
onale, le troisième à la Bibliothèque de l’Arsenal, le quatrième à la
Bibliothèque
Mazarine, le cinquième à la Bibliothèque Sainte-G
l’Arsenal, le quatrième à la Bibliothèque Mazarine, le cinquième à la
Bibliothèque
Sainte-Geneviève, le sixième et le septième à la
me à la Bibliothèque Sainte-Geneviève, le sixième et le septième à la
Bibliothèque
de Troyes, le huitième à la Bibliothèque de Berne
sixième et le septième à la Bibliothèque de Troyes, le huitième à la
Bibliothèque
de Berne, le neuvième et le dixième au British Mu
de Berne, le neuvième et le dixième au British Museum, l’onzième à la
Bibliothèque
Bodléienne, les douzième et treizième à Cambridge
iothèque Bodléienne, les douzième et treizième à Cambridge, l’un à la
Bibliothèque
de l’Université, l’autre à celle du King’s colleg
versité, l’autre à celle du King’s college, enfin le quatorzième à la
Bibliothèque
Laurentienne de Florence. Les deux exemplaires de
la Bibliothèque Laurentienne de Florence. Les deux exemplaires de la
Bibliothèque
nationale portent sur le Catalogue imprimé de 175
entes. Je n’ai aucune remarque à faire sur les deux exemplaires de la
Bibliothèque
de l’Arsenal et de la Mazarine. Il n’en est pas d
l’Arsenal et de la Mazarine. Il n’en est pas de même pour celui de la
Bibliothèque
Sainte-Geneviève. Daunou, dans son article sur l’
dique la note suivante tracée au crayon en tête de l’exemplaire de la
bibliothèque
Sainte-Geneviève : « Notæ istæ, meo quidem judic
irmer que non seulement c’est Rigault qui a annoté l’exemplaire de la
bibliothèque
Sainte-Geneviève, mais qu’encore c’est pour sa pr
emplaire de la première édition de Pithou est passé, en 1765, dans la
Bibliothèque
Sainte-Geneviève ; c’est là du moins ce qui paraî
765. » J’ignore quelles vicissitudes il avait pu auparavant subir. La
Bibliothèque
de Troyes possède aussi deux exemplaires de l’édi
fin au-dessous on lit encore : « Offert par M. Édouard de Blives à la
Bibliothèque
de Troyes. » Cette mention est signée et datée ai
annotation. Ce qui en fait le prix, c’est qu’il paraît provenir de la
bibliothèque
de Pierre Pithou lui-même. Quant à l’exemplaire d
rtance scientifique. J’ai voulu savoir comment il était entré dans la
Bibliothèque
de Berne, où, pendant l’été de 1870, j’avais été
été rétablies, j’ai écrit, pour me renseigner, au conservateur de la
Bibliothèque
bernoise, M. de Steiger, qui déjà, l’été précéden
rs, en place de l’argent comptant qu’il ne pouvait lui rembourser, sa
bibliothèque
personnelle. Cette bibliothèque, ramassée avec be
t qu’il ne pouvait lui rembourser, sa bibliothèque personnelle. Cette
bibliothèque
, ramassée avec beaucoup de soins et de connaissan
es, homme lettré, vint se fixer à Berne, et fit cadeau de toute cette
bibliothèque
à la ville de Berne, qui l’obtint en 1632. Les Gr
as été épargnée par les obus allemands plus que le reste de la grande
bibliothèque
strasbourgeoise. La lettre de M. de Steiger avait
voyage nouveau en Suisse, je passai par Berne, et, m’étant rendu à la
bibliothèque
de cette ville, j’y trouvai M. de Steiger, qui, a
en est extrêmement soignée. L’exemplaire d’Oxford est conservé à la
Bibliothèque
Bodléienne, où il est depuis de longues années ca
dépendamment du fonds général qui ne se compose que de manuscrits, la
Bibliothèque
Laurentienne possède un fonds spécial qui du nom
le terme), que celle que leur offrait la dispersion des livres de la
bibliothèque
de Saint-Benoît et de plusieurs autres bibliothèq
des livres de la bibliothèque de Saint-Benoît et de plusieurs autres
bibliothèques
. Il est à présumer que le vendeur, dont les titre
-Fleury. Il avait fait ce qui était en son pouvoir pour épargner à la
bibliothèque
de cette abbaye le pillage auquel les calvinistes
ne puis le croire. Qu’on se rappelle les dates. C’est en 1562 que la
bibliothèque
fut saccagée, et c’est seulement en 1596 que la p
2, aurait donc laissé trente-quatre ans dormir, dans les rayons de sa
bibliothèque
, un des auteurs latins qui ont le mieux conservé,
de Phèdre demeurèrent fort longtemps ensevelies dans la poussière des
bibliothèques
, et peut-être seraient-elles encore ignorées aujo
ourd’hui, si François Pithou ne les avait découvertes à Reims dans la
bibliothèque
de Saint-Remi, et ne s’était empressé de les publ
t, on y trouve cette disposition : « Je lègue audict collège toute ma
bibliothèque
et tous les livres qui se trouveront en ma maison
x qui douteraient qu’il y eut réellement recours, en allant voir à la
bibliothèque
Sainte-Geneviève l’exemplaire déjà mentionné de l
ui avait promis de le lui montrer, et il ajoute : « On l’a vu dans sa
bibliothèque
, lorsqu’on s’empara de ses biens ; et, lorsqu’ils
crit, actuellement unique de Phèdre, est encore aujourd’hui dans leur
bibliothèque
. On m’avait trompé, en m’assurant qu’il en avait
si conçue : « Ce précieux manuscrit existe encore aujourd’hui dans la
bibliothèque
de M. le vicomte Le Pelletier de Rosanbo, pair de
ettre évasive, dans laquelle il disait que le manuscrit était dans sa
bibliothèque
à la campagne, et que d’ailleurs, avant d’en auto
la cathédrale pendant que l’ignorance se répandait partout. » Dans la
Bibliothèque
de Saint-Remi se trouvait un second manuscrit ; l
profondie de Phèdre. En 1769, un savant, attaché aux manuscrits de la
bibliothèque
du roi, M. de Foncemagne103, pria de même Dom Vin
du Phèdre de M. Ernest Panckoucke, attribue à tort à M. Dacier : « La
bibliothèque
de Saint-Remi de Reims possédait, avant l’incendi
le texte : « Depuis que cette note a été écrite, on a recouvré à la
Bibliothèque
du Roi l’exemplaire de Reims, qui avait été tiré
a Bibliothèque du Roi l’exemplaire de Reims, qui avait été tiré de la
bibliothèque
de Saint-Remi longtemps avant l’incendie. Il m’a
de mots, ne peut avoir été écrite par M. de Foncemagne. Attaché à la
Bibliothèque
du Roi, M. de Foncemagne, si le manuscrit s’y fût
la fin avait pu en être arrachée. C’est là une explication ; mais la
Bibliothèque
nationale heureusement n’a pas encore été incendi
Voilà ce qu’il s’agit maintenant d’expliquer. Avant l’incendie de la
bibliothèque
, Dom Vincent, sur un exemplaire classique in-12 d
un voyage qu’il avait fait à Paris, il promit à l’un des gardes de la
Bibliothèque
du Roi l’exemplaire de l’édition de la veuve Broc
ux volume, qui faisait revivre le manuscrit brûlé, fut déposé dans la
Bibliothèque
du Roi. Malheureusement il présentait une lacune.
Qui dissolutos mores, etc. Lorsque avant de l’envoyer au garde de la
Bibliothèque
du Roi, à qui il l’avait promis, il jeta un derni
t le monde ; car l’exemplaire de la veuve Brocas se trouvait dans une
bibliothèque
publique dont l’accès était facile. Aussi voit-on
profitant de sa position de conservateur adjoint des manuscrits à la
Bibliothèque
royale, il se fit communiquer par son collègue M.
. van Praet, alors conservateur du département des imprimés à la même
bibliothèque
, le précieux exemplaire de l’édition classique de
sé a dû être détruit, et aujourd’hui elle ne se rencontre ni dans les
bibliothèques
publiques, ni chez les marchands de livres ancien
ées. Gude, au contraire, vers 1663, pendant sa longue exploration des
bibliothèques
de la France, avait attentivement examiné, non pa
fautif, intitulé : Notice sur le manuscrit de Phèdre qui est dans la
bibliothèque
de l’abbaye de Saint-Remi 110. Il faut avouer qu
13. Ce qui a été écrit sur son origine est exact : il dépendait de la
bibliothèque
de Saint-Benoît-sur-Loire. C’est là le point de d
aint-Benoît et qu’il avait pu sauver bien des livres du pillage de la
bibliothèque
, Adry avait dû naturellement penser que le manusc
de ses fonctions au Parlement et de son goût pour les antiquités. Sa
bibliothèque
passa à son fils Alexandre Petau, et après le déc
u’il acquit, moyennant quarante mille livres, une grande partie de la
bibliothèque
de Paul Petau et par suite le manuscrit de Daniel
uccès, Christine dut rester à Rome. En mourant, elle laissa une riche
bibliothèque
qui fut achetée par le pape Alexandre VIII, et se
r le pape Alexandre VIII, et ses livres entrèrent au Vatican. Mais la
Bibliothèque
Vaticane possédait-elle encore le manuscrit de Da
r, ainsi conçue : « Ce manuscrit ne s’est pas trouvé parmi ceux de la
Bibliothèque
du Vatican, qui ont été apportés à Paris. » J’av
ma perplexité. J’avais une dernière ressource : c’était d’aller à la
Bibliothèque
nationale. Je m’y rendis ; mais ma démarche fut i
tin, et les bibliothécaires ne purent même me dire s’il était dans la
Bibliothèque
. N’espérant plus le découvrir à Paris, je pris le
e, je me rendis au Vatican. Mais il était impossible d’entrer dans la
bibliothèque
. C’était l’époque des vacances ; elle était fermé
es, provenant de la reine Christine, n’avaient pas été fondus dans la
bibliothèque
et qu’ils y occupaient une division spéciale, for
r une des tables de la salle de travail. À l’heure dite, j’étais à la
bibliothèque
. Le manuscrit m’attendait, ouvert à la page où co
volume in-8º, qui, marqué à deux endroits de l’estampille rouge de la
Bibliothèque
nationale, avait évidemment été apporté à Paris d
comment ceux acquis par ce dernier sont aujourd’hui conservés dans la
bibliothèque
de la ville de Berne et comment, par suite, la pl
voir quelle filière le manuscrit avait suivie, il se trouvait dans la
bibliothèque
du duc de Parme. À cette époque, un jeune Holland
leur grande fortune pour voyager, il avait successivement visité les
bibliothèques
des Pays-Bas, de l’Angleterre et de la France. Da
s qui sont entrés, et qui, aujourd’hui encore, sont conservés dans la
Bibliothèque
Bodléienne ; les plus précieux sont ceux qui conc
ille à Burmann était sortie des mains de ce dernier et entrée dans la
Bibliothèque
du collège Louis-le-Grand à Paris158. Après lui,
éface, ni d’Orville n’avait écrit en tête de son extrait, dans quelle
bibliothèque
d’Italie il avait découvert le manuscrit de l’Epi
is ou retenu ce que d’Orville lui avait expliqué, il avait indiqué la
Bibliothèque
Ambrosienne à Milan comme détenant le manuscrit16
Mazzuchelli, pour le prier de faire de minutieuses recherches dans la
Bibliothèque
Ambrosienne. Mais ce dernier, après avoir accédé
s années après, sur le catalogue des manuscrits provenant de la riche
bibliothèque
Farnèse. Mais celle de Naples ayant enfin reçu un
organisation fixe, et l’abbé Andrès ayant été mis à la tête de cette
bibliothèque
, il y a retrouvé lui-même le précieux manuscrit ;
s peuvent saisir170. » Ce fut donc l’abbé Andrès, conservateur de la
bibliothèque
de Naples, qui fit la seconde découverte du manus
oit à peine copié les premières pages, que j’entre par hasard dans la
bibliothèque
. Je demande à voir le manuscrit, et Gargiulli me
les nouvelles, et que ce fut son frère qui, en venant travailler à la
bibliothèque
, les copia à la hâte. Quoi qu’il en soit, Cassitt
ne se livrait Cassitto, avait engagé un savant récemment attaché à la
bibliothèque
, Cataldi Jannelli, à publier le manuscrit retrouv
aldi Jannelli, à publier le manuscrit retrouvé de Perotti. Entré à la
bibliothèque
au mois de juin 1808, Jannelli ne savait pas que
ions furent remplacées par un avertissement en trois pages écrit à la
Bibliothèque
même, et daté des ides de février 1811. Pour mont
du texte du manuscrit de Perotti, de telle sorte que l’honneur de la
Bibliothèque
royale et mon devoir m’obligeaient à leur opposer
lu. C’est son frère, qui, en allant et venant de temps en temps à la
Bibliothèque
royale, pour y déchiffrer des manuscrits liturgiq
nait elle-même qu’après une préface en huit pages, écrite encore à la
bibliothèque
et datée des calendes de mars 1811. Au moment où
e d’un avis au lecteur en cinq pages, écrit comme les précédents à la
Bibliothèque
royale, et daté du lendemain des ides d’avril 181
que c’est au mois d’avril 1808, que le frère de Cassitto a pris à la
bibliothèque
quelques extraits du manuscrit, que Cassitto ne l
premier soin fut d’aller au palais du Museo Borbonico. La porte de la
bibliothèque
était ouverte. Un travailleur familier du lieu, M
isposition. Le jour indiqué, je me rendis à neuf heures du matin à la
bibliothèque
; j’y retrouvai le même travailleur, qui me le co
entrepris la copie ; mais, comme il ne m’était permis de rester à la
