Cod. Ba 87. On dit que les animaux furent façonnés d’abord, et que
Dieu
leur accorda, à l’un la force, à l’autre la vites
s rapide que les plus rapides. » Et alors reconnaissant le présent de
Dieu
, l’homme s’en alla, adorant et rendant grâce. Tou
alla, adorant et rendant grâce. Tous les hommes ont été favorisés de
Dieu
qui leur a donné la raison ; mais certains sont i
esme des blasphemes. L’on nous permet quelquesfois de jurer le nom de
Dieu
avec des begayements enfantins, et d’offrir à un
bonne heure de vos ordures ? Comment croyez-vous qu’il soit benit de
Dieu
, si vous en faites un vase de profanation ? Quoy
t qu’ils ne seront hommes ? Est ce ainsi que vous violez le Temple de
Dieu
? Est ce comme cela que vous consacrez ce Microco
ous pas si meschants que de vouloir perdre vostre fils avecque vous ?
Dieu
l’a creé capable d’une felicité dont vous ne le d
ayeté, ny ses jurements, ny ses ordures, ne sont pas coûpables devant
Dieu
. Je vous advouë qu’il est Innocent, mais il ne s’
je luy voulois faire à son tour, pour graver en son ame le service de
Dieu
, et la crainte de ses Jugements.
bon homme confessa pareillement n’estre pas à luy. A la fin le mesme
Dieu
luy en fit voir une emmanchée de bois, que le Cha
la sienne ? « C’est elle mesme », luy respondit l’Imposteur. Mais ce
Dieu
le voulant punir de son impudence, et de son mens
ouvrement de sa coignée, et à quelle occasion les Anciens tenoient ce
Dieu
pour tutelaire des Artisants. Mais c’est à quoy j
renoncer à ceux du Ciel ? A quel propos Esope auroit-il introduit un
Dieu
, pour la consolation de ce pauvre homme, si ce n’
auvre homme, si ce n’estoit à dessein de nous apprendre, que c’est en
Dieu
que les Vertueux ont à mettre leur espoir ? que c
ent qu’à la richesse et à l’interest, nous ne devons point douter que
Dieu
ne se mocque de leur fausse apparence, et qu’il n
. L’Homme et l’Idole de bois. Certain Payen chez luy gardoit un
Dieu
de bois ; De ces Dieux qui sont sourds, bien qu’a
e, L’homme en avoit sa part, et sa bourse en souffroit. La pitance du
Dieu
n’en estoit pas moins forte. A la fin se fâchant
injurieux se peuvent representer qu’ils ne tiennent leur force que de
Dieu
, qui ne la leur donne point à dessein d’affliger
nts-là peut raisonner de ceste sorte et raisonner veritablement. « Si
Dieu
m’a voulu faire tant de bien, à moy qui suis sans
as les grandeurs de la terre qui establissent nostre condition devant
Dieu
, mais plustost c’est la seule vertu ; et celuy-là
il leur faut representer la courte durée de nos jours, la justice de
Dieu
, qui ne laisse rien sans payement, l’égalité des
ucune defectuosité. C’est aussi par elle que nous sommes semblables à
Dieu
, comme il est dit dans l’Escriture, « Faisons l’h
proportions de corps, ce seroit rendre ces termes ridicules, puis que
Dieu
est incapable de matiere et de lineaments. Il y a
y a donc une espece de Beauté, par qui nous ressemblons aucunement à
Dieu
, à sçavoir la beauté de l’ame. Or elle consiste à
nous avons desja touché, à sçavoir, que l’une nous rend semblables à
Dieu
, l’autre nous est commune avecque les bestes. Qua
autre nous est commune avecque les bestes. Quant à la ressemblance de
Dieu
, outre l’authorité de l’Escriture, j’allegueray q
cquer à temps. Pour cela mesme les Poëtes ont fait Déesse, et non pas
Dieu
, la Divinité qui preside à la Prudence, possible
s avec modestie, et non pas brusquement, ny trop à la haste. C’est un
Dieu
qui regne sur les Armes, un Dieu qui preside au B
uement, ny trop à la haste. C’est un Dieu qui regne sur les Armes, un
Dieu
qui preside au Bien-dire, et à la Medecine, et un
les Armes, un Dieu qui preside au Bien-dire, et à la Medecine, et un
Dieu
de qui les Arts mecaniques relevent. On a fait Di
t) ceux qui ont charge de la Mer, de la Terre, et du Ciel : on a fait
Dieu
, et non pas Déesse, l’Amour ; Mais quant à la Pru
t assez que le destin Adresse là les gens quand il veut qu’on enrage.
Dieu
nous préserve du voyage. Pour venir au Chartier e
es chevaux, Contre son char, contre luy-mesme. Il invoque à la fin le
Dieu
dont les travaux Sont si celebres dans le monde.
de la Vertu n’est pas sujet à la censure des hommes, mais à celle de
Dieu
: Son espreuve se fait au Ciel, et non pas en ter
u cœur, et non des actions. Toutesfois il arrive par la permission de
Dieu
, que l’on découvre à la fin telles impostures. Ce
iversité de Paris reputoit pour sainct personnage, et qui toutesfois,
Dieu
le permettant ainsi, se leva du cercueil par troi
chauve, répliqua : « Ce n’est pas moi qui aurai recours à l’insulte,
Dieu
m’en garde ! bien au contraire, je loue les cheve
qui veullent accabler l’Innocence, soit en tout temps des-agreable à
Dieu
et aux hommes ; si est-ce que les plus artificieu
ssoient, et dont ils avoient pour suspecte l’authorité. Mais pleust à
Dieu
, que telles impostures ne fussent point parvenuës
a une justice au Ciel, pour la protection des Innocens, et que devant
Dieu
, le fort n’a pas plus d’avantage que le foible, j
e par cét adveu contre son profit particulier, l’on ne fait tort ny à
Dieu
, ny aux hommes, ny à soy mesme : A Dieu, pource q
ulier, l’on ne fait tort ny à Dieu, ny aux hommes, ny à soy mesme : A
Dieu
, pource qu’en la distribution qu’il a faite des b
s forteresses, des villes, et des possessions destinées au service de
Dieu
(que nous appellons benefices, et qu’on nommoit a
ssi ne les y prit-on pas. Leur ennemi changea de note, Sur la robe du
Dieu
fit tomber une crote : Le Dieu la secoüant jetta
ennemi changea de note, Sur la robe du Dieu fit tomber une crote : Le
Dieu
la secoüant jetta les œufs à bas. Quand l’Aigle s
ié et nourri de la sorte ? — Un chasseur, » répondit le chien. « Ah !
Dieu
garde de cela le loup qui m’est cher ! Autant la
Là vivant à discretion,
La galande fit chere lie,
Mangea, rongea ;
Dieu
sçait la vie,
Et le lard qui perit en cette occa
t faire. Un Payen qui sentoit quelque peu le fagot, Et qui croyoit en
Dieu
pour user de ce mot, Par benefice d’inventaire, A
tit : Cornes cela ? Vous me prenez pour cruche ; Ce sont oreilles que
Dieu
fit. On les fera passer pour cornes, Dit l’animal
e l’Olimpe entenduë. Mercure vient. Elle n’est pas perduë, Luy dit ce
Dieu
, la connoîtras-tu bien ? Je crois l’avoir prés d’
fois ; Je suis content, si j’ay cette derniere. Tu les auras, dit le
Dieu
, toutes trois. Ta bonne foy sera recompensée. En
Poisson et le Pescheur Petit poisson deviendra grand, Pourveu que
Dieu
lui preste vie. Mais le lascher en attendant, Je
e garantir du tort qu’on luy fait, et n’en peut demander justice qu’à
Dieu
seulement. D’ailleurs, les demons par la mesme ra
point de sujet de desespoir, ny de plaincte, contre la Bonté Divine.
Dieu
leur a donné presque autant de graces qu’aux gens
e j’allegueray pour exemple. Les anciens Poëtes ont feint que Celius,
Dieu
par dessus tous les autres, engendra Saturne, que
uent fort doctement, quand ils disent que par Celius se doit entendre
Dieu
, en qui sont comprises toutes les creatures d’une
n, ils luy donnent le nom de Neptune ; et celuy de Pluton, qui est le
Dieu
des Richesses, en tant qu’elle agit à la producti
’ils ont d’eux-mesme, ne sont dans le monde que des Plantes inutiles,
Dieu
nous ayant fait naistre pour servir nostre Procha
eine.
Le Ciel permit qu’un saule se trouva
Dont le branchage, aprés
Dieu
, le sauva.
S’estant pris, dis-je, aux branches d
beaucoup à moraliser là dessus. Car nostre creance nous apprend, que
Dieu
est encore plus misericordieux que nous ne sommes
t : « Moi, que je renonce à la grasse liqueur si appréciée en moi par
Dieu
et par les hommes, pour aller régner sur les arbr
ur sçavoir :
Et la Guespe adjugea le miel à leurs parties :
Plust à
Dieu
qu’on reglast ainsi tous les procez ;
Que des Tu
hommes. Car celuy qui a mis en arriere le souvenir de ce qu’il doit à
Dieu
et à soy-mesme, comment s’acquitera-t’il religieu
à dessein de faire une bonne action, et de respecter en eux, le mesme
Dieu
qu’ils ont commun avecque nous. C’est en luy que
le montre que ceux qui font du mal à leurs bienfaiteurs sont punis de
Dieu
.
eurez qu’on l’acquiert sans peine, puis qu’il n’y en a point à servir
Dieu
. Au contraire, nous voyons tous les jours par esp
our la preferer au Ciel ? Aymez-vous la Vengeance ? Elle appartient à
Dieu
. Vous sçavez qu’il se l’est reservée ; En luy ell
pourrez-vous resister ? Est-ce là un bien preferable aux promesses de
Dieu
, qui vous offre le pardon, si vous pardonnez, et
ar le devoir de vrays Chrestiens, et par tant de hautes promesses que
Dieu
nous a faictes, au prix desquelles toutes les dou
er, j’ai l’habitude de revenir le jour même. » Cette fable montre que
Dieu
n’a pas de jour fixe pour punir les impies.
a maudite Parque N’entre point par vostre moyen. Il avint qu’au Hibou
Dieu
donna geniture, De façon qu’un beau soir qu’il es
commencement de la Genese, qu’il represente quelquesfois l’ennemy de
Dieu
; Et aujourd’huy nostre Sage Esope luy fait joüer
vie qu’est-elle autre chose qu’une perpetuelle mescognoissance envers
Dieu
.
ement introduit en ceste Fable un homme si peu respectueux envers son
Dieu
, que de le mettre en pieces, et luy dire quantité
uvres, aussi liberalement qu’ils les ont vertueusement acquis ; aussi
Dieu
benit le travail de telles gents, et leur envoye
rangers. Car il est à croire que pour recognoissance de cela, quelque
Dieu
m’a esté favorable, et qu’ainsi d’un bon office,
un Prelat qu’elle condamne
A jamais du lit ne bouger.
Cataplasmes,
Dieu
sçait. Les gens n’ont point de honte
De faire al
t à toutes les bonnes qualitez des autres. Ils sont faschez de ce que
Dieu
ne fait pas un miracle pour eux seuls, et dequoy
aicts, mais encore à estre contents de leur condition, et à remercier
Dieu
des biens qu’ils possedent, au lieu de se plaindr
t le plus à craindre, sans encourir les peines de la haute Justice de
Dieu
. C’est luy qui a tant de soing de la protection d
que les foibles ne manquent jamais d’un bon support, puis qu’ils ont
Dieu
de leur costé.
tre un chat, que tu sçais estre un animal, que nous reverons comme un
Dieu
? Parle donc ? qui t’a obligé à cela ? » « Seigne
pe l’ayant escouté sans s’esmouvoir ; « Tu ments », luy dit-il, « car
Dieu
sçachant tout, n’a pas besoing de s’enquerir, ny
n homme. Or est-il que tu ne t’accuses pas seulement, mais encore ton
Dieu
». En suitte de celuy-cy, un autre prenant la par
instructions, dont les principales furent celle-cy. « Mon fils, ayme
Dieu
sur toutes choses, et rends à ton Roy l’honneur q
des hommes, puis que nous le sommes quelquesfois aux inspirations de
Dieu
, et que nous couvrons nos ames de deffences d’air
peuvent doncques mieux faire que de s’appliquer au service d’un seul
Dieu
, qui n’est point inégal en ses affections, et qui
e, quoy qu’en effect il en serve tres-innocemment. Mais la Justice de
Dieu
, qui ne peut souffrir de déguisement, sçait bien
je ne voy point que pour tout cela ils les doivent mépriser, puis que
Dieu
, qui a fait toutes choses justement, n’a pas, com
é de son estre. C’est là où l’on contemple à loisir les merveilles de
Dieu
, et là mesme où l’on est delivré des contraintes
ut que la vieillesse, ou la pauvreté, leur fasse quitter le peché, et
Dieu
sçait avec quelle violence, si ce n’est encore qu
laisser à part les justes et agreables submissions que nous devons à
Dieu
, il y en a encore d’autres dont il est impossible
nt l’obeyssance au Magistrat ; Et Jesus-Christ mesme, quoy qu’il fust
Dieu
, et le plus parfaict des hommes tout ensemble, n’
s et solides, pour suivre une ombre de felicité. Quelques-uns mettent
Dieu
en arriere, pour les voluptez sensuelles : D’autr
us pas croire, que le sens et l’experience manquant aux jeunes gents,
Dieu
les abandonne jusques là que de ne leur rien lais
es appellerons Idolastres, aveugles, et maladvisez, qui se forment un
Dieu
de metail, comme les Payens, et qui trouveront qu
u de metail, comme les Payens, et qui trouveront quelque jour le vray
Dieu
plus dur et plus insensible que le metail mesme,
ons, ils ne laissent pas de contempler quelquesfois les merveilles de
Dieu
, voire mesme ils peuvent estre amoureux l’un de l
e venuë du Ciel, d’estre faite pure et incorruptible par les mains de
Dieu
, et puis d’espouser icy bas la chetive passion d’
es. Aussi la judicieuse Antiquité a commis le soing de la richesse au
Dieu
des Enfers, et l’a appellé Dis, c’est à dire rich
’il n’y a point de crime au monde si pernicieux, ny si des-agreable à
Dieu
, que celuy-cy. Car, à le bien considerer, il n’es
berté, il doit cherir tous les Roys qui luy sont donnez de la main de
Dieu
, fussent-ils plus insensibles, ou plus stupides q
ribuënt l’honneur de toutes leurs entreprises, au lieu de le donner à
Dieu
, qui est la vraye source et la legitime cause de
incte Hostie, pour donner la mort à leurs Ennemis, en mesme temps que
Dieu
se donnoit à Eux pour vivifier leur ame ? Il me s
que je m’amuse à gloser dessus des choses imaginaires. Mais pleust à
Dieu
que tous les mensonges du monde fussent aussi sol
opinions des hommes sont-elles quelque chose au prix des jugements de
Dieu
, qui agissent tous en faveur de la probité ? Si l
en sa memoire une chose que nous avons des-jà touchée, à sçavoir que
Dieu
s’est reservé la Vengeance, et que c’est empieter
à sçavoir que les bestes publient avecque leurs voix les loüanges de
Dieu
, comme si elles prononçoient, non des paroles ind
s cinq sens, de leur imagination, et de leur memoire, si ce n’est que
Dieu
les éleve miraculeusement à la faculté de parler,
