continuels sacrifices à Aphrodite et lui rendait grâces de la rendre
belle
. Mais Aphrodite apparut en songe à l’esclave et l
t en songe à l’esclave et lui dit : « Ne me sache pas gré de te faire
belle
, car je suis fâchée et en colère contre cet homme
lle, car je suis fâchée et en colère contre cet homme à qui tu parais
belle
. » Il ne faut pas se laisser aveugler par l’orgue
qui les attraits Servent aux graces de modele, Et qui naquistes toute
belle
, A vostre indifference prés, Pourriez-vous estre
ance Valoit la nostre en ce temps-là, Ayant courage, intelligence, Et
belle
hure outre cela. Voicy comment il en alla. Un Lio
it pas seur. Mesme un refus eust fait possible, Qu’on eust vû quelque
beau
matin Un mariage clandestin. Car outre qu’en tout
ue beau matin Un mariage clandestin. Car outre qu’en toute maniere La
belle
estoit pour les gens fiers ; Fille se coëffe volo
nt les œufs ne lui rapportoient rien, S’estant luy-mesme osté le plus
beau
de son bien. Belle leçon pour les gens chiches :
rapportoient rien, S’estant luy-mesme osté le plus beau de son bien.
Belle
leçon pour les gens chiches : Pendant ces dernier
ki sur le fust s’asist un jur, u li russinol ot sun ni e ses oiselez
bel
nurri. A sei le* prist a rapeler, si li cumanda a
us pleseit a remüer e sur u autre fust voler, jeo chantereie mut plus
bel
; ceo seivent tuit cist autre oisel. » Autresi ve
Un homme cherissoit éperdument sa Chate ; Il la trouvoit mignonne, et
belle
, et delicate ; Qui miauloit d’un ton fort doux. I
et par charmes, Fait tant qu’il obtient du destin, Que sa Chate en un
beau
matin Devient femme, et le matin mesme Maistre so
d’amour extrême, De fou qu’il estoit d’amitié. Jamais la Dame la plus
belle
Ne charma tant son Favory, Que fait cette épouse
egio Suo, che Baccho figliuol del sommo Giove Non si sdegna coprir le
belle
membra D’altra mai per lo più, che di tal pelle,
con la faccia bruna, E sempre forma variar conviene. Più bello è il
bel
del cor, che il bel del volto.
E sempre forma variar conviene. Più bello è il bel del cor, che il
bel
del volto.
jour, Monsieur du Corbeau. Que vous estes joly ! que vous me semblez
beau
! Sans mentir, si vostre ramage Se rapporte à vos
s. A ces mots le Corbeau ne se sent pas de joye : Et pour monstrer sa
belle
voix, Il ouvre un large bec, laisse tomber sa pro
z en la beauté dunt ele l’aveit si aürné ; de pennes l’aveit fet plus
bel
que ne veeit nul autre oisel. Le poün dit qu’il s
’il se cremeit que de tuz oiseus plus viel esteit pur ceo que ne sot
bel
chanter. Ele respunt : « les mei ester ! Bien te
n’y toucheray de ma vie. Le Hibou repartit : Mes petits sont mignons,
Beaux
, bien faits, et jolis sur tous leurs compagnons.
