a seignur : si haut vola que nel vi pas, e quant il volt, si revient
bas
; mes sa voiz est [e] basse e quoie n’est pas plu
que nel vi pas, e quant il volt, si revient bas ; mes sa voiz est [e]
basse
e quoie n’est pas plus haut[e] que la moie ; autr
un grant chaut sur la branche d’un cheine en haut. Li ostur sist plus
bas
de lui, garda aval, si ot ennui des colums que de
mulez li respundi tant : « De ta fille n’ai dunc talant ; ne dei plus
bas
femme choisir que a mei ne deie apurtenir ; femme
. Teus se quide mut eshaucer utre sun dreit e relever, que plus estut
bas
returner. Mespreiser ne deit nul sun dreit, si ce
n frere, Avecque Tien-et-mien son pere. Elle nous fit l’honneur en ce
bas
Univers De préferer notre Hemisphere A celuy des
te spinte Andaro insieme lungamente errando Per le campagne, e per le
basse
valli Per veder se potean trovar ventura D’alcun
mme un Renard qu’une Poule auroit pris,
Serrant la queue, et portant
bas
l’oreille.
Trompeurs, c’est pour vous que j’écri
perçu nulle trace ;
Nulle, reprit l’un d’eux ; mais cherchez-la plus
bas
;
Suivez le fil de la riviere.
Un autre reparti
Marie de France, n° 8 La chienne qui était sur le point de mettre
bas
De une lisee voil ore cunter que preste esteit
humain secours. C’estoit à la campagne Prés d’un certain canton de la
basse
Bretagne Appellé Quimpercorentin. On sçait assez
cinq dans ce plat », repartit Esope, « et le Porc qu’on engraisse là
bas
, n’en a que trois ». Xanthus bien fâché qu’Esope
affaire. « Il ne faut plus », disoient-ils, « que nous descendions là
bas
, si nous ne voulons faire estat d’estre tous perd
estoit en gesine.
Ma bonne amie et ma voisine,
Luy dit-elle tout
bas
, je vous donne un avis.
L’Aigle, si vous sortez,
ine enfumée.
Enfin n’en pouvant plus d’effort et de douleur,
Il met
bas
son fagot, il songe à son malheur.
Quel plaisir
e du Dieu fit tomber une crote : Le Dieu la secoüant jetta les œufs à
bas
. Quand l’Aigle sçut l’inadvertance, Elle menaça J
à croire que la Mere de Massinissa l’eust caressé et dorlotté en son
bas
âge : Car si elle l’eust fait, asseurément il ne
ne partie de ses beaux faits à la vigueur qu’il s’est acquise dés son
bas
âge, parmy les exercices de la chasse ? A t’on ja
t. Mais à l’esgard de ce qu’elle vivifie et regit les creatures d’icy
bas
, subjettes à une continuelle révolution, ils luy
, où des Idées sans nombre sont joinctes à la Nature ; et celle de ce
bas
monde, qui est tres-estroicte, bien que composée
lque faveur extraordinaire. Voila comme quoy les personnes, qui d’une
basse
condition parviennent à une haute fortune, sont f
ourveus de l’amour de la vengeance, qui est plus ordinaire à ces ames
basses
, qu’aux genereuses. Il faut donc que pour se cont
intelligence de tous ceux qui en portent le nom, tant en la haute et
basse
Allemagne, qu’en Espagne mesme. Nous avons veu au
mere m’ait jamais declaré, si le lieu où elle me fist estoit haut, ou
bas
». « Que sçais tu faire ? » continüa Xanthus. « R
d’autant qu’un châcun avoit honte de se declarer, pour raison d’un si
bas
prix, Esope qui estoit au milieu, « C’est moy »,
ource d’une fontaine, veid un Aigneau qui beuvoit aussi beaucoup plus
bas
. Il accourut à l’instant, et se mit à le tancer d
azyle ce miserable Estranger, qu’elle ouyst des gemissements dans la
basse
court, et vid un peu apres entrer le corps mort d
inaire est de les mespriser bien fort, et se tenir au dessus de ceste
basse
occupation. Cela se verifie en la personne d’Aris
trances, « Tay-toy », luy dit-il, « et t’en va faire le conseiller là
bas
aux enfers ». « Ce sera donc toy qu’on y traisner
est l’homme sans soucy », respondit Esope. Alors Xanthus parlant tout
bas
à sa femme, « fay luy », dit-il, « ce que je te c
tres Esprits que la bonne opinion d’eux-mesmes met quelquesfois aussi
bas
, qu’ils se croyent bien hautement eslevez. L’adva
la d’estre entaché du vice des Artisants, c’est à dire, d’avoir l’ame
basse
et interessée. Car en la possession des biens tem
en festin, et de n’avoir rien à faire ; au lieu que l’autre estoit de
basse
naissance, ne faisoit que ramper à terre, ne se n
soient voler où bon leur sembloit ; c’est à dire aussi haut, ou aussi
bas
qu’ils vouloient. L’Hyver estant donc passé ; env
dre caprice d’un Grand, de qui vous releverez, pour vous mettre aussi
bas
qu’auparavant. Vous pouvez faillir en vostre cond
e pure et incorruptible par les mains de Dieu, et puis d’espouser icy
bas
la chetive passion d’un vil metail, l’appetit d’u
pièce de vers, qui en est le prologue, il lui avoue qu’il s’est tout
bas
reproché sa détermination, et qu’il ne peut davan
dernière page qui autrement serait restée blanche. Enfin, un peu plus
bas
, a été tracé ce singulier vers, qui semble être,
on. 53. La Cigogne, l’Oie et l’Épervier. 54. La Chienne qui met
bas
. i, 19. 55. La Corneille et la Brebis. App. 26
ol. 60 a à 60 b. — Grammatica quædam de octo vitiis. Fol. 60 b. — Le
bas
de la page porte, à l’encre rouge, en lettres cap
i, 6. I, 9. Le Loup et la Grue. i, 8. I, 10. La Chienne qui met
bas
. i, 19. I, 11. L’Âne et le Sanglier. i, 29.
i, 6. I, 8. Le Loup et la Grue. i, 8. I, 9. La Chienne qui met
bas
. i, 19. I, 10. Le Serpent mourant de froid. i
autre menteur. 41. L’Homme et le Lion. 42. La Chienne qui met
bas
. i, 19. 43. La Corneille et la Brebis. App. 26
i, 6. I, 8. Le Loup et la Grue. i, 8. I, 9. La Chienne qui met
bas
. i, 19. I, 10. Le Serpent mourant de froid. i
s et l’histoire de Sigismonde, fille du prince Tancrède, etc. » Plus
bas
se trouve cette dernière indication qui détermine
ope divisée en 28 épisodes, ornée de 28 gravures et terminée, vers le
bas
du fol. 25 b, col. 1, par ces mots : Hier eyndet
e représentant Ésope assis qui écrit et deux autres personnages. Plus
bas
se trouve la dédicace de Romulus à son fils précé
aquelle se lit cette devise de Plantin : Labore et Constantia. Plus
bas
: En la oficina Plantiniana | 1607. Page 3. Pr
le Lion. I, 6. 7. Le Loup et la Grue. I, 8. 8. La Chienne qui met
bas
. I, 9. 9. Le Serpent mourant de froid. I, 10.
e marie. I, 7. 8. Le Loup et la Grue. I, 8. 9. La Chienne qui met
bas
. I, 9. 10. Le Serpent mourant de froid. I, 10.
nt j’ai seulement à m’occuper, commencent au recto du fol. 28 vers le
bas
de la page. Elles sont au nombre de 61, réparties
plus souvent ajoutées aux soixante premières. Elle se termine vers le
bas
du fol. 45 recto, et, comme dans les manuscrits 8
Explicit liber Esopi , et au-dessous : Deo gratias. Amen , et plus
bas
: Finito libro refferamus gratias Christo. Enf
6. 6. 6. 8. Le Loup et la Grue. 8. 7. 7. 7. 9. La Chienne qui met
bas
. 9. 8. 8. 8. 10. Le Serpent mourant de froid. 1
ino in romanum. La première syllabe du mot fecit a été grattée. Plus
bas
une main moins ancienne a écrit : Fecit transfer
idemque reuoluens, Dentes huic misero fregit in ore viro. Plus
bas
, la même fable, tout en conservant le distique or
vraiment ce qu’on doit le plus admirer du dessin ou de la couleur. Le
bas
de la même page est occupé par les armes du duc,
du feuillet 141 b. Il a dû appartenir à un noble personnage ; car le
bas
de la page est rempli par un écu colorié portant
, quando liber explicit iste, et par cette phrase écrite un peu plus
bas
: Explicit liber fabularum qui dicitur Esopus.
se lit encore : Finito libro sit laus et gloria Christo. Enfin plus
bas
la date à laquelle la copie a été exécutée, est é
e souscription : Explicit liber Prosperi deo gracias, amen , et plus
bas
cette autre : Manus scriptoris salvetur omnibus
e par cette souscription : Bononie G. Monet. Scripsit 1476 , et plus
bas
on lit : Finis. Au-dessous du mot Finis une au
rvues de titres particuliers à l’encre rouge, et se terminent vers le
bas
du feuillet 16 b par ces mots usuels : Explicit
vision en deux de celle des Grenouilles qui demandent un roi. Vers le
bas
du verso de l’avant-dernier feuillet on lit la so
dernier à droite, ces trois mots : Virtus securitatem parit. Plus
bas
: Parmae || apvd Seth de Viottis || m.d.xlvii.
ère est suivie de cette souscription : Fabularum Aesopi finis. Plus
bas
, on lit : Finis. || Apud inclytam Grana||tam. Me
ésenter un magistrat siégeant avec quatre assesseurs, tandis que plus
bas
un greffier se tient assis devant un bureau. Le t
is [et] Sodomorum : Vox oppressorum mercesque retenta laborum. Plus
bas
on lit cette souscription : Huic lepidissimo fab
venditur ere liber. Au-dessous de ces vers est le mot Finis, et plus
bas
vient cet avis final : Impressum Genue per Anton
ant un bureau, assisté d’un scribe qui se tient devant une table plus
bas
placée, et entouré de quatre auditeurs assis. Le
s de miniatures qui, comme celles du manuscrit Gadd. 176, occupent le
bas
des pages. F. — Bibliothèque Trivulzienne.
e accompagnée de cette légende : Il piu bel fior || ne coglie. Plus
bas
on lit : In Firenze MDCCLXXVIII. || Nella stamp.
une banderole se lisent ces mots : Il piu bel fior ne coglie. Plus
bas
le frontispice se complète ainsi : Firenze || ne
emier feuillet consacré au frontispice, le titre n’en occupant que le
bas
, est rempli par une gravure qui, comme celle de l
re et le Lion. 6. 7. Le Loup et la Grue. 8. 8. La Chienne qui met
bas
. 9. 9. Le Serpent mourant de froid. 10. 10. L
IV, 9. 27. Le Renard et le Corbeau. I, 14. 28. La Chienne qui met
bas
. I, 9. 29. La Cigale et la Fourmi. IV, 19. 30
a complainte de celi qui ce livre rima. L’épilogue lui-même, vers le
bas
de la 1re col. du feuillet 184 a, se termine par
6. 7. I, 8. Le Loup et la Grue. 8. 7. 8. I, 9. La Chienne qui met
bas
. 9. 8. 9. I, 10. Le Serpent mourant de froid. 1
e. I, 7. I, 8. Le Loup et la Grue. I, 8. I, 9. La Chienne qui met
bas
. I. 9. I, 10. L’Homme et la Couleuvre. I, 10.
. I, 7. I, 9. Le Loup et la Grue. I, 8. I, 10. La Chienne qui met
bas
. I, 9. I, 11. Le Bat de ville et le Rat des cha
marie. I, 7. 9. Le Loup et la Grue. I, 8. 10. La Chienne qui met
bas
. I, 9. 11. Le Rat de ville et le Rat des champs
i se marie. 8. 7. Le Loup et la Grue. 9. 8. La Chienne qui met
bas
. 10. 9. Le Rat de ville et le Rat des champs.
uoit tabouré Au tabor, qui résonne quas, Por ce qu’il est fendus trop
bas
, S’en fu alés tout maintenant. Et quant li enfes
es du Dérivé partiel du Romulus anglo-latin, qui se terminent vers le
bas
de la deuxième colonne du verso du dernier feuill
marie. I, 7. 9. Le Loup et la Grue. I, 8. 10. La Chienne qui met
bas
. I, 9. 11. Le Rat de ville et le Rat des champs
u premier feuillet actuel est du xive siècle. Elle s’arrête avant le
bas
de la page, où, pour l’illustration de la premièr
le Lion. I, 6. 7. Le Loup et la Grue. I, 9. 8. La Chienne qui met
bas
. I, 10. 9. Le Rat de Ville et le Rat des Champs
. I, 8. I, 9. Le Loup et la Grue. I, 9. I, 10. La Chienne qui met
bas
. I, 10. I, 11. Le Rat de ville et le Rat des ch
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