/ 1
1 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
apporte à la fois aux fables de l’Anonyme de Névelet que j’appellerai Walther et à celles du Romulus ordinaire. Les fables de W
j’appellerai Walther et à celles du Romulus ordinaire. Les fables de Walther , qui commencent au haut du feuillet 13 vº et fini
us : incipit liber tercius Ysopi gentilis. Dans le livre III, comme Walther n’a pas traduit en vers élégiaques la fable en pr
aire a été transcrite au-dessous de celle du Juif et de l’Échanson de Walther . Immédiatement après, au bas du feuillet 34 b, on
sopi. Au haut du feuillet 35 a, commence, sans titre, la fable lx de Walther ordinairement intitulée De Cive et Milite, suivie
e deux petits poèmes en vers hexamètres, qui font suite aux fables de Walther . L’Épilogue à Rufus a été omis. Il n’y a, après l
À la suite de la traduction de ce prologue métrique qui est celui de Walther , on lit : Comiēça el primero libro de las fabula
ait allusion. Il n’avait pas oublié non plus que Kropff l’avait nommé Walther , et il était assez porté à supposer qu’il s’agiss
pit Esopus ; ce nom n’est pas celui de l’auteur, qui au contraire est Walther . Mais, pour assurer à son œuvre un accueil plus h
ou d’une plante odoriférante. Ce qui est intéressant, c’est le nom de Walther par lequel il désigne le véritable auteur. Je fus
la vérité, je n’eus plus d’autre préoccupation que de savoir de quel Walther il s’agissait. Était-il question de Walther de Wi
elle plus exacte ? Comment sortir d’embarras ? Au moyen âge le nom de Walther ou Gauthier a appartenu à de nombreux auteurs, et
 : « Galterus Anglicus fecit hunc librum sub nomine Esopi. » Ainsi le Walther , dont le manuscrit de Vienne m’avait révélé le no
in dans la nomenclature analytique des imprimés contenant le texte de Walther . Ces éditions, en attribuant les Fables élégiaque
ns, en attribuant les Fables élégiaques à celui des auteurs du nom de Walther , qui a été le plus communément surnommé l’Anglais
à 1559421 ; je l’ouvris, et j’y trouvai les biographies de plusieurs Walther , parmi lesquelles figurait celle de Walther l’Ang
armi lesquelles figurait celle de Walther l’Anglais. D’après Bale, ce Walther , appelé aussi le Panormitain, avait été le chapel
angue latine, mais encore la prosodie de cette langue. En récompense, Walther fut nommé archevêque de Palerme et primat du roya
vécut, non seulement comme un précepteur, mais encore comme un père. Walther avait composé pour lui un livre intitulé : Pro la
es par le jeune prince sur celles de Romulus et corrigées ensuite par Walther . On s’explique ainsi qu’elles n’embrassent que le
, au moins aussi ancienne. Section III. Nomenclature des fables de Walther .     Un point sur lequel on n’a guère été plus
accompagnée de leurs références avec celles du Romulus ordinaire : Walther . Romulus ordinaire. Prologue. Prologue. 1.
l’autre : le Berger et le Loup. Pour savoir si elles appartiennent à Walther , il faut se référer à leur texte. Quand on l’exam
lacé à la fin, se composait de quatre vers contrairement à l’usage de Walther qui n’en consacrait que deux à l’affabulation. Si
t tiré de la place qu’il occupe. Enfin on a objecté que les fables de Walther n’étaient que la paraphrase poétique de la prose
t pas concluantes ; d’autre part, rien non plus n’autorise à faire de Walther l’auteur des deux premières fables complémentaire
cette fable se trouve justement dans le plus ancien des manuscrits de Walther , dans celui qui est conservé à Wolfenbüttel, et q
circonstances assez graves, je n’affirme pas qu’elle soit l’œuvre de Walther  ; mais ce qui me paraît encore mieux démontré que
ens d’examiner figurent dans quelques-unes des éditions des fables de Walther publiées au xve  siècle. Elles ne sont pas les se
e appendice. Section IV. Jugements des critiques sur les fables de Walther .     On ne saurait croire combien ont été diff
nt été différents les uns des autres les jugements dont les fables de Walther ont été l’objet. Il est remarquable qu’en matière
atinité particulière au siècle d’Auguste. Pour en revenir à celles de Walther , à l’époque où elles ont été écrites elles ont ét
sopus metrum non sopit. Au siècle suivant, vers 1333, les fables de Walther sont traduites en vers français en l’honneur de M
. Scaliger lui-même s’y laisse aller. Il admire la facture du vers de Walther exempt d’élisions et l’élégance sans égale de son
is ajouter la mienne, je prendrai la liberté de trouver les fables de Walther aussi défectueuses par la forme que par le fond.