ostre moyen. Il avint qu’au Hibou Dieu donna geniture, De façon qu’un
beau
soir qu’il estoit en pasture, Nostre Aigle apperc
e toy, Ou plutost la commune loy, Qui veut qu’on trouve son semblable
Beau
, bien fait, et sur tous aimable. Tu fis de tes en
a tut envirun : plus vil se tient nul oisel pu ceo qu’il ne se vit si
bel
. Tutes ses plumes esraça, quë une sule n’i leissa
uë une sule n’i leissa ; des pennes al poün s’aürne, trestut sun cors
bel
[en] aturne ; puis s’asembla od les poüns. Ne sem
ue la tienne, est preste à s’envoler. Le mary fait seul le voyage. La
Belle
avoit un pere homme prudent et sage : Il laissa l
ports ; Mais aprés certain temps souffrez qu’on vous propose Un époux
beau
, bien fait, jeune, et tout autre chose Que le déf
plus ce défunt tant chery. Mais comme il ne parloit de rien à nostre
Belle
, Où donc est le jeune mary Que vous m’avez promis
t les presens Que le Ciel luy fait tous les ans. Nous faisons cas du
beau
, nous méprisons l’utile ; Et le beau souvent nous
us les ans. Nous faisons cas du beau, nous méprisons l’utile ; Et le
beau
souvent nous détruit. Ce Cerf blâme ses pieds qui
le. Rien qui vaille ? Et bien soit, repartit le Pêcheur ; Poisson mon
bel
amy, qui faites le Prêcheur, Vous irez dans la po
amy, qui faites le Prêcheur, Vous irez dans la poësle ; et vous avez
beau
dire, Dés ce soir on vous fera frire. Un tien va
celebroit sa feste. Le gibier du Lion ce ne sont pas moineaux ; Mais
beaux
et bons Sangliers, Daims et Cerfs bons et beaux.
t pas moineaux ; Mais beaux et bons Sangliers, Daims et Cerfs bons et
beaux
. Pour réüssir dans cette affaire, Il se servit du
urs
La mort à son secours.
O mort, luy disoit-il, que tu me sembles
belle
!
Vien viste, vien finir ma fortune cruelle.
La
ux fait de suivre mon original, et que je laissois passer un des plus
beaux
traits qui fust dans Esope. Cela m’obligea d’y av
e : mais à cause du mot de Mecenas que j’y fais entrer, et qui est si
beau
et si à propos que je n’ay pas cru le devoir omet
s’aimoit sans avoir de rivaux,
Passoit dans son esprit pour le plus
beau
du monde.
Il accusoit toûjours les miroirs d’est
tout ce qu’il peut pour éviter cette eau.
Mais quoy, le canal est si
beau
,
Qu’il ne le quitte qu’avec peine.
On voit bien
, et se douta du tour.
Je vous rends, leur dit-il, mille graces, les
Belles
,
Qui m’avez si bien tondu ;
J’ai plus gagné que
la mienne.
Il n’est teste chauve qui tienne ;
Je vous suis obligé,
Belles
, de la leçon.
’entour du troupeau ; Marque entre cent Moutons le plus gras, le plus
beau
, Un vray Mouton de sacrifice. On l’avoit reservé
l ne put faire retraite ; Le Berger vient, le prend, l’encage bien et
beau
; Le donne à ses enfans pour servir d’amusette. I
chant la pâture que j’avais en main, j’ai préféré l’espoir d’une plus
belle
proie. » Ainsi parfois les hommes, au lieu de se
mmes, au lieu de se contenter de profils modérés, poursuivent de plus
belles
espérances, et lâchent imprudemment ce qu’ils ont
qu’on le faisoit lever devant l’Aurore. Les Coqs, luy disoit-il, ont
beau
chanter matin ; Je suis plus matineux encore. Et
plus matineux encore. Et pourquoy ? Pour porter des herbes au marché.
Belle
necessité d’interrompre mon somme ! Le sort de sa
brutta, Ch’ei tenea nel nuotar sempre a l’indietro : Dicendo, che più
bel
parea quel corso, Che move ogni animal col capo i
ta Mover in prima, e poi con le parole Gli altri chiamar di quella al
bel
camino : Ch’a quel si ridurrian più facilmente, P
oinct mesme qu’elle se voudra donner à luy, pour l’attente d’une plus
belle
acquisition. Le Marchand en fera de mesme touchan
miserable ! vous pouvez-vous asseurer de la conquerir ? Si vous estes
beau
, elle s’abandonnera possible au plus laid : Si vo
le aymera mieux les pistolles d’autruy que les vostres. Si vous estes
beau
, riche, et discret, elle aura pour vous une avers
vous estes ! Il ne faut qu’un embrasement pour reduire en cendre vos
belles
maisons. Le débordement d’un Ruisseau vous peut o
pris et de blâme. D’ailleurs, combien pensez-vous qu’on ait ignoré de
belles
choses, qui seront à jamais incognuës à la memoir
gnus parmy nous, non pas mesme tous les grands Royaumes. Il y en a de
beaux
et de bien policez, que le Soleil voit tous les j
mniateurs, les brigues et les parties qui se font, pour estouffer les
belles
actions, l’envie des Concurrents, les corruptions
ternie au moindre suject que nous en donnons. Il est d’elle comme des
belles
glaces, et des cristaux, que la moindre vapeur ob
etite chose qui dure ; mais apres la mort ce n’est du tout rien. On a
beau
se picquer de rendre immortel son nom en depit de
faisoient bonne garde.
Ce Loup rencontre un Dogue aussi puissant que
beau
;
Gras, poli, qui s’estoit fourvoyé par mégarde.
mpliment
Sur son embonpoint qu’il admire :
Il ne tiendra qu’à vous,
beau
Sire,
D’estre aussi gras que moy, luy repartit l
profit, affin qu’ils se levent pour s’en aller travailler ». « Tu as
beau
dire », reprit le Chat, « cela n’empesche pas que
un pretexte apparent, quand on a conclud la mort de l’Innocent. Il a
beau
dire des raisons valables ; Il a beau s’excuser s
lud la mort de l’Innocent. Il a beau dire des raisons valables ; Il a
beau
s’excuser sur son innocence, et alleguer tout ce
élivrés de ta présence. De moi, au contraire, le nom même leur semble
beau
, le plus beau, par Zeus, de tous les noms. Aussi,
présence. De moi, au contraire, le nom même leur semble beau, le plus
beau
, par Zeus, de tous les noms. Aussi, quand j’ai di
estonné de voir veritablement qu’elle n’avoit point de sens : « O la
belle
teste ! » se mit-il à dire : « il y a sans doute
qu’à cause qu’elle le croit bon. Tellement que c’est avoir l’ame plus
belle
, que de cognoistre plus au vray les choses, et d’
es choses. D’où il est aisé de conclure, que celuy-là aura l’ame plus
belle
qui aura plus d’esprit et plus de Vertu. Mais qua
nard de ceste Fable, qui se mocque agreablement, quand il dit; « ô la
belle
teste, si elle avoit un cerveau ! » comme voulant
rt touchées, quelles se débattoient des-jà, à qui auroit pour mary ce
beau
serviteur. Cependant la femme de Xanthus ayant co
ous amené ce Monstre ? Ostez-le, je vous prie de devant moy ». « Tout
beau
, ma femme », respondit Xanthus, « ne vous fâchez
honte me dire, que je sorte de vostre maison, vous m’avez amené ceste
belle
teste de chien, affin que je m’enfuye bien loing,
gardez-vous bien de vous faire servir par des valets, qui soient plus
beaux
et plus gentils qu’il ne faut, de peur de mettre
, elle se tourna vers son Mary, pour luy demander où il avoit pris ce
beau
gibier ? « vrayment », luy dit-elle, « quelque co
oq et la Perle. Un jour un Coq détourna
Une Perle qu’il donna
Au
beau
premier Lapidaire.
