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1 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
 ; car il est probable qu’elle n’aurait pas été épargnée par les obus allemands plus que le reste de la grande bibliothèque stras
uscrit de Wissembourg et la lettre latine, par laquelle le professeur allemand Tross en a donné l’analyse au professeur français
accès du manuscrit de Reims, et par suite il a dû moins que le savant allemand être exposé à se tromper. Ce n’est pas à dire non
bibliographes s’en sont occupés. Mais, sauf Rigault, Isaac Vossius, l’ Allemand Gœttling, l’abbé et cardinal Angelo Maï et M. F. 
on assertion138. En 1829, pour la première fois depuis I. Vossius, un Allemand , nommé Goettling, prit au Vatican connaissance du
r suite plus embarrassant d’Avianus n’arrête pas davantage le docteur allemand . Dans l’épître dédicatoire qu’en tête de ses fabl
pas attendre. Elle fut faite dès l’année suivante par un autre savant allemand , Funck (de Marbourg), connu aussi sous le nom de
éface de sa traduction en vers, publiée en 1754, des fables et contes allemands de Gellert222 : « Phedre a fait un choix heureux
atténua les doutes, mais ne les dissipa pas entièrement. Les savants allemands surtout semblèrent systématiquement décidés à ne
fils de l’ancien président du parlement de Paris, et bientôt après l’ Allemand Gœttling écrivit qu’il avait feuilleté au Vatican
s sur l’appréciation d’autrui qu’il se fonde. Mais d’abord, le savant allemand reconnaît que l’auteur est un ancien, un émule de
re les doutes que Heyne et Adry avaient trop légèrement formulés. Les Allemands eux-mêmes ont si bien compris qu’ils n’étaient pa
m libri V. Oder, etc. Magdebourg. In-18. Édition accompagnée de notes allemandes . 1826. Phædri Aug. Lib. fabul. Æsop. lib
e Didier et Cie . In-18 jésus de xix-67 pages. § 2. — Traductions allemandes . 1791.     Phæders, Æsopische Fabeln g
avec plus de détails, dans les Archives de la Société des antiquaires allemands , publiées à Hanovre par M. Pertz289. Enfin M. du
du xve  siècle, renfermant des collections de fables, trois en langue allemande et l’un en latin, qui pourraient vous intéresser
nnent trois exemplaires des Fables d’Ésope et de Phèdre mises en vers allemands par Bohner (Bonerius), l’une de ces copies portan
hèque elle-même, périr dans l’incendie allumé par les obus de l’armée allemande . Je continuai mes recherches ; mais je dus leur d
vénements encore récents, j’éprouvais à me mettre en relation avec un Allemand même érudit ; mais, avant de m’y décider, je voul
age qui m’était signalé. J’y recourus, et je trouvai, dans la préface allemande qui précède le texte du manuscrit de Burney, une
e de l’original que soit cette antique paraphrase, ajoute le critique allemand , elle ne donnait pas à Tross le droit de s’écrier
nistration du British Museum n’avait pas attendu la visite du docteur allemand  : il reconnaît lui-même qu’au mois d’août 1869 l’
sancti Chrysogoni presbiterum │ Cardinalem. Puis vient une préface allemande qui établit que le Dr Steinhöwel est l’auteur de
emande qui établit que le Dr Steinhöwel est l’auteur de la traduction allemande , et de laquelle j’extrais littéralement ce qui su
’autres, chacune avec son titre y indiqué, en latin, — le tout mis en allemand clair et intelligible par le docteur Henri Steinh
ar la vie d’Ésope en latin, qui est elle-même suivie de la traduction allemande due au Dr Steinhöwel. Cette traduction, qui s’éte
satis ingenium. Cette dédicace est suivie d’abord d’une traduction allemande , puis du prologue des fables en vers élégiaques,
suivant : 1º Texte latin en prose, 2º Gravure sur bois, 3º Traduction allemande de Steinhöwel, 4º Texte latin en vers élégiaques.
