/ 43
1 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 27. [DE CORNICE ET VRNA] » p. 390
Avianus 27 [DE CORNICE ET VRNA] Ingentem sitiens corn
2 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 12. [DE RVSTICO ET THESAVRO] » p. 61
Avianus 12 [DE RVSTICO ET THESAVRO] Rusticus impresso
3 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 6. [DE RANA ET VVLPE] » p. 289
Avianus 6 [DE RANA ET VVLPE] Edita gurgitibus limoque
4 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 10. [DE CALVO EQVITE] » p. 375
Avianus 10 [DE CALVO EQVITE] Caluus eques capiti soli
5 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 31. [DE MVRE ET BOVE] » p. 353
Avianus 31 [DE MVRE ET BOVE] Ingentem fertur mus quon
6 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 38. [DE PISCE EVNTE IN MARE] » p. 584
Avianus 38 [DE PISCE EVNTE IN MARE] Dulcibus e stagni
7 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 3. [DE CANCRO SVVM DOCENTE FILIVM] » p. 322
Avianus 3 [DE CANCRO SVVM DOCENTE FILIVM] Curva retro
8 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 13. [DE TAVRO ET HIRCO] » p. 217
Avianus 13 [DE TAVRO ET HIRCO] Immensum taurus fugere
9 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 32. [DE HOMINE ET PLAVSTRO] » p. 291
Avianus 32 [DE HOMINE ET PLAVSTRO] Haerentem luteo su
10 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 40. [DE PARDO ET VVLPE] » p. 12
Avianus 40 [DE PARDO ET VVLPE] Distinctus maculis et
11 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 8. [DE CAMELO] » p. 117
Avianus 8 [DE CAMELO] Contentum propriis sapientem u
12 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 15. [DE GRVE ET PAVONE] » p. 294
Avianus 15 [DE GRVE ET PAVONE] Threiciam uolucrem fer
13 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 26. [DE CAPELLA ET LEONE] » p. 157
Avianus 26 [DE CAPELLA ET LEONE] Viderat excelsa pasc
14 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 4. [FABVLA PHOEBI BOREAEQVE] » p. 46
Avianus 4 [FABVLA PHOEBI BOREAEQVE] Immitis Boreas pl
15 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 14. [DE SIMIA] » p. 364
Avianus 14 [DE SIMIA] Iuppiter in toto quondam quaesi
16 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 19. [DE ABIETE ET DVMIS] » p. 304
Avianus 19 [DE ABIETE ET DVMIS] Horrentes dumos abies
17 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 21. [DE AGRICOLA ET AVE] » p. 325
Avianus 21 [DE AGRICOLA ET AVE] Paruula progeniem ter
18 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 23. [FABVLA DE VENDITORE BACCHI] » p. 307
Avianus 23 [FABVLA DE VENDITORE BACCHI] Venditor insi
19 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 28. [DE RVSTICO ET IVVENCO] » p. 582
Avianus 28 [DE RVSTICO ET IVVENCO] Vincla recusanti d
20 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 33. [DE ANSERE OVA AVREA PARIENTE] » p. 87
Avianus 33 [DE ANSERE OVA AVREA PARIENTE] Anser erat
21 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 11. [DE GEMINIS OLLIS] » p. 378
Avianus 11 [DE GEMINIS OLLIS] Eripiens geminas ripis
22 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 24. [DE VENATORE ET LEONE] » p. 284
Avianus 24 [DE VENATORE ET LEONE] Certamen longa prot
23 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 25. [DE PVERO ET FVRE] » p. 581
Avianus 25 [DE PVERO ET FVRE] Flens puer extremam put
24 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 35. [DE SIMIA ET NATIS] » p. 218
Avianus 35 [DE SIMIA ET NATIS] Fama est quod geminum
