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1 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 321 » p. 368
de bœuf qu’elle charriait dans ses eaux, lui demanda son nom. « Je m’ appelle Dure », répondit-elle. Alors précipitant son cour
2 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 78 » pp. 60-60
ng trajet à faire. Fatigué par la marche, il déposa son fardeau et il appela la Mort. La Mort parut et lui demanda pour quel m
il appela la Mort. La Mort parut et lui demanda pour quel motif il l’ appelait . Le vieillard répondit : « C’est pour que tu me s
3 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 223 » p. 261
un jeune agneau. Celui-ci se réfugia dans un temple. Comme le loup l’ appelait à lui et disait que le sacrificateur l’immolerait
4 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — VI. La Genisse, la Chevre et la Brebis en societé avec le Lion. » p. 339149
Sire ;
 Elle doit estre à moy, dit-il ; et la raison,
 C’est que je m’ appelle Lion,
 A cela l’on n’a rien à dire.
 La seconde p
5 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 191 » pp. 256-256
Mg 104 Ml 99. Les lièvres un jour, étant en guerre avec les aigles, appelèrent à leur secours les renards. Ceux-ci répondirent :
6 (1570) Cento favole morali « CENTO FAVOLE MORALI. raccolte, et trattate in varie maniere di versi da m. gio. mario verdizoti. — [51.]. DELLE MOSCHE NEL MELE. » p. 80
guida a mal fine. 4. [NdE] Le sens de la phrase semblerait plutôt appeler le verbe « dettar ».
7 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 193 » p. 333
Fais-tu réellement beaucoup de profits, et peux-tu dire pourquoi on t’ appelle le « profiteur ? » — Si tu en doutes, répondit le
8 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 221 » p. 157
leuri. Mais la chèvre lui répondit : « Ce n’est pas pour moi que tu m’ appelles au pâtis, c’est pour toi qui n’as pas de quoi man
9 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XX. La Discorde. » p. 
aut pour une pomme ; On la fit déloger des Cieux. Chez l’Animal qu’on appelle Homme On la receut à bras ouverts, Elle et Que-si
10 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 319 » pp. 210-210
in du village, se livrait constamment à la plaisanterie que voici. Il appelait les habitants du village à son secours, en criant
ntèrent réellement. Tandis qu’ils saccageaient le troupeau, le berger appelait au secours les villageois ; mais ceux-ci, s’imagi
11 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 203 » p. 145
e lion, qui était depuis longtemps en guerre avec un taureau sauvage, appela le dauphin à son secours. Celui-ci essaya de sort
12 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 298 » pp. 211-211
rivière se vit en danger d’être noyé. Ayant aperçu un voyageur, il l’ appela à son secours. Le voyageur lui reprocha sa téméri
13 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « AU LECTEUR. Sur le sujet des Fables. »
n ont faits. Je commenceray donc par la definition de la fable, que j’ appelle proprement une feinte, qui par quelque ressemblan
les estime grandement, pour la gentillesse de leurs inventions. L’on appelle Fables de speculation et d’action ensemble celles
suite de cela, ils adjoustent la generation de l’ame du monde, qu’ils appellent Jupiter, entant que par sa lumiere, et son mouvem
14 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 242 » pp. 166-166
voisins. Zeus indigné de sa cupidité le changea en l’animal que nous appelons fourmi. Mais pour avoir changé de forme, il n’a p
15 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 299 » p. 239
it reçu un dépôt d’un ami projetait de l’en frustrer. Comme cet ami l’ appelait à prêter serment, pris d’inquiétude, il partit po
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXV. Des Liévres craignans sans cause. »
à se conserver, comme si leur vie estoit accompagnée de tout ce qu’on appelle bonne fortune. Ce que considerant ceux qui ne son
17 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 357 » pp. 231-231
aires ? » Cette fable nous enseigne que nous aussi nous ne devons pas appeler tout de suite les dieux pour des bagatelles inoff
18 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XVI. La mort et le Buscheron. » p. 60
ier, et la corvée
 Luy font d’un mal-heureux la peinture achevée. 