place que je lui ai consacrée. Section V. Manuscrits des fables de Walther . § 1. — France. 1º Manuscrits latins de
n’existait à la Bibliothèque nationale qu’un manuscrit des fables de Walther , et Dressler, sur la foi de Schwabe, est tombé da
igault avait pris chez lui communication d’un manuscrit des fables de Walther , et, en même temps que d’un autre manuscrit que j
lt ne permet pas de douter que Paul Petau ait possédé un manuscrit de Walther , il est constant, ainsi que M. Omont, sous-biblio
comprenant ensemble seize feuillets et ne contenant que les fables de Walther . Chaque fable est précédée d’un titre à l’encre r
’églogue déjà plusieurs fois rencontrée de Théodule, 5º les fables de Walther , 6º le livre de Tobie. Les fables, dont j’ai seul
t que des fragments de prières latines ; très étrangères à l’œuvre de Walther , elles ont été la première couverture du volume a
s, possessor huius libri. Il est entièrement consacré aux fables de Walther , qui commencent au recto du feuillet 2, et qui ne
ze feuillets numérotés de 1 à 14, et renferme une copie des fables de Walther faite par Pierre Pithou sur un ancien manuscrit.
Bibliothèque nationale qu’à l’époque de la Révolution. Les fables de Walther , qu’entre autres ouvrages il renferme, commencent
chiré et volé. » Le manuscrit ne contient que les soixante fables de Walther . Elles sont précédées de cette invocation écrite
rouge : Explicit liber primus ; incipit secundus. Ils montrent que Walther avait adopté la division en livres qui se trouve
uscrits français je n’en ai trouvé qu’un seul contenant les fables de Walther . Après avoir porté successivement le nº 842 et le
ncte. Les 89 premiers feuillets numérotés contiennent les fables de Walther , suivies chacune d’une traduction en vers françai
divise en effet en deux parties : la première contenant les fables de Walther  ; la deuxième, dix-huit de celles d’Avianus. Le t
uent bien une œuvre postérieure à la traduction du véritable texte de Walther . Après le titre vient le prologue de Walther, auq
on du véritable texte de Walther. Après le titre vient le prologue de Walther , auquel le copiste a fait l’addition suivante :
se succèdent, suivies chacune de sa traduction, les fables latines de Walther , qui, ainsi que le prologue, sont allongées à l’a
le en est tellement barbare et la versification tellement fautive que Walther ne peut en avoir été l’auteur. On les trouvera da
tte première observation sur le texte latin des 5 fables étrangères à Walther , je vais faire connaître la liste complète de cel
a un saint. La première partie du manuscrit consacrée aux fables de Walther se termine par l’épilogue suivant : c’est la sub
manuscrits de la Bibliothèque nationale, qui, veufs du texte latin de Walther , en renferment seulement la traduction française.
ue totalement rempli par la traduction en vers français des fables de Walther . Elles sont précédées d’une jolie miniature, qui
deux manuscrits. On a vu dans le manuscrit 1594 que le texte latin de Walther avait été allongé, et que l’allongement était, co
rit, où chaque affabulation se borne à la traduction du seul texte de Walther . Cette différence me porte à croire que l’auteur
es et françaises n’est pas le même que le traducteur du vrai texte de Walther . Maintenant quel est l’auteur des additions ? Il
à savoir que toutes les additions faites à la traduction du texte de Walther sont l’œuvre d’un second traducteur inconnu comme
un dernier exemplaire de la traduction en vers français des fables de Walther . C’est un in-folio dont l’écriture sur parchemin
es bien différentes. Les 59 premières sont la traduction de celles de Walther  : les 18 suivantes se rapportent à celles d’Avian
à Marie de France. Les 59 fables qui sont la traduction de l’œuvre de Walther , sont précédées d’un prologue, qui, comme celui d
analysé les manuscrits, n’ont pas été la seule paraphrase du texte de Walther , et l’on pourrait aisément retrouver tous les ann
e commun avec la vieille paraphrase du premier traducteur français de Walther , ni avec celle de Marie de France. Ces fables, ai
r trouvées dans un manuscrit de Wolfenbüttel. » Réduit aux fables de Walther , le manuscrit 714 se compose de vingt feuillets e
a bibliothèque publique de Laon possède deux manuscrits des fables de Walther sous les cotes 461 et 462. A. Manuscrit 461.
