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1 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 99 » pp. 302-302
x de la hache. » Zeus leur répondit : « C’est vous-mêmes qui êtes les auteurs de votre malheur ; si vous ne produisiez pas les
ture, la hache ne vous abattrait pas. » Certains hommes, qui sont les auteurs de leurs maux, en rejettent sottement le blâme su
2 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — X. La Montagne qui accouche. » p. 520
Dont le recit est menteur, Et le sens est veritable ; Je me figure un Auteur , Qui dit : Je chanteray la guerre Que firent les
3 (1495) Hecatomythium primum - Hecatomythium secundum « [Hecatomythivm secvndvm] — [Postliminaires] »
k. Petit traité de grammaire latine rédigé par Abstemius, également auteur des Libri duo de quibusdam locis obscuris
4 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XVI. La Femme noyée. » p. 682
Les honneurs de la sepulture.
 Il arriva que sur les bords
 Du fleuve auteur de sa disgrace
 Des gens se promenoient, ignorans
5 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — V. La Chauvesouris et les deux Belettes. » p. 172
ssion. Moy Souris ! des méchans vous ont dit ces nouvelles. Grace à l’ Auteur de l’Univers, Je suis Oyseau ; voyez mes aisles :
6 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XVIII. Le Chat et un vieux Rat. » p. 79511
Rats,
 Rendoit ces derniers miserables.
 J’ay lû, dis-je, en certain Auteur ,
 Que ce Chat exterminateur, 
Vray Cerbere, estoi
7 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — FABLE I. Contre ceux qui ont le goust difficile. » p. 
Paya la constance et la peine. C’est assez, me dira quelqu’un de nos Auteurs  ; La periode est longue, il faut reprendre halein
8 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 247 » pp. 168-168
me rendent sauvage. » De même nous ne devons pas rendre responsable l’ auteur d’une injustice, quand il agit sur les ordres d’a
9 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — II. Le Lion et le Chasseur. » p. 326
Bœuf, si tu fais qu’il s’écarte. C’est ainsi que l’a dit le principal Auteur  : Passons à son imitateur. Un Fanfaron, amateur
10 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — FABLE I. Le Buscheron et Mercure. » p. 173
fort ambitieux. Je le veux comme vous ; cet effort ne peut plaire. Un Auteur gaste tout quand il veut trop bien faire. Non qu’
11 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
je désire expliquer comment j’ai été conduit à l’assumer. De tous les auteurs anciens qui guident les premiers pas de l’enfant
es fables que je vais publier, il en est beaucoup qui sont dues à des auteurs anonymes et qu’il est impossible de leur assigner
tique de présenter ne doivent pas empêcher de rendre aux mérites de l’ auteur l’hommage le plus sincère. » Et un peu plus loin
r objet Avianus et ses imitateurs, est presque en état de paraître. L’ auteur ne se décidera pourtant à le publier que si son p
moine que M. Paul Meyer appelle Eude de Cherrington et de celles des auteurs inconnus que j’avais appelés ses continuateurs, j
er mon ouvrage en trois livres consacrés : Le premier, à l’œuvre de l’ auteur primitif ; Le deuxième, à celles qui, l’ayant sui
la vie de Phèdre se réduit à peu de chose, et cependant il y a peu d’ auteurs latins qui aient autant que lui occupé le public
u’il en soit résulté entre eux une complète harmonie. Sur la vie de l’ auteur , comme sur ses œuvres, ils ont émis les opinions
oulu justifier leur thèse et pour cela ils ont fait appel aux anciens auteurs . Le Père Desbillons cite d’abord un passage de St
ue d’autres fables valurent à la même époque de pareils ennuis à leur auteur . Mais il ne fixe aucune date à l’apparition de so
sous une forme concise les idées par lui puisées dans les fables de l’ auteur antique qu’il appelait le vieux Phrygien, ou simp
de parler de son mérite, qu’on ne rencontre au même point chez aucun auteur latin, et chaque fois qu’il se met en scène, ce q
de la modestie, et qui, étant donné son bagage littéraire, le pose en auteur à la fois naïf et vaniteux. Il déclare, dans l’ép
paraît avoir toujours conservée. J’en conclus que, pareil à tous les auteurs inaperçus, il a pris un peu pour de l’envie ce qu
de ses écrits. Chapitre II. Manuscrits de Phèdre. Il est peu d’ auteurs anciens, dont les manuscrits soient aussi rares q
om. Il avait éprouvé le sort qu’ont sans doute subi beaucoup d’autres auteurs latins ; car il ne faut pas se dissimuler que les
es 67 premières pages, sont suivis de l’éloge de Henri IV par le même auteur , pages 68 à 85.) 2º Petrine Veletidoschii ; sacro
trente-quatre ans dormir, dans les rayons de sa bibliothèque, un des auteurs latins qui ont le mieux conservé, à travers les â
ges sont réunis en un volume in-4º, imprimé en 1649, avec la vie de l’ auteur , en Latin et en François. » François Pithou surv
nts éprouvèrent un premier sentiment de méfiance. L’authenticité d’un auteur si tardivement découvert leur sembla suspecte, et
crit appartienne au quatrième livre ? Ici, malgré ma déférence pour l’ auteur , je suis obligé de m’écarter de son opinion. Sans
s à la découvrir. Avianus, dans sa préface à Théodose, en parlant des auteurs qui ont imité les récits d’Ésope, s’exprime ainsi
