sse savante, l’objet des appréciations les plus flatteuses. Parmi les
analyses
toujours élogieuses qui en furent faites, il y en
i relevé plusieurs de ces notes ; mais, dans le désir d’abréger cette
analyse
, je m’abstiens de les transcrire. Je me permettra
lettre latine, par laquelle le professeur allemand Tross en a donné l’
analyse
au professeur français Fleutelot98, je montrerai
suivant parurent enfin les trois dissertations dont j’ai déjà donné l’
analyse
. Elles formaient un grand in-8º de 323 pages, en
110 — XV. — Graculus Aesopicus. 118 Je pourrais donner l’
analyse
de chacune de ces conversations ; mais je m’aperç
us aujourd’hui d’intérêt scientifique, je m’abstiendrai d’en donner l’
analyse
complète et je me bornerai à indiquer les princip
fournis, il passa outre et rédigea la dissertation dont j’ai donné l’
analyse
. Publiée à Brunswick, en 1806, dans sa seconde éd
naît cinq variétés, et, pour montrer leurs points de dissemblance, il
analyse
la composition particulière de chacune d’elles. I
itée par Schwabe, est mentionnée ici, parce qu’il n’en a donné qu’une
analyse
inexacte, notamment en la prétendant sans nom de
re communication du manuscrit. Qu’on me permette, avant d’en donner l’
analyse
, de parler du copiste à qui sont dus, sinon en to
tre elles, ont donné au manuscrit une fausse apparence de désordre. L’
analyse
de tous ces fragments se trouve dans les Catalogu
n même temps de mes propres notes et de ces éléments réunis faire une
analyse
nouvelle. La reliure ayant été démontée, je me su
prouveront peut-être un peu de peine à les trouver. J’achève donc mon
analyse
, en leur donnant, pour leur venir en aide, les no
recto du feuillet 187.) Dans ma première édition, je terminais cette
analyse
en exprimant le regret que M. Robert de Lasteyrie
es du manuscrit de Wissembourg. § 1. — Recherche du manuscrit et
analyse
des études antérieures. Schwabe, dans son édit
amm à M. Fleutelot au mois de mai 1844. En somme, elle contenait une
analyse
consciencieuse du manuscrit. Mais cela ne me suff
iation du manuscrit de Wissembourg. Malheureusement ce n’était qu’une
analyse
de l’analyse de Tross, ainsi qu’on va pouvoir en
uscrit de Wissembourg. Malheureusement ce n’était qu’une analyse de l’
analyse
de Tross, ainsi qu’on va pouvoir en juger par cet
On a sans doute deviné pourquoi j’ai donné un tel développement à l’
analyse
du manuscrit de Wissembourg. J’ai ainsi implicite
logue imprimé des manuscrits de cette Bibliothèque en donne la courte
analyse
que voici : « Codex chartaceus in-quarto, Æsopica
e du contenu de celle de l’illustre bibliophile. Il avait pu y lire l’
analyse
sommaire du manuscrit des Fabulæ antiquæ et croir
il y avait beaucoup d’autres œuvres dont j’ai précédemment donné une
analyse
détaillée. Au verso du quatrième feuillet se trou
us. En ayant déjà cité des extraits, ayant encore à la relater dans l’
analyse
que je ferai plus loin de la vieille édition d’Ul
arfaitement juste. Pour s’en convaincre, il suffit de se reporter à l’
analyse
que j’ai donnée du fameux manuscrit. On y verra q
59, et, comme sous ce numéro l’ancien catalogue imprimé en donne une
analyse
exacte, il est permis de trouver un peu prétentie
sur les feuillets 115 a à 128 b, où elle est à deux colonnes. Voici l’
analyse
du contenu. Fol. 1 à 2, 129 à 130 et 165 à 167. —
odii episcopi de greco in latinum translatus a Petro monacho. » De l’
analyse
qui précède il ressort d’abord que le manuscrit c
avait jamais eu entre les mains, et qu’il n’avait fait dans sa courte
analyse
que copier, en l’altérant, celle qu’il en avait t
114 feuillets par lui mentionnée sous le nº 327 est bien celle que j’
analyse
ici. Les titres courants des pages occupées par l
ssédant un exemplaire que j’ai pu voir à loisir, j’en vais donner une
analyse
un peu moins succincte. C’est un petit in-fº chif
rences que, chemin faisant, j’aurai soin de signaler. Je poursuis mon
analyse
. Fol. i b. — Portrait d’Ésope qui occupe toute la
llement entraîné, dans la première édition de cet ouvrage, à donner l’
analyse
détaillée de ce livre, dont, quoiqu’il contînt un
ont été séparés, et n’ayant plus de raison de maintenir ma précédente
analyse
, je la supprime. J’en ai fini avec les éditions s
swick par l’éditeur Vieweg, est trop connue pour que j’en donne ici l’
analyse
. 8º Édition de Lemaire de 1826. M. Gail, ch
érale des matières et l’histoire de Sigismonde341. Voici au surplus l’
analyse
de leur contenu : Fol. 1 a. — Page blanche. Fol.
