de bœuf qu’elle charriait dans ses eaux, lui demanda son nom. « Je m’
appelle
Dure », répondit-elle. Alors précipitant son cour
ng trajet à faire. Fatigué par la marche, il déposa son fardeau et il
appela
la Mort. La Mort parut et lui demanda pour quel m
il appela la Mort. La Mort parut et lui demanda pour quel motif il l’
appelait
. Le vieillard répondit : « C’est pour que tu me s
un jeune agneau. Celui-ci se réfugia dans un temple. Comme le loup l’
appelait
à lui et disait que le sacrificateur l’immolerait
Sire ;
Elle doit estre à moy, dit-il ; et la raison,
C’est que je m’
appelle
Lion,
A cela l’on n’a rien à dire.
La seconde p
Mg 104 Ml 99. Les lièvres un jour, étant en guerre avec les aigles,
appelèrent
à leur secours les renards. Ceux-ci répondirent :
Fais-tu réellement beaucoup de profits, et peux-tu dire pourquoi on t’
appelle
le « profiteur ? » — Si tu en doutes, répondit le
leuri. Mais la chèvre lui répondit : « Ce n’est pas pour moi que tu m’
appelles
au pâtis, c’est pour toi qui n’as pas de quoi man
aut pour une pomme ; On la fit déloger des Cieux. Chez l’Animal qu’on
appelle
Homme On la receut à bras ouverts, Elle et Que-si
in du village, se livrait constamment à la plaisanterie que voici. Il
appelait
les habitants du village à son secours, en criant
ntèrent réellement. Tandis qu’ils saccageaient le troupeau, le berger
appelait
au secours les villageois ; mais ceux-ci, s’imagi
e lion, qui était depuis longtemps en guerre avec un taureau sauvage,
appela
le dauphin à son secours. Celui-ci essaya de sort
rivière se vit en danger d’être noyé. Ayant aperçu un voyageur, il l’
appela
à son secours. Le voyageur lui reprocha sa téméri
n ont faits. Je commenceray donc par la definition de la fable, que j’
appelle
proprement une feinte, qui par quelque ressemblan
les estime grandement, pour la gentillesse de leurs inventions. L’on
appelle
Fables de speculation et d’action ensemble celles
suite de cela, ils adjoustent la generation de l’ame du monde, qu’ils
appellent
Jupiter, entant que par sa lumiere, et son mouvem
voisins. Zeus indigné de sa cupidité le changea en l’animal que nous
appelons
fourmi. Mais pour avoir changé de forme, il n’a p
it reçu un dépôt d’un ami projetait de l’en frustrer. Comme cet ami l’
appelait
à prêter serment, pris d’inquiétude, il partit po
à se conserver, comme si leur vie estoit accompagnée de tout ce qu’on
appelle
bonne fortune. Ce que considerant ceux qui ne son
aires ? » Cette fable nous enseigne que nous aussi nous ne devons pas
appeler
tout de suite les dieux pour des bagatelles inoff
ier, et la corvée
Luy font d’un mal-heureux la peinture achevée.
