, de fere mut pur sa preere ; si commencerai la premere des fables ke
Esopus
escrist, que a sun mestre manda e dist.
euillets 2 à 4. Fol. iv b. — Romulus thiberino filio civitate atlica.
Esopus
, etc. C’est la dédicace de Romulus, qui occupe le
dédicace commence ainsi : Romulus Tyberino filio. De civitate attica
Esopus
quidam homo græcus, etc. La copie que Gude avait
disposé de cette façon : Romulus Thiberino filio de Civitate atlica.
Esopus
(sic) quidam homo grecus, etc. En outre il y a un
commence par ces mots : Romulus filio suo Tyberio de civitate Attica.
Esopus
quidam homo grecus, etc. Dans le manuscrit du xii
e de cette façon : Romulus Tyberino filio de civitate Attica salutem.
Esopus
quidam homo grecus, etc., et cette leçon a été ac
r se convaincre que leur texte est bien celui du Romulus ordinaire :
Esopus
de se primam dixit fabulam. In sterquilinio quida
Potius mihi escam quero, nec ego tibi prosum, nec tu mihi. Hec illis
Esopus
narrat qui non intelligunt. Les deux premiers li
enu du volume : Fol. 1 b (a. 1 b). — Portrait d’Ésope surmonté du mot
Esopus
. Fol. 2 a à 21 a (a. ii a à c. vii a). — Vie d’É
mulus tyberino filio, de civitate attica seu anthiochia. P. S. dicit.
Esopus
quidem homo grecus , etc. Fol. 19 a. — Incipit f
euillet 155 au feuillet 169 et dernier. À la fin on lit ces mots. —
Esopus
der hochbetümpt fabeltichter mit etlichen zugeleg
io et illustrée de gravures sur bois. Elle se termine par ces mots :
Esopus
der hochberümbt fabeldichter mit ettlichen czugel
144 a à 151 b. — Table, à la fin de laquelle on lit : Hye endet sich
Esopus
der hochberümbt fabeltichter : mit | ettlichen zu
de l’imprimeur y sont nettement indiqués par cette mention finale :
Esopus
der hochberühmbt fabel Tichter mit ettlichen zuge
let, me permet du moins d’indiquer le titre de l’ouvrage. Le voici :
Esopus
leuen ende fabulen, ende die fabulen van Auienus
lyse qui suit : Fol. 1 a. — Titulus : Dye hystorien ende fabulen van
Esopus
| die leerlijck wonderlijck en̄ zeer ghenoeh (sic
en mensche die zeer subtijl van gheest | en̄ van sinnen was gheheyten
Esopus
, etc. Fol. 38 a lin. 16 : Hier eyndet dat eers
etc. Fol. 112 a in calce : Hier eyndē die ghenoechlijcke fabulē vā
Esopus
en̄ vā meer and’. inde welc-|ke vele goed’ leerin
yse du contenu. Fol. 1 a. — Titre : Die historien ende fabulen van |
Esopus
die leerlic wonderlick en̄ | seer ghenoechlick sy
nsi conçu : Hier begint dat leuē en̄ die historie vā | dē voernoemdē
Esopus
dӡ seere leerlijc | ghenoechlic en̄ wonderlijck i
eghint die prefacye van tand’ | boec der fabulē vandē en̄ nota-|bilen
Esopus
. Fol. 34 a à 42 b. — Fables du livre II. Fol. 4
ucune table. Fol. 73 b, col. 2. — Hier naeuolghē sommige fabulē vā |
Esopus
ghetranslaleert ende ouerghe | set na die forme d
elles d’Avianus : Hier eynden die subtijle historien en̄| fabulen vā
Esopus
. Ende hier begint | na die tafele der fabulē van
ption finale : Hier eyndē die subtijle en̄ genoechli-|ke fabulen van
Esopus
en̄ vā meer an-|der. in die Welke vele goed’ lerī
fabulas hystoriadas. Fol. 1 b. — Portrait d’Ésope, surmonté du mot
Esopus
, et orné, au-dessous, d’une gravure qui représent
également à l’encre rouge, et se terminent par cette souscription :
Esopus
explicit etc. Finis libelli fabularum Esopi etc.
evé au mois de mars 1504. Dans cet exemplaire j’ai lu ce qui suit : «
Esopus
etiam Phrigius ille fabulator philosophusque cele
a marginali. Phisiologus de naturis xii animalium Theobaldi episcopi.