Il appelle la mort, elle vient sans tarder ;
 Luy demande ce
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXV. Du Renard, trahy par le Coq. »
e action toute pleine d’inconstance, et de fausse conduite, et cela s’ appelle proprement traicter en amis ceux à qui nous avons
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVII. Du Chien, et de la Brebis. »
de sacré, ny d’inviolable. Ils levent la main devant leur Juge ; ils appellent leur Createur à tesmoin ; ils jurent mesme sur l’
21 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVI. Du Paon, et de la Gruë. »
particulieres. Que si quelqu’un n’est pourveu de ces Vertus, que l’on appelle éminentes, il n’est pas incompatible que pour rec
22 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVI. De la Tortuë, et de l’Aigle. »
, il arrive une disgrace infaillible. Aussi est ce pour cela que l’on appelle fort à propos telle espece de calamité un revers
23 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIX. De la Grenoüille, et du Renard. »
son estime propre, pour la desirer plus grande. Car ce que plusieurs appellent gloire, n’est pas une chose si precieuse, ny si e
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE J. Du Coq, et de la pierre precieuse. »
continence, et ainsi des autres. Ce sont elles qu’Aristote et Platon appellent nostre souverain bien, et par consequent la chose
25 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 185 » pp. 134-134
n endormi dans une pièce haute de la maison ; il s’arrêta en bas et l’ appela , lui rappelant leurs conventions. Alors le chien 
26 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 87 » pp. 57-57
34 Ph 29 Mb 29. Une vieille femme, qui avait les yeux malades, fit appeler , moyennant salaire, un médecin. Il vint chez elle
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIV. De l’Homme, et d’une Idole. »
isans qui se nourrissent du sang du Peuple ? Combien de Corsaires qui appellent de bonne prise tout ce qui tombe sous leur puissa
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XC. De deux Chiens. »
e vaillance à se hazarder à tous les perils où nostre profession nous appelle  : mais ils croyoient que ces dangers estoient seu
29 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIII. De l’Arbre, et du Roseau. »
les oblige à suivre un autre genre de vie. Ce sont eux que Plutarque appelle au gouvernement des Estats, et qui par consequent
30 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXX. De l’Aigle, et du Corbeau. »
à gagner les ames à soy par l’infame adoration qu’il en exige ? J’en appelle à tesmoings tous les noirs mysteres de la Magie,
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La mort d’Esope. Chapitre XXX. »
que de mourir indignement, et sans cause. Je maudits vostre pays, et appelle les Dieux à tesmoins de vostre injustice, bien as
32 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIII. De la Fourmy, et de la Mouche. »
eurs escrits en un plus haut poinct de loüange et d’approbation. J’en appelle à tesmoins Plutarque, Seneque, Ciceron, et une in
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXI. De Venus, et d’une Chatte. »
rendre toutes ses perfections infinies. Si elle a le regard rude, ils appelleront cela les foudres d’amour. Si elle l’a niais et si
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIX. Du Sapin, et du Buisson. »
inion du Christianisme, mais encore de la Philosophie Moralle, dont j’ appelle à tesmoins les Peripateticiens, le Maistre desque
35 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
itions, et juger qu’elle se fait par un acte de l’entendement, qu’ils appellent une reflexion. Tout ce qu’ils ont pû donner à la
Prince des Poëtes, a fait un Poëme des Rats et des Grenoüilles, qu’il appelle Vatracomyomachie. Or bien que la veritable Poësie
