e bien traiter Les Deputez, eux et leur suite ; Foy de Lion trés-bien
écrite
. Bon passe-port contre la dent ; Contre la griffe
la queue, et portant bas l’oreille.
Trompeurs, c’est pour vous que j’
écris
,
Attendez-vous à la pareille.
Cornemuse.
Pour pousser jusqu’au bout la ruse,
Il auroit volontiers
écrit
sur son chapeau,
C’est moy qui suis Guillot Berg
qui se rapporte à la viande et aux os. » L’âne ayant parcouru tout l’
écrit
, sans rien trouver de ce que le chien cherchait,
s hommes, de qui la plume excellente s’est employée à nous mettre par
écrit
l’estat des choses du monde, et leurs naturelles
ilité, pour exercer l’esprit De ceux qui de la Sphere et du Globe ont
écrit
? Pour nous faire éviter des maux inévitables ? N
Renard qui cajole un Corbeau sur sa voix. De plus il vous sied mal d’
écrire
en si haut stile. Et bien, baissons d’un ton. La
ur du Village à sa porte les mit ; Et ce dicton Picard à l’entour fut
écrit
: Biaux chires leups n’écoutez mie Mere tenchent
raison qu’égayant leur esprit, Nombre de gens fameux en ce genre ont
écrit
. Tous ont fuy l’ornement et le trop d’étenduë. On
hommage et pour la maniere, Le Singe en fut chargé : l’on luy mit par
écrit
Ce que l’on vouloit qui fust dit. Le seul tribut
ter les opinions. Son ouvrage sera désormais la base de tout ce qu’on
écrira
sur le même sujet. Nous voulons surtout espérer q
public compétent à laquelle il attache du prix. Si le recueil où nous
écrivons
peut ajouter assez d’autorité à nos paroles pour
ccupé de lui, aucun de ses contemporains ou du moins de ceux dont les
écrits
nous sont parvenus, n’a seulement paru se douter
se de son nom ; aujourd’hui pour nous il n’y a pas deux manières de l’
écrire
. Mais quel était son nom latin ? Était-ce Phæder
irmer, c’est qu’il y avait été conduit bien jeune. On trouve dans ses
écrits
la preuve qu’il n’était pas encore entré dans l’â
e son bienfaiteur lui aurait attiré la haine de Séjan, et il n’aurait
écrit
ses apologues que pour rendre à son persécuteur l
se faisant fabuliste, n’avait pas cédé à des idées de vengeance. Ses
écrits
prouvent qu’il avait des aspirations plus nobles.
traduit en justice, le fabuliste, dans le prologue de son livre III,
écrivait
« qu’il avait déraciné de son cœur l’envie d’amas
lu, ce qui d’ailleurs n’aurait pas rendu le vers faux, que Phèdre eût
écrit
, non In calamitatem, mais In calamitate. L’erreur
l’on accepte ce sens, il faut admettre qu’il déclare que ce sont ses
écrits
qui lui valurent les poursuites dirigées contre l
es fables de Phèdre. — Reste la question de savoir à quelle époque il
écrivit
et publia ses cinq livres. L’opinion la plus géné
se par les critiques, c’est qu’aucun des cinq livres de Phèdre ne fut
écrit
ou au moins publié pendant la vie de Tibère. Croy
te pas à dire que c’est au milieu du règne de cet empereur que Phèdre
écrivit
toutes ses fables, et, donnant une date à leur pu
deux fables Ranæ ad Solem et Ranæ regem petentes furent non seulement
écrites
, mais encore connues avant la chute de Séjan. Il
re Desbillons considérait donc les fables ii et vi du livre Ier comme
écrites
et connues sous le règne de Tibère ; il paraît ad
êché les critiques d’admettre qu’ils eussent été publiés ou seulement
écrits
sous Tibère, c’est qu’ils y avaient vu des allusi
tration de ce dernier, il avait pu, sans rien craindre, non seulement
écrire
, mais encore publier ses deux premiers livres. Qu
ices, consentir à rester ignoré, et, si l’amour du bien inspirait ses
écrits
, il n’en désirait pas moins que l’immortalité en
éjà laissé apparaître dans l’épilogue de son livre II, quand il avait
écrit
: Si livor obtrectare curam voluerit, Non tamen
la première partie de son livre IV, et, quand, après avoir renoncé à
écrire
, il reprend la plume et ajoute à son quatrième li
à fait observer, qu’il a fait une route du sentier tracé par Ésope et
écrit
plus de fables que son devancier n’en avait laiss
éraire. La postérité ne garde pas le souvenir de ceux qui, dans leurs
écrits
, ont mal exprimé les idées même les plus neuves ;
ncore sa brièveté qu’il fait valoir auprès de lui, pour assurer à ses
écrits
l’approbation de son protecteur : Si non ingeniu
immortalité, le courage de ne la demander qu’à la seule valeur de ses
écrits
. Chapitre II. Manuscrits de Phèdre. Il est
e dans le plus complet oubli ; personne ne savait ce que Phèdre avait
écrit
; on ignorait presque son nom. Il avait éprouvé l
parce que, l’exerçant surtout dans son cabinet par ses consultations
écrites
, elle lui fournissait l’occasion de se livrer à d
orbantes, les calmes loisirs qu’il recherchait et qui lui permirent d’
écrire
de nouveaux ouvrages et notamment de publier la l
ple Loysel, à y remplir les fonctions de procureur général. « Chargé,
écrit
Grosley, de la correspondance de la Chambre avec
nts politiques. Il continua à contempler, avec une tristesse dont ses
écrits
portent l’empreinte, les sanglantes discordes de
ien de remarquable ; le deuxième, quoique très rogné, porte des notes
écrites
par trois mains différentes. Je n’ai aucune remar
ompe ; car l’exemplaire ne contient que celles du manuscrit de Pithou
écrites
par Nicolas Rigault lui-même, qui fut, comme on l
ve ; c’est là du moins ce qui paraît ressortir de la mention suivante
écrite
sur le titre, selon l’usage du temps : « Ex libri
séquestration forcée et ses communications ayant été rétablies, j’ai
écrit
, pour me renseigner, au conservateur de la Biblio
rtrait plus simple, ni plus touchant, que lui-même dans son testament
écrit
en langue latine neuf ans avant sa mort, le 1er n
u, pourraient mettre facilement un terme à leur incertitude. Il porte
écrites
de la main de Rigault les variantes du manuscrit
ition de Pithou. Mais, après ces deux savants, aucun de tous ceux qui
écrivirent
sur Phèdre, ne songea à recourir au manuscrit. Sc
France91. » Cette note étant parvenue à sa connaissance, Schwabe «
écrivit
à M. Hase, membre de l’Institut, pour lui demande
ase, s’empressa de se rendre à son désir, et, au mois de mai 1828, il
écrivit
à M. Le Peletier de Rosanbo, pour lui demander l’
ettres du commencement des fables sont des majuscules toutes simples,
écrites
avec pureté et ayant environ trois ou quatre fois
ue facilement à l’œil la séparation des fables. Car du reste ils sont