Esopus
cum commento. De Spiritu Guidonis. Les fables de
. De Spiritu Guidonis. Les fables de Walther indiquées par les mots
Esopus
cum commento occupent les feuillets 88 a à 435 b
ers mots, on lit ce qui suit : « Causa autem efficiens fuisse dicitur
Esopus
qui ortus erat de Grecia, vel secundum alios Galt
l’ex-libris dans les termes suivants : Vocabularius parvus usque p.
Esopus
metrice. Summa magistri Guidonis de compilatione
pilatione dictaminum. Les fables de Walther, désignées par les mots
Esopus
metrice, sont au nombre de 60. Elles sont suivies
icum. Tractatus cuiusdam de anima. Tractatus de duodecim patriarchis.
Esopus
. Liber Senece de forma et honestate vite. L’ouv
ber Senece de forma et honestate vite. L’ouvrage désigné par le mot
Esopus
n’est en réalité pourvu d’aucun titre. Il est seu
llet 133 où elles finissent, on lit cette souscription : Hic finitur
Esopus
cum suis fabulis et moralitatibus eiusdem Sub Ann
quel se lisent les phrases suivantes : « Causa efficiens est magister
Esopus
de civitate Atheniensi. Et est liber presens comp
les et interlinéaires et précédées du préambule suivant : « Magister
Esopus
, excellens boeta (sic) grecus de civitate athenie
Romula (sic) filius Tibernio (sic). De civitate a(n)t(e)tica salutem.
Esopus
quidam homo grecus ingeniosus natus fuit in Phrig
le contenu, en est digne par son élégance ; sur l’un des plats le mot
Esopus
a été gravé en grands caractères gothiques. Les f
ontient quatre ouvrages désignés par les titres suivants : Theodolus,
Esopus
, Liber parvi doctrinalis, Liber synonymorum. Les
er synonymorum. Les 62 fables élégiaques auxquelles s’applique le mot
Esopus
s’étendent du feuillet 14 au feuillet 33. Chacune
au bas du feuillet 97 b, est ainsi conçu : Incipit liber qui vocatur
Esopus
. La fin des fables est annoncée par ce vers faux
phrase écrite un peu plus bas : Explicit liber fabularum qui dicitur
Esopus
. E. Manuscrit 496. Le manuscrit 496, qui
e, commencent au feuillet 164 a, où elles ont pour titre le seul mot
Esopus
. Elles ne sont chargées d’aucune glose ni margin
t dilectione Dei et proximi, Item de doctrina dicendi et faciendi, Et
Esopus
. » Le nom d’Esopus, qui figure dans cette nomencl
proximi, Item de doctrina dicendi et faciendi, Et Esopus. » Le nom d’
Esopus
, qui figure dans cette nomenclature, est donné au
rais de la glose tout ce qui concerne ce point : « Quidam dicunt quod
Esopus
fuit Atheniensis grecus, et composuit librum quem
emier feuillet, d’une sorte de préface dont voici le commencement : «
Esopus
atticus poeta qui fabulas composuit ad vitam et m
olier. Dans ces dernières, les fables de Walther, avec les titres :
Esopus
moralisatus cum commento , et Esopus moralisatus
de Walther, avec les titres : Esopus moralisatus cum commento , et
Esopus
moralisatus cum bono commento , avaient quelquefo
us ea quæ dicta sunt in libro. Titulus talis est : Incipit Esopus vel
Esopus
vel Liber magistri Esopi. Cui parti philosophiæ s
aphicum, t. I, p. 240, nº 1913) donne la description. 1489.
Esopus
moralizatus cum bono commento. À la fin : Finit
1489. Esopus moralizatus cum bono commento. À la fin : Finit
Esopus
fabulator preclarissimus cum suis moralisationibu
exemplaire de cette édition in-4º qui se compose de 42 feuillets. —
Esopus
moralisatus cum bono commento. À la fin : Finit
euillets. — Esopus moralisatus cum bono commento. À la fin : Finit
Esopus
fabulator preclarissimus cum suis moralisationibu
, à Cologne par Quentel. Le volume est signé et en partie chiffré. —
Esopus
moralizatus cum bono commento. À la fin : Impre
ale de Stuttgart possèdent chacune un exemplaire de cette édition. —
Esopus
cum commento optimo et morali. À la fin : Impre
1917) que je signale cette édition imprimée dans le format in-4º. —
Esopus
moralizatus cum bono commento. À la fin : Esopu
e format in-4º. — Esopus moralizatus cum bono commento. À la fin :
Esopus
fabulator, etc. Impressus anno salutis nostre M.
