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1 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 253 » p. 262
Chambry 253 Ξύλα καὶ ἐλαία — Les arbres et l’olivier. Ξύλα ποτὲ ἐπορεύθη τοῦ χειροτονῆ
υ καὶ καταφάγοι τὰς κέδρους τοῦ Λιϐάνου. » Cod. Mb 133. Un jour les arbres se mirent en devoir d’élire un roi pour les comma
ppréciée en moi par Dieu et par les hommes, pour aller régner sur les arbres  ! » Et les arbres dirent au figuier : « Viens rég
r Dieu et par les hommes, pour aller régner sur les arbres ! » Et les arbres dirent au figuier : « Viens régner sur nous. » Et
en moi et à l’excellent fruit que je porte, pour aller régner sur les arbres  ! » Et les arbres dirent à l’épine : « Viens régn
llent fruit que je porte, pour aller régner sur les arbres ! » Et les arbres dirent à l’épine : « Viens régner sur nous. » Et
dirent à l’épine : « Viens régner sur nous. » Et l’épine répondit aux arbres  : « Si vraiment vous m’oignez pour régner sur vou
2 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 85 » pp. 299-299
Chambry 85 Chambry 85.1 Γεωργὸς καὶ φυτόν — Le laboureur et l’ arbre . Φυτὸν ἦν εἰς γεωργοῦ χώραν, καρπὸν μὴ φέρον,
υσι. Codd. Ba 140 Bb 85. Il y avait dans le champ d’un laboureur un arbre qui ne portait pas de fruit, et qui servait uniqu
na un second, puis un troisième coup. Mais ayant fait un creux dans l’ arbre , il trouva un essaim d’abeilles et du miel. Il y
les et du miel. Il y goûta, et jeta sa hache, et dès lors il honora l’ arbre , comme s’il était sacré, et il en prit grand soin
3 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 181 » pp. 252-252
fait société allaient par chemins. Le soir venu, le coq monta sur un arbre pour y dormir, et le chien se coucha au pied de l
monta sur un arbre pour y dormir, et le chien se coucha au pied de l’ arbre qui était creux. Or le coq ayant, suivant son hab
nt le jour, un renard l’entendit, accourut et, s’arrêtant en bas de l’ arbre , le pria de descendre vers lui ; car il désirait
Le coq lui dit d’éveiller d’abord le portier qui dormait au pied de l’ arbre  : il descendrait, quand celui-ci aurait ouvert. A
4 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIX. De la Fourmy, et de la Colombe. »
e y tomba par malheur. Alors une Colombe branchée fortuitement sur un arbre , qui panchoit sur l’eau, voyant la pauvre Fourmy
en danger de mort, rompit incontinent avecque son bec un rameau de l’ arbre , qu’elle laissa cheoir dans la fontaine ; et ains
5 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIII. De l’Arbre, et du Roseau. »
FABLE LXIII. De l’ Arbre , et du Roseau. L’Arbre et le Roseau disputoient
FABLE LXIII. De l’Arbre, et du Roseau. L’ Arbre et le Roseau disputoient ensemble, touchant leur
ent ensemble, touchant leur force et leur fermeté. En ce contraste, l’ Arbre injurioit le Roseau, et luy reprochoit d’estre in
t souple aux secousses du vent, qui l’agitoit sans luy nuire ; Mais l’ Arbre au contraire, voulant s’opposer à sa violence, fû
te, mais qui conserve ses racines fermes et durables, au lieu que cét arbre orgueilleux, pour s’estre roidy contre les coups
6 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — VI. L’Aigle, la Laye, et la Chate. » p. 488
Aigle, la Laye, et la Chate. L’Aigle avoit ses petits au haut d’un arbre creux
 La Laye au pied, la Chate entre les deux :
le chesne asseurément,
 Et de nos nourrissons attirer la ruine.
   L’ arbre tombant ils seront devorez :
 Qu’ils s’en tiennen
7 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XX. L’Ours et les deux Compagnons. » p. 65
n n’en dit pas un mot. L’un des deux Compagnons grimpe au faiste d’un arbre  ; L’autre, plus froid que n’est un marbre, Se cou
s s’en va dans la forest prochaine. L’un de nos deux Marchands de son arbre descend, Court à son compagnon ; luy dit que c’es
8 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 305 » pp. 203-203
162 Cd 108 Ce 95 Cf 101 Cg 39 Ch 114 Ml 144. Un singe perché sur un arbre élevé, ayant vu des pêcheurs jeter la seine dans
istance pour prendre leur déjeuner. Alors le singe, descendant de son arbre , essaya de faire comme eux ; car cette bête a, di
9 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — II. Le Corbeau et le Renard. » p. 124
II. Le Corbeau et le Renard. Maistre Corbeau sur un arbre perché, Tenoit en son bec un fromage. Maistre Ren
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIV. De la Forest, et du Paysan. »
FABLE XLIV. De la Forest, et du Paysan. Au temps que les Arbres parloient, un Paysan s’en alla dans une Forest, e
ais comme elle veid qu’estant emmanchée, il s’en servoit à couper les Arbres , elle se repentit alors, bien qu’il n’en fût plus
11 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 255 » pp. 65-65
r la même route. Un ours leur apparut soudain. L’un monta vite sur un arbre et s’y tint caché ; l’autre, sur le point d’être
as à un cadavre. Quand l’ours se fut éloigné, l’homme qui était sur l’ arbre descendit et demanda à l’autre ce que l’ours lui
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLI. Du Cerf, et du Chasseur. »
dans une forest espaisse, où ses cornes se prirent aux branches d’un arbre , et ce fut alors, que se dédisant de son opinion,
ssailles ne sont pas si sujettes aux coups de coignée, que les grands arbres . Ne mettons donc point en compte, si nous sommes
13 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 335 » p. 241
Codd. Pa 224 Pe 69 Pf 129 Me 166 Mf 137. Une cigale chantait sur un arbre élevé. Un renard qui voulait la dévorer imagina l
14 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XV. Le Coq et le Renard. » p. 671
XV. Le Coq et le Renard. Sur la branche d’un arbre estoit en sentinelle Un vieux Coq adroit et matoi
15 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 258 » p. 175
é les yeux vers le platane, ils se dirent l’un à l’autre : « Voilà un arbre qui est stérile et inutile à l’homme. » Le platan
16 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XXII. Le Chesne et le Rozeau. » p. 70
ble des enfans
 Que le Nort eust porté jusques-là dans ses flancs.
 L’ Arbre tient bon, le Roseau plie ;
 Le vent redouble ses
17 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 315 » p. 267
evina et comprit ce qui se passait, et tua le loup en le pendant à un arbre . Cette fable montre qu’un naturel pervers ne peut
18 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 99 » pp. 302-302
ent-ils, que nous sommes venus au jour ; car plus que tous les autres arbres nous sommes exposés aux coups brutaux de la hache
19 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 45 » pp. 32-32
vé au bord du Nil, il rencontra un loup ; il eut peur et monta sur un arbre de la rive, ou il se cacha. Mais là il aperçut un
20 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 171 » pp. 125-125
èges. Donc ayant vu passer des voyageurs, elle alla se percher sur un arbre et là poussa de grands cris. À sa voix, les voyag
21 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — L’ingratitude de Xanthus. Chapitre XIX. »
perçeut fortuitement deux Corneilles, qui s’estoient branchées sur un arbre  ; ce qu’il fist sçavoir incontinent à son Maistre
22 (1180) Fables « Marie de France, n° 53. L’ermite » p. 664
fet il, « or les ester ! Ne voilez mes Adam blamer, si le fruit de l’ arbre manga que nostre sire li devea : li deables li cu
23 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 328 » pp. 224-224
64 Pf 123 Pg 142 Mb 210 Me 161 Mf 135. Un sanglier, posté près d’un arbre , aiguisait ses défenses. Un renard lui demanda po
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Par quelle advanture Esope reçeut le don de bien parler. Chapitre IIII. »
Ville. Alors Esope les ayant premierement fait asseoir à l’ombre d’un arbre , leur donna dequoy manger sobrement : puis il leu
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCII. De deux Amis, et de l’Ours. »
chemin, comme ils voyageoient ensemble. L’un monta promptement sur un arbre , pour éviter le danger, et l’autre se jetta par t
e mal. Apres qu’il s’en fût allé, et que celuy qui estoit monté sur l’ arbre en fût décendu, il voulut railler son Compagnon,
26 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 207 » pp. 150-150
sance du rat. Des chasseurs en effet le prirent et l’attachèrent à un arbre avec une corde. Alors le rat l’entendant gémir ac
27 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — FABLE I. Contre ceux qui ont le goust difficile. » p. 
