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1 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — XVIII. L’Aigle et le Hibou. » p. 
XVIII. L’ Aigle et le Hibou. L’Aigle et le Chat-huant leurs qu
XVIII. L’Aigle et le Hibou. L’ Aigle et le Chat-huant leurs querelles cesserent ; Et f
prou. Connoissez-vous les miens ? dit l’Oiseau de Minerve. Non, dit l’ Aigle . Tant pis, reprit le triste Oiseau. Je crains en
. Adieu mes nourriçons si vous les rencontrez. Peignez-les moy, dit l’ Aigle , ou bien me les montrez. Je n’y toucheray de ma v
nez, un air triste, une voix de Megere. Ces enfans ne sont pas, dit l’ Aigle , à nôtre amy : Croquons-les. Le galand n’en fit p
blable Beau, bien fait, et sur tous aimable. Tu fis de tes enfans à l’ Aigle ce portrait, En avoient-ils le moindre trait ?
2 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — VIII. L’Aigle et l’Escarbot. » p. 3
VIII. L’ Aigle et l’Escarbot. L’Aigle donnoit la chasse à Maî
VIII. L’Aigle et l’Escarbot. L’ Aigle donnoit la chasse à Maître Jean Lapin, Qui droit
ser si ce gîte Estoit seur ; mais où mieux ? Jean Lapin s’y blotit. L’ Aigle fondant sur luy nonobstant cet azile, L’Escarbot
tendres œufs, sa plus douce esperance : Pas un seul ne fut épargné. L’ Aigle estant de retour, et voyant ce ménage, Remplit le
tomber une crote : Le Dieu la secoüant jetta les œufs à bas. Quand l’ Aigle sçut l’inadvertance, Elle menaça Jupiter D’abando
bot comparut, Fit sa plainte, et conta l’affaire. On fit entendre à l’ Aigle enfin qu’elle avoit tort. Mais les deux ennemis n
rque des Dieux s’avisa, pour bien faire, De transporter le temps où l’ Aigle fait l’amour, En une autre saison, quand la race
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — VI. L’Aigle, la Laye, et la Chate. » p. 488
VI. L’ Aigle , la Laye, et la Chate. L’Aigle avoit ses petit
VI. L’Aigle, la Laye, et la Chate. L’ Aigle avoit ses petits au haut d’un arbre creux
 La Lay
tage.
 La Chate détruisit par sa fourbe l’accord.
 Elle grimpa chez l’ Aigle , et luy dit : Nôtre mort, (Au moins de nos enfans
amie et ma voisine,
 Luy dit-elle tout bas, je vous donne un avis.
 L’ Aigle , si vous sortez, fondra sur vos petits :
   Oblig
re famille ayant semé l’effroy,
   La Chate en son trou se retire. 
L’ Aigle n’ose sortir, ny pourvoir aux besoins
   De ses p
4 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XII. De l’Aigle, et du Renard. »
FABLE XII. De l’ Aigle , et du Renard. L’Aigle et le Renard ayant fait
FABLE XII. De l’Aigle, et du Renard. L’ Aigle et le Renard ayant fait amitié ensemble, conclure
eur commune affection s’affermiroit par leur conversation mutuelle. L’ Aigle bâtist donc son nid sur un haut arbre, auprés duq
utres, il arriva qu’estant sorty, pour leur chercher quelque proye, l’ Aigle , qui en avoit besoin aussi bien que luy, volla dr
qui ne peuvent faire ce qu’ils voudroient bien, il se mit à maudire l’ Aigle , et souhaitta que toutes sortes de maux luy advin
en ce mesme temps on faisoit un sacrifice de chevres à la campagne, l’ Aigle en ayant ravy un lopin, où estoient attachez quel
ne tarda guere à s’y mettre, et le consomma. Alors les poussins de l’ Aigle , qui ne pouvoient encore voler, sentans l’ardeur
sur la douziesme Fable. Ceste douziesme Fable fait representer à l’ Aigle un personnage bien different du precedent, par un
a gloire qu’ils s’estoient acquise ? Ou si c’est qu’en sa naissance l’ Aigle fût un Animal genereux et noble, de qui la Vertu