éléments certains, qui doivent leur servir à déterminer le véritable auteur des fables anciennes, à mon tour, en signalant le
qui, évidemment, ne peut avoir été écrite que par M. de Foncemagne, l’ auteur de la notice en reproduit une seconde, placée pro
pour le voir, besoin qu’il lui eût été communiqué. Quant au véritable auteur de la note, ce qu’il dit du manuscrit démontre qu
Querolus sive Aulularia, publié par P. Daniel en 1564, comédie que l’ auteur des Recherches pour servir à l’histoire du droit
’histoire du droit français, a crue du siècle de Théodose, et que les auteurs de la Nouvelle Diplomatique renvoient au siècle d
ge qui paraîtrait peu digne aujourd’hui d’une grande estime. « 2º Les auteurs de la Nouvelle Diplomatique ne pensent pas cepend
Grec) qui s’exprime dans une langue étrangère (la latine). Ces mêmes auteurs le croient Grec, et peut-être un Marseillais, ant
l’a suivi (Till., Hist. emp., t. V, p. 662, art. 67). « Mais 1º notre auteur dramatique était Grec : j’en ai donné la preuve :
ore encore : ce nom était assez commun ; le portrait qu’en fait notre auteur dramatique est assez flatteur. C’était un protect
peu de valeur. À ce compte-là il faudrait dire aussi que Phèdre est l’ auteur du traité De Monstris et Belluis, qui, dans le ma
dans le troisième volume, publié à Rome en 1831, de sa collection des auteurs classiques édités d’après les manuscrits du Vatic
bles de Phèdre y sont précédées d’une étude sur les manuscrits de cet auteur . Je la consultai ; mais cette étude n’était qu’un
Oratio sancta quam composuit… Le dernier mot, qui était le nom de l’ auteur , a subi un grattage qui le rend illisible. Cette
e la notice que j’ai déjà plusieurs fois citée. Il va sans dire que l’ auteur de cette notice adopte les indications de ses dev
’écriture. On y trouve onze extraits empruntés aux œuvres des anciens auteurs latins. Ce recueil, qui est de la main de Daniel,
parler de l’ouvrage, je crois devoir dire d’abord quelques mots de l’ auteur . Il naquit, en 1430, à Sassoferrato, sur les conf
it perdue, il était important de le retrouver. Le savant abbé Andrès, auteur de l’Histoire générale de la Littérature, fut un
ovarum Phaedro, avait pour objet de démontrer que Phèdre était bien l’ auteur des trente-deux fables nouvelles. « Elle est, dit
lle est, dit Ginguené, divisée en deux chapitres ; dans le premier, l’ auteur prouve, avec beaucoup de méthode, d’érudition et
squ’au temps où vivait Perotti, aucun autre que Phèdre ne peut être l’ auteur de ces fables : ce sont des preuves négatives trè
reuves affirmatives et positives, que Phèdre en est bien réellement l’ auteur . » La troisième dissertation était intitulée : D
afin d’en tirer un argument propre à établir que Phèdre était bien l’ auteur des fables nouvelles. Dans un premier chapitre qu
annelli, comme remontant à quelques années, per aliquot annos. Donc l’ auteur des fables nouvelles est bien, d’après lui, conte
, il en a fait des espèces d’ïambes, et pour cela a souvent torturé l’ auteur . Enfin, soit par sa faute, soit par celle d’autru
il avait suppléé lui-même le mot parvam et voulu ne pas attribuer à l’ auteur latin ce qui ne pouvait avec certitude lui être i
r Examen des nouvelles fables de Phèdre, Paris, Egron, 1812, in-12. L’ auteur , M. Adry, conteste l’authenticité de ces fables e
qu’ils étaient insensés ceux qui les considéraient comme l’œuvre d’un auteur contemporain d’Auguste et de Tibère. S’étant livr
Mais c’est un double emploi qui ne peut pas échapper à la plume d’un auteur . En effet, j’admets encore qu’un auteur et surtou
pas échapper à la plume d’un auteur. En effet, j’admets encore qu’un auteur et surtout qu’un traducteur puissent oublier ce q
prit à la lettre la déclaration du prélat, et, le considérant comme l’ auteur d’une fable qui figurait dans les œuvres de Phèdr
u’il ait été plagiaire, ce qui est certain, c’est qu’il n’a pas été l’ auteur des fables de Phèdre. Si Schryver avait pu voir l
nustate connectas. » Pierre Pithou était trop versé dans l’étude des auteurs anciens, pour que l’affirmation de Sénèque pût lu
euses raisons, qui, suivant lui, ne permettaient pas d’attribuer à un auteur ancien les fables de Phèdre. Comme l’examen de se
peut convenir qu’à l’homme qui se livre à un travail persévérant et l’ auteur des fables n’a écrit que des choses vulgaires dan
ui semble évident qu’Avianus en parlant de Phædrus fait allusion à un auteur grec ; la forme de ce nom est grecque ; la forme
concises. Faut-il ajouter qu’Avianus, si ses modèles avaient été des auteurs latins, n’aurait pas dit qu’il avait écrit ses fa
s’il était Athénien, n’a pas pu écrire un latin si barbare. Il est l’ auteur de fables, qui ont été composées par lui en vers,
s qu’on attribue à Phèdre. Mais en définitive c’est Perotti qui est l’ auteur des fables qu’il lui a plu d’attribuer à un affra
publié en 1750221, combattit l’opinion de Christ. En France, un jeune auteur que la mort ravit prématurément aux lettres, Boul
ue ses contemporains lui reprocheroient de n’être point véritablement Auteur . Quidquid putabit esse dignum memoria Æsopi dice
ns cette même Corne d’Abondance. Faudra-t-il sur un seul passage d’un Auteur du xve  Siécle supprimer à la fois les deux Fabul
our décider il faut la lire dans les deux Ouvrages et reconnoître son auteur en comparant les stiles. Une présomption très-for
