qui a été le successeur le plus immédiat de Phèdre, c’est-à-dire sur
Avianus
; j’agirai à son égard comme à l’égard de son dev
a suite qu’il nous fait attendre. Un second ouvrage, ayant pour objet
Avianus
et ses imitateurs, est presque en état de paraîtr
fois donné. En possession de tous les matériaux qui se rapportaient à
Avianus
et à ses imitateurs, je ne différai plus de les m
lle à laquelle je pusse ensuite, sans regret, rattacher mon étude sur
Avianus
. D’ailleurs, d’autres raisons achevèrent de me dé
qu’ici la dérogation n’est pas douteuse ; dans tous les manuscrits d’
Avianus
on trouve : Phædrus etiam partem aliquam quinque
VI. » Vient ensuite, à la page 5, un extrait de la préface mise par
Avianus
en tête de ses fables ; le voici : « Avienus in
renseignements qu’il ne fournit pas, on ne tarde pas à la découvrir.
Avianus
, dans sa préface à Théodose, en parlant des auteu
de celui de Reims a montré qu’il avait eu raison de s’en rapporter à
Avianus
. Ce manuscrit, qui était à peu près identique à c
qui n’a été qu’une réimpression de la seconde augmentée des fables d’
Avianus
, Rigault répéta les mêmes variantes. Ceux qui n’a
Il avait à sa disposition deux manuscrits, l’un de Phèdre, l’autre d’
Avianus
. À ses heures de loisir, il les lisait et en extr
de la fable Arbores in tutela deorum, l’avoir, jeune encore, tirée d’
Avianus
et traduite en vers ïambiques, ensuite dans sa pr
chronologique. Elles comprennent des fables de Phèdre et des fables d’
Avianus
, un fragment d’un hymne d’Aurelius Prudentius, et
32 2º Trente-deux fables nouvelles, ci 32 3º Trente-six fables d’
Avianus
, ci 36 Soit un total de 100 fables qui n’appa
nsuite viennent les fables de Phèdre anciennes et nouvelles, celles d’
Avianus
et les poésies de l’archevêque de Siponte, le tou
note de Perotti était doublement inexacte : d’abord ce n’était pas à
Avianus
, mais à Phèdre qu’il avait emprunté la fable qui
vêque de Siponte se trompait. Comment Perotti avait-il pu emprunter à
Avianus
la fable Arbores in tutela deorum ? Avianus n’ava
i avait-il pu emprunter à Avianus la fable Arbores in tutela deorum ?
Avianus
n’avait écrit que quarante-deux fables ; on ne pe
impunément d’en avoir composé les fables. Suivant lui, l’absence dans
Avianus
de toute fable pareille à celle que Perotti préte
remier abord comment il a pu dire qu’il avait dans sa jeunesse tiré d’
Avianus
et traduit en vers ïambiques une fable qu’en réal
uvaise foi emploie, et il n’aurait pas, en déclarant avoir emprunté à
Avianus
le sujet de la malencontreuse fable, rendu sa fra
sope, ce qui n’était qu’indirectement vrai, mais aussi de Phèdre et d’
Avianus
, ce qui était rigoureusement exact, qu’il les a e
t vrai que Christ est un peu gêné par les témoignages de Martial et d’
Avianus
. Mais, avec une remarquable dextérité, il les int
pas voir. Le témoignage plus précis et par suite plus embarrassant d’
Avianus
n’arrête pas davantage le docteur allemand. Dans
l’épître dédicatoire qu’en tête de ses fables il adresse à Théodose,
Avianus
s’exprime ainsi : « Hujus ergo materiæ ducem nobi
voici comment il se tire d’affaire. D’abord il lui semble évident qu’
Avianus
en parlant de Phædrus fait allusion à un auteur g
était autre que le très remarquable ami de Cicéron. D’ailleurs, ce qu’
Avianus
dit de son œuvre ne permet pas de la confondre av
euses et pour la plupart on ne peut plus concises. Faut-il ajouter qu’
Avianus
, si ses modèles avaient été des auteurs latins, n
n’était autre que le philosophe. Enfin est-il possible d’admettre qu’
Avianus
ait songé aux fables latines que nous connaissons
La phrase de Sénèque ainsi expliquée, les témoignages de Martial et d’