ait parler le Loup, et répondre l’Agneau. J’ay passé plus avant ; les Arbres et les Plantes Sont devenus chez moy creatures pa
28 (1180) Fables « Marie de France, n° 46. Les oiseaux et leur roi » p. 652
verité, l’unt dici qu’a li enveié. La mesenge vola tut dreit dici a l’ arbre u il esteit ; mut s’esteit pres de li asise, si l
29 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 3 » pp. 1-1
ait leur liaison. Et alors l’aigle prenant son essor s’établit sur un arbre très élevé et y fit sa couvée, tandis que le rena
dis que le renard, se glissant dans le buisson qui était au pied de l’ arbre , y déposa ses petits. Mais un jour que le renard
30 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La vente d’Esope. Chapitre V. »
stre maison des champs ». « Et quoy », repartit le Maistre, « quelque arbre a t’il porté du fruict avant le temps, ou bien y
pris ce pot ? Est-ce un homme que tu me monstres, ou quelque tronc d’ arbre  ? Certes s’il ne parloit comme il fait, je le pre
31 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 111 » pp. 89-89
ait pas. À la deuxième fois, le dieu vit une corneille perchée sur un arbre , qui tantôt levait les yeux en haut, tantôt se pe
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIII. Du Corbeau, et du Renard. »
que proye, s’en resjouyssoit, et faisoit un merveilleux bruict sur un arbre , lors que le Renard, qui luy vit faire toutes ces
oy, comme j’ay passé par icy, t’ayant veu fortuitement perché sur cét arbre , je me suis advisé de m’en approcher, pour rejett
33 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 138 » pp. 115-115
u et ses gluaux, partit pour la chasse. Ayant aperçu une grive sur un arbre élevé, il se mit en tête de l’attraper. En conséq
34 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 166 » pp. 124-124
Un corbeau, ayant volé un morceau de viande, s’était perché sur un arbre . Un renard l’aperçut, et, voulant se rendre maîtr
35 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 244 » pp. 235-235
ain de se noyer. Une colombe, l’ayant aperçue, détacha un rameau d’un arbre et le jeta dans la source ; la fourmi monta dessu
36 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XC. De deux Chiens. »
ustume de combattre au desceu de tout le monde, et de n’avoir que des arbres et des rochers pour témoins de leur action ; soit
37 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVI. Du Renard, et du Chat. »
s’en vindrent tout droit à eux. Alors le Chat monta vistement sur un arbre  ; Ce que le Renard ne pouvant faire, il fût à l’i
38 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXI. De la Fourmy, et de la Cigale. »
la raillerie à l’heure de sa mort, quoy qu’il rendit l’esprit sous un Arbre , à faute d’avoir une malheureuse retraicte pour s
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XII. De l’Aigle, et du Renard. »
r leur conversation mutuelle. L’Aigle bâtist donc son nid sur un haut arbre , auprés duquel le Renard fit sa terriere, et mit
40 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
te Avarice qui les transporte les tient comme Tantale au dessous d’un arbre , sans en cueillir les pommes, et prés de la fonta
41 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
ais si cela estoit, il faudroit conclure aussi, qu’il auroit tenu les arbres et les buissons pour judicieux, puis qu’il les in
42 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
clare au début de son œuvre, il avait mis en scène et fait parler les arbres et les bêtes, soit parce que, sous cette fiction,
’Abondance de l’Archevêque de Siponte, imprimée en 1496, la Fable des Arbres protégés par les Dieux, à peu près telle qu’elle
Lime. iv a, 8. 43. Les Loups et les Brebis. 44. La Hache et les Arbres . 45. Le Loup et le Chien. iii, 7. 46. Le Si
iv a, 8. IV, 9. Les Loups et les Brebis. IV, 10. La Hache et les Arbres . IV, 11. L’Estomac et les Membres. IV, 12.