écrits
à la suite des derniers mots de la fable précéden
jours facile à voir. « Il paraîtrait que le calligraphe, après avoir
écrit
tout son manuscrit, l’a relu et a corrigé tantôt
ignifie rien, le calligraphe, qui paraît n’avoir pas compris ce qu’il
écrivait
, les ayant placés comme au hasard. Quelques-uns s
ure est en carton recouvert d’un parchemin tout uni. Le manuscrit est
écrit
sur un parchemin d’une épaisseur moyenne. Il est
ouveau prologue, par lequel Phèdre, après avoir quelque temps cessé d’
écrire
, commence la seconde série de fables qui doit le
livre se divise en deux parties bien nettement séparées. Après avoir
écrit
la première qu’il avait adressée à Particulon, Ph
core fort abondante, il ne veut pas, dans la crainte de l’importuner,
écrire
davantage. Puis, comme il est rare qu’un poète qu
ctement copié. Ces papiers mêmes forment, dans leur longueur, la page
écrite
. Que ne puis-je, monsieur, vous donner des marque
r attribué à M. Dacier cette note, qui, évidemment, ne peut avoir été
écrite
que par M. de Foncemagne, l’auteur de la notice e
us inintelligible. En voici le texte : « Depuis que cette note a été
écrite
, on a recouvré à la Bibliothèque du Roi l’exempla
note, qui contient autant de faussetés que de mots, ne peut avoir été
écrite
par M. de Foncemagne. Attaché à la Bibliothèque d
hèdre, avec les fautes et les bévues de notre copiste. « À sa façon d’
écrire
vous jugerez aisément qu’il avait sous les yeux u
exemple, donnant au c le son du q, et mettant des o pour des u, il a
écrit
qui ou qoi, quoi pour cui ; ainsi il dit intelleg
il jeta un dernier coup d’œil sur l’imprimé qui portait les variantes
écrites
de sa main, il s’aperçut de son omission, et au b
ssion, et au bas de la page 3, sur laquelle commençait le livre I, il
écrivit
: « J’ai manqué dans le temps, et je ne sais comm
et en prit même une copie entière, dont il comptait faire usage, pour
écrire
« l’histoire de toutes les disputes qui se sont é
manuscrit de Reims ; il n’en a connu les variantes que par les notes
écrites
de la main du Père Sirmond en marge d’un exemplai
e n’était pas l’opinion d’Orelli. « Il faut tenir pour bien constant,
écrit
-il dans son édition de 1831, que toute variante t
te Dom Vincent108, le copiste, sans se préoccuper des vers, les avait
écrits
comme de la prose. « Les vers, dit-il, n’y sont p
rit, le copiste, heureux sans doute d’avoir achevé son travail, avait
écrit
: « Phædri Aug. liberti Liber quintus explicit fe
, les vers n’ont été observés ni par l’un ni par l’autre. Ils les ont
écrits
comme de la prose. Dom Vincent, en voyant dans l’
in de chaque vers, et que chaque vers nouveau était sans interruption
écrit
à la suite du précédent. Il est vraisemblable que
de cette copie, ne s’est pas aperçu qu’il copiait des ïambes et les a
écrits
comme de la prose. Ce qui me confirme dans cette
le manuscrit de P. Daniel, chaque vers occupe seul la ligne où il est
écrit
. Or ce manuscrit, qui paraît être du xie siècle,
e le faire parler lui-même. Voici ce qu’au sujet de cette comédie, il
écrivait
, en 1774, dans l’almanach de Reims112 : « “Au Ph
bare, ou parce qu’il tombait dans de fréquents barbarismes, puisqu’il
écrit
en latin, et qu’il s’exprime en bons termes.” En
, au commencement du ve siècle (ibid. p. 93, not. col. 1). “Vossius,
écrit
en effet D. Rivet, croit que c’est à Rutilius (Cl
à ce prince, qui a cessé de régner l’an 27 de J.-C. ; mais il aurait
écrit
à coup sûr avant l’édit donné contre les Druides.
ant les fautes du manuscrit, l’a légèrement dénaturé113. Ce qui a été
écrit
sur son origine est exact : il dépendait de la bi
s verront que j’use de ménagement dans mes appréciations. « En 1660,
écrit
M. Rochefort122, le trône de Suède étant devenu v
ntatives pour y remonter. Le pape Alexandre VII eut la complaisance d’
écrire
en cette occasion à Louis XIV, pour lui recommand
r124. » Il était, comme on le voit, assez affirmatif ; mais il avait
écrit
avant les événements dont la Révolution de 1789 a
me incertitude, Adry, dans son Examen des nouvelles fables de Phèdre,
écrit
en 1812, disait : « Il a peut-être été apporté à
abbé Maï pourrait peut-être donner la solution. » Ces lignes étaient
écrites
depuis quelques mois à peine, que l’abbé Maï la d
l 133. Leur erreur provient de ce que la septième fable du manuscrit,
écrite
, sans titre à l’encre rouge, à la suite de la pré
d jusqu’au bas du recto du feuillet 20. Les mots, quoique grecs, sont
écrits
en caractères romains du xiie siècle, et souvent
Le texte grec est accompagné, en interligne, de la traduction latine
écrite
en lettres de moindre grosseur. Cette traduction
t examiné, se sont étrangement trompés sur son contenu. Ce qu’ils ont
écrit
à cet égard montre quelles incroyables fautes on
n la discutant, ne fut pas très bien inspiré. « Parmi ces manuscrits,
écrit
-il en parlant des livres de l’ancienne abbaye de
observer que, dans le manuscrit de Pithou, le premier vers est ainsi
écrit
: Fraudator homines cum avocat sponsore improbo,
e dernier, il est vrai, dans son Excursus sur la fable xvi 145, avait
écrit
cette phrase : « Grævius è Schedis Dan. legendum
Burmann, dans l’ouvrage cité par Schwabe, il avait publié une lettre
écrite
à Utrecht en 1658, dans laquelle Grævius disait à
Léon Allatius, puis par Jacobilli et enfin par Apostolo Zeno. Avant d’
écrire
les œuvres d’érudit qu’il a laissées, il avait co
vers la fin de son recueil, des épigrammes grivoises qu’il n’avait pu
écrire
qu’avant sa promotion au siège de Siponte, et il
e Ginguené148, qu’il n’avait pas eu, en le commençant, la pensée de l’
écrire
pour son éducation. Si le manuscrit renferme bea
sur les différents genres de mètres poétiques, que lui-même dit avoir
écrit
à une époque où, depuis une dizaine d’années, il
quatus Perotti, évêque d’Amera, qui avait réuni en un seul volume les
écrits
connus de Niccolo, avait-il omis son Epitome. Dan
r à son professeur Burmann, qui était devenu son meilleur ami. Il lui
écrivit
en même temps qu’il se mettait à sa disposition p
ches quelques pages, destinées à d’autres fables qu’il se proposait d’
écrire
et à l’index qui devait d’autant s’augmenter. Il
i Burmann n’avait dit au public dans sa préface, ni d’Orville n’avait
