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1 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIV. Du Taureau, et du Bouc. »
gue à leur odieuse desloyauté. Aussi ceste maniere de bassesse a esté attribuée par Esope au Bouc, le plus infect, et le plus vil
2 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 73 » pp. 46-46
24. Borée et le Soleil contestaient de leur force. Ils décidèrent d’ attribuer la palme à celui d’entre eux qui dépouillerait un
3 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE V. Du Chien, et de l’Ombre. »
i en prit-il à Minutius, qui enflé par le succés d’une escarmouche, s’ attribua les honneurs qui estoient deubs à Fabius Maximus,
4 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIV. De l’Asne, et du Lion. »
. Pour la mesme raison, tant Alciat qu’Esope, ont fort judicieusement attribué ceste action au grossier animal d’Arcadie, pour n
5 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
dignement son œuvre, lui donna la liberté. Certains savants ont voulu attribuer son affranchissement à Tibère. Mais leur opinion
avait pas songé. Mais prévoyant que ses contemporains pourraient lui attribuer cette intention, que, bien des siècles plus tard,
lucrum. La richesse ayant été étrangère à ses malheurs, il faut leur attribuer une autre source, et il n’y a pas de longs effort
rche sur quoi il le fonde, on s’aperçoit que la seule qualité qu’il s’ attribue , c’est la brièveté. Dans le prologue du livre II,
osley ; mais, quand on les compare à sa signature, on est porté à les attribuer à une main beaucoup plus ancienne. J’ai relevé pl
’on appelle la Grenville Library, et dans lequel le nº 9064 lui a été attribué . Les marges en sont courtes ; mais la reliure en
, terminant le quatrième livre par le prologue de la deuxième partie, attribuer au cinquième livre des fables et un épilogue qui
et que la notice, imprimée en tête du Phèdre de M. Ernest Panckoucke, attribue à tort à M. Dacier : « La bibliothèque de Saint-R
aujourd’hui tout ce qui reste de ces deux manuscrits. » Après avoir attribué à M. Dacier cette note, qui, évidemment, ne peut
ète dramatique, disent-ils (t. II, p. 94, not. col. 2), s’il paraît s’ attribuer un discours barbare, ce n’est pas sans doute parc
ourrait donc, ce semble ; pour nous rapprocher de nos diplomaticiens, attribuer à Phèdre l’Aululaire. Il était Grec ; il a vécu s
e les suivait dans le manuscrit de Reims, Dom Vincent a cru pouvoir l’ attribuer à Phèdre, la raison qui l’a déterminé avait bien
i en entier ni en fragment. Rigault, en mettant ses notes en ordre, a attribué au manuscrit de Daniel des mots qu’il avait dû ti
, M. Berger de Xivrey signale, dans une note, la même variante et lui attribue la même source144. Après avoir ainsi implicitemen
nant de l’indication d’un manuscrit pour un autre. En effet, la leçon attribuée au manuscrit de Daniel n’appartient pas davantage
lieu de la variante irati du vers XVI indiquée par Burmann, Philippe attribue au texte de Perotti la leçon innato. Mais cette d
ibi. comme s’il avait suppléé lui-même le mot parvam et voulu ne pas attribuer à l’auteur latin ce qui ne pouvait avec certitude
ès y avaient remarqué les fables nouvelles, et que, quant à les avoir attribuées à Phèdre, quoiqu’il n’était pas pour cela nécessa
lencontreuse déclaration. Je n’en veux donner qu’une. Si l’on pouvait attribuer à Perotti la fable xvii du livre III, il faudrait
e base uniquement sur la déclaration de l’archevêque de Siponte qui s’ attribue la paternité de la fable xvii du livre III. Avant