Grenouilles, le Loup et le Chevreau, le Lion médecin, la Hache et les Arbres , l’Estomac et les Membres. On comprend dès lors l
a, 8. III, 15. Les Loups et les Brebis. III, 16. La Hache et les Arbres . III, 17. Le Loup et le Chien. iii, 7. III,
ime. iv a, 8. 32. Les Loups et les Brebis. 33. La Hache et les Arbres . 34. Le Loup et le Chien. iii, 7. 35. Le S
a, 8. III, 13. Les Loups et les Brebis. III, 14. La Hache et les Arbres . III, 15. Le Loup et le Chien. iii, 7. III
ontrât la vie et les coustumes des hommes, il induit les oyseaux, les arbres et les bestes parlans affinque les hommes congnoi
3. III, 7. Le Cerf à la Fontaine. 14. 9. III, 14. La Hache et les Arbres . 20. 10. III, 15. Le Loup et le Chien. 21. 29.
II, 12. 40. Les Loups et les Brebis. III, 13. 41. La Hache et les Arbres . III, 14. 42. Le Loup et le Chien. III, 15. 4
itre : Fabule Esopi cū cōmento , représente deux singes au pied d’un arbre portant un écusson avec le mot Felix , et dont l
II, 12. 52. Les Loups et les Brebis. III, 13. 53. La Hache et les Arbres . III, 14. 54. Le Loup et le Chien. III, 15. 5
52. Les Loups et les Brebis. 49. 48. 51. 51. 53. La Hache et les Arbres . 50. 49. 52. 52. 54. Le Loup et le Chien. 51. 5
, 15. Les Loups et les Brebis. 50. 49. 50. III, 16. La Hache et les Arbres . 51. 50. 51. III, 17. Le Loup et le Chien. 52.
III, 13. Les Loups et les Brebis. III, 13. III, 14. La Hache et les Arbres . III, 14. III, 15. Le Loup et le Chien. III, 15
II, 15. Les Loups et les Brebis. III, 15. II, 16. La Hache et les Arbres . III, 16. II, 17. Le Loup et le Chien. III, 17.
II, 10. 33. Les Loups et les Brebis. III, 15. 34. La Hache et les Arbres . III, 16. 35. Le Loup et le Chien. III, 17. 3
8. 111. Le Loup et le Renard jugés par le Singe. II, 18. 112. Les Arbres qui se donnent un Roi. 113. Le Lion et ses Fil
13. 22. Les Oiseaux qui élisent un Roi. 10. » 23. La Hache et les Arbres . 32. 24. Le Paysan et les trois Souhaits. 47.
II, 10. 31. Les Loups et les Brebis. III, 15. 32. La Hache et les Arbres . III, 16. 33. Le Loup et le Chien. III, 17. 3
. 134. Le Loup et le Renard, jugés par le Singe. II, 18. 135. Les Arbres qui se donnent un Roi. 136. Le Lion et ses Fil
 || lesquels sont encore inconnus de bien des gens. || On y voit les Arbres , le Soleil et la Lune || parler et se mouvoir bea
II, 14. 30. Les Loups et les Brebis. II, 15. 31. La Hache et les Arbres . II, 16. 32. Le Loup et le Chien. II, 17. 33.
II, 15. Les Loups et les Brebis. II, 15. II, 16. La Hache et les Arbres . II, 16. II, 17. Le Loup et le Chien. II, 17.
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