bibliothèque
que jusqu’à midi, je ne pus terminer mon travail
remière copie pour son neveu ; mais ce n’est pas celle que possède la
bibliothèque
napolitaine ; c’est une seconde copie qu’il avait
ractères évanouis du manuscrit de Naples, il existait à Rome, dans la
bibliothèque
du Vatican, un autre manuscrit parfaitement lisib
nnelli, les 32 fables nouvelles. La publication du conservateur de la
bibliothèque
Vaticane lui révéla le véritable texte et le déte
, Ch. Millin, qui, si le manuscrit de P. Pithou se retrouvait dans la
bibliothèque
de l’ancien président du Parlement de Paris, deva
l était possible de voir celui de Daniel qui était alors à Paris à la
Bibliothèque
impériale ; mais, ignorant sans doute cette circo
, dont l’une239 indiquait que le manuscrit de Pithou existait dans la
bibliothèque
de M. Le Peletier de Rosanbo, fils de l’ancien pr
disparu. On n’en peut plus citer que deux, celle qui, conservée à la
Bibliothèque
de Leyde, a été publiée par Nilant sous le titre
renferme la collection des Fabulæ antiquæ se trouve aujourd’hui à la
bibliothèque
de Leyde. Il fait partie du fonds Vossius, et, pa
nement hollandais fit acheter en Angleterre et transporter à Leyde la
bibliothèque
de ce savant, dont ce manuscrit faisait partie et
e la reine Christine, pour qui il avait dû l’acheter à la vente de la
bibliothèque
de Paul Petau. Car ce dernier, en tête du feuille
xprimée par M. le Dr W. N. du Rieu, conservateur des manuscrits de la
bibliothèque
de l’Université, que je ne saurais ici trop remer
gnements. Le savant P. Labbé l’a corrigée et publiée dans la Nouvelle
Bibliothèque
des manuscrits. C’est des ouvrages d’Adémar à peu
en deux volumes in-folio287, dans l’ancien catalogue des livres de la
Bibliothèque
de l’Université de Leyde288, et, avec plus de dét
Begonac me furatus fuit. Tel est le manuscrit curieux, qui, dans la
bibliothèque
de Leyde, porte la cote Vossianus Latinus in-8º,
manuscrit Vossianus latinus in-8º, 15. Le catalogue in-folio de la
Bibliothèque
de l’Université de Leyde, publié dans cette ville
n fonctions à l’époque de l’entrée des livres d’Isaac Vossius dans la
bibliothèque
de l’Université. Epistola magistri Jacobi Achori
endant que j’étais en Hollande, il m’a été facile de m’en assurer. La
bibliothèque
de Leyde n’a pas hérité seulement des manuscrits
été qu’une seule fois imprimée. En passant en revue les livres de la
bibliothèque
de l’Université de cette ville, le savant Jacob G
que de la grande Révolution, avaient pu être transportés dans une des
bibliothèques
de la ville. Supposant que ces bibliothèques plus
transportés dans une des bibliothèques de la ville. Supposant que ces
bibliothèques
plus ou moins imaginaires avaient des conservateu
lement faites, lui répondit « qu’il ne s’était point retrouvé dans la
bibliothèque
de la ville, ni dans celles des autres établissem
onse n’était pas très affirmative. Il en résultait bien que la petite
bibliothèque
de Wissembourg ne possédait pas le manuscrit. Mai
pposai qu’il pouvait bien être passé dans l’immense fonds de la belle
Bibliothèque
de Strasbourg. Au mois de juillet 1870, comme je
cientifiquement ce voyage d’agrément. J’écrivis au conservateur de la
Bibliothèque
, pour savoir de lui si, par hasard, à l’époque de
e des sous-préfectures du Bas-Rhin, il n’existe qu’une modeste petite
bibliothèque
, que je n’ai d’ailleurs jamais visitée, mais que
je sais ne renfermer aucun manuscrit, et dans le riche dépôt de notre
bibliothèque
de la ville de Strasbourg je ne connais aucun vol
me ferais un plaisir de mettre ces recueils à votre disposition. « La
bibliothèque
de la ville est ouverte au public les lundi, merc
donc à M. Saum que, le 9 juillet 1870, à midi, je me trouverais à la
bibliothèque
. Mais c’était un dimanche, et, comme il devait le
ir vu le manuscrit, qui, quelques semaines plus tard, devait, avec la
Bibliothèque
elle-même, périr dans l’incendie allumé par les o
et était-il entré avec les autres manuscrits de ce philologue dans la
bibliothèque
du duc de Brunswick ? c’est ce qu’alors je me dem
rit de Wissembourg existait encore, mais qu’il était conservé dans la
bibliothèque
de Wolfenbüttel, et qu’il avait été l’objet d’une
ir en Normandie. J’appris par le libraire Vieweg qu’il avait légué sa
bibliothèque
à la municipalité de Passy, et j’eus un instant l
la recherche, et je finis par en découvrir un exemplaire broché à la
bibliothèque
du British Museum, où il porte la cote 12 305 e 2
avait d’abord été porté à croire qu’il ne pouvait se trouver dans la
bibliothèque
de Wolfenbüttel où tous les siens étaient conserv
it aussitôt demandé communication à M. Schönemann, conservateur de la
bibliothèque
ducale, qui s’était empressé d’accéder à son dési
à mis par lettre en rapport avec le conservateur des manuscrits de la
bibliothèque
de Leyde, et qu’il m’avait engagé à prendre conna
ntir de ma démarche. J’écrivis à M. von Heinemann, conservateur de la
bibliothèque
de Wolfenbüttel, pour le prier de faire exécuter
ns, M. von Heinemann a bien voulu me donner, sur l’organisation de la
bibliothèque
de Wolfenbüttel, quelques renseignements qu’il n’
, Poetica, etc. Cette classification, qui remonte à la création de la
bibliothèque
, a été imaginée par Auguste le Jeune, duc de Brun
bibliothécaire du duc de Brunswick, avait en cette qualité acheté sa
bibliothèque
au prix de mille thalers, et c’est ainsi que le p
el la copie a été englobée existe aujourd’hui, sous la cote 783, à la
Bibliothèque
du Lambeth palace où il fait partie du fonds Teni
partie du fonds Tenison. Le Catalogue imprimé des manuscrits de cette
Bibliothèque
en donne la courte analyse que voici : « Codex ch
ément, quand on sait par qui elle a été commise. Les manuscrits de la
Bibliothèque
du Lambeth palace ont plusieurs origines. Celui d
Tenison, archevêque de Cantorbery, mort en 1716. Légués par lui à la
Bibliothèque
, ils y portent les cotes 639 à 928. C’est lui qui
ions avec lui, il avait au moins, par le Catalogue des manuscrits des
Bibliothèques
de l’Angleterre et de l’Irlande, imprimé en 1697,
un âge assez avancé pour avoir déjà pu former une grande partie de sa
bibliothèque
. Mais de qui Tenison tenait-il son apographe, où
lques doutes d’ailleurs faciles à comprendre. Dans le manuscrit de la
bibliothèque
de Leyde qui porte aujourd’hui la cote Vossianus
il y a un Romulus qui remonte au xie siècle. Le manuscrit 303 de la
Bibliothèque
impériale de Vienne qui nous l’a conservé ne semb
que la longue paraphrase appelée Romulus de Nilant. Il y a aussi à la
Bibliothèque
Laurentienne, dans le fonds Ashburnam, sous la co
dam homo grecus, etc. Dans le manuscrit du xiiie siècle qui, dans la
bibliothèque
de la ville du Mans, porte la cote 84, c’est enco
u moins fort singulier, et il y a dans le Romulus encore inédit de la
bibliothèque
de Wissembourg : Hæc tibi Æsopus narrat qui me no
tenu à un savant qui avait su se constituer une des plus remarquables
bibliothèques
qu’un particulier ait jamais possédées, au profes
ère pour sauver son nom de l’oubli. Mais, en se formant sa magnifique
bibliothèque
, il avait accompli une œuvre qui devra l’immortal
furent supprimés les ordres monastiques, il n’était pas passé dans la
bibliothèque
publique de Dijon, et pour cela je me suis par le
r 1870. « Monsieur, « J’ai l’honneur de vous faire connaître que la
bibliothèque
publique ne possède pas le plus ancien manuscrit
ait, au temps du docte Gude qui le copia (1660-1663), dans l’ancienne
bibliothèque
de l’abbaye de Saint-Bénigne de Dijon. Mais tout
tout me fait penser que ce manuscrit précieux n’entra jamais dans la
bibliothèque
publique de la ville. J’ai fait, pour m’en assure
acheté ses livres. Il en est résulté que sa copie est passée dans la
bibliothèque
de Wolfenbüttel, où elle est encore. § 3. — Ma
ion de M. Endlicher, qui, en s’appuyant sur un manuscrit de la grande
bibliothèque
autrichienne, avait attribué à l’archevêque Hilde
à Munich que quatre ou cinq jours, et je savais que, chaque jour, la
bibliothèque
n’était ouverte que de huit heures du matin à une
ir que vous serez autorisé à procéder à votre travail en dehors de la
bibliothèque
. « Veuillez recevoir, monsieur, l’assurance de ma
s passages d’un manuscrit latin portant le nº 756 et appartenant à la
bibliothèque
de cette ville. J’ai transmis votre demande à M.
l’aller trouver et à lui faire signer en blanc un des bulletins de la
bibliothèque
, me disant que, si je lui rapportais sa signature
âce sans doute aux lenteurs de la bureaucratie, le conservateur de la
bibliothèque
n’avait reçu aucune instruction. Bref, M. Lefebvr
salle serait mise à ma disposition. Le lendemain matin, retourné à la
bibliothèque
, je reçus du conservateur le manuscrit tant désir
blié dans ma première édition. § 4. — Manuscrit du Mans. La
bibliothèque
publique de la ville du Mans possède un manuscrit
ai voulu voir ce manuscrit. Je me suis rendu à Oxford, et, quoique la
Bibliothèque
du Corpus Christi ne fût pas publique, j’ai pu, g
bre de l’Université, bibliothécaire à la Bodléienne, pénétrer dans la
Bibliothèque
de ce collège, et, pendant une heure environ, exa
iothécaire à la Bodléienne, obtenu que le manuscrit fût extrait de la
bibliothèque
du collège du Corpus Christi et mis à ma disposit
iale ; c’est celui qui aujourd’hui porte la cote 10.2. Ethic. dans la
bibliothèque
ducale de Volfenbüttel, et qui, avec la copie man
ucoup d’autres, il s’est complètement trompé ; car, en parcourant les
bibliothèques
de l’Allemagne, de l’Angleterre et de l’Italie, j
isemblablement ne sont pas les seuls. Le premier, qui appartient à la
bibliothèque
royale de Munich, porte au catalogue la cote A. G
t dans un parfait état de conservation. Le deuxième, qui dépend de la
bibliothèque
impériale de Vienne, est catalogué sous la cote 3
loriées par une main assez adroite. Le troisième, qui est revêtu à la
bibliothèque
Bodléienne de la cote Douce G. P. 252, est au con
rp entre les mains de sa famille. Cet exemplaire faisant partie d’une
bibliothèque
privée, il ne m’a pas été loisible de le voir. Ma
d’incunables329. Enfin le quatrième exemplaire est à Florence dans la
Bibliothèque
Laurentienne où il dépend du fonds d’Elci et où i
trouver pour ceux qui ne connaissent pas l’organisation de la grande
bibliothèque
Londonienne. Il appartient à un fonds spécial qu’
ont j’ai fait usage est celui que, sous la cote F. 2. 879, possède la
bibliothèque
Laurentienne, où il dépend du fonds d’Elci. Comme
édition soient fort rares, j’en ai aperçu plusieurs dans les grandes
bibliothèques
de l’Allemagne, qui est la vraie terre classique
Vienne qu’il faut aller les étudier. Mais il en existe aussi dans les
bibliothèques
moins importantes. Pour ne parler que de la secon
de Sorg, je signale entre autres l’exemplaire que j’en ai trouvé à la
bibliothèque
publique de Stuttgard. Il porte cette mention man
imilitude trompeuse des premières éditions. Sous la cote V. F. 36, la
Bibliothèque
impériale de Vienne possède aussi parmi ses incun
l’édition d’Ulm, que le Catalogue attribue à l’imprimerie de Sorg. La
bibliothèque
de Munich m’a également paru avoir, sous la cote
de la même gravure dans les deux dernières fables d’Avianus. Enfin la
bibliothèque
publique de Linz, s’il faut en croire son catalog
t relié, a plus de valeur que l’autre. L’exemplaire que j’ai vu à la
bibliothèque
publique de Maëstricht est relié avec deux autres
ge, mais n’a pas signalé la précieuse édition du xve siècle, dont la
bibliothèque
de Maëstricht possède un exemplaire. L’édition im
ré aucun exemplaire de cette édition. Quant à la deuxième édition, la
Bibliothèque
nationale en possédant un exemplaire que j’ai pu
Cromberger. Año de | mil y quiniētos | y xlvj. J’ai rencontré, à la
Bibliothèque
de l’Escurial, un exemplaire de cette édition sou
le continent je n’en ai rencontré que trois exemplaires, l’un dans la
bibliothèque
d’Heidelberg sous la cote Sch. 69 nº 449, un autr
e Inc. 42, en Angleterre j’en ai trouvé quatre exemplaires : ainsi la
Bibliothèque
du British Museum en possède un sous la cote C. 1
thèque du British Museum en possède un sous la cote C. 19. D. 5 et la
Bibliothèque
Bodléienne, trois, le premier sous la cote Auct.
