» Comme l’acheteur était surpris de ce qu’il entendait, le créancier
ajouta
: « Cesse de t’étonner ; car cette truie te donne
force et qu’il désirât encore davantage, non seulement refusa de lui
ajouter
des cornes, mais encore lui retrancha une partie
sonne ne prenait plus souci des vents ni des averses épaisses. « Moi,
ajoutait
-il, je ressemble à un chef et à un monarque absol
t lait plus fort que tous les autres animaux ; « mais avec tout cela,
ajoutait
-il, j’ai peur du coq. » Prométhée lui répondit :
uffisance, tandis que lui s’en irait là-bas pour y passer l’hiver. Il
ajouta
que, s’il y trouvait de la pâture en abondance, i
dre de la reconnaissance des méchants, c’est qu’à l’ingratitude ils n’
ajoutent
pas l’injustice. Chambry 225.2 Aliter — Λύκ
onné aux jeux olympiques n’était capable d’en faire un pareil ; et il
ajoutait
qu’il produirait comme témoins de son exploit ceu
rites de l’auteur l’hommage le plus sincère. » Et un peu plus loin il
ajoutait
: « Il a réuni des matériaux incomparablement plu
nt à laquelle il attache du prix. Si le recueil où nous écrivons peut
ajouter
assez d’autorité à nos paroles pour qu’elles soie
rès avoir parlé d’Ésope le Phrygien et d’Anacharsis le Scythe, Phèdre
ajoute
: Ego, litteratæ qui sum propior Græciæ, Cur som
phée21. Pour fournir sur le premier point de nouveaux documents, il n’
ajoute
aux citations précédentes que deux témoignages as
fait allusion, quand il dit qu’il est né plus près de la Grèce, et il
ajoute
que son pays plus voisin du foyer des lettres a v
e intelligence exceptionnelle, Auguste, à qui il avait été vendu, fit
ajouter
à son instruction grecque l’enseignement des lett
d parler. Dira-t-on que la qualité, qui, en tête de ses fables, a été
ajoutée
à son nom, peut avoir été inventée par les copist
enant, qu’on me permette, avant de passer à un autre ordre d’idées, d’
ajouter
une dernière observation. Phèdre dit bien que, s’
e, sous le nom de Séjan, c’est Narcisse qu’il a voulu stigmatiser. Il
ajoute
que l’époque de Claude se prêtait mieux qu’aucune
able que le vertueux Phèdre ait eu pour protecteur un pareil homme. J’
ajoute
que, si l’on admettait cette supposition invraise
e IV, et, quand, après avoir renoncé à écrire, il reprend la plume et
ajoute
à son quatrième livre une seconde partie, est-ce
auctor quam materiam repperit Hanc ego polivi versibus senariis. Il
ajoute
dans le prologue du livre II qu’il prend Ésope po
manifesté son irritation. Pithou fut chargé de répondre. « Il le fit,
ajoute
son biographe Grosley70, par un mémoire, où, sans
pas avoir eu connaissance de l’exemplaire de Sainte-Geneviève, et il
ajoute
qu’il renferme « les variantes des manuscrits ».
gnée d’un B avec paraphe. À côté de ce B, à l’encre, une autre main a
ajouté
ces mots : Certe Beaucousin 75. La conjecture d
Trecis. » Le frontispice est précédé d’un feuillet blanc, qui a été
ajouté
par le relieur et sur lequel on lit : « Ce volume
ithou l’Exemplaire qui lui étoit destiné76. » « Les Fables de Phèdre,
ajoute
Grosley un peu plus loin, furent le dernier prése
Bierne. « De son mariage avec Louis Le Peletier, secrétaire du roi,
ajoute
Grosley, naquit l’illustre Claude Le Peletier, qu
e M. Le Peletier de Rosanbo lui avait promis de le lui montrer, et il
ajoute
: « On l’a vu dans sa bibliothèque, lorsqu’on s’e
mble suffisante pour donner une idée complète du manuscrit, et je n’y
ajouterais
rien, si je n’avais pas à rectifier deux erreurs.