, en quelque temps qu’on la leur ait donnée, et qu’à ceste occasion l’ Aigle ne fist point difficulté de trahir le Renard, en
t les Magistrats de Rome l’en dispensassent avecque trop de raison. L’ Aigle donc ne sera point excusable, pour avoir usé de t
5 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La mort d’Esope. Chapitre XXX. »
e le Rat fut mort, comme il flottoit au dessus de l’eau, voila qu’une Aigle qui vint à passer par là, s’en alla fondre sur lu
ns. Il y avoit une fois un Liévre, qui se voyant tenu de prés par une Aigle , et ne sçachant où se cacher, se retira dans la t
s d’avoir soing de sa conservation. L’Escarbot se mit alors à prier l’ Aigle , de ne point tuër le pauvre suppliant, et la conj
njura par le grand Dieu Jupiter de ne dédaigner sa petitesse : Mais l’ Aigle irritée donna un coup d’aisle à l’Escarbot, puis
et le mangea. L’Escarbot offensé de ceste injure, s’envola avecque l’ Aigle , pour sçavoir où elle faisoit son nid, et n’y fus
tost entré, que roulant ses œufs du haut en bas, il les cassa tous. L’ Aigle offensée qu’il y eust eu quelqu’un si hardy que d
pris de l’Escarbot, qu’il avoit fait cela exprés, pour se vanger de l’ Aigle , qui ne l’avoit pas seulement offensé, mais commi
de la persecuter ainsi. Jupiter donc ne voulant point que la race des Aigles défaillit, fut d’advis que l’Escarbot se reconcil
igles défaillit, fut d’advis que l’Escarbot se reconciliast avecque l’ Aigle  ; luy toutesfois n’en voulut rien faire. Ce qui f
que les Escarbots n’eussent à paroistre durant tout le temps que les Aigles pondroient leurs œufs. Cela vous doit apprendre,
6 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 79 » pp. 296-296
Chambry 79 Chambry 79.1 Γεωργὸς καὶ ἀετός — Le laboureur et l’ aigle . Γεωργὸς ἀετὸν εὑρὼν ἠγρευμένον, τὸ κάλλος αὐ
ντιδοθήσεταί σοι]. Codd. Ba 23 Mg 39. Un laboureur, ayant trouvé un aigle pris au filet, fut si frappé de sa beauté qu’il l
ut si frappé de sa beauté qu’il le délivra et lui donna la liberté. L’ aigle ne se montra pas ingrat envers son bienfaiteur ;
qui lui ceignait la tète. L’homme se leva et se mit à sa poursuite. L’ aigle laissa tomber le bandeau. Le laboureur le ramassa
7 (1180) Fables « Marie de France, n° 10. Le renard et l’aigle » p. 1
Marie de France, n° 10 Le renard et l’ aigle Dë un gupil cunt la manere quë ert eissuz de sa
u ardant e secche buche vet cuillant ; entur le chesne le meteit u li aigle sun ni aveit. Li egles vit le fu espris ; al gupi
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XI. De l’Aigle, et de la Corneille. »
FABLE XI. De l’ Aigle , et de la Corneille. L’Aigle ne pouvant, ny par
FABLE XI. De l’Aigle, et de la Corneille. L’ Aigle ne pouvant, ny par son industrie, ny par sa force
endant demeura en bas, pour en attendre l’issuë, qui fut telle, que l’ Aigle ayant laissé cheoir sa proye, la coquille se romp
roba le poisson, et ainsi la mocquerie et la perte en demeurerent à l’ Aigle . Discours sur l’unziesme Fable. Le noble et
ttre de ceste sorte en sa frequentation, c’est courir la fortune de l’ Aigle , qui ne gagna que de la honte dans le conseil de
9 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 3 » pp. 1-1
Chambry 3 Chambry 3.1 Ἀετὸς καὶ ἀλώπηξ — L’ aigle et le renard. Ἀετὸς καὶ ἀλώπηξ φιλίαν πρὸς ἀλ
ὐ διακρούονται. Codd. Pa 11 Pb 1 Pd 1 Pf 1 Ph 1 Ma 11 Mb 1 Me 1. Un aigle et un renard, ayant fait amitié ensemble, décidèr