en totalité, soit par extraits, 31 ouvrages différents. Les fables de Walther en sont le dix-septième. Je renvoie ceux qui dési
n est du xive  siècle. On n’y trouve que des fragments des fables de Walther , réunis sur deux feuillets. Ces fragments compren
On le voit, le copiste ne s’est attaché qu’à extraire des fables de Walther les maximes qu’il y a rencontrées. Il en résulte
liothèque de Besançon possède un manuscrit qui renferme les fables de Walther . Il n’était pas encore catalogué, lorsque j’ai eu
plupart des manuscrits, il comprend plusieurs ouvrages. Les fables de Walther commencent au feuillet 105 b et se terminent au f
ique : Finito libro Christus sit jure magistro (sic). Les fables de Walther sont dans le manuscrit suivies de celles d’Avianu
ites que sur une seule colonne. Le manuscrit a renfermé les fables de Walther , suivies chacune de sa traduction en vers françai
omplète. 7º Manuscrit de Carpentras. Le manuscrit des fables de Walther qui, dans la Bibliothèque municipale de Carpentra
la mention erronée du catalogue, seulement les 45 premières fables de Walther , mais les 60 authentiques auxquelles, au haut du
l en est de même de ceux qui portent les nos 127 à 131. Les fables de Walther , accompagnées d’un commentaire, occupent les feui
n pas in) glosa mistici sensus. Puis vient, précédant le prologue de Walther , un préambule qui, relativement au point de savoi
e Berlin ne possède, à ma connaissance, qu’un manuscrit des fables de Walther . C’est le manuscrit latin in-8º du xive  siècle,
. En les examinant, j’en ai trouvé quatre se rapportant aux fables de Walther . A. Manuscrit 1109. Le manuscrit 1109, qui p
di episcopi. Esopus cum commento. De Spiritu Guidonis. Les fables de Walther indiquées par les mots Esopus cum commento occu
s sont accompagnées d’un commentaire, qui prouve une fois de plus que Walther en est le véritable auteur, et dans lequel, presq
sub nomine Ysopi, ut diligentius liber suus raperetur. » L’œuvre de Walther n’est pas complète. Le copiste n’a transcrit que
. Summa magistri Guidonis de compilatione dictaminum. Les fables de Walther , désignées par les mots Esopus metrice, sont au n
ute naturelle dans l’appendice que j’ajouterai aux soixante fables de Walther . Le tout est terminé par cet hexamètre léonin :
je le signale, c’est parce qu’il renferme non le texte des fables de Walther , mais un commentaire qui a été fait sur elles, et
aire, qu’on peut considérer comme un fragment manuscrit des fables de Walther . En effet, chaque commentaire partiel est précédé
llet 88 a et finissent au feuillet 97 a, et le onzième dans celles de Walther , qui, partant du feuillet 99 a, se terminent au m
s il possède aussi, quoiqu’elle ne les mentionne pas, les soixante de Walther , qui, commençant au haut de la deuxième col. du f
e borne, quant à présent, à cette indication, et je passe à celles de Walther qui les suivent. Limitées aux soixante authentiqu
ns le manuscrit, dans lequel, il sera, en ce qui touche les fables de Walther , aisé de reconnaître une simple copie de celui de
est l’œuvre du copiste And. Soteflesch qui l’a signé. Les fables de Walther , limitées aux soixante ordinaires, commencent san
ne ducat vxorem. F. 30 b à 37. Les Æsopei apologi sont les fables de Walther qui remplissent les vingt et un premiers feuillet
nt le premier est en parchemin et les autres en papier. Les fables de Walther , au nombre de soixante seulement, y remplissent l
ibliothèque royale de Munich. A. Manuscrit 237. Les fables de Walther sont contenues dans ce manuscrit du format in-fol
    Fabula declarat, datque quod intus habet. À la fin des fables de Walther viennent celles d’Avianus qui commencent au fol. 
de 116 feuillets. Il renferme dix-huit ouvrages, dont les fables de Walther sont le quatorzième. Elles occupent les feuillets
us Zingg. E. Manuscrit 4409. Une partie seulement des fables de Walther se rencontre dans un manuscrit du xve  siècle pro
es auteurs du catalogue, il renferme les épimythions des 60 fables de Walther . Il comprend quinze ouvrages dont ces épimythions
pose de 263 feuillets, dont les 47 premiers contiennent les fables de Walther . C’est ce qui résulte de la désignation suivante
 feuillets, et renferme, accompagnées d’un commentaire, les fables de Walther , qui, suivant le catalogue, sont intitulées Liber
euillets, dont les vingt-cinq premiers sont occupés par les fables de Walther , signalées en ces termes : Æsopi fabulae versibu
ans lequel les feuillets 183 a à 202 b sont occupés par les fables de Walther annoncées par les mots Fabulae Æsopiae . K. M
’il contient et qui sont au nombre de douze se trouvent les fables de Walther qui commencent au feuillet 393. Elles sont accomp
le deuxième, les vraies fables d’Avianus, et le cinquième, celles de Walther qui commencent au feuillet 68 a et se terminent a
parmi lesquels figurent, accompagnées d’un commentaire, les fables de Walther commençant au feuillet 292 a. Elles sont signalée
catalogue de la Bibliothèque. Le premier consiste dans les fables de Walther qui occupent les premiers feuillets, et qui du fe
e en manuscrits est celle du British Museum. En ce qui touche ceux de Walther , j’en ai feuilleté treize, dont je vais maintenan
sé de 321 feuillets dont l’écriture est du xve  siècle. Les fables de Walther , qui occupent les feuillets 171 b à 185 a, offren
Esopi fabulæ quædam. Ce dernier titre, qui se rapporte aux fables de Walther , indique qu’elles sont incomplètes. En effet, le
nuscrit Add. 10389. J’arrive à l’un des plus curieux manuscrits de Walther . Voici l’analyse qu’en donne le catalogue imprimé
re considéré comme un livre de luxe. Il ne renferme que les fables de Walther accompagnées de l’œuvre de son traducteur italien
ui ne contient que le prologue et les trente-deux premières fables de Walther . La trente-deuxième fable, intitulée De Cervo, Lu
Au point de vue artistique, de tous ceux qui renferment les fables de Walther , le manuscrit 11896 est certainement le plus préc
 : De Pueris ludentibus et Lepore , et très certainement étrangère à Walther . Elles se terminent au feuillet 25 b et sont suiv
uillets. Aussi ne renferme-t-il pas d’autre ouvrage que les fables de Walther . On n’y trouve que les 60 premières, accompagnées
seulement, comme ce dernier manuscrit, il contient le texte latin de Walther et celui d’Avianus, amplifiés et accompagnés d’un
tail à une discussion qui serait oiseuse, et je reviens aux fables de Walther . Elles sont toutes précédées de miniatures à peu
ivies de leur traduction en vers français. L’épimythion des fables de Walther , qui ne se compose presque toujours que d’un simp
méros xlvii, lxi, lxii, lxiii et lxiv ont été substituées au texte de Walther , et, comme l’écriture en est intacte, je pourrai,
rs que M. Robert n’avait pas pu entièrement déchiffrer. Les fables de Walther sont terminées par cette souscription : C’est la
oïr et entendre, Qui a la fin se voudra prendre. Après les fables de Walther arrivent celles d’Avianus. Elles sont précédées d
t XXXVII. Le manuscrit XXXVII, qui renferme les soixante fables de Walther , forme un volume in-folio, admirablement conservé
ur a placés, l’un au commencement, l’autre à la fin. Les 60 fables de Walther , contenues dans ce manuscrit, ne portent aucun ti
e. L’un des cahiers renferme, fort lisiblement écrites, les fables de Walther qui commencent au feuillet 116 b du volume et se
r Exopi deo gracias. Amen. Le cahier dans lequel sont les fables de Walther , est complété par le poème d’Eva columba, qui com
horica, 3º Boëtius de consolatione philosophiæ. Ce sont les fables de Walther qui sont désignées par les mots Fabulæ anonymi. E
opi fabulæ consiste dans 62 fables, comprenant les soixante fables de Walther et les deux fables qui y sont ordinairement ajout
artie en papier. Il ne renferme pas d’autre ouvrage que les fables de Walther qui remplissent les feuillets 1 à 19. Ces fables,
l’écriture paraît être du xive  siècle. Il renferme les 60 fables de Walther , qui commencent au feuillet 98 a et finissent au
illets en papier et dont l’écriture est du xve  siècle. Les fables de Walther qu’il contient occupent les feuillets 192 b à 203
uscrit CCLXIX. Le nouveau collège à Oxford possède un manuscrit de Walther sous le nº CCLXIX. C’est un volume in-4º, qui se
de Pétrarque, comprenant douze églogues. Puis viennent les fables de Walther , qui commencent au feuillet 32 et se terminent pa
hillips. Cette bibliothèque renferme cinq manuscrits des fables de Walther sous les numéros 215, 1694, 2869, 3121 et 10624.
avoir : les distiques de Denys Caton, les fables d’Avianus, celles de Walther . Les distiques de Denys Caton, précédés de la dé
sans titres général ni spéciaux, les soixante fables authentiques de Walther , qui, commençant au feuillet xxiii a, sont, au fe
t de nombreux ouvrages en prose et en vers et notamment les fables de Walther , qui, au bas de la 2e colonne de la page 200, son
t et le dernier sont blancs. Le volume ne contient que les fables de Walther qui occupent les feuillets 2 a à 23 b. Sans titre
nsi qu’on l’a vu, se rencontre quelquefois à la fin des manuscrits de Walther . Le tout est terminé par cette souscription : Ex
uscrite placée en tête, il renferme onze ouvrages, dont les fables de Walther , comprenant les soixante-deux ordinaires, forment
ne. Je n’ai trouvé en Autriche que quatre manuscrits des fables de Walther  ; encore deux seulement sont-ils complets. Ils ap
uant à présent, je me contente de dire qu’elle comprend les fables de Walther qui s’étendent du feuillet 12 b au feuillet 22 b.
feuillets, il ne présente que quelques courts fragments des fables de Walther contenus seulement dans le dernier feuillet, savo
l comprend 226 feuillets écrits et 6 laissés blancs. Les 60 fables de Walther qu’il renferme, commencent au feuillet 164 a, où
t du xive  siècle, qui contenait la collection complète des fables de Walther et dont il n’est resté qu’un double feuillet comp
uxelles. La bibliothèque royale de Bruxelles possède les fables de Walther dans deux manuscrits portant les cotes 2519 et 11
d’Esopus, qui figure dans cette nomenclature, est donné aux fables de Walther qui occupent les feuillets 89 a à 138 a. Ces fabl
ationale. Cette bibliothèque possède deux manuscrits des fables de Walther . A. Manuscrit A. 163. Ce manuscrit, qui seul
Amm̄m. C’est au verso du feuillet 25 que commencent les fables de Walther , dont l’écriture est la même que celle des épigra
s 80 premiers feuillets. Le second n’est qu’un fragment de l’œuvre de Walther , comprenant le prologue, les 57 premières fables
, dont les feuillets en papier contiennent seulement les 60 fables de Walther et les deux complémentaires. Elles commencent au
legii Soc. Jesu d. Ignatii, Pollentini. Au feuillet 23 b l’œuvre de Walther se termine par cette souscription : Bononie G. M
and nombre d’œuvres distinctes, dues à divers copistes. Les fables de Walther , qui ne s’y trouvent que partiellement, occupent
t les cahiers qui contenaient les quarante et une premières fables de Walther , ont été presque entièrement détruits, mais encor
c’est de ces cinq manuscrits qu’il a également extrait les fables de Walther . La bibliothèque palatine n’en possédait qu’un se
s fonds de celle du Vatican. Le manuscrit qui contenait les fables de Walther fut-il, à la fin du siècle dernier, au nombre de
stitués. Parmi ces derniers n’a pas figuré le manuscrit des fables de Walther , qui fut ainsi définitivement laissé au Vatican e
. 3º Fol. 47ª à 63b. — Ces feuillets sont occupés par les fables de Walther , dont l’écriture est de la fin du xiiie  siècle o
ouvrages écrits à des époques très diverses. L’écriture des fables de Walther est du xiiie  siècle. Le cahier qui les contient
a (fol. 34 a). Les mots Fabulæ Æsopi metricæ désignent les fables de Walther . La collection qui commence au milieu du verso du
à 89 a). Les fables qui forment le troisième ouvrage sont celles de Walther . Elles comprennent non seulement les soixante don
à Florence en 1792, signale à la page 413 un manuscrit des fables de Walther , qui, dans le fonds Strozzi, porte le nº LXXX. C’
 a. Æsopi fabulæ latine redditæ, versibus elegis, etc. Les fables de Walther , qui forment le dernier des ouvrages contenus dan
ieurs ouvrages tant en prose qu’en vers, parmi lesquels les fables de Walther occupent les feuillets 69 a à 91 a. Au haut du re
ic) et contemplativa. Le second ouvrage consiste dans les fables de Walther , qui, partant du milieu du feuillet 30 b, s’achèv
ns une ancienne reliure à plats en bois, ne possède que les fables de Walther dues à un copiste italien du xive  siècle. Le rec
a à 112 b. Philippus de Florentia. Regulæ grammatices. Les fables de Walther , auxquelles se rapportent les mots Æsopus, Fabulæ
qui commence au haut du feuillet 7 a, consiste dans les 60 fables de Walther suivies des deux complémentaires, qui, dans le ma