é au nº 1620, un exemplaire à la bibliothèque royale de Bruxelles. —
Esopus
moralisatus || cum bono commento. Réimpression
uve ce titre : Liber Esopi , et au bas du recto du dernier on lit :
Esopus
fabulator preclarissimus cum suis moralizationibu
iothèque publique de Dijon possède un exemplaire de cette édition. —
Esopus
moralisatus || cum bono commento. Au-dessous de
qui se compose de 36 feuillets, imprimés en caractères gothiques. —
Esopus
moralisatus cum bono commento. Iterum textus de
ous la cote 364, à la bibliothèque royale de la Haye. 1495.
Esopus
moralisatus cum bono commento. Iterum textus de
en existe un exemplaire à la bibliothèque Bodléienne. 1496.
Esopus
moralisatus cum bono commento. Iterum textus de
la cote 14680, un exemplaire à la bibliothèque publique d’Arras. —
Esopus
moralisatus cum bono commento. À la fin : Impre
date du 24 décembre et se compose de 37 feuillets457. 1497.
Esopus
moralisatus || cum bono cōmēnto. C’est une réim
s de cette réimpression qui forme un volume in-4º de 39 feuillets. —
Esopus
moralisatus cum bono commento. Cette édition, i
304 e, et un autre à la Bibliothèque de Vérone sous la cote 79. e. —
Esopus
moralisatus cum bono commento et glossa interline
us moralisatus cum bono commento et glossa interlineari. À la fin :
Esopus
fabulator preclarissimus cum suis moralisationibu
01, et par Hain, t. I, p. 35, nº 317, m’est inconnue. 1498.
Esopus
moralisatus cum commento. À la fin : Dauentriae
e pourrait bien être sortie de la presse de Nicol. Lupi (Wolf). » —
Esopus
moralisatus cum bono commento. Un des exemplaire
ernières éditions qui marquèrent la fin de leur vogue. 1500.
Esopus
moralisatus cū || bono cōmēto. Iterum textus ||
lement quatre feuillets chacun. Au verso du trente-neuvième on lit :
Esopus
fabulator preclarissimus cum suis moralisati||oni
a natali xp̄iano. M.CCCCC. die vero. VI. Septēbris. 1502.
Esopus
moralisatus cum commento. À la fin : Impressus D
Bibliothèque palatine de Parme sous la cote G G.3 II. 1508.
Esopus
moralisatus || cum bono cōmēto : et || glosa inte
lle que le même imprimeur avait déjà publiée en 1503. 1517.
Esopus
constructus mora-||liçatus (sic) et hystoriatus v
de la première colonne, est une vignette, dans laquelle on lit le mot
Esopus
. Au-dessous l’œuvre de Walther est annoncée par c
ossèdent chacune un exemplaire de cette rare édition. 1557.
Esopus
constructus mo-||ralizatus et Hystoriatus ad vti
st suivi de ce sixain en vers élégiaques conçu dans le même esprit :
Esopus
fueram deformis : non satis istud Ad lasanu
s placés à droite et à gauche. Le nom du savant est révélé par le mot
Esopus
inscrit au-dessus de sa tête. Au haut du verso du
ction est donc complète. Elle est précédée de ce titre : Hic incipit
Esopus
, et terminée par cette phrase finale : Expliciu
ont terminées par cette souscription : Explicit liber fabularum quas
Esopus
grecus homo ingeniosus studiose collegit. Immédi
également écrit à l’encre rouge : Incipit liber fabularum quos (sic)
Esopus
grecus homo ingeniosus studiose collegit et litte
autrement. » Les fables sont précédées d’un prologue ainsi conçu :
Esopus
eyn wys greke was Ind wonde zo athenas ; Van synn
minime permittit : devenerit, visum est nimium fore absurdum, si hic
Esopus
noster alii se dedicaret : voveretque quam illi c
us, Pontanus et Angelus Sabinus graviora scribentes et plerique alii.
Esopus
etiam Phrigius ille fabulator, philosophusque cel