ns la pensée que la cohabitation affermirait leur liaison. Et alors l’ aigle prenant son essor s’établit sur un arbre très éle
etits. Mais un jour que le renard était sorti pour chercher pâture, l’ aigle à court de nourriture fondit sur le buisson, enle
nts et des faibles, de maudire son ennemi de loin. Or il arriva que l’ aigle ne tarda pas à subir la punition de son crime con
e contre l’amitié. Des gens sacrifiaient une chèvre à la campagne ; l’ aigle fondit sur l’autel, y ravit un viscère enflammé e
et ils tombèrent sur le sol. Le renard accourut et sous les yeux de l’ aigle les dévora tous. Cette fable montre que, si vous
10 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 5 » pp. 2-3
Chambry 5 Chambry 5.1 Ἀετὸς καὶ κολοιὸς καὶ ποιμήν — L’ aigle , le choucas et le berger. Ἀετὸς καταπτὰς ἀπό
Pg 1 Ma 12 Mb 2 — Ca 3 Cb 2 Cd 2 Ce 2 Cf 2 Ch 2 Mc 2 Mk 2 Ml 21. Un aigle , fondant d’une roche élevée, enleva un agneau. À
ache, moi, c’est un choucas ; mais, à ce qu’il prétend, lui, c’est un aigle . » C’est ainsi qu’à rivaliser avec les puissants
11 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 4 » pp. 3-3
Chambry 4 Chambry 4.1 Ἀετὸς καὶ κάνθαρος — L’ aigle et l’escarbot. Ἀετὸς λαγωὸν ἐδίωκεν· ὁ δὲ ἐν
Pd 5 Pf 2 Ph 2 Ma 13 Me 2 Mh 1 Mk 3 — Cb 3 Cc 1 Cd 3 Cf 3 Ch 3. Une aigle poursuivait un lièvre. Ce lièvre, se voyant dénué
e supplia de le sauver. L’escarbot le rassura, et, voyant approcher l’ aigle , il la conjura de ne pas lui ravir son suppliant.
cher l’aigle, il la conjura de ne pas lui ravir son suppliant. Mais l’ aigle , dédaignant sa petitesse, dévora le lièvre sous l
s l’escarbot, plein de rancune, ne cessa d’observer les endroits où l’ aigle faisait son nid, et, quand elle couvait, il s’éle
temps-là, dit-on, pendant la saison où paraissent les escarbots, les aigles ne nichent plus. Cette fable apprend à ne méprise
12 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 6 » pp. 275-275
bry 6 Chambry 6.1 Ἀετὸς <τὰ πτερὰ τιλθεὶς> καὶ ἀλώπηξ — L’ aigle aux ailes écourtées et le renard. Ἀετὸς τὰ πτ
οὺς πονηροὺς δὲ φρονίμως τροποῦσθαι. Codd. Ba 128 Bb 76. Un jour un aigle fut pris par un homme. Celui-ci lui rogna les ail
les fit repousser en en frottant la place avec de la myrrhe. Alors l’ aigle , prenant l’essor, saisit un lièvre dans ses serre
13 (1180) Fables « Marie de France, n° 12. L’aigle et la corneille » p. 259
Marie de France, n° 12 L’ aigle et la corneille Ci dit que uns egles vient vola
e cheïr jus sur dure tere u sur rocher, si la purra bien depescer. Li aigles ad mut grant desirer de la welke qu’il tient mang
14 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 7 » pp. 276-276
Chambry 7 Chambry 7.1 Ἀετὸς <τοξευθείς> – L’ aigle frappé d’une flèche. Ὑπεράνωθεν πέτρας ἀετὸς
odd. Ba 138 Bb 83 La 137 Lg 39 Md 106 Mg 149 Mh 90 Mi 22 Mm 131. Un aigle s’était perché au faîte d’un rocher à l’affût des
15 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 352 » pp. 230-230
Chambry 352 Chambry 352.1 Χελώνη καὶ ἀετός — La tortue et l’ aigle . Χελώνη θεασαμένη ἀετὸν πετόμενον ἐπεθύμησε κ
Lh 73 Md 111 Mg 153 Mi 27 Mj 148 Ml 154 Mm 137. Une tortue pria un aigle de lui apprendre à voler. L’aigle lui remontrant
Ml 154 Mm 137. Une tortue pria un aigle de lui apprendre à voler. L’ aigle lui remontrant qu’elle n’était pas faite pour le
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXX. De l’Aigle, et du Corbeau. »
FABLE LXX. De l’ Aigle , et du Corbeau. L’Aigle vola du haut d’un Roche