Je la crois fine, dit-il,
Ma
ous campez-vous jamais sur la teste d’un Roy, D’un Empereur, ou d’une
Belle
? Je le fais ; et je baise un beau sein quand je
d’un Roy, D’un Empereur, ou d’une Belle ? Je le fais ; et je baise un
beau
sein quand je veux : Je me jouë entre des cheveux
leur pondaient beaucoup d’œufs. « Eh bien ! s’écria la belette, tu as
beau
être en fonds de belles justifications, moi je ne
p d’œufs. « Eh bien ! s’écria la belette, tu as beau être en fonds de
belles
justifications, moi je ne resterai pas à jeun pou
ature, déterminée à mal faire, quand elle ne peut pas se couvrir d’un
beau
masque, fait le mal à visage découvert. Chamb
it ; « Dequoy me peut servir », dit-il, « d’avoir trouvé une chose si
belle
et si nette ? Certes, si cette bonne fortune fust
e difference les unes avec les autres, n’estant pas toutes esgalement
belles
et necessaires, mais chacune selon sa proportion,
le, de les representer par la pierre precieuse, qui semble estre plus
belle
à nos sens que toute autre chose, et plus rare au
plus grand que nature. Le Renard en loüant l’effort de la Sculpture,
Belle
teste, dit-il, mais de cervelle point. Combien de
quelque laid que soit son visage, son esprit est pourtant extrémement
beau
. Si l’un le peut rendre ridicule et desagreable a
e, non pas pour le plaisir qu’elles peuvent donner ; mais à cause des
belles
leçons qu’elles font aux hommes. Aussi est-il vra
à vostre service, et pareillement pource qu’elles tireront leur plus
beau
lustre de celuy de vostre Nom. Car je suis bien a
oda ; Puis parmy d’autres Paons tout fier se panada, Croyant estre un
beau
personnage. Quelqu’un le reconnut ; il se vit baf
LA Volpe un’alta siepe havea salito, Che intorno circondava un
bel
giardino, E venendole a caso il piè fallito
grosse que le Bœuf. Une Grenoüille vid un Bœuf, Qui luy sembla de
belle
taille. Elle qui n’estoit pas grosse en tout comm
e glace. Ainsi passa ses vieux jours le grand Tamberlan, oublieux des
belles
actions qu’il avoit faites, et tellement perdu ap
brutal spectacle, au defaut d’y prendre part, comme les autres. O la
belle
et honnorable fin d’un si grand homme ! O mort bi
nes.
La loüange chatoüille, et gagne les esprits.
Les faveurs d’une
belle
en sont souvent le prix.
Voyons comme les Dieux
de sa loüange.
Il vient, l’on festine, l’on mange.
Chacun estant en
belle
humeur,
Un domestique accourt, l’avertit qu’à la
er. » Cette fable montre qu’il vaut mieux prolonger sa vie que d’être
beau
.
re portant l’argent de la Gabelle.
Celuy-cy glorieux d’une charge si
belle
,
N’eût voulu pour beaucoup en estre soulagé.
Il
ement. Croyez-vous que vos dents impriment leurs outrages Sur tant de
beaux
ouvrages ? Ils sont pour vous d’airain, d’acier,
FABLE CXI. De Venus, et d’une Chatte. Un
beau
jeune homme aimoit si fort une Chatte, qu’il pria
ux Buissons, les Europeans aux Affriquains, les jeunes aux vieux, les
beaux
aux laids, les stupides aux galants, bref les plu
hanger de nature. Les laides s’embellissent en leur imagination : les
belles
s’y rendent divines : un don de Nature qui n’esto
l’appélleront un abregé de merveilles, mettant en avant, que plus une
belle
œuvre est raccoursie, plus elle est admirable de
e de soy. Si elle est démesurément grande, ils allegueront, que d’une
belle
chose on n’en sçauroit trop avoir, et que la Natu
er pour cornes, Dit l’animal craintif, et cornes de Licornes. J’auray
beau
protester ; mon dire et mes raisons Iront aux pet
ellement au Roy de Perse, decedé depuis six mois, au fort de ses plus
belles
actions. Que s’il arrive à tels Conquerants de ve
oyons-nous pas déchoir et ramollir dans les delices, ternissant leurs
belles
actions par de trop vicieuses voluptez ; comme il
agile, et indigne de nostre desir ? Si l’on ne travaille que pour une
belle
œuvre, quel moyen a-t’on de la perpetuer ? le tem
rme de Gouvernement, les Peuples jetterent d’abord leurs yeux sur les
belles
personnes, pource qu’elles frappent ordinairement
ent avecque les graces corporelles, mais qu’on voyoit d’ordinaire les
belles
personnes foibles et stupides ; et au contraire q
. Il escheut donc aux plus forts d’oster la possession des choses aux
beaux
hommes, et de se faire Roys eux-mesmes, par une m
u plus à quelque rustique ?
Le desert est-il fait pour des talens si
beaux
?
Venez faire aux citez éclater leurs merveilles
r di quella, ch’egli havia : Et disse. Poi ch’est’altro è un più
bel
pezzo Certo, et maggiore che non è la mia,
tter, à l’étriller. Le cheval lui dit : « Si tu veux vraiment me voir
beau
, ne vends plus l’orge destinée à ma nourriture. »
e amarante qui avait poussé à côté d’une rose lui dit : « Comme tu es
belle
! tu fais les délices des dieux et des hommes. Je
onnes dans le monde qui souhaittent plus ardemment la possession d’un
beau
corps, que celle d’un bel esprit, si est-ce qu’il
veau serviteur, il arriva qu’un certain Laboureur luy fist present de
belles
et grosses figues. Elles luy furent tres-agreable
contre luy. Car ce qu’il est entré dans la maison, nous servira d’un
beau
pretexte, pour inventer plusieurs fourbes à son d
une estrange sorte, et se vantoit fort, en luy faisant monstre de ses
belles
plumes. Mais la Gruë ne pouvant souffrir ses vani
ion, et la modestie. Il ne faut donc pas que le Paon se targue de son
beau
plumage auprés de la Gruë, s’il ne veut qu’elle l
a M. Gio. Mario Verdizotti : nelle quali oltra l’ornamento di varie e
belle
figure, si contengono molti precetti pertinenti a
ti : et di nuovo ristampate, nelle quali oltra l’ornamento di varie e
belle
figure, si contengono molti precetti pertinenti a
a M. Gio. Mario Verdizotti. Nelle quali, oltra l’ornamento di varie e
belle
figure, si contengono molti precetti pertinenti a
a M. Gio. Mario Verdizotti. Nelle quali, oltra l’ornamento di varie e
belle
figure, si contengono molti precetti pertinenti a
M. Gio. Mario Verdizotti : Nelle quali, oltra l’ornamento di varie e
belle
figure, si contengono molti precetti pertinenti a
M. Gio. Mario Verdizotti : Nelle quali, oltra l’ornamento di varie e
belle
figure, si contengono molti precetti pertinenti a
M. Gio. Mario Verdizotti. Nelle quali, oltra l’ornamento di varie, e
belle
figure, si contengono molti precetti pertinenti a
a M. Gio: Mario Verdizotti: Nelle quali oltre l’ornamento di varie, e
belle
figure, si contengono molti precetti pertinenti a
dage pour te mettre au travail de la terre ! » Ainsi les méchants ont
beau
faire profession de vertu : leur caractère empêch
is que de servir de pâture à des vautours et à des corbeaux. » Il est
beau
de mettre fin aux méchantes querelles et aux riva
maison, chacun d’eux s’imaginant que la Fortune luy eust envoyé cette
belle
rencontre. Mais comme ils estoient en ce differen
mal di violente morte Col suo sermone, ond’ei gli animi sforza. Un
bel
parlar a tempo è gran guadagno.