alification de pulcherrima ? Évidemment parce qu’il n’entend pas se l’ attribuer . S’il avait voulu faire prendre le change, il aur
on temps. La conclusion de tout cela, c’est que l’opinion de ceux qui attribuaient à Perotti les fables de Phèdre et le sentiment de
eur donnait une arme puissante, et qui leur permettait de continuer à attribuer les fables à l’archevêque de Siponte ou tout au m
éunit les nombreuses raisons, qui, suivant lui, ne permettaient pas d’ attribuer à un auteur ancien les fables de Phèdre. Comme l’
ables de Romulus semblent être la traduction en prose de celles qu’on attribue à Phèdre. Mais en définitive c’est Perotti qui es
éfinitive c’est Perotti qui est l’auteur des fables qu’il lui a plu d’ attribuer à un affranchi d’Auguste. Enfin, pour faire accep
oit inséré une seule Fable qui ne seroit pas de lui ? Faudroit-il les attribuer toutes à Pérotti qui en auroit fait une ? Un Manu
e 1749, dans son Thesaurus linguæ latinæ, Gesner n’avait pas hésité à attribuer au philosophe épicurien, contemporain de Cicéron,
Martial à un Phèdre, qui ne s’occupait que de philosophie, a-t-il pu attribuer au même philosophe les cinq livres de fables dont
approchements ; car ils prouvent que Martial s’était involontairement attribué quelques expressions de l’improbus Phædrus. Du re
trompés en prétendant que Phèdre n’avait pas existé, que les fables, attribuées à cet auteur, suivant eux, imaginaire, n’étaient
cahier d’honneur. De là vint cette collection de fables latines qu’on attribue à Phèdre, et qui ne sont que la traduction de son
vers, disjecti membra poetæ. Deux collections de ces fables en prose attribuées à deux Romulus furent publiées, l’une par Rimiciu
elles doivent aussi lui appartenir253. 9º La dédicace de Perotti lui attribue d’ailleurs les fables nouvelles : Non sunt hi me
t ne peut provenir de l’auteur. De tout cela il ressort que, pour lui attribuer les fables nouvelles, il n’est pas nécessaire de
e ceux qui sont défectueux. Les fautes qui nous choquent, il faut les attribuer non pas aux simples copistes, mais aux grammairie
formule n’était pas connue de Perotti, et que, même si on voulait lui attribuer cette fable, on ne pourrait supposer que le vers
les fables nouvelles, y déclarait qu’il n’osait ni les refuser ni les attribuer au fabuliste latin261. Vers la même époque, M. Ro
. « Il me paraît, dit-il, en parlant de cette fable, n’avoir hésité à attribuer celle-ci à Phèdre que parce que plusieurs vers lu
texte des fautes soit de syntaxe, soit de versification ; mais il les attribue soit au manuscrit défectueux dont Perotti s’est s
ins de confiance encore. Aussi voit-on, en 1832, le savant Jacobs les attribuer à quelque versificateur moderne, qui, suivant lui
venu d’appeler nouvelles, on comprendrait qu’à chaque groupe pût être attribuée une origine différente. Mais il n’en est pas ains
’Avianus, on fait des fables nouvelles un troisième groupe et qu’on l’ attribue à Perotti, on verra qu’après avoir placé sous ses
es fables nouvelles, il ne s’ensuit pas, me dira-t-on, qu’on doive en attribuer à Phèdre la paternité ; nous prouvons même qu’on
dons encore qu’une très faible partie. La conclusion, c’est que, pour attribuer à Phèdre les trente-deux fables nouvelles, il n’e
e à celle de Brotier, augmentée de la traduction des nouvelles fables attribuées à Phèdre, et suivie des fables imitées par La Fon
s, Ardant (1re édition, 1819). In-12 de 11 feuilles. Nouvelles Fables attribuées à Phèdre, latin-français. Traduction nouvelle. Pa
1860.     Traduction en vers français des хххii nouvelles fables attribuées à Phèdre, d’après le manuscrit de Perroti, par M.