prétend n’avoir pas été employées dans le même sens par les meilleurs Auteurs du Siécle d’Auguste. De-là il conclut que le Phed
t que le Phedre est un Ouvrage supposé. Mais comme il y a dans chaque Auteur bien des tours et même des expressions qui lui so
ue de simples fables, c’est-à-dire une foule de passages concernant l’ auteur et ses affaires personnelles, qu’il y parle de se
’avantage de les faire connaître en quelques pages231. Le silence des auteurs latins, relativement à Phèdre, n’a, suivant Schwa
tiquité ont eu le même sort, et, comme exemple, il cite Quinte-Curce, auteur dont aucune personne compétente ne conteste l’aut
. Mais il n’est pas besoin de supposer qu’il n’a voulu parler que des auteurs nés à Rome pour trouver dans son langage une expl
des fables connues soit un obstacle à ce que ce mot s’applique à leur auteur . Il n’y a pas lieu davantage de prendre garde à l
division identique en cinq livres, adoptée par le philosophe et par l’ auteur des fables connues ? Pour n’y pas voir plus clair
aussi accuser de mauvaise foi l’archevêque de Siponte lui-même, qui, auteur véritable des fables, aurait, en les attribuant d
sène, tout ce qu’on y trouve enfin n’a pu sortir que de la plume d’un auteur contemporain de Tibère. Telle est en résumé la ré
doutes ni sur l’ancienneté des fables, ni sur la personnalité de leur auteur . Cependant il considérait avec raison que la ques
t dans les poésies de l’archevêque de nombreuses réminiscences de son auteur favori. Phèdre. — Aper fulmineis ad eum venit d
ndant que Phèdre n’avait pas existé, que les fables, attribuées à cet auteur , suivant eux, imaginaire, n’étaient pas une œuvre
n de qui nous la tenons devait être mieux renseigné qu’aucun autre. L’ auteur dont les fables nous sont parvenues n’était pas d
s moins vaniteux ne permettent pas de douter que, du vivant même de l’ auteur , la plupart de ses apologues n’eussent au moins a
ædri libellos legere si desideras , qui révèle une main étrangère à l’ auteur lui-même ; cet emprunt fait au Télèphe d’Ennius :
mutire plebeio est piaculum, emprunt contraire aux habitudes de tout auteur qui se respecte ; cette imitation du style de Tér
l ne faut pas s’en étonner ; car Phèdre a eu le sort de bien d’autres auteurs , dont les œuvres ne nous sont pas parvenues. Plut
attache au texte, on y trouve la preuve irrécusable que Phèdre fut un auteur latin ; c’est lui-même qui le déclare en ces term
icité des fables anciennes. Ce qui en ressort, c’est que Phèdre fut l’ auteur des fables qui portent son nom, qu’affranchi d’Au
poser les arguments à l’aide desquels il cherche à démontrer qu’aucun auteur autre que Phèdre n’a pu écrire les fables nouvell
des idées identiques qui ne peuvent avoir été conçues que par le même auteur . Il est vrai qu’après avoir, dans les fables anci
el qu’il signale aussi leurs défauts, et que, se considérant comme un auteur latin, il ne prenne pas, pour les dire, de bien g
mencement du xviiie avec des fables plus anciennes qu’il adjuge à un auteur anonyme. Salon de Parme252 enfin en composa égale
de huit des fables nouvelles, il est indubitable que Phèdre en est l’ auteur  ; quant aux autres, douées davantage encore de se
t qu’à ce titre qu’il peut considérer le vieux Phrygien comme étant l’ auteur des fables contenues dans son recueil. Toutes les
s manuscrits mêmes montrent que leur classement ne peut provenir de l’ auteur . De tout cela il ressort que, pour lui attribuer
mots, des tours de phrase, qui ne se rencontrent pas dans les autres auteurs latins. Mais toutes les formes de langage, usitée
erdu des œuvres d’Ennius, de Lucile, de Caton, de César et des autres auteurs , on observerait sans doute le même phénomène. Ces
est incontestable. Elles ont dû, il est vrai, n’être pas ignorées des auteurs qui furent les contemporains de Phèdre, ou qui le
trui qu’il se fonde. Mais d’abord, le savant allemand reconnaît que l’ auteur est un ancien, un émule de Phèdre ; c’est déjà be
’elles ressemblent aux anciennes qu’elles ne doivent pas être du même auteur , il n’aurait pas fallu commencer par baser les do
dasti, jam damnas quod sumus, et ne peut être évidemment que du même auteur , et la xxxiie , Terraneola et Vulpes, qu’il consi
vers qu’on a qualifiés de fable vi, la preuve que Perotti n’est pas l’ auteur des fables nouvelles. Il considère ces deux vers
s d’expressions, dont l’objet évident était de mettre les fables de l’ auteur païen en harmonie avec ses idées chrétiennes. C’e
lare, agi de même à l’égard d’Avianus, et l’on sait que celles de cet auteur sont en vers élégiaques. Si, à côté des fables an
us expert de son époque. Parmi les ouvrages didactiques dont il fut l’ auteur , il en est deux qui révèlent une connaissance trè
objection in extremis que je prévois. « De ce que Perotti n’est pas l’ auteur des fables nouvelles, il ne s’ensuit pas, me dira
us et servus profugus ; on le voit dans ces fables bafouer un mauvais auteur qui se vante, engager un père à dompter la fougue
éraires en français, avec les Imitations de La Fontaine, une vie de l’ auteur , une appréciation de ses œuvres et un précis sur
et les fables de La Fontaine en regard de celles qu’il a imitées de l’ auteur latin, revue avec soin et corrigée par M. Tissot
274 pages, contenant une préface, la vie de Phèdre, les jugements des auteurs modernes, le texte du fabuliste et les fables res