eval qui hennissait admirablement, et il voulut l’imiter. Mais il eut
beau
répéter ses essais : il ne réussit pas à prendre
r imagina la ruse que voici. Il se plaça en face d’elle, il admira sa
belle
voix et il l’invita à descendre : il désirait, di
isel gentilz, el mund[e] nen ad tel oisel ! Unc de mes oilz ne vis si
bel
! Fust teus ses chanz cum est ses cors, il vaudre
b 50 Pc 21 Pe 24 Pg 28 Ma 35 Mb 22. Une chatte, s’étant éprise d’un
beau
jeune homme, pria Aphrodite de la métamorphoser e
son premier état. Pareillement les hommes naturellement méchants ont
beau
changer d’état, ils ne changent point de caractèr
ent ; Mais s’il n’y a quelque chose en eux plus considerable que leur
belle
monstre, et si le sçavoir ne respond à l’apparenc
illes d’Asne paroissent visiblement. Les Fanfarons tout de mesme, ont
beau
porter leurs longues espées, faire les Rodomonts
x comparussent devant luy, pour juger lequel d’entr’eux avoit de plus
beaux
Enfans. Toutes les Bestes y accoururent donc ; le
utres femmes, et des hommes mesmes, qui trouvent seulement loüable et
beau
ce qui est en leur possession ; Le reste, ils le
mit dans son ancien état. Cette fable montre que les gens de rien ont
beau
prendre des dehors plus brillants, ils ne changen
auparavant il se mit à joüer de la fluste, s’imaginant que par ceste
belle
Musique il en prendoit bien plus de poisson. Mais
ies : Passa dedans ainsi qu’en un cerceau. Aux animaux cela sembla si
beau
, Qu’il fut élû : chacun luy fit hommage. Le Renar
a l’esté. Cele ot de li mut grant pité, si li ad issi otrié. Quant le
bel
tens vit revenir, dunc les ruve fors eissir. L’au
Le Renard sort du puits, laisse son compagnon,
Et vous luy fait un
beau
sermon
Pour l’exhorter à patience.
Si le Ciel t
] DEL CERVO. IL Cervo si specchiava intorno al fonte, E del
bel
don de le ramose corna Si gloriava di sua al
. Quinci avien poi, che seco andando a caccia Mi rendo pronto a mille
belle
imprese : E mi pasco di starne, e di fagiani, E d
Lettres ; Tesmoin le Philosophe Dion, qui apres avoir passé les plus
beaux
jours de sa vie en l’Escolle Academique, n’entrep
la Sicile le tirast derechef de son repos, pour le conduire aux plus
belles
actions, qu’homme de sa nation eût jamais executé
danza D’andargli presso, havendo io gran desire Di meglio figurar suo
bel
sembiante. Ma l’altro, che di quello è via minore
spesso un, che par rio nel fronte, copre Ogni bontà del cor sotto al
bel
manto. Non giudicar dal volto il buono, o ’l ri
rrir en hyver, au lieu que l’imprudente Cigale consomme vainement ses
beaux
jours à chanter, et se trouve reduite à la fin à
upportable, qu’elle y est moins accoûtumée. Ceste Allegorie sert d’un
bel
exemple à l’homme faineant et voluptueux ; Car d’
odité avec une merveilleuse resolution, et ne perdit pour cela, ny sa
belle
humeur, ny la raillerie à l’heure de sa mort, quo
de s’y désaltérer. Mais, comme l’eau coulait en grondant, ils avaient
beau
s’exciter les uns les autres, ils n’osaient s’y a
son pelage. Le renard prenant la parole dit : « Combien je suis plus
beau
que toi, moi qui suis varié, non de corps, mais d
les murs lui renvoyaient les sons, il s’imagina qu’il avait une très
belle
voix, et il s’en fit si bien accroire là-dessus q
n venir donc à bout, il trouva moyen, premierement de les separer par
belles
paroles, puis d’attaquer chacun d’eux à part ; si
la chose, il manda le Rheteur. J’ay, dit-il, dans mon écurie Un fort
beau