Il
appelle
la mort, elle vient sans tarder ;
Luy demande ce
e action toute pleine d’inconstance, et de fausse conduite, et cela s’
appelle
proprement traicter en amis ceux à qui nous avons
de sacré, ny d’inviolable. Ils levent la main devant leur Juge ; ils
appellent
leur Createur à tesmoin ; ils jurent mesme sur l’
particulieres. Que si quelqu’un n’est pourveu de ces Vertus, que l’on
appelle
éminentes, il n’est pas incompatible que pour rec
, il arrive une disgrace infaillible. Aussi est ce pour cela que l’on
appelle
fort à propos telle espece de calamité un revers
son estime propre, pour la desirer plus grande. Car ce que plusieurs
appellent
gloire, n’est pas une chose si precieuse, ny si e
continence, et ainsi des autres. Ce sont elles qu’Aristote et Platon
appellent
nostre souverain bien, et par consequent la chose
n endormi dans une pièce haute de la maison ; il s’arrêta en bas et l’
appela
, lui rappelant leurs conventions. Alors le chien
34 Ph 29 Mb 29. Une vieille femme, qui avait les yeux malades, fit
appeler
, moyennant salaire, un médecin. Il vint chez elle
isans qui se nourrissent du sang du Peuple ? Combien de Corsaires qui
appellent
de bonne prise tout ce qui tombe sous leur puissa
e vaillance à se hazarder à tous les perils où nostre profession nous
appelle
: mais ils croyoient que ces dangers estoient seu
les oblige à suivre un autre genre de vie. Ce sont eux que Plutarque
appelle
au gouvernement des Estats, et qui par consequent
à gagner les ames à soy par l’infame adoration qu’il en exige ? J’en
appelle
à tesmoings tous les noirs mysteres de la Magie,
que de mourir indignement, et sans cause. Je maudits vostre pays, et
appelle
les Dieux à tesmoins de vostre injustice, bien as
eurs escrits en un plus haut poinct de loüange et d’approbation. J’en
appelle
à tesmoins Plutarque, Seneque, Ciceron, et une in
rendre toutes ses perfections infinies. Si elle a le regard rude, ils
appelleront
cela les foudres d’amour. Si elle l’a niais et si
inion du Christianisme, mais encore de la Philosophie Moralle, dont j’
appelle
à tesmoins les Peripateticiens, le Maistre desque
itions, et juger qu’elle se fait par un acte de l’entendement, qu’ils
appellent
une reflexion. Tout ce qu’ils ont pû donner à la
Prince des Poëtes, a fait un Poëme des Rats et des Grenoüilles, qu’il
appelle
Vatracomyomachie. Or bien que la veritable Poësie
vant membre de l’Institut l’avait tenu au moment même auquel ce qu’il
appelle
mon premier ouvrage avait paru, c’est-à-dire au c
vrai milieu. Pour ne parler que des fables du moine que M. Paul Meyer
appelle
Eude de Cherrington et de celles des auteurs inco
lle Eude de Cherrington et de celles des auteurs inconnus que j’avais
appelés
ses continuateurs, j’avais, en leur donnant asile
angère de son nom lui avait été conservée et qu’ainsi, au lieu d’être
appelé
Phæder, il avait été nommé Phædrus. 2º Lieu de na
don le gouvernement du pays, qui, à raison de cette circonstance, fut
appelé
Macédoine20. Or cela se passait avant la naissanc
de la liberté, quel nom donne-t-il à l’empereur ? Dans le titre il l’
appelle
Cæsar, et, dans le texte même, Cæsar Tiberius, pu
oisième livre. Gude d’ailleurs signale beaucoup d’autres affranchis,
appelés
tantôt Eutychus comme l’ami de Phèdre, tantôt Eut
le prologue de son troisième livre, Phèdre, au moment même où Séjan l’
appelait
en justice, a osé stigmatiser son redoutable enne
e les idées par lui puisées dans les fables de l’auteur antique qu’il
appelait
le vieux Phrygien, ou simplement le vieillard ; c
e lorsque, comme Sénèque, ils traitaient de questions qui auraient dû
appeler
son nom sous leur plume, les écrivains latins con
our satisfaire son ambition, la maison de Lorraine ne craignait pas d’
appeler
l’Espagne à son aide, il entra dans la lutte, pou
ède aussi deux exemplaires de l’édition de Pithou, qui, dans le fonds
appelé
Cabinet local, portent les nos 221 et 222. Le pre
n rouge en est splendide. L’autre appartient à un fonds spécial qu’on
appelle
la Grenville Library, et dans lequel le nº 9064 l
èque Laurentienne possède un fonds spécial qui du nom du donateur est
appelé
fonds d’Elci et qui comprend à la fois des manusc
fidèlement81. » Avocat à Orléans, sa ville natale, Daniel avait été
appelé
par le cardinal Odet de Châtillon aux fonctions d
ît-sur-Loire. En effet, à la fin des variantes qu’il en extrait, il l’
appelle
vet. ex. Cat., ce qui, suivant Orelli, signifie v
lacés comme au hasard. Quelques-uns servent aussi de ce que les Grecs
appelaient
διαστολή. « L’allitération n’y est pas observée d
s mains de la reine Christine. Ce nouveau changement de maître le fit
appeler
Schedæ regiæ. Plein d’une foi aveugle dans les as
tre : Incipit tractatus magistri Guidonis Augensis super musica. J’
appelle
, en passant, l’attention sur ces deux titres. Le
porterait ceux-ci : mala dare. C’est encore sur la foi de Schwabe,
appelé
par lui vir summus, qu’il produit sa nouvelle ass
t lui qui est chargé de lui adresser la harangue officielle. En 1456,
appelé
à Rome, il y remplit les fonctions de secrétaire
tre, à raison de cette circonstance, Philippe a-t-il cru naturel de l’
appeler
Parmensis. Il ne faut pas, en effet, oublier que,
e sentiment contraire du cardinal Angelo Maï181, je puis maintenant l’
appeler
ainsi, l’autographe de Niccolo Perotti. Après ce
e son manuscrit sont bien l’œuvre de Phèdre, il lui reproche ce qu’il
appelle
ses larcins. La copie du manuscrit que d’Orville
e inexploré par l’esprit romain. » Cette explication, que je pourrais
appeler
géographique, avait paru aux savants et notamment
irmant que « Sénèque avait oublié qu’il y eût un livre au monde qui s’
appelât
les fables de Phèdre » ; Fabricius, dans sa Bibli
limpide était absolument concluante. « Martial, avait-il écrit216, a
appelé
Phèdre improbus, c’est-à-dire légèrement audacieu
heselli, alla plus loin : en s’appuyant sur des arguments que Schwabe
appelle
ineptes, il prétendit que les fables de Phèdre ét
tionnel. Il y a dans Phèdre des fables obscènes, qui peuvent le faire
appeler
improbus dans la mauvaise acception du mot ; il y
e lui-même dans le prologue de son livre Ier. Partant de là, lui-même
appelle
ses écrits jocos et pour lui le mot jocari est pr
a vécu qu’au xve siècle. Il est vrai que Christ suppose que ce qu’on
appelle
les manuscrits de Romulus contient non pas l’œuvr
vait, dans un groupement séparé, distingué celles qu’on est convenu d’
appeler
nouvelles, on comprendrait qu’à chaque groupe pût
compose d’une brève et d’une longue. Les différentes espèces de vers
appellent
ensuite son attention : il indique quels sont les
en des Fabulæ antiquæ. De toutes les collections, celle des fables
appelées
Fabulæ antiquæ est la plus conforme au texte de P
Il fait partie du fonds Vossius, et, parmi les manuscrits de ce fonds
appelés
Vossiani Latini in-8º, il figure sous le nº 15. O
ain, et cette main était celle d’un moine nommé Adémar. Adémar, qu’on
appelle
aussi Aymar, naquit vers 988, à Chabanais, locali
tout ce qui est passé par la tête de l’écrivain. » Il y voit ce qu’on
appellerait
aujourd’hui un keepsake. Il s’est complètement fo
epandos. Fol. ccvi a. — Formule de mariage dite en latin Osculum et
appelée
Oscle dans les chartes françaises du moyen âge. F
érent, a quelquefois métamorphosé des lignes entières. À cet égard il
appelle