langue flamande. Des exemplaires de toutes ces éditions existent à la
Bibliothèque
nationale ; malheureusement, à l’exception de cel
anzer qui, dans ma pensée, avait dû faire allusion au catalogue de la
Bibliothèque
Bodléienne imprimé en 1674337. Mais sur ce catalo
hes, fut obligé de me dire que le volume était introuvable, et que la
bibliothèque
ne l’avait jamais possédé. En réalité, elle ne l’
vicesima sexta. Un exemplaire de cette édition est conservé dans la
bibliothèque
impériale de Vienne, où le catalogue lui donne la
enville library le nº 7808. En outre, M. Bradshaw, conservateur de la
bibliothèque
de l’Université de Cambridge, m’en a communiqué,
n’ayant pas encore été catalogué, ne portait aucune cote. Enfin à la
bibliothèque
royale de Bruxelles j’en ai aperçu un dernier por
ais signaler beaucoup. Je puis néanmoins citer les suivants : 1º À la
Bibliothèque
nationale un exemplaire qui porte la cote Y 6536,
st incomplet et ne contient que la seconde partie du volume ; 2º À la
bibliothèque
de l’Arsenal, sous la cote 12708, un magnifique e
tiales réunies des noms de Henri II et de Diane de Poitiers ; 3º À la
bibliothèque
du British Museum, un exemplaire sous la cote 86.
4º À la Grenville library, un exemplaire sous la cote 7809 ; 5º À la
bibliothèque
Bodléienne, un exemplaire sous la cote A 573 ; 6º
a bibliothèque Bodléienne, un exemplaire sous la cote A 573 ; 6º À la
bibliothèque
de l’Université de Cambridge, un exemplaire sous
versité de Cambridge, un exemplaire sous la cote O. 3. 4. 2 ; 7º À la
bibliothèque
publique d’Innsbruck, un exemplaire sons la cote
thèque publique d’Innsbruck, un exemplaire sons la cote 293 ; 8º À la
bibliothèque
publique de La Haye, un exemplaire mutilé qui, da
partie du catalogue imprimé des incunables, porte le nº 17 ; 9º À la
bibliothèque
de l’Université de Leyde, un exemplaire sous la c
l’Université de Leyde, un exemplaire sous la cote Prenktab ; 10º À la
bibliothèque
publique de Grætz, un dernier exemplaire. 6º É
j’en ai trouvé, sous la cote X. E. 28, un exemplaire conservé dans la
bibliothèque
impériale de Vienne. 2º Éditions de Sorg. A
onnaissance aux deux exemplaires que j’en ai rencontrés, l’un dans la
bibliothèque
privée du roi de Wurtemberg, à Stuttgart, l’autre
ibliothèque privée du roi de Wurtemberg, à Stuttgart, l’autre dans la
bibliothèque
publique de Linz, sous la cote D. iv. 9, relié av
dem Augstmonat des. M.CCCCC. vnd | achtsten jares | . Il existe à la
bibliothèque
royale de La Haye un exemplaire de cette édition.
raduction allemande. Elle fut l’objet de quelques réimpressions et la
bibliothèque
publique d’Ulm abrite de l’une d’elles un exempla
5. Il existe, au British Museum sous la cote 12 305. e. 15 et à la
Bibliothèque
Bodléienne sous la cote A. III. art., des exempla
tions sorties des presses de Graff. J’en ai trouvé à Londres, dans la
Bibliothèque
du British Museum sous la cote 637. F. 40 et dans
u Frankfurt am Meyn | in dem Roseneck bey Niclas Bassee. | 1572. La
bibliothèque
publique de Versailles possède, sous la cote E 71
emplaire de cette édition. B. Édition de 1586. J’ai trouvé à la
bibliothèque
publique de Nancy, sous la cote NN 1, un exemplai
atine de Ranutio d’Arezzo et les vingt-sept d’Avianus. Il existe à la
bibliothèque
publique de Linz un exemplaire de cette édition s
teinhöwel, sans lieu ni date, qui, d’après le catalogue général de la
bibliothèque
du British Museum, aurait été imprimée à Nurember
écèdent il faut ajouter les suivantes qui figurent au catalogue de la
Bibliothèque
du British Museum, savoir : celle de 1679 (Ulm),
allemande qui me reste à signaler est celle que j’ai aperçue dans la
Bibliothèque
publique de Grætz. Elle a été imprimée à Stuttgar
u moins exactement sur elles. D’après le rédacteur du Catalogue de la
Bibliothèque
de Tours, où existe un exemplaire de cette éditio
âce Mil CCCC.L.XXXVI, le neufvième iour de avril. J’ai trouvé, à la
Bibliothèque
impériale de Vienne, un exemplaire de cette éditi
es de Poge florentin. Il existe un exemplaire de cette édition à la
Bibliothèque
du British Museum sous la cote 638. K. 2. 6º É
sion de celle de 1499, m’a été révélée par le catalogue imprimé de la
bibliothèque
de Lyon, publié par M. Delandine350. Elle forme u
n-4º, orné de gravures sur bois, dont un exemplaire existe dans cette
bibliothèque
sous le nº 4693. Comme les précédentes, elle cont
le vij iour de Mars. Il existe un exemplaire de cette édition à la
bibliothèque
ducale de Wolfenbüttel. 11º Édition sans date
és, l’un au British Museum sous la cote C. 11. c. 17, et l’autre à la
bibliothèque
Bodléienne sous la cote Auct. Q. Q. supra 1. 21.
am Caxton England’s first printer , et dont un exemplaire existe à la
bibliothèque
de l’Université de Cambridge sous la cote Oo. 3.
B. Réimpression de 1550. Vers 1550, d’après le Catalogue de la
Bibliothèque
Bodléienne qui en possède un exemplaire sous la c
t remplis par la table. Cette édition, dont un exemplaire existe à la
Bibliothèque
du British Museum sous la cote 12 304. aaa.32, es
1634. J’ai rencontré trois exemplaires de cette édition, l’un à la
bibliothèque
du British Museum sous la cote 636. b. 38, un aut
autre à la Grenville library sous la cote 7760, et un troisième à la
Bibliothèque
Bodléienne sous la cote Douce A. 647. E. Réimp
ème, celui en pied d’Ésope. Il existe un exemplaire de l’édition à la
Bibliothèque
Bodléienne sous la cote A. 5. 13. Art. Elle a été
ion, et dont je m’occuperai moi-même tout à l’heure. J’ai trouvé à la
bibliothèque
du South Kensington Museum un exemplaire de l’édi
pourvu de signatures et orné de gravures sur bois. Il en existe à la
bibliothèque
royale de La Haye un exemplaire, qui figure sous
re édition, l’un au British Museum sons la cote B. 20 e, l’autre à la
Bibliothèque
publique de Gand sous la cote Rés. 351. § 7.
récède d’après un exemplaire, qui, sous la cote I. Z. 13, existe à la
Bibliothèque
de l’Escurial. 2º Édition de 1496. La secon
a. x. dias de Abril. Il existe un exemplaire de cette édition à la
Bibliothèque
du British Museum sous la cote 637. K. 2. 4º É
cette édition publiée à Anvers rencontré deux exemplaires, l’un à la
Bibliothèque
publique de Carpentras sous la cote 524 et l’autr
enta y tres an̄os. Fol. 72 (i 8). — Feuillet blanc. Il existe, à la
Bibliothèque
de l’Escurial, un exemplaire de cette édition sou
de cette édition se trouve sous la cote 637. K. 5, au catalogue de la
bibliothèque
du British Museum. 8º Édition de 1607. Le p
Page 384. Fin. Des exemplaires de l’édition de Plantin existent à la
bibliothèque
publique de Grenoble sous la cote 2504 F, à celle
J’ai trouvé sous la cote 15915 un exemplaire de cette édition dans la
bibliothèque
publique de Bordeaux. 10º Édition de 1683.
elle de Plantin, imprimée à Anvers, et dont un exemplaire existe à la
bibliothèque
publique de Versailles sous la cote E 713 d. Elle
volume : Laus deo. Cette édition, dont un exemplaire se trouve à la
bibliothèque
du British Museum, n’est qu’une réimpression des
it été omise. Il en existe un exemplaire sous la cote 12304 a 27 à la
bibliothèque
du British Museum, où le catalogue lui attribue l
s de 9 pages de table non numérotées. Il en existe un exemplaire à la
Bibliothèque
Bodléienne sous la cote GP. 75. C. — Faules | de
s de 9 pages de table, non numérotés. Il en existe un exemplaire à la
Bibliothèque
Bodléienne sous la cote GP. 394. 14º Éditions
s de 4 pages de table non numérotées. Il en existe un exemplaire à la
Bibliothèque
Bodléienne sous la cote 291. g. 55. B. — Fabulas
er par le nombre considérable de manuscrits qui en est resté dans les
bibliothèques
publiques. Je n’essaierai pas de les mentionner t
senter de chacun d’eux une analyse détaillée. Excepté pour ceux de la
Bibliothèque
nationale et pour quelques autres, je me contente
ement sommaire qui m’aura été fournie par les catalogues imprimés des
bibliothèques
publiques. § 1er. — France. 1º Bibliothèqu
gues imprimés des bibliothèques publiques. § 1er. — France. 1º
Bibliothèque
nationale. 1. Romulus du Miroir historial.
Miroir historial. Les fables du Miroir historial se trouvent à la
Bibliothèque
nationale, non seulement dans les manuscrits de c
ci le texte. J’ai maintenant à signaler les manuscrits que possède la
Bibliothèque
nationale. Je dois dire d’abord qu’il n’existe pa
e connaissant moins, ont moins songé à en faire des extraits. Mais la
Bibliothèque
nationale possède 2 manuscrits complets du Miroir
ntion : « Miroir doctrinal de Vincent de Beauvais. XIII s. » 2º
Bibliothèque
de l’Arsenal. A. Manuscrit 1010 (112. H. L.)
nuscrit 1010 (112. H. L.). Le catalogue général des manuscrits des
Bibliothèques
publiques de France, Arsenal, T. II, p. 231, donn
épineux, au fol. I. Initiales rouges et bleues. Titres rouges. De la
bibliothèque
des Grands-Augustins de Paris. — Quétif et Echard
stins, Script. ord. Praedic., I, 234 b. Reliure en veau brun. 3º
Bibliothèque
d’Auxerre. Manuscrit 92 (86). Le catalogu
e. Manuscrit 92 (86). Le catalogue général des manuscrits des
Bibliothèques
publiques de France, Départements, T. VI, p. 40,
(« Liber beate Marie Pontigniaci. S. Edmundus. » Ancien 162.) 4º
Bibliothèque
de Chalon-sur-Saône. Manuscrit 5 (4). Le
col. 438 sur 203 millim. Rel. veau. — (La Ferté-sur-Grosne.) 5º
Bibliothèque
de Dijon. Manuscrit 568 (329). Le même ca
e Sens. Rel. peau blanche, aux armes de Cîteaux. — (Citeaux.) 6º
Bibliothèque
de Rouen. Manuscrit 1133 (U. 23). Le cat
ur 270 millim. Rel. mod. (Jumièges, G. 5. — Ancien nº U. 43.) 7º
Bibliothèque
de Troyes. A. Manuscrit 170. Le catalogue
es. A. Manuscrit 170. Le catalogue général des manuscrits des
Bibliothèques
publiques des Départements, publié dans le format
chapitres du livre XXV manquent. § 2. — Allemagne du Sud.