e. Après avoir émis la pensée que le feuillet disparu était blanc, il
ajoute
: « Quoi qu’il en soit de cette conjecture, il ne
t un pareil serment soit capable de le tenir, il reprend la plume, et
ajoute
à son livre IV une seconde partie, que, comme la
ons différentes de celles du manuscrit de Pithou, Dom Vincent y avait
ajouté
une lettre ainsi conçue : « Le 31 octobre 1769.
que toute variante tirée par Gude de MS, quoiqu’il n’ait pas toujours
ajouté
Rem. (ce que pourtant il fait souvent), n’est pas
er cette méprise, il avait, à la fin de la dernière fable du livre V,
ajouté
cette observation : « Ici finit le cinquième livr
gnans que les neuf premiers vers, et à la suite, sans interruption, s’
ajoutent
les deux derniers vers d’une autre fable, dont le
Reims, n’a pas davantage aperçu ces lacunes, et, comme l’autre, il a
ajouté
, sans ponctuation séparative, au commencement de
ante. Enfin, pour en terminer avec tous ces points de ressemblance, j’
ajoute
que, contrairement à ce que déclare Dom Vincent d
e, il écrivait, en 1774, dans l’almanach de Reims112 : « “Au Phèdre,
ajoute
M. Grosley, est jointe une comédie latine intitul
protecteur généreux, un ami des lettres : “Sermone illo philosophico,
ajoute-t
-il, ex tuo materiam sumpsimus. Meministine ridere
j’aurais pu puiser des renseignements précis soit dans le supplément
ajouté
par Orelli, en 1832, à son édition de Phèdre publ
vait revendiquer l’honneur de lui avoir donné le jour : dans une note
ajoutée
à la préface qui précède sa publication du manusc
it : Fraudator homines cum avocat sponsore improbo, il s’empresse d’
ajouter
qu’au contraire on lit dans le manuscrit de Danie
cée presque à la fin de son recueil, auquel il n’a ainsi presque rien
ajouté
pendant les seize dernières années de sa vie. Il
si à la leçon apparente du manuscrit il avait, comblant la la lacune,
ajouté
la lettre n. Mais dans le manuscrit on lit très n
uvelles, leur texte latin en regard, la traduction française en prose
ajoutée
au bas, et les notes latines de Jannelli rejetées
e en prose qui y porte le nº 67. En définitive, si aux 157 numéros on
ajoute
d’une part l’épigramme De asparagis et lacte, et
toujours à un nombre total de cent cinquante-sept poésies. Elles sont
ajoutées
les unes aux autres sans classement méthodique, e
erani d’Urbin, qui était bibliothécaire, a inscrit la date de 1517 et
ajouté
, d’une écriture différente du reste et un peu plu
bibliothèque Vaticane lui révéla le véritable texte et le détermina à
ajouter
à son ouvrage un supplément, qui parut, également
argument est bien simple ; mais il me semble si concluant que je n’en
ajoute
pas d’autre. Malheureusement Schryver ne pouvait
te parurent sous son nom201. » Et plus loin, parlant de d’Orville, il
ajoute
: « Le bonheur de rechercher et de déterrer cette
s relativement courts qu’il y avait fait des additions successives. J’
ajoute
que probablement il n’a jamais adressé son recuei
très nombreuses et pour la plupart on ne peut plus concises. Faut-il
ajouter
qu’Avianus, si ses modèles avaient été des auteur
lable qu’il dit avoir tiré ce sujet d’Avien qui ne l’a jamais traité.