écrit
en tête de son extrait, dans quelle bibliothèque
’exhumer. Sur la fausse indication donnée par Apostolo Zeno, il avait
écrit
au comte Mazzuchelli, pour le prier de faire de m
méthode, d’érudition et de clarté, que de tous les fabulistes qui ont
écrit
depuis le siècle d’Auguste jusqu’au temps où viva
gner. Il explique alors que Phèdre, quoiqu’il eût vécu sous Tibère, n’
écrivit
que pendant les règnes de ses successeurs, et il
s dissertations furent remplacées par un avertissement en trois pages
écrit
à la Bibliothèque même, et daté des ides de févri
vie de Phèdre ne venait elle-même qu’après une préface en huit pages,
écrite
encore à la bibliothèque et datée des calendes de
déguiser maladroitement la leçon du manuscrit ? « Fable v, vers 3, il
écrit
: Ut jura possent veritatem dare, comme si à la
a. Cette édition était précédée d’un avis au lecteur en cinq pages,
écrit
comme les précédents à la Bibliothèque royale, et
2 | MDCCCXII. En tête du volume que je possède, une main inconnue a
écrit
: « Édition donnée par les soins de M. Chambry. »
omplètement disparu. Les titres et la première lettre de chaque vers,
écrits
à l’encre rouge, ont un peu mieux résisté ; mais
partie du manuscrit comprend soixante-quatorze feuillets, savoir : 57
écrits
et 17 blancs. Elle commence par un prologue, ou d
ine 27 ans. Toutes les compositions qui constituent son recueil, sont
écrites
en vers, sauf une épître en prose qui y porte le
concitoyen Veltrius, il déclare qu’il avait commencé de bonne heure à
écrire
le recueil de vers qu’il lui adresse et qui avait
cueil fut souvent abandonné et repris par lui, et qu’avant d’en avoir
écrit
la moitié il avait perdu de vue le commencement.
cette contradiction ? La réponse me semble facile. Après avoir ainsi
écrit
, à des intervalles plus ou moins longs, dans ses
récèdent, que c’est Veterani d’Urbin, qui, à une époque antérieure, a
écrit
le volume, et que, si l’écriture de son épigramme
ne étude sur Phèdre, il ne saurait être négligé. « Je m’en souviens,
écrit
le Père Vavasseur dans son livre intitulé De ludi
prunter à Avianus la fable Arbores in tutela deorum ? Avianus n’avait
écrit
que quarante-deux fables ; on ne peut en douter ;
on manuscrit a jeté sur la question un jour lumineux. « Comme je l’ai
écrit
ailleurs au sujet de mes lettres, disait-il dans
nesse, et que mon âge et ma profession, si on les supposait récemment
écrites
, pourraient à bon droit peut-être faire juger rép
Veltrius, que son épître, d’ailleurs non datée, avait sans doute été
écrite
par anticipation, que les additions contemporaine
pas au siècle d’Auguste et que par suite elles ne pouvaient avoir été
écrites
par l’affranchi de cet empereur. Le chapitre xxvi
les règnes de Tibère et de Claude, Sénèque, suivant eux, n’aurait pas
écrit
que les fables ésopiques étaient un genre de litt
iée à Amsterdam en 1731213, en considérant les Consolations à Polybe,
écrites
au commencement du règne de Claude, comme antérie
omme qui se livre à un travail persévérant et l’auteur des fables n’a
écrit
que des choses vulgaires dans un style obscur et
modèles avaient été des auteurs latins, n’aurait pas dit qu’il avait
écrit
ses fables rudi latinitate 218 ? Le Phèdre dont i
l’imagination de Perotti. Il avoue pourtant que tout ce que Perotti a
écrit
n’est pas original, qu’il transporta dans ses com
de Dijon ne sont que la traduction en prose de fables originairement
écrites
en vers ïambiques, et que cette traduction, ayant
e nom de Romulus. Ce Romulus, surtout s’il était Athénien, n’a pas pu
écrire
un latin si barbare. Il est l’auteur de fables, q
n’était pas encore, malgré la mort de Séjan, sorti de ses misères, il
écrivait
à l’un de ses protecteurs, à la fin de son livre
la troisième année du règne de Claude, année pendant laquelle Sénèque
écrivit
ses Consolations à Polybe. Car, de la mort de Séj
Ce qui porte Schwabe à se rallier à cet avis, c’est que Sénèque a dû
écrire
ses Consolations à Polybe vers la troisième année
ans le prologue de son livre Ier. Partant de là, lui-même appelle ses
écrits
jocos et pour lui le mot jocari est presque sacra
mot resolvere, qu’il torture à plaisir, signifie étendre, augmenter,
écrire
en termes plus prolixes, tandis qu’en réalité il
e plus tard attestée par le savant Daunou236. « À l’égard de Phèdre,
écrivait
Eichstædt en 1812, j’ai toujours pensé qu’il fall
président du parlement de Paris, et bientôt après l’Allemand Gœttling
écrivit
qu’il avait feuilleté au Vatican le manuscrit de
assertion formelle, complètement désintéressée, et par le temps où il
écrivait
et la ville qu’il habitait, par son opulence et l
is il n’en a pas parlé, parce que Phèdre, Macédonien d’origine, les a
écrites
dans la langue de son pays. Le genre même qu’il a
galement dans la Grèce héroïque : Ésope, qui sans doute ne savait pas
écrire
, ne fit qu’appliquer aux circonstances de la vie
fonds commun. Ce ne fut que longtemps après sa mort que ses fables s’
écrivirent
et que, pour leur donner une application plus éte
êtaient admirablement à l’exercice ainsi recommandé. Phèdre les avait
écrites
en vers ïambiques peu usités dans la prosodie lat
ans les écoles ; ces imitations de quelques passages de Martial qui n’
écrivit
qu’après lui ; cet ïambe presque prosaïque, qui n
lait corriger les mœurs, il est évident qu’il n’avait pas pu songer à
écrire
en grec. Sans doute la fable ésopique était étran
de ces paraphrases, qui consistent à mettre en prose un texte d’abord
écrit
en vers, dont les ïambes phédriens auraient pu êt
té plus d’un vers à Molière ; le style de Térence s’explique dans les
écrits
d’un affranchi grec, qui, instruit dans les école
’auteur des fables qui portent son nom, qu’affranchi d’Auguste il les
écrivit
sous les règnes de ses successeurs, qu’il les com
squels il cherche à démontrer qu’aucun auteur autre que Phèdre n’a pu
écrire
les fables nouvelles. Je me hâte de parcourir ceu
allusion à l’esclavage et aux jeux du cirque, c’est qu’elles ont été
écrites
dans un siècle où ils étaient encore en usage. Po
t que le règne de Constantin, et avant lui quel autre que Phèdre a pu
écrire
les fables nouvelles245 ? 2º La fable De Pompeio
e oraculo Apollinis ne peut être aussi que de Phèdre ; elle n’est pas
écrite
