Chambry 253 Ξύλα καὶ ἐλαία — Les
arbres
et l’olivier. Ξύλα ποτὲ ἐπορεύθη τοῦ χειροτονῆ
υ καὶ καταφάγοι τὰς κέδρους τοῦ Λιϐάνου. » Cod. Mb 133. Un jour les
arbres
se mirent en devoir d’élire un roi pour les comma
ppréciée en moi par Dieu et par les hommes, pour aller régner sur les
arbres
! » Et les arbres dirent au figuier : « Viens rég
r Dieu et par les hommes, pour aller régner sur les arbres ! » Et les
arbres
dirent au figuier : « Viens régner sur nous. » Et
en moi et à l’excellent fruit que je porte, pour aller régner sur les
arbres
! » Et les arbres dirent à l’épine : « Viens régn
llent fruit que je porte, pour aller régner sur les arbres ! » Et les
arbres
dirent à l’épine : « Viens régner sur nous. » Et
dirent à l’épine : « Viens régner sur nous. » Et l’épine répondit aux
arbres
: « Si vraiment vous m’oignez pour régner sur vou
Chambry 85 Chambry 85.1 Γεωργὸς καὶ φυτόν — Le laboureur et l’
arbre
. Φυτὸν ἦν εἰς γεωργοῦ χώραν, καρπὸν μὴ φέρον,
υσι. Codd. Ba 140 Bb 85. Il y avait dans le champ d’un laboureur un
arbre
qui ne portait pas de fruit, et qui servait uniqu
na un second, puis un troisième coup. Mais ayant fait un creux dans l’
arbre
, il trouva un essaim d’abeilles et du miel. Il y
les et du miel. Il y goûta, et jeta sa hache, et dès lors il honora l’
arbre
, comme s’il était sacré, et il en prit grand soin
fait société allaient par chemins. Le soir venu, le coq monta sur un
arbre
pour y dormir, et le chien se coucha au pied de l
monta sur un arbre pour y dormir, et le chien se coucha au pied de l’
arbre
qui était creux. Or le coq ayant, suivant son hab
nt le jour, un renard l’entendit, accourut et, s’arrêtant en bas de l’
arbre
, le pria de descendre vers lui ; car il désirait
Le coq lui dit d’éveiller d’abord le portier qui dormait au pied de l’
arbre
: il descendrait, quand celui-ci aurait ouvert. A
e y tomba par malheur. Alors une Colombe branchée fortuitement sur un
arbre
, qui panchoit sur l’eau, voyant la pauvre Fourmy
en danger de mort, rompit incontinent avecque son bec un rameau de l’
arbre
, qu’elle laissa cheoir dans la fontaine ; et ains
FABLE LXIII. De l’
Arbre
, et du Roseau. L’Arbre et le Roseau disputoient
FABLE LXIII. De l’Arbre, et du Roseau. L’
Arbre
et le Roseau disputoient ensemble, touchant leur
ent ensemble, touchant leur force et leur fermeté. En ce contraste, l’
Arbre
injurioit le Roseau, et luy reprochoit d’estre in
t souple aux secousses du vent, qui l’agitoit sans luy nuire ; Mais l’
Arbre
au contraire, voulant s’opposer à sa violence, fû
te, mais qui conserve ses racines fermes et durables, au lieu que cét
arbre
orgueilleux, pour s’estre roidy contre les coups
Aigle, la Laye, et la Chate. L’Aigle avoit ses petits au haut d’un
arbre
creux
La Laye au pied, la Chate entre les deux :
le chesne asseurément,
Et de nos nourrissons attirer la ruine.
L’
arbre
tombant ils seront devorez :
Qu’ils s’en tiennen
n n’en dit pas un mot. L’un des deux Compagnons grimpe au faiste d’un
arbre
; L’autre, plus froid que n’est un marbre, Se cou
s s’en va dans la forest prochaine. L’un de nos deux Marchands de son
arbre
descend, Court à son compagnon ; luy dit que c’es
162 Cd 108 Ce 95 Cf 101 Cg 39 Ch 114 Ml 144. Un singe perché sur un
arbre
élevé, ayant vu des pêcheurs jeter la seine dans
istance pour prendre leur déjeuner. Alors le singe, descendant de son
arbre
, essaya de faire comme eux ; car cette bête a, di
II. Le Corbeau et le Renard. Maistre Corbeau sur un
arbre
perché, Tenoit en son bec un fromage. Maistre Ren
FABLE XLIV. De la Forest, et du Paysan. Au temps que les
Arbres
parloient, un Paysan s’en alla dans une Forest, e
ais comme elle veid qu’estant emmanchée, il s’en servoit à couper les
Arbres
, elle se repentit alors, bien qu’il n’en fût plus
r la même route. Un ours leur apparut soudain. L’un monta vite sur un
arbre
et s’y tint caché ; l’autre, sur le point d’être
as à un cadavre. Quand l’ours se fut éloigné, l’homme qui était sur l’
arbre
descendit et demanda à l’autre ce que l’ours lui
dans une forest espaisse, où ses cornes se prirent aux branches d’un
arbre
, et ce fut alors, que se dédisant de son opinion,
ssailles ne sont pas si sujettes aux coups de coignée, que les grands
arbres
. Ne mettons donc point en compte, si nous sommes
Codd. Pa 224 Pe 69 Pf 129 Me 166 Mf 137. Une cigale chantait sur un
arbre
élevé. Un renard qui voulait la dévorer imagina l
XV. Le Coq et le Renard. Sur la branche d’un
arbre
estoit en sentinelle Un vieux Coq adroit et matoi
é les yeux vers le platane, ils se dirent l’un à l’autre : « Voilà un
arbre
qui est stérile et inutile à l’homme. » Le platan
ble des enfans
Que le Nort eust porté jusques-là dans ses flancs.
L’
Arbre
tient bon, le Roseau plie ;
Le vent redouble ses
evina et comprit ce qui se passait, et tua le loup en le pendant à un
arbre
. Cette fable montre qu’un naturel pervers ne peut
ent-ils, que nous sommes venus au jour ; car plus que tous les autres
arbres
nous sommes exposés aux coups brutaux de la hache
vé au bord du Nil, il rencontra un loup ; il eut peur et monta sur un
arbre
de la rive, ou il se cacha. Mais là il aperçut un
èges. Donc ayant vu passer des voyageurs, elle alla se percher sur un
arbre
et là poussa de grands cris. À sa voix, les voyag
perçeut fortuitement deux Corneilles, qui s’estoient branchées sur un
arbre
; ce qu’il fist sçavoir incontinent à son Maistre
fet il, « or les ester ! Ne voilez mes Adam blamer, si le fruit de l’
arbre
manga que nostre sire li devea : li deables li cu
64 Pf 123 Pg 142 Mb 210 Me 161 Mf 135. Un sanglier, posté près d’un
arbre
, aiguisait ses défenses. Un renard lui demanda po
Ville. Alors Esope les ayant premierement fait asseoir à l’ombre d’un
arbre
, leur donna dequoy manger sobrement : puis il leu
chemin, comme ils voyageoient ensemble. L’un monta promptement sur un
arbre
, pour éviter le danger, et l’autre se jetta par t
e mal. Apres qu’il s’en fût allé, et que celuy qui estoit monté sur l’
arbre
en fût décendu, il voulut railler son Compagnon,
sance du rat. Des chasseurs en effet le prirent et l’attachèrent à un
arbre
avec une corde. Alors le rat l’entendant gémir ac
ait parler le Loup, et répondre l’Agneau. J’ay passé plus avant ; les
Arbres
et les Plantes Sont devenus chez moy creatures pa
verité, l’unt dici qu’a li enveié. La mesenge vola tut dreit dici a l’
arbre
u il esteit ; mut s’esteit pres de li asise, si l
ait leur liaison. Et alors l’aigle prenant son essor s’établit sur un
arbre
très élevé et y fit sa couvée, tandis que le rena
dis que le renard, se glissant dans le buisson qui était au pied de l’
arbre
, y déposa ses petits. Mais un jour que le renard
stre maison des champs ». « Et quoy », repartit le Maistre, « quelque
arbre
a t’il porté du fruict avant le temps, ou bien y
pris ce pot ? Est-ce un homme que tu me monstres, ou quelque tronc d’
arbre
? Certes s’il ne parloit comme il fait, je le pre
ait pas. À la deuxième fois, le dieu vit une corneille perchée sur un
arbre
, qui tantôt levait les yeux en haut, tantôt se pe
que proye, s’en resjouyssoit, et faisoit un merveilleux bruict sur un
arbre
, lors que le Renard, qui luy vit faire toutes ces
oy, comme j’ay passé par icy, t’ayant veu fortuitement perché sur cét
arbre
, je me suis advisé de m’en approcher, pour rejett
u et ses gluaux, partit pour la chasse. Ayant aperçu une grive sur un
arbre
élevé, il se mit en tête de l’attraper. En conséq
Un corbeau, ayant volé un morceau de viande, s’était perché sur un
arbre
. Un renard l’aperçut, et, voulant se rendre maîtr
ain de se noyer. Une colombe, l’ayant aperçue, détacha un rameau d’un
arbre
et le jeta dans la source ; la fourmi monta dessu
ustume de combattre au desceu de tout le monde, et de n’avoir que des
arbres
et des rochers pour témoins de leur action ; soit
s’en vindrent tout droit à eux. Alors le Chat monta vistement sur un
arbre
; Ce que le Renard ne pouvant faire, il fût à l’i
la raillerie à l’heure de sa mort, quoy qu’il rendit l’esprit sous un
Arbre
, à faute d’avoir une malheureuse retraicte pour s
r leur conversation mutuelle. L’Aigle bâtist donc son nid sur un haut
arbre
, auprés duquel le Renard fit sa terriere, et mit
te Avarice qui les transporte les tient comme Tantale au dessous d’un
arbre
, sans en cueillir les pommes, et prés de la fonta
ais si cela estoit, il faudroit conclure aussi, qu’il auroit tenu les
arbres
et les buissons pour judicieux, puis qu’il les in
clare au début de son œuvre, il avait mis en scène et fait parler les
arbres
et les bêtes, soit parce que, sous cette fiction,
’Abondance de l’Archevêque de Siponte, imprimée en 1496, la Fable des
Arbres
protégés par les Dieux, à peu près telle qu’elle
Lime. iv a, 8. 43. Les Loups et les Brebis. 44. La Hache et les
Arbres
. 45. Le Loup et le Chien. iii, 7. 46. Le Si
iv a, 8. IV, 9. Les Loups et les Brebis. IV, 10. La Hache et les
Arbres
. IV, 11. L’Estomac et les Membres. IV, 12.
Grenouilles, le Loup et le Chevreau, le Lion médecin, la Hache et les
Arbres
, l’Estomac et les Membres. On comprend dès lors l
a, 8. III, 15. Les Loups et les Brebis. III, 16. La Hache et les
Arbres
. III, 17. Le Loup et le Chien. iii, 7. III,
ime. iv a, 8. 32. Les Loups et les Brebis. 33. La Hache et les
Arbres
. 34. Le Loup et le Chien. iii, 7. 35. Le S
a, 8. III, 13. Les Loups et les Brebis. III, 14. La Hache et les
Arbres
. III, 15. Le Loup et le Chien. iii, 7. III
ontrât la vie et les coustumes des hommes, il induit les oyseaux, les
arbres
et les bestes parlans affinque les hommes congnoi
3. III, 7. Le Cerf à la Fontaine. 14. 9. III, 14. La Hache et les
Arbres
. 20. 10. III, 15. Le Loup et le Chien. 21. 29.
II, 12. 40. Les Loups et les Brebis. III, 13. 41. La Hache et les
Arbres
. III, 14. 42. Le Loup et le Chien. III, 15. 4
itre : Fabule Esopi cū cōmento , représente deux singes au pied d’un
arbre
portant un écusson avec le mot Felix , et dont l
II, 12. 52. Les Loups et les Brebis. III, 13. 53. La Hache et les
Arbres
. III, 14. 54. Le Loup et le Chien. III, 15. 5
52. Les Loups et les Brebis. 49. 48. 51. 51. 53. La Hache et les
Arbres
. 50. 49. 52. 52. 54. Le Loup et le Chien. 51. 5
, 15. Les Loups et les Brebis. 50. 49. 50. III, 16. La Hache et les
Arbres
. 51. 50. 51. III, 17. Le Loup et le Chien. 52.
III, 13. Les Loups et les Brebis. III, 13. III, 14. La Hache et les
Arbres
. III, 14. III, 15. Le Loup et le Chien. III, 15
II, 15. Les Loups et les Brebis. III, 15. II, 16. La Hache et les
Arbres
. III, 16. II, 17. Le Loup et le Chien. III, 17.
II, 10. 33. Les Loups et les Brebis. III, 15. 34. La Hache et les
Arbres
. III, 16. 35. Le Loup et le Chien. III, 17. 3
8. 111. Le Loup et le Renard jugés par le Singe. II, 18. 112. Les
Arbres
qui se donnent un Roi. 113. Le Lion et ses Fil
13. 22. Les Oiseaux qui élisent un Roi. 10. » 23. La Hache et les
Arbres
. 32. 24. Le Paysan et les trois Souhaits. 47.
II, 10. 31. Les Loups et les Brebis. III, 15. 32. La Hache et les
Arbres
. III, 16. 33. Le Loup et le Chien. III, 17. 3
. 134. Le Loup et le Renard, jugés par le Singe. II, 18. 135. Les
Arbres
qui se donnent un Roi. 136. Le Lion et ses Fil
|| lesquels sont encore inconnus de bien des gens. || On y voit les
Arbres
, le Soleil et la Lune || parler et se mouvoir bea
II, 14. 30. Les Loups et les Brebis. II, 15. 31. La Hache et les
Arbres
. II, 16. 32. Le Loup et le Chien. II, 17. 33.
II, 15. Les Loups et les Brebis. II, 15. II, 16. La Hache et les
Arbres
. II, 16. II, 17. Le Loup et le Chien. II, 17.
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