pages 96 à 98, sous le nº 645, le petit poème Est et non en 25 vers, attribué à Ausone et édité d’après plusieurs manuscrits et
rant de celle de la copie des Fabulæ antiquæ, ne permet pas de la lui attribuer . Elle est également trop récente pour appartenir
angement. Ce qu’il a altéré l’a été involontairement, et ne doit être attribué qu’à son ignorance véritablement incroyable. » J
’est que des critiques fort recommandables n’aient pas été éloignés d’ attribuer cette qualité à Romulus Augustule. Il ne faut pas
nom supposé, auquel, par une sorte d’accord tacite, un sens avait été attribué . « Ce mot, dit-il311, ne signifiait d’abord que l
nt qui écrivait au commencement du xviiie ne lui avait, il est vrai, attribué que cinq cents ans à peine : Est enim fere quing
e carlovingienne l’apparition des fables de Romulus, ne sait quel âge attribuer à celles du manuscrit de Wissembourg, et croit qu
it pas aperçu les différences profondes qui devaient empêcher de leur attribuer une origine commune. En effet, cette impossibilit
âge du manuscrit, il est vrai que le catalogue imprimé l’avait à tort attribué au xie  siècle ; mais, pour rectifier cette erreu
puyant sur un manuscrit de la grande bibliothèque autrichienne, avait attribué à l’archevêque Hildebert les Tables de l’anonyme
insi à leur donner à chacun vingt fables, il en aura pour la symétrie attribué un pareil nombre au quatrième. Ce dernier livre e
s de Romulus succèdent dix-sept fables dites Fabulæ extravagantes, et attribuées à Ésope (fol. 147 b à 187 a). En effet, elles son
Romulus. Il a cru que cet exemplaire était un spécimen unique, lui a attribué l’importance d’un véritable manuscrit et l’a appe
il ne me semble pas douteux que, comme la précédente, elle doive être attribuée à Sorg. D’ailleurs, par le format, les caractères
t in-fº, une réimpression latine de l’édition d’Ulm, que le Catalogue attribue à l’imprimerie de Sorg. La bibliothèque de Munich
et maître Ésope et commencent les anciennes fables courantes que l’on attribue à Ésope. » Fol. 101 b, portant le nº lxvij. —  H
chreybet Esopo. Lisez : « Ici finissent les vieilles fables que l’on attribue à Ésope. » Fol. 102 a, portant le nº lxviij. — 
ent les nouvelles fables mises en allemand d’après Rimicius, qui sont attribuées aussi à Ésope, avec leur table. » Fol. 111 a, po
émanent de lui, elles ne peuvent cependant lui être incontestablement attribuées  ; une seule, étant accompagnée de son nom, ne peu
t maître Ésope, et commencent les vieilles fables courantes qu’on lui attribue . » Fol. 74 a, portant la signature i. iiii. —  H
Traduction : « Ici finissent les vieilles fables courantes que l’on attribue à Ésope, et commencent les nouvelles fables mises
ent les nouvelles fables mises en allemand d’après Rimitius, que l’on attribue aussi à Ésope, avec leur table. » Fol. 81 a. — 
ustré de gravures sur bois, est une réimpression que je crois pouvoir attribuer à Hannsen Schönsperger, et qui au moins a été exé
n. Et cōmēcent celles de alfonce. Fol. 61 a à 68 b. — Treize fables attribuées à Alphonse, accompagnées chacune d’une gravure et
e 12304 a 27 à la bibliothèque du British Museum, où le catalogue lui attribue la date de 1802. B. —  Fabulas | De Isopo. | fils
ix-huit livres. C’est par erreur que quelques bibliographes ne lui en attribuent que dix-sept. C’est un vaste répertoire qui trait
. Ce manuscrit forme un petit volume in-8º, auquel M. Oesterley n’ attribue que 53 feuillets, mais qui en réalité en possède 
3. Telles sont les éditions imprimées par Mentellin. Faut-il lui en attribuer une dernière de cinq volumes in-folio en caractèr
e Amerbach à l’illustre Vincent de Beauvais. Panzer croit pouvoir lui attribuer une édition in-folio qu’il signale du Speculum na