Roussin d’Arcadie : J’en voudrois faire un Orateu
hien esgardé e puis si l’ad areisuné : « Frere », fet il, « mut estes
beaux
e mut est luisant vostre* peaus. » Li chiens resp
« quei ai jeo veü ! » Dunc li ad la femme respundu : « Quei avez vus,
beau
sire amis ? » — « Un autre humme, ceo m’est avis,
gupilz, si l’apela par muz beaus diz. « Sire », fet il, « mut te vei
bel
, unc[es] ne vi si gent oisel ; clere voiz as sur
[99.] DEL CONTADINO, E GIOVE. UN
bel
podere un Contadin da Giove Tolse in governo con
pprivoiserent si bien, que ce fust à qui sauteroit la premiere sur ce
beau
Roy, jusques à se mocquer ouvertement de luy, dis
s coassements, murmurent je ne sçay quoy d’effroyable. Mais elles ont
beau
se plaindre ; Jupiter est sourd à leurs cris, et
appartenoit. Mais le Lion, qui ne prenoit pas plaisir à cela ; « Tout
beau
», leur dit-il en rugissant, « la premiere de ces
on temps : Plus il se tourmentoit, plus l’autre tenoit ferme : Il eut
beau
faire agir le colet et les plis. Si tost qu’il fu
le dist que lur sepande lur mesfist : l’egle [a]veit [fet] curteis e
bel
, il n’esteient ver* ne oisel ; saül ne poeient vo
tue vili et impure Si faccian pasto : anzi di più gli scaccia Dal suo
bel
Tempio come empi e profani. La Scrofa udit
ronce disputaient ensemble. Le sapin se vantait et disait : « Je suis
beau
, élancé et haut, et je sers à construire des toit
les lions. » Alors les chiens se dirent entre eux : « Nous avons une
belle
vie, quoique pauvre, nous qui ne combattons ni le
son usage. Cette fable montre que les gens naturellement méchants ont
beau
être punis très sévèrement, ils ne changent pas p
isait-il, je suis vêtu d’or et de pourpre ; toi, tu ne portes rien de
beau
sur tes ailes. – Mais moi, répliqua la grue, je c
hose si honteuse ; « Paillard », dit-il à Esope, « d’où vient tout ce
beau
mesnage ? » « Seigneur », respondit Esope, « quan
en alloit ainsi par le monde, il arriva en Babilone, et y donna de si
belles
preuves de son sçavoir, qu’il se mit en faveur au
le vid ; Se douta du dépost, l’enleva sans rien dire. Nostre Avare un
beau
jour ne trouva que le nid. Voilà mon homme aux pl
fixa un jour pour comparaître tous devant lui : il choisirait le plus
beau
de tous pour régner sur eux. Les oiseaux se rendi
il se les ajusta et se les attacha. Il arriva ainsi qu’il fut le plus
beau
de tous. Or le jour fixé arriva et tous les oisea
ils s’en saisirent incontinent, et l’accuserent de sacrilege. Il eust
beau
se vouloir justiffier de leur calomnie, en niant
erte que j’ay faite de ma femme, qui n’estoit pas moins honneste, que
belle
”. “Un pareil accident m’est arrivé”, adjousta la
. Discours sur la vingt-huictiesme Fable. C’est bien à faire aux
belles
ames de pardonner une injure, mais c’est aussi ma
e temps que nous userons de Clemence, et de joindre une sottise à une
belle
action. Que si quelqu’un me vient objecter, que c
ieux et le Poltron. Ainsi loüons-nous dans les compagnies un homme de
belle
humeur, ou, si vous voulez, qui est Facecieux et
comment on s’est mis à tirer vanité du crime, et à faire passer pour
belles
et loüables des actions sanguinaires et forcenées
dd. Ba 112 Bb 68 La 140 Lc 45 Lg 45 Mi 7 Mm 109. Un homme avait une
belle
poule qui pondait des œufs d’or. Croyant qu’elle
jures. La truie jurait par Aphrodite qu’elle déchirerait la chienne à
belles
dents. La chienne lui répondit ironiquement : « C
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