25 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 2. [DE TESTVDINE ET AQUILA] » p. 490
Avianus 2 [DE TESTVDINE ET AQUILA] Pennatis auibus qu
26 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 18. [DE QVATTVOR IVVENCIS ET LEONE] » p. 372
Avianus 18 [DE QVATTVOR IVVENCIS ET LEONE] Quattuor i
27 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 20. [DE PISCATORE ET PISCE] » p. 18
Avianus 20 [DE PISCATORE ET PISCE] Piscator solitus p
28 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 42. [DE LVPO ET HAEDO] » p. 261
Avianus 42 [DE LVPO ET HAEDO] Forte lupum melior curs
29 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 1. [DE NVTRICE ET INFANTE] » p. 158
Avianus 1 [DE NVTRICE ET INFANTE] Rustica deflentem p
30 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 5. [DE ASINO PELLE LEONIS INDVTA] » p. 358188
Avianus 5 [DE ASINO PELLE LEONIS INDVTA] Metiri se q
31 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 7. [FABVLA CANIS MORDACIS] » p. 332
Avianus 7 [FABVLA CANIS MORDACIS] Haud facile est pr
32 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 17. [DE VENATORE ET TIGRIDE] » p. 340
Avianus 17 [DE VENATORE ET TIGRIDE] Venator iaculis h
33 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 30. [DE HOMINE ET PORCO] » p. 583
Avianus 30 [DE HOMINE ET PORCO] Vastantem segetes et
34 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 39. [DE MILITE ET LITVO] » p. 370
Avianus 39 [DE MILITE ET LITVO] Vouerat attritus quon
35 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 41. [DE OLLA CRVDA A FLVVIO RAPTA] » p. 368
Avianus 41 [DE OLLA CRVDA A FLVVIO RAPTA] Impulsus ue
36 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 16. [DE QVERCV ET HARVNDINE] » p. 70
Avianus 16 [DE QVERCV ET HARVNDINE] Montibus e summis
37 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 36. [DE VITVLO ET BOVE] » p. 300
Avianus 36 [DE VITVLO ET BOVE] Pulcher et intacta uit
38 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 34. [DE FORMICA ET CICADA] » p. 373112
Avianus 34 [DE FORMICA ET CICADA] Quisquis torpentem
39 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 37. [DE CANE ET LEONE] » p. 346
Avianus 37 [DE CANE ET LEONE] Pinguior exhausto canis
40 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 22. [DE CVPIDO ET INVIDO] » p. 580
Avianus 22 [DE CVPIDO ET INVIDO] Iuppiter ambiguas ho
41 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 29. [DE VIATORE ET SATYRO] » p. 35
Avianus 29 [DE VIATORE ET SATYRO] Horrida congestis c
42 (0400) Fabvlae Aviani « Avianus 9. [DE DUOBVS SOCIIS ET VRSA] » p. 65
Avianus 9 [DE DUOBVS SOCIIS ET VRSA] Montibus ignotis
43 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
qui a été le successeur le plus immédiat de Phèdre, c’est-à-dire sur Avianus  ; j’agirai à son égard comme à l’égard de son dev
a suite qu’il nous fait attendre. Un second ouvrage, ayant pour objet Avianus et ses imitateurs, est presque en état de paraîtr
fois donné. En possession de tous les matériaux qui se rapportaient à Avianus et à ses imitateurs, je ne différai plus de les m
lle à laquelle je pusse ensuite, sans regret, rattacher mon étude sur Avianus . D’ailleurs, d’autres raisons achevèrent de me dé
qu’ici la dérogation n’est pas douteuse ; dans tous les manuscrits d’ Avianus on trouve : Phædrus etiam partem aliquam quinque
VI. » Vient ensuite, à la page 5, un extrait de la préface mise par Avianus en tête de ses fables ; le voici : « Avienus in