36 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
vant membre de l’Institut l’avait tenu au moment même auquel ce qu’il appelle mon premier ouvrage avait paru, c’est-à-dire au c
vrai milieu. Pour ne parler que des fables du moine que M. Paul Meyer appelle Eude de Cherrington et de celles des auteurs inco
lle Eude de Cherrington et de celles des auteurs inconnus que j’avais appelés ses continuateurs, j’avais, en leur donnant asile
angère de son nom lui avait été conservée et qu’ainsi, au lieu d’être appelé Phæder, il avait été nommé Phædrus. 2º Lieu de na
don le gouvernement du pays, qui, à raison de cette circonstance, fut appelé Macédoine20. Or cela se passait avant la naissanc
de la liberté, quel nom donne-t-il à l’empereur ? Dans le titre il l’ appelle Cæsar, et, dans le texte même, Cæsar Tiberius, pu
oisième livre. Gude d’ailleurs signale beaucoup d’autres affranchis, appelés tantôt Eutychus comme l’ami de Phèdre, tantôt Eut
le prologue de son troisième livre, Phèdre, au moment même où Séjan l’ appelait en justice, a osé stigmatiser son redoutable enne
e les idées par lui puisées dans les fables de l’auteur antique qu’il appelait le vieux Phrygien, ou simplement le vieillard ; c
e lorsque, comme Sénèque, ils traitaient de questions qui auraient dû appeler son nom sous leur plume, les écrivains latins con
our satisfaire son ambition, la maison de Lorraine ne craignait pas d’ appeler l’Espagne à son aide, il entra dans la lutte, pou
ède aussi deux exemplaires de l’édition de Pithou, qui, dans le fonds appelé Cabinet local, portent les nos 221 et 222. Le pre
n rouge en est splendide. L’autre appartient à un fonds spécial qu’on appelle la Grenville Library, et dans lequel le nº 9064 l
èque Laurentienne possède un fonds spécial qui du nom du donateur est appelé fonds d’Elci et qui comprend à la fois des manusc
fidèlement81. » Avocat à Orléans, sa ville natale, Daniel avait été appelé par le cardinal Odet de Châtillon aux fonctions d
ît-sur-Loire. En effet, à la fin des variantes qu’il en extrait, il l’ appelle vet. ex. Cat., ce qui, suivant Orelli, signifie v
lacés comme au hasard. Quelques-uns servent aussi de ce que les Grecs appelaient διαστολή. « L’allitération n’y est pas observée d
s mains de la reine Christine. Ce nouveau changement de maître le fit appeler Schedæ regiæ. Plein d’une foi aveugle dans les as
tre : Incipit tractatus magistri Guidonis Augensis super musica. J’ appelle , en passant, l’attention sur ces deux titres. Le
porterait ceux-ci : mala dare. C’est encore sur la foi de Schwabe, appelé par lui vir summus, qu’il produit sa nouvelle ass
t lui qui est chargé de lui adresser la harangue officielle. En 1456, appelé à Rome, il y remplit les fonctions de secrétaire
tre, à raison de cette circonstance, Philippe a-t-il cru naturel de l’ appeler Parmensis. Il ne faut pas, en effet, oublier que,
e sentiment contraire du cardinal Angelo Maï181, je puis maintenant l’ appeler ainsi, l’autographe de Niccolo Perotti. Après ce
e son manuscrit sont bien l’œuvre de Phèdre, il lui reproche ce qu’il appelle ses larcins. La copie du manuscrit que d’Orville
e inexploré par l’esprit romain. » Cette explication, que je pourrais appeler géographique, avait paru aux savants et notamment
irmant que « Sénèque avait oublié qu’il y eût un livre au monde qui s’ appelât les fables de Phèdre » ; Fabricius, dans sa Bibli
limpide était absolument concluante. « Martial, avait-il écrit216, a appelé Phèdre improbus, c’est-à-dire légèrement audacieu
heselli, alla plus loin : en s’appuyant sur des arguments que Schwabe appelle ineptes, il prétendit que les fables de Phèdre ét
tionnel. Il y a dans Phèdre des fables obscènes, qui peuvent le faire appeler improbus dans la mauvaise acception du mot ; il y