FABLE LXX. De l’Aigle, et du Corbeau. L’ Aigle vola du haut d’un Rocher dessus le dos d’un Aigne
t de presomption au Corbeau, que de faire les mesmes entreprises de l’ Aigle , et de vouloir aspirer aux choses, où elle est to
sir qui le porta naturellement à le faire comme pour sembler égal à l’ Aigle , et ne devoir rien ceder aux genereuses entrepris
ut estre mieux comparée qu’à celle du Corbeau, qui pour avoir imité l’ Aigle , souffre la persecution des Enfans, et meurt dans
17 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 20 » pp. 281-281
ry 20 Chambry 20.1 Ἀλέκτορες δύο καὶ ἀετός — Les deux coqs et l’ aigle . Ἀλεκτόρων δύο μαχομένων περὶ θηλειῶν ὀρνίθων
rcha sur un mur élevé et se mit à chanter à plein gosier. Aussitôt un aigle fondant sur lui l’enleva ; et le coq caché dans l
18 (1180) Fables « Marie de France, n° 62. L’aigle, l’autour et les colombes » p. 672
Marie de France, n° 62 L’ aigle , l’autour et les colombes Li egles est des oise
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVII. Des Oyseaux, et des Bestes à quatre pieds. »
ion : car les Oyseaux ayant gagné la Victoire, sous les auspices de l’ Aigle , ils la bannirent de leur compagnie, la condamnan
de la punition d’une si cruelle perfidie. Car il ne feint point que l’ Aigle , victorieuse des animaux terrestres, se soit empl
oncques bien à propos que nostre Phrygien ne met pas la victoire de l’ Aigle à luy faire déchirer avecque les ongles la traist
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De quelle façon Esope nourrit, et dressa quatre Poussins d’Aigle. Chapitre XXVIII. »
De quelle façon Esope nourrit, et dressa quatre Poussins d’ Aigle . Chapitre XXVIII. Apres qu’Esope eust fait veni
ys, il leur commanda, qu’ils eussent à luy apporter quatre Poussins d’ Aigle  ; et les ayant eus, il les nourrit à sa mode, et
tout ce qu’il jugea necessaire pour un tel voyage, principalement les Aigles , et les enfants, avec lesquels il s’en alla en Eg
jà marqué. Esope amena donc aux quatre coings de la place, les quatre Aigles et les quatre jeunes garçons pendus aux corbeille
chacun une truelle ou tel autre instrument de Masson, il commanda aux Aigles de s’envoler. Elles s’esleverent incontinent, et
21 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 191 » pp. 256-256
1 Lh 36 Mg 104 Ml 99. Les lièvres un jour, étant en guerre avec les aigles , appelèrent à leur secours les renards. Ceux-ci r
22 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XViI. Le Paon se plaignant à Junon. » p. 509
s uns ont la grandeur et la force en partage ; Le Faucon est leger, l’ Aigle plein de courage ; Le Corbeau sert pour le présag
23 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XVI. Le Corbeau voulant imiter l’Aigle. » p. 2
XVI. Le Corbeau voulant imiter l’ Aigle . L’Oyseau de Jupiter enlevant un Mouton, Un Co
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXVI. De la Tortuë, et de l’Aigle. »
FABLE LXXXVI. De la Tortuë, et de l’ Aigle . La Tortuë ennuyée de ramper sur terre, commenç
omettre monts et merveilles à quiconque la voudroit porter au Ciel. L’ Aigle l’y esleva donc, et luy demanda recompense. Mais
25 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 334 » pp. 219-219
pour lui, quand le choucas s’écria : « Mais si, quand tu règneras, l’ aigle nous donne la chasse, quel secours pourrons-nous
26 (1180) Fables « Marie de France, n° 80. L’aigle, l’autour et la grue » p. 