Ajoutez
a cela que Pérotti connoissoit Phedre et qu’il en
antiquité par simple prédilection pour ce temps229. » Et plus loin il
ajoute
: « Ainsi, à en juger sur les simples inductions
rti de fermer les yeux. À ces textes de Martial et d’Avianus, Schwabe
ajoute
le monument épigraphique, dont Basile Favre et Bo
avants allemands surtout semblèrent systématiquement décidés à ne pas
ajouter
foi à l’ancienneté d’une œuvre, qui peut-être ava
obus Phædrus. Du reste, Docen, avec son bon sens et son impartialité,
ajoutait
que la question serait une fois tranchée, si l’on
toutes les fautes du copiste, par le fac-similé de l’écriture qu’il a
ajouté
à la fin de son travail, il a enfin fourni aux sc
crivirent et que, pour leur donner une application plus étendue, on y
ajouta
une conclusion morale, qui les transformait en vé
ur lui rien ne démontre que l’une des deux soit celle de Phèdre. Je n’
ajoute
qu’une réflexion : pour arriver à cette conclusio
considère ces deux vers comme l’épimythion d’une fable absente, et il
ajoute
: « Si Perotti, comme certaines personnes le supp
l’ai expliqué : le recueil de Perotti est formé de poésies diverses,
ajoutées
les unes aux autres, sans ordre, à des intervalle
s la littérature latine. Je vais même plus loin, et je n’hésite pas à
ajouter
qu’il a peut-être été aussi, dans la prosodie lat
haut que le manuscrit avait appartenu à l’abbaye de Saint-Martial. J’
ajoute
qu’il y avait pris naissance. C’est là qu’avaient
ne œuvre nouvelle ferait suite à une autre toute différente. « C’est,
ajoute
M. Pertz, une espèce de collection d’extraits ou
seul volume des pièces, qui isolément ne contenaient pas des extraits
ajoutés
pêle-mêle les uns aux autres, mais qui, étant san
eat ista prefacio. Au texte écrit par une première main une seconde a
ajouté
en marge un très grand nombre de gloses. Fol. xii
de 57 feuillets anciens, dont plusieurs sont blancs. Le relieur en a
ajouté
trois au commencement et trois à la fin, qui sont
nterrogasti, et si tanta monstrorum esse genera credenda , etc. Tross
ajoute
qu’entre ce prologue et la partie de l’ouvrage qu
« Quelque rapprochée de l’original que soit cette antique paraphrase,
ajoute
le critique allemand, elle ne donnait pas à Tross
à supprimer des leçons indubitablement exactes. » Ces observations n’
ajoutaient
rien à ce que la dissertation de Tross m’avait dé
mpose sont précédés de deux autres. Le premier des deux qui avait été
ajouté
par le relieur et qui, collé par lui sur la face
sans doute trop vague le titre qui précède, le bibliothécaire Ebert a
ajouté
celui-ci : Scholia in canticum canticorum. Ces
, iii 1, iii 2, iii 3, iii 4, iii 5, iv 3, iv 9, iv 10, iv 11 et v 9.
Ajoutons
que cinq de ces dix-sept fables n’existent pas da
nnaissance, sans apercevoir la diversité d’origine. Cela m’autorise à
ajouter
que la mention écrite par lui doit remonter à une
ator Tiberino filio suo salutem. Ce titre pompeux d’empereur, ainsi
ajouté
au nom de Romulus, lui fut maintenu dans les dive
érés comme n’en formant qu’un seul sous deux noms différents. Il faut
ajouter
qu’il lui avait été bien facile d’arriver à cette
je le désirais, interrompu que j’étais par mon mauvais état de santé.
Ajoutez
à cela les retards du libraire, qui a fait sa cop
re ou de Romulus primitif, et, si c’est un de ses dérivés en prose, d’
ajouter
au terme générique une dénomination spéciale. Le
eux faire apprécier ce point, je vais, en terminant ces observations,
ajouter
à l’exemple que j’ai choisi quelques autres terme
a établie à la page 545 de son ouvrage323. » Et plus loin M. Müller
ajoute
: « Quant à l’âge de celui qui composa l’Aesopus
vingiens. À l’égard de Romulus, qui, comme je l’ai rappelé plus haut,
ajouta
à l’auteur anonyme une certaine parure de langage
des textes je l’ai fait assez ressortir pour qu’il soit superflu d’y
ajouter
de nouveaux arguments, et je m’en abstiens. Rest
moins écarté de son modèle et qui en donnait l’idée la plus exacte. J’
ajoute
que c’est celui auquel, pendant tout le cours du
crit de Pierre Crinitus me fut révélée par une sorte de post-scriptum
ajouté
par M. Oesterley à la préface de son édition du C
es feuillets 151 à 164. Après les avoir transcrites, Crinitus y avait
ajouté
une mention, qu’il avait signée et dont voici la
pas le seul qui soit en désaccord avec les trois précédents. Je dois
ajouter
que son texte présente des variantes assez nombre
De Cive et Milite, suivie des deux fables qui y sont le plus souvent
ajoutées
. En marge et au-dessous tant de la soixantième qu
e xxii, ne pouvait porter le nº xviii, et ont, à gauche de ce numéro,
ajouté
un x sans songer à supprimer le v, de sorte qu’au
uam prosa. Per Gerardum Leeu in opido Goudensi 1482. 4. Il importe d’
ajouter
que cette désignation est précédée d’un astérisqu
ressortir la valeur d’une vieille toile, une œuvre nouvelle avait été
ajoutée
à l’ancienne. L’auteur de cette addition était un
De Cive et Milite seruientibus uno domino, à chacune desquelles il a
ajouté
, sans doute pour la symétrie, une traduction lati
sacrifiant toujours à la même symétrie, Brant a fait l’inverse : il a
ajouté
à chacune une fable en prose. Fol. 109 b (q. iii
a, De iuvencula impotentiam mariti accusante. À peine est-il besoin d’
ajouter
que, fidèle à son système, Brant a fait précéder
ceux qui voudront faire plus ample connaissance avec cette édition, j’
ajoute
que j’en ai trouvé, sous la cote X. E. 28, un exe
aduisez : « Ici finit Ésope le célèbre fabuliste avec quelques fables
ajoutées
de Rimicius et d’Avianus. Imprimé et terminé dans
viij. Lisez : « Ésope le très célèbre fabuliste avec quelques fables
ajoutées
de Rimicius et d’Avianus finit ici. Imprimé et ac
emande des fables contenues dans l’édition de Steinhöwel et de celles
ajoutées
par Sébastien Brant. A. Édition de 1572. La
13º Éditions plus récentes. Aux éditions qui précèdent il faut
ajouter
les suivantes qui figurent au catalogue de la Bib
us ancienne. Aussi à la cote qu’il donnait à l’exemplaire 7806 a-t-il
ajouté
l’observation suivante : « Of this very early and
des figures en bois nombreuses, mais d’un dessin informe. Le volume,
ajoute-t
-il, a des signatures de a—o iiij, par cahiers de
, les mêmes observations que dans l’édition de 1550, auxquelles a été
ajouté
ce qui suit : whereunto is added the Fables of A
existe 26 dans l’édition de 1533 ; aux 22 premières en effet ont été
ajoutées
les quatre suivantes : Fa. xxiij. fabula de la du
e texte latin des fables et n’en offre que la traduction espagnole. J’
ajoute
que la dernière série de fables, intitulée : Fabu
rnus quidam fur et Securis cum facta esset. À la fin de sa copie il a
ajouté
les trois titres qui suivent : De Cane latrante
ces mots, dans les exemplaires destinés à F. Regnault, l’imprimeur a
ajouté
ceux-ci : pour François || regnault libraire iur
otentis, Stertere servorum, velle juvare pii. « Il me semble,
ajoute-t
-il, que l’on peut déjà voir, si l’on veut lire av
Romulus et à l’Anonyme. » Et à l’exemple déjà fourni par M. Robert il
ajoute
le suivant, tiré de la fable Musca et Mula :
uscrit de Berlin Lat. 8º 87, c’est au Romulus de Vienne qu’elles sont
ajoutées
. Il est vrai que, lorsque des manuscrits on passe
fables404. » Mais, tout en exposant cette revendication, Gyraldi n’y
ajoutait
nullement foi. Elle méritait peut-être un peu plu
terprete Salone Parme. Æsopi item fabulæ, interprete Auiano. Je dois
ajouter
que cette première édition avait été imprimée par
avoir rappelé que Névelet lui avait donné le nom d’Anonyme ancien, il
ajoutait
: « Je lui ai substitué celui de Galfred, d’après
ve à laquelle l’éducation d’un enfant l’aurait forcément assujetti. J’
ajoute
que la fable dont je m’occupe a, comparée aux aut
res ridicules431. » Si maintenant à toutes ces appréciations je puis
ajouter
la mienne, je prendrai la liberté de trouver les
7616. Je vais donner la description de ces treize manuscrits, et j’y
ajouterai
, à raison de l’analogie qu’ils ont avec le manusc
e Lupo et Pastore. C’est une des deux fables qui sont le plus souvent
ajoutées
aux soixante premières. Elle se termine vers le b
res, il renferme les deux complémentaires, qui y sont le plus souvent
ajoutées
, et qui, dans les manuscrits, sont intitulées De
qui, ainsi que le prologue, sont allongées à l’aide de quelques vers
ajoutés
, au nombre de quatre en général, à l’affabulation
ur que l’on puisse faire facilement cette comparaison, que nous avons
ajouté
quelques gravures, en petit nombre, dont les suje
, et qui a ensuite traduit les additions en français. Je m’empresse d’
ajouter
qu’il ne faut pas davantage lui attribuer le déve
; les vers écrits en l’honneur de Jeanne de Bourgogne n’y ont pas été
ajoutés
. La collection des fables d’Avianus se termine au
du manuscrit de Haenel et de celui de la bibliothèque de Douai. » J’
ajoute
que dans ce dernier il trouva les deux fables De
is les 60 authentiques auxquelles, au haut du recto du feuillet 36, s’
ajoutent
les quatre premiers vers de la soixante et unième
s ici : elle trouvera sa place toute naturelle dans l’appendice que j’
ajouterai
aux soixante fables de Walther. Le tout est termi
mbre de 63 ; elles comprennent les 60 fables primitives, auxquelles s’
ajoutent
les trois suivantes : De Capone et Accipitre, De
uscrit 1594, augmenté de deux autres au moins. Voici ceux qui ont été
ajoutés
au texte primitif de la fable De Gallo et Jaspide
oixante fables de Walther et les deux fables qui y sont ordinairement
ajoutées
et qui sont intitulées, l’une : De Capone et Acc
fande lumen, Criste. À la fin du volume on a, comme au commencement,
ajouté
un feuillet en parchemin, qui porte cette mention
mpris deux feuillets blancs, qui le terminent et dont le second a été
ajouté
par le relieur. Au verso du feuillet 132, une ma
xive siècle. Ils sont précédés d’un feuillet également en parchemin,
ajouté
après coup et non paginé. Le relieur a en outre p
ssous une main qui n’est pas non plus celle du copiste du manuscrit a
ajouté
ces mots : Manus domini. Non seulement les cah
itre spécial écrit à l’encre rouge et de nombreuses gloses marginales
ajoutées
par une main moins ancienne. Elles sont au nombre
siècle et comprend, d’après la nomenclature qu’on lit sur un feuillet