Bibliothèque
royale de Munich. C’est seulement par des extr
ement par des extraits textuellement tirés du catalogue imprimé de la
Bibliothèque
royale de Munich que je vais faire connaître les
les fables extraites par Vincent de Beauvais du Romulus ordinaire, la
Bibliothèque
royale de Munich possède un manuscrit qui les ren
ent l’épilogue de Vincent de Beauvais. § 3. — Angleterre. 1º
Bibliothèque
du British Museum. Manuscrit Harl. 2346.
est dans beaucoup de mains, il me paraît utile de la signaler. 2º
Bibliothèque
du Collège d’Exon à Oxford. Manuscrit XV.
lège d’Exon à Oxford. Manuscrit XV. Le manuscrit qui, dans la
Bibliothèque
du Collège d’Exon, porte le nº 15 et qui, contena
c. lib. XXXII in verbis, « fervore conversatur. Apud Raven. » 3º
Bibliothèque
de l’Université de Cambridge. Manuscrit Ff.
. Manuscrit Ff. III. 22. Le Catalogue des manuscrits de cette
Bibliothèque
mentionne, T. II, page 420, sous la cote Ff. III.
roir historial et par suite le Romulus de Vincent de Beauvais. 4º
Bibliothèque
du Corpus Christi college de Cambridge. Manu
Cambridge. Manuscrit VIII. Le Catalogue des manuscrits de la
Bibliothèque
du Corpus Christi college de Cambridge, édité par
ortem Valentis imperatoris, A. D. 380. § 4. — Belgique. 1º
Bibliothèque
royale de Bruxelles. Voici comment, dans le Ca
les. Voici comment, dans le Catalogue imprimé des manuscrits de la
Bibliothèque
royale de Bruxelles, sont analysés les manuscrits
Speculum historiale : « Quoniam multitudo librorum… » — 1453. 2º
Bibliothèque
de l’Université de Liège. Manuscrit 715.
2º Bibliothèque de l’Université de Liège. Manuscrit 715. La
Bibliothèque
de l’Université de Liège possède, sous la cote 71
onséquent le Romulus de Vincent de Beauvais. § 5. — Italie.
Bibliothèque
Riccardienne. Manuscrit 688. Ce manuscrit
Celui sur lequel j’ai rédigé l’analyse qui va suivre, se trouve à la
Bibliothèque
nationale et figure sous la cote G 203 à G 207 au
éléphant se voit une banderole portant les mots François Regnault. La
Bibliothèque
nationale, sous les cotes G. 209 et G. 210, et ce
fables. Quand on examine la collection du manuscrit 5337 de la
Bibliothèque
royale de Munich, on voit que, sous 39 chapitres,
i renferme la collection du Romulus de Munich, provient de l’ancienne
bibliothèque
épiscopale de Chiemsee (Bavière supérieure), dans
, dans laquelle il portait la cote 37, et appartient aujourd’hui à la
bibliothèque
royale de Munich. Il forme un volume in-fol. comp
ue j’ai maintenant à analyser, sont contenues dans un manuscrit de la
bibliothèque
cantonale de Berne où il porte le nº 676. C’est u
Je vais en passer en revue quelques-unes. Dans le manuscrit 636 de la
Bibliothèque
de Parme les fables élégiaques sont attribuées à
ait mort sous le règne de Tarquin le Superbe. Le manuscrit 4409 de la
Bibliothèque
royale de Munich présente un préambule qui n’est
e nommé Tibernius qu’il les adresse. Dans le manuscrit 609 de la même
Bibliothèque
, on voit apparaître l’empereur Tibère, nom auquel
es d’Ésope, puis il les met en vers. Dans le manuscrit 237 de la même
Bibliothèque
, Romulus disparaît. L’empereur Tibère, toujours p
n si haut personnage, traduit en prose latine ses fables grecques. La
Bibliothèque
Ambrosienne, sous la cote I. 85 supra nº 3, possè
, commise par un copiste illettré. Dans le manuscrit 216. NB. 1 de la
Bibliothèque
de l’Université de Ferrare, on ne voit surgir auc
aucun cas. Après bien des recherches, j’ai trouvé, en Styrie, dans la
Bibliothèque
de Grätz, sous la cote 43 a / 10 un exemplaire de
i trouvé la preuve, au British Museum, dans le manuscrit XXXVII de la
bibliothèque
Grenville qui est du xive siècle : la glose du p
s éditions avait été imprimée à Parme en 1507. J’en ai trouvé dans la
Bibliothèque
palatine de cette ville un exemplaire, le seul pe
is en prose les fables d’Ésope, comme nous le voyons dans beaucoup de
bibliothèques
tant publiques que particulières ; mais je ne veu
nt de l’hypothèse favorable à Salon. Dans la glose du manuscrit de la
bibliothèque
Grenville, il ne faut pas lire bien des lignes po
liée à Modène en 1481 et dont il avait vu un exemplaire dans la riche
bibliothèque
d’Apostolo Zeno, il crut pouvoir les attribuer à
outh ce qui appartient à Geoffroi Arthur417. » J’ai désiré voir à la
Bibliothèque
nationale le manuscrit dans lequel M. Robert prét
ction ébranlée par la découverte, qu’il a tardivement faite à la même
bibliothèque
, du manuscrit 8023. On devine que, s’il avait le
qui, ainsi que je m’en suis assuré, se trouve dans un manuscrit de la
bibliothèque
royale de Madrid. Il fallait donc chercher ailleu
nçue dans des termes analogues à ceux des gloses des manuscrits de la
Bibliothèque
nationale, elle n’en différait guère que par le n
’occasion de le dire, un catalogue des manuscrits philologiques de la
bibliothèque
impériale de Vienne, au nombre desquels un manusc
manuscrit du xiie siècle, qui, sous la cote 11, est conservé dans la
Bibliothèque
de Beauvais. Ce manuscrit, qui provient du chapit
contenues dans les manuscrits des fables élégiaques que possédait la
bibliothèque
royale. L’un d’eux les attribuait à Romalus, nom
ement utile. Enfin j’arrive à Vienne ; en toute hâte je me rends à la
bibliothèque
impériale, je demande le manuscrit latin 303, et,
le le plus ancien des manuscrits des fables élégiaques, conservé à la
bibliothèque
de Wolfenbüttel, il n’en est pas moins vrai que c
je l’avais déjà obtenu. En passant par Wurtzbourg, je m’arrêtai à la
bibliothèque
de l’Université, et j’y trouvai, sous la cote L.
gravure (deux exemplaires de cette édition se trouvent, l’un dans la
bibliothèque
publique de la ville de Rouen sous la cote O. 638
um glosa finit feliciter (un exemplaire de cette édition existe à la
bibliothèque
de Dijon sous le nº 10974, et à la bibliothèque r
e édition existe à la bibliothèque de Dijon sous le nº 10974, et à la
bibliothèque
royale de Bruxelles autrefois sous le nº 1358 et
ans lieu, ni date, ni nom d’imprimeur, dont un exemplaire existe à la
Bibliothèque
cantonale de Berne sous la cote Inc. 153 ; 5º Une
gustinorum commorante (un exemplaire de cette édition se trouve à la
bibliothèque
publique de la ville de Rouen sous la cote O. 226
lui en imputent la paternité. Tels sont les manuscrits C. b. 37 de la
Bibliothèque
de Marseille, LXVIII de la Bibliothèque communale
les manuscrits C. b. 37 de la Bibliothèque de Marseille, LXVIII de la
Bibliothèque
communale de Trèves et I. 85. supr. H. 3 de l’Amb
ables de Walther. § 1. — France. 1º Manuscrits latins de la
Bibliothèque
nationale. Schwabe, sur la foi du savant Labbé
. Schwabe, sur la foi du savant Labbé, a cru qu’il n’existait à la
Bibliothèque
nationale qu’un manuscrit des fables de Walther,
Cette nomenclature est encore très incomplète : à ma connaissance, la
Bibliothèque
nationale en possède treize. Les douze premiers a
que M. Omont, sous-bibliothécaire au département des manuscrits de la
Bibliothèque
nationale, a eu la complaisance de me le démontre
i Amerfe , qui montre à qui il avait appartenu avant d’entrer dans la
Bibliothèque
des rois des Deux-Siciles. En outre, au recto du
o quarto sæculo videtur exaratus. Ce manuscrit paraît provenir de la
bibliothèque
du cardinal Mazarin, et n’être entré qu’après sa
du premier feuillet : Sancti Germani in pratis , et n’est passé à la
Bibliothèque
nationale qu’à l’époque de la Révolution. Les fab
ice. Mais ce qui faisait surtout l’importance de l’abbaye, c’était sa
bibliothèque
. Voici comment il en a été parlé dans une Dissert
thèque. Voici comment il en a été parlé dans une Dissertation sur les
bibliothèques
publiée à Paris par MM. Chaubert et Hérissant en
thèques publiée à Paris par MM. Chaubert et Hérissant en 1758 : « La
bibliothèque
des chanoines réguliers de Saint-Victor, rue des
ville de Paris, deux sçavans des plus célèbres de leur siècle. Cette
bibliothèque
est très considérable par rapport aux Livres Théo
sorte qu’à ce dernier égard elle paraît préférable à plusieurs autres
bibliothèques
. » Des manuscrits que possédait l’abbaye, celui
r Jean Lamasse de Paris, à qui l’abbaye dut surtout l’extension de sa
bibliothèque
, devint, le 26 octobre 1448, prieur sous le nom d
prieur sous le nom de Jean V et mourut le 30 mai 1458. Entré dans la
bibliothèque
de Saint-Victor entre ces deux dates, le manuscri
14381, provient de l’abbaye de Saint-Victor et n’a dû entrer dans la
Bibliothèque
nationale qu’à l’époque de la Révolution. Le cata
èdre. Était-ce dans l’un des deux manuscrits qui existent encore à la
Bibliothèque
nationale, ou bien dans un troisième aujourd’hui
, plus conformes au véritable texte. 2º Manuscrits français de la
Bibliothèque
nationale. A. Manuscrit 1594. Parmi les m
duit à jeter maintenant un coup d’œil sur les autres manuscrits de la
Bibliothèque
nationale, qui, veufs du texte latin de Walther,
laquelle il portait le nº 1622. Il avait auparavant fait partie de la
bibliothèque
des ducs de Coislin, léguée à cette abbaye en 173
t. D. Manuscrit 24310. Le fonds français des manuscrits de la
Bibliothèque
nationale possède un dernier exemplaire de la tra
paraphrases intermédiaires qui m’a été révélée par un manuscrit de la
Bibliothèque
nationale. Ce manuscrit, qui appartient au fonds
ri fabulæ, varia carmina, membr. 8 436. Orelli en avait conclu que la
bibliothèque
publique de cette ville possédait un manuscrit de
erreur imputable aux bibliothécaires, qui, dans les inventaires de la
bibliothèque
, avaient signalé le manuscrit. Dans ceux qui fure
modeste programme et publier, tels qu’ils étaient, les catalogues des
bibliothèques
publiques. Mais, quoique cette hypothèse ne soit
it la fausse mention du catalogue. Lorsqu’il était conservateur de la
bibliothèque
de Douai, M. Duthillœul sépara les fables des Var
S’il faut en croire M. Duthillœul, le manuscrit, avant d’entrer à la
bibliothèque
de Douai, avait dû appartenir à l’abbaye d’Anchin
ne abbaye de Bénédictins, dont les manuscrits ont été transférés à la
bibliothèque
communale de Douai. Lorsque Dressler travaillait
m de Haenel qu’un recueil de fables de Phèdre manuscrit existait à la
bibliothèque
communale de Douai, m’écrivit et me demanda des r
vec des variantes empruntées du manuscrit de Haenel et de celui de la
bibliothèque
de Douai. » J’ajoute que dans ce dernier il trou
fita pour les publier dans la sienne. 4º Manuscrits de Laon. La
bibliothèque
publique de Laon possède deux manuscrits des fabl
461 et 462. A. Manuscrit 461. Le manuscrit 461 a appartenu à la
bibliothèque
du chapitre de l’église cathédrale de Notre-Dame,
ront en avoir la nomenclature au Catalogue général des manuscrits des
bibliothèques
publiques des départements, publié dans le format
e. C’est par erreur que, dans le Catalogue général des manuscrits des
bibliothèques
publiques des départements, l’auteur du catalogue
nalyse qui en est donnée dans le Catalogue général des manuscrits des
bibliothèques
publiques des départements438. 5º Manuscrit d
es publiques des départements438. 5º Manuscrit de Besançon. La
bibliothèque
de Besançon possède un manuscrit qui renferme les
l est signalé sous la cote 673 dans le Catalogue des Manuscrits de la
bibliothèque
de Lyon, publié par M. Delandine en 1812439, et d
on, publié par M. Delandine en 1812439, et dans l’inventaire de cette
bibliothèque
copié et publié par Haenel440. Aujourd’hui il est
é et publié par Haenel440. Aujourd’hui il est conservé à Lyon dans la
bibliothèque
du Palais des Arts (deuxième division des bibliot
à Lyon dans la bibliothèque du Palais des Arts (deuxième division des
bibliothèques
municipales de cette ville), et il dépend du fond
et les fruits heureux qu’elles font naître, passa sa vie à former une
bibliothèque
distinguée par le choix des éditions, précieuse p
sance à l’Académie441. » Voici maintenant comment le Catalogue de la
bibliothèque
du Palais des Arts s’exprime sur le manuscrit lui
: « Les caractères mixtes de ce volume, l’un des plus anciens de la
bibliothèque
, datent du xiiie siècle. Les feuilles de vélin s
rit de Carpentras. Le manuscrit des fables de Walther qui, dans la
Bibliothèque
municipale de Carpentras, est conservé sous la co
, est analysé dans le premier des trois volumes du catalogue de cette
Bibliothèque
dressé par M. C. G. A. Lambert et imprimé en 1862
seille. Il ne me reste plus, pour en finir avec les manuscrits des
bibliothèques
françaises, qu’à faire connaître celui que possèd
s bibliothèques françaises, qu’à faire connaître celui que possède la
Bibliothèque
de la ville de Marseille sous la cote C. b. 37. V
Laudetur deus in sublimis ! § 2. — Allemagne du Nord. 1º
Bibliothèque
royale de Berlin. Manuscrit latin Berol. 87.