uillets numérotés en partie et ornés de gravures sur bois. En voici l’
analyse
: Fol. 1 b. — Portrait d’Ésope remplissant la pag
Christ. » Hain signale l’édition de 1483342, mais n’en donne guère l’
analyse
, et je suis obligé de renvoyer ceux qui voudront
13 suivants sont numérotés, et les 7 derniers ne le sont pas. Voici l’
analyse
du volume : Fol. 1 a. — Il est consacré au titre
e consiste dans un volume in-8º de 313 feuillets imprimés. En voici l’
analyse
: Fol. 1. — Frontispice. Fol. 2 a à 6 a. — Préfa
ville library sous la cote 7806, un exemplaire auquel j’ai emprunté l’
analyse
qui va suivre. Le volume se compose de 72 feuille
qu’elles sont sorties des mêmes presses. Quoi qu’il en soit, voici l’
analyse
de l’édition de 1480 : Fol. a. i. — Titre et port
e regne of kyng Rychard the thyrdde. Je me contente de cette courte
analyse
, et je renvoie ceux qui seront curieux de connaît
la première partie du catalogue imprimé. J’emprunte à ce catalogue l’
analyse
qui suit : Fol. 1 a. — Titulus : Dye hystorien e
feuillets, sauf l’avant-dernier qui n’en comprend que quatre. Voici l’
analyse
du contenu. Fol. 1 a. — Titre : Die historien en
rtorium bibliographicum, t. I, p. 41, col. 1, nº 358. J’en ai donné l’
analyse
qui précède d’après un exemplaire, qui, sous la c
rgos, le 22 août 1496. Je vais en donner, d’après Hain360, une courte
analyse
: Fol. 1 a. — Titre encadré d’ornements xylograph
orterait pas, je n’entreprendrai pas de présenter de chacun d’eux une
analyse
détaillée. Excepté pour ceux de la Bibliothèque n
publiques de France, Arsenal, T. II, p. 231, donne de ce manuscrit l’
analyse
suivante : Vincent de Beauvais : « Speculum hysto
Le même catalogue, Arsenal, T. II, p. 232, donne de ce manuscrit l’
analyse
suivante : Vincent de Beauvais : Speculum doctri
liques de France, Départements, T. VI, p. 40, donne de ce manuscrit l’
analyse
suivante : « Speculum hystorie fratris Vincencii
t 5 (4). Le même catalogue, T. VI, p. 361, donne de ce manuscrit l’
analyse
suivante : Vincent de Beauvais : Speculum histor
68 (329). Le même catalogue, T. V, p. 140, donne de ce manuscrit l’
analyse
suivante : Vincent de Beauvais : Speculum histor
23). Le catalogue précité, T. I, p. 282, donne de ce manuscrit l’
analyse
suivante : Vincentii Bellovacensis Speculi histo
publié dans le format in-4º, donne, T. II, p. 83, du manuscrit 170 l’
analyse
suivante : Deux volumes in-folio sur beau vélin.