is, Jules Delalain et fils. In-12 de 148 pages. 1878.     Les auteurs latins expliqués, d’après une méthode nouvelle, p
posées par Malaspina, Trombelli, Migliarese, un anonyme et un dernier auteur non indiqué, mais sans doute éditeur du volume ;
nd effort ; car sa prose est la copie presque littérale des vers de l’ auteur latin. Pour qu’on en puisse juger, je vais prendr
, c’est qu’elles sont loin de se rapporter toutes au texte connu de l’ auteur ancien. Sur 67 il n’y en a dans ce cas que 37, de
ment la collection, avec l’indication des fables correspondantes de l’ auteur primitif : Leyde. Phèdre. 1. Le Coq et la
de Patrologie282, l’abbé Sevestre s’en rapporte à eux. Moreri283 et l’ auteur de la notice qui lui a été consacrée dans l’Histo
e que, comme tous les moines lettrés du moyen âge, Adémar, s’il a été auteur , n’a pas non plus dédaigné de se faire simple cop
nedicte, triumphos. C’est, comme on le sait, l’œuvre du diacre Paul, auteur de l’hymne à saint Jean plus connue encore290. La
or versus omnis , etc. C’est celui qui est à la fin des éditions de l’ auteur . Après viennent des annotations diverses. Dixièm
suite vient l’ouvrage lui-même, dont la nature est, avec le nom de l’ auteur , explicitement indiquée par ce titre : Incipiunt
ormat in-12, qui a fait souvent donner le nom d’Anonyme de Nilant à l’ auteur maintenant connu des Fables antiques. Le titre du
ne pourrait servir d’argument, que si celles des fables connues de l’ auteur ancien qui s’y retrouvent appartenaient aux mêmes
Franco-Theotiscum, | Gothicum et Anglo-Saxonicum spectantia. » Or l’ auteur de cette mention avait fait une singulière confus
Bibliothèque, ils y portent les cotes 639 à 928. C’est lui qui est l’ auteur de la mention erronée. Le bibliothécaire actuel,
e : ou bien foi est due au manuscrit, et alors il faut admettre que l’ auteur des fables est bien Romulus Augustule, ou bien le
pinion de Gude. Enfin celle qui prévalut au xviiie  siècle, fut que l’ auteur des fables ne devait pas être confondu avec le de
m est Ranutio d’Arezzo306. Pour établir la distinction entre les deux auteurs , il s’était appuyé sur un ouvrage publié à Venise
e 24 mars 1455. Ainsi pas de confusion possible. S’il avait existé un auteur du nom de Romulus, il n’avait eu rien de commun a
u Méril la formula, elle ait été adoptée. Il resta bien entendu que l’ auteur des fables était un personnage à la fois étranger
s de relever, il faudrait évidemment admettre que c’est à Ésope que l’ auteur a donné le titre de citoyen d’Athènes. Mais, si d
omulus, celui qu’on peut le plus vraisemblablement considérer comme l’ auteur de nos paraphrases : c’est tout ce qu’on peut esp
c’est que personne n’avait pu donner la plus légère indication sur un auteur dont les copistes et les compilateurs du moyen âg
par être une sorte de terme usuel employé à exprimer non pas un nom d’ auteur , mais bien un genre spécial de littérature ; ce q
t conclure que cette dernière était celle qui avait été adoptée par l’ auteur du Romulus primitif. Quoi qu’il en soit, la colle
s uiueres. On le voit, ce ne sont pas seulement les expressions de l’ auteur ancien, ce sont encore les lambeaux de ses ïambes
aduction latine des œuvres, sinon de ce fabuliste, au moins de divers auteurs grecs. Il est vrai que, dans la dédicace à Tiberi
s, il n’admet pas même qu’elles soient plus récentes, ni qu’aucun des auteurs des versions en prose se soit aidé de la traducti
ant ensuite à sa guise le passage de Quintilien, il a supposé que cet auteur recommandait de faire traduire en latin des fable
u moyen âge si bien souvenu des recommandations faites par le célèbre auteur latin, et, si les fables de Phèdre ont été employ
n’a constitué qu’un recueil de fables choisies, empruntées à un seul auteur et accommodées au goût du temps. Ces fables, part
te antique. D’où il suit que ce n’est qu’en altérant cet Æsopus que l’ auteur du texte de Wissembourg a pu ne pas employer cert
du moyen âge un corps de fables ésopiques, tiré d’un certain nombre d’ auteurs latins, désigné sous la dénomination d’Aesopus et
l’égard de Romulus, qui, comme je l’ai rappelé plus haut, ajouta à l’ auteur anonyme une certaine parure de langage, je crois
, lorsque j’interprétais à part Fabius326 et que je me consacrais aux auteurs grecs plus spécialement qu’aux latins. Signé : Pi
is vient une préface allemande qui établit que le Dr Steinhöwel est l’ auteur de la traduction allemande, et de laquelle j’extr
ion allemande, puis du prologue des fables en vers élégiaques, dont l’ auteur a été longtemps appelé l’Anonyme de Névelet. C’es
De Cornice et oue. xix. De Abiete et arundine. xx. Comme l’ auteur des fables élégiaques n’a point traduit le livre 
Ces fables, que Lessing trouve trop ineptes pour qu’Ésope en soit l’ auteur primitif, sont, comme celles de Romulus, ornées d
l’hypothèse que le rédacteur de la notice a cru pouvoir risquer sur l’ auteur des gravures sur bois. Je remarque seulement la r
rois devoir analyser ici. Le premier est le Speculum Stultorum dont l’ auteur est désigné ainsi : Vigellus monachus Cantuarien
e vieille toile, une œuvre nouvelle avait été ajoutée à l’ancienne. L’ auteur de cette addition était un littérateur de la Rena
to du feuillet 125, tandis que le verso du même feuillet représente l’ auteur à genoux. Ensuite, inspirée sans doute par celle
us grossière. L’ouvrage est terminé par un épilogue dont Caxton est l’ auteur . À la suite on lit cette souscription : And here
te des sciences naturelles, telles que la zoologie et la botanique. L’ auteur paraît l’avoir écrit vers 1250 ; cependant Vossiu
n roi de France, qui lui avait fourni les fonds nécessaires. Certains auteurs disent que ce fut Philippe de Valois ; mais l’épo
du Miroir historial y figurent parmi neuf autres opuscules de divers auteurs . Elles s’étendent du recto du feuillet 118 au ver
vers ; elles paraissent notamment avoir donné naissance à celle de l’ auteur qu’on appelle encore aujourd’hui l’Anonyme de Név
rigine de ces fables, sont partis de cette idée qu’il avait existé un auteur nommé Romulus et que son œuvre consistait dans la
éjà voir, si l’on veut lire avec attention cette fable dans les trois auteurs , que Romulus sert d’intermédiaire entre le premie
vue, M. Fleutelot déclare qu’il est impossible, quand on a les trois auteurs sous les yeux, « de ne pas suivre, de ne pas touc
e vais ici leur ménager. Section II. Dissertation sur le véritable auteur des fables en vers élégiaques.     Longtemps o
les hypothèses qui ont cours en ce qui touche la personnalité de leur auteur . D’abord il expose qu’au dire de certaines person
ns des livres plus volumineux renfermant les œuvres poétiques de huit auteurs latins. Il y avait parmi ces livres une édition o
prologue des fables, dans ce manuscrit, fait non seulement de Salon l’ auteur des fables élégiaques, mais encore expose les cir
pourtant constant que Salon, notre magistrat municipal, en est bien l’ auteur . C’est là ce qu’attestent non seulement des inscr
ne pouvait pas non plus raisonnablement donner le nom de Romulus à l’ auteur des fables élégiaques, Jules César Scaliger l’ava
ur la première fois en 1479. Scaliger avait pris le traducteur pour l’ auteur lui-même. En 1610, en les publiant à Francfort, N
de là vint le nom d’Anonyme de Névelet par lequel on désigna depuis l’ auteur inconnu. Mais la recherche de son nom n’en fut pa
les de l’Anonyme. « Si quelqu’un, écrivait-il, me demande le nom de l’ auteur , je dirai que c’est ce Bernard dont Silvester Gir
orté à l’ouvrage de Girald Barry intitulé Itinerarium Cambriae 409. L’ auteur y consacre un chapitre aux mœurs du Castor, et, a
n que, sans y croire, Gyraldi avait signalée, Marcheselli pensa que l’ auteur anonyme pourrait bien être Salon de Parme413. San
imé d’une lettre de Thadée Ugolet, le nom de Salon de Parme donné à l’ auteur des fables élégiaques415. On sait par ce qui préc
tait assez porté à supposer qu’il s’agissait de Walther de Châtillon, auteur du xiie  siècle, qui avait composé le célèbre poè
blication des fables inédites du moyen âge, M. Robert nomma Galfred l’ auteur des fables élégiaques. Après avoir rappelé que Né
t pas être le copiste : car ce volume qui renferme les écrits de huit auteurs moraux, me paroît écrit de la même main, et je ne
cement du xve  siècle, c’est-à-dire d’un temps où le nom du véritable auteur , oublié depuis deux siècles, était nécessairement
icile d’y trouver la preuve qu’un certain maître Galfred en ait été l’ auteur . L’ouvrage est au contraire attribué à Ésope, et
iter : Incipit Ysopus garriti stamine tectus. » En affirmant que l’ auteur véritable s’appelait Garritus, le glossateur avai
manuscrit 8023, prétendit à son tour avoir trouvé le nom du véritable auteur qu’il nomma Ugobard de Sulmona. En marge d’un man
i ipse compilavit metra. » Dressler avait conclu de cette note que l’ auteur véritable était Ugobard de Sulmona. Conçue dans d
Bibliothèque nationale, elle n’en différait guère que par le nom de l’ auteur qui aurait été le compatriote d’Ovide. C’était un
les ouvrages connus du célèbre Hildebert permettaient de le croire l’ auteur des fables élégiaques. Lorsqu’on examine ses œuvr
re de la collection Nisard, à considérer Hildebert comme le véritable auteur des fables élégiaques. J’avoue que, lorsqu’à mon
, je n’étais pas non plus bien sûr que l’archevêque de Tours en fût l’ auteur , et un manuscrit du xve  siècle que j’ai en ma po
est suivi de l’épigramme, qui, dans la pensée du scribe étant du même auteur , commence, sans intervalle et sans titre, au bas
Le titre de ce livre est Incipit Esopus ; ce nom n’est pas celui de l’ auteur , qui au contraire est Walther. Mais, pour assurer
téressant, c’est le nom de Walther par lequel il désigne le véritable auteur . Je fus, je le crois du moins, mis par ce texte s
Au moyen âge le nom de Walther ou Gauthier a appartenu à de nombreux auteurs , et, à défaut de renseignement complémentaire, il
rejetée avec autant de légèreté que de dédain. Désormais le véritable auteur était nettement déterminé. Je fus vraiment heureu
10º Enfin la plupart des éditions que j’ai nommées éditions des Huit auteurs et qu’on trouvera plus loin dans la nomenclature
alther. Ces éditions, en attribuant les Fables élégiaques à celui des auteurs du nom de Walther, qui a été le plus communément
lle de Henri II avec Guillaume le Jeune, qui eut lieu en l’an 1177. L’ auteur et la date étant ainsi déterminés, il ne reste pl
n point sur lequel on n’a guère été plus d’accord que sur le nom de l’ auteur des fables, c’est celui qui concerne leur nombre.