Marie de France, n° 80 L’ aigle , l’autour et la grue Un egles esteit mut iriez
27 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 111 » pp. 89-89
Hermès de lui dire l’oiseau qu’il apercevrait. Hermès vit d’abord un aigle qui passait en volant de gauche à droite, et il l
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « A MONSEIGNEUR. MOROSINI, AMBASSADEUR. ORDINAIRE DE LA. SERENISSIME REPUBLIQVE. DE VENISE, PRES DE SA MAJESTÉ. TRES-CHRESTIENNE. »
tes les Vertus par les plus nobles de tous les Animaux, le Lion, et l’ Aigle . A vray dire, Monseigneur , ils sont l’un et l’a
Cœur genereux, porté de luy-mesme aux actions magnanimes ; et comme l’ Aigle une Inclination aux choses relevées, convenables
29 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De l’affranchissement d’Esope. Chapitre XXIII. »
t publicquement une certaine feste, l’on fut tout estonné de voir une Aigle , qui prenant son vol d’en-haut, arracha l’aneau p
n pleine assemblée des Samiens ; « Messieurs », se mit-il à dire, « l’ Aigle (comme vous sçauez) estant le Roy des oiseaux, ce
30 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 192 » pp. 138-138
nte : n’étaient-ils pas en effet la proie des hommes, des chiens, des aigles et de bien d’autres animaux ? Il valait donc mieu
31 (1570) Cento favole morali « Présentation »
nº 30) ; « Le Loup devenu berger », III, 3 (Verdizzotti, nº 42) ; « L’ Aigle et le Hibou », V, 18 (Verdizzotti, nº 4) ; « Jupi
32 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
anglier. i, 29. 13. Le Rat de Ville et le Rat des Champs. 14. L’ Aigle et le Renard. i, 28. 15. Le Corbeau et le Rena
26. 56. La Fourmi et le Grillon. 57. Le Lièvre, le Moineau et l’ Aigle . i, 9. 58. Le Cheval, l’Âne et l’Orge. 59.
erpent et le Pauvre. 66. Le Chauve et la Mouche. iv b, 4. 67. L’ Aigle et le Milan. De ces fables les 30 qui ne se tr
iv b, 4. II, 1. Le Rat de ville et le Rat des champs. II, 2. L’ Aigle et le Renard. i, 28. II, 3. Le Renard et la Ci
d et la Cigogne. i, 26. II, 4. Le Geai vaniteux. i, 3. II, 5. L’ Aigle , la Tortue et le Corbeau. ii, 6. II, 6. La Mou
r. i, 29. I, 12. Le Rat de ville et le Rat des Champs. I, 13. L’ Aigle et le Renard. i, 28. I, 14. L’Aigle, la Tortue
le Rat des Champs. I, 13. L’Aigle et le Renard. i, 28. I, 14. L’ Aigle , la Tortue et le Corbeau. ii, 6. I, 15. Le Cor
nglier. i, 29. 10. Le Rat de ville et le Rat des champs. 11. L’ Aigle et le Renard. i, 28. 12. Le Corbeau et le Rena
. La Cigogne, l’Oie et l’Épervier. 13. Le Lièvre, le Moineau et l’ Aigle . i, 9. 14. Le Cheval, l’Âne et l’Orge. 15.
oineau et l’Aigle. i, 9. 14. Le Cheval, l’Âne et l’Orge. 15. L’ Aigle et le Milan. fables spéciales à l’æsopus ad
Aigle et le Milan. fables spéciales à l’æsopus ad rufum. 1. L’ Aigle , la Tortue et le Corbeau. ii, 6. 2. L’Épervier
r. i, 29. I, 12. Le Rat de Ville et le Rat des Champs. I, 13. L’ Aigle , la Tortue et le Corbeau. ii, 6. I, 14. Le Cor
iii, 15. II, 7. Le Chien vieilli et son Maître. v, 5. II, 8. L’ Aigle et le Renard. i, 28. II, 9. Les Lièvres et les
des fables ; ainsi dans les manuscrits du second groupe la fable de l’ Aigle et du Renard, au lieu d’être la huitième du livre
Burney, de Gude et de Pierre Crinitus, si la fable du Renard et de l’ Aigle , au lieu d’être la treizième du livre Ier, était
ivraient absolument dans le même ordre, si la fable du Renard et de l’ Aigle , au lieu d’appartenir au livre Ier, où elle est l
fables par suite du transfert du deuxième au premier de la fable de l’ Aigle et du Renard. La fin du livre I et le commencemen
d. I, 10. 10. Le Rat de Ville et le Rat des Champs. I, 12. 11. L’ Aigle et le Renard. II, 8. 12. L’Aigle, la Tortue et
le Rat des Champs. I, 12. 11. L’Aigle et le Renard. II, 8. 12. L’ Aigle , la Tortue et le Corbeau. I, 13. 13. Le Corbeau
omulus de Munich.   1. Le Loup et l’Agneau. I, 2. 2. 32. 2. 2. L’ Aigle et sa fille. I, 7. 8. 3. Le Corbeau et le Ren
er. I, 11. 12. Le Rat de ville et le Rat des champs. I, 12. 13. L’ Aigle et le Renard. II, 8. 14. L’Aigle, la Tortue et
le Rat des champs. I, 12. 13. L’Aigle et le Renard. II, 8. 14. L’ Aigle , la Tortue et le Corbeau. I, 13. 15. Le Corbeau
ier. 12. De la Souris de bonne ville et de celle de vilaige. 13. De l’ Aigle et de Renart. 14. De l’Aigle et de la Limace. 15.
e ville et de celle de vilaige. 13. De l’Aigle et de Renart. 14. De l’ Aigle et de la Limace. 15. Du Renart et du Corbel. 16.
. 12. Le Rat de Ville et le Rat des champs. 12. 11. 12. 12. 13. L’ Aigle et le Renard. 13. 12. 13. 13. 14. L’Aigle, la T
. 12. 11. 12. 12. 13. L’Aigle et le Renard. 13. 12. 13. 13. 14. L’ Aigle , la Tortue et le Corbeau. 14. 13. 14. 14. 15. L
 : le premier, un bœuf ailé avec le nom de saint Luc, le deuxième, un aigle avec le nom de saint Jean, le troisième, un ange
cc. viij. Au-dessous une gravure sur bois représente sur un globe un aigle dont les ailes sont déployées. Il existe à la bib
Sanglier. 11. 11. Le Rat de ville et le Rat des champs. 12. 12. L’ Aigle et le Renard. 13. 13. Le Corbeau et le Renard.
ître. I, 16. 6. Le Rat et la Grenouille. I, 3. 7. Le Vautour et l’ Aigle . 8. Le Lion et l’Âne. IV, 10. 9. La Vache, l
vaniteux. II, 16. 13. Le Chien et l’Ombre. I, 5. 14. Le Lièvre, l’ Aigle et le Moineau. 15. Le Chien et la Brebis. I. 4
oup. IV, 15. 22. Le Loup et le Berger. IV, 3. 23. Le Renard et l’ Aigle . II, 8. 24. Le Lion et le Cheval. III, 2. 25.
ce sont les suivantes : Le Taureau et le Moucheron ; Le Vautour et l’ Aigle  ; Le Fou et les Mulets ; Le Lièvre, l’Aigle et le
ucheron ; Le Vautour et l’Aigle ; Le Fou et les Mulets ; Le Lièvre, l’ Aigle et le Moineau ; La Pie et sa Queue. Or, sur ces c
æ : ce sont celle du Taureau et du Moucheron et celle du Lièvre, de l’ Aigle et du Moineau. Ne doit-on pas en induire que ce s
qu’il s’adresse. Je prends ici pour exemple la fable du Lièvre, de l’ Aigle et du Moineau, qui n’existe pas dans le Romulus o
rvenu du texte de Phèdre, et là c’est le Lièvre qui est opprimé par l’ Aigle et c’est le Moineau qui le morigène. Dans les Fab
les Fabulæ antiquæ c’est l’inverse : le Moineau sous les serres de l’ Aigle est admonesté par le Lièvre. Neckam, ayant, comme
I, 12. Le Rat de ville et le Rat des champs. 12. 11. 12. I, 13. L’ Aigle et le Renard. 13. 12. 13. I, 14. L’Aigle, la To
ps. 12. 11. 12. I, 13. L’Aigle et le Renard. 13. 12. 13. I, 14. L’ Aigle , la Tortue et le Corbeau. 14. 13. 14. I, 15. Le
s anciens manuscrits du Romulus ordinaire, la fable du Renard et de l’ Aigle est la huitième du livre II. Au contraire, dans t
Le Rat de ville et le Rat des champs. I, 12. I, 13. Le Renard et l’ Aigle . II, 8. I, 14. L’Aigle, la Tortue et le Corbeau
t des champs. I, 12. I, 13. Le Renard et l’Aigle. II, 8. I, 14. L’ Aigle , la Tortue et le Corbeau. I, 13. I, 15. Le Corb
, 9. I, 11. Le Bat de ville et le Rat des champs. I, 12. I, 12. L’ Aigle et le Renard. I, 13. I, 13. L’Aigle, la Tortue
t des champs. I, 12. I, 12. L’Aigle et le Renard. I, 13. I, 13. L’ Aigle , la Tortue et le Corbeau. I, 14. I, 14. Le Corb
Nos des fables. 1. Le Buffle, le Loup et le Lion. I, 6. 2. L’ Aigle , la Tortue et le Corbeau. I, 13. 3. Le Loup acc
La Cigogne, l’Oie et l’Épervier. 53. 25. Le Lièvre, le Moineau et l’ Aigle . 57. 26. Le Cheval, l’Âne et l’Orge. 58. 27.
