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1 (1180) Fables « Marie de France, n° 74. L’escarbot » p. 650
a seignur : si haut vola que nel vi pas, e quant il volt, si revient bas  ; mes sa voiz est [e] basse e quoie n’est pas plu
que nel vi pas, e quant il volt, si revient bas ; mes sa voiz est [e] basse e quoie n’est pas plus haut[e] que la moie ; autr
2 (1180) Fables « Marie de France, n° 62. L’aigle, l’autour et les colombes » p. 672
un grant chaut sur la branche d’un cheine en haut. Li ostur sist plus bas de lui, garda aval, si ot ennui des colums que de
3 (1180) Fables « Marie de France, n° 73. Le mulot qui cherche à se marier » p. 73
mulez li respundi tant : « De ta fille n’ai dunc talant ; ne dei plus bas femme choisir que a mei ne deie apurtenir ; femme
. Teus se quide mut eshaucer utre sun dreit e relever, que plus estut bas returner. Mespreiser ne deit nul sun dreit, si ce
4 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XX. La Discorde. » p. 
n frere, Avecque Tien-et-mien son pere. Elle nous fit l’honneur en ce bas Univers De préferer notre Hemisphere A celuy des
5 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [69.]. DI DUE RANE C’HAVEAN SETE. » p. 43
te spinte Andaro insieme lungamente errando Per le campagne, e per le basse valli Per veder se potean trovar ventura D’alcun
6 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XVIII. Le Renard et la Cicogne. » p. 426
mme un Renard qu’une Poule auroit pris,
 Serrant la queue, et portant bas l’oreille.
 Trompeurs, c’est pour vous que j’écri
7 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XVI. La Femme noyée. » p. 682
perçu nulle trace ;
 Nulle, reprit l’un d’eux ; mais cherchez-la plus bas  ;
 Suivez le fil de la riviere.
 Un autre reparti
8 (1180) Fables « Marie de France, n° 8. La chienne qui était sur le point de mettre bas » p. 480
Marie de France, n° 8 La chienne qui était sur le point de mettre bas De une lisee voil ore cunter que preste esteit
9 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XVIII. Le Chartier embourbé. » p. 291
humain secours. C’estoit à la campagne Prés d’un certain canton de la basse Bretagne Appellé Quimpercorentin. On sçait assez
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Xanthus voulant tromper Esope, est trompé luy-mesme. Chapitre XI. »
cinq dans ce plat », repartit Esope, « et le Porc qu’on engraisse là bas , n’en a que trois ». Xanthus bien fâché qu’Esope
11 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVI. Du Chat, et des Rats. »
affaire. « Il ne faut plus », disoient-ils, « que nous descendions là bas , si nous ne voulons faire estat d’estre tous perd
12 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — VI. L’Aigle, la Laye, et la Chate. » p. 488
estoit en gesine.
   Ma bonne amie et ma voisine,
 Luy dit-elle tout bas , je vous donne un avis.
 L’Aigle, si vous sortez,
13 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XVI. La mort et le Buscheron. » p. 60
ine enfumée.
 Enfin n’en pouvant plus d’effort et de douleur,
 Il met bas son fagot, il songe à son malheur.
 Quel plaisir
14 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — VIII. L’Aigle et l’Escarbot. » p. 3
e du Dieu fit tomber une crote : Le Dieu la secoüant jetta les œufs à bas . Quand l’Aigle sçut l’inadvertance, Elle menaça J
15 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIX. De la femelle du Singe, et de ses deux Enfants. »
à croire que la Mere de Massinissa l’eust caressé et dorlotté en son bas âge : Car si elle l’eust fait, asseurément il ne
ne partie de ses beaux faits à la vigueur qu’il s’est acquise dés son bas âge, parmy les exercices de la chasse ? A t’on ja
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « AU LECTEUR. Sur le sujet des Fables. »
t. Mais à l’esgard de ce qu’elle vivifie et regit les creatures d’icy bas , subjettes à une continuelle révolution, ils luy
, où des Idées sans nombre sont joinctes à la Nature ; et celle de ce bas monde, qui est tres-estroicte, bien que composée
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVI. De la Tortuë, et de l’Aigle. »
lque faveur extraordinaire. Voila comme quoy les personnes, qui d’une basse condition parviennent à une haute fortune, sont f
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LVIII. Du Chevreau, et du Loup. »
ourveus de l’amour de la vengeance, qui est plus ordinaire à ces ames basses , qu’aux genereuses. Il faut donc que pour se cont
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIX. Du Loup, et des Chiens. »
intelligence de tous ceux qui en portent le nom, tant en la haute et basse Allemagne, qu’en Espagne mesme. Nous avons veu au