nricus Septimellensis. Tous ces ouvrages sont en vers. Les fables de Walther , qui forment le premier, s’étendent du feuillet 1
ntia vocum carmen. Les mots Æsopi fabulæ se rapportent aux fables de Walther qui occupent les feuillets 59 à 76. Elles sont pr
-4º de seize feuillets en parchemin, qui ne portent que les fables de Walther dues à un copiste italien du xive  siècle. Elles
crit 1213. Ce manuscrit qui ne renferme que les soixante fables de Walther , est, avec celui du duc de Milan, le plus artisti
écriture italienne du xive  siècle. Il ne possède que les fables de Walther annoncées par ce titre général à l’encre rouge :
es fables dont il est question dans cette nomenclature sont celles de Walther qui occupent les 19 premiers feuillets (61 à 79,
, et le troisième, seulement quatre. Il ne renferme que les fables de Walther composées des soixante authentiques, des deux qui
uit à trente feuillets en parchemin. Il ne renferme que les fables de Walther , précédées, au haut du recto du premier feuillet,
, deux de dimension moindre qui ont appartenu à un autre manuscrit de Walther . Le texte commence à ce cinquième vers de la fabl
re est du xiiie  siècle. Les vingt premiers contiennent les fables de Walther , précédées de leur prologue, dépourvues de titre
ieurs ouvrages dont le cinquième consiste, non pas dans les fables de Walther , mais seulement dans leurs affabulations. Elles s
s. Comme elle n’entrera pas dans l’appendice qui suivra les fables de Walther , je la transcris ici : Ludentes pueri suspendun
antième. Ce classement semble donner raison à ceux qui les croient de Walther comme les soixante autres. Comme dans le précéden
j’ai donné copie plus haut. Section VI. Éditions des fables de Walther . § 1. — Éditions du XVe siècle. Si le nom
ditions du XVe siècle. Si le nombre considérable des manuscrits de Walther atteste la faveur inouïe dont ses fables ont joui
à l’Italie que revient l’honneur des premières éditions des fables de Walther . 1473. Phrigi Æsopi philosophi moralitas
le a été imprimée à Rome en 1473, dans le format in-4º. Les fables de Walther sont suivies de cette mention finale : M.cccc.lx
lxxviiij. 1481. Plusieurs éditions des fables élégiaques de Walther ont été imprimées en 1481. — Dans son Repert. bib
our base d’une fausse hypothèse sur le véritable auteur des fables de Walther . Intitulée : Esopi fabulae , elle se termine ain
édifice public. 2º Dernières éditions. Jusque-là les fables de Walther avaient en général été publiées isolément. À part
e appelées Éditions des huit auteurs. Dans ces éditions les fables de Walther sont accompagnées d’un commentaire très différent
avant dans les éditions d’écolier. Dans ces dernières, les fables de Walther , avec les titres : Esopus moralisatus cum commen
i se compose de 32 feuillets. — Édition classique in-4º des fables de Walther , imprimée en caractères gothiques, non chiffrée,
illet est consacré au frontispice ; le verso est blanc. Les fables de Walther , accrues d’un commentaire, commencent au verso du
al, de trente-six feuillets. Il est uniquement consacré aux fables de Walther qui, comme dans la plupart des éditions semblable
me de quatre, le nombre total des feuillets est de 212. Les fables de Walther , au nombre de soixante, commencent au feuillet v 
ubliées à Lyon. Je fais seulement observer que les soixante fables de Walther y sont divisées en trois livres égaux, et que cet
tures ; c’est au feuillet portant la signature v 7, que les fables de Walther commencent par ce titre : Incipit liber fabularu
t le titre complexe d’ouvrages, au nombre desquels sont les fables de Walther . Au-dessous du titre le frontispice est orné d’un
est la nomenclature chronologique des éditions latines des fables de Walther qui furent imprimées dans les dernières années du
itions postérieures au XVe siècle. L’engouement pour les fables de Walther qui avait fait tant de tort à celles de Romulus e
u’il n’en possède en tout que 32. Il contient seulement les fables de Walther et celles d’Avianus. Les premières qui se compose
époux. Je ne dis rien ici des fables d’Avianus qui suivent celles de Walther , et je me borne à transcrire la souscription par
lographiques. Le verso du même est occupé par la table. Les fables de Walther commencent au recto du deuxième feuillet, précédé
’un encadrement à fond noir gravé sur bois, le prologue des fables de Walther qui elles-mêmes ne sont accompagnées d’aucune glo
llets au total. Au verso du premier feuillet commencent les fables de Walther précédées du préambule en prose et accompagnées d
de celle de 1519. Elle contient, entre autres ouvrages, les fables de Walther attribuées à Salon et précédées de l’extrait de l
ur deux colonnes et composé de 132 feuillets numérotés. Les fables de Walther commencent au recto du feuillet 102 et finissent
e vignette, dans laquelle on lit le mot Esopus. Au-dessous l’œuvre de Walther est annoncée par ce titre : Incipit liber fabula
mme toutes les éditions des huit auteurs, elle renferme les fables de Walther , mais pourvues seulement de notes marginales. Ell
i n’en a que 6, ce qui donne au total trente feuillets. Les fables de Walther , accompagnées d’un commentaire en langue italienn
du Romulus anglo-latin. Fol. 2 a (a iiª) à 43 b (f iii b ). Fables de Walther précédées de leur prologue métrique, accompagnées
t feuillets chacun, soit en tout de quarante feuillets. Les fables de Walther sont au nombre de 66. Aux 60 authentiques placées
nant huit feuillets, leur nombre total est de quarante. Les fables de Walther , auxquelles le volume est consacré, commencent au
vure sur bois. Elles sont au nombre de 66, comprenant les soixante de Walther et les six intitulées : De Capone et Accipitre ;
. VII. 118. 1599 et 1600. Les dernières éditions des fables de Walther que je viens d’analyser montrent, par les longs i
e 678 pages chiffrées précédées de seize non chiffrées. Les fables de Walther occupent les pages 487 à 530, et les notes qui le
s pages 23 à 70 sont remplies par les soixante fables authentiques de Walther , placées sous 61 numéros et augmentées des cinq s
chiffrées. Les pages 32 à 86 sont occupées par les soixante fables de Walther augmentées de celles dont les titres suivent : 61
e entier dans lequel je ne trouve aucune édition nouvelle du texte de Walther . Pour en rencontrer une, il faut attendre celle q
1784 forme un volume in-8 de lii-232 pages, dans lequel les fables de Walther occupent les cinquante dernières. L’édition de 17
dans la Bibliothèque de Bergame. 1829. En 1829, les fables de Walther furent, d’après les éditions Bipontines, introdui
vers français occupe ensuite les pages 1 à 95. Puis vient le texte de Walther qui, commençant à la page 96, se termine à la pag
pas eu, plus que les précédentes, le pouvoir de rendre aux fables de Walther à notre époque leur vogue ancienne : aujourd’hui
venu purement historique. Section VII. Traductions des fables de Walther . § 1. — Traductions françaises. Les fable
bles de Walther. § 1. — Traductions françaises. Les fables de Walther ont été, dès le moyen âge, traduites en vers fran
e des traductions allemandes, tant en prose qu’en vers, des fables de Walther . En ce qui touche les traductions en prose, je n’
être considéré comme contenant une traduction en prose des fables de Walther , qui, ainsi que la plupart de celles du moyen âge
tie du moins, semblent avoir été la paraphrase allemande de celles de Walther et qui dans plusieurs manuscrits, probablement à
le vouloir ou sans le savoir, paraphrasé dans leur langue l’œuvre de Walther . Au surplus, en donnant l’analyse des traductions
ait imprimé à Londres, en 1503, une traduction anglaise des fables de Walther . En effet il n’en a fait paraître que le texte la
tions italiennes. En Italie, il en a été autrement : les fables de Walther , dans les derniers siècles du moyen âge et au com
its qu’elle possède des traductions en langage vulgaire des fables de Walther . C’est d’après l’ouvrage de M. Ghivizanni que j’e
ne contient que la version italienne en langue vulgaire des fables de Walther par un traducteur Siennois. Le recto du premier f
st de soixante-deux résultant de la traduction des soixante fables de Walther et des deux qui en sont le complément habituel. L
ve  siècle. Il est tout entier rempli par la traduction des fables de Walther en langage vulgaire per uno da Siena. Comme dans
enferme est une traduction italienne en langue vulgaire des fables de Walther . Il y a d’abord, en tête du volume, deux feuillet
Le volume contient non seulement la traduction en prose des fables de Walther , mais encore celle en vers d’Accio Zuccho, dont i
nte-trois seulement ; encore sont-elles loin de se rapporter toutes à Walther  ; elles sont pour la plupart la version ou, pour
compose de xv-199 pages chiffrées. La version italienne des fables de Walther per uno da Siena occupe les pages 1 à 69. Les pag
ce fut en Italie que fut publiée la première traduction des fables de Walther . 1479. Un lettré de Summa Campagna, Accio
comptés pour deux fables. Les quatre fables ajoutées aux soixante de Walther sont les suivantes : De Capone et Accipitre ; De
imprimée à Venise. L’édition qui contient à la fois les distiques de Walther et les sonnets du traducteur, est un in-4º non ch
uillets. Réimpression de l’édition de 1491, elle contient le texte de Walther et la traduction d’Accio Zuccho. Le recto du prem
ossède que six, soit au total soixante-dix. Elle renferme le texte de Walther accompagné de la traduction d’Accio Zuccho. Le re
nombre total de soixante-douze. Cette édition, contenant le texte de Walther et la traduction d’Accio Zuccho n’est, comme cell
, en effet, qu’elle ne pouvait survivre à la faveur que les fables de Walther avaient perdue. 3º Traduction de Francisco de
el Tuppo fit paraître une traduction en prose italienne des fables de Walther . 1485. La première édition de la traductio
, par le motif qu’il a été attribué deux nos distincts au prologue de Walther et au préambule de la fable des Grenouilles qui d
rothesis comparativa. Fabula I. Sous ce titre figure le prologue de Walther , qui dans l’édition est considéré comme la premiè
. Section VIII. Fables en prose dérivées des fables en vers de Walther . § 1. — Examen des fables. Tout se tient
s s’enchaînent comme les événements politiques. Les fables en vers de Walther , nées du Romulus ordinaire, extrait lui-même du R
ion de ces fables, accompagnée de leurs références avec les fables de Walther  : Ms. 14961. Walther. 1. Le Coq et la Per
gnée de leurs références avec les fables de Walther : Ms. 14961. Walther . 1. Le Coq et la Perle. 1. 2. Le Loup et l’A
ables sont très certainement le travestissement chrétien de celles de Walther . On retrouve en effet à la fin de chacune d’elles
n seulement à celui de Phèdre, source primitive, mais même à celui de Walther , source directe, mais bien dénaturée. Néanmoins t
it. Le manuscrit dans lequel j’ai trouvé la collection dérivée de Walther porte à la Bibliothèque nationale le nº 14961. Su
Alexandre Neckam. Section I. Notice sur Alexandre Neckam.     Walther n’a pas été, au moyen âge, le seul lettré qui ait
un aperçu de ses fables. On ne peut, quand on les compare à celles de Walther , s’empêcher de penser à cette phrase proverbiale
œuvres n’en ont pas moins eu des destinées très différentes. Celle de Walther a eu, pendant plusieurs siècles, un succès immens
e, si ce Romulus avait été la base fondamentale de l’œuvre de Neckam, Walther n’y avait pas été non plus étranger483. Ce dernie
gneau, je m’apercevais que, si l’on retranchait les deux distiques de Walther , le dialogue restait encore très complet, de sort
crit de la Bibliothèque de Berlin. Non seulement Neckam n’a pas copié Walther , mais encore, imitant comme lui le Romulus ordina
ple le soin qu’il a pris de s’écarter le moins possible du prosateur. Walther au contraire n’en a presque rien gardé, et si l’o
uciat via gutturis osse retento. Traduisant avec cette indépendance, Walther aurait dû au moins la justifier par une versifica
ues, elles avaient pu, à première vue, être confondues avec celles de Walther ou d’Avianus. Le manuscrit qui les conserve dépen
que nationale. § 2. — Manuscrits français. Comme les fables de Walther , celles de Neckam ont été traduites en vers franç
des manuscrits contenant la traduction en vers français des fables de Walther , j’ai donné du manuscrit 24310, pages 531 et suiv
gloses, qu’on trouve à la fois dans certains manuscrits des fables de Walther et dans les éditions de la fin du xve  siècle tir
vi, xxi à xl et xlv. Trois des huit autres sont dérivées de celles de Walther . Le tout est clos par cette souscription écrite à
lation primitive par les emprunts suivants faits à la fable xxxvii de Walther  : Unde dicit Musca :       Dat tibi terra dom
/ 1