e Serpent et le Pauvre. 65. 31. Le Chauve et la Mouche. 66. 32. L’ Aigle et le Milan. 67. Les deux collections, composée
bas. I, 9. 11. Le Rat de ville et le Rat des champs. I, 12. 12. L’ Aigle et le Renard. I, 13. 13. L’Aigle, la Tortue et
le Rat des champs. I, 12. 12. L’Aigle et le Renard. I, 13. 13. L’ Aigle , la Tortue et le Corbeau. I, 14. 14. Le Corbeau
. 65. Le Coq et le Renard. 66. Le Renard et le Pigeon. 67. L’ Aigle , l’Épervier et les Pigeons. 68. Le Cheval affa
. Le Loup et le Batelier. 99. L’Épervier et la Chouette. 100. L’ Aigle et l’Épervier fugitif. 101. Le Prêtre et le Lo
met bas. 10. 9. Le Rat de ville et le Rat des champs. 11. 10. L’ Aigle et le Renard. 12. 11. Le Buffle, le Loup et le
up et le Lion. 6. 12. La Chèvre, la Brebis et le Lion. 7. 13. L’ Aigle , la Tortue et la Corneille. 13. 14. Le Corbeau
Le Coq et le Renard. 50. 52. Le Renard et le Pigeon. 51. 53. L’ Aigle , l’Épervier et les Pigeons. 52. 54. Le Cheval
le Batelier. 121. 80. L’Épervier et la Chouette. 12. 122. 81. L’ Aigle et l’Épervier fugitif. 13. 123. 82. Le Prêtre e
san et son Cheval. 71. 12. L’Épervier et la Chouette. 80. 13. L’ Aigle et l’Épervier fugitif. 81. 14. Le Loup et le M
bas. I, 9. 11. Le Rat de ville et le Rat des champs. I, 12. 12. L’ Aigle et le Renard. I, 13. 13. L’Aigle, la Tortue et
le Rat des champs. I, 12. 12. L’Aigle et le Renard. I, 13. 13. L’ Aigle , la Tortue et la Corneille. I, 14. 14. Le Corb
. 50. Le Coq et le Renard. 51. Le Renard et le Pigeon. 52. L’ Aigle , l’Épervier et les Pigeons. 53. Le Cheval affa
Le Loup et le Batelier. 122. L’Épervier et la Chouette. 123. L’ Aigle et l’Épervier fugitif. 124. Le Prêtre et le Lo
t les deux Voleurs. 113. 9. L’Épervier et la Chouette. 122. 10. L’ Aigle et l’Épervier fugitif. 123. 11. L’Hirondelle et
9. Le Rat de Ville et le Rat des Champs. I, 11. 10. Le Renard et l’ Aigle . I, 12. 11. L’Aigle, la Tortue et le Corbeau. I
le Rat des Champs. I, 11. 10. Le Renard et l’Aigle. I, 12. 11. L’ Aigle , la Tortue et le Corbeau. I, 13. 12. Le Renard
10. I, 11. Le Rat de ville et le Rat des champs. I, 11. I, 12. L’ Aigle et le Renard. I, 12. I, 13. L’Aigle, la Tortue
t des champs. I, 11. I, 12. L’Aigle et le Renard. I, 12. I, 13. L’ Aigle , la Tortue et le Corbeau. I, 13. I, 14. Le Corb
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
ne, la Brebis, et quantité d’autres ; que les genereux ranimoient des Aigles ou des Lions, et que les Malicieux avoient à deve
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