dans un esprit d’incrédulité ni de moquerie. Or l
Æsopi sunt, et Avieni, et Phædri. Il est évident qu’Ésope n’a pu les
écrire
, et que Perotti ne le cite que comme la source à
ans son recueil. Toutes les fables d’Avianus sont connues ; il n’en a
écrit
, de son propre aveu, que quarante-deux, et dans a
présentent sont au surplus prouvées par les interprétations en prose,
écrites
au moyen âge. On y trouve beaucoup de fables qui
ibuer les fables nouvelles, il n’est pas nécessaire de supposer qu’il
écrivit
plus de cinq livres, et qu’au contraire y trouvan
ou qui le suivirent à Rome, et l’on devrait les retrouver dans leurs
écrits
. Mais chaque écrivain éminent n’a-t-il pas son ca
Mais, pour démontrer qu’avant Perotti d’autres que Phèdre ont pu les
écrire
, il ne découvre pas d’autres exemples à citer que
ncieux qui les a troublés. Il me semble évident que la même critique,
écrite
par tout autre, n’aurait pas produit le même effe
il sous la direction de Lemaire, Barbier, dominé par cette influence,
écrivait
encore : « Un homme aussi profondément versé que
pièces de vers qui sont incontestablement de lui. Presque toutes sont
écrites
dans le rythme élégiaque qu’il aimait et qu’il ma
corum penuria. Elle est certainement l’œuvre de Perotti ; or elle est
écrite
dans ce rythme élégiaque qui. avait toute sa préd
le est aux trois quarts empruntée à Phèdre, il est évident qu’il a dû
écrire
dans le même rythme les vers qui émanent de lui.
rale à la fable elle-même, il est encore évident qu’ils devaient être
écrits
dans le même mètre. Il y a mieux : ces exemples e
cande ces vers et qu’on me dise si l’on croit encore que Perotti a pu
écrire
les fables nouvelles ! Ce n’est pas tout ; le man
aterna iura bobus optat propriis. Mais Perotti ne s’est pas borné à
écrire
ainsi un traité général de versification ; il s’e
à l’âge mûr qu’il a composé ses traités de versification. De pareils
écrits
, qui sont avant tout des ouvrages de patience, ne
livre, ce qui est impossible ; car Avianus déclare que Phèdre n’en a
écrit
que cinq, et le manuscrit de Pithou, auquel, quoi
e livre ; mais il est probable qu’il n’a jamais cru que Phèdre en eût
écrit
plus de cinq. Il est vrai aussi qu’aucun feuillet
-il pas que les deux premiers fussent bien longs, pour que Phèdre pût
écrire
: Ego illius pro semita feci viam, Et cogitavi p
er, en tête du feuillet 195 où commencent les fables ésopiques, avait
écrit
cette note : Harum quæ sequuntur fabularum quæda
recherches. Lorsque je fus de retour à Paris, muni de l’autorisation
écrite
de M. du Rieu, je pus sans difficulté prendre com
rtial. J’ajoute qu’il y avait pris naissance. C’est là qu’avaient été
écrites
les pièces dont la réunion l’avait constitué. Pre
ar avait consacré à l’étude tous les loisirs de sa vie monastique, et
écrit
plusieurs ouvrages, dont, avant son départ, il av
rs copistes. Il est néanmoins possible qu’il soit presque entièrement
écrit
de la main d’Adémar, et que la différence dans le
imo nobis interrogandum est quod nomen habeat ista prefacio. Au texte
écrit
par une première main une seconde a ajouté en mar
mots montrent qu’à la suite du prologue venait le livre même de Caton
écrit
sur un autre cahier qui n’aura pas été retrouvé p
pour apprécier quelles sont les autres parties du manuscrit également
écrites
par lui. Il y a réuni des traités divers, qui en
anche, un moine de Saint-Martial, au xie siècle, en a profité pour y
écrire
le précieux renseignement qui suit : Hic est lib
bre de phrase et le mot Pisces , un copiste moins ancien qu’Adémar a
écrit
ce titre d’une liste de moines de Saint-Martial :
onasterium Sancti Martialis lx monachi. Au-dessous le même copiste a
écrit
, tant dans le milieu de la page qu’en marge, 60 n
au fol. cxciii b, est accompagné des noms des abbés de Saint-Martial
écrits
en marge, et se termine au fol. cxciv a. Fol. cxc
de Phèdre une importance capitale, attestée par la note de Paul Petau
écrite
en tête du recto du fol. cxcv. Par les dessins à
re et un encrier, tenant une plume à la main et paraissant méditer et
écrire
. Ce premier dessin n’est pas le seul. Au milieu d
sin occupe cette dernière page. Au-dessus une main du xiiie siècle a
écrit
cette phrase : Raimondus de Begonac me furatus f
ication des publications dans lesquelles on pourra lire ce qu’ils ont
écrit
. 1º J. F. Nilant. — Fabulæ antiquæ, etc. Lugd. Ba
manuscrit Woss. in-8º 15, dans l’article Zur lateinischen anthologie,
écrit
à Iéna au mois d’août 1875). — 2º Poetæ latini mi
ote 19 et dont les feuillets en papier sont occupés par des opuscules
écrits
par des mains diverses au xvie et au xviie sièc
ules contenus dans le manuscrit. La voici, telle que je l’ai trouvée,
écrite
en tête du volume par une main qui est probableme
bibliothèques plus ou moins imaginaires avaient des conservateurs, il
écrivit
au maire de la ville pour le prier de lui faire f
uisse, je songeai à utiliser scientifiquement ce voyage d’agrément. J’
écrivis
au conservateur de la Bibliothèque, pour savoir d
fabularum Æsopiarum, au sujet duquel vous m’avez fait l’honneur de m’
écrire
. À Wissembourg, chef-lieu de l’une des sous-préfe
t remarquer que le mot Vulpis, par une erreur de copiste, était ainsi
écrit
pour Vulpes, mot qui rend le vers irréprochable,
leat, et condensant enfin en un seul les deux vers d’Ausone, il avait
écrit
en marge du texte : Hac re probatur quantum inge
poque. Les lettres initiales et presque toutes celles des titres sont
écrites
à l’encre rouge, et occupent une hauteur de trois
; les échanges de lettres sont également semblables. Souvent inquit s’
écrit
inquid, et atque, adque ; ce que les personnes co
97. » Tross fait ensuite observer que le manuscrit a été tout entier
écrit
par la même main, et cela, malgré les ouvrages tr
n’avait pu le découvrir. Telle est la savante lettre latine que Tross
écrivit
de Hamm à M. Fleutelot au mois de mai 1844. En s
as encore été utilisé complètement pour la critique de Phèdre. Il est
écrit
en beaux caractères, mais déplorablement fautif,
vérité, dire que je n’ai pas eu lieu de me repentir de ma démarche. J’
écrivis
à M. von Heinemann, conservateur de la bibliothèq
ue. Deo gratias. Amen. Au bas de la même page, en lettres semblables
écrites
avec la même encre, on lit l’hexamètre suivant qu
erminent au bas du feuillet 98 a. Fol. 98 b. — Le titre suivant a été
écrit
par Ebert au haut de la page : Anonymi liber de
Au bas de la page le traité De Monstris est annoncé par cette phrase
écrite
à l’encre rouge en gros caractères : Incipit lib
mêmes suivis de ces autres : Incipit liber secundus de belluis , qui
écrits
avec la même encre en grosses capitales occupent
belluis , suivis de ce titre du troisième livre en grosses capitales
écrites
avec la même encre : Incipit de serpentibus. Ce
il ne connaissait peut-être pas. Ainsi, par exemple, le copiste avait
écrit
Garulus et inprudenti ; le correcteur ensuite y
été reconstitué. J’aurais voulu savoir par qui cette copie avait été
écrite
, et, par cette voie indirecte, comment le manuscr
voir la diversité d’origine. Cela m’autorise à ajouter que la mention
écrite
par lui doit remonter à une date antérieure à 170
othèque. Mais de qui Tenison tenait-il son apographe, où avait-il été
écrit
et à quel copiste était-il dû ? Voilà ce que rien
it en langue française la paraphrase poétique de la version anglaise,
écrivit
ces mots en tête de sa préface : Romulus qui fu
uncius felicitatem. Mais la seconde étant précisément celle qui a été
écrite
pour le cardinal Antoine, abbé du titre de Saint-
avait vécu avant le xiiie siècle. En effet Vincent de Beauvais, qui
écrivit
sous le règne de saint Louis et qui mourut en 126
n’est pas plus récent que le commencement du xie siècle. Nilant qui
écrivait
au commencement du xviiie ne lui avait, il est v
lections qui ont bien l’une de ces deux origines, mais qui, ayant été
écrites
en vers, constituent par cela même des œuvres tou
gageait à faire traduire en prose les fables ésopiques originairement
écrites
, non en prose grecque, mais en vers latins ? J’ai
e du premier copiste et le texte du Romulus primitif, tel qu’il a été
écrit
par le compilateur à qui il est dû, le problème s
rouvées réunies dans le même Codex que bien longtemps après avoir été
écrites
. Dans son opuscule intitulé De Phædri et Aviani f
e copie de Romulus, que je ne soupçonnais pas auparavant et qui a été
écrite
, en 1495, à Florence, par le célèbre Pierre Crini
ouvait m’ôter le loisir de le copier sur place. Dans cette crainte, j’
écrivis
à M. Lefebvre de Behaine, chargé d’affaires de Fr
Monsieur, « J’ai reçu la lettre que vous m’avez fait l’honneur de m’
écrire
le 25 juin dernier pour m’exprimer le désir d’êtr
volume in-fol. de petit format, composé de 186 feuillets en papier et
écrit
tout entier de la main du savant Florentin. Les f
ius. La souscription finale consiste dans le simple mot Explicit ,
écrit
à l’encre rouge comme les souscriptions et les ti
trop indépendant qui comprenait et croyait pouvoir améliorer ce qu’il
écrivait
. En outre ce copiste, trouvant probablement trop
glaise, qui, sur les marges de ces deux derniers exemplaires, ont été
écrites
par des mains du xvie siècle. L’exemplaire du Br
œurs, coordonnés ensemble. » Une préface indique ensuite que Brant a
écrit
son ouvrage pour l’instruction de son fils Onophr
en caractères de civilité, existe une page blanche sur laquelle a été
écrite
au crayon la mention suivante : « Très rare. Voye
ui vient d’être indiquée est une gravure représentant Ésope assis qui
écrit
et deux autres personnages. Plus bas se trouve la
lles, telles que la zoologie et la botanique. L’auteur paraît l’avoir
écrit
vers 1250 ; cependant Vossius lui assigne la même
ur les vertus. Mais Bellarmin363, dans le catalogue où il énumère les
écrits
de saint Thomas d’Aquin, exprime des doutes sur l
re d’un écrivain plus récent, et Echard, dans sa dissertation sur les
écrits
de Vincent de Beauvais, lui en refuse nettement l
uteurs disent que ce fut Philippe de Valois ; mais l’époque où il fut
écrit
, démontre que c’est là une erreur et que ce roi f
, l’empereur Tibère priant dans le même but un savant nommé Romulus d’
écrire
pour lui des fables latines, enfin ce savant trad
iendrai, Accio Zuccho, avait traduit les fables élégiaques en sonnets
écrits
dans le dialecte véronais, et le titre de Libellu
le beaucoup de ressemblance avec celles de l’Anonyme. « Si quelqu’un,
écrivait
-il, me demande le nom de l’auteur, je dirai que c
as Jenson, homme lettré, qui avait vécu au xiiie siècle et qui avait
écrit
la vie de Pomponius Atticus. L’idée ainsi exprimé
expliquait ensuite dans une des notes de son ouvrage : « J’aurois dû
écrire
Gauffredus ; car, dans le manuscrit que M. Van Pr
Geoffroy ne peut pas être le copiste : car ce volume qui renferme les
écrits
de huit auteurs moraux, me paroît écrit de la mêm
r ce volume qui renferme les écrits de huit auteurs moraux, me paroît
écrit
de la même main, et je ne vois pas pourquoi il au
t Esopus , et se termine par les mots : Explicit Esopus , qui ont été
écrits
à l’encre rouge à la suite de la table des matièr
mmuniqué par son compatriote Haenel, il avait trouvé la note suivante
écrite
de la main même du copiste : « In principio huius
découle tout naturellement celle de la date à laquelle elles ont été
écrites
. Cette date est d’un an ou deux antérieure au mar
aut pas oublier que les lettrés les plus purs du moyen âge, quand ils
écrivaient
en vers latins, se permettaient quelquefois de si
ste. Pour en revenir à celles de Walther, à l’époque où elles ont été
écrites
elles ont été universellement admirées. « Si Romu
blier quelque peu Romulus. » Éberhard de Béthune, qui, dans un poème
écrit
en 1215, les attribue à Ésope, dit que son vers n
nito libro sit laus et gloria Christo. Une main moins ancienne avait
écrit
au-dessous deux lignes, dans lesquelles se trouva
e in-8º, qui se compose seulement de dix-neuf feuillets en parchemin,
écrits
par une main du xive siècle. Les premier et dix-
xve siècle. Il porte sur le recto du premier feuillet cette mention
écrite
par un de ses anciens propriétaires : Jo. Bap. P
premiers vers de celle qui concerne la Matrone d’Éphèse, P. Pithou a
écrit
cette note : Hæc Fabula sumpta est Petronio Arbi
la raison connue sous 61 numéros. Chaque fable porte un titre spécial
écrit
à l’encre rouge. La dernière est suivie de ces mo
tre spécial écrit à l’encre rouge. La dernière est suivie de ces mots
écrits
avec la même encre : Deo gratias. Amen. K.
soixante fables de Walther. Elles sont précédées de cette invocation
écrite
à l’encre rouge : Sancti Spiritus assit nobis gr
é de barbarismes qui montrent qu’il ne le comprenait pas ; ainsi il a
écrit
Solo pour Sole, Thomas pour comas, soxosis pour s
une fenestre mal joincte. » Ces mots paraissent à M. Robert avoir été
écrits
pendant la minorité de Louis XIV433. Craignant qu
en parchemin, précédés d’un premier feuillet neuf qui porte un titre
écrit
par une main moderne, et suivis d’un dernier feui
prend que les six premiers vers de celui du manuscrit 1594 ; les vers
écrits
en l’honneur de Jeanne de Bourgogne n’y ont pas é
l ornement. La première est plus grande que la seconde. Elles sont ou
écrites
à l’encre bleue et ornées de petits traits à l’en
crites à l’encre bleue et ornées de petits traits à l’encre rouge, ou
écrites
à l’encre rouge et ornées des mêmes traits à l’en
t cette observation qui ne tire son importance que de la main qui l’a
écrite
et signée : « Le présent manuscrit, composé de 92
anche sont dans une belle reliure du temps. Il comprend 103 feuillets
écrits
, 3 blancs qui les précèdent et 3 autres blancs qu
s précèdent et 3 autres blancs qui les suivent. Il renferme 43 fables
écrites
en prose française, dont la moralité est suivie d
ne portent pas de titre général ; mais, en tête, une main ancienne a
écrit
cette sorte d’invocation : Alanii assit principi
d’aucun titre. Il en est autrement des fables, dont chacune a le sien
écrit
à l’encre rouge. Elles se terminent au bas du rec
de Phèdre manuscrit existait à la bibliothèque communale de Douai, m’
écrivit
et me demanda des renseignements sur le Phèdre, d
je ne puis mieux parler qu’en extrayant ce qui suit de sa biographie
écrite
par M. Delandine : « Pierre Adamoli, plein d’amou
siècle ; les pages les plus remplies n’ont que 27 lignes et ne sont
écrites
que sur une seule colonne. Le manuscrit a renferm
a été publiée par M. Robert442, confondre cette traduction, qui a été
écrite
dans le dialecte franc-comtois, et qui, d’un sièc
illet 1 a on lit : Incipit Esopus. Prologus. À la suite de ces mots
écrits
à l’encre rouge viennent les douze vers du prolog
e prologue viennent les fables, dont les titres latins et romans sont
écrits
à l’encre rouge. Fol. 16. — De gallo et iaspide.
yllabe du mot fecit a été grattée. Plus bas une main moins ancienne a
écrit
: Fecit transferi (sic) de latino in romanum.
néral, ni de titres particuliers. La lettre initiale de chaque fable,
écrite
à l’encre rouge, n’existe même que dans les premi
le titre général, une main moins ancienne, pour combler la lacune, a
écrit
, en tête du recto du premier feuillet, ces mots q
nsi qu’au lieu du mot Cervus, par lequel commence la fable xxxi, il a
écrit
Servus. Le manuscrit offre en outre de mauvaises
mitées aux soixante authentiques. En tête du feuillet 3 a, se trouve,
écrit
plus récemment que l’œuvre elle-même, un titre ai
À la suite du prologue se succèdent les fables, dont les titres sont
écrits
en marge à l’encre noire et soulignés à l’encre r
aussement relevée dans l’analyse du catalogue, mais par celle de 1407
écrite
en chiffres arabes. L’opuscule suivant, qui forme
iologus, qui, dans le manuscrit, précède les fables, paraît avoir été
écrit
par le même copiste, qui a, dans la souscription
complémentaires. Les quatorze premières ont seules reçu leurs titres,
écrits
à l’encre rouge. L’espace ménagé au-dessus de cha
ment du xive . Le titre et la première partie de chaque fable étaient
écrits
à l’encre rouge ; en marge, de place en place, ét
nferme le manuscrit. D. Manuscrit 4146. Ce manuscrit, qui a été
écrit
en 1436 et dans les années suivantes et dont l’or
tie en parchemin et partie en papier, qui se compose de 229 feuillets
écrits
et de quatre blancs à la suite. Les fables élégia
ient plusieurs opuscules, qui, d’après les dates qu’il porte, ont été
écrits
de 1425 à 1433. Il forme un volume in-fol. de 288
ne comprennent que 60 fables, et sont précédées de ces deux distiques
écrits
au bas du feuillet 171 a. Jucundos flores fructu
fin des fables qui se terminent au bas du recto du feuillet 18, il a
écrit
: Explicit Esopus. Deo gracias. Amen. E. Ma
t 10089 est un volume in-fol. composé de 69 feuillets en parchemin et
écrit
par une main du xve siècle. Il contient quatre o
forme un petit volume in-4º, composé de 65 feuillets en parchemin et
écrit
par une main du xive siècle. Il contient quatre
analyse il ressort que le manuscrit est du xve siècle et qu’il a été
écrit
en 1462 par un copiste nommé Jean Benoît. Il s’en
ns. Le manuscrit forme un volume in-fol. de 57 feuillets, et, bien qu’
écrit
sur papier, peut être considéré comme un livre de
partenu à Jean Galéaz, duc de Milan, pour qui il avait été sans doute
écrit
et illustré. Le duc Galéaz avait dû en apprécier,
ssous de la mention que je viens d’indiquer, il avait pris la peine d’
écrire
et de signer de sa propre main ce qui suit : dv
t iam tempus equum fumantia soluere colla. Immédiatement après a été
écrite
cette intéressante mention qui termine le manuscr
ment par l’écriture gothique et par les miniatures, qu’on le croirait
écrit
par le même copiste et illustré par le même artis
suite dire où le méticuleux et peu intelligent bibliophile, qui avait
écrit
ce titre, avait cru pouvoir prendre cette date su
chiere Madame iehanne de borgomgne. En marge de ce dernier vers il a
écrit
cette note : « femme de Philipes le Long qui régn
me sans nulle boise. Il s’ensuit que, si les deux manuscrits ont été
écrits
par le même copiste, celui de la Grenville librar
tiennent au xive siècle. L’un des cahiers renferme, fort lisiblement
écrites
, les fables de Walther qui commencent au feuillet
titre initial ; mais chacune d’elles est pourvue de son titre spécial
écrit
à l’encre rouge. Elles ne sont accompagnées d’auc
les fables de Walther qui sont désignées par les mots Fabulæ anonymi.
Ecrites
en gros caractères par une main habile du xive s
premier : Exopi fabulæ , le second : Glosa in poëtica Horatii , et
écrits
en gothique italienne du xive siècle, le premier
t au feuillet 98 a et finissent au feuillet 118 b. Le titre qui a été
écrit
au bas du feuillet 97 b, est ainsi conçu : Incip
s tibi sit, Christe, quando liber explicit iste, et par cette phrase
écrite
un peu plus bas : Explicit liber fabularum qui d
e les surmonte ; mais la fin en est annoncée d’abord par cette phrase
écrite
à l’encre rouge : Expliciunt fabule Ysopi , et e
: Expliciunt fabule Ysopi , et ensuite au-dessous par ce vers léonin
écrit
à l’encre noire : Explicit explicite quidquid li
te de chacune d’elles. B. Manuscrit 639. Le manuscrit 639 a été
écrit
sur parchemin par une main du xive siècle. Quoiq
papier portent une écriture du xve siècle. Il comprend 226 feuillets
écrits
et 6 laissés blancs. Les 60 fables de Walther qu’
feuillet 132, une main moins ancienne que celle du copiste primitif a
écrit
ce qui suit : « C’est le liure des fables de Ysop
me que celle des épigrammes. En tête une main un peu moins ancienne a
écrit
ce titre : Garicii prologus , dont il a été ques
plus bas on lit : Finis. Au-dessous du mot Finis une autre main a
écrit
le titre et les deux premiers vers de la fable he
opi. Deo gratias. Amen. D. M. Au-dessous une main du xvie siècle a
écrit
ces mots : Reverendissimo in Kpo patri domino Ni
dont les feuillets sont en papier et qui renferme plusieurs ouvrages
écrits
à des époques très diverses. L’écriture des fable
tre général ; mais chacune d’elles est accompagnée d’un titre spécial
écrit
à l’encre rouge et de nombreuses gloses marginale
qui commence au milieu du verso du feuillet xx porte un titre général
écrit
à l’encre rouge et ainsi conçu : Incipit liber E
es fables, elle n’est pas la seule : il en existe une seconde qui est
écrite
sur deux colonnes, et qui s’étend du feuillet 60
cun titre général, mais sont précédées chacune d’un titre particulier
écrit
à l’encre rouge. Toutefois l’espace blanc destiné
er feuillet sans titre général, mais sont munies chacune de son titre
écrit
à l’encre rouge. Elles sont au nombre de soixante
En tête du prologue on lit, en guise de titre général, ce pentamètre
écrit
à l’encre rouge : Adsit principio virgo Maria me
! Les fables munies de titres spéciaux à chacune d’elles, également
écrits
à l’encre rouge, sont au nombre de soixante-deux.
rs feuillets du troisième. Tout au haut du recto du premier feuillet,
écrits
en lettres très fines, se lisent les mots yesus
re fable, en lettres moins fines et avec une encre plus noire ont été
écrits
les mots : Finis. laus deo. || τελως. 11º B
ncre rouge. Le recto du feuillet xxvi et dernier contient un opuscule
écrit
par une autre main. § 10. — Suisse. 1º
po et Pastore. Elles sont précédées du titre général suivant, qui est
écrit
à l’encre rouge : Liber moralis Ezopi fœliciter
Bâle sous la cote C. E. VI. 49. « Cette édition lyonnaise de 1498, m’
écrivait
le 13 décembre 1881 M. Sieber, conservateur de la
’ailleurs très sommaire. Manuscrit 1338. Ce manuscrit, qui a été
écrit
sur papier au xive siècle par une seule main, fo
portait autrefois le nº 51, et finit au feuillet 61. Les titres sont
écrits
à l’encre rouge, et chaque fable est suivie de sa
s variantes et corrections tirées d’autres manuscrits et probablement
écrites
par Smunto ou par Annebiato, ses anciens possesse
mêmes dans les autres manuscrits. Manuscrit 2971. Ce manuscrit,
écrit
sur papier, renferme trois fables en vers ; la pr
s, suivies chacune d’une morale, qui porte pour titre le mot Notabile
écrit
aussi à l’encre rouge, et qui est précédée de l’é
les ayant mises en vers italiens466, son œuvre, sous forme de sonnets
écrits
dans le dialecte véronais, fut imprimée pour la p
e la Colombine a appartenu à Fernand Colomb qui, de sa propre main, a
écrit
, sur un feuillet supplémentaire inséré à la fin d
e assis qui lit ses fables, sur un siège inférieur un copiste qui les
écrit
, et quatre auditeurs dont deux sont à droite et d
ître à « Honorato de Aragonia », après laquelle vient la vie d’Ésope,
écrite
en latin et divisée en chapitres accompagnés chac
qu’il devint, en 1215, abbé de leur maison établie Exeter et qu’il y
écrivit
la plus grande partie de ses ouvrages. Le nombre
c’est-à-dire de la fable du Loup et de la Grue. Phèdre d’abord avait
écrit
ce membre de phrase : Os devoratum fauce quum hæ
e, et je les tiens toujours pour bonnes. J’ajoute que, lorsque Neckam
écrivait
, l’Æsopus ad Rufum et le Romulus primitif devaien
d’après le Romulus ordinaire, la fable du Loup et de l’Agneau, avait
écrit
les quatre vers suivants : Sic iterum tonat ore
lement sur l’encre noire de l’écriture. Au-dessous du titre se trouve
écrit
à l’encre rouge le numéro de la fable. Le distiqu
485, le manuscrit de la bibliothèque de Berlin, qui paraît avoir été
écrit
en France en 1449, n’est point passé sous ses yeu
ont disparu, et auquel pourtant il en reste encore 443 en parchemin,
écrits
sur deux colonnes en caractères gothiques par une
Les fables qui viennent ensuite sont seulement au nombre de quarante,
écrites
à la suite les unes des autres, sans espace qui l
e manuscrit, au bas de la 2e col. du feuillet 183 b, par cette phrase
écrite
à l’encre rouge : Cy finent les fables d’Ysopes
l de l’examiner le premier. Le manuscrit 15213 forme un volume in-8º,
écrit
sur parchemin en gothique de la fin du xive sièc
t chaque miniature est elle-même surmontée d’un titre à l’encre rouge
écrit
par une main habile. Quant au texte lui-même, si
Romulus de Nilant. Par exemple, dans son premier livre, Phèdre avait
écrit
: Fable 1. Ad rivum eundem Lupus et Agnus venera
ême feuillet, porte à l’encre rouge ce titre abrégé : Incipiunt f. ,
écrit
à la suite de la souscription précédente. Les fab
ition, risquer une conjecture sur le nom de celui qui pouvait l’avoir
écrite
. Faute par lui d’avoir complété sa critique, le m
r moins de confiance que les autres, que, si ce n’est pas Marie qui a
écrit
ce nom, les copistes qui, dans deux manuscrits, l
ta puis en englois. Suivant elle, c’est donc le roi d’Angleterre qui
écrivit
la traduction anglaise. Si, au contraire, on s’en
ais pas empêché par le défaut d’espace, je n’entreprendrais pas ici d’
écrire
la biographie complète de Marie : je ne voudrais
(sic) qu’on estimait ses ouvrages. Pour nous qui croyons que Marie n’
écrivait
pas en France, mais en Angleterre, c’est dans ce
l’opinion émise par Legrand d’Aussy, il faudrait admettre que Marie a
écrit
ses fables vers le milieu du xiiie siècle. C’éta
acceptée par M. P. Chabaille. Remarquons enfin que Marie, lorsqu’elle
écrivait
ses fables, vivait depuis longtemps à la cour des
avait entendus et la composition des lais que, comme ses fables, elle
écrivit
sans doute en Angleterre et dont, selon M. de Roq
mbule de dix vers et suivis d’un complément de douze, double addition
écrite
dans le rythme octosyllabique que Marie avait ado
une traduction, eût vraisemblablement reculé, que la troisième a été
écrite
en vers de six syllabes, c’est-à-dire en vers d’u
rtait auparavant la cote 7615, forme un volume in-4º de 218 feuillets
écrits
, dont l’écriture sur deux colonnes est due à une
deux colonnes est due à une main du xiiie siècle. Les 218 feuillets
écrits
sont précédés de deux autres qui ont été ajoutés
cueil de l’origine de la langue et poésie françoise. Voyez ce qu’il a
écrit
au bas de la première page de ce manuscrit. Les n
mention ajoutée par une main plus récente : « Le copiste semble avoir
écrit
à Paris. Les formes qu’il emploie, surtout dans l
Au bas du recto du deuxième feuillet ajouté, le président Fauchet a
écrit
: « C’est à moi Claude Fauchet par eschange fait
e premier de ces deux titres, le doute n’est pas possible ; en effet,
écrite
en vers de six syllabes, elle n’est pas dans le r
e même de la fable à laquelle s’applique le second titre : elle a été
écrite
en vers octosyllabiques ; mais il faut se rappele
mposa en 1245. À la fin de cet ouvrage on voit que ce manuscrit a été
écrit
en 1265. 2º L’histoire des Oiseaux moralisée, ali
s font défaut. Les fables sont toutes pourvues de titres particuliers
écrits
à l’encre rouge, et chacune d’elles est surmontée
es de l’épilogue, se terminent par la souscription Explicit Esopes ,
écrite
en gros caractères. Le manuscrit qui les contien
ier, le second en parchemin. Sur le recto du feuillet en papier a été
écrite
une note qui assigne au manuscrit l’année 1204, d
le manuscrit est la quatre-vingt-troisième, on lit ce distique léonin
écrit
, sans doute par quelque moine, avec une encre plu
36 ont été omis. Les fables portent des titres spéciaux, qui ont été
écrits
par la même main que le titre général dans l’espa
euxième colonne du feuillet 49 a, on lit ce commencement d’ex libris,
écrit
en très gros caractères gothiques : Je cuy à frè
M. de Roquefort528, les fables sont suivies de l’épilogue ordinaire,
écrit
par la même main que les titres ; comme dans celu
ante vers. Les fables qui le suivent sont pourvues de titres spéciaux
écrits
à l’encre rouge. Comme le titre général l’indique
feuillet en papier ajouté par le relieur, un premier bibliothécaire a
écrit
cette mention : « 978. Ni fallor, cod. sec. XIV ;
« Selon toute probabilité, la plus ancienne partie de ce volume a été
écrite
à l’abbaye de Reading vers l’année 1240. Comparez
at in-4º, qui est composé de 120 feuillets en parchemin, savoir : 117
écrits
et 3 blancs, et dont l’écriture à deux colonnes e
roy, comte de Chimay. Signé : Charles. » Les fables de Marie ont été
écrites
dans le dialecte picard ; elles s’annoncent par c
la détermination de l’époque à laquelle le Romulus Roberti a dû être
écrit
. Sur ce point, je n’ai que quelques mots à dire :
94 b (en réalité 195 b), sont suivies de ce mauvais pentamètre léonin
écrit
à l’encre noire : Explicit, expliceat, ludere sc
résent je me borne à faire remarquer qu’à moins de soutenir qu’elle a
écrit
un mensonge, on ne peut affirmer qu’elle l’a comp
du xiiie siècle. C’est ainsi, par exemple, que Marie de France, qui
écrivait
à la fin du xiie siècle ou, au plus tard, au com
siècle. Sur le recto du premier feuillet on lit l’ex libris suivant,
écrit
sans doute par un des moines du couvent bénédicti
que la collection est complète. Chaque fable est surmontée d’un titre
écrit
à l’encre rouge et suivie d’un dessin à la plume
érivées de celles de Walther. Le tout est clos par cette souscription
écrite
à l’encre rouge : Explicit Auianus de fabulis de
Puis viennent les fables précédées elles-mêmes de ce titre également
écrit
à l’encre rouge : Incipit liber fabularum quos (
au nombre de 136, et chacune d’elles est pourvue d’un titre toujours
écrit
à l’encre rouge. Enfin elles sont suivies des dix
traduction en vers romans, lorsqu’en 1370 un certain Gérard de Minden
écrivit
à son tour en bas-allemand une traduction poétiqu
dans la Deuxième Série des éléments pour la connaissance des anciens
écrits
et de l’ancienne langue allemande (Magdebourg, 18
c || et habitait à Athènes ; || il avait un esprit ingénieux, || et a
écrit
beaucoup de livres artistiques, || pour servir d’
oque à laquelle il a été composé. Il me paraît supposable qu’il a été
écrit
fort peu de temps après la première apparition de
effet on veut rétablir les mots dans leur ordre logique, on doit les
écrire
ainsi : Ast per Styga jurabit vel per numina Divu
malheurs. Dans une traduction publiée à la Haye en 1725, l’éditeur a
écrit
: « J’ai choