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1 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XX. Le Coq et la Perle. » p. 503
is fine, dit-il,
 Mais le moindre grain de mil
 Seroit bien mieux mon affaire .

 Un ignorant herita
 D’un manuscrit qu’il porta
t-il, qu’il est bon ;
 Mais le moindre ducaton
 Seroit bien mieux mon affaire .
2 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XV. Le Coq et le Renard. » p. 671
sans manquer. Les tiens et toy pouvez vaquer Sans nulle crainte à vos affaires  ; Nous vous y servirons en freres. Faites-en les
rd, ma traite est longue à faire. Nous nous réjouïrons du succès de l’ affaire Une autre fois. Le galand aussi-tost Tire ses gre
3 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIV. De l’Asne, et du Loup. »
seulement on hazarde en cela sa reputation, mais aussi on y ruyne ses affaires , et celles d’autruy ; ce qui ne peut proceder que
x moindres Artisants qui ne parlent publiquement de la guerre, et des affaires d’Estat. Bref, il n’y a celuy qui pour paroistre
nous estallent. Mais quand ils ne se contentent pas de discourir des affaires qui leur sont incognuës, et qu’en suitte des paro
4 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — IX. Le Geay paré des plumes du Paon. » p. 101472
m’en tais ; et ne veux leur causer nul ennuy ; Ce ne sont pas là mes affaires .
5 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CV. Du Laboureur, et du Taureau. »
qu’ils ne feroient jamais, s’ils sçavoient bien considerer qu’en nos affaires propres nous sommes tous-jours interessez, et que
vray, que de deux Esprits égaux, l’un sera moins clair-voyant en ses affaires propres, qu’en celles de son compagnon. De ce man
6 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXV. De la Chauue-souris, et du Buisson, et du Plongeon. »
isser en arriere aucune industrie de celles qui peuvent faciliter une affaire  ; Et de probité, affin que les Ministres n’ayant
ons eu raison de dire, qu’en tous les Estats, où l’administration des affaires est donnée aux Stupides, aux Voluptueux, et aux A
7 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 182 » p. 253
des œufs. » Cette fable nous enseigne que ceux qui entreprennent une affaire sans discernement s’empêtrent à leur insu dans d’
8 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XVII. La Belette entrée dans un Grenier. » p. 24
ien d’autres.
 Mais ne confondons point, par trop approfondir,
 Leurs affaires avec les vostres.
9 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XII. Tribut envoyé par les Animaux à Alexandre. » p. 339
vous ne perdez point de temps. Rendez-moy mon argent, j’en puis avoir affaire . On déballe ; et d’abord le Lion s’écria D’un ton
t : Corsaires à Corsaires, L’un l’autre s’attaquant ne font pas leurs affaires .
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXIII. De l’Arbre, et du Roseau. »
urs hommes extraordinaires, qui ont esté dans le perpetuel employ des affaires  ; tels que furent jadis Zoroaste, Trismegiste, Pl
, et ne cede à pas une adversité. Mais quant aux hommes d’Estat, et d’ affaires , desquels Platon a voulu parler, lors qu’il a dit
enveloppé de ses propres ruynes. Sa cheute apprend donc aux hommes d’ affaires à ne s’ahurter jamais contre un puissant Ennemy,
11 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 256 » p. 236
Codd. Pa 212 Pf 120 Me 155. Des gens, qui voyageaient pour certaine affaire , rencontrèrent un corbeau qui avait perdu un œil.
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope se justifie devant son Maistre, et luy fait voir qui avoit mangé les figues. Chapitre III. »
es figues. Chapitre III. Le Maistre d’Esope le croyant inhabile aux affaires domestiques, s’advisa de l’envoyer travailler aux
. Sur ses entre-faites, Esope s’en estant allé au logis pour quelques affaires , Agatopus sçeut prendre son temps, et donna ce co
13 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XIX. Le Lion et l’Asne chassant. » p. 151
bons Sangliers, Daims et Cerfs bons et beaux. Pour réüssir dans cette affaire , Il se servit du ministere De l’Asne à la voix de
14 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XVII. L’Homme entre deux âges, et ses deux Maistresses. » p. 31
tre amoureux ne se pressoit pas tant.
 Bien adresser n’est pas petite affaire .
 Deux veuves sur son cœur eurent le plus de part
15 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XIX. L’Enfant et le Maistre d’Ecole. » p. 211
t un peuple fort grand ;
 Le Createur en a beny l’engeance.
 En toute affaire ils ne font que songer
 Aux moyens d’exercer leur
16 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XVI. Le Corbeau voulant imiter l’Aigle. » p. 2
le. L’Oyseau de Jupiter enlevant un Mouton, Un Corbeau témoin de l’ affaire , Et plus foible de reins, mais non pas moins glou
17 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 304 » pp. 266-266
eut appliquer cette fable au brouillon, qui, aveugle dans ses propres affaires , se mêle de celles qui ne le regardent aucunement
18 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — III. Le Loup devenu Berger. » p. 451
role aux habits,
 Chose qu’il croyoit necessaire.
 Mais cela gâta son affaire .
 Il ne pût du Pasteur contrefaire la voix. 
Le t
19 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre cinquiéme. — VI. La Vieille et les deux Servantes. » p. 55
C’est ainsi que le plus souvent, Quand on pense sortir d’une mauvaise affaire , On s’enfonce encor plus avant : Témoin ce Couple
20 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XI. L’Asne et ses Maistres. » p. 179
l estre le seul qui ne soit pas content ? N’ay-je en l’esprit que son affaire  ? Le Sort avoit raison ; tous gens sont ainsi fa
21 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 96 » p. 63
 ? — Elle se mit en colère contre vous, répondit-il, qui négligez les affaires de l’état, pour vous attacher à des fables d’Ésop
22 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — V. Le Renard et le Bouc. » p. 9
e t’en tirer, et fais tous tes efforts ;
 Car pour moy, j’ay certaine affaire ,
 Qui ne me permet pas d’arrester en chemin.
 En
23 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — VI. Le combat des Rats et des Belettes. » p. 165
Peut souvent en un passage Causer du retardement. Les petits en toute affaire Esquivent fort aisément : Les grands ne le peuven
24 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — X. Le Lievre et la Tortuë. » p. 226
ous deux On mit prés du but les enjeux : Sçavoir quoy, ce n’est pas l’ affaire , Ni de quel juge l’on convint. Notre Lievre n’avo
25 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 151 » pp. 116-116
mmes : ceux qui abandonnent leurs propres occupations pour se mêler d’ affaires qui ne les regardent pas, tombent naturellement d
26 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XII. La Colombe et la Fourmy. » p. 235
fut pas perdu. Quelqu’un auroit-il jamais crû Qu’un Lion d’un Rat eût affaire  ? Cependant il avint qu’au sortir des forests, Ce
27 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — VII. Le Singe et le Daufin. » p. 73
Oüy, dit l’autre, on m’y connoist fort, S’il vous y survient quelque affaire Employez-moy ; car mes parens Y tiennent tous les
28 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XIX. Le Charlatan. » p. 
rtains Cicerons Vulgairement nommez larrons. L’autre reprit : Avant l’ affaire Le Roy, l’Asne ou moy nous mourrons. Il avoit ra
29 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 298 » pp. 211-211
lui reprocha sa témérité. « Ah ! répliqua le jeune garçon, tire-moi d’ affaire tout de suite ; plus tard, quand tu m’auras sauvé
30 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — IX. Le Lion et le Moucheron. » p. 255
u’aux grands perils tel a pû se soustraire, Qui perit pour la moindre affaire .
31 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — III. Phœbus et Borée. » p. 46
leur est fort necessaire. Les Latins les nommoient douteux pour cette affaire .) Nostre homme s’estoit donc à la pluye attendu.
32 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 27 » pp. 26-26
est ainsi dans les États : les démagogues y font d’autant mieux leurs affaires qu’ils ont jeté leur pays dans la discorde. C
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVI. Du Chat, et des Rats. »
urs de mangé, firent une assemblée entr’eux, pour y consulter de leur affaire . « Il ne faut plus », disoient-ils, « que nous de
34 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XI. La Grenoüille et le Rat. » p. 384
. Le Rat fut à son pied par la pate attaché. Un brin de jonc en fit l’ affaire . Dans le marais entrez, nostre bonne commere S’ef
35 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIX. Du Renard, et de la Cigongne. »
vantage du Mocqueur. Ce qui procede, sans doute, de ce que toutes les affaires du monde ayant deux faces, comme ces Rusez peuven
ose tout à fait indigne d’une bonne ame, d’user de déguisement en ses affaires , si ce n’est d’avanture que l’on y soit convié pa
36 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIV. Du Singe, et du Renard. »
ceux qui n’ont pas la capacité de s’entre-mettre au gouvernement des affaires , et qui l’entreprennent toutefois, pource qu’ils
ant à ceux qui communiquerent à beaucoup de personnes l’authorité des affaires , les uns eurent égard aux plus gents de bien, et
37 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du Pays, et de la condition d’Esope. Chapitre J . »
uoy qu’elle transportast son corps en plusieurs lieux, et en diverses affaires .
38 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XIII. L’Astrologue qui se laisse tomber dans un puits. » p. 40
eres, Cependant qu’ils sont en danger, Soit pour eux, soit pour leurs affaires .
39 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 68 » pp. 43-43
» Cette fable montre qu’il ne faut pas s’engager à la légère dans les affaires . Chambry 68.4 Aliter — Autre version. Β
40 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 234 » pp. 161-161
ns qui règlent pitoyablement leur vie et qui se mêlent de diriger des affaires qui ne les regardent pas. Chambry 234.2 Ali
41 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 305 » pp. 203-203
s de pêcher, sans avoir appris ? » Cette fable montre qu’à se mêler d’ affaire que l’on n’entend pas, non seulement on ne gagne
42 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du second service de Langues. Chapitre XV. »
y dit-il, « tu me sembles étre un tres mauvais homme de te mesler des affaires d’autruy, et d’irriter sans raison le Maistre con
43 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVIII. Le Vieillard et ses enfans. » p. 53
 ; et les trois freres Trouvent un bien fort grand, mais fort meslé d’ affaires . Un creancier saisit, un voisin fait procés. D’ab
44 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — La vente d’Esope. Chapitre V. »
rtes », dit-il à part soy, « je ne dois point mettre en doute que mes affaires n’aillent tres-mal, s’il arrive qu’Esope fasse sa
és ». « Tout beau », repartit Esope, « à tout le moins dy moy quelle affaire t’ameine en ce lieu ». « Je n’y suis venu », resp
45 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope ameine à son Maistre un homme niais, et sans soucy. Chapitre XVI. »
dit-il, « puis que tu as osé tancer mon amy de ce que se meslant des affaires des autres, il avoit un peu trop de soucy, monstr
étre servis les premiers, mais puis qu’ils le veulent ainsi, qu’ay-je affaire de m’en donner de la peine ? » ; Et là dessus, il
46 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — VIII. L’Aigle et l’Escarbot. » p. 3
. Devant son Tribunal l’Escarbot comparut, Fit sa plainte, et conta l’ affaire . On fit entendre à l’Aigle enfin qu’elle avoit to
47 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 300 » pp. 94-94
jardinier, et lui demanda comment elle allait et où en étaient leurs affaires . Elle répondit que tout marchait à souhait et qu’
48 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIV. De la Forest, et du Paysan. »
a ruyne, dés que les interests sont partagez. C’est pourquoy dans les affaires du monde, il faut du moins prendre garde à ne dir
49 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XIV. Simonide préservé par les Dieux. » p. 522
nviez
 Pour la pluspart estropiez.
 La renommée eut soin de publier l’ affaire .
 Chacun cria miracle ; on doubla le salaire
 Que
50 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVI. Le Loup, la Mere et l’Enfant. » p. 158
e veniez-vous chercher en ce lieu, luy dit-on ? Aussi-tost il conta l’ affaire . Mercy de moy, luy dit la Mere, Tu mangeras mon f
51 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — II. Le Lion et le Chasseur. » p. 326
e il faut instruire et plaire ; Et conter pour conter me semble peu d’ affaire . C’est par cette raison qu’égayant leur esprit, N
52 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 135 » pp. 114-114
ter son aide à ses amis, au lieu de faire l’habile homme, quand leurs affaires sont désespérées. Chambry 135.4 Aliter — Au
53 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 336 » pp. 373-373
tu chantais en été, danse en hiver. » Cette fable montre qu’en toute affaire il faut se garder de la négligence, si l’on veut
54 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Ennus est adopté par Esope, qui en reçoit une grande injure. Chapitre XXVI. »
eut esté son fils legitime. Mais un peu apres il arriva qu’Ennus eust affaire à la Maistresse d’Esope, qui sçachant cela, le vo
55 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XX. Testament expliqué par Esope. » p. 512
Pour payer, que d’estre sans bien. Que vouloit donc dire le Pere ? L’ affaire est consultée ; et tous les Avocats Aprés avoir t
56 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE X. Du Rat de Ville et de celuy de Village. »
rdinairement elle se rencontre dans les Cours des Grands, et dans les affaires publiques. Car outre l’importunité des uns et des
e compte de son administration, de veiller, sans recompense, pour les affaires publiques, et de s’incommoder pour les querelles
57 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVI. Du Chévreau, et du Loup. »
des. D’ailleurs ils ont esté si souvent deçeus par les évenements des affaires , qu’ils s’imaginent à tout moment de le devoir es
58 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIX. De la Grenoüille, et du Renard. »
e me contente d’en avoir touché quelque chose cy dessus, et prenant l’ affaire par un autre biais, il me suffit de m’arrester à
59 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIII. Du Renard, et du Buisson. »
