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1 (1180) Fables « Marie de France — Épilogue. Épilogue »
Marie de France —  Épilogue Épilogue Al finement de cest escrit que en ro
Marie de France — Épilogue Épilogue Al finement de cest escrit que en romanz ai tre
2 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — Epilogue »
Epilogue Bornons icy cette carriere. Les longs Ouvrages
3 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
exemple que les phrases redondantes, par lesquelles, dans le premier épilogue du livre IV, il prie Particulon de ne pas lui fai
la combattre plus victorieusement, il cite cette phrase empruntée à l’ épilogue de la première partie du livre IV :             
qu’il n’était pas encore entré dans l’âge adulte. À la fin du premier épilogue du livre IV, il dit qu’il a toujours eu soin de s
èdre a vécu sous le règne de Tibère, croit pouvoir induire du premier épilogue du livre IV et de la dernière fable du livre V, q
ectés. Cette préoccupation, il l’avait déjà laissé apparaître dans l’ épilogue de son livre II, quand il avait écrit : Si livor
abesto, Livor ! Il en faut, selon moi, conclure que, dans le premier épilogue du livre IV, c’était surtout contre les envieux r
eté de son hypothèse aurait dû lui être démontrée par ce vers du même épilogue  : Brevitati nostræ præmium ut reddas peto. Mais
moi, d’accord avec Hoogstraten60, je le prétends inadmissible. Dans l’ épilogue qu’il adresse bien à Particulon, et non pas à un
ire, le pose en auteur à la fois naïf et vaniteux. Il déclare, dans l’ épilogue du livre II, que les attaques des envieux ne l’em
tience : Parva libellum sustine patientia. Lorsque, dans le premier épilogue du livre IV, il prie Particulon de lui donner la
tendre : Brevitati nostræ pretium ut reddas peto, et dans le second épilogue , lorsqu’il a obtenu la récompense sollicitée et q
s y ont été employés : les caractères romains pour les prologues, les épilogues et la morale de chaque fable, et les caractères i
’il avait adressée à Particulon, Phèdre s’arrête, et, dans un premier épilogue qui commence par ce vers : Supersunt mihi quæ sc
de nouvelles fables. Il s’excuse de manquer à la parole donnée dans l’ épilogue qui précède. Quand on voit ainsi l’enchaînement d
de la deuxième partie, attribuer au cinquième livre des fables et un épilogue qui appartenaient à la deuxième partie du quatriè
uxième partie du quatrième livre s’y trouve nettement indiquée par un épilogue intitulé Poeta ad Particulonem, qui commence par
r ce vers : Adhuc supersunt multa quæ possim loqui. À partir de cet épilogue les deux manuscrits de Pithou et de Reims ne cont
oint. Mais ce manuscrit est incomplet, les deux dernières fables et l’ épilogue du quatrième livre et tout le cinquième y manquen
, à celui de Romulus et aux conjectures de Gude, le premier vers de l’ épilogue du deuxième livre commence par les mots : Æsopi
par Vossius et par les autres critiques… Car Phèdre lui-même, dans l’ épilogue de son deuxième livre, établit bien qu’il est un
un auteur latin ; c’est lui-même qui le déclare en ces termes dans l’ épilogue du livre II : Quod si labori faverit Latium meo,
titre : De his qui legunt libellum et dont les éditeurs ont fait l’ épilogue d’une sorte de sixième livre ; ensuite arrive un
la fable Viatores et Latro, les trois qui suivent cette dernière et l’ épilogue . Il y a dans le manuscrit de Pithou et il y avait
s, excepté les deux morceaux V, 9 et 10 qui précèdent immédiatement l’ épilogue . Ces deux morceaux sont particulièrement importan
e et la Brebis. App. 26. III, 44. La Statue d’Ésope. ii, Épil. Épilogue . Rufus. Le tableau qui précède permet de voir
logue qui les précédait, en a reporté la première partie en tête de l’ Épilogue , en a fait entrer la seconde dans une dédicace fi
les autres manuscrits, le commencement non pas du prologue, mais de l’ épilogue , et qu’enfin le manuscrit renfermait non pas seul
 fables ; le second, de 27 sous 28 numéros, et le troisième, de 36, l’ épilogue à Rufus compris ; ce qui donne un total de 83 fab
ts poèmes en vers hexamètres, qui font suite aux fables de Walther. L’ Épilogue à Rufus a été omis. Il n’y a, après la fable xxii
i ; la xixe , De cicada et formica ; la xxiie , De statua Esopi, et l’ épilogue , Magistro Rufo Esopus ; et, d’autre part, il ne p
de Romulus, se composent au total de quatre-vingt-deux fables et d’un épilogue , c’est-à-dire de trois pièces de plus que les imp
ines et peut-être encore plus grossière. L’ouvrage est terminé par un épilogue dont Caxton est l’auteur. À la suite on lit cette
iroirs historial et doctrinal sont en outre terminées par une sorte d’ épilogue . Celui du second Miroir a été copié sur celui du
ti, hyeme salta », que suit l’épimythion. Immédiatement après vient l’ épilogue de Vincent de Beauvais. § 3. — Angleterre.
speculo historiali. Elles sont suivies, au recto du fol. cvij, de l’ épilogue , à la fin duquel on lit ces mots : Deo gratias. A
partie du manuscrit consacrée aux fables de Walther se termine par l’ épilogue suivant : c’est la substance de cest livre. Or
bles que j’en publierai le texte. Le manuscrit 1594 se termine par un épilogue , qui commence au milieu du recto du feuillet 112
oy de gloire, Auoir les vueille en sa memoire. En se fondant sur cet épilogue , M. Robert fait sur le traducteur et sur son œuvr
il parle aussi de Bonne de Luxembourg, mariée en 1332 à ce prince. L’ épilogue est donc postérieur à cette année, et comme il ne
t pas davantage lui attribuer le développement considérable donné à l’ épilogue . Les fables du manuscrit 1595, comme celles du ma
du manuscrit 1595, comme celles du manuscrit 1594, sont suivies d’un épilogue en vers français, qui commence au fol. 35 b et se
s français, qui commence au fol. 35 b et se termine au fol. 36 a. Cet épilogue se compose seulement de 18 vers, comprenant les 1
e se compose seulement de 18 vers, comprenant les 16 premiers du même épilogue dans le manuscrit 1594 et les quarante-troisième
i conçus : Ly livres fait chier a tenir Sy convient Esopet fenir. L’ épilogue se termine par le mot Amen , au-dessous duquel s
e renferme pas la traduction des fables d’Avianus, ni les prologue et épilogue dont elles sont précédées et suivies dans le manu
ction se compose de 39 fables précédées d’un prologue et suivies d’un épilogue . Le prologue, comme celui du manuscrit 1595, ne s
e 26 vers commençant par celui-ci : Ce liuret que cy vous recite. L’ épilogue , comme celui du manuscrit 1595, ne se compose que
ir. Le prologue commence à la première colonne du feuillet 109, et l’ épilogue , à la deuxième du feuillet 126. Les fables, qui o
mplification sur laquelle je me suis précédemment expliqué. Quant à l’ épilogue , il ne comprend que les six premiers vers de celu
19123, ne se compose que de 26 vers. Elles sont en outre suivies d’un épilogue , qui n’a également que 18 vers. Comme enfin le no
nt précédées d’un prologue qui ne se compose que de dix vers, et d’un épilogue , qui, comme dans le manuscrit 19123, n’en a que s
supprimé le prologue, qui en aurait révélé l’origine différente, et l’ épilogue qui en aurait fait connaître l’auteur, et, afin d
67. Le Coq et la Souris. 63. 68. La Femme et sa Vache. 64. Épilogue . Épilogue. Épilogue. Épilogue. Épilogue. F.
q et la Souris. 63. 68. La Femme et sa Vache. 64. Épilogue. Épilogue . Épilogue. Épilogue. Épilogue. F. Manuscrit 
uris. 63. 68. La Femme et sa Vache. 64. Épilogue. Épilogue. Épilogue . Épilogue. Épilogue. F. Manuscrit 983. Le
68. La Femme et sa Vache. 64. Épilogue. Épilogue. Épilogue. Épilogue . Épilogue. F. Manuscrit 983. Les fables e
a Femme et sa Vache. 64. Épilogue. Épilogue. Épilogue. Épilogue. Épilogue . F. Manuscrit 983. Les fables en vers, do
umentum fabularum Esopi è greco in latinum , et suivies d’une sorte d’ épilogue terminé par ce dernier vers du Livre II des Géorg
endre cette date supposée. Il s’était autorisé de ces trois vers de l’ épilogue , dont j’ai déjà donné copie : En le honneur de m
ici la traduction : « La mention de Madame Jeanne de Bourgogne dans l’ épilogue du traducteur français a trompé quelque ancien po
qui précède ressort manifestement de la mention suivante, qui dans l’ épilogue est faite, de Lainsne fil dou bon roy de France e
cette souscription : C’est la substance de ce romans. Puis vient un épilogue , qui, composé de 84 vers français, commence par l
t un autre liure Dautres bonnes fables vous liure. L’écriture de cet épilogue est en aussi bon état que le reste et permet de r
e général : Ci commence le liure Auionnet. Elles sont suivies de l’ épilogue en 86 vers que j’ai déjà transcrits dans mon anal
emière traduction. L’auteur en est inconnu. Il l’a terminée par un épilogue , où il déclare qu’il n’a été que le traducteur fr
même. Voici en effet ce qu’on lit dans l’un des quatre sixains dont l’ épilogue se compose : Un clerc de grant science Et de gra
Pica et Cauda sua. La fin des quarante fables et le commencement de l’ épilogue qui les suit sont indiqués dans le manuscrit, au
le philosophe et commence la complainte de celi qui ce livre rima. L’ épilogue lui-même, vers le bas de la 1re col. du feuillet 
ue celles du manuscrit 24432 ; les deux mêmes font défaut, et le même épilogue clôt la collection. Elles commencent au bas du fe
les Ysopet et les moralités qui sont dessus. Elles sont suivies de l’ épilogue , à la suite duquel se lit cette phrase finale :
s en sixains. Les fables sont précédées d’un prologue et suivies d’un épilogue , dans lesquels le traducteur ne se nomme pas. Ell
les feuillets 132 à 137, et sont au nombre de 80, suivies d’un double épilogue . La collection en comprenant au total 81, il s’en
a Corneille et la Brebis. 78. III, 44. La Statue d’Ésope. 80. Épilogue . Rufus. Épilogue I. Épilogue II Je crois
Brebis. 78. III, 44. La Statue d’Ésope. 80. Épilogue. Rufus. Épilogue  I. Épilogue II Je crois qu’il est inutil
III, 44. La Statue d’Ésope. 80. Épilogue. Rufus. Épilogue I. Épilogue  II Je crois qu’il est inutile d’ajouter aucun
s appelé Tyberius et non plus Tiberinus, mais finalement privées de l’ épilogue à Rufus. Lorsqu’à Florence je me suis trouvé en p
Attica, et elles se terminent au milieu du verso du feuillet 20, où l’ épilogue à Rufus qui a été omis a été remplacé par cette s
orneille et la Brebis. III, 43. III, 12. Statue d’Ésope. III, 44. Épilogue . Rufus. Épilogue. Cette liste, sous cinquante n
ebis. III, 43. III, 12. Statue d’Ésope. III, 44. Épilogue. Rufus. Épilogue . Cette liste, sous cinquante numéros, ne compre
e les deux collections, on trouve dans ce Romulus quinze fables et un épilogue , qui ne se rencontrent pas dans les Fabulæ antiqu
. 14. L’Âne et le Lion. III, 6. 15. La Statue d’Ésope. III, 12. Épilogue . Rufus. III, 14. En revanche, les Fabulæ antiqu
cédées de la dédicace amplifiée de Romulus à son fils et suivies de l’ épilogue à Rufus. Elles ne portent pas de titres. Les dix-
visées en trois livres précédés de la même dédicace et suivis du même épilogue . Le premier comprend 18 fables ; le deuxième, 20,
la plupart des manuscrits qui nous ont conservé l’œuvre de Marie, son épilogue attribue la traduction anglaise à un autre roi d’
inspiré en voulant, avec deux manuscrits sans autorité, lire dans son épilogue Henris au lieu d’Alvrez 508. » M. G. Paris n’aura
rudit de cette tâche. Il y a ici désaccord entre les textes. Dans son épilogue , Marie, très affirmative, s’exprime ainsi : Ysop
c’était celui qui lui ressemblait le plus. Dans le prologue et dans l’ épilogue de sa traduction, Marie de France dit qu’Ésope av
es rapprocher du prologue du Dérivé de cent trente-six fables et de l’ épilogue de Marie sans apercevoir que le Romulus de Nilant
et, cette fable n’en est pas une et n’est qu’une pièce inspirée par l’ épilogue du livre II de Phèdre. N’en doit-on pas forcément
nquantième fable, provenant du Romulus primitif et indirectement de l’ épilogue du livre II de Phèdre, mais ayant trait à la stat
s a fait connaître son nom et sa nationalité dans ce fameux vers de l’ épilogue de ses fables : Marie ai non, si sui de France.
tagés. Legrand d’Aussy suppose que le comte Guillaume pour qui dans l’ épilogue de ses fables elle déclare avoir fait sa traducti
en vers de huit syllabes, précédées d’un prologue et terminées par un épilogue . Le prologue, qui est une sorte de paraphrase du
manuscrit 14971, la troisième et la quatrième ne viennent qu’après l’ épilogue , qui est lui-même suivi du mot Explicit et qui se
que dans tous les cas il faut attribuer à Marie, se terminent par un épilogue de vingt-deux vers, que, pour ne pas faire deux c
’arme rendre. Dans le manuscrit 1593 de la Bibliothèque nationale, l’ épilogue comprend vingt-quatre vers et se termine par ces
, 35, 95 et 96. Ainsi qu’on l’a vu par la copie que j’en ai donnée, l’ épilogue qui suit les fables ne se compose que de vingt-de
souvient, se compose de 103 fables. Ces 103 fables sont closes par l’ épilogue comprenant exceptionnellement 24 vers. Les 13 der
re en quarante vers, se succèdent sans titres et sont terminées par l’ épilogue ordinaire, auquel toutefois manquent les quatre d
prologue, pourvues chacune d’un titre spécial, mais non suivies de l’ épilogue , qui fait défaut. E. Manuscrit 2173. Le man
t au feuillet 58 a et se terminent au feuillet 92 b. Le prologue et l’ épilogue ordinaires les précèdent et les suivent. Elles ne
l’une et de l’autre en est, dans le manuscrit, nettement séparé par l’ épilogue , qui a été placé immédiatement après la quatre-vi
rticuliers, mais sont précédées du prologue ordinaire et suivies de l’ épilogue composé seulement de 22 vers. H. Manuscrit 243
renard saillissant l’ourse. Les fables, qui ne sont pas suivies de l’ épilogue , se terminent par la souscription Explicit Esope
vers à la première colonne du feuillet 55 b et qui se terminent par l’ épilogue en 22 vers au bas de la première colonne du feuil
mihi credis,       Ut retrahas ori, dans Christo, de meliori. Dans l’ épilogue c’est Mires qu’est appelé le royal auteur de la t
nt à l’indication de M. de Roquefort528, les fables sont suivies de l’ épilogue ordinaire, écrit par la même main que les titres 
: 3, 10 à 18, 26 à 31, et 80 à 103. Il faut naturellement y ajouter l’ épilogue . Quant à l’écriture qui est très nette et qui app
ables, au nombre de 102, ne portent pas de titres, sont pourvues de l’ épilogue ordinaire et se terminent au milieu du feuillet 2
feuillet ne paraisse manquer à la fin, elles ne sont pas suivies de l’ épilogue . B. Manuscrit Harley 978. Le manuscrit Harl
se terminent au milieu de la première colonne du feuillet 67 b par l’ épilogue en 22 vers, qui attribue la traduction anglaise à
omprend le prologue, 83 fables dépourvues de titres particuliers et l’ épilogue en 22 vers, qui, comme celui du manuscrit 1446 de
à 81. Elles sont pourvues chacune d’un titre spécial et suivies d’un épilogue en 26 vers. Indépendamment des différences qui ti
pas d’y reconnaître une seule et même œuvre. Il en est autrement de l’ épilogue du manuscrit qui nous occupe : son texte diffère
re lour il se dormoit. Dites amen que Diex l’otroit. On voit par cet épilogue que l’écriture du manuscrit est de la première mo
rmer qu’elle l’a composée sur le texte latin ; car elle-même dans son épilogue déclare en ces termes que c’est de la traduction
prendre beaucoup de peine, il se contente d’examiner le prologue et l’ épilogue de Marie et de les comparer au prologue de Gérard
truvées De griu en laitin translatées. Il cite ensuite ces vers de l’ épilogue  : Pur amur le cumte Willaume, Le plus vaillant d
tion avait ensuite servi de base à celui de Marie, qui enfin dans son épilogue avait parlé de la version anglaise employée par e
XXXIII. (Voyez la préface, p. xi.) 65. Phèdre, livre IV, 2e partie, épilogue . 66. Phèdre, livre III, fable xvii ; livre IV,
-8º. (Voyez p. 94.) 320. On en retrouve le commencement en tête de l’ épilogue du quatrième livre du Romulus ordinaire, et si le
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