Bibliothèque royale de Berlin. Manuscrit latin Berol. 87. La
bibliothèque
royale de Berlin ne possède, à ma connaissance, q
dérivé de celui de Vienne. On en trouvera plus loin l’analyse. 2º
Bibliothèque
communale de Trèves. Formée des fonds d’ancien
unale de Trèves. Formée des fonds d’anciens couvents supprimés, la
bibliothèque
de Trèves possède de nombreux manuscrits fort int
post meridiem circa horam primam || anno domini etc. xlixo. 3º
Bibliothèque
de Wolfenbüttel. A. Manuscrit 37.34 Aug.
et M. Oesterley, sur la foi des trois, ont tour à tour répété que la
Bibliothèque
de Wolfenbüttel possédait deux manuscrits des fab
cette souscription : Explicit liber Exopi. deo grās. Amen. 4º
Bibliothèque
de l’Université de Göttingen. Manuscrit phil
a été augmentée de cet autre déjà signalé dans trois manuscrits de la
Bibliothèque
de Wolfenbüttel : Quos coluit viros nescit vixis
re dans quelles mains il est passé. § 3. — Allemagne du Sud.
Bibliothèque
royale de Munich. A. Manuscrit 237. Les f
s suivantes et dont l’origine est indiquée au catalogue imprimé de la
Bibliothèque
par cette mention : Aug. S. Cruc. 46, forme un vo
mention : Aug. S. Ur. 109 et à qui la cote 4409 a été donnée dans la
bibliothèque
de Munich, forme un volume in-4º, partie en parch
pserunt. F. Manuscrit 5311. Lorsqu’en 1873 j’ai été visiter la
bibliothèque
royale de Munich, le catalogue des manuscrits n’é
ts. Il renferme de nombreux ouvrages énumérés dans le catalogue de la
Bibliothèque
. Le premier consiste dans les fables de Walther q
je m’abstiens d’en donner l’analyse. § 4. — Angleterre. 1º
Bibliothèque
du British Museum. De toutes les bibliothèques
Angleterre. 1º Bibliothèque du British Museum. De toutes les
bibliothèques
que j’ai visitées, la plus riche en manuscrits es
ts de Walther. Voici l’analyse qu’en donne le catalogue imprimé de la
bibliothèque
: « Liber Exopi, editus à Lucone de Suma Campanea
e double souscription : Deo gratias ; Amen. — Finis ; Amen. 2º
Bibliothèque
Grenville. La Bibliothèque Grenville (Grenvill
ratias ; Amen. — Finis ; Amen. 2º Bibliothèque Grenville. La
Bibliothèque
Grenville (Grenville library), quoique installée
lle (Grenville library), quoique installée dans le même palais que la
Bibliothèque
du British Museum, en est presque entièrement ind
yons de la Grenville library un manuscrit identique à celui qui, à la
Bibliothèque
nationale, porte dans le fonds français la cote 1
. Formant un volume in-4º de dimension moindre que le manuscrit de la
Bibliothèque
nationale, il a nécessairement un plus grand nomb
s qui demandent un roi. Originairement, comme dans le manuscrit de la
Bibliothèque
nationale, elles étaient précédées d’un préambule
cédées de miniatures à peu près pareilles à celles du manuscrit de la
Bibliothèque
nationale, peut-être même un peu plus fines, et r
fatui stolidis non solet esse status. Comme dans le manuscrit de la
Bibliothèque
nationale, les cinq fables qui portent les numéro
êmes que celles qui forment la seconde partie du manuscrit 1594 de la
Bibliothèque
nationale. Ainsi que l’annoncent les premiers ver
une main plus récente a tracé ces deux mots : Deo gracias. 3º
Bibliothèque
du Lambeth palace. Manuscrit 431. Ce manu
la devise suivante : Singula cum ualeant sunt meliora simul. 4º
Bibliothèque
Bodléienne. A. Manuscrit Canonicus latinus 8
cre noire : Explicit explicite quidquid liber implicat iste. 5º
Bibliothèque
du nouveau collège à Oxford. Manuscrit CCLXI
let 32 et se terminent par les mots : Explicit liber Isopi. 6º
Bibliothèque
Phillips. Cette bibliothèque renferme cinq man
ots : Explicit liber Isopi. 6º Bibliothèque Phillips. Cette
bibliothèque
renferme cinq manuscrits des fables de Walther so
illet 61 b par les mots Explicit Esopus . § 5. — Autriche.
Bibliothèque
impériale de Vienne. Je n’ai trouvé en Autrich
her ; encore deux seulement sont-ils complets. Ils appartiennent à la
bibliothèque
impériale de Vienne. A. Manuscrit 303. Je do
er que la collection ne soit pas complète. § 6. — Belgique.
Bibliothèque
royale de Bruxelles. La bibliothèque royale de
e. § 6. — Belgique. Bibliothèque royale de Bruxelles. La
bibliothèque
royale de Bruxelles possède les fables de Walther
est absolument identique aux manuscrits 1594 du fonds français de la
Bibliothèque
nationale et XIII de la Grenville library. Cela m
roy comte de Chimay. Signé : Charles. » § 7. — Espagne. 1º
Bibliothèque
nationale. Cette bibliothèque possède deux man
les. » § 7. — Espagne. 1º Bibliothèque nationale. Cette
bibliothèque
possède deux manuscrits des fables de Walther.
acé deux feuillets blancs en tête du volume et trois à la fin. 2º
Bibliothèque
de la « Academia della Historia ». Manuscrit
au verso des écritures dénuées d’intérêt. § 8. — Hollande.
Bibliothèque
de l’Université de Leyde. Manuscrit xviii. 1
iège. Sur le catalogue de ce couvent, qui se trouve actuellement à la
bibliothèque
royale de Bruxelles, il porte le nº 534. Il conti
Iouem mouit, regem dedit, intulit Ydrum. § 9. — Italie. 1º
Bibliothèque
Vaticane. Manuscrit palatin. Parmi les ma
othèque Vaticane. Manuscrit palatin. Parmi les manuscrits des
bibliothèques
italiennes, le premier auquel une mention soit du
n ouvrit à Jean Gruter, qui l’engagea à recourir aux manuscrits de la
bibliothèque
palatine et aux éditions les plus anciennes. C’es
s cinq manuscrits qu’il a également extrait les fables de Walther. La
bibliothèque
palatine n’en possédait qu’un seul ; c’est du moi
En 1622, les troupes bavaroises, l’ayant occupée, s’emparèrent de la
bibliothèque
dans laquelle se trouvait le manuscrit, et, quoiq
delberg en qualité de commissaire pontifical, y prit possession de la
bibliothèque
, et l’envoya à Rome, où elle forma, sous la dénom
liothèque, et l’envoya à Rome, où elle forma, sous la dénomination de
Bibliothèque
Palatine, un des fonds de celle du Vatican. Le ma
ppui du roi de Prusse pour obtenir du Saint-Père la restitution de sa
bibliothèque
, et, sur les ordres du roi, le chancelier d’État,
ots : Reverendissimo in Kpo patri domino Nicolino Cipriano. 2º
Bibliothèque
nationale du palais Brera. Manuscrit AD. 10.
nt été placées immédiatement avant la soixantième. Le catalogue de la
bibliothèque
du palais Brera renvoie pour plus amples renseign
ori : Antiq. Itat. medii ævi, t. III, Dissert. XLIV, col. 914. 3º
Bibliothèque
Ambrosienne. A. Manuscrit H. 28 supr. Le
Jean fils et déclare avoir achevé sa copie le 29 juillet 1415. 4º
Bibliothèque
Laurentienne. Manuscrit Strozzi LXXX. Dan
4º Bibliothèque Laurentienne. Manuscrit Strozzi LXXX. Dans la
bibliothèque
Laurentienne a été englobée la bibliothèque Léopo
Strozzi LXXX. Dans la bibliothèque Laurentienne a été englobée la
bibliothèque
Léopoldine, qui comprenait elle-même divers fonds
e-même divers fonds et notamment le fonds Strozzi. Le catalogue de la
bibliothèque
Léopoldine, imprimé à Florence en 1792, signale à
de cette souscription : Explicit liber exopi. deo gratias. 5º
Bibliothèque
Magliabecchienne ou nationale. Manuscrit 1.
um domino felix. || Manus scriptoris salvetur omnibus oris. » 6º
Bibliothèque
Riccardienne. A. Manuscrit 350. Le manusc
pour les onze dernières. Comme dans les autres manuscrits de la même
bibliothèque
précédemment analysés, la fable xlviii ne compren
de cette autre : Manus scriptoris salvetur ab omnibus oris. 7º
Bibliothèque
Marcienne. A. Manuscrit LXXXVIII, Class. XII
CXVI qui est rappelée au Catalogue il ressort qu’il a appartenu à la
Bibliothèque
de Nani, et que c’est celui que Morelli a analysé
elle, il ressort que le manuscrit a appartenu à Apostolo Zeno. 8º
Bibliothèque
de l’Université de Bologne. A. Fonds général
cipitre et Capone, De Pastore et Lupo et De Pueris ludentibus. 9º
Bibliothèque
de l’Université de Ferrare. Manuscrit 216. N
ui les remplit est du xive siècle. Voici, d’après le Catalogue de la
Bibliothèque
, les ouvrages qui s’y trouvent : 1º Æsopi Phrygi
liam nostram ; omnes doctrine istarum rerum patent in libro. 10º
Bibliothèque
royale d’Este à Modène. Manuscrit XII. F. 9.
noire ont été écrits les mots : Finis. laus deo. || τελως. 11º
Bibliothèque
de Parme. Manuscrit 686. Ce manuscrit du
e et Lupo : Ille refert : Pro me vigilat tua cura, precari… 12º
Bibliothèque
de Brescia. Manuscrit A. VI. 16. Ce manus
nt un opuscule écrit par une autre main. § 10. — Suisse. 1º
Bibliothèque
cantonale de Berne. Manuscrit 688. Le man
Esopo , et occupent les feuillets 61 b, col. 1 à 62 b, col. 2. 2º
Bibliothèque
cantonale de Bâle. A. Manuscrit A. N. II. 12
crit A. N. II. 12. Le manuscrit A. N. II. 12 appartenait déjà à la
bibliothèque
à l’époque où Haenel publiait ses catalogues ; ce
nalée par Hain454 et par Brunet455. J’en ai trouvé un exemplaire à la
bibliothèque
publique de Stuttgart. 1476. Aesopi fab
erardū leeu. Anno domini M.cccc.lxxxviij. decima qūrta die Maïj. La
bibliothèque
du British Museum sous la cote C. 1. a. 4, la bib
Maïj. La bibliothèque du British Museum sous la cote C. 1. a. 4, la
bibliothèque
Bodléienne, sous la cote Douce 60 et la bibliothè
e C. 1. a. 4, la bibliothèque Bodléienne, sous la cote Douce 60 et la
bibliothèque
royale de Bruxelles, sous le nº 1529 substitué au
0, nº 1914), et en outre signalée dans le manuscrit latin 11395 de la
Bibliothèque
nationale. Mais il ne me semble pas douteux qu’el
Impressus anno salutis M. cccc. lxxxix decimo kalendas Aprilis. La
bibliothèque
impériale de Vienne sous la cote 16. G. 29, la bi
lis. La bibliothèque impériale de Vienne sous la cote 16. G. 29, la
bibliothèque
royale de Munich sous la cote Inc. c. a. 620 et l
9, la bibliothèque royale de Munich sous la cote Inc. c. a. 620 et la
bibliothèque
publique de Nuremberg sous la cote 139, possèdent
Impressus anno salutis M. cccc. lxxxix. decimo kalendas augusti. La
bibliothèque
du British Museum sous la cote 12305 e, la biblio
augusti. La bibliothèque du British Museum sous la cote 12305 e, la
bibliothèque
royale de Munich sous la cote Inc. c. a. 621, la
5 e, la bibliothèque royale de Munich sous la cote Inc. c. a. 621, la
bibliothèque
impériale de Vienne sous la cote VII. H. ii et la
21, la bibliothèque impériale de Vienne sous la cote VII. H. ii et la
bibliothèque
publique de Linz sous la cote B. 131. b., possède
Un exemplaire de cette édition in-4, coté X. H. 66, se trouve à la
bibliothèque
impériale de Vienne. 1490. Auctores cum
. die xxiii Januarii. Il existe un exemplaire de cette édition à la
Bibliothèque
de l’Université de Würtzbourg sous la cote L. B.
e format in-4 des éditions classiques, se compose de 38 feuillets. La
bibliothèque
impériale de Vienne sous la cote 26. G. 32, la bi
llets. La bibliothèque impériale de Vienne sous la cote 26. G. 32, la
bibliothèque
Bodléienne sous la cote Auct. 5, Q. 6. 68, la bib
G. 32, la bibliothèque Bodléienne sous la cote Auct. 5, Q. 6. 68, la
bibliothèque
royale de la Haye sous la cote 345, la bibliothèq
. 5, Q. 6. 68, la bibliothèque royale de la Haye sous la cote 345, la
bibliothèque
de Munich sous la cote Inc. c. a. 716 et la bibli
cote 345, la bibliothèque de Munich sous la cote Inc. c. a. 716 et la
bibliothèque
royale de Stuttgart possèdent chacune un exemplai
n existe des exemplaires à la Grenville library sous le nº 7736, à la
bibliothèque
Bodléienne sous la cote A. q. q. Linc. et à la bi
736, à la bibliothèque Bodléienne sous la cote A. q. q. Linc. et à la
bibliothèque
royale de Stuttgart. 1491. Auctores vii
un exemplaire de cette édition in-4º, que je n’ai trouvée dans aucune
bibliothèque
publique, et qui est cependant mentionnée par Pan
l en existe, sous le nº 1840 substitué au nº 1620, un exemplaire à la
bibliothèque
royale de Bruxelles. — Esopus moralisatus || cum
onsidérable ; car ils ne sont pas rares ; il en existe notamment a la
bibliothèque
royale de Munich, sous les cotes Inc. c. a. 870 e
ale de Munich, sous les cotes Inc. c. a. 870 et A. Lat. a. 13 g, à la
bibliothèque
de Wolfenbüttel, sous la cote Aus. 171. 14 Qu., à
la bibliothèque de Wolfenbüttel, sous la cote Aus. 171. 14 Qu., à la
bibliothèque
du British Museum sous la cote I073.l.28./2, à la
ote I073.l.28./2, à la Bodléienne sous la cote Auct. 5. Q. 6.80, à la
bibliothèque
impériale de Vienne sous la cote IX. H. 34, à la
0, à la bibliothèque impériale de Vienne sous la cote IX. H. 34, à la
bibliothèque
de l’Université de Padoue sous la cote Sº XV. 496
bliothèque de l’Université de Padoue sous la cote Sº XV. 496, et à la
bibliothèque
royale de Bruxelles sous le nº 1740. 1494.
de cette édition figure, sous la cote 28, parmi les incunables de la
bibliothèque
publique de Nevers. — Auctores octo opusculorum
ni M. cccc. lxxxxiiij. die nona mensis iunii. Sous la cote 10973 la
bibliothèque
publique de Dijon possède un exemplaire de cette
guenau par Henri Gran456. La Grenville library, sous la cote 7738, la
bibliothèque
royale de Munich, sous les cotes Inc. c. a. 1054,
s Inc. c. a. 1054, A. Gr. b. 59, A. Gr. b. 60 et A. Gr. b. 536, et la
bibliothèque
publique de Linz, sous la cote B. 100. B, possède
volume in-4º de 39 feuillets, existent l’un, sous la cote B. 73, à la
bibliothèque
publique de Linz, et l’autre, sous la cote 364, à
la bibliothèque publique de Linz, et l’autre, sous la cote 364, à la
bibliothèque
royale de la Haye. 1495. Esopus moralis
n de Deventer. Sous la cote Douce 58, il en existe un exemplaire à la
bibliothèque
Bodléienne. 1496. Esopus moralisatus cu
e 10. Je ne connais de cette édition qu’un exemplaire qui existe à la
bibliothèque
du palais Brera sous la cote AM. X. 7. S’il est c
naise de 1494. Il s’en trouve, sous la cote 14680, un exemplaire à la
bibliothèque
publique d’Arras. — Esopus moralisatus cum bono
pulcherrime appositis. Imp̄ssus āno salutis nr̄e M. cccc. xcvij. La
bibliothèque
impériale de Vienne sous la cote X. H. 47, la bib
cvij. La bibliothèque impériale de Vienne sous la cote X. H. 47, la
bibliothèque
Bodléienne sous la cote Auct. Q. 5. 53, la biblio
X. H. 47, la bibliothèque Bodléienne sous la cote Auct. Q. 5. 53, la
bibliothèque
royale de Munich sous les cotes Inc. c. a. 1360 e
royale de Munich sous les cotes Inc. c. a. 1360 et A. Gr. b. 61 et la
bibliothèque
privée du roi de Wurtemberg possèdent des exempla
n exemplaire au British Museum sous la cote 12304 e, et un autre à la
Bibliothèque
de Vérone sous la cote 79. e. — Esopus moralisat
uvé qu’un seul exemplaire de cette rarissime édition : il existe à la
bibliothèque
de l’Université de Bâle sous la cote C. E. VI. 49
de 1498, m’écrivait le 13 décembre 1881 M. Sieber, conservateur de la
bibliothèque
, ne se trouve pas mentionnée dans les bibliograph
édition, qui ne contient aucune indication de lieu, est conservé à la
bibliothèque
Bodléienne. 1499. Fabule Esopi cum || c
hiers B et E de six, soit un total de 36 feuillets. Il en existe à la
bibliothèque
royale de Bruxelles, sous le nº 2075 substitué au
publiée à Deventer, en 1490, par Jacques de Breda. Il en existe à la
bibliothèque
de l’Université de Bâle un exemplaire sous la cot
e bois est doublée de parchemin et garnie d’un fermoir. À Hanovre, la
Bibliothèque
du roi, sous la cote 201, possède également un ex
édition de Deventer. Il en existe un exemplaire sous le nº 2626 à la
Bibliothèque
royale de Bruxelles. 1503. Fabule Æsopi
t dans un riche encadrement. Sous la cote C. 38. d. 1, il existe à la
Bibliothèque
du British Museum un exemplaire de l’édition de W
ucun répertoire bibliographique. Il en a existé un exemplaire dans la
bibliothèque
du marquis de Morante. 1507. Continentu
vii. Nono Kal. Aprilis. Un exemplaire de cette édition existe à la
Bibliothèque
palatine de Parme sous la cote G G.3 II. 1508
plaire de cette édition est conservé, sous la cote A. Gr. B. 65, à la
Bibliothèque
royale de Munich et, sous la cote S N. 8130, à la
, à la Bibliothèque royale de Munich et, sous la cote S N. 8130, à la
Bibliothèque
de l’Université de Padoue. — Fabule Esopi || cum
e sur un globe un aigle dont les ailes sont déployées. Il existe à la
bibliothèque
du palais Brera un exemplaire de cette édition so
à la Grenville library, et un autre, sous la cote A. V. 37. 21, à la
bibliothèque
de l’Université de Bologne. 1519. Fabul
mmento ; una cum Catone. À la fin : Lugd. per Jo. Marion 1519. La
bibliothèque
Bodléienne possède un exemplaire de cette édition
us la cote 7749, à l’Ambrosienne sous la cote S. Ṉ. U. VII. 52 ; à la
Bibliothèque
de l’Université de Bologne, sous la cote A. V. A.
hèque de l’Université de Bologne, sous la cote A. V. A. IV. 27 : à la
Bibliothèque
palatine de Parme sous la cote DD. VIII. 29323.
a cote C. P. 415, à la Marcienne sous la cote CXXVIII. 5. 44615, à la
Bibliothèque
palatine de Parme sous la cote DD.XI. 92, à la Bi
ie. viij. Martii. Un exemplaire de cette édition est conservé à la
bibliothèque
Ambrosienne sous la cote E̱. X. 30. Autores oct
d.xlvii. || Mense Maii. Un exemplaire de cette édition existe à la
Bibliothèque
Marcienne sous la cote CXXIX. 9. 44955. 1553.
ud inclytam Grana||tam. Mense februa-||rio. m.d.liii. À Madrid, la
Bibliothèque
nationale, sous la cote 23. 4, et à Cordoue, la B
drid, la Bibliothèque nationale, sous la cote 23. 4, et à Cordoue, la
Bibliothèque
provinciale, sous la cote 8. 98, possèdent chacun
|| m.ccccc.lvii. Fol. 44 b (f iiii b ). Page blanche. À Madrid, la
Bibliothèque
nationale, sous la cote 144. 11, et à Padoue, la
rid, la Bibliothèque nationale, sous la cote 144. 11, et à Padoue, la
Bibliothèque
de l’Université, sous la cote 53. 329, possèdent
attheo da Besozzo. Nel anno del || Signore m.d.lxi. Il existe à la
Bibliothèque
palatine de Parme un exemplaire de cette édition,
euillet 40 a et sont suivies d’une table des matières. Il existe à la
bibliothèque
Ambrosienne un exemplaire de cette édition sous l
. 1610. Les ayant ensuite rencontrées dans un manuscrit de la
bibliothèque
Palatine, Névelet leur donna place dans sa Mythol
uvé aucun exemplaire. Elle n’est pas datée ; mais le Catalogue de la
Bibliothèque
de l’Université de Ferrare, où elle existe sous l
7 à 390 sont remplies par 179 fables ésopiques en vers élégiaques. La
Bibliothèque
Palatine de Parme, sous la cote Sal. M* VIII. 403
ompose de 296 pages. Il existe un exemplaire de cette édition dans la
Bibliothèque
de l’Université de Padoue sous la cote 30. 137, e
e de l’Université de Padoue sous la cote 30. 137, et un autre dans la
Bibliothèque
de Bergame. 1829. En 1829, les fables de
, comme on l’a vu, rencontré deux traductions dans les manuscrits des
bibliothèques
publiques. La plus ancienne et en même temps la p
ec des variantes nombreuses dans les quatre manuscrits français de la
Bibliothèque
nationale 1594, 1595, 19123 et 24310, dans le man
nuscrit XIII de la Grenville library et dans le manuscrit 11193 de la
Bibliothèque
royale de Bruxelles. La publication s’en est auss
ouche les traductions en prose, je n’en veux signaler qu’une. Dans la
bibliothèque
de Wolfenbüttel, sous la cote 81. 16, Aug., j’ai
its. A. Bibliothèque Riccardienne. Quoique ayant fréquenté la
Bibliothèque
Riccardienne, je n’ai pas examiné les manuscrits
en vers intitulée : Una favola d’Isopo della Testuggine. B. —
Bibliothèque
Laurentienne. Ayant pris connaissance des man
que Laurentienne. Ayant pris connaissance des manuscrits de cette
Bibliothèque
, j’en vais donner une analyse moins brève que cel
. reliqui CLXXVI. Ce manuscrit, appartenant à l’un des fonds de la
Bibliothèque
Léopoldine, qui elle-même est passée dans la Laur
deux derniers sont blancs. Le catalogue in-fol. des manuscrits de la
bibliothèque
Léopoldine donne du manuscrit une analyse détaill
et par bene parlate sue liberato. Le catalogue des manuscrits de la
Bibliothèque
Laurentienne donne du manuscrit une analyse détai
ue Laurentienne donne du manuscrit une analyse détaillée462. C. —
Bibliothèque
Magliabecchienne ou Nationale. Manuscrit II,
s du long préambule qui les précède dans le manuscrit Gadd. 176 de la
Bibliothèque
Laurentienne ; mais elles débutent par cette invo
a Pietra preziosa , et la dernière : Del Lupo e della Grua. D.
Bibliothèque
communale de Sienne. Manuscrit A. VIII. 8.
ia a Dio che chi lo leggie ne tragga qualche frutto. Amen. E. —
Bibliothèque
de Vérone. Manuscrit 528-29. Ce manuscrit
me celles du manuscrit Gadd. 176, occupent le bas des pages. F. —
Bibliothèque
Trivulzienne. Manuscrit N. 133. Ce manusc
ion : Finito el libro di Cato sia Xpo benedico e laudato. G. —
Bibliothèque
de Ferrare. Manuscrit 340. NB. 5. Ce manu
criture est du siècle dernier. Voici comment, dans le Catalogue de la
Bibliothèque
, il est analysé : Copia fedele tratta dall’ orig
rutto. Amen. Le soixantième et dernier feuillet est blanc. H. —
Bibliothèque
Phillips. Manuscrit 2749. Cet intéressant
n cité par M. Ghivizzani, qui, ayant limité ses recherches à quelques
bibliothèques
italiennes, n’avait pu le connaître, est un petit
i a été imprimée en 1496 par Francesco Bonaccorsi. Il en existe, à la
Bibliothèque
Riccardienne, un exemplaire malheureusement incom
alecte toscan que porte cette édition a été tiré d’un manuscrit de la
Bibliothèque
Farsetti passé ensuite dans la Marcienne, et l’éd
elles sont, sous 63 numéros, au nombre de soixante-deux seulement. La
Bibliothèque
Bodléienne, sous la cote Mortara 464 ; la Marcien
XXIII. A. 3. 46776 ; l’Ambrosienne, sous la cote S. Ṉ. A. VI. 23 ; la
Bibliothèque
de Vérone, sous la cote 183.4, enfin la Bibliothè
. A. VI. 23 ; la Bibliothèque de Vérone, sous la cote 183.4, enfin la
Bibliothèque
de Bergame détiennent chacune un exemplaire de ce
ires tant sur parchemin que sur papier. Des premiers l’un existe à la
Bibliothèque
Bodléienne, sous la cote Mortara 1109, et quelque
te Mortara 1109, et quelques-uns des derniers sont conservés dans les
bibliothèques
italiennes et notamment dans l’Ambrosienne, sous
D. X. 17 ; dans la Marcienne, sous la cote CXXXII. 4. 46381 ; dans la
Bibliothèque
de l’Université de Bologne, sous la cote A. IV. Z
rivée toutefois de l’Avertissement de l’éditeur et du Vocabulaire. La
Bibliothèque
de l’Université de Bologne, sous la cote A. V. Ca
st la première de la traduction contenue dans le manuscrit 1088 de la
Bibliothèque
Riccardienne. Elle a été préparée par l’académici
a paraphrase tant du Romulus ordinaire que du Romulus anglo-latin. La
Bibliothèque
Bodléienne, sous la cote Mortara 656 ; l’Ambrosie
I. N. VII. 15 ; la Marcienne, sous la cote CXXXIII. A. 6. 46869 ; la
Bibliothèque
d’Este à Modène, sous la cote A. XXXIX. GG. 33, e
ette édition est contenue dans un petit volume in-32 de 156 pages. La
Bibliothèque
de Vérone, sous la cote 181. 1, et celle de Berga
1840. Édition in-18 de 136 pages, dont un exemplaire existe dans la
Bibliothèque
de Vérone. 1847. Esopo || volgarizzato
Édition in-12 de xxvi-91 pages, dont il existe des exemplaires à la
Bibliothèque
Marcienne, sous la cote 52710, et à celles du pal
ip. Edit. || 1851. Édition en 1 volume in-16 de v-141 pages, dont la
Bibliothèque
Marcienne, sous le nº 58848, et celle de Vérone p
l’abbé Berti avait publiée en 1811, d’après le manuscrit Mocenigo. La
Bibliothèque
de l’Université de Bologne sous la cote Tab. VII.
igé à limiter ainsi sa publication. Il en existe des exemplaires à la
Bibliothèque
de l’Université de Bologne, sous la cote A. V. RR
C’est la première qui ait été publiée du texte du manuscrit 92 de la
Bibliothèque
Palatine. Malheureusement elle est plus luxueuse
elle est plus luxueuse que correcte. Il en existe un exemplaire à la
Bibliothèque
du palais Brera. 1866. Il volgarizzamen
285, trois tables. Il existe un exemplaire de cette édition dans la
Bibliothèque
nationale à la réserve du département des imprimé
du British Museum, sous la cote 12226. bbb, et d’autres dans diverses
bibliothèques
de l’Italie et notamment dans celle du palais Bre
consacrés le verso du feuillet p 7 et le feuillet p 8 et dernier. La
Bibliothèque
du British-Museum, sous la cote C. 1. a. 5 et la
ier feuillet est blanc. Il existe un exemplaire de cette édition à la
Bibliothèque
nationale, où, longtemps réuni à d’autres ouvrage
ule et close par le mot Finis. Panzer a signalé cette édition467. La
bibliothèque
du British Museum, la Bodléienne et la Colombine
à tort attribué à cette édition la date de 1481. J’en ai trouvé à la
Bibliothèque
Marcienne sous la cote CXIII. 7. 41304, un exempl
um de monteferrato. de sustreuo || Mcccc.93. a di 17. || Agosto. La
Bibliothèque
de Vérone, sous la cote 77.2 possède un exemplair
anno del signor̄ || M.cccc.lxxxxvij. adi. xxvii. zugno. || Finis. La
Bibliothèque
de Carpentras sous la cote E. 1320, la Bodléienne
s la cote E. 1320, la Bodléienne sous la cote Auct. VI. Q. VI. 74, la
Bibliothèque
de l’Université de Ferrare sous la cote O. 66 pos
aires de cette édition au British Museum sous la cote 1073.l.26, à la
Bibliothèque
du palais Brera sous les cotes AM.IX.43 et AN.X.2
M.IX.43 et AN.X.20, à l’Ambrosienne sous la cote S.Q̱.Q.II.18 et à la
Bibliothèque
de l’Université de Padoue sous la cote SºXV.494.
de Feuraro. || Finis. La Grenville library sous la cote 7743 et la
Bibliothèque
de Vérone sous la cote 105.4 possèdent chacune un
lume in-8º orné de gravures sur bois. Il en existe un exemplaire à la
bibliothèque
Bodléienne sous la cote Douce Z. Z. 7. 1533.
i M. d. xxxxiiii. Il existe un exemplaire de cette édition dans la
bibliothèque
de Wolfenbüttel. 1566. Le Fabule || Di
Il fine. || Stampate in Venetia per Francesco || de Leno. 1566. La
bibliothèque
Ambrosienne possède un exemplaire de cette éditio
t. J’ai rencontré des exemplaires de cette édition dans de nombreuses
bibliothèques
et notamment à la bibliothèque impériale de Vienn
s de cette édition dans de nombreuses bibliothèques et notamment à la
bibliothèque
impériale de Vienne sous la cote IV. F. 4, à la b
ent à la bibliothèque impériale de Vienne sous la cote IV. F. 4, à la
bibliothèque
du British Museum sous la cote 167. f. 14, à la G
library sous le nº 7807, à la Bodléienne sous la cote Douce 225, à la
bibliothèque
du roi de Hanovre sous le nº 54, à la bibliothèqu
te Douce 225, à la bibliothèque du roi de Hanovre sous le nº 54, à la
bibliothèque
de l’Université d’Heidelberg sous la cote Sch. 69
ue de l’Université d’Heidelberg sous la cote Sch. 69, nº 450, et à la
bibliothèque
de l’Escurial sous la cote j v. N. 2. Je rappelle
cahiers. Fol. 168 (y. iiiiiiii). — Le dernier feuillet est blanc. La
bibliothèque
royale de Munich sous la cote Inc. c. a. 2800, la
re à la Grenville library sous la cote 7735, et le catalogue de cette
bibliothèque
(t. I, p. 14, 2e col.) la décrit dans les termes
en prose. J’ai trouvé un de ces dérivés dans le manuscrit 14961 de la
Bibliothèque
nationale. La collection qu’il renferme, ne se co
t dans lequel j’ai trouvé la collection dérivée de Walther porte à la
Bibliothèque
nationale le nº 14961. Sur l’ancien catalogue du
bbaye de Saint-Germain des Prés, et qui est aujourd’hui conservé à la
Bibliothèque
nationale, dans le fonds latin, sous le nº 11867.
ables de Neckam ; vers 1825, il en trouva six dans un manuscrit de la
Bibliothèque
nationale, et les publia dans son édition des Fab
Méril, en ayant trouvé le texte entier dans un autre manuscrit de la
Bibliothèque
nationale, en publia, en 1854, la première éditio
Cum bene patrisses, crimine patris obi. Dans le manuscrit 8471 de la
Bibliothèque
nationale qui renferme les fables de Neckam, j’ai
e M. du Méril, les deux distiques font défaut dans le manuscrit de la
Bibliothèque
de Berlin. Non seulement Neckam n’a pas copié Wal
e Neckam. § 1. — Manuscrits latins. 1º Manuscrit 2904 de la
Bibliothèque
nationale. Le manuscrit 2904 de la Bibliothèqu
nuscrit 2904 de la Bibliothèque nationale. Le manuscrit 2904 de la
Bibliothèque
nationale, dans lequel M. Robert a trouvé six des
beaucoup à regretter de la voir inachevée. 2º Manuscrit 8471 de la
Bibliothèque
nationale. Le manuscrit de la Bibliothèque nat
2º Manuscrit 8471 de la Bibliothèque nationale. Le manuscrit de la
Bibliothèque
nationale qui contient le Novus Aesopus tout enti
iffre 731 et remonte aussi au xiiie siècle. » 3º Manuscrit de la
Bibliothèque
du British Museum. J’ai trouvé à la Bibliothèq
º Manuscrit de la Bibliothèque du British Museum. J’ai trouvé à la
Bibliothèque
du British Museum un troisième manuscrit, auparav
tte phrase finale : Expliciunt fabule Ysopi. 4º Manuscrit de la
bibliothèque
du collège de la Sainte-Trinité à Cambridge. S
ir l’exactitude que je formule cette hypothèse. 5º Manuscrit de la
bibliothèque
royale de Berlin. Révélé à M. E. du Méril par
our fonder l’ancienne histoire de l’Allemagne 485, le manuscrit de la
bibliothèque
de Berlin, qui paraît avoir été écrit en France e
soin d’indiquer les variantes qui le font différer du manuscrit de la
Bibliothèque
nationale. § 2. — Manuscrits français. Com
s que les autres riment deux à deux486. » A. Manuscrit 24432 de la
Bibliothèque
nationale. Le manuscrit 24432, qui a porté dan
par ces mots : Requies sit eis. Amen. B. Manuscrit 15213 de la
Bibliothèque
nationale. Ce manuscrit est le même qui, au te
moralités dessus. 2º Deuxième traduction. Manuscrit de la
bibliothèque
de Chartres. La traduction des fables de Necka
aduction des fables de Neckam qui se trouve dans les manuscrits de la
Bibliothèque
nationale, n’est pas la seule qui en ait été fait
té faite au moyen âge. Il en existe une autre dans un manuscrit de la
bibliothèque
de Chartres. L’existence en a été révélée par M.