ajouté
en tête, plusieurs ouvrages énumérés dans les ter
s soixante authentiques et des deux qui y sont le plus habituellement
ajoutées
, ne portent pas de titre général, sont précédées
e de soixante-trois, comprennent les soixante ordinaires auxquelles s’
ajoutent
les trois suivantes : De Domino, Accipitre et Cap
, nil sapit esca mihi. Aux trente feuillets du manuscrit il en a été
ajouté
, à la suite, deux de dimension moindre qui ont ap
Thadée Ugoleto au prêtre Parmesan Pérégrin Posthume Loticus. Je dois
ajouter
que, dans la fable de la Matrone d’Éphèse, on tro
est de 65. Aux soixante authentiques placées sous 62 numéros ont été
ajoutées
cinq autres portant les numéros et titres suivant
posent des soixante authentiques, des deux qui y sont le plus souvent
ajoutées
sous les titres suivants : De Capone et Accipitre
e elles d’une glose, viennent ces quatre vers, qui y sont quelquefois
ajoutés
dans les manuscrits : Gutta cauat lapidem, non
hentiques placées sous 61 numéros, ont été, sous les numéros 62 à 67,
ajoutées
les six suivantes : De Capone et Accipitre ; De P
838. M. Dressler, dans son édition publiée à Bautzen en 1838, les
ajouta
aussi aux fables de Phèdre. En tête de cette édit
x fables, les soixante authentiques et les deux le plus ordinairement
ajoutées
sous les titres De Capone et Ancipitre et De Lupo
viono Targioni, Tozzeti et Torquato Gargani qui avaient l’intention d’
ajouter
au texte du manuscrit de la Laurentienne trois au
chaque sonnet, en sus des quatorze vers exigés par notre prosodie, s’
ajoutent
deux vers complémentaires. Alors que la plupart d
le De Ranis et Hydro sont comptés pour deux fables. Les quatre fables
ajoutées
aux soixante de Walther sont les suivantes : De C
d’un Ave Maria affectant la forme d’un sonnet italien. À tout cela s’
ajoute
la table à laquelle sont consacrés le verso du fe
qui m’empêchent de le croire, et je les tiens toujours pour bonnes. J’
ajoute
que, lorsque Neckam écrivait, l’Æsopus ad Rufum e
ui suit ce titre démontre que le copiste n’a pas continué sa copie. J’
ajoute
que, si courte qu’elle soit, elle présente des fa
deux à deux. » Et, dans une note complétant sa description, M. Robert
ajoute
: « Dans les sixains, le 1er et le 2e vers, le 4e
nne, celui de Berlin ne peut plus être qu’un dérivé. J’ai le regret d’
ajouter
que c’est un dérivé très défectueux, car il pullu
patefaciens os ut caperet, amisit quod tenebat. À cet exemple, j’en
ajoute
un tiré de la fable des deux Rats : Rom. de Vie
bulco et Lupo. À la suite de la dernière fable en prose, le copiste a
ajouté
les deux fables de l’Anonyme de Névelet, qui dans
Rufus. Épilogue I. Épilogue II Je crois qu’il est inutile d’
ajouter
aucun commentaire à ce tableau comparatif des tro
de la dédicace de Romulus à son fils Tiberinus492, et plus loin, j’ai
ajouté
qu’en tête de cette dédicace ce Romulus était qua
été traités dans le même ordre. On peut, sans craindre de se tromper,
ajouter
que le texte des unes est l’amplification de celu
bulæ antiquæ, et, ce qui est peu flatteur pour le savant critique, il
ajoute
que Nilant ne s’est pas aperçu qu’il publiait deu
l se compose de 43 feuillets. Le premier et les deux derniers ont été
ajoutés
tardivement aux 40 autres. Il a appartenu à Antoi
ainsi qu’il résulte de cette mention inscrite sur le premier feuillet
ajouté
aux anciens : « A la Bibliothèque de l’église de
« Extrait des registres du Parlement. » Le premier des deux feuillets
ajoutés
à la fin porte également une décision judiciaire.