rit 464. Le même catalogue, T. II, p. 208, donne de ce manuscrit l’
analyse
suivante : Deux volumes in-folio sur vélin. — Vi
un manuscrit du Miroir historial, dont le Catalogue imprimé donne une
analyse
trop prolixe pour que je la transcrive ici. Je me
l’une alphabétique et l’autre dressée par ordre de matières. Voici l’
analyse
des quatre volumes : Premier volume. Fol. 1 a. À
’en existe que très peu d’exemplaires. Celui sur lequel j’ai rédigé l’
analyse
qui va suivre, se trouve à la Bibliothèque nation
eur ensemble un seul dérivé mixte et comme ne comportant qu’une seule
analyse
. Je vais donc, pour en faire connaître le contenu
Mais M. Gaston Paris n’a pas été de mon avis. Voici comment, dans son
analyse
critique de mon travail, il s’exprime sur ce poin
isant, produire des extraits des textes. Comme on les trouvera dans l’
analyse
que plus loin je ferai des manuscrits de l’Anonym
la Section V de mon Étude sur les fables élégiaques, on y trouvera l’
analyse
de plusieurs manuscrits qui lui en imputent la pa
uterai, à raison de l’analogie qu’ils ont avec le manuscrit 1594, une
analyse
sommaire de ceux du fonds français portant les co
scrit 8023. Le catalogue imprimé de 1744 donne du manuscrit 8023 l’
analyse
suivante : Codex partim chartaceus, partim membr
scrit 8259. Le catalogue imprimé de 1744 donne du manuscrit 8259 l’
analyse
suivante : Codex chartaceus, olim Colbertinus. I
um commentario. Is codex sæculo decimo quinto exaratus videtur. De l’
analyse
du catalogue il ressort que l’écriture du manuscr
scrit 8460. Le catalogue imprimé de 1744 donne du manuscrit 8460 l’
analyse
suivante : Codex membranaceus, olim Puteanus. Ib
scrit 8509. Le catalogue imprimé de 1744 donne du manuscrit 8509 l’
analyse
suivante : Codex membranaceus, quo continentur A
e catalogue imprimé des manuscrits latins donne du manuscrit 8509 A l’
analyse
suivante : Codex membranaceus, olim Mazarinæus.
orte les nos 266 et 175, l’un ancien, l’autre plus récent, en donne l’
analyse
suivante : Boëtius, de consolatione philosophiæ
orte les nos 793 et 548, l’un ancien, l’autre plus récent, en donne l’
analyse
suivante : Quædam de grammatica. Officium transl
onger d’autant la traduction française. Ailleurs, quand je donnerai l’
analyse
du manuscrit français 1595, il me sera facile d’é
atif du contenu des quatre manuscrits français. Pour compléter mon
analyse
des quatre manuscrits français, je vais maintenan
s qu’engager ceux qui seront désireux de le mieux connaître, à lire l’
analyse
qui en est donnée dans le Catalogue général des m
n connaître. À raison de son importance je crois devoir en donner une
analyse
plus étendue. Par son format il se rapproche du p
d’un glossaire. Sa publication me dispense de donner du manuscrit une
analyse
plus complète. 7º Manuscrit de Carpentras.