l’attention sur les fables 5, 8 et 12 du livre I,
leur origine. Suivant la classe à laquelle ils appartiennent, on les
appelle
Gudiani, Augustei, Helmstadienses, Blankenburgens
prises pour base, et l’on a créé, dans cet ordre d’idées, les classes
appelées
Juridica, Theologica, Historica, Ethica, Poetica,
ieurs origines. Celui dont il s’agit ici est de ceux que le Catalogue
appelle
Codices Tenisoniani et qui sont ainsi nommés parc
ivées de celle de Nilant. Nous verrons plus loin que le Romulus que j’
appellerai
anglo-latin et qui en était issu, la lui avait co
qu’il ne fallait pas le confondre avec un écrivain plus récent, qu’on
appelle
vulgairement Rimicius et quelquefois Rimiccius, R
fils qu’en souvenance du Tibre, pour indiquer son origine romaine, on
appela
Tyberinus. » Mais, si vraisemblable que fût cett
s, etc. De même les manuscrits qui renferment la collection de fables
appelée
Romulus de Nilant, appliquent à Ésope les mots :
e et qui dès lors a beaucoup plus d’autorité que la longue paraphrase
appelée
Romulus de Nilant. Il y a aussi à la Bibliothèque
e. C’est un exemple que je ne suivrai pas. On ne peut raisonnablement
appeler
Romulus les collections de fables, qui, comme cel
upposer que les fables de Romulus ont eu la même origine que ce qu’on
appelle
les fables de Phèdre, et qu’elles ont été, comme
ions sur le Romulus ordinaire. Jusqu’à ce jour la collection que j’
appelle
Romulus ordinaire a été considérée comme la plus
fabulæ se rapporte à la fois aux fables de l’Anonyme de Névelet que j’
appellerai
Walther et à celles du Romulus ordinaire. Les fab
prologue des fables en vers élégiaques, dont l’auteur a été longtemps
appelé
l’Anonyme de Névelet. C’est après ce prologue que
pologues d’Avianus, l’édition d’Ulm offre un dernier groupe de fables
appelées
dans les titres courants collecte, et tirées des
n unique, lui a attribué l’importance d’un véritable manuscrit et l’a
appelé
le Phénix des livres. Mais, dans cette circonstan
ande bibliothèque Londonienne. Il appartient à un fonds spécial qu’on
appelle
Grenville library et qui possède son catalogue sé
dre copie ; Nilant, dans la préface de ses Fabulæ antiquæ, avait bien
appelé
sur lui l’attention du monde savant ; Christ enfi
pe. Fol. 24 a à 58 a. — Fables de Romulus. Fol. 58 a à 71 b. — Fables
appelées
fabulæ extravagantes. Fol. 71 b à 78 a. — Fables
b. — Fables appelées fabulæ extravagantes. Fol. 71 b à 78 a. — Fables
appelées
novæ. Fol. 78 b à 89 b. — Fables d’Avianus. Fol.
væ. Fol. 78 b à 89 b. — Fables d’Avianus. Fol. 90 a à 108 b. — Fables
appelées
collectæ. Elles sont au nombre de vingt-quatre. À
auvais et de ses œuvres. Bourguignon de naissance, il est quelquefois
appelé
Vincent de Bourgogne. Sous le règne de Philippe-A
son existence jusqu’à l’année 1289. Son œuvre immense, qui pourrait s’
appeler
l’Encyclopédie du xiiie siècle, comprend quatre
paraissent notamment avoir donné naissance à celle de l’auteur qu’on
appelle
encore aujourd’hui l’Anonyme de Névelet. C’est ce
e Tiberinus a dû conduire. Pour sa satisfaction personnelle, Romulus,
appelé
par erreur Romalus et qualifié de Latinus magiste
: c’est maître Romulus. Il est vrai que, dans le manuscrit, il était
appelé
Romalius ; mais il est évident que ce nom n’était
ivre, dont les fables imitées des apologues du Phrygien Ésope, furent
appelées
par lui fables d’Ésope, quoique, comme certains l
omulus à l’auteur des fables élégiaques, Jules César Scaliger l’avait
appelé
Accius406 ; mais, en le nommant ainsi, il avait f
pus garriti stamine tectus. » En affirmant que l’auteur véritable s’
appelait
Garritus, le glossateur avait combattu d’avance l
s le catalogue un titre qui semblait emprunté au manuscrit, y étaient