renseignements qu’il ne fournit pas, on ne tarde pas à la découvrir. Avianus , dans sa préface à Théodose, en parlant des auteu
de celui de Reims a montré qu’il avait eu raison de s’en rapporter à Avianus . Ce manuscrit, qui était à peu près identique à c
qui n’a été qu’une réimpression de la seconde augmentée des fables d’ Avianus , Rigault répéta les mêmes variantes. Ceux qui n’a
Il avait à sa disposition deux manuscrits, l’un de Phèdre, l’autre d’ Avianus . À ses heures de loisir, il les lisait et en extr
de la fable Arbores in tutela deorum, l’avoir, jeune encore, tirée d’ Avianus et traduite en vers ïambiques, ensuite dans sa pr
chronologique. Elles comprennent des fables de Phèdre et des fables d’ Avianus , un fragment d’un hymne d’Aurelius Prudentius, et
32 2º Trente-deux fables nouvelles, ci 32 3º Trente-six fables d’ Avianus , ci 36 Soit un total de 100 fables qui n’appa
nsuite viennent les fables de Phèdre anciennes et nouvelles, celles d’ Avianus et les poésies de l’archevêque de Siponte, le tou
note de Perotti était doublement inexacte : d’abord ce n’était pas à Avianus , mais à Phèdre qu’il avait emprunté la fable qui
vêque de Siponte se trompait. Comment Perotti avait-il pu emprunter à Avianus la fable Arbores in tutela deorum ? Avianus n’ava
i avait-il pu emprunter à Avianus la fable Arbores in tutela deorum ? Avianus n’avait écrit que quarante-deux fables ; on ne pe
impunément d’en avoir composé les fables. Suivant lui, l’absence dans Avianus de toute fable pareille à celle que Perotti préte
remier abord comment il a pu dire qu’il avait dans sa jeunesse tiré d’ Avianus et traduit en vers ïambiques une fable qu’en réal
uvaise foi emploie, et il n’aurait pas, en déclarant avoir emprunté à Avianus le sujet de la malencontreuse fable, rendu sa fra
sope, ce qui n’était qu’indirectement vrai, mais aussi de Phèdre et d’ Avianus , ce qui était rigoureusement exact, qu’il les a e
t vrai que Christ est un peu gêné par les témoignages de Martial et d’ Avianus . Mais, avec une remarquable dextérité, il les int
pas voir. Le témoignage plus précis et par suite plus embarrassant d’ Avianus n’arrête pas davantage le docteur allemand. Dans
l’épître dédicatoire qu’en tête de ses fables il adresse à Théodose, Avianus s’exprime ainsi : « Hujus ergo materiæ ducem nobi
voici comment il se tire d’affaire. D’abord il lui semble évident qu’ Avianus en parlant de Phædrus fait allusion à un auteur g
était autre que le très remarquable ami de Cicéron. D’ailleurs, ce qu’ Avianus dit de son œuvre ne permet pas de la confondre av
euses et pour la plupart on ne peut plus concises. Faut-il ajouter qu’ Avianus , si ses modèles avaient été des auteurs latins, n
n’était autre que le philosophe. Enfin est-il possible d’admettre qu’ Avianus ait songé aux fables latines que nous connaissons
La phrase de Sénèque ainsi expliquée, les témoignages de Martial et d’ Avianus reprennent toute leur force. Contrairement à l’op
amentel. Les raisons, données par Christ pour écarter le témoignage d’ Avianus , semblent à Schwabe encore plus détestables. Chri
ieu davantage de prendre garde à l’argument basé par Christ sur ce qu’ Avianus prétendrait avoir tiré ses fables de Phèdre233. C
ivra leur exemple. Il est même supposable que c’est avec intention qu’ Avianus n’a rien emprunté à Phèdre, ne voulant sans doute
pu attribuer au même philosophe les cinq livres de fables dont parle Avianus  ? Ne devait-il pas trouver au moins bien singuliè