ssé par M. C. G. A. Lambert et imprimé en 1862444. Malheureusement, l’
analyse
contenue dans ce catalogue n’est guère exacte et
i sont en partie blancs, contiennent diverses pièces que le Catalogue
analyse
en ces termes : « Les prières qui terminent le vo
recto du feuillet 76, non par la date 1411 faussement relevée dans l’
analyse
du catalogue, mais par celle de 1407 écrite en ch
es d’un Romulus dérivé de celui de Vienne. On en trouvera plus loin l’
analyse
. 2º Bibliothèque communale de Trèves. Form
’énumérer. Le dixième, dont j’aurai à donner ailleurs une plus longue
analyse
, consiste dans les fables d’Avianus, qui commence
se rapportant pas aux fabulistes latins, je m’abstiens d’en donner l’
analyse
. § 4. — Angleterre. 1º Bibliothèque du
, j’en ai feuilleté treize, dont je vais maintenant donner une courte
analyse
. A. Manuscrit B. Eg. 832. Le manuscrit B. Eg
9. J’arrive à l’un des plus curieux manuscrits de Walther. Voici l’
analyse
qu’en donne le catalogue imprimé de la bibliothèq
manu Johannis Benedicti, aurificis, exaratus, anno 1462. » De cette
analyse
il ressort que le manuscrit est du xve siècle et
nt suivies de l’épilogue en 86 vers que j’ai déjà transcrits dans mon
analyse
du manuscrit 1594. Il est complet et contient le
t qui en contient une copie, je ne puis maintenant que me référer à l’
analyse
que j’en ai faite. Je me contente de rappeler qu’
ce d’un érudit domicilié à Rome, le Père Ehrle, je peux en donner une
analyse
succincte. C’est un volume in-4º qui figure sous
aphrasé dans leur langue l’œuvre de Walther. Au surplus, en donnant l’
analyse
des traductions de ce Romulus, je les ai fait ass
er. C’est d’après l’ouvrage de M. Ghivizanni que j’en vais donner une
analyse
d’ailleurs très sommaire. Manuscrit 1338. Ce
nnaissance des manuscrits de cette Bibliothèque, j’en vais donner une
analyse
moins brève que celle qui précède. Manuscrit Ga
. des manuscrits de la bibliothèque Léopoldine donne du manuscrit une
analyse
détaillée461. Manuscrit Plut. 42. Cod. 30.
des manuscrits de la Bibliothèque Laurentienne donne du manuscrit une
analyse
détaillée462. C. — Bibliothèque Magliabecchie
eux premiers, n’ont pas été numérotés. II. — Imprimés. Après l’
analyse
des manuscrits, il y a lieu de passer en revue le
s deux sonnets servant de préambule, qui ont déjà été signalés dans l’
analyse
de l’édition originale. Le premier est intitulé P
rit contenant le Novus Æsopus d’Alexandre Neckam ; voici, en effet, l’
analyse
qu’il donne de ce manuscrit sous le nº d’ordre 27
nt l’écriture très fine est du xive siècle. Ceux qui en désireront l’
analyse
détaillée la trouveront dans le Catalogus codicum
obablement du xive . Je ne donnerai du contenu de ce manuscrit qu’une
analyse
sommaire. Il renferme les cinquante fables du dér
ui les fait suffisamment connaître. On me permettra, pour compléter l’
analyse
du manuscrit, de me contenter de la transcrire :
cente que la fin du xie siècle ou le commencement du xiie . Dans son
analyse
de ma première édition507, M. Gaston Paris a refu
e Walther, j’ai donné du manuscrit 24310, pages 531 et suivantes, une
analyse
à laquelle je renvoie. J’ai dit alors que la trad
oniques pour le faire connaître. Voici en effet comment il en donne l’
analyse
: Ibi continentur : 1º Libri novemdecim de propr
Le manuscrit 1108, autrefois CV, est celui par lequel je commence mon
analyse
, d’abord parce que c’est le plus ancien, ensuite
Vulpes Plenius angusta sub brevitate sapit. Je termine cette
analyse
par une dernière observation : par une inadvertan
vies des dix-sept fables en prose qui ont déjà été mentionnées dans l’
analyse
du manuscrit 1108 de la Bibliothèque de la ville
i qui le recommande particulièrement aux critiques de Phèdre, c’est l’
analyse
qu’il a donnée du manuscrit de Wissembourg sous l
V. (Voyez t. II, col. 194). 463. Voyez t. I, p. CLXXI. 464. Voyez l’
analyse
de ce manuscrit : 1º dans les Manoscritti Palatin