Avianus
reprennent toute leur force. Contrairement à l’op
amentel. Les raisons, données par Christ pour écarter le témoignage d’
Avianus
, semblent à Schwabe encore plus détestables. Chri
ieu davantage de prendre garde à l’argument basé par Christ sur ce qu’
Avianus
prétendrait avoir tiré ses fables de Phèdre233. C
ivra leur exemple. Il est même supposable que c’est avec intention qu’
Avianus
n’a rien emprunté à Phèdre, ne voulant sans doute
pu attribuer au même philosophe les cinq livres de fables dont parle
Avianus
? Ne devait-il pas trouver au moins bien singuliè
lement pris le parti de fermer les yeux. À ces textes de Martial et d’
Avianus
, Schwabe ajoute le monument épigraphique, dont Ba
s les textes s’expliquent sans peine. Les témoignages de Martial et d’
Avianus
ne sont plus en contradiction avec celui de Sénèq
en quatre livres ; or, si c’était l’œuvre de Phèdre, il serait, comme
Avianus
l’atteste, divisé non en quatre livres, mais en c
servir de la langue latine. C’est d’ailleurs ce que dit expressément
Avianus
, et, quand M. du Méril reconnaît avec raison que
et une autre à peu près semblable, en disant que par le mot resolvere
Avianus
a voulu indiquer un recueil plus considérable que
ase de Sénèque avec l’existence de Phèdre attestée par Martial et par
Avianus
; mais, quelque regret qu’on en ressente, on ne p
Perotti ne le cite que comme la source à laquelle ont puisé Phèdre et
Avianus
, et ce n’est qu’à ce titre qu’il peut considérer
t l’auteur des fables contenues dans son recueil. Toutes les fables d’
Avianus
sont connues ; il n’en a écrit, de son propre ave
n’est employé. Il ne reste donc plus que Phèdre254. 10º L’assertion d’
Avianus
, qui déclare que Phèdre n’a composé que cinq livr
s après les autres, et peut-être, alors qu’ils étaient plus nombreux,
Avianus
n’en a-t-il connu que cinq. Mais il est probable
Suivant lui, Perotti affirme qu’il a puisé à trois sources : Ésope,
Avianus
et Phèdre ; comme on donnait, en général, au moye
fables à Phèdre ; il a, comme il le déclare, agi de même à l’égard d’
Avianus
, et l’on sait que celles de cet auteur sont en ve
bles anciennes appartenant incontestablement à Phèdre et des fables d’
Avianus
, on fait des fables nouvelles un troisième groupe
r276, elles formeraient un sixième livre, ce qui est impossible ; car
Avianus
déclare que Phèdre n’en a écrit que cinq, et le m
n’est pas nécessaire de supposer que, contrairement à l’affirmation d’
Avianus
, il en avait composé un sixième livre. L’objectio
nisches Museum für Philologie, 1867, p. 507, de ce texte des fables d’
Avianus
. Fol. viii a in medio. — Epigramma de laboribus
-18. (Voyez les pages 31 à 70 du tome V, qui contiennent les fables d’
Avianus
. L’éditeur signale entre autres, comme lui ayant
nt au verso du feuillet 128 une fable dont le sujet a été traité dans
Avianus
; c’est celle du Lion et du Renard qui a volé le
fils Tiberinus, mises du grec en latin, — en outre quelques fables d’
Avianus
, de Deligame, d’Alphonse, les facéties du Pogge e
r (fol. 202 b à 226 b). En effet, ici se placent vingt-sept fables d’
Avianus
, qui sont, comme les précédentes, ornées de gravu
mbo et olla. xvi. De lupo et edo. xvii. Après les apologues d’
Avianus
, l’édition d’Ulm offre un dernier groupe de fable
en prose latine de dix-sept autres par Ranutio d’Arezzo, les fables d’
Avianus
et enfin les vingt-trois fables diverses, à la su
lit. Fol. 98b (n.iib). Fin de la table et commencement des fables d’
Avianus
annoncées en ces termes : Sequuntur fabule auian
sic) post sub-|iungitur. Fol. 98b à 111b (n.iib à o.viib). Fables d’
