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1 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 193 » p. 333
le renard n’avait rien à dîner que le lièvre. Le lièvre lui dit : « J’ apprends pour mon malheur, mais enfin j’apprends d’où te v
èvre. Le lièvre lui dit : « J’apprends pour mon malheur, mais enfin j’ apprends d’où te vient ton nom : ce n’est pas de tes gains
2 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIII. Du Lion, et de la Chévre. »
abyrinthes, d’où il leur est impossible de se tirer. Ceste Fable nous apprend encore à nous défier des ennemis découverts, qui
les sont toutes comprises dessous l’exemple de ceste Chévre, qui nous apprend à ne nous laisser jamais persuader aux cajoleries
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — II. Le Corbeau et le Renard. » p. 124
se tomber sa proye. Le Renard s’en saisit, et dit : Mon bon Monsieur, Apprenez que tout flateur Vit aux dépens de celuy qui l’éc
4 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 316 » p. 366
petit loup, le nourrit ; puis, quand il fut devenu louveteau, il lui apprit à enlever des moutons dans les troupeaux du voisi
5 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 93 » p. 326
iste seulement que je cherche, et non le lion lui-même. » Cette fable apprend à reconnaître les gens hardis et lâches, j’entend
6 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLII. Du Serpent, et de la Lime. »
ne entreprise du Serpent, qui s’efforce de ronger une lime, elle nous apprend à ne choquer point les Grands, de peur que nostre
7 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XV. Le Coq et le Renard. » p. 671
baiser d’amour fraternelle. Ami, reprit le Coq, je ne pouvois jamais Apprendre une plus douce et meilleure nouvelle, Que celle D
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVII. Du Milan malade. »
rresteray pas beaucoup à moraliser là dessus. Car nostre creance nous apprend , que Dieu est encore plus misericordieux que nous
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLVII. Du Singe, et du Renard. »
odées, les choses mesmes qu’ils ont avecque superfluité ; ce qui doit apprendre aux Pauvres, qu’ils n’ont guere à esperer des gra
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLVIII. Du Renard, et des Raisins. »
ger des Raisins, disoit qu’ils n’estoient pas encore meurs. D’où nous apprenons , qu’il faut accortement rejetter son impuissance
11 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 14 » pp. 7-7
7 Pd 8 Pe 12 Pg 5 Ma 15 Mb 3 — Ca 14 Ce 9 Cf 9. Une belette, ayant appris qu’il y avait des poules malades dans une métairi
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXV. Des Liévres craignans sans cause. »
it le plus vieil d’entr’eux, par l’exemple des Grenoüilles, cela nous apprend que c’est une excellente consolation à nos maux,
13 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVI. Du Chat, et des Rats. »
doncques plustost çà haut où nostre Ennemy ne peut monter ». Le Chat apprit ce dessein des Rats, et ne l’eust pas plûtost déc
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVI. Du Satyre, et du Voyageur. »
le Satyre, il en voulut derechef sçavoir le sujet ; Et comme il eust appris que c’estoit pour la refroidir, ne pouvant plus s
15 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIX. Du Renard, et de la Cigongne. »
exemple à ces Artificieux, qui conversent parmy les hommes, pour leur apprendre que toutes les ruses ont leur contre-ruse, et qu’
». Il nous confirme le mesme en plusieurs autres endroicts, pour nous apprendre que les sentiers destournez, par où les Trompeurs
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVIII. D’un Oye, et de son Maistre. »
eut dire le semblable des actions morales, en matiere desquelles nous apprenons par espreuve, que l’homme ne se precipite presque
ë justement à une Déesse, et encore à la plus modeste de toutes, pour apprendre que nous devons nous conduire avec que que lenteu
17 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 176 » pp. 92-92
mais ! ce n’est pas moi qu’il faut blâmer, mais notre maître qui m’a appris , non à travailler, mais à vivre du travail d’autr
18 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — II. Les Membres et l’Estomach. » p. 130
’à fournir ses repas. Chommons, c’est un métier qu’il veut nous faire apprendre .