L’existence en a été révélée par M. Duplessis, conservateur de cette
bibliothèque
, qui l’a publiée à Chartres, au mois de juillet 1
ulé : Fables en vers du xiiie siècle. Comme dans la collection de la
Bibliothèque
nationale, le traducteur, suivant l’usage du temp
atin forme l’épimythion. La collection de Chartres, comme celle de la
Bibliothèque
nationale, ne contient pas la traduction de la fa
: Dou Soleil et de Yuer, qui manquent dans les deux manuscrits de la
Bibliothèque
nationale, et qui, avec des sujets différents, do
et exacts de la même œuvre, et, à raison des deux localités dans les
bibliothèques
desquelles ils se trouvaient, donner à la collect
. Manuscrit de Vienne 303. C’est dans le manuscrit latin 303 de la
Bibliothèque
impériale de Vienne que se trouve le texte que j’
e me suis expliqué sur le premier ; j’arrive au deuxième qui, dans la
bibliothèque
autrichienne, porte la cote 901. Je commence par
ni une copie ni une imitation faites sur le manuscrit 303 de la même
bibliothèque
. D’abord, quoique du même siècle, le manuscrit 90
2. — Manuscrit de Vienne 901. Le manuscrit latin qui, dans la
Bibliothèque
impériale de Vienne porte la cote 901, est un vol
e caractère à celle qui existe dans le manuscrit latin in-8º 87 de la
Bibliothèque
royale de Berlin. En effet, les soixante fables d
ant les fables du deuxième dérivé du Romulus de Vienne figure dans la
Bibliothèque
royale de Berlin sous la cote M S. Lat. Octav. 87
même ; en effet, comme le manuscrit qui la contenait dépendait d’une
bibliothèque
privée inaccessible au public, j’aurais encore ét
est différente : le manuscrit qui renferme ce Romulus appartient à la
Bibliothèque
Laurentienne où il m’a été facile d’en avoir comm
is-je commencée que je dus l’interrompre, et, l’un des employés de la
Bibliothèque
m’ayant offert de l’exécuter, je lui confiai ce t
tous ses manuscrits, passé dans celles de lord Ashburnham. C’est à la
Bibliothèque
Laurentienne qu’il m’a été donné de le voir. Comm
ucoup des manuscrits dépendant du fonds Libri avaient appartenu à des
bibliothèques
françaises auxquelles ils avaient été soustraits,
aminer et en négocier l’achat. Le savant administrateur général de la
Bibliothèque
nationale fit porter ses investigations non seule
m’en rendre compte, je n’ai pas seulement recouru au manuscrit de la
bibliothèque
de l’Université de Leyde d’après lequel la public
uer par le conseiller du duc de Brunswick, Lauger, conservateur de la
bibliothèque
de Wolfenbüttel, la copie prise par Gude du manus
Manuscrits du Romulus de Nilant. § 1er. — Manuscrit 18270 de la
Bibliothèque
Nationale. Le manuscrit 18270 de la Biblio
t 18270 de la Bibliothèque Nationale. Le manuscrit 18270 de la
Bibliothèque
nationale étant à la fois un peu plus ancien et a
to du 2e feuillet : « Antonius Loysel. » Il est ensuite passé dans la
bibliothèque
de Notre-Dame, ainsi qu’il résulte de cette menti
mention inscrite sur le premier feuillet ajouté aux anciens : « A la
Bibliothèque
de l’église de Paris. » Cette mention a été mise
important est celui qui porte la cote 172 dans le fonds Digbey de la
bibliothèque
Bodléienne. Il forme un volume in fol., dont les
auf la fable du Glaive perdu, qui d’ailleurs, dans le manuscrit de la
Bibliothèque
nationale, n’existe qu’à l’état de fragment, tout
Leyde Vossianus latinus in-8º, 46. Le catalogue in-fol. de la
Bibliothèque
de l’Université de Leyde, publié dans cette ville
colonnes, est du commencement du xive siècle. Il a fait partie de la
bibliothèque
de Paul Petau. Il ne peut sur ce point exister au
’était pas contenté d’acheter pour la reine de Suède une partie de sa
bibliothèque
et qu’il avait acquis pour lui-même une certaine
t il s’agit ici. Des mains d’Isaac Vossius il est passé avec toute la
bibliothèque
de ce célèbre bibliophile dans celle de l’Univers
vrez506. Mais je dois dire aussi que le manuscrit français 1446 de la
Bibliothèque
nationale et le manuscrit Harley 4333 de la Bibli
s 1446 de la Bibliothèque nationale et le manuscrit Harley 4333 de la
Bibliothèque
du British Museum désignent ce roi sous le nom de
ossédons. Qu’on examine par exemple le manuscrit français 25405 de la
Bibliothèque
nationale, et l’on y verra une note qui lui assig
la fin du xiiie siècle. J’emprunte au manuscrit français 1446 de la
Bibliothèque
nationale le prologue, ainsi que son préambule et
; tels sont, par exemple, les manuscrits français 1593 et 2168 de la
Bibliothèque
nationale et le manuscrit Harléien 978 du British
tribuées. C’est ce que j’ai fait. Parmi les manuscrits français de la
Bibliothèque
nationale, j’en ai remarqué deux qui contenaient
endre, Que iou li puisse l’arme rendre. Dans le manuscrit 1593 de la
Bibliothèque
nationale, l’épilogue comprend vingt-quatre vers
ottroit. § 3. — Manuscrits des fables de Marie de France. 1º
Bibliothèque
nationale. A. Manuscrit 1446. Ce manuscri
nt très peu uniformes, mais très belles. Ce manuscrit a dépendu de la
bibliothèque
du président de Thou ; c’est ce qui ressort de la
Il a appartenu à Baluze qui lui avait donné le nº 572. Entré dans la
Bibliothèque
nationale, il y avait ensuite reçu, avant la clas
la cote 1830 remplacée plus tard par la cote 1239. Passé ensuite à la
Bibliothèque
nationale, il y a fait partie du fonds Saint-Germ
r une haute idée du soin avec lequel il a étudié les manuscrits de la
Bibliothèque
nationale, et donne lieu de penser qu’en réalité
de ma main ont été prises sur le Ms. N. D., N. 2, 274 bis. » 2º
Bibliothèque
du British Museum. A. Manuscrit Vespasian B.
rs et l’épilogue en 22 vers, qui, comme celui du manuscrit 1446 de la
Bibliothèque
nationale, attribue la traduction anglaise à un r
à 12, 27, 75, 78 à 80, 85, 87 à 88, 91, 93 à 94, et 98 à 102. 3º
Bibliothèque
de l’Université de Cambridge. Manuscrit E.e.
u les numéros suivants : 6, 12, 54 à 55, 61 à 65, et 76 à 102. 4º
Bibliothèque
royale de Bruxelles. Manuscrit 10296. Ce
t xive siècles, M. Robert a retrouvé, dans les deux manuscrits de la
Bibliothèque
nationale 347 B et 347 C, vingt-deux fables en pr
mulus anglo-latin n’existe que dans deux manuscrits, appartenant à la
Bibliothèque
nationale, et portant dans le Catalogue imprimé e
iture à deux colonnes est du xive siècle. Il a appartenu à plusieurs
bibliothèques
dans lesquelles il a reçu tour à tour les cotes 1
cles537. Il les avait tirées des deux manuscrits 347 B et 347 C de la
Bibliothèque
nationale, et, reconnaissant sans doute que le se
’aie pu découvrir sont les sept suivants : 1º Le manuscrit 1108 de la
Bibliothèque
de la ville de Trèves ; 2º Le manuscrit 1107 de
Bibliothèque de la ville de Trèves ; 2º Le manuscrit 1107 de la même
Bibliothèque
; 3º Le manuscrit 215 num. loc. 11 de la même Bib
de la même Bibliothèque ; 3º Le manuscrit 215 num. loc. 11 de la même
Bibliothèque
; 4º Le manuscrit Theol. 140 de la Bibliothèque d
m. loc. 11 de la même Bibliothèque ; 4º Le manuscrit Theol. 140 de la
Bibliothèque
de l’Université de Göttingen ; 5º Le manuscrit Th
de l’Université de Göttingen ; 5º Le manuscrit Theol. 126 de la même
Bibliothèque
; 6º Le manuscrit 536 de la Bibliothèque royale d
uscrit Theol. 126 de la même Bibliothèque ; 6º Le manuscrit 536 de la
Bibliothèque
royale de Bruxelles ; 7º Le manuscrit 15. A. VII
. VII de la Bibliothèque du British Museum. 1º Manuscrit 1108 de la
bibliothèque
communale de Trèves. Le manuscrit 1108, autref
b et 33 a sont restés entièrement blancs. 2º Manuscrit 1107 de la
bibliothèque
communale de Trèves. Ce manuscrit, qui auparav
renté, les deux manuscrits ne sont pas parvenus par la même voie à la
bibliothèque
de Trèves. Les ex libris que porte le manuscrit 1
ietatis Jesu Treverensis anno 1571. Ce manuscrit n’existe plus à la
bibliothèque
de Trèves. Lors de la visite que j’y ai faite en
avais antérieurement trouvés. Ils étaient morts et avaient laissé la
bibliothèque
dans le plus complet désarroi. Leur successeur a,
xpliquer l’insuccès de ses recherches, il était supposable que, si la
bibliothèque
l’avait encore possédé, il l’aurait retrouvé. En
Trèves, j’ai acquis, par une mention inscrite sur le catalogue de la
Bibliothèque
, la certitude qu’il était irrévocablement perdu.
était irrévocablement perdu. 3º Manuscrit 215. num. loc. 11 de la
Bibliothèque
communale de Trèves. Ce manuscrit forme un vol
n parchemin et dont l’écriture est du xve siècle. Le catalogue de la
Bibliothèque
donne en ces termes la nomenclature des ouvrages
libro, sit laus et gloria Christo. 4º Manuscrit Théol. 140 de la
Bibliothèque
de l’Université de Göttingen. Ce manuscrit qui
ef une attention toute particulière. 5º Manuscrit Théol. 126 de la
Bibliothèque
de l’Université de Göttingen. Ce n’est pas seu
öttingen. Ce n’est pas seulement le manuscrit Théol. 140 qui, à la
Bibliothèque
de l’Université de Göttingen, renferme le Dérivé
e, n’a pas été traduit par Marie de France. 6º Manuscrit 536 de la
Bibliothèque
royale de Bruxelles. Ce manuscrit fait partie
ux colonnes est du xve siècle. Conformément à l’usage adopté dans la
Bibliothèque
, il lui a été donné autant de numéros qu’il s’y t
e qui ont déjà été mentionnées dans l’analyse du manuscrit 1108 de la
Bibliothèque
de la ville de Trèves. Ces dix-sept fables ne son
ocuré une copie complète du texte contenu dans le manuscrit 215 de la
Bibliothèque
de Trèves ; néanmoins, comme c’est toujours le ma
aduction existe dans un manuscrit du xve siècle, qui appartient à la
bibliothèque
de la ville de Magdebourg, qui, paraît-il544, a é
elle ils ont puisé est la collection contenue dans le manuscrit de la
bibliothèque
de l’Université de Göttingen. Se faisant un titre
se trouve dans un manuscrit de la fin du xve siècle appartenant à la
bibliothèque
de Wolfenbüttel, où il a reçu, non pas, comme le
alait, j’ai par lettre demandé à M. von Heinemann, conservateur de la
bibliothèque
ducale de Wolfenbüttel, ce qu’elle pouvait avoir
— Manuscrit du Dérivé hexamétrique. Ce manuscrit, qui, dans la
Bibliothèque
Bodléienne, dépend du fonds Rawlinson et porte la
nuscrits contenant les fables rimées. Le plus complet appartient à la
bibliothèque
du British Museum, où il porte le nº 11619 : c’es
ui m’a d’abord été révélé par le Catalogue in-fol. des manuscrits des
bibliothèques
anglaises et irlandaises, publié à Oxford en 1697
appartient au collège du Corpus Christi de Cambridge, porte, dans la
bibliothèque
qui le possède, non pas le nº 85 qui lui a été at
ction II. Manuscrit du Romulus de Berne. Ce manuscrit qui, dans la
Bibliothèque
cantonale, porte le nº 141, forme un volumineux i
nommé bibliothécaire du Directoire exécutif. Il avait formé une belle
bibliothèque
, riche en manuscrits. Ses ouvrages n’ont pas tous
, chez Jan Henri, libraire, en 1697. 122. Notices et extraits de la
Bibliothèque
nationale, an XII, in-4º. (Voyez tome VII, 2e par
t Montfaucon (Bibliotheca Bibliothecarum, 1, 91), il y aurait dans la
Bibliothèque
du Vatican quatre manuscrits qui auraient pour ti
se retira à Foligno, d’où sa famille était originaire, s’y forma une
bibliothèque
considérable, et consacra sa longue existence à a
77. Voyez l’Examen des nouvelles fables de Phèdre, p. 44 à 46. 178.
Bibliothèque
des auteurs classiques grecs et romains, publiée
l existe aussi à Leyde deux exemplaires de cet opuscule, l’un dans la
bibliothèque
de l’Université, l’autre dans celle de la Société
xve siècle et notamment dans celles dont il y a des exemplaires à la
Bibliothèque
Impériale de Vienne sous la cote 16 G. 29, à la B
res à la Bibliothèque Impériale de Vienne sous la cote 16 G. 29, à la
Bibliothèque
royale de Munich sous les cotes Inc. c. a. 620 et
oyale de Munich sous les cotes Inc. c. a. 620 et Inc. c. a. 621, à la
Bibliothèque
communale de Nuremberg sous la cote 139 et à la B
21, à la Bibliothèque communale de Nuremberg sous la cote 139 et à la
Bibliothèque
communale de Linz, sous la cote B. 131 b., tous a
llésime de 1489. J’en peux citer également deux autres que possède la
Bibliothèque
impériale de Vienne, l’un sans date sous la cote
330. Repertorium bibliographicum, tome I, p. 36. 331. À Vienne, la
bibliothèque
Albertine possède un exemplaire des fables de Rom
doniano. | M.DC.LXXIV. Il existe des exemplaires de ce catalogue à la
Bibliothèque
nationale sous la cote Q. 340 et à la Bibliothèqu
ce catalogue à la Bibliothèque nationale sous la cote Q. 340 et à la
Bibliothèque
Mazarine sous les nos 6750 et 6751. 338. Catalo
76. Il existe un exemplaire de ce catalogue en 2 volumes in-fol. à la
Bibliothèque
nationale sous les cotes Q. 341 et Q. 342. 339.
349. Brunet, Manuel du libraire, 5e édition, tome I, col. 93. 350.
Bibliothèque
de Lyon. Catalogue des livres qu’elle renferme da
Lettres, etc., par Ant. Fr. Delandine. Paris, Renouard, et Lyon, à la
bibliothèque
publique et chez les principaux libraires. 2 vol.
hèque publique et chez les principaux libraires. 2 vol. in-8º. 351.
Bibliothèque
de Lyon, etc., tome I, p. 587. 352. Panzer, Anna
I, p. 244. 438. Voyez tome I, p. 244 et 245. 439. Manuscrits de la
Bibliothèque
de Lyon, etc., par M. Delandine, à Paris, chez Re
Delandine, à Paris, chez Renouard, Schœl, Lenormand, et à Lyon, à la
Bibliothèque
publique et chez les principaux libraires, 1812.
, M.DCCCXXX, in-4º. (Voyez col. 196, nº 673.) 441. Manuscrits de la
Bibliothèque
de Lyon… par M. Delandine. Paris et Lyon, 1812. 3
rt. Paris, Etienne Cabin, 1825. 2 vol. in-8º. 443. Manuscrits de la
Bibliothèque
de Lyon, par M. Delandine. Paris et Lyon, 1812. 3
p. 436.) 444. Catalogue descriptif et raisonné des manuscrits de la
Bibliothèque
de Carpentras, par C. G. A. Lambert, bibliothécai
ras, et par les soins de MM. les membres du Comité d’inspection de la
Bibliothèque
. Carpentras, imprimerie de E. Rolland, successeur