i réclames, ni pagination378. § 5. — Édition de Cologne. Panzer attribue à Ulrich Zell de Cologne une édition in-folio du
manuscrit 636 de la Bibliothèque de Parme les fables élégiaques sont attribuées à un certain Romulus qui les a traduites du grec
n, Henri Bebel n’en avait pas eu connaissance ; car il n’hésita pas à attribuer les fables élégiaques à un certain Romulus, dont
e tourmentent pour refuser à Romulus la paternité de ce livre, pour l’ attribuer à l’un de leurs concitoyens nommé Salon, poète, q
l’ayant mise en vers élégiaques, il n’était pas déraisonnable de lui attribuer également les fables de l’Anonyme composées dans
liable avec l’âge de quelques-uns des manuscrits qui la renfermaient, attribuèrent l’œuvre de l’Anonyme à Walther de Winterborn, car
laire dans la riche bibliothèque d’Apostolo Zeno, il crut pouvoir les attribuer à Nicolas Jenson, homme lettré, qui avait vécu au
d’une manière certaine : je crois, soit dit en passant, que Fabricius attribue à Geoffroi de Montmouth ce qui appartient à Geoff
ertain maître Galfred en ait été l’auteur. L’ouvrage est au contraire attribué à Ésope, et les mots edito (lisez editus) a magis
ail, il serait très disposé à jeter aux orties le nom de Galfred et à attribuer les fables à un certain Garritus. Mais son siège
rsification, de reproduire ici l’épigramme sur l’Hermaphrodite, à lui attribuée par l’éditeur de ses œuvres419 et rendue célèbre
ables élégiaques que possédait la bibliothèque royale. L’un d’eux les attribuait à Romalus, nom qui, comme celui de Romalius, n’ét
t ouvrage, je placerai à la suite des soixante premières. Faut-il les attribuer au même auteur ? Comme, soit par la pensée, soit
t surtout les mêmes défauts. Cependant certains philologues ont voulu attribuer ces deux fables à un auteur différent, et, comme
m’en ont révélé quelques autres, qui certainement ne peuvent lui être attribuées , mais auxquelles, pour qu’on en puisse juger, je
omulus. » Éberhard de Béthune, qui, dans un poème écrit en 1215, les attribue à Ésope, dit que son vers ne sommeille point : A
ine que celle du texte. C’est dans la glose du prologue qu’elles sont attribuées à un poète qui se serait nommé Garritus. Elles se
nuscrits latins imprimé en 1744. Il y avait donc, lorsque Schwabe lui attribuait le nº 893, plus de deux siècles que ce numéro ava
u-Crist qui ne ment : Tout bien de quoi homme est imbué Estre le doit attribué , Dire li deuons comme estable : Tes sers somme no
en français. Je m’empresse d’ajouter qu’il ne faut pas davantage lui attribuer le développement considérable donné à l’épilogue.
rs défauts de proportion. Le texte latin de cinquante-sept des fables attribuées au célèbre conteur d’apologues, est accompagné d’
éambule qui, relativement au point de savoir si l’œuvre doit lui être attribuée , me paraît avoir une importance capitale. Voici e
verso du feuillet 169. En tête se trouve un préambule inepte, qui les attribue à Ésope et dans lequel se lisent les phrases suiv
pu me faire communiquer ni le manuscrit 5311 ni ceux auxquels ont été attribuées des cotes plus élevées. Je ne pourrai donc en don
s a trompé quelque ancien possesseur de ce manuscrit, et l’a induit à attribuer à la composition de la traduction une fausse date
nt accompagnées d’un commentaire, qui, comme presque tous les autres, attribue leur texte latin à l’empereur romain du nom de Ro
ux dessins, ils me paraissent, dans les trois manuscrits, devoir être attribués au même dessinateur. Le manuscrit de Bruxelles se
par les autres manuscrits, elle en reproduit une autre qui consiste à attribuer les fables élégiaques à un moine de Faenza. J’ext
simple titre : Esopi , suivi du prologue dans lequel les fables sont attribuées à Walther l’Anglais. La souscription finale est a
commentaire, qui, copié sur celui des éditions des huit auteurs, les attribue à Walther l’Anglais. C’est une autorité de plus à
articulière, c’est qu’elle est, je le crois du moins, la première qui attribue l’œuvre à Salon de Parme et qui porte l’extrait d
appui offert par elle, comme par celle de 1507, à ceux qui voudraient attribuer à Salon de Parme les fables en vers élégiaques. I
de 1519. Elle contient, entre autres ouvrages, les fables de Walther attribuées à Salon et précédées de l’extrait de la lettre de
comprend que ses soixante fables, accompagnées de la glose qui lui en attribue la paternité. Elles sont suivies de cette souscri
 titres, dont deux, comme dans beaucoup de manuscrits latins, ont été attribués à la fable des Grenouilles demandant un roi, les
72, nº 555 et Hain, Repert. bibliog., t. I, p. 39, nº 346, ont à tort attribué à cette édition la date de 1481. J’en ai trouvé à
66 numéros, sont seulement au nombre de 64, par le motif qu’il a été attribué deux nos distincts au prologue de Walther et au p
icateurs. Le manuscrit forme un gros volume in-4º, dont l’écriture, attribuée d’abord au xive  siècle, a été par M. L. Delisle
t auquel le catalogue donne le nom de Codex Bigotianus. M. Robert lui attribue le nº 2094 ; mais c’est une erreur matérielle : a
le manuscrit 901 un dérivé du Romulus de Vienne, je dois logiquement attribuer le même caractère à celle qui existe dans le manu
aire, je commençai par rechercher si leur nature ne m’obligeait pas à attribuer au texte une autre origine. Le premier point à tr
ette ville par Pierre Vander Aa au commencement du siècle dernier497, attribue à tort au manuscrit latin Vossianus 46 le format
ersion poétique de Marie de France. Dans ma première édition, voulant attribuer à cette collection un nom qui la distinguât des a
t des manuscrits qui nous ont conservé l’œuvre de Marie, son épilogue attribue la traduction anglaise à un autre roi d’Angleterr
duction anglaise. Il a prétendu qu’au xiie  siècle on avait coutume d’ attribuer à Alfred le Grand « beaucoup d’ouvrages qu’il n’a
est le seul que ce nom puisse désigner, c’est à lui que je persiste à attribuer la traduction anglaise. Il ne peut, à mon sens, s
e Dérivé se termine par vingt-quatre autres fables que les manuscrits attribuent au roi Alfred et qui, comprenant cinq fables puis
nation du nombre des fables.     L’importance qu’au moyen âge on a attribuée au Romulus anglo-latin me fait un devoir de ne pa
lée au milieu de ce Romulus et trois faisant partie du dernier groupe attribué par les manuscrits à Alfred le Grand. En ce qui t
quoique étrangères aux cent trois connues, doivent lui être néanmoins attribuées . C’est ce que j’ai fait. Parmi les manuscrits fra
suivi par Marie. Les cent trois fables, que dans tous les cas il faut attribuer à Marie, se terminent par un épilogue de vingt-de
Le manuscrit qui les contient a été connu de M. de Roquefort qui lui attribue la cote M. 18. J. Manuscrit 25405. Le manus
miers vers. M. de Roquefort qui a connu le manuscrit 25545 et qui lui attribue la cote N. 2, dit, en parlant de la soixante-troi
e la première colonne du feuillet 67 b par l’épilogue en 22 vers, qui attribue la traduction anglaise à un roi appelé Alurez ou
ers, qui, comme celui du manuscrit 1446 de la Bibliothèque nationale, attribue la traduction anglaise à un roi Henris, qui ne pe
, dans la bibliothèque qui le possède, non pas le nº 85 qui lui a été attribué par les auteurs du Catalogue publié à Oxford, ni
avants, janvier 1885, p. 47. 398. Voyez page 461 et s. 399. Les nos attribués ici aux fables d’Eude sont ceux qui résultent de
6 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »
omme j’ay supposé, une femme qui leur soit fidele, ils peuvent bien l’ attribuer à la seule Vertu, mais non pas à son amour, puis
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