 Ainsi dit, ainsi fait. Les mains cessent de pre
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIII. De l’Arbre, et du Roseau. »
que appelle au gouvernement des Estats, et qui par consequent doivent apprendre à s’accommoder à toutes les deux fortunes, plus p
son assiette, voire mesme enveloppé de ses propres ruynes. Sa cheute apprend donc aux hommes d’affaires à ne s’ahurter jamais
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
e, dy simplement ces paroles aux habitans : Messieurs, je n’ay jamais appris à rendre raison, ny des Prodiges, ny des Augures 
conseil : je suis content neantmoins de vous faire un conte qui vous apprendra , de quelle façon vous aurez à vous comporter en c
me en effect ils se resolurent de l’envoyer au Roy. Ce qu’Esope ayant appris , et s’estant presenté devant l’assemblée, « Homme
21 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Invention d’Esope, pour faire retourner sa Maistresse avec Xanthus. Chapitre XIII. »
 », respondit Esope, « Car il se doit marier demain ». Le valet ayant appris ces belles nouvelles, laissa là Esope, et monté q
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LII. De l’Oyseleur, et du Merle. »
quante-deuxiesme Fable. Par les paroles de cét animal captif, nous apprenons que la bonne foy est entierement requise à l’accr
23 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — VIII. L’Hirondelle et les petits Oyseaux. » p. 39
t les petits Oyseaux. Une Hirondelle en ses voyages Avoit beaucoup appris . Quiconque a beaucoup veu,
 Peut avoir beaucoup r
24 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 305 » pp. 203-203
que ce que je mérite : pourquoi ai-je entrepris de pêcher, sans avoir appris  ? » Cette fable montre qu’à se mêler d’affaire qu
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XV. De l’Asne, et du Chien. »
’à dessein il s’estoit obligé envers un Empereur ; ou possible a-t’il appris que en Egypte, selon le dire de Cardan en ses sub
le dire de Cardan en ses subtilitez, par une certaine invention l’on apprend aux Asnes à trepigner à la cadance de quelque ins
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXI. Du Dieu Mercure, et d’un Charpentier. »
it au Charpentier, pour la sincerité qu’il remarque en luy. Cela nous apprend que tost ou tard la recompense suit la Vertu, et
r la consolation de ce pauvre homme, si ce n’estoit à dessein de nous apprendre , que c’est en Dieu que les Vertueux ont à mettre
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIII. Des Loups, et de la Brebis. »
ordinaire. Discours sur la quarante-troisiesme Fable. L’on peut apprendre deux choses dans la Fable des Loups et des Brebis
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CV. Du Laboureur, et du Taureau. »
Par ce Taureau, qui se souleve sans cesse contre le Laboureur, nous apprenons qu’il y a certaines natures si revéches, et si ma
29 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 352 » pp. 230-230
Mg 153 Mi 27 Mj 148 Ml 154 Mm 137. Une tortue pria un aigle de lui apprendre à voler. L’aigle lui remontrant qu’elle n’était p
30 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXII. D’un Malade, et d’un Medecin. »
ntinua ce Charlatan. A la fin un de ses amis l’estant allé voir, pour apprendre s’il ne se trouvoit pas mieux que de coustume, « 
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIX. De la femelle du Singe, et de ses deux Enfants. »
mal. Discours sur la cent-neufviesme Fable. Par ceste Fable nous apprenons que l’amour extraordinaire des Peres est quelques
hayr une vie oysive, et de les entretenir dans les voluptez ? de leur apprendre la sobrieté, et de les nourrir parmy les friandis
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La mort d’Esope. Chapitre XXX. »
seau, il les laissa choir en bas, et les cassa. Depuis, comme il eust appris de l’Escarbot, qu’il avoit fait cela exprés, pour
nt tout le temps que les Aigles pondroient leurs œufs. Cela vous doit apprendre , Messieurs de Delphes, à ne mespriser point ce Di
33 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 210 » pp. 149-149
s quoi il pria le lion de choisir. Celui-ci lui demanda qui lui avait appris à partager ainsi : « Le malheur de l’âne », répli
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVIII. De l’Arondelle, et des autres Oyseaux. »
rouva plus de satisfaction qu’avec ses premiers compagnons. Cela nous apprend que ceux dont nous mesprisons les sages advis, s’
35 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVIII. De l’Esprevier, et de la Colombe. »
pire sur eux, vange la querelle des petits contre les grands, et nous apprend par cét exemple, qu’il faut que nous soyons prote
36 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LIII. Du Cerf, et du Cheval. »
ce d’application que ceste Fable peut reçevoir est Politique, et nous apprend que plusieurs Estats ont esté souvent mis en subj
37 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSEIGNEUR. MOROSINI, AMBASSADEUR. ORDINAIRE DE LA. SERENISSIME REPUBLIQVE. DE VENISE, PRES DE SA MAJESTÉ. TRES-CHRESTIENNE. »
comme vous l’Art de gouverner les Peuples ; Ce qu’asseurement ils ont appris , ou de l’Experience, ou de la lecture des bons Li
ige-t’elle ceux qui le reçoivent à ne le mettre point en oubly. Ils l’ apprennent ainsi d’un habile Maistre, et c’est l’Inventeur d
38 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XL. De l’Asne, et du Cheval. »
ants qu’Agathocles, qui se faisoit servir en vaisselle de terre, pour apprendre à n’oublier que son pere la faisoit, et par conse
ucceder la pluye au beau temps, ou le calme à la tempeste ? Cela nous apprend à souffrir patiemment nos afflictions par l’espoi
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE V. Du Chien, et de l’Ombre. »
ntité de personnes, et en general et en particulier. En general, nous apprenons , par là, que tout insatiable desir d’une possessi
40 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVI. De la Tortuë, et de l’Aigle. »
nte-sixiesme Fable. Ceste ambition extravagante de la Tortuë, nous apprend à ne vouloir pas outre-passer de beaucoup nostre
41 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCV. Du Singe, et de ses Enfans. »
uant à l’aveugle affection que le Singe porte à ses Enfans, elle nous apprend combien nous sommes susceptibles de telles foible
42 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 282 » pp. 187-187
e loup mal en point dit : « Je l’ai bien mérité ; car pourquoi, ayant appris de mon père le métier de boucher, ai-je voulu, mo
43 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVII. Du Liévre, et de la Tortuë. »
ais le Renard s’en mocquant ; « Mal-advisé que tu es », luy dit-il, «  apprends une autrefois à ne croire point ta folle teste, e
44 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSIEUR. MONSIEUR. DE SAINCT SYMON, premier Gentil-homme de la Chambre. du Roy, et son premier Escuyer. »
te de celles-cy. C’est une école où les creatures capables de raison, apprennent de celles qui n’en ont point ce qu’elles doivent
45 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVI. Du Cheval, et du Lion. »
Lion, c’est à dire, le plus genereux de tous les animaux. Ce qui nous apprend que les personnes les plus vigoureuses, deviennen
46 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De quelle façon Esope nourrit, et dressa quatre Poussins d’Aigle. Chapitre XXVIII. »
, à quoy toutesfois nous n’adjoûtons pas beaucoup de foy. Car il leur apprit en volant bien haut, à porter dans des corbeilles
dit-il, « car Dieu sçachant tout, n’a pas besoing de s’enquerir, ny d’ apprendre quelque chose d’un homme. Or est-il que tu ne t’a
47 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LV. Du Vautour, et des autres Oyseaux. »
eur une chose qui n’est que trop cognuë, à sçavoir, que plusieurs ont appris l’art d’empoisonner par la senteur d’un bouquet,
48 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVIII. Du Berger, et du Loup . »
a Ville d’Athenes pour un homme extrémement causeur et peu veritable, apprit par hazard sur le port de Pirée d’un fugitif qui