Pour ces 60 fables il n’y a pas de doute. Elles sont toutes du même auteur , et, si sur lui mon hypothèse est exacte, elles s
erai à la suite des soixante premières. Faut-il les attribuer au même auteur  ? Comme, soit par la pensée, soit par l’expressio
pendant certains philologues ont voulu attribuer ces deux fables à un auteur différent, et, comme toujours, ils ont trouvé des
luantes ; d’autre part, rien non plus n’autorise à faire de Walther l’ auteur des deux premières fables complémentaires. Ce qui
ain, c’est que, si elles ne sont pas son œuvre, elles sont celle d’un auteur qui s’est inspiré de sa manière et qui a dû être
e ne me permettrai pas d’en induire que c’est ce dernier qui en est l’ auteur  ; mais ce que je peux raisonnablement supposer, c
en publiant les fables élégiaques, qualifier de singe de Phèdre leur auteur encore inconnu424, et Barth, sans plus de ménagem
esque partout puérilement travestie. Je n’en fais pas un reproche à l’ auteur , qui était pour son temps un homme lettré, qui d’
Puis viennent ces deux mots : Explicit Esopus. Le nom du véritable auteur manque, comme dans tous les autres manuscrits que
amours de Jupiter et d’Alcmène. Sauf M. Robert et M. du Méril, aucun auteur ne paraît même avoir soupçonné l’existence du man
rairie du vieux monastère, un manuscrit qui contenait les fables d’un auteur alors inconnu ; il en transcrivit non pas seuleme
ivies chacune d’une traduction en vers français de 8 syllabes, dont l’ auteur inconnu a reçu de M. Robert le nom d’Ysopet I. En
ière page le miniaturiste qui a illustré le manuscrit, a représenté l’ auteur , sous la forme d’un moine à genoux, offrant son l
lati cum auinioneto cum quibusdam addicionibus et moralitatibus. L’ auteur se qualifie de compilateur ; on voit qu’il a voul
la versification tellement fautive que Walther ne peut en avoir été l’ auteur . On les trouvera dans l’appendice, qui, dans le s
Enfin, suivant M. Robert, c’est celui-là même qui fut présenté par l’ auteur à la reine de France ; ce n’est pas un simple man
ne ignorance qui ne permet pas de supposer un instant qu’il ait été l’ auteur de la traduction française. En effet, le texte la
, dans le texte français il y a des omissions que vraisemblablement l’ auteur n’aurait pas commises. Enfin, si c’est à cause de
on du seul texte de Walther. Cette différence me porte à croire que l’ auteur des additions latines et françaises n’est pas le
ême que le traducteur du vrai texte de Walther. Maintenant quel est l’ auteur des additions ? Il n’est pas plus connu que celui
lé l’origine différente, et l’épilogue qui en aurait fait connaître l’ auteur , et, afin d’éviter les doubles emplois, il a eu s
énéral des manuscrits des bibliothèques publiques des départements, l’ auteur du catalogue de celle de Laon déclare que le manu
mentaire, qui prouve une fois de plus que Walther en est le véritable auteur , et dans lequel, presque dès les premiers mots, o
ion malade et du renard, et dont par exception à la règle ordinaire l’ auteur paraît avoir puisé ses inspirations à deux source
remédier aux fautes des éditions antérieures. La description que cet auteur en a faite me permet d’en dire quelques mots. C’é
t 260 a, sous le titre Excerpta ex Esopo probablement imaginé par les auteurs du catalogue, il renferme les épimythions des 60 
e verso du feuillet 56 est rempli par une pièce de vers latins dont l’ auteur a pris pour thème la vanité des grandeurs humaine
ans l’espoir d’y découvrir quelque renseignement relatif au véritable auteur des fables, j’ai jeté les yeux sur l’introduction
elle fournit une base à la thèse de ceux qui veulent faire de Salon l’ auteur des fables élégiaques. J’en ai donné plus haut de
sorte de préface ou commentaire en prose, qui donne le vrai nom de l’ auteur . En voici le texte : « Incipit Esopus. Materia hu
omprennent non seulement les soixante dont il est incontestablement l’ auteur , mais encore les deux fables qui les suivent le p
ble beaucoup à toutes les autres, mais, en ce qui touche le véritable auteur des fables élégiaques, s’en distingue par une nou
ine nuncupavit. » J’aurais pu, dans ma dissertation sur le véritable auteur des fables élégiaques, signaler l’hypothèse nouve
que Morelli a prise pour base d’une fausse hypothèse sur le véritable auteur des fables de Walther. Intitulée : Esopi fabulae
par les mots Auctores octo , peuvent être appelées Éditions des huit auteurs . Dans ces éditions les fables de Walther sont acc
luit instrui per doctrinas hujus libri. » Dans les éditions des huit auteurs le commentaire qui se rencontre le plus fréquemme
ais il a le mérite spécial de fournir un renseignement précieux sur l’ auteur véritable des fables, dont il indique à la fois l