et de se feindre saisi de la crainte de leur presence. Quant à leurs affaires particulieres, je trouve que c’est une action de
60 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Esope est derechef vendu. Chapitre VII. »
u’il l’acheptast ? « Ne vois-tu pas », luy dit Esope, « que c’est une affaire , en laquelle tu n’as nullement besoin de mon cons
e je demeure affranchy ». Les Fermiers furent bien aises de sçavoir l’ affaire , et donnerent à Xanthus le droict du peage, puis
61 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE II. Du Loup, et de l’Aigneau. »
et une espece de jurisdiction pour le punir, que d’estre bien en ses affaires . Or quoy que le procedé que tiennent ordinairemen
62 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVI. Du Cheval, et du Lion. »
pour object les perfides attentats de nos Ennemis. Ce n’est point une affaire de jeu, que l’entreprise de ce vieil Lion. Il a r
63 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXI. Du Renard, et du Bouc. »
le. Voicy la peinture de ceux qui se jettent imprudemment dans une affaire , avant qu’avoir consideré quelle en sera l’issuë 
64 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVII. Du Laboureur, et de la Cigongne. »
us empesche point de leur fermer nostre porte, et de leur feindre des affaires , quand mesme ils sçauroient que nous n’en aurions
65 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVIII. D’un Oye, et de son Maistre. »
nne, à sçavoir, que la precipitation des moyens empesche la fin d’une affaire , il ne faut que prendre garde à la contenance de
66 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVI. Du Renard, et du Chat. »
son est tirée de la multiplicité. Car à foüiller dans l’obscurité des affaires , il n’y a point d’homme si aveugle à qui l’on opp
67 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXII. D’un Enfant, et de sa Mere. »
e tous que par les pilleries. L’on en peut dire de mesme des hommes d’ affaires , parmy lesquels je veux croire qu’il y en a plusi
68 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XX. Des Colombes, et du Faucon leur Roy. »
ment dans les festins, et dans les amours des femmes, mais encore aux affaires publiques, et en la forme du gouvernement. Or ces
69 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Xanthus fait un present d’Esope à sa femme. Chapitre VIII. »
en marchant ; que faudra-t’il que je fasse, si tu m’envoyes à quelque affaire  ? ne seray-je pas contraint de décharger mon vent
70 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIII. De la Fourmy, et de la Mouche. »
pas les Courtisants, ny les hommes engagez dans les plus importantes affaires d’un Estat, du moins si les corruptions où ils so
71 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — De quelle façon Esope nourrit, et dressa quatre Poussins d’Aigle. Chapitre XXVIII. »
le battoient ; puis ils s’en allerent au Roy, pour luy dire comment l’ affaire s’estoit passée. Nectenabo fist à l’instant appel
72 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCIX. Du Sapin, et du Buisson. »
Bon Dieu ! combien y a-t’il d’artifices pour corrompre ceux de qui l’ affaire dépend ? Combien d’inventions pour gaigner de fau
73 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
ttres, l’autre au jeu ; l’un en la conduitte des Empires, l’autre aux affaires privées, et quelques-uns mesmes sont suffisants e
nce du bon conseil, lors qu’estant question de terminer quelque haute affaire , ou de sortir d’un grand peril, il le fait tous-j
74 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
re avait désigné Tibère, qui, pour mieux se soustraire au fardeau des affaires publiques, s’était lâchement retiré sur un rocher
ement de quoi il s’agissait, et obtint pour moi une entrevue, que des affaires pressantes le forcèrent de fixer au mois suivant9
ance d’écrire en cette occasion à Louis XIV, pour lui recommander les affaires de la reine Christine, comme étant liées à celles
resolvit 217. » En présence de ce texte, voici comment il se tire d’ affaire . D’abord il lui semble évident qu’Avianus en parl
fables, c’est-à-dire une foule de passages concernant l’auteur et ses affaires personnelles, qu’il y parle de ses adversaires et
ace. Dans cette crainte, j’écrivis à M. Lefebvre de Behaine, chargé d’ affaires de France, pour le prier d’en demander communicat
a haute considération.   « Signé : E. Lefebvre de Behaine, « Chargé d’ affaires de France à Munich. »          Je désirais trop
iothèque de cette ville. J’ai transmis votre demande à M. le chargé d’ affaires de France à Munich, en le priant de vouloir bien
et comme, d’après mes explications, il supposait bien que le chargé d’ affaires de France devait être disposé à me prêter son con
crit. Je suivis son conseil et me hâtai de me rendre chez le chargé d’ affaires , qui, à son tour, me manifesta le plus grand éton
Salon de Parme. Ce qui semble prouver l’intervention de Thadée dans l’ affaire , c’est l’extrait de sa lettre latine placé dans l
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