exte cherché était bien irrévocablement perdu. Mais on me permettra d’
ajouter
, à ma décharge, que c’était une erreur excusable
i-même pour première origine le Romulus de Nilant, auquel avaient été
ajoutés
des emprunts faits à des collections diverses ? I
ction de 22 fables en possédait une qui manquait dans l’autre, il l’a
ajoutée
et est ainsi arrivé à un nombre total de 137 fabl
er en compte. C’est donc un premier total de 49 fables. Que faut-il y
ajouter
? Ce sont le Dérivé de 136 fables et la traductio
qui n’existe pas dans le Dérivé, et qui, n’ayant certainement pas été
ajoutée
par Marie, a dû appartenir au Romulus anglo-latin
dès lors qu’elle ait eu recours à l’œuvre du roi Henri Beau-Clerc. J’
ajoute
que son goût ne la portait pas vers les traductio
le. Les 218 feuillets écrits sont précédés de deux autres qui ont été
ajoutés
par le relieur. Sur le recto du premier on lit :
ais où il manque des vers. » Cette notice est suivie de cette mention
ajoutée
par une main plus récente : « Le copiste semble a
es de celles qui ont prévalu. » Au bas du recto du deuxième feuillet
ajouté
, le président Fauchet a écrit : « C’est à moi Cla
siècle. Il se compose de 250 feuillets anciens, auxquels le relieur a
ajouté
quatre feuillets nouveaux, en parchemin comme les
: deux au commencement et deux à la fin. Le second des deux feuillets
ajoutés
en tête porte une table des matières conçue en ce
en prose. Page 226. À la suite de cette nomenclature la même main a
ajouté
cette observation : Ce ms. a esté dérangé et le
la cote 79892. Sur un des trois feuillets en papier que le relieur a
ajoutés
en tête du volume, on lit cette mention, qui para
suivants : 3, 10 à 18, 26 à 31, et 80 à 103. Il faut naturellement y
ajouter
l’épilogue. Quant à l’écriture qui est très nette
archemin, dont l’écriture est à 2 colonnes. Sur un feuillet en papier
ajouté
par le relieur, un premier bibliothécaire a écrit
es du Romulus Roberti ; mais je me rends compte de ce que cet examen,
ajouté
à celui auquel je viens de me livrer, aurait d’in
n dont elles s’étaient moins écartées que celles du Dérivé complet. J’
ajoute
, en terminant, qu’on doit maintenant s’expliquer
s non plus été le père. Allant maintenant plus loin, je crois pouvoir
ajouter
que le Dérivé complet, quoique moins conforme au
sa, dans laquelle les mots et lenta, d’abord oubliés, ont ensuite été
ajoutés
en marge. Malgré leur parenté, les deux manuscrit
et domino Petro zum Raben. À une époque postérieure une autre main a
ajouté
: Nunc autem Nicolao Luysth presbitero Treverens
ettre. Il prétend, comme je l’ai déjà dit page 780, qu’il ne faut pas
ajouter
foi à la déclaration de Marie qui affirme avoir c
avoir composé sa traduction sur une première version anglaise, et il
ajoute
que son œuvre et celle de Gérard de Minden ont la
anglo-latin a d’abord été composé en Angleterre, et je crois pouvoir
ajouter
qu’il ne s’est pas propagé au dehors. Ce Romulus,
es sont également traités dans le Dérivé hexamétrique. Il suffirait d’
ajouter
que ce Dérivé ne possède aucune fable étrangère a
re transcrites sur le cahier d’honneur, on partagera mon sentiment. J’
ajoute
qu’à ce premier défaut de style s’en joint un sec
il en offre un autre plus spécial, ce sera au lexicographe qui voudra
ajouter
un supplément aux dictionnaires de Ducange et de
s mots ceux du texte dans lequel il puisait ses inspirations. Il faut
ajouter
qu’une autre cause devait le porter à s’écarter d
en scène un Boucher ; mais le fond est resté semblable. On peut enfin
ajouter
que, dans les deux collections, le nombre des fab
ts ; il en a trouvé des rédactions en prose, les a traduites et les a
ajoutées
aux autres. Où les a-t-il trouvées ? Pour deux je
dérivés. Il ne faut pas d’ailleurs s’étonner que le versificateur ait
ajouté
à sa version celle de trois fables étrangères à l
ue, par suite de la classification adoptée pour leur ouvrage, ils ont
ajouté
au précédent, mais bien le nº 177, qui au contrai
les négliger ; dans le second volume de cet ouvrage, on les trouvera
ajoutées
, sous forme de notes, au texte du manuscrit du Br