appelées
Hildeberti Turonensis Fabulae. Ce nom a eu au moy
uelles figurait celle de Walther l’Anglais. D’après Bale, ce Walther,
appelé
aussi le Panormitain, avait été le chapelain de H
ents successifs ; on y créa notamment une chapelle souterraine, qu’on
appela
Notre-Dame de Bonne-Nouvelle et dont le nom a sur
lent du copiste à la plume duquel il est dû, en avaient fait ce qu’on
appellerait
aujourd’hui un vrai livre de luxe. On me permettr
es, que les dames et les jeunes gens n’auroient pu lire sans cela. Il
appelle
particulièrement son seigneur Jean, duc de Norman
ve siècle, le premier sur parchemin, le second sur papier. L’ouvrage
appelé
Exopi fabulæ consiste dans 62 fables, comprenant
rs élégiaques, Névelet ne signale toujours qu’un seul manuscrit qu’il
appelle
Palatinus codex. L’histoire de ce manuscrit est u
re commençant généralement par les mots Auctores octo , peuvent être
appelées
Éditions des huit auteurs. Dans ces éditions les
n assis est désigné par les mots Xanto filosofo et l’autre debout est
appelé
Esopo. Indépendamment de ce premier frontispice,
ue ce manuscrit renferme est la même que celle d’un autre plus ancien
appelé
Mocenigo par M. Ghivizzani, du nom de la famille
e nom de Romulus de Vienne à la collection que j’avais antérieurement
appelée
Romulus de Vienne et de Berlin. Il s’agit mainten
nt, elles sont de même précédées de la dédicace de Romulus à son fils
appelé
Tyberius et non plus Tiberinus, mais finalement p
comprenait quatre fonds : le fonds Libri, le fonds Barrois, le fonds
appelé
Appendice et le fonds Stowe. Après la mort de lor
unique de la vieille édition d’Ulm et que pour cette fausse raison il
appela
le véritable Phénix des livres, et ces deux docum
ibuer à cette collection un nom qui la distinguât des autres, je l’ai
appelée
Romulus de Marie. Dorénavant, acceptant la dénomi
un autre roi d’Angleterre, dont il dénature toujours le nom et qu’il
appelle
Almes500, Alrei501, Avree502, Uvres503, Auvrez504
as ori, dans Christo, de meliori. Dans l’épilogue c’est Mires qu’est
appelé
le royal auteur de la traduction anglaise. La col
es ; comme dans celui du manuscrit 25405, le traducteur anglais y est
appelé
le roi Mires. L. Manuscrit 25545. Le manusc
r l’épilogue en 22 vers, qui attribue la traduction anglaise à un roi
appelé
Alurez ou Alvrez, c’est-à-dire Alfred. C. Manu
é un moine de l’ordre des Frères mineurs, qui dans les manuscrits est
appelé
Bartholomæus Anglicus et que les bibliographes on
été faite, non par un roi anglais, mais sur l’ordre d’un roi anglais,
appelé
tantôt Afferus, tantôt Affrus. Ces deux noms, qui
de, telle que la possède le Dérivé complet, le Loup et le Renard sont
appelés
Lupus et Vulpecula, expressions qui appartiennent
a fin du xiie siècle ou, au plus tard, au commencement du suivant, n’
appelle
pas, dans sa traduction de la même fable, le Loup
la totalité de ses ouvrages et qui sont parvenus à ma connaissance, l’
appellent
Guido-Aretinus, et plusieurs auteurs des xiie , x
quit à Venise, le 11 décembre 1668. Littérateur consciencieux, il fut
appelé
à Vienne pour y remplir la mission d’historiograp
ate hanc provinciam suscepimus. Dans ses Apes Urbanæ, Léon Allatius l’
appelle
Jacob Schioppi de Vérone. Je crois néanmoins qu’i
de la fin du xiie siècle et du commencement du xiiie , ordinairement
appelé
Silvester Gyraldus ou Gyraldus Cambrensis, dont l
rtassis argumenta præbuit. Sunt denique qui anonymum sæpius memoratum
appellent
Romulum juniorem, Petri Mosellani æqualem et Jul.
le-mesme, et ne la gardent que pour la garder ? En ce cas là nous les
appellerons
Idolastres, aveugles, et maladvisez, qui se forme