Avianus
. Fol. 111b (o.viib). Fin des fables et table anno
ans les deux éditions, se présente en sens inverse. Dans les fables d’
Avianus
, il y a aussi entre les gravures des deux édition
e à la répétition de la même gravure dans les deux dernières fables d’
Avianus
. Enfin la bibliothèque publique de Linz, s’il fau
ii a). — Fin de la table des fabulæ novæ et commencement des fables d’
Avianus
que précède ce titre : Sequuntur fabule Auiani q
Sequuntur fabule Auiani quarum registrum subiungitur. Les fables d’
Avianus
, qui au nombre de vingt-sept occupent les feuille
fabule au lieu de fabule. Fol. 100 a (p. ii a). — Fin des 27 fables d’
Avianus
, et table annoncée en ces termes : Fabularum Aui
predictarum quas Remicius transtulit. Fol. 87 a à 99 b. — Fables d’
Avianus
commençant par ce titre : Sequuntur fa. Auiani q
registrum post subiungitur. Fol. 78 a. — Commencement des fables d’
Avianus
, comprenant chacune d’abord une gravure, puis le
xte en vers, enfin une morale en prose. Fol. 92 b. — Fin des fables d’
Avianus
. Fol. 93 a. — Fabularum Auiani ante dictarum reg
nte dictarum registrum sequitur. À la suite de la table des fables d’
Avianus
commencent les fabulæ collectæ précédées chacune
. Fol. 94 a (o. ii a). — Sequuntur fabule Auiani. Pour les fables d’
Avianus
, sacrifiant toujours à la même symétrie, Brant a
e Ésope, traduits du grec en latin. De plus, quelques autres fables d’
Avianus
et de Doligame Alphonse, et quelques facéties du
ils Tiberinus, traduites du grec en latin ; de plus quelques fables d’
Avianus
, de Doligame Alphonse, et joyeusetés du Pogge et
prises dans les quatre livres de Romulus. Ici commencent les fables d’
Avianus
avec leur table. » Fol. 126 b, portant le nº lxx
ende die fabeln Auiani. C’est-à dire : « Ici finissent les fables d’
Avianus
. » Fol. 127 a, portant le nº lxxxxiij. — Hie end
der gesammelten Fabeln). Littéralement : « Ici finissent les fables d’
Avianus
et commence la table de ses fables (et plus exact
fabeln Auiani , etc., ce qui signifie : « Ici commencent les fables d’
Avianus
. » Fol. 137 (100). — Gesamlet fabeln , ou « Fab
Ésope mise du grec en latin, puis quelques autres fables telles que d’
Avianus
, de Doligane, d’Alphonse, et quelques facéties du
ises par Romulus dans ses quatre livres, et commencement des fables d’
Avianus
avec leur table. » Fol. 93 a. — Hie endet sich
die gesamelt fabeln. Ce qui équivaut à ces mots : « Fin des fables d’
Avianus
, et commencement de la table pour les fables réun
e célèbre fabuliste avec addition de quelques fables de Rimicius et d’
Avianus
et l’histoire de Sigismonde, fille du prince Tanc
illustre fabuliste, avec addition de quelques fables de Rimicius et d’
Avianus
, se termine ici. Imprimé et achevé dans la ville
e le célèbre fabuliste avec quelques fables ajoutées de Rimicius et d’
Avianus
. Imprimé et terminé dans ta ville impériale d’Aug
très célèbre fabuliste avec quelques fables ajoutées de Rimicius et d’
Avianus
finit ici. Imprimé et achevé dans la ville impéri
ol. 71 b à 78 a. — Fables appelées novæ. Fol. 78 b à 89 b. — Fables d’
Avianus
. Fol. 90 a à 108 b. — Fables appelées collectæ. E
s 206 à 320. — Fables de Sébastien Brant. Pages 321 à 347. — Fables d’
Avianus
. Pages 348 à 390. — Vingt-trois fables, dites Ges
ssues de la traduction latine de Ranutio d’Arezzo et les vingt-sept d’
Avianus
. Il existe à la bibliothèque publique de Linz un
nsuit la table des fables de auian. Fol. 55 b. — Table des fables d’
Avianus
. Fol. 55 b à 61 a. — Fables d’Avianus accompagnée
Fol. 55 b. — Table des fables d’Avianus. Fol. 55 b à 61 a. — Fables d’
Avianus
accompagnées de dix gravures seulement et suivies
dans la table précédente. Fol. 106 a. — Table des vingt-sept fables d’
Avianus
. Fol. 106 b à 120 a. — Fables d’Avianus. Fol. 120
Table des vingt-sept fables d’Avianus. Fol. 106 b à 120 a. — Fables d’
Avianus
. Fol. 120 b à 133 b. — Fables d’Alphonse au nombr
sion partielle comprenant seulement les fables qui précèdent celles d’
Avianus
. En voici le frontispice : The Fa-|bles of Esope
b, col 1. — Souscription terminant ces 17 fables et titre de celles d’
Avianus
: Hier eynden die subtijle historien en̄| fabule
hehieten. Fol. 80 b, col. 2 à 81 a, col. 1. — Table des 27 fables d’
Avianus
. Fol. 81 a à 89 b. — Fables d’Avianus, ornées de
col. 1. — Table des 27 fables d’Avianus. Fol. 81 a à 89 b. — Fables d’
Avianus
, ornées de 27 gravures et terminées par la souscr
libros ditados de ro|mulo. Fol. 84 b (E 2 vº). — Titre des fables d’
Avianus
mis à la suite de l’avis précédent : Aqui comien
. Fol. 84 b (E 2 vº) à 98 a (G 4 rº). — Texte espagnol des fables d’
Avianus
closes par cette souscription : Aqui se acaban l
ables élégiaques une œuvre du ive siècle, sinon antérieure à celle d’
Avianus
, au moins aussi ancienne. Section III. Nomencl
e contenant les fables de Walther ; la deuxième, dix-huit de celles d’
Avianus
. Le titre enfin indique qu’il a été fait à l’œuvr
ui le porta. En la nommer grand déport a. La collection des fables d’
Avianus
, qui suit ce prologue, comprend, comme la précéde
chacune des dix-huit autres, la traduction d’une des fables latines d’
Avianus
; mais, comme elle y fait suite, c’est dans l’édi
sopus. Le manuscrit 1595 ne renferme pas la traduction des fables d’
Avianus
, ni les prologue et épilogue dont elles sont préc
uscrit 1594, elles sont suivies de la traduction de dix-huit fables d’
Avianus
. Toutefois le copiste, confondant en une seule la
: Jupiter en terre enuoya Son fils et si lui octroya… Les fables d’
Avianus
sont précédées d’un prologue, qui ne se compose q
anne de Bourgogne n’y ont pas été ajoutés. La collection des fables d’
Avianus
se termine au feuillet 131 b par ces mots : Expl
tion de celles de Walther : les 18 suivantes se rapportent à celles d’
Avianus
, et les 49 dernières appartiennent à Marie de Fra
ors a mal, Rudement a dit a l’aigneau… Les 18 fables, à qui celles d’
Avianus
servent de base, sont précédées d’un prologue qui
uatre manuscrits français, je vais maintenant, en négligeant celles d’
Avianus
et de Marie de France, dresser le tableau compara
c). Les fables de Walther sont dans le manuscrit suivies de celles d’
Avianus
, qui occupent les feuillets 124 recto à 136 verso
à donner ailleurs une plus longue analyse, consiste dans les fables d’
Avianus
, qui commencent au feuillet 88 a et finissent au
it. De cette table il ressort que le manuscrit renferme les fables d’
Avianus
, que j’analyserai ailleurs ; mais il possède auss
xve siècle. Il porte le millésime de 1471. Il contient les fables d’
Avianus
, qui occupent les feuillets 95 a à 110 b ; mais e
e quod intus habet. À la fin des fables de Walther viennent celles d’
Avianus
qui commencent au fol. 65. C’est tout ce que renf
mier est le Novus Avianus de Vienne, le deuxième, les vraies fables d’
Avianus
, et le cinquième, celles de Walther qui commencen
llets, et qui du feuillet 61 au feuillet 102 sont suivies de celles d’
Avianus
. Les unes et les autres sont accompagnées d’un co
e dernier manuscrit, il contient le texte latin de Walther et celui d’
Avianus
, amplifiés et accompagnés d’une traduction frança
fin se voudra prendre. Après les fables de Walther arrivent celles d’
Avianus
. Elles sont précédées d’un prologue de trente ver
vers du prologue, ces fables, sauf la dernière, sont toutes tirées d’
Avianus
. Aussi portent-elles ce titre général : Ci comme
d trois ouvrages, savoir : les distiques de Denys Caton, les fables d’
Avianus
, celles de Walther. Les distiques de Denys Caton
t gloria Christo. Au haut du feuillet xii a commencent les fables d’
Avianus
, qui se terminent vers le haut du feuillet xxiii
ées aux fables ordinaires, par l’addition de dix-neuf autres tirées d’
Avianus
, enfin par les dessins ombrés qui illustrent chaq
dépourvus d’écriture, que suivent d’abord les quarante-deux fables d’
Avianus
, puis divers poèmes tels que le Phisiologus de l’
tout que 32. Il contient seulement les fables de Walther et celles d’
Avianus
. Les premières qui se composent des soixante-deux
ierres les dents de son défunt époux. Je ne dis rien ici des fables d’
Avianus
qui suivent celles de Walther, et je me borne à t
aux soixante authentiques, elles y font suite à celles de Phèdre et d’
Avianus
. 1838. M. Dressler, dans son édition publ
catalogue imprimé des manuscrits latins comme renfermant les fables d’
Avianus
, et cette erreur, qui s’explique d’ailleurs par l
aient pu, à première vue, être confondues avec celles de Walther ou d’
Avianus
. Le manuscrit qui les conserve dépend du fonds de
e la fable xxxviii. De Pica et cauda sua, et deux fables empruntées à
Avianus
et intitulées : De L’Escreueice et de sa mère, et
Æsopus novus, sive XXIX Fabulæ rhythmicæ. XIV. Fol. 102 a à 108 a. —
Avianus
novus, sive XLI Fabulæ rhythmicæ. XV. Fol. 108 a
t successivement les fables élégiaques de l’anonyme Névelet, celles d’
Avianus
, celles de Baldo, celles de l’auteur qu’on a surn
liers à chacune d’elles, les fables de la version en prose du texte d’
Avianus
, qui finissent à l’antépénultième ligne de la deu
u double signe xl et 40. Lorsque, dans le volume que je consacrerai à
Avianus
, je m’occuperai du dérivé en prose latine intitul
culiers à chacune d’elles, les fables de la version en prose latine d’
Avianus
qui, se terminant au milieu de la première colonn
vient sans interruption la version en prose latine de seize fables d’
Avianus
, dont voici les titres : 1. De Muliere Filium fl
euillet 57 a par la moralité d’une dernière fable qui est étrangère à
Avianus
et dont voici le texte : De Vulpe. Lupus cucull
e dans le manuscrit 1108, suivies de seize autres en prose dérivées d’
Avianus
et de l’épimythion d’une dix-septième également e
buliste. Par erreur, les deux premières de celles qui sont dérivées d’
Avianus
ont été placées avant les trois dernières du Déri
ns de fables, le Dérivé complet du Romulus anglo-latin et le Dérivé d’
Avianus
en prose latine qui en est le complément habituel
iose collegit. Puis vient, au haut de la page suivante, le Dérivé d’
Avianus
sans titre général, mais avec des titres spéciaux
ferme. Sur les 45 fables, 37 seulement sont la paraphrase de celles d’
Avianus
; ce sont les fables i à xvi, xxi à xl et xlv. Tr
et 65 b, 2e col. et qui est suivi d’une version en prose des fables d’
Avianus
aussi complète que celle du manuscrit précédent.
tières, celle du Dérivé complet et celle des fables en prose tirées d’
Avianus
. La première de ces deux tables porte ce titre :
tudiose collegit. Immédiatement après viennent les fables dérivées d’
Avianus
. Seulement, au lieu de n’en présenter que seize a
au feuillet 126 a, une bonne partie de ces fables en prose dérivées d’
Avianus
qui, dans les manuscrits, viennent ordinairement
me que deux opuscules, l’un et l’autre en vers : d’abord les fables d’
Avianus
, qui s’étendent du haut du feuillet 1 a au milieu