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1 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
if, c’est qu’en ce qui touche le livre II rien dans les manuscrits de Pithou et de Reims ne permet de supposer qu’elles soient
que cinq, dont l’un même n’existe plus ; ce sont : 1º Le manuscrit de Pithou  ; 2º Le manuscrit de Reims ; 3º Le manuscrit de D
f va faire l’objet de ce deuxième chapitre. Section I. Manuscrit de Pithou . § 1er. — Histoire du manuscrit. Lorsqu’a
er, l’avait confié à Cujas. Pendant cinq ans, à Bourges et à Valence, Pithou suivit les cours de ce fameux jurisconsulte, qui
t engagée entre l’intolérance religieuse et la liberté de conscience. Pithou avait été élevé par son père dans les croyances d
nances de Blois. Le pape dans un bref avait manifesté son irritation. Pithou fut chargé de répondre. « Il le fit, ajoute son b
ituts des procureurs généraux avaient été érigées en charges vénales. Pithou renonça à une magistrature qu’il n’aurait plus du
son seul mérite. « Les traitants eux-mêmes, dit Grosley, offrirent à M. Pithou des provisions pour la sienne. » Il les refusa et
it former une Cour souveraine qui rendît la justice. Le 28 août 1594, Pithou en fut nommé le procureur général. Il comprit sa
egio. La deuxième page est remplie par les vers suivants adressés à Pithou par Florent Chrétien : petro pithoeo antiqvitati
lorens Christianvs. Les pages 3 et 4 sont occupées par une épître de Pithou à son frère François. « Celui-ci, dit M. Berger
d’imprimez ailleurs dedans ledict tẽps, sinon du consentement du dict Pithou , sur peine de confiscation, et d’amende arbitrair
er iour d’Aoust, Mil cinq cens quatre-vingt-seize. « Ainsi signé : P.  Pithou . » Telle est l’édition publiée par Pierre Pithou
u se trompe ; car l’exemplaire ne contient que celles du manuscrit de Pithou écrites par Nicolas Rigault lui-même, qui fut, co
1787, t. VIII, page 228. » Cet exemplaire de la première édition de Pithou est passé, en 1765, dans la Bibliothèque Sainte-G
Bibliothèque de Troyes possède aussi deux exemplaires de l’édition de Pithou , qui, dans le fonds appelé Cabinet local, portent
le ministre plénipotentiaire du roi Henri IV. Intimement lié avec les frères Pithou , il avait pu sans peine avoir communication du ma
èdre. Il faut pourtant reconnaître que la publication du manuscrit de Pithou par M. Berger de Xivrey a fait perdre à cet exemp
hécaire voulut bien aussi me communiquer l’exemplaire de l’édition de Pithou  ; il portait sur le catalogue le nº 252 et la let
he pas de reconnaître dans ce qui reste les variantes du manuscrit de Pithou . À la suite de la dernière fable, on lit cette ob
J’aurais maintenant à m’occuper des trois exemplaires de l’édition de Pithou , conservés à Londres et à Oxford ; je me bornerai
r lui-même. « Dès que l’Édition de Phèdre fut terminée, dit Grosley, M. Pithou , qui l’avoit fait faire à ses frais, l’envoya à P
èdre, ajoute Grosley un peu plus loin, furent le dernier présent dont M. Pithou enrichit la République des Lettres ; il ne survéc
ui le tenait-il ? Telle est la question qu’en présence du silence des frères Pithou , on a vainement essayé de résoudre. Adry en a che
efforcé de justifier son hypothèse par l’explication suivante : « MM.  Pithou étaient très liés avec Daniel, et ils l’étaient a
in d’insister, tout ce qu’il y a d’erroné dans ce récit. L’édition de Pithou parut en 1596. Or, à cette époque, le Père Sirmon
tement avec son frère en 1596. » La vérité, c’est que le silence des frères Pithou empêche aujourd’hui de remonter à l’origine de le
garçons ; mais ils étaient morts en bas âge84. « II n’étoit resté à M. Pithou , observe Grosley85, que deux filles de son mariag
t aux descendants de son oncle Pierre. » La seconde des filles de P.  Pithou , de son mariage avec Jean Leschassier, eut une fi
découvert leur sembla suspecte, et il faut avouer que le silence des frères Pithou justifiait un peu leur réserve. Mais elle ne dura
iothèque Sainte-Geneviève l’exemplaire déjà mentionné de l’édition de Pithou , pourraient mettre facilement un terme à leur inc
en transporta les variantes en marge d’un exemplaire de l’édition de Pithou . Mais, après ces deux savants, aucun de tous ceux
elui de Reims. Beaucoup, comme Lessing, croyaient que le manuscrit de Pithou n’existait plus. Il s’était ainsi écoulé presque
ui coûta la vie et la confiscation de ses biens87. » Le manuscrit de Pithou n’avait pas été excepté. Adry, dans sa Dissertati
esbillons : « MM. Le Pelletier (sic) ont hérité en partie des savants Pithou , dont ils étaient les parents par une Leschassier
r vers96, les leçons du manuscrit, les corrections et tâtonnements de Pithou , et ses observations en français pour le prote. A
idées que l’on s’était formées sur le manuscrit, d’après l’édition de Pithou , qui est la reproduction fidèle, non pas du manus
’édition, a établi une comparaison très fautive entre le manuscrit de Pithou et celui de Reims. “Dans celui-ci, dit-il97, les
r, quoique le P. Brotier n’en fasse pas mention. Dans le manuscrit de M. Pithou , au contraire, rien n’annonce une fin ; il y en a
chiré à la fin, et il y en avait d’autres dans le corps de l’ouvrage. M. Pithou en fait la remarque, et il indique ces lacunes pa
t la remarque, et il indique ces lacunes par des lignes ponctuées.” «  Pithou , ainsi que les autres savants de son temps, ne me
prétendu feuillet déchiré, après la dernière page, voici la phrase de Pithou  : “Post hanc postremam lineam abscissi sequentis
oindre trace aujourd’hui, ce qu’explique cette réunion de la copie de Pithou sous la même reliure que le manuscrit. On aura ôt
ien en cet endroit, et dont les dernières traces ont disparu, lorsque Pithou a fait relier sa copie avec le manuscrit. » Cett
ctifier deux erreurs. D’abord le feuillet déchiré, dont le relieur de Pithou a fait disparaître la trace, n’était pas un feuil
firmée, il est vrai, par le manuscrit de Reims) est une correction de Pithou  ; ensuite, parce qu’on ne trouve pas ordinairemen
sope, s’exprime ainsi : « Phèdre d’une partie a formé cinq livres. » Pithou , guidé par ce renseignement, a divisé le manuscri
er à Avianus. Ce manuscrit, qui était à peu près identique à celui de Pithou et qui contenait le même nombre de fables dans le
ssait le quatrième livre et où commençait le cinquième ? Voilà ce que Pithou , après avoir été si clairvoyant, ne me semble pas
l’enchaînement des idées, on se demande comment des éditeurs tels que Pithou ont pu, terminant le quatrième livre par le prolo
ta quæ possim loqui. À partir de cet épilogue les deux manuscrits de Pithou et de Reims ne contenaient plus que cinq fables.
use des divisions plus égales, mais absolument fausses, imaginées par Pithou et par tous les éditeurs qui l’ont suivi. M. Berg
entra en France, le Père Sirmond n’avait pas oublié la découverte des frères Pithou . Il traversa la Lorraine et la Champagne, fit par
irmond le découvrit. Malgré sa très grande ressemblance avec celui de Pithou , ce manuscrit présentait quelques variantes. Il l
ques variantes. Il les copia en marge d’un exemplaire de l’édition de Pithou , et les communiqua à Rigault, qui s’en servit pou
ra ainsi une confusion, qui est maintenant expliquée. Le manuscrit de Pithou , étant resté la propriété particulière d’une fami
endroits présentant des leçons différentes de celles du manuscrit de Pithou , Dom Vincent y avait ajouté une lettre ainsi conç
qu’elle a éprouvé en 1774, un manuscrit de Phèdre autre que celui de Pithou . On trouvera à la tête de ce volume un échantillo
ne l’a pas vu ; en effet, il n’était pas plus incomplet que celui de Pithou  ; l’un et l’autre renfermaient les mêmes fables d
s heureux. Pendant qu’il s’occupait de faire paraître le manuscrit de Pithou , profitant de sa position de conservateur adjoint
autre avaient de commun, pouvait s’écarter des leçons du manuscrit de Pithou . Quel était le texte exact de cette édition ? Voi
en désaccord avec l’édition Brocas, il était conforme au manuscrit de Pithou , dont, comme je l’établirai, il ne différait que
ne fussent pas eux-mêmes réellement identiques à ceux du manuscrit de Pithou . S’il en avait été ainsi, il serait impossible de
des deux était conforme à celui qu’elle portait dans le manuscrit de Pithou . Cette observation m’a fait acquérir la certitude
rit de Reims dans des endroits, où ce dernier s’éloignait de celui de Pithou . Pour parvenir à une restitution complète, il fau
s de la main du Père Sirmond en marge d’un exemplaire de l’édition de Pithou , et il ne s’est même pas préoccupé de reproduire
es de la France, avait attentivement examiné, non pas le manuscrit de Pithou qui n’était accessible à personne, mais celui de
de ces deux lettres se retrouvent presque toutes dans le manuscrit de Pithou , on est tout d’abord porté à penser que c’est à c
s106. » Suivant lui, Gude n’a pu puiser les variantes du manuscrit de Pithou que dans l’appendice de l’édition originale et da
iginale ni par les notes de Rigault comme appartenant au manuscrit de Pithou , elles ont dû, dans sa pensée, ne concerner que c
chemin, qu’aucun n’avait été déchiré, que, comme dans le manuscrit de Pithou , les lacunes du texte ne correspondaient pas à de
e du copiste avait été plus loin encore ; comme celui du manuscrit de Pithou , il était passé d’une fable à une autre sans indi
statim qui terminaient la première. Enfin, comme dans le manuscrit de Pithou , le passage d’un livre à un autre n’était pas non
rs, qui, brodant sur l’erreur du Père Brotier et dans le manuscrit de Pithou et dans celui de Reims n’en voyant qu’un seul et
érer de la précédente, n’en est pas moins fausse. Ils avaient cru que Pithou avait publié les fables de Phèdre d’après un vieu
avait rien qui dût surprendre. Le soin avec lequel les descendants de Pithou avaient, en silence, soustrait son manuscrit à to
e croire que celui de Reims n’était autre que celui qui avait servi à Pithou . Il existait entre eux une communauté d’origine,
successives des éditions antérieures, s’était écartée du manuscrit de Pithou . Il existe donc beaucoup de différences entre l’é
mêmes différences ne se retrouvent pas entre ce manuscrit et celui de Pithou . Quand on y regarde de près, on remarque que pres
leçon indiquée par Dom Vincent est conforme au texte du manuscrit de Pithou , dont l’imprimé s’était au contraire éloigné. Il
’est l’orthographe de la variante qu’on retrouve dans le manuscrit de Pithou . Ce qui revient à dire que dans les deux manuscri
rendent la ressemblance encore plus frappante. Ainsi le manuscrit de Pithou , dans le livre IV, ne renferme de la fable Leo re
nt écrits comme de la prose. Dom Vincent, en voyant dans l’édition de Pithou une ligne consacrée à chaque vers, avait naturell
, si, au lieu de copier le manuscrit de Reims, le copiste de celui de Pithou les avait eus sous les yeux, il n’aurait pas manq
e Reims présente quelques leçons préférables à celles du manuscrit de Pithou , telles que dos au lieu de mos, et fauce au lieu
ingentem , qui laissaient voir la trace du texte primitif ; celui de Pithou portait les mots : Æsopo ingentem , qui aggravai
e  siècle. Au contraire le Père Brotier crut reconnaître que celui de Pithou était du ixe  siècle, et M. Berger de Xivrey affi
hiques, en revenir à ces fautes de copiste, qui, dans le manuscrit de Pithou , n’ont été que l’aggravation de celles commises d
rare qu’un manuscrit fût relié seul. Nous avons déjà vu que celui de Pithou était suivi d’un traité De Monstris ; à celui de
l’auteur du traité De Monstris et Belluis, qui, dans le manuscrit de Pithou , se trouve également à la suite de ses Fables. Il
qui, à force de patiente volonté, avait fait revivre le manuscrit de Pithou , il n’avait, pas plus que ses devanciers, eu le c
Le reste remplit la troisième page. Les vers, dont les manuscrits de Pithou et de Reims n’avaient tenu aucun compte, sont au
ives au nombre même des fables. Depuis la publication de l’édition de Pithou jusqu’à la mort d’Alexandre Petau, c’est-à-dire p
ut que sept fables. En 1830, le consciencieux éditeur du manuscrit de Pithou ne fit qu’aggraver le chaos. Dans sa préface, d’a
l des Savants 140 son appréciation sur la publication du manuscrit de Pithou , déclare que « ce n’est qu’un fragment qui ne par
xie  siècle, c’est-à-dire qu’il est presque aussi ancien que celui de Pithou . Ensuite il ne comprend que le quart environ du p
, les autres à la seconde. Bientôt après l’apparition du manuscrit de Pithou , la librairie Panckoucke commença à éditer sa tra
t qu’être purement imaginaires. Depuis la publication de l’édition de Pithou jusqu’à la mort d’Alexandre Petau, c’est-à-dire p
manuscrit, au lieu des mots homines cum avocat , qui, dans celui de Pithou , appartiennent au premier vers de la fable xvi. O
ditée à son tour. Après avoir fait observer que, dans le manuscrit de Pithou , le premier vers est ainsi écrit : Fraudator hom
nt pas ; car M. Berger de Xivrey, dans sa publication du manuscrit de Pithou , a édité tricandum, et c’est ce mot que Gude et d
de la traduire en vers ïambiques. Sans parler des vieux manuscrits de Pithou et de Reims dont le témoignage est irrécusable, j
les savants qui pensent que le fabuliste Phèdre, édité par le fameux Pithou et rappelé par un certain Avienus à Théodose dans
sont absolument les mêmes que ceux de Phèdre, mis au jour d’abord par Pithou et ensuite par Rittershuys, Rigault et autres, et
aurait dû remarquer qu’il traitait implicitement de mystificateurs P.  Pithou , qui, en publiant les fables de Phèdre, avait déc
Perotti a eu dans les mains un manuscrit semblable, sinon à celui de Pithou , du moins à ceux de Romulus et de l’anonyme de Ni
e la petite poésie, qui suit immédiatement, qui, dans le manuscrit de Pithou , est intitulée Idem Poeta, et qui peut être consi
ées, de révoquer en doute l’authenticité du Phedre recouvré par notre M. Pithou aussi connu dans la Littérature que dans la Juris
tous les Sçavans. Mais après avoir lû l’Edition que venoit de donner M. Pithou , il ne resta aucun doute dans les esprits. Le pet
un savant antiquaire français, Ch. Millin, qui, si le manuscrit de P.  Pithou se retrouvait dans la bibliothèque de l’ancien pr
juste à quoi s’en tenir sur les trois manuscrits de Phèdre, celui de Pithou , celui de Reims, celui de Daniel ; si des juges c
vec des notes de Barbier, dont l’une239 indiquait que le manuscrit de Pithou existait dans la bibliothèque de M. Le Peletier d
par les notes de Barbier, appris qu’on savait enfin où était celui de Pithou , ne voulut pas que les preuves matérielles qu’il
ontre chez aucun poète latin ; ces nombreuses inégalités de style que Pithou lui-même avait aperçues et corrigées, tout en un
irer, au profit de sa thèse, un nouvel argument. Dans le manuscrit de Pithou , auquel aucun feuillet utile ne manque, le texte
s ; celle qui en était la mise en action est absente. Le manuscrit de Pithou offrait des pages déchirées au milieu et à la fin
Avianus déclare que Phèdre n’en a écrit que cinq, et le manuscrit de Pithou , auquel, quoi qu’on en ait dit, aucun feuillet ne
e cinq. Il est vrai aussi qu’aucun feuillet ne manque au manuscrit de Pithou  ; mais il est constant que, s’il n’a pas été copi
i même on s’en tenait purement et simplement au texte du manuscrit de Pithou , on pourrait prétendre qu’il ne nous en est rien
vre I, attribuant ainsi au livre III les fables, dont, à l’exemple de Pithou , tous les éditeurs ont cru devoir former le livre
huit premiers vers de la fable Leo regnans, qui, dans le manuscrit de Pithou , se terminent au milieu d’une ligne achevée par l
qui suivent cette dernière et l’épilogue. Il y a dans le manuscrit de Pithou et il y avait dans celui de Reims entre les deux
puisqu’il se réduit aux cinq dernières fables des deux manuscrits de Pithou et de Reims, que, même si nous le supposons plus
tiquæ qui y correspond. Voici comment est conçue dans le manuscrit de Pithou la fable Graculus superbus et Pavo : Ne gloriar
les manuscrits sont en désaccord. Ainsi on lit dans les manuscrits de Pithou et de Reims : Vulpis hunc vidit, dehinc sic cœpi
e tous les manuscrits étaient en dissidence ; ils portaient, celui de Pithou  : Tunc demum ingemuit Corvi deceptus stupor. Hac
, le premier de ces deux vers, qui se trouvait dans les manuscrits de Pithou et de Reims, était l’œuvre d’un moine ignorant, q
s mêmes que ceux observés par Berger [de Xivrey] dans le manuscrit de Pithou  ; les échanges de lettres sont également semblabl
g, comme les autres, renfermait des fables étrangères au manuscrit de Pithou , cela tenait à ce que ce dernier était incomplet.
frir un point d’appui solide pour la restauration du texte de ceux de Pithou et de Reims ; mais il estime néanmoins qu’il n’es
jette un jour complet sur la question du feuillet arraché de celui de Pithou . Il ne déclare pas seulement, comme M. Berger de
èdre ; il va plus loin : non seulement, suivant lui, l’affirmation de Pithou ne permet pas de contester qu’il ait existé, mais
le problème relatif au contenu du feuillet qui manque au manuscrit de Pithou . Ce feuillet très certainement ne portait aucune
fable de Phèdre. Le manuscrit de Reims qui était identique à celui de Pithou et qui s’arrêtait au même point, en eût au besoin
, ils occupent trois pages, n’en remplissaient que deux dans celui de Pithou  ; ce qui semble tout naturel, quand, grâce au fac
le Geai vaniteux. La voici telle qu’elle existe dans le manuscrit de Pithou  : Ne gloriari libeat alienis bonis, Suoque poti
comparaison. La voici d’abord telle qu’elle est dans le manuscrit de Pithou  : Ne gloriari libeat alienis bonis, Suoque poti
eux manuscrits portent Fructum lege , tandis que dans la copie de P.  Pithou on lit : Fructum cape. Cette copie ne comprend
des trois premiers vers de celle qui concerne la Matrone d’Éphèse, P.  Pithou a écrit cette note : Hæc Fabula sumpta est Petro
ger de Xivrey en tête de son édition diplomatique de son manuscrit de Pithou . 88. Voyez dans le Magasin encyclopédique, sixiè
 34, note 3.) 92. Voyez, dans l’édition diplomatique du manuscrit de Pithou publiée par M. Berger de Xivrey, la p. 46 de la p
in-8º. (Voyez p. 16.) 107. Voyez p. 89 de l’édition du manuscrit de Pithou , publiée par M. Berger de Xivrey, à Paris, en 183
e 1774, cité par M. Berger de Xivrey dans son édition du manuscrit de Pithou , p. 81. 109. Voyez p. 109 de l’édition du manusc
rit de Pithou, p. 81. 109. Voyez p. 109 de l’édition du manuscrit de Pithou publiée par M. Berger de Xivrey, à Paris, en 1830
de l’édition précitée. 111. Voyez p. 81 de l’édition du manuscrit de Pithou , publiée par M. Berger de Xivrey, à Paris, en 183
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