e in-4º, est, comme la précédente, une réimpression de celle des huit auteurs . Elle ne porte pas de pagination, niais est pourv
dente, elle n’est qu’une réimpression des premières éditions des huit auteurs publiées à Lyon. Je fais seulement observer que l
t pourvues du commentaire, qui, copié sur celui des éditions des huit auteurs , les attribue à Walther l’Anglais. C’est une auto
. C’est une autorité de plus à l’appui de ma thèse sur leur véritable auteur . Au recto du dernier feuillet se lit cette souscr
assis et reçoit l’offrande du livre qui lui est faite à genoux par l’ auteur de la traduction latine de son œuvre. Les deux pe
médaillons dix portraits, dont neuf ont la prétention d’être ceux des auteurs des ouvrages contenus dans le volume. Nous sommes
n, soit, en tout, de 96 feuillets. Comme toutes les éditions des huit auteurs , elle renferme les fables de Walther, mais pourvu
ipontines, introduites dans le dix-septième volume d’une collection d’ auteurs latins publiée à Bruxelles par l’imprimeur Tencé.
qui renferme cette édition est le cinquième d’une collection de vieux auteurs français qui porte ce titre général : Altfranzösi
blable à celui qui l’accompagne dans la plupart des éditions des huit auteurs . Bref, je ne puis, en ce qui touche les traductio
te dans un encadrement de forme gothique qui remplit toute la page. L’ auteur y est représenté à genoux devant Ésope à qui il o
en des fables d’Alexandre Neckam.     Après avoir fait connaître l’ auteur , je dois, en quelques mots, donner un aperçu de s
écrit ce membre de phrase : Os devoratum fauce quum hæreret Lupi. L’ auteur du Romulus primitif, le paraphrasant, en avait ti
tre Neckam en a-t-il trouvé le sujet dans un manuscrit complet de cet auteur . C’est là une hypothèse qui n’est pas invraisembl
, c’est qu’elles ne portent pas au catalogue le véritable nom de leur auteur , et que, composées en vers élégiaques, elles avai
oque où l’ouvrage latin a été composé. 1º Première traduction. L’ auteur en est inconnu. Il l’a terminée par un épilogue,
épilogue, où il déclare qu’il n’a été que le traducteur français de l’ auteur latin ; de sorte qu’il ne doit pas être confondu
de ce sixain, c’est que le traducteur non seulement est étranger à l’ auteur des fables latines, mais en ignore même complètem
s sont aussi le plus souvent à rimes croisées : dans la même fable, l’ auteur emploie parfois des sixains et des quatrains. Dan
. Pour l’admettre, j’ai, dans ma première édition488, supposé « que l’ auteur de la collection contenue dans les trois manuscri
ont pas issus l’un de l’autre, et qu’ils appartiennent seulement à un auteur commun. Cette communauté d’origine leur a d’aill
de l’anonyme Névelet, celles d’Avianus, celles de Baldo, celles de l’ auteur qu’on a surnommé Novus Avianus, enfin celles du R
l’Anonyme de Névelet, qui dans les manuscrits et les éditions de cet auteur portent les nos 59 et 60 et qui sont généralement
ncte, j’ai dû y apercevoir l’intention clairement manifestée par leur auteur de jouer un autre rôle que celui de copiste uniqu
t communes et que Phèdre n’a pas employées, dérivent directement d’un auteur commun, qui, n’étant pas le fabuliste romain, ne
eau-Clerc, on est tout naturellement conduit à le croire le véritable auteur ou tout au moins le véritable inspirateur de la t
lon lui, aucun des deux rois anglais ne devait être considéré comme l’ auteur de la traduction, il aurait dû, aidé de sa haute
laquelle j’ai donné le nom de Dérivé complet, le roi ne serait plus l’ auteur de la traduction ; il aurait seulement donné l’or
Romulus primitif le seul qui, dans la dédicace à Tiberinus, donne à l’ auteur fictif de cette dédicace le titre d’empereur roma
tre affirmatif : j’ignore si c’est, ou non, une addition qui, due à l’ auteur du Dérivé de 136 fables, n’avait pas été trouvée
qu’elles traitent, me portent au contraire à y voir une addition de l’ auteur du Dérivé. En résumé, le parti le plus sage dans
n fils Guy de Dampierre ne le prit qu’à la mort de sa mère en 1280. L’ auteur des fables inédites des xiie , xiiie et xive  si
du xiie  siècle, et le style de cette femme, comme le témoignage des auteurs du siècle suivant, doivent la faire reléguer à ce
t, pour la faire mieux triompher, s’est appuyé sur le témoignage de l’ auteur de la Branche du Couronnement du Renart. « Ce tro
aité d’Aristote qui est à la page 84. F I N. C’est par erreur que l’ auteur de la nomenclature qui précède donne, comme numér
isto, de meliori. Dans l’épilogue c’est Mires qu’est appelé le royal auteur de la traduction anglaise. La collection se termi
nçant par ce titre : Ci commence de Ysopes. Sur la première page, l’ auteur de la seconde série a par la note suivante nommé