lement pris le parti de fermer les yeux. À ces textes de Martial et d’ Avianus , Schwabe ajoute le monument épigraphique, dont Ba
s les textes s’expliquent sans peine. Les témoignages de Martial et d’ Avianus ne sont plus en contradiction avec celui de Sénèq
en quatre livres ; or, si c’était l’œuvre de Phèdre, il serait, comme Avianus l’atteste, divisé non en quatre livres, mais en c
servir de la langue latine. C’est d’ailleurs ce que dit expressément Avianus , et, quand M. du Méril reconnaît avec raison que
et une autre à peu près semblable, en disant que par le mot resolvere Avianus a voulu indiquer un recueil plus considérable que
ase de Sénèque avec l’existence de Phèdre attestée par Martial et par Avianus  ; mais, quelque regret qu’on en ressente, on ne p
Perotti ne le cite que comme la source à laquelle ont puisé Phèdre et Avianus , et ce n’est qu’à ce titre qu’il peut considérer
t l’auteur des fables contenues dans son recueil. Toutes les fables d’ Avianus sont connues ; il n’en a écrit, de son propre ave
n’est employé. Il ne reste donc plus que Phèdre254. 10º L’assertion d’ Avianus , qui déclare que Phèdre n’a composé que cinq livr
s après les autres, et peut-être, alors qu’ils étaient plus nombreux, Avianus n’en a-t-il connu que cinq. Mais il est probable
Suivant lui, Perotti affirme qu’il a puisé à trois sources : Ésope, Avianus et Phèdre ; comme on donnait, en général, au moye
fables à Phèdre ; il a, comme il le déclare, agi de même à l’égard d’ Avianus , et l’on sait que celles de cet auteur sont en ve
bles anciennes appartenant incontestablement à Phèdre et des fables d’ Avianus , on fait des fables nouvelles un troisième groupe
r276, elles formeraient un sixième livre, ce qui est impossible ; car Avianus déclare que Phèdre n’en a écrit que cinq, et le m
n’est pas nécessaire de supposer que, contrairement à l’affirmation d’ Avianus , il en avait composé un sixième livre. L’objectio
nisches Museum für Philologie, 1867, p. 507, de ce texte des fables d’ Avianus . Fol. viii a in medio. — Epigramma de laboribus
-18. (Voyez les pages 31 à 70 du tome V, qui contiennent les fables d’ Avianus . L’éditeur signale entre autres, comme lui ayant
nt au verso du feuillet 128 une fable dont le sujet a été traité dans Avianus  ; c’est celle du Lion et du Renard qui a volé le
fils Tiberinus, mises du grec en latin, — en outre quelques fables d’ Avianus , de Deligame, d’Alphonse, les facéties du Pogge e
r (fol. 202 b à 226 b). En effet, ici se placent vingt-sept fables d’ Avianus , qui sont, comme les précédentes, ornées de gravu
mbo et olla. xvi. De lupo et edo. xvii.   Après les apologues d’ Avianus , l’édition d’Ulm offre un dernier groupe de fable
en prose latine de dix-sept autres par Ranutio d’Arezzo, les fables d’ Avianus et enfin les vingt-trois fables diverses, à la su
lit. Fol. 98b (n.iib). Fin de la table et commencement des fables d’ Avianus annoncées en ces termes : Sequuntur fabule auian
sic) post sub-|iungitur. Fol. 98b à 111b (n.iib à o.viib). Fables d’ Avianus . Fol. 111b (o.viib). Fin des fables et table anno
ans les deux éditions, se présente en sens inverse. Dans les fables d’ Avianus , il y a aussi entre les gravures des deux édition
e à la répétition de la même gravure dans les deux dernières fables d’ Avianus . Enfin la bibliothèque publique de Linz, s’il fau
ii a). — Fin de la table des fabulæ novæ et commencement des fables d’ Avianus que précède ce titre : Sequuntur fabule Auiani q