49 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXVIII. De l’Ours, et des Mouches à Miel. »
eintures de ceste maniere, et toutes semblables à celle-cy. Elle nous apprend qu’un seul ne peut rien contre plusieurs : Que le
50 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
yen pourquoy il s’est voulu servir de l’introduction des bestes, pour apprendre la sagesse aux hommes. Ceux qui ont creu l’Esprit
ét exemple ils en adjoustent un autre d’un Elephant Indien, qui avoit appris la langue des Portugais, un peu apres la conquest
perfection de tous les sens ; et en ce cas là, nous n’aurions jamais appris à dompter les Lions, qui surpassent de bien loing
’il avoit imaginee. Par où, sans doute, cét excellent homme nous veut apprendre , que la Prudence sans la Force peut beaucoup, com
, qui nous semblent admirables dans le commerce du monde. Cette Reyne apprend aux petits à se deffendre contre les forts, aux G
51 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE VIII. Du Laboureur et du Serpent. »
t dit, « Soyez prudents comme des Serpents ». La mesme Escriture nous apprend dés le commencement de la Genese, qu’il represent
52 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE L. Du Renard, et des Chasseurs. »
du Ciel. Quant au Bucheron, qui blâme le Loup d’ingratitude, il nous apprend que telle personne nous a mortellement offencez,
53 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVII. Du Laboureur, et de la Cigongne. »
Virgile, J’ay peur des Grecs, et mesme quand ils donnent. Où as-tu appris qu’il faille achepter si cher la civilité, que de
54 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 4 » pp. 3-3
où paraissent les escarbots, les aigles ne nichent plus. Cette fable apprend à ne mépriser personne ; il faut se dire qu’il n’
55 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVI. Du Renard, et du Chat. »
me Fable. Le dessein de nostre Autheur en cette Fable, est de nous apprendre que la naïfve prudence est plus pure en toutes ch
56 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XVI. Du Lion, et du Rat. »
la queuë. Comme cét effect estoit extraordinaire, le Peuple en voulut apprendre la cause, de la bouche mesme de l’Esclave, qui se
57 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXX. De l’Aigle, et du Corbeau. »
Corbeau, qui fût comme un joüet entre les mains des Enfants, il nous apprend que si la folle imitation des personnes relevées
58 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 254 » pp. 173-173
t que faire, il s’était assis sur la berge et pleurait. Hermès, ayant appris la cause de sa tristesse, le prit en pitié ; il p
59 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIII. Du Corbeau, et du Renard. »
pparence y a-t’il de se rapporter à un tiers de ce que l’on est, et d’ apprendre ses veritez de la personne d’autruy ? Les Grands
60 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXI. De la Fourmy, et de la Cigale. »
long d’un porche à demander l’aumône aux statuës, afin, disoit-il, d’ apprendre à n’avoir point de honte de mendier. Il supporta
61 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « AU LECTEUR. Sur le sujet des Fables. »
fut depuis transformé en une Plante appellée de son nom. Ce qui nous apprend que les hommes qui s’ayment par trop, et qui semb
62 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XII. De l’Aigle, et du Renard. »
sauver de la flamme, tombent dans la gueule de leur Ennemy. Cela nous apprend , que les meschants qui faussent une amitié, et tr
63 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIII. De la Fourmy, et de la Mouche. »
nes, et le goust naturel de ses grains, par où il semble qu’elle nous apprend , que la vraye volupté ne consiste pas dans le tro
64 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLV. Du Loup, et du Chien. »
aissé de déferer au Commandement des Puissances terriennes, pour nous apprendre à le faire sans murmurer. De toutes ces choses il