des fables du prosateur latin n’est accompagnée que de la traduction allemande (fol. 131 a à 147 a). Sauf cette lacune, la dispo
e gravures sur bois et suivies une à une de leur traduction en langue allemande (fol. 147 b à 187 a). Puis vient leur table (fol.
autres. Elles sont ornées de gravures, accompagnées d’une traduction allemande et terminées par la mention suivante : Finis fab
e les précédentes, ornées de gravures sur bois et traduites en langue allemande , et qui sont énumérées dans la table suivante (fo
la commodité du lecteur, suivis d’une table alphabétique générale en allemand (fol. 273 a à 278 b), terminée par ces mots : Ge
il en résulte deux lacunes. La première comprend la fin de la version allemande de la fable xi, le texte latin et la version alle
de la version allemande de la fable xi, le texte latin et la version allemande de la fable xii et le commencement du texte latin
exte latin de la fable xiii. La seconde embrasse la fin de la version allemande de la fable xvii, le texte latin et la version al
e la version allemande de la fable xvii, le texte latin et la version allemande des fables xviii et xix et le commencement du tex
impression de Sorg ne contient pas plus que la première la traduction allemande de Steinhöwel. Comme la première, elle n’est que
orne-t-elle à donner le texte exact du manuscrit. § 3. — Éditions allemandes .     Comme de toutes celles qui ont paru en Eu
aru en Europe dans les dernières années du xve  siècle, la traduction allemande a été publiée la première, c’est des éditions qui
r. 1º Édition de Günther Zainer. De toutes les éditions purement allemandes la plus ancienne paraît être celle qui, selon Hai
donc pas étonnant qu’il ait été le premier à réimprimer la traduction allemande qu’elle contenait. La réimpression de Günther Zai
ster. Autrement dit : « Ici commencent les nouvelles fables mises en allemand d’après Rimicius, qui sont attribuées aussi à Éso
réimprimé le texte latin, procéda de même à l’égard de la traduction allemande . En négociant judicieux, il dédoubla l’édition or
convenir au même public, et il paraît qu’en ce qui concerne le texte allemand son idée eut un plein succès ; car il le réimprim
 Ici finit la vie d’Ésope. » Fol. 38 (1) a à 87 (50) b. — Traduction allemande des quatre livres de Romulus. Fol. 87 (50) a. — 
o , etc. En français : « Ici commencent les nouvelles fables mises en allemand d’après Rimicius. » Fol. 120 (83). —  vahent an
ue l’on attribue à Ésope, et commencent les nouvelles fables mises en allemand d’après Rimitius, que l’on attribue aussi à Ésope
CCC.XCVIII. » 5º Édition de Jean Prüss de 1508. La traduction allemande de l’œuvre de S. Brant, publiée par Jean Prüss, f
Jean Prüss, forme un vol. in-fol. Elle est précédée de la traduction allemande due à Steinhöwel. Le volume présente deux séries
aire cessa d’être réimprimé, il n’en fut pas de même de la traduction allemande . Elle fut l’objet de quelques réimpressions et la
de petit format, se divise en deux parties, l’une renfermant le texte allemand des fables contenues dans l’édition d’Ulm, l’autr
and des fables contenues dans l’édition d’Ulm, l’autre, la traduction allemande de l’addition de Sébastien Brant. La fin de l’une
t suivent cette préface, et sur un feuillet final on lit, toujours en allemand , ce dernier avis : « Imprimé à Fribourg en Brisga
ean Fabre, y réimprima deux fois, dans le format in-4º, la traduction allemande de Steinhöwel, suivie de la traduction allemande
in-4º, la traduction allemande de Steinhöwel, suivie de la traduction allemande des fables latines publiées par Sébastien Brant.
emières pages comprennent d’abord le titre, ensuite les deux préfaces allemandes attribuant la traduction à Steinhöwel, enfin la t
ort. Sous la même date de 1555, une autre édition de la traduction allemande a été publiée à Francfort. Le British Museum en p
Mein, en 1572, en 1586 et en 1589, a imprimé trois fois la traduction allemande des fables contenues dans l’édition de Steinhöwel
and in Freyhüt. 10º Édition de 1648. En 1648, les traductions allemandes des fables publiées par Steinhöwel et S. Brant fu
sans lieu ni date. Je dois citer ici une édition de la traduction allemande de Steinhöwel, sans lieu ni date, qui, d’après le
o auch zugeschrieben Werden. 12º Édition de 1676. Les éditions allemandes d’Erfurt et de Nuremberg ne furent pas les seules
s la cote 12305. b 36. 14º Édition de 1838. La dernière édition allemande qui me reste à signaler est celle que j’ai aperçu
§ 4. — Éditions françaises.     À peine avait paru la traduction allemande des fables du Romulus ordinaire qu’une traduction
s xylographiques qui ressemblent trop à celles des premières éditions allemandes pour n’avoir pas été copiées plus ou moins exacte
ingt-huit gravures sur bois pareilles à celles des premières éditions allemandes . Elle se termine par cette souscription : Aqui s
r magnus. Fol. 120 (K 8). — Feuillet blanc. Gomme dans les éditions allemandes du même temps, toutes les fables sont ornées de g
fables dégénèrent en légendes de saints365. Si l’opuscule du critique allemand était moins connu, je ne prendrais pas la peine d
fable se compose de trente-six vers. 5º Manuscrit de Haenel. L’ Allemand Haenel, dans ses voyages en Italie, eut la bonne
ifique du temps, mais encore elle est suivie d’une traduction en vers allemands , qui est l’œuvre du vieux Boner, c’est-à-dire du
tine. Malheureusement il n’a pas non plus terminé la copie de l’œuvre allemande , de sorte qu’à la suite quatre feuillets sont res
ère fois entreprise à l’aide du manuscrit 1594. § 2. — Traductions allemandes . Il a été fait au moyen âge des traductions al
Traductions allemandes. Il a été fait au moyen âge des traductions allemandes , tant en prose qu’en vers, des fables de Walther.
parce que le paraphraste n’a pas ou possédé ou voulu mettre en langue allemande la totalité du texte latin. Voici les numéros, qu
’ordre adopté dans le manuscrit pour celles qui en sont la traduction allemande  : 1, 2, 3, 5, 4, 6, 7, 8, 10, 12, 13, 14, 15, 17,
oète Boner, qui, en partie du moins, semblent avoir été la paraphrase allemande de celles de Walther et qui dans plusieurs manusc
d’un dessin de beaucoup supérieur à celui des gravures des incunables allemands . Au bas du verso de l’avant-dernier feuillet est
ments pour la connaissance des anciens écrits et de l’ancienne langue allemande (Magdebourg, 1836) et qui a été enfin publié par
de ce manuscrit, dont la collection a servi de texte aux traductions allemandes de Gérard et d’un autre poète, il s’exprime en ce
opinion sur la communauté d’origine des deux traductions française et allemande de Marie de France et de Gérard de Minden. Il n’e
core dans six autres manuscrits, est bien celle sur laquelle le poète allemand a travaillé, et j’en trouve la preuve incontestab
au Romulus dont il était issu. M. Oesterley déclare que la traduction allemande de Gérard comprend 103 fables, c’est-à-dire un no
e de donner dans un tableau comparatif546 les titres de 86 des fables allemandes . De ces titres il ressort que sur les 86 fables i
ge. 102. 134. Il résulte clairement de ce tableau que la traduction allemande a bien été faite sur la collection latine, à laqu
son prologue qu’elle en aurait parlé. Elle aurait fait comme le poète allemand , qui, voyant en tête du Dérivé complet le prologu
à cent vingt-trois le nombre des fables latines interprétées par les allemandes . Si, comme il le suppose, les feuillets qui manqu
is avec facilité, de quelles fables du Dérivé complet celles du poète allemand sont la traduction. Chapitre III. Dérivés e
et xv. 228. Manuel de Littérature classique ancienne,… traduit de l’ allemand de M. Eschenburg, avec des additions, par C.-F. C
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