Sequuntur fabule Auiani quarum registrum subiungitur. Les fables d’ Avianus , qui au nombre de vingt-sept occupent les feuille
fabule au lieu de fabule. Fol. 100 a (p. ii a). — Fin des 27 fables d’ Avianus , et table annoncée en ces termes : Fabularum Aui
predictarum quas Remicius transtulit. Fol. 87 a à 99 b. — Fables d’ Avianus commençant par ce titre : Sequuntur fa. Auiani q
registrum post subiungitur. Fol. 78 a. — Commencement des fables d’ Avianus , comprenant chacune d’abord une gravure, puis le
xte en vers, enfin une morale en prose. Fol. 92 b. — Fin des fables d’ Avianus . Fol. 93 a. —  Fabularum Auiani ante dictarum reg
nte dictarum registrum sequitur. À la suite de la table des fables d’ Avianus commencent les fabulæ collectæ précédées chacune
. Fol. 94 a (o. ii a). —  Sequuntur fabule Auiani. Pour les fables d’ Avianus , sacrifiant toujours à la même symétrie, Brant a
e Ésope, traduits du grec en latin. De plus, quelques autres fables d’ Avianus et de Doligame Alphonse, et quelques facéties du
ils Tiberinus, traduites du grec en latin ; de plus quelques fables d’ Avianus , de Doligame Alphonse, et joyeusetés du Pogge et
prises dans les quatre livres de Romulus. Ici commencent les fables d’ Avianus avec leur table. » Fol. 126 b, portant le nº lxx
ende die fabeln Auiani. C’est-à dire : « Ici finissent les fables d’ Avianus . » Fol. 127 a, portant le nº lxxxxiij. —  Hie end
der gesammelten Fabeln). Littéralement : « Ici finissent les fables d’ Avianus et commence la table de ses fables (et plus exact
fabeln Auiani , etc., ce qui signifie : « Ici commencent les fables d’ Avianus . » Fol. 137 (100). —  Gesamlet fabeln , ou « Fab
Ésope mise du grec en latin, puis quelques autres fables telles que d’ Avianus , de Doligane, d’Alphonse, et quelques facéties du
ises par Romulus dans ses quatre livres, et commencement des fables d’ Avianus avec leur table. » Fol. 93 a. —  Hie endet sich
die gesamelt fabeln. Ce qui équivaut à ces mots : « Fin des fables d’ Avianus , et commencement de la table pour les fables réun
e célèbre fabuliste avec addition de quelques fables de Rimicius et d’ Avianus et l’histoire de Sigismonde, fille du prince Tanc
illustre fabuliste, avec addition de quelques fables de Rimicius et d’ Avianus , se termine ici. Imprimé et achevé dans la ville
e le célèbre fabuliste avec quelques fables ajoutées de Rimicius et d’ Avianus . Imprimé et terminé dans ta ville impériale d’Aug
très célèbre fabuliste avec quelques fables ajoutées de Rimicius et d’ Avianus finit ici. Imprimé et achevé dans la ville impéri
ol. 71 b à 78 a. — Fables appelées novæ. Fol. 78 b à 89 b. — Fables d’ Avianus . Fol. 90 a à 108 b. — Fables appelées collectæ. E
s 206 à 320. — Fables de Sébastien Brant. Pages 321 à 347. — Fables d’ Avianus . Pages 348 à 390. — Vingt-trois fables, dites Ges
ssues de la traduction latine de Ranutio d’Arezzo et les vingt-sept d’ Avianus . Il existe à la bibliothèque publique de Linz un
nsuit la table des fables de auian. Fol. 55 b. — Table des fables d’ Avianus . Fol. 55 b à 61 a. — Fables d’Avianus accompagnée
Fol. 55 b. — Table des fables d’Avianus. Fol. 55 b à 61 a. — Fables d’ Avianus accompagnées de dix gravures seulement et suivies
dans la table précédente. Fol. 106 a. — Table des vingt-sept fables d’ Avianus . Fol. 106 b à 120 a. — Fables d’Avianus. Fol. 120
Table des vingt-sept fables d’Avianus. Fol. 106 b à 120 a. — Fables d’ Avianus . Fol. 120 b à 133 b. — Fables d’Alphonse au nombr
