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1 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 320 » p. 367
la Violence. Il s’en éprit follement et l’épousa. Voilà pourquoi il l’ accompagne partout où elle va. Partout où paraît la violence
2 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCII. De deux Amis, et de l’Ours. »
l’Ours de ceste Fable, au lieu de dire à l’oreille du Voyageur, ne t’ accompagne plus d’un tel Amy, eût eu plus de raison de luy d
s d’un tel Amy, eût eu plus de raison de luy donner ce conseil ; ne t’ accompagne de personne sous l’esperance d’en estre aymé. A c
fait dans les maux la foy d’une belle ame. Il est donc necessaire d’ accompagner dans la misere celuy de qui l’on se dit estre Amy
3 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 265 » p. 183
ance. » C’est ainsi qu’il n’y a rien d’enviable dans les avantages qu’ accompagnent les dangers et les souffrances.
4 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — V. L’Asne et le petit Chien. » p. 91
orne toute usée ; La luy porte au menton fort amoureusement. Non sans accompagner pour plus grand ornement De son chant gracieux ce
5 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXV. Des Liévres craignans sans cause. »
, qui toutesfois s’estudient à se conserver, comme si leur vie estoit accompagnée de tout ce qu’on appelle bonne fortune. Ce que co
6 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LX. De la Puce, et de l’Homme. »
de leur pouvoir, qui est en cela d’autant plus mauvaise, qu’elle est accompagnée d’une autre faute ; à sçavoir, de la temerité. L’
7 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXIII. De la Fourmy, et de la Mouche. »
et delicates, les vins excellents, et quantité d’autres douceurs, qui accompagnent la vie des personnes relevées en condition ; la s
e provision qu’elle fait en esté, avec un travail honneste, qui n’est accompagné de violence, ny de chagrin. Au contraire, elle re
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXX. Du Loup, et de la Teste peinte. »
douze ou quinze ans à paroistre en nos personnes, celle de l’ame nous accompagne jusqu’au tombeau, voire mesme elle trouve des sie
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXI. Du Renard, et du Bouc. »
lement, et ses miserables complices. Ces experiences pourroient estre accompagnées d’une infinité d’autres, si mon dessein estoit de
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIV. De l’Homme, et d’une Idole. »
issent des biens qui frappent l’esprit du Peuple d’un certain respect accompagné de docilité ; tant y a, comme j’ay dit, qu’ils ne
11 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVII. Du Laboureur, et de la Cigongne. »
este profonde consideration, ils trouvent que bien souvent les bons s’ accompagnent des mauvais, bien qu’à la verité ils n’ayent aucu
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXVI. Du Renard, et du Chat. »
gner de la voye la moins dangereuse, et la plus honneste. Ces raisons accompagnées de plusieurs autres, que je passeray sous silence
13 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 297 » pp. 200-200
les mains derrière le dos, et on le conduisit au bourreau. Sa mère l’ accompagnait et se frappait la poitrine. Il déclara qu’il voul
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE IX. Du Sanglier, et de l’Asne. »
time pour moy, que les deux causes ensemble, et l’une sans l’autre et accompagnées , nous peuvent induire à ceste magnanimité, quoy q
15 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXI. De la Fourmy, et de la Cigale. »
iesme Fable. Comme il n’y a rien de plus fâcheux qu’une vieillesse accompagnée de pauvreté, aussi ny a-t’il rien de si bien sean
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVII. Du Tygre, et du Renard. »
rdinairement victorieuse de la force, pourveu toutesfois qu’elle soit accompagnée d’un bon courage. Car en ce cas là on auroit plus
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XL. De l’Asne, et du Cheval. »
t à la bonne Fortune, elle a cela de mauvais, qu’estant ordinairement accompagnée de la santé, elle nous fait considerer les malheu
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLV. Du Loup, et du Chien. »
extrêmes, la preferant à la plus delicieuse vie du monde, si elle est accompagnée de sujetion. Or n’entendons-nous pas icy par ce n
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
ver le moyen de leur conservation. Car si le naturel instinct qui les accompagne les porte necessairement à maintenir leur espece
pour l’autre, que les animaux les redoublent sans choix, ou seuls, ou accompagnez , ou en la presence de ceux de leur espece, ou des
e haute affaire, ou de sortir d’un grand peril, il le fait tous-jours accompagner luy et son fils Telemaque, de la Déesse Minerve,
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE C. Du Pescheur, et d’un petit Poisson. »
eut-on pas descheoir de la reputation, sans avoir mesme failly ? Nous accompagne telle jusqu’au tombeau ? Certes plus elle est spe
21 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
Une biographie de Phèdre ne serait pas complète, si elle n’était pas accompagnée d’une esquisse rapide de la valeur de l’écrivain
ignature de Grosley, puis à droite apparaît celle du docteur Carteron accompagnée du millésime de 1806 et d’un timbre humide portan
hier. » Cette mention porte la signature abrégée de Corard de Bréban, accompagnée d’un timbre humide, dans l’intérieur duquel appar
t de déterminer l’âge du manuscrit. Ce fac-simile, et la lettre qui l’ accompagnait , avaient été par M. de Foncemagne placés en tête
sa pensée, elle ne dépasse pas le viiie  ; enfin, dans la lettre qui accompagnait le volume de la veuve Brocas, il exprime l’idée q
ême qui fut publiée en 1564 par le savant P. Daniel, d’Orléans, qui l’ accompagna de ses notes, et il faut convenir que c’est un ou
as de nature à me tirer de mon incertitude, d’autant plus qu’il était accompagné d’une note, suivant laquelle Dom Cl. Étiennot de
de cai , —  simion (signum) au lieu de sèméion . Le texte grec est accompagné , en interligne, de la traduction latine écrite en
lles, et la seconde, celui des anciennes. Les unes et les autres sont accompagnées de notes courantes en latin. Au frontispice on li
texte latin, la seconde à celles dans lesquelles le texte latin sera accompagné d’une traduction. Section I. Éditions du texte
ti Fabularum Æsopiarum libri V. Oder, etc. Magdebourg. In-18. Édition accompagnée de notes allemandes. 1826. Phædri Aug. L
tion, d’après les meilleurs textes, précédée d’une notice sur Phèdre, accompagnée d’un commentaire et de notes, suivie des imitatio
urs modernes, le texte du fabuliste et les fables restituées par Gude accompagnés d’une traduction en prose française en regard, et
conforme au génie de la langue française ; précédées du texte pur et accompagnées de notes explicatives, d’après les principes de M
s de Phèdre anciennes et nouvelles, éditées d’après les manuscrits et accompagnées d’une traduction littérale en vers libres par Léo
 du Rieu a rédigé et mis en tête du manuscrit une table des matières, accompagnée de références nombreuses et véritablement instruc
sychomachia seu pugna Virtutum. Voici quelques-unes des légendes, qui accompagnent ces illustrations : Fol. 37. Loth capitur ab host
Marius Victorinus. Fol. cxx b à cxxi a. — Éléments de mathématiques, accompagnés de figures de géométrie. Fol. cxxi b à cxxvii b.
inci, vinces tamen , etc. Le calendrier reprend au fol. cxciii b, est accompagné des noms des abbés de Saint-Martial écrits en mar
françaises du moyen âge. Fol. ccvi b à ccvii a. — Exercices de calcul accompagnés de quelques figures de géométrie. Fol. ccviii a à
ellement à mon désir et de m’adresser une copie littérale des fables, accompagnée des ratures et des corrections du manuscrit repro
mulus, il s’ensuit qu’ici chacune des fables du prosateur latin n’est accompagnée que de la traduction allemande (fol. 131 a à 147 
x-sept faute d’avoir connu les autres. Elles sont ornées de gravures, accompagnées d’une traduction allemande et terminées par la me
termine au recto du feuillet 25. Puis viennent les fables de Romulus accompagnées de celles de l’Anonyme de Nevelet, les dix-sept f
plus facile intelligence de la classification des matières, les voici accompagnées des numéros que devraient porter les feuillets et
v b). —  Prohemium libri secundi fabularum Esopi. Ce préambule n’est accompagné d’aucune gravure. Dans ce second livre, la gravur
et venere , l’autre : De leonis fallaci conversatione , ne sont pas accompagnées des deux fables en vers correspondantes. Quant à
ept occupent les feuillets suivants et se terminent au fol. 100, sont accompagnées de 27 gravures placées tantôt au milieu, tantôt à
iani au lieu de collecte. Comme précédemment les Fabulæ collectæ sont accompagnées de gravures insérées dans le texte ou mises à la
i de cette souscription : Explicit prologus. Cette souscription est accompagnée de ces mots qui annoncent le commencement de l’ou
diligenterque correcte et emendate. Malgré ce titre, le texte n’est accompagné d’aucun commentaire. C’est une simple copie des é
nt cependant lui être incontestablement attribuées ; une seule, étant accompagnée de son nom, ne peut, quant à son origine, être l’
. — Dix-sept fables dites Fabulæ extravagantes dépourvues de table et accompagnées de 15 gravures. Fol. 51 a. —  Cy apres sensuyuent
able des matières. Fol. 51 a dernière ligne à 55 b. — Dix-sept fables accompagnées de 8 gravures et suivies de ce double avis : Cy
b. — Table des fables d’Avianus. Fol. 55 b à 61 a. — Fables d’Avianus accompagnées de dix gravures seulement et suivies de ce double
e alfonce. Fol. 61 a à 68 b. — Treize fables attribuées à Alphonse, accompagnées chacune d’une gravure et terminées par ce double
autres volumes du même format, contenant : 1º les distiques de Caton accompagnés d’une glose en anglais, 2º la Consolation de Boëc
e tafel vā dat vierde boec. Fol. 52 a à 59 b. — Fables du livre IV, accompagnées seulement de 19 gravures. À la fin on lit : Hier
re le contenu, donner la liste entière des fables dont il se compose, accompagnées de leur corrélation avec les collections plus anc
lutôt qu’à l’autre. Si du moins dans les manuscrits, quand un Romulus accompagne les fables de l’Anonyme, c’était toujours le même
11344 du fonds latin. Dans ce manuscrit les fables élégiaques ne sont accompagnées d’aucune glose ; mais elles sont précédées d’un t
ve  siècle et adopté en dernier lieu par M. Dressler, la nomenclature accompagnée de leurs références avec celles du Romulus ordina
 73 et finissent au bas du verso du feuillet 96 ; chacune d’elles est accompagnée d’un commentaire. Seules les 60 premières y figur
s de Walther. Chaque fable est précédée d’un titre à l’encre rouge et accompagnée de notes interlinéaires d’une écriture microscopi
s’arrêtent au quart du verso du quinzième feuillet. Chaque fable est accompagnée d’une glose interlinéaire, en écriture microscopi
recto du deuxième feuillet, ne sont précédées d’aucun titre, ne sont accompagnées d’aucun commentaire marginal ni interlinéaire, et
les de Walther, qui commencent au recto du feuillet 2, et qui ne sont accompagnées d’aucun commentaire. En marge chaque fable est or
e table des matières, où le titre de chaque fable à l’encre rouge est accompagné du distique qui en contient la morale. Je dois en
au feuillet 123 b. Elles ne sont qu’au nombre de soixante. Elles sont accompagnées de deux séries de gloses d’une écriture très fine
quante-sept des fables attribuées au célèbre conteur d’apologues, est accompagné d’une traduction en langue romane versifiée, trad
de même de ceux qui portent les nos 127 à 131. Les fables de Walther, accompagnées d’un commentaire, occupent les feuillets 3 à 76.
Esopus cum commento occupent les feuillets 88 a à 435 b. Elles sont accompagnées d’un commentaire, qui prouve une fois de plus que
leur tiennent lieu de titre général : Esopi prologus. Elles ne sont accompagnées d’aucune glose et les dix-neuf premières seules s
euillet 110 b. Elles ne portent pas de titres particuliers, mais sont accompagnées de gloses interlinéaires et suivies chacune d’un
m vitiorum et virtutum instructionem finaliter ordinate. Elles sont accompagnées de gloses interlinéaires, et suivies chacune d’un
rrigantur vitia. » Le nombre des fables est de soixante ; elles sont accompagnées de courtes gloses tant en marge qu’en interligne
, qui en sont le cinquième, occupent les feuillets 205 à 219, ne sont accompagnées d’aucun commentaire et se terminent par les mots
xve  siècle. Les soixante-quatre premiers sont occupés par 62 fables accompagnées de gloses marginales et interlinéaires et précédé
seulement chaque fable est ornée d’une aquarelle à fond vert d’eau et accompagnée d’un commentaire, choses qui peuvent être intéres
tte mention : Ind. 280. Il se compose de 217 feuillets, et renferme, accompagnées d’un commentaire, les fables de Walther, qui, sui
vent les fables de Walther qui commencent au feuillet 393. Elles sont accompagnées d’un commentaire et interprétées par des gloses ;
u feuillet 68 a et se terminent au feuillet 123 b. Ces dernières sont accompagnées d’un commentaire ; c’est ce que le catalogue fait
de 336 feuillets et renferme sept ouvrages, parmi lesquels figurent, accompagnées d’un commentaire, les fables de Walther commençan
let 102 sont suivies de celles d’Avianus. Les unes et les autres sont accompagnées d’un commentaire. Le reste du manuscrit ne se rap
t 33. Chacune d’elles porte un titre à l’encre rouge, et est en outre accompagnée de gloses marginales. En tête il n’existe pas de
déré comme un livre de luxe. Il ne renferme que les fables de Walther accompagnées de l’œuvre de son traducteur italien, et illustré
xtricable, les fables ne portent pas de titres ; elles sont seulement accompagnées de gloses marginales, d’une écriture excessivemen
uvrage que les fables de Walther. On n’y trouve que les 60 premières, accompagnées , il est vrai, de ces gloses naïves qui ont été im
édées de ce titre : Esopi fabule feliciter incipiunt. Elles ne sont accompagnées d’aucune glose. Il y en a soixante-deux ; comme t
es en papier. Les fables, que ne précède aucun titre général et que n’ accompagne aucune glose, n’en occupent que les 25 premiers.
l contient le texte latin de Walther et celui d’Avianus, amplifiés et accompagnés d’une traduction française en vers de huit syllab
lire complètement. Ce prologue est suivi de dix-neuf fables latines, accompagnées de leur traduction en vers français. Ce sont les
est pourvue de son titre spécial écrit à l’encre rouge. Elles ne sont accompagnées d’aucun commentaire. À la suite de la dernière on
hisopi. Les fables sont dépourvues de titres particuliers et ne sont accompagnées d’aucune glose. Elles ne sont pas au complet : ap
d’un titre spécial et d’une initiale à l’encre rouge. Le texte n’est accompagné d’aucune glose. Les fables se composent des soixa
, ne portent pas de titre général, ni de titres particuliers, ne sont accompagnées d’aucun commentaire et se terminent vers le haut
rat : Cum rigido. » Ce n’est pas seulement le prologue qui est ainsi accompagné d’un commentaire ; les fables 1 à 6 et 8 à 17 son
t les feuillets 89 a à 138 a. Ces fables, au nombre de soixante, sont accompagnées d’un commentaire, qui, comme presque tous les aut
texte latin, par la traduction en vers français du xive  siècle qui l’ accompagne , par son titre qui est ainsi conçu : « Compilatio
ogus , dont il a été question à la page 488 de ce volume. Les fables, accompagnées de quelques gloses, sont au nombre de soixante-de
liber esopi. Elles portent des titres à l’encre rouge, mais ne sont accompagnées d’aucune glose. L’écriture qui est la ronde itali
es ne sont précédées d’aucun titre général ; mais chacune d’elles est accompagnée d’un titre spécial écrit à l’encre rouge et de no
is encore les deux fables qui les suivent le plus souvent. Elles sont accompagnées d’une glose très prolixe, dont le début ressemble
Les feuillets 58 et 59 sont blancs. Si prolixe que soit la glose qui accompagne les fables, elle n’est pas la seule : il en exist
la première, elle n’est pas, sans doute pour éviter un double emploi, accompagnée du texte auquel elle se rapporte. Elle se termine
nt seulement pourvues de titres particuliers à l’encre rouge, ne sont accompagnées d’aucune glose et sont suivies de cette souscript
s fables, ornées en partie de titres en lettres dorées, sont en outre accompagnées de quelques gloses interlinéaires. Par suite de l
itions des huit auteurs. Dans ces éditions les fables de Walther sont accompagnées d’un commentaire très différent de celui qu’on re
s de frontispice et ne porte pas de titre général. Les fables ne sont accompagnées d’aucune glose ; elles consistent dans les soixan
ré ne sont, contrairement à l’indication fournie par M. Fleutelot458, accompagnées d’aucune traduction et sont seulement pourvues du
ent au recto du deuxième feuillet, précédées du préambule en prose et accompagnées de la glose interlinéaire communs à la plupart de
é sur bois, le prologue des fables de Walther qui elles-mêmes ne sont accompagnées d’aucune glose et qui ne sont précédées ni suivie
t commencent les fables de Walther précédées du préambule en prose et accompagnées du commentaire qu’on rencontre spécialement dans
ssous de ce titre est une vignette représentant Jésus-Christ ; il est accompagné d’un agneau et tient de la main gauche une croix
pit liber fabularum Esopi. Elle ne comprend que ses soixante fables, accompagnées de la glose qui lui en attribue la paternité. Ell
que 6, ce qui donne au total trente feuillets. Les fables de Walther, accompagnées d’un commentaire en langue italienne et illustrée
s viennent les fables, au nombre de soixante, qui, comme lorsqu’elles accompagnent celles du Romulus ordinaire, sont divisées en tro
 b (f iii b ). Fables de Walther précédées de leur prologue métrique, accompagnées d’une glose placée, partie en tête de chacune d’e
istique qui ordinairement la termine. Immédiatement après les fables, accompagnés comme elles d’une glose, viennent ces quatre vers
titre que le mot Prohemium qui précède le prologue connu. Elles sont accompagnées d’une glose et ornées chacune d’une gravure sur b
raître que le texte latin avec un commentaire semblable à celui qui l’ accompagne dans la plupart des éditions des huit auteurs. Br
Toscana || non più stampato. Au-dessous de ce titre est une vignette accompagnée de cette légende : Il piu bel fior || ne coglie.
Les fables sont au nombre de soixante-quatre. Chaque fable latine est accompagnée d’une gravure sur bois et suivie des deux sonnets
ue six, soit au total soixante-dix. Elle renferme le texte de Walther accompagné de la traduction d’Accio Zuccho. Le recto du prem
aquelle vient la vie d’Ésope, écrite en latin et divisée en chapitres accompagnés chacun d’une traduction italienne. À la suite de
ur. Les fables sont au nombre de soixante-trois. Leurs distiques sont accompagnés d’une interprétation mot à mot en prose italienne
uvre de quelque plagiaire monacal. Voici l’énumération de ces fables, accompagnée de leurs références avec les fables de Walther :
mplète. Elle renferme quarante-deux fables ; en voici la nomenclature accompagnée des numéros de celles du Romulus ordinaire, auxqu
vies des fables correspondantes de l’Anonyme. Les 4 dernières ne sont accompagnées d’aucune version poétique. Ce sont celles qui dan
Elles ne portent pas de titres. Les dix-sept premières seulement sont accompagnées d’un numéro d’ordre, qui pour chacune, sauf pour
et l’épilogue ordinaires les précèdent et les suivent. Elles ne sont accompagnées d’aucun titre ; mais chacune est surmontée d’un d
on employé, elles occupent les cent trois premières pages. Elles sont accompagnées de deux séries de variantes. Il y a une première
antérieur. Quoi qu’il en soit, voici la liste des vingt-deux fables, accompagnée des numéros que portent les semblables dans le Ro
d’Orléans, dont la signature mise au-dessous est, suivant son usage, accompagnée du double signe xl et 40. Lorsque, dans le volume
uvoir en juger. Voici d’ailleurs l’énumération des fables rythmiques, accompagnée de leurs références avec celles de ce Romulus :
s de Phèdre anciennes et nouvelles, éditées d’après les manuscrits et accompagnées d’une traduction littérale en vers libres, par Lé
s de Phèdre anciennes et nouvelles, éditées d’après les manuscrits et accompagnées d’une traduction littérale en vers libres par Léo
8º. (Voyez page 295.) 174. Fables de Phèdre anciennes et nouvelles, accompagnées d’une traduction littérale en vers libres par L. 
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