e lui-même dans le prologue de son livre Ier. Partant de là, lui-même appelle ses écrits jocos et pour lui le mot jocari est pr
a vécu qu’au xve  siècle. Il est vrai que Christ suppose que ce qu’on appelle les manuscrits de Romulus contient non pas l’œuvr
vait, dans un groupement séparé, distingué celles qu’on est convenu d’ appeler nouvelles, on comprendrait qu’à chaque groupe pût
compose d’une brève et d’une longue. Les différentes espèces de vers appellent ensuite son attention : il indique quels sont les
en des Fabulæ antiquæ. De toutes les collections, celle des fables appelées Fabulæ antiquæ est la plus conforme au texte de P
Il fait partie du fonds Vossius, et, parmi les manuscrits de ce fonds appelés Vossiani Latini in-8º, il figure sous le nº 15. O
ain, et cette main était celle d’un moine nommé Adémar. Adémar, qu’on appelle aussi Aymar, naquit vers 988, à Chabanais, locali
tout ce qui est passé par la tête de l’écrivain. » Il y voit ce qu’on appellerait aujourd’hui un keepsake. Il s’est complètement fo
epandos. Fol. ccvi a. — Formule de mariage dite en latin Osculum et appelée Oscle dans les chartes françaises du moyen âge. F
érent, a quelquefois métamorphosé des lignes entières. À cet égard il appelle l’attention sur les fables 5, 8 et 12 du livre I,
leur origine. Suivant la classe à laquelle ils appartiennent, on les appelle Gudiani, Augustei, Helmstadienses, Blankenburgens
prises pour base, et l’on a créé, dans cet ordre d’idées, les classes appelées Juridica, Theologica, Historica, Ethica, Poetica,
ieurs origines. Celui dont il s’agit ici est de ceux que le Catalogue appelle Codices Tenisoniani et qui sont ainsi nommés parc
ivées de celle de Nilant. Nous verrons plus loin que le Romulus que j’ appellerai anglo-latin et qui en était issu, la lui avait co
qu’il ne fallait pas le confondre avec un écrivain plus récent, qu’on appelle vulgairement Rimicius et quelquefois Rimiccius, R
fils qu’en souvenance du Tibre, pour indiquer son origine romaine, on appela Tyberinus. » Mais, si vraisemblable que fût cett
s, etc. De même les manuscrits qui renferment la collection de fables appelée Romulus de Nilant, appliquent à Ésope les mots :
e et qui dès lors a beaucoup plus d’autorité que la longue paraphrase appelée Romulus de Nilant. Il y a aussi à la Bibliothèque
e. C’est un exemple que je ne suivrai pas. On ne peut raisonnablement appeler Romulus les collections de fables, qui, comme cel
upposer que les fables de Romulus ont eu la même origine que ce qu’on appelle les fables de Phèdre, et qu’elles ont été, comme
ions sur le Romulus ordinaire. Jusqu’à ce jour la collection que j’ appelle Romulus ordinaire a été considérée comme la plus
fabulæ se rapporte à la fois aux fables de l’Anonyme de Névelet que j’ appellerai Walther et à celles du Romulus ordinaire. Les fab
prologue des fables en vers élégiaques, dont l’auteur a été longtemps appelé l’Anonyme de Névelet. C’est après ce prologue que
pologues d’Avianus, l’édition d’Ulm offre un dernier groupe de fables appelées dans les titres courants collecte, et tirées des
n unique, lui a attribué l’importance d’un véritable manuscrit et l’a appelé le Phénix des livres. Mais, dans cette circonstan
ande bibliothèque Londonienne. Il appartient à un fonds spécial qu’on appelle Grenville library et qui possède son catalogue sé
dre copie ; Nilant, dans la préface de ses Fabulæ antiquæ, avait bien appelé sur lui l’attention du monde savant ; Christ enfi
pe. Fol. 24 a à 58 a. — Fables de Romulus. Fol. 58 a à 71 b. — Fables appelées fabulæ extravagantes. Fol. 71 b à 78 a. — Fables
b. — Fables appelées fabulæ extravagantes. Fol. 71 b à 78 a. — Fables appelées novæ. Fol. 78 b à 89 b. — Fables d’Avianus. Fol. 