animaux. Pour le regard des loüanges que les Oiseaux mesme donnent à
Dieu
, cela doit estre reçeu avec explication, plustost
ar il est tres-veritable qu’ils ne cessent de chanter les loüanges de
Dieu
; c’est à dire que la Nature le loüe par leur voi
re ces passages, à sçavoir que les animaux chantent les merveilles de
Dieu
, et que par eux, qui sont ses Ouvrages, on cognoi
arence y auroit-il qu’une meschante action demeurast cachée, puis que
Dieu
a donné pour une des punitions du crime, l’execra
le Seigneur ou l’ouvrier, avant que la besogne fust achevée, comme si
Dieu
se joüoit à voir commencer tant de merveilles san
on, qui s’est presque tournée en la moitié de leur nature. Cependant,
Dieu
sçait avec quelle rage ils maudissent la negligen
ce poinct d’execration, que de seduire réellement des Prestres, à qui
Dieu
donne l’authorité de le consacrer, et dés qu’il e
omme à homme, et ne sont compatibles qu’avecque l’amitié de l’homme à
Dieu
; au lieu que le Prince nous peut regarder, sans
desquels est d’autant plus vertueuse, qu’ayant pour but la gloire de
Dieu
, ils s’assujettissent à son imitation à une pauvr
la vous doit apprendre, Messieurs de Delphes, à ne mespriser point ce
Dieu
, chez qui je me suis refugié, quoy que son Temple
re est-il necessaire, à mon opinion, qu’il se rapporte à la gloire de
Dieu
, ou à l’utilité publique. Car s’il n’y va que de
la chose est si douce, qu’elle pourroit nous détracquer de l’amour de
Dieu
, et de la Patrie. Voylà donc à peu prés ce que l’
de ostentation que celle des Riches ? Ne veulent-ils point s’égaler à
Dieu
, tant seulement à cause de leurs thresors ? Ne so
ndant Pérotti prétend qu’elle est un des amusements de sa jeunesse. À
Dieu
ne plaise que je veuille accuser de mauvaise foi
ion est parvenue à cette même dignité du cardinalat par la volonté du
Dieu
tout-puissant, qui permet quelquefois que la vert
us non pas seulement un visiteur passager, mais plutôt un ami intime.
Dieu
vous garde309 ! » Il résultait ainsi de la décla
et à la cour, Salut à l’université Dont notre bien procède et sourt,
Dieu
gart de Paris la cyté ; » 2º par la souscription
. Et pour ce que saiche est ma terre, Au iardin vueil faire requerre
Dieu
qui tout puet et scet et voit, Que de sa rousee m
ie Ne tres eminant n’afiert mie ; Mais est proprement leur ouurage De
Dieu
seruir de bon courage, Et de leur belle portéure
ript Ou en cuer le bien qu’est escript. De ce me vuieille secourir Le
Dieu
qui pour nous voult mourir Et la Dame qui le port
en l’onneur de madame la royne. Or est temps que ie doie entendre A
Dieu
louer et grâces rendre, Pouquoi ie me sui entremi
Toute chose aues fait pour homme ; Ci deuous dire toute soume, Vous
Dieu
, tres debonnaire fins, Nostre vie estes, nostre f
’encadrement du tout porte ces mots : C’est mon désir (au haut) De
Dieu
servir (à droite) Pour acquérir (au bas) Son
Et iou l’ai rimé en françois, Si com gel trouai proprement. Or proi a
Dieu
omnipotent C’a tel oueure me loist entendre, Que
ord et por Servais Copale qui cest trauail emprirent et par l’aide de
Dieu
l’ont à chief mené et aussi le liure de Darès le
Damedex vos quemant ! Mes se de moi faites clamour, Ia n’en aurez la
Dieu
amour, Et si sur vous dirai tel chose, Ou ia n’au
e voel que nus pour yaus le die : Cil oeure mal qui lui oublie Et qui
Dieu
met en non caloir, Por le mond(e) servir main et
d ce venra au deseurer, Et que l’ame en départira Du cors, quand il a
Dieu
plaira, Dites amen, que Diex l’otroie, Et se doin
▲