65 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope est derechef vendu. Chapitre VII. »
vant. A cause dequoy un des Disciples s’obstinant plus fort à vouloir apprendre , pourquoy il rioit ainsi à tout propos ; « Va-t’e
66 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXI. De Venus, et d’une Chatte. »
s pour elle. L’exemple d’un bon nombre de personnes de condition leur apprend assez, qu’une haute Fortune ne sert quelquesfois
67 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIX. Du Sapin, et du Buisson. »
qui nous portera mieux dans l’excez que l’excez mesme ? Comment nous apprendra la moderation une chose qui de sa nature est dére
68 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
aison, pour estre compagne éternelle de nos enfants ? Elle seule leur apprendra le mépris des vanitez de la terre ; Elle les des-
69 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
a possédant, il avait pu dans le palais impérial, en même temps qu’il apprenait la langue latine, acquérir aisément une connaissa
dait-elle encore le manuscrit de Daniel ? Voilà ce que n’avaient pu m’ apprendre ni Schwabe, ni Adry, ni les autres savants dont j
la bibliothèque. C’était l’époque des vacances ; elle était fermée. J’ appris que le conservateur était un savant bénédictin fr
s clé comme de raison, je l’avais seul constamment gardé. Cependant j’ appris que des exemplaires de la brochure avaient été en
mêmes attaques. Il est passé de la colère à l’exaspération. Il avait appris que Cassitto préparait une troisième édition d’un
can le manuscrit de Daniel. Schwabe, ayant, par les notes de Barbier, appris qu’on savait enfin où était celui de Pithou, ne v
cinquième qui ne devaient pas être aussi courts. Phèdre lui-même nous apprend qu’il ne s’était pas contenté de mettre en œuvre
ue parce qu’au moment de se mettre à l’œuvre, il avait presque tout à apprendre . Je pourrais m’en tenir là ; mais je désire répon
ayant fait, dans l’unique but de l’étudier, le voyage de Hollande, j’ appris par M. du Rieu que le manuscrit était absent, qu’
rieures. Schwabe, dans son édition de Phèdre publiée en 1806, nous apprend bien que le manuscrit de Wissembourg renfermait d
séjour en Suisse, le 7 août, comme je m’acheminais vers la France, j’ appris à Lausanne nos premiers désastres, et je rentrai
lisant l’Étude historique de M. E. du Méril sur la fable ésopique, j’ appris que non seulement le manuscrit de Wissembourg exi
dernier, pendant le siège de Paris, était allé mourir en Normandie. J’ appris par le libraire Vieweg qu’il avait légué sa bibli
ions n’ajoutaient rien à ce que la dissertation de Tross m’avait déjà appris . De plus en plus surexcitée par les obstacles, ma
s le savions ; ce qu’il contenait, le manuscrit de Wissembourg nous l’ apprend  : c’est le Prologue et la Table des 57 chapitres
de Esope. Que toutes personnes que ce liure vouldront lire, pourront apprendre et entendre par ces fables à eulx bien gouverner.
s belles-lettres. Le jeune prince profita si bien de ses leçons qu’il apprit non seulement la langue latine, mais encore la pr
’aux ouvrages formant le manuscrit 713. Il ne s’en tint pas là. Ayant appris par Dressler que les fables devaient être l’œuvre
premier volume de ma première édition, à la page 508, je disais avoir appris par l’un des bibliothécaires du Palais des Arts q
alatine et aux éditions les plus anciennes. C’est lui-même qui nous l’ apprend dans sa dédicace à Pierre Névelet-Dosche son père
raduction de ce sonnet : « Ô toi lecteur, à qui plaisent mes récits, apprends que je suis Ésope. J’ai déjà paru en latin et en
’y recourus. Je vais, à l’aide de deux fables, montrer ce qu’elle m’a appris . Je me sers d’abord de celle du Chien qui lâche l
ivé de 136 fables et la traduction de Marie de France qui vont nous l’ apprendre . J’ai fait connaître les divers éléments dont le
ma première édition dans le Journal des savants, M. Gaston Paris m’a appris que je m’étais trompé. Elles ont en effet paru, e
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