væ. Fol. 78 b à 89 b. — Fables d’Avianus. Fol. 90 a à 108 b. — Fables appelées collectæ. Elles sont au nombre de vingt-quatre. À
auvais et de ses œuvres. Bourguignon de naissance, il est quelquefois appelé Vincent de Bourgogne. Sous le règne de Philippe-A
son existence jusqu’à l’année 1289. Son œuvre immense, qui pourrait s’ appeler l’Encyclopédie du xiiie  siècle, comprend quatre
paraissent notamment avoir donné naissance à celle de l’auteur qu’on appelle encore aujourd’hui l’Anonyme de Névelet. C’est ce
e Tiberinus a dû conduire. Pour sa satisfaction personnelle, Romulus, appelé par erreur Romalus et qualifié de Latinus magiste
 : c’est maître Romulus. Il est vrai que, dans le manuscrit, il était appelé Romalius ; mais il est évident que ce nom n’était
ivre, dont les fables imitées des apologues du Phrygien Ésope, furent appelées par lui fables d’Ésope, quoique, comme certains l
omulus à l’auteur des fables élégiaques, Jules César Scaliger l’avait appelé Accius406 ; mais, en le nommant ainsi, il avait f
pus garriti stamine tectus. » En affirmant que l’auteur véritable s’ appelait Garritus, le glossateur avait combattu d’avance l
s le catalogue un titre qui semblait emprunté au manuscrit, y étaient appelées Hildeberti Turonensis Fabulae. Ce nom a eu au moy
uelles figurait celle de Walther l’Anglais. D’après Bale, ce Walther, appelé aussi le Panormitain, avait été le chapelain de H
ents successifs ; on y créa notamment une chapelle souterraine, qu’on appela Notre-Dame de Bonne-Nouvelle et dont le nom a sur
lent du copiste à la plume duquel il est dû, en avaient fait ce qu’on appellerait aujourd’hui un vrai livre de luxe. On me permettr
es, que les dames et les jeunes gens n’auroient pu lire sans cela. Il appelle particulièrement son seigneur Jean, duc de Norman
ve  siècle, le premier sur parchemin, le second sur papier. L’ouvrage appelé Exopi fabulæ consiste dans 62 fables, comprenant
rs élégiaques, Névelet ne signale toujours qu’un seul manuscrit qu’il appelle Palatinus codex. L’histoire de ce manuscrit est u
re commençant généralement par les mots Auctores octo , peuvent être appelées Éditions des huit auteurs. Dans ces éditions les
n assis est désigné par les mots Xanto filosofo et l’autre debout est appelé Esopo. Indépendamment de ce premier frontispice,
ue ce manuscrit renferme est la même que celle d’un autre plus ancien appelé Mocenigo par M. Ghivizzani, du nom de la famille
e nom de Romulus de Vienne à la collection que j’avais antérieurement appelée Romulus de Vienne et de Berlin. Il s’agit mainten
nt, elles sont de même précédées de la dédicace de Romulus à son fils appelé Tyberius et non plus Tiberinus, mais finalement p
comprenait quatre fonds : le fonds Libri, le fonds Barrois, le fonds appelé Appendice et le fonds Stowe. Après la mort de lor
unique de la vieille édition d’Ulm et que pour cette fausse raison il appela le véritable Phénix des livres, et ces deux docum
ibuer à cette collection un nom qui la distinguât des autres, je l’ai appelée Romulus de Marie. Dorénavant, acceptant la dénomi
un autre roi d’Angleterre, dont il dénature toujours le nom et qu’il appelle Almes500, Alrei501, Avree502, Uvres503, Auvrez504
as ori, dans Christo, de meliori. Dans l’épilogue c’est Mires qu’est appelé le royal auteur de la traduction anglaise. La col
es ; comme dans celui du manuscrit 25405, le traducteur anglais y est appelé le roi Mires. L. Manuscrit 25545. Le manusc
r l’épilogue en 22 vers, qui attribue la traduction anglaise à un roi appelé Alurez ou Alvrez, c’est-à-dire Alfred. C. Manu
é un moine de l’ordre des Frères mineurs, qui dans les manuscrits est appelé Bartholomæus Anglicus et que les bibliographes on
été faite, non par un roi anglais, mais sur l’ordre d’un roi anglais, appelé tantôt Afferus, tantôt Affrus. Ces deux noms, qui
de, telle que la possède le Dérivé complet, le Loup et le Renard sont appelés Lupus et Vulpecula, expressions qui appartiennent
a fin du xiie  siècle ou, au plus tard, au commencement du suivant, n’ appelle pas, dans sa traduction de la même fable, le Loup
la totalité de ses ouvrages et qui sont parvenus à ma connaissance, l’ appellent Guido-Aretinus, et plusieurs auteurs des xiie , x
quit à Venise, le 11 décembre 1668. Littérateur consciencieux, il fut appelé à Vienne pour y remplir la mission d’historiograp
ate hanc provinciam suscepimus. Dans ses Apes Urbanæ, Léon Allatius l’ appelle Jacob Schioppi de Vérone. Je crois néanmoins qu’i
de la fin du xiie  siècle et du commencement du xiiie , ordinairement appelé Silvester Gyraldus ou Gyraldus Cambrensis, dont l
rtassis argumenta præbuit. Sunt denique qui anonymum sæpius memoratum appellent Romulum juniorem, Petri Mosellani æqualem et Jul.
37 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
le-mesme, et ne la gardent que pour la garder ? En ce cas là nous les appellerons Idolastres, aveugles, et maladvisez, qui se forme
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