sion partielle comprenant seulement les fables qui précèdent celles d’ Avianus . En voici le frontispice : The Fa-|bles of Esope
b, col 1. — Souscription terminant ces 17 fables et titre de celles d’ Avianus  : Hier eynden die subtijle historien en̄| fabule
hehieten. Fol. 80 b, col. 2 à 81 a, col. 1. — Table des 27 fables d’ Avianus . Fol. 81 a à 89 b. — Fables d’Avianus, ornées de
col. 1. — Table des 27 fables d’Avianus. Fol. 81 a à 89 b. — Fables d’ Avianus , ornées de 27 gravures et terminées par la souscr
libros ditados de ro|mulo. Fol. 84 b (E 2 vº). — Titre des fables d’ Avianus mis à la suite de l’avis précédent : Aqui comien
. Fol. 84 b (E 2 vº) à 98 a (G 4 rº). — Texte espagnol des fables d’ Avianus closes par cette souscription : Aqui se acaban l
ables élégiaques une œuvre du ive  siècle, sinon antérieure à celle d’ Avianus , au moins aussi ancienne. Section III. Nomencl
e contenant les fables de Walther ; la deuxième, dix-huit de celles d’ Avianus . Le titre enfin indique qu’il a été fait à l’œuvr
ui le porta. En la nommer grand déport a. La collection des fables d’ Avianus , qui suit ce prologue, comprend, comme la précéde
chacune des dix-huit autres, la traduction d’une des fables latines d’ Avianus  ; mais, comme elle y fait suite, c’est dans l’édi
sopus. Le manuscrit 1595 ne renferme pas la traduction des fables d’ Avianus , ni les prologue et épilogue dont elles sont préc
uscrit 1594, elles sont suivies de la traduction de dix-huit fables d’ Avianus . Toutefois le copiste, confondant en une seule la
 : Jupiter en terre enuoya Son fils et si lui octroya… Les fables d’ Avianus sont précédées d’un prologue, qui ne se compose q
anne de Bourgogne n’y ont pas été ajoutés. La collection des fables d’ Avianus se termine au feuillet 131 b par ces mots : Expl
tion de celles de Walther : les 18 suivantes se rapportent à celles d’ Avianus , et les 49 dernières appartiennent à Marie de Fra
ors a mal, Rudement a dit a l’aigneau… Les 18 fables, à qui celles d’ Avianus servent de base, sont précédées d’un prologue qui
uatre manuscrits français, je vais maintenant, en négligeant celles d’ Avianus et de Marie de France, dresser le tableau compara
c). Les fables de Walther sont dans le manuscrit suivies de celles d’ Avianus , qui occupent les feuillets 124 recto à 136 verso
à donner ailleurs une plus longue analyse, consiste dans les fables d’ Avianus , qui commencent au feuillet 88 a et finissent au
it. De cette table il ressort que le manuscrit renferme les fables d’ Avianus , que j’analyserai ailleurs ; mais il possède auss
xve  siècle. Il porte le millésime de 1471. Il contient les fables d’ Avianus , qui occupent les feuillets 95 a à 110 b ; mais e
e quod intus habet. À la fin des fables de Walther viennent celles d’ Avianus qui commencent au fol. 65. C’est tout ce que renf
mier est le Novus Avianus de Vienne, le deuxième, les vraies fables d’ Avianus , et le cinquième, celles de Walther qui commencen
llets, et qui du feuillet 61 au feuillet 102 sont suivies de celles d’ Avianus . Les unes et les autres sont accompagnées d’un co
e dernier manuscrit, il contient le texte latin de Walther et celui d’ Avianus , amplifiés et accompagnés d’une traduction frança
fin se voudra prendre. Après les fables de Walther arrivent celles d’ Avianus . Elles sont précédées d’un prologue de trente ver
vers du prologue, ces fables, sauf la dernière, sont toutes tirées d’ Avianus . Aussi portent-elles ce titre général : Ci comme