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope est derechef vendu. Chapitre VII. »
mere m’ait jamais declaré, si le lieu où elle me fist estoit haut, ou bas  ». « Que sçais tu faire ? » continüa Xanthus. « R
d’autant qu’un châcun avoit honte de se declarer, pour raison d’un si bas prix, Esope qui estoit au milieu, « C’est moy »,
21 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE II. Du Loup, et de l’Aigneau. »
ource d’une fontaine, veid un Aigneau qui beuvoit aussi beaucoup plus bas . Il accourut à l’instant, et se mit à le tancer d
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE L. Du Renard, et des Chasseurs. »
azyle ce miserable Estranger, qu’elle ouyst des gemissements dans la basse court, et vid un peu apres entrer le corps mort d
23 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIV. De l’Homme, et d’une Idole. »
inaire est de les mespriser bien fort, et se tenir au dessus de ceste basse occupation. Cela se verifie en la personne d’Aris
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Subtile response d’Esope, touchant les superfluitez que la Nature rejette. Chapitre XVIII. »
trances, « Tay-toy », luy dit-il, « et t’en va faire le conseiller là bas aux enfers ». « Ce sera donc toy qu’on y traisner
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ameine à son Maistre un homme niais, et sans soucy. Chapitre XVI. »
est l’homme sans soucy », respondit Esope. Alors Xanthus parlant tout bas à sa femme, « fay luy », dit-il, « ce que je te c
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXX. De l’Aigle, et du Corbeau. »
tres Esprits que la bonne opinion d’eux-mesmes met quelquesfois aussi bas , qu’ils se croyent bien hautement eslevez. L’adva
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXI. Du Dieu Mercure, et d’un Charpentier. »
la d’estre entaché du vice des Artisants, c’est à dire, d’avoir l’ame basse et interessée. Car en la possession des biens tem
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIII. De la Fourmy, et de la Mouche. »
en festin, et de n’avoir rien à faire ; au lieu que l’autre estoit de basse naissance, ne faisoit que ramper à terre, ne se n
29 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De quelle façon Esope nourrit, et dressa quatre Poussins d’Aigle. Chapitre XXVIII. »
soient voler où bon leur sembloit ; c’est à dire aussi haut, ou aussi bas qu’ils vouloient. L’Hyver estant donc passé ; env
30 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE C. Du Pescheur, et d’un petit Poisson. »
dre caprice d’un Grand, de qui vous releverez, pour vous mettre aussi bas qu’auparavant. Vous pouvez faillir en vostre cond
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
e pure et incorruptible par les mains de Dieu, et puis d’espouser icy bas la chetive passion d’un vil metail, l’appetit d’u
32 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
pièce de vers, qui en est le prologue, il lui avoue qu’il s’est tout bas reproché sa détermination, et qu’il ne peut davan
dernière page qui autrement serait restée blanche. Enfin, un peu plus bas , a été tracé ce singulier vers, qui semble être,
on. 53. La Cigogne, l’Oie et l’Épervier. 54. La Chienne qui met bas . i, 19. 55. La Corneille et la Brebis. App. 26
ol. 60 a à 60 b. — Grammatica quædam de octo vitiis. Fol. 60 b. — Le bas de la page porte, à l’encre rouge, en lettres cap
i, 6. I, 9. Le Loup et la Grue. i, 8. I, 10. La Chienne qui met bas . i, 19. I, 11. L’Âne et le Sanglier. i, 29.
i, 6. I, 8. Le Loup et la Grue. i, 8. I, 9. La Chienne qui met bas . i, 19. I, 10. Le Serpent mourant de froid. i
autre menteur. 41. L’Homme et le Lion. 42. La Chienne qui met bas . i, 19. 43. La Corneille et la Brebis. App. 26
i, 6. I, 8. Le Loup et la Grue. i, 8. I, 9. La Chienne qui met bas . i, 19. I, 10. Le Serpent mourant de froid. i
s et l’histoire de Sigismonde, fille du prince Tancrède, etc. » Plus bas se trouve cette dernière indication qui détermine
ope divisée en 28 épisodes, ornée de 28 gravures et terminée, vers le bas du fol. 25 b, col. 1, par ces mots : Hier eyndet
e représentant Ésope assis qui écrit et deux autres personnages. Plus bas se trouve la dédicace de Romulus à son fils précé
aquelle se lit cette devise de Plantin : Labore et Constantia. Plus bas  : En la oficina Plantiniana | 1607. Page 3. Pr
le Lion. I, 6. 7. Le Loup et la Grue. I, 8. 8. La Chienne qui met bas . I, 9. 9. Le Serpent mourant de froid. I, 10.
e marie. I, 7. 8. Le Loup et la Grue. I, 8. 9. La Chienne qui met bas . I, 9. 10. Le Serpent mourant de froid. I, 10.