ère page, l’auteur de la seconde série a par la note suivante nommé l’ auteur de la première et indiqué les sources des deux sé
es feuillets 15 b à 17530. » Cette première note est paraphée par son auteur . Voici la traduction de la seconde : « Selon tout
xiste pas, et dès lors on est tout naturellement porté à penser que l’ auteur de ce Romulus n’a créé qu’un recueil de pièces ch
qu’ils ne peuvent être issus l’un de l’autre et qu’ils sont nés d’un auteur commun qui ne peut être que le Romulus anglo-lati
n est issu, ou si enfin les fables des deux collections dérivent d’un auteur commun qui serait le Romulus anglo-latin. Mais, à
il est même plus conforme que lui au Romulus anglo-latin qui est leur auteur commun. Je pourrais me livrer à de pareilles rech
iennent les dix-neuf livres du traité De Proprietatibus rerum, dont l’ auteur innommé a été un moine de l’ordre des Frères mine
fausseté de la première de ces deux hypothèses. Il est évident que l’ auteur de la collection n’aurait pas pu, comme il l’a fa
i est dû le Romulus de Nilant. Or, dans la dédicace à Tiberinus que l’ auteur du Romulus hexamétrique a traduite, quel est le p
près le premier et le troisième, les deux qui doivent la remplacer. L’ auteur abuse aussi d’une licence que se permettaient les
ntôt par un pied de moins, tantôt par un pied de trop. Et cependant l’ auteur ne dédaigne aucun des procédés susceptibles de lu
um, ut unquam post læderet vi nullum nostræ gentis. Le plus souvent l’ auteur met au milieu d’une phrase la conjonction qui, po
t pas la conjonction ni le pronom relatif, c’est la préposition que l’ auteur transpose pour les besoins du vers : tantôt il la
puissance de la césure. Tout cela, il faut le dire à la décharge de l’ auteur , est considérablement aggravé par l’ignorance évi
ue, pour se conformer aux exigences de ce système de versification, l’ auteur a dû se trouver dans la nécessité de remplacer pr
été une forme nouvelle donnée à l’une des fables de ce Romulus par l’ auteur du Romulus de Nilant ; or cette forme nouvelle qu
ocument précis, j’osais risquer une hypothèse sur la nationalité de l’ auteur du Dérivé rythmique, je dirais qu’il devait être
supposition n’est pas invraisemblable. Quant à l’époque à laquelle l’ auteur a exécuté sa traduction, M. Thomas Wright lui ass
la langue latine, et que, sans la comprendre, il copiait l’œuvre d’un auteur qui déjà depuis longtemps sans doute n’existait p
hèque qui le possède, non pas le nº 85 qui lui a été attribué par les auteurs du Catalogue publié à Oxford, ni le nº 1362 que,
innocentes opprimunt. Devant ce second exemple, on peut croire que l’ auteur du Romulus de Berne connaissait Phèdre, et que, t
parvenus à ma connaissance, l’appellent Guido-Aretinus, et plusieurs auteurs des xiie , xiiie et xive  siècles le distinguent
ou simplement sous le nom d’Aretinus. « Cependant il s’est trouvé des auteurs qui l’on fait naître ou du moins vivre en Normand
n des nouvelles fables de Phèdre, p. 44 à 46. 178. Bibliothèque des auteurs classiques grecs et romains, publiée par Guillaum
ivre III.) 197. Jugemens des savans sur les principaux ouvrages des auteurs , par Adrien Baillet. Revus, corrigés et augmentés
moyen âge… Paris, 1825, 2 vol in-8º. (Voyez au tome I l’Essai sur les auteurs dont les fables ont précédé celles de La Fontaine
1825 ; 2 vol. in-8º. (Voyez, en tête de cet ouvrage, l’Essai sur les auteurs dont les Fables ont précédé celles de La Fontaine
ses dialogues sur l’histoire des poètes, donna le nom de Romulus à l’ auteur des fables en vers élégiaques. 408. « Si quis m
. C’est dans cet ouvrage (p. 152 à 153) qu’il exprime sa pensée sur l’ auteur des fables élégiaques. Il mourut le 5 mai 1819, â
peu de changements et imprimées par Wynkin de Worde. » Collection des auteurs latins publiée sous la direction de M. Nisard. Pa
note 3.) 488. Voyez t. I, p. 408. 489. Voyez p. 158 à 163. 490. L’ auteur , p. 75, s’exprime ainsi : « Cette rédaction paraî
is le faisait remarquer en 1836 et comme l’avaient déjà soupçonné les auteurs des Scriptores ordinis Prædicatorum. » 536. Voy
12 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — FABLE I. Le Meusnier, son Fils, et l’Asne. » p. 721

 La feinte est un païs plein de terres desertes.
 Tous les jours nos Auteurs y font des découvertes.
 Je t’en veux dire un tra
13 (1570) Cento favole morali « Présentation »
xerça lui-même à la peinture et à l’illustration : il est notamment l’ auteur des gravures qui ornent ses Cento Favole et son é
voie du poème héroïque. En plus de ses Cento Favole Morali, il est l’ auteur de plusieurs ouvrages en prose et en vers, en lat
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