lais de ce Romulus agit de même, qu’enfin la femme supérieure, nommée
Marie de France
, qui fit en langue française la paraphrase poétiq
de Roquefort à se ranger à son avis. « Pourquoi, s’écrie l’éditeur de
Marie de France
, ce nom serait-il supposé ? En est-il un de plus
se rapportent à celles d’Avianus, et les 49 dernières appartiennent à
Marie de France
. Les 59 fables qui sont la traduction de l’œuvre
me série, ne sont, comme on le sait déjà, qu’une partie de l’œuvre de
Marie de France
. Le copiste, pour donner en apparence plus d’unit
ts français, je vais maintenant, en négligeant celles d’Avianus et de
Marie de France
, dresser le tableau comparatif des fables qu’ils
araphrase du premier traducteur français de Walther, ni avec celle de
Marie de France
. Ces fables, ainsi composées, commencent au fol.
anglo-latin, d’où est indirectement sortie la traduction poétique de
Marie de France
. Ceux qui viendront après moi pourront se demande
fables, de laquelle était indirectement venue la version poétique de
Marie de France
. Dans ma première édition, voulant attribuer à ce
un temps relativement reculé. S’il avait été traduit directement par
Marie de France
, on ne pourrait avec certitude le reporter à une
n’avait pas faits », mais que cette tradition avait été respectée par
Marie de France
, et que dès lors « j’avais été mal inspiré en vou
mblait le plus. Dans le prologue et dans l’épilogue de sa traduction,
Marie de France
dit qu’Ésope avait adressé à son maître des fable
ut-il y ajouter ? Ce sont le Dérivé de 136 fables et la traduction de
Marie de France
qui vont nous l’apprendre. J’ai fait connaître le
oin obligé de répéter. Section III. Traduction en vers français de
Marie de France
. Une étude sur le Romulus anglo-latin ne serai
es, la troisième aux manuscrits de ses fables. § 1. — Biographie de
Marie de France
. Quand je n’en serais pas empêché par le d
usivement réservée aux fables latines. § 2. — Examen des fables de
Marie de France
. La traduction poétique de Marie comprend
it Dittez amen ke Deus l’ottroit. § 3. — Manuscrits des fables de
Marie de France
. 1º Bibliothèque nationale. A. Manuscri
r écrit à Paris. Les formes qu’il emploie, surtout dans les fables de
Marie de France
, sont le plus rapprochées de celles qui ont préva
s ouvrages de ce prélat par le père Beaugendre. 5º Fables d’Ésope par
Marie de France
. 6º Traité des péchez en prose. L’œuvre de Marie
Ésope par Marie de France. 6º Traité des péchez en prose. L’œuvre de
Marie de France
s’étend du feuillet 89 a au feuillet 114 b. Elle
employés qu’à partir du xiiie siècle. C’est ainsi, par exemple, que
Marie de France
, qui écrivait à la fin du xiie siècle ou, au plu
ans le Romulus anglo-latin et qui, par suite, n’a pas été traduit par
Marie de France
. 6º Manuscrit 536 de la Bibliothèque royale de
de Gérard de Minden. Il y avait déjà plus d’un siècle et demi que
Marie de France
avait fait sa traduction en vers romans, lorsqu’e
a communauté d’origine des deux traductions française et allemande de
Marie de France
et de Gérard de Minden. Il n’est pas douteux que
y. Mais il ne s’en est pas tenu là : il n’a pas hésité à affirmer que
Marie de France
et Gérard de Minden avaient composé leurs traduct
de Minden avaient composé leurs traductions sur le même texte latin.
Marie de France
ayant déclaré qu’elle avait fait sa traduction su
gleterre, y fut traduit en langue anglaise, et c’est dans ce pays que
Marie de France
, trouvant la traduction anglaise, l’a mise en ver
l’a tirée d’une source différente de celle précédemment employée par
Marie de France
. 2º — Traduction anonyme. En parlant de Gér
eux Dérivés en prose du Romulus anglo-latin et comme la traduction de
Marie de France
, fait passer sa royauté sur la tête du Loup. On e
ospitem : sed ut familiarem carum habebit. Vale. » 310. Poésies de
Marie de France
, poète anglo-normand du xiiie siècle, par B. de
urnal des savants. Janvier 1885, page 43. 499. Voyez son article sur
Marie de France
dans la Nouvelle Biographie générale publiée par
509. Journal des savants. — Janvier 1885, p. 44. 510. Poésies de
Marie de France
, poète anglo-normand du xiiie siècle. Paris, Cha
iot. nationale, le ms. fr. 1593, fol. 99 a à 100 b. 513. Poésies de
Marie de France
. Paris, 1820. (Voyez t. I, p. 19.) 514. Poésies
Marie de France. Paris, 1820. (Voyez t. I, p. 19.) 514. Poésies de
Marie de France
. Paris, 1820. (Voyez t. I, p. 1, note 1, et t. II
54. 520. Histoire de la poésie française, p. 157. 521. Poésies de
Marie de France
, t. II, p. xiii et xiv. 522. Ibid., t. II, p. xi
ces mots : « Cornix semel videns se turpem, etc. » 525. Poésies de
Marie de France
, t. II, p. xiv et xv. 526. Poésies de Marie de
. Poésies de Marie de France, t. II, p. xiv et xv. 526. Poésies de
Marie de France
, t. II, p. xv. 527. Poésies de Marie de France,
v. 526. Poésies de Marie de France, t. II, p. xv. 527. Poésies de
Marie de France
, t. II, p. xiv et xv. 528. Poésies de Marie de
. Poésies de Marie de France, t. II, p. xiv et xv. 528. Poésies de
Marie de France
, t. II, p. xv. 529. Poésies de Marie de France,
v. 528. Poésies de Marie de France, t. II, p. xv. 529. Poésies de
Marie de France
, t. II, p. xvi, note 2. 530. « The whole is of
eigeleigt werden konnte, etc. Einleitung, p. xxxi. 540. Poésies de
Marie de France
, poète anglo-normand du xiiie siècle…, par B. de