nt j’ai seulement à m’occuper, commencent au recto du fol. 28 vers le bas de la page. Elles sont au nombre de 61, réparties
plus souvent ajoutées aux soixante premières. Elle se termine vers le bas du fol. 45 recto, et, comme dans les manuscrits 8
Explicit liber Esopi , et au-dessous : Deo gratias. Amen , et plus bas  : Finito libro refferamus gratias Christo. Enf
6. 6. 6. 8. Le Loup et la Grue. 8. 7. 7. 7. 9. La Chienne qui met bas . 9. 8. 8. 8. 10. Le Serpent mourant de froid. 1
ino in romanum. La première syllabe du mot fecit a été grattée. Plus bas une main moins ancienne a écrit : Fecit transfer
idemque reuoluens,       Dentes huic misero fregit in ore viro. Plus bas , la même fable, tout en conservant le distique or
vraiment ce qu’on doit le plus admirer du dessin ou de la couleur. Le bas de la même page est occupé par les armes du duc,
du feuillet 141 b. Il a dû appartenir à un noble personnage ; car le bas de la page est rempli par un écu colorié portant
, quando liber explicit iste, et par cette phrase écrite un peu plus bas  : Explicit liber fabularum qui dicitur Esopus.
se lit encore : Finito libro sit laus et gloria Christo. Enfin plus bas la date à laquelle la copie a été exécutée, est é
e souscription : Explicit liber Prosperi deo gracias, amen , et plus bas cette autre : Manus scriptoris salvetur omnibus
e par cette souscription : Bononie G. Monet. Scripsit 1476 , et plus bas on lit : Finis. Au-dessous du mot Finis une au
rvues de titres particuliers à l’encre rouge, et se terminent vers le bas du feuillet 16 b par ces mots usuels : Explicit
vision en deux de celle des Grenouilles qui demandent un roi. Vers le bas du verso de l’avant-dernier feuillet on lit la so
dernier à droite, ces trois mots : Virtus securitatem parit. Plus bas  : Parmae || apvd Seth de Viottis  || m.d.xlvii.
ère est suivie de cette souscription : Fabularum Aesopi finis. Plus bas , on lit : Finis. || Apud inclytam Grana||tam. Me
ésenter un magistrat siégeant avec quatre assesseurs, tandis que plus bas un greffier se tient assis devant un bureau. Le t
is [et] Sodomorum : Vox oppressorum mercesque retenta laborum. Plus bas on lit cette souscription : Huic lepidissimo fab
venditur ere liber. Au-dessous de ces vers est le mot Finis, et plus bas vient cet avis final : Impressum Genue per Anton
ant un bureau, assisté d’un scribe qui se tient devant une table plus bas placée, et entouré de quatre auditeurs assis. Le
s de miniatures qui, comme celles du manuscrit Gadd. 176, occupent le bas des pages. F. — Bibliothèque Trivulzienne.
e accompagnée de cette légende : Il piu bel fior || ne coglie. Plus bas on lit : In Firenze MDCCLXXVIII. || Nella stamp.
une banderole se lisent ces mots : Il piu bel fior ne coglie. Plus bas le frontispice se complète ainsi : Firenze || ne
emier feuillet consacré au frontispice, le titre n’en occupant que le bas , est rempli par une gravure qui, comme celle de l
re et le Lion. 6. 7. Le Loup et la Grue. 8. 8. La Chienne qui met bas . 9. 9. Le Serpent mourant de froid. 10. 10. L
IV, 9. 27. Le Renard et le Corbeau. I, 14. 28. La Chienne qui met bas . I, 9. 29. La Cigale et la Fourmi. IV, 19. 30
a complainte de celi qui ce livre rima. L’épilogue lui-même, vers le bas de la 1re col. du feuillet 184 a, se termine par
6. 7. I, 8. Le Loup et la Grue. 8. 7. 8. I, 9. La Chienne qui met bas . 9. 8. 9. I, 10. Le Serpent mourant de froid. 1
e. I, 7. I, 8. Le Loup et la Grue. I, 8. I, 9. La Chienne qui met bas . I. 9. I, 10. L’Homme et la Couleuvre. I, 10.
. I, 7. I, 9. Le Loup et la Grue. I, 8. I, 10. La Chienne qui met bas . I, 9. I, 11. Le Bat de ville et le Rat des cha
marie. I, 7. 9. Le Loup et la Grue. I, 8. 10. La Chienne qui met bas . I, 9. 11. Le Rat de ville et le Rat des champs
i se marie. 8. 7. Le Loup et la Grue. 9. 8. La Chienne qui met bas . 10. 9. Le Rat de ville et le Rat des champs.
uoit tabouré Au tabor, qui résonne quas, Por ce qu’il est fendus trop bas , S’en fu alés tout maintenant. Et quant li enfes
es du Dérivé partiel du Romulus anglo-latin, qui se terminent vers le bas de la deuxième colonne du verso du dernier feuill
marie. I, 7. 9. Le Loup et la Grue. I, 8. 10. La Chienne qui met bas . I, 9. 11. Le Rat de ville et le Rat des champs
u premier feuillet actuel est du xive  siècle. Elle s’arrête avant le bas de la page, où, pour l’illustration de la premièr
le Lion. I, 6. 7. Le Loup et la Grue. I, 9. 8. La Chienne qui met bas . I, 10. 9. Le Rat de Ville et le Rat des Champs
. I, 8. I, 9. Le Loup et la Grue. I, 9. I, 10. La Chienne qui met bas . I, 10. I, 11. Le Rat de ville et le Rat des ch
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