d trois ouvrages, savoir : les distiques de Denys Caton, les fables d’ Avianus , celles de Walther. Les distiques de Denys Caton
t gloria Christo. Au haut du feuillet xii a commencent les fables d’ Avianus , qui se terminent vers le haut du feuillet xxiii 
ées aux fables ordinaires, par l’addition de dix-neuf autres tirées d’ Avianus , enfin par les dessins ombrés qui illustrent chaq
dépourvus d’écriture, que suivent d’abord les quarante-deux fables d’ Avianus , puis divers poèmes tels que le Phisiologus de l’
tout que 32. Il contient seulement les fables de Walther et celles d’ Avianus . Les premières qui se composent des soixante-deux
ierres les dents de son défunt époux. Je ne dis rien ici des fables d’ Avianus qui suivent celles de Walther, et je me borne à t
aux soixante authentiques, elles y font suite à celles de Phèdre et d’ Avianus . 1838. M. Dressler, dans son édition publ
catalogue imprimé des manuscrits latins comme renfermant les fables d’ Avianus , et cette erreur, qui s’explique d’ailleurs par l
aient pu, à première vue, être confondues avec celles de Walther ou d’ Avianus . Le manuscrit qui les conserve dépend du fonds de
e la fable xxxviii. De Pica et cauda sua, et deux fables empruntées à Avianus et intitulées : De L’Escreueice et de sa mère, et
Æsopus novus, sive XXIX Fabulæ rhythmicæ. XIV. Fol. 102 a à 108 a. —  Avianus novus, sive XLI Fabulæ rhythmicæ. XV. Fol. 108 a
t successivement les fables élégiaques de l’anonyme Névelet, celles d’ Avianus , celles de Baldo, celles de l’auteur qu’on a surn
liers à chacune d’elles, les fables de la version en prose du texte d’ Avianus , qui finissent à l’antépénultième ligne de la deu
u double signe xl et 40. Lorsque, dans le volume que je consacrerai à Avianus , je m’occuperai du dérivé en prose latine intitul
culiers à chacune d’elles, les fables de la version en prose latine d’ Avianus qui, se terminant au milieu de la première colonn
vient sans interruption la version en prose latine de seize fables d’ Avianus , dont voici les titres : 1. De Muliere Filium fl
euillet 57 a par la moralité d’une dernière fable qui est étrangère à Avianus et dont voici le texte : De Vulpe. Lupus cucull
e dans le manuscrit 1108, suivies de seize autres en prose dérivées d’ Avianus et de l’épimythion d’une dix-septième également e
buliste. Par erreur, les deux premières de celles qui sont dérivées d’ Avianus ont été placées avant les trois dernières du Déri
ns de fables, le Dérivé complet du Romulus anglo-latin et le Dérivé d’ Avianus en prose latine qui en est le complément habituel
iose collegit. Puis vient, au haut de la page suivante, le Dérivé d’ Avianus sans titre général, mais avec des titres spéciaux
ferme. Sur les 45 fables, 37 seulement sont la paraphrase de celles d’ Avianus  ; ce sont les fables i à xvi, xxi à xl et xlv. Tr
et 65 b, 2e col. et qui est suivi d’une version en prose des fables d’ Avianus aussi complète que celle du manuscrit précédent.
tières, celle du Dérivé complet et celle des fables en prose tirées d’ Avianus . La première de ces deux tables porte ce titre :
tudiose collegit. Immédiatement après viennent les fables dérivées d’ Avianus . Seulement, au lieu de n’en présenter que seize a
au feuillet 126 a, une bonne partie de ces fables en prose dérivées d’ Avianus qui, dans les manuscrits, viennent ordinairement
me que deux opuscules, l’un et l’autre en vers : d’abord les fables d’ Avianus , qui s’étendent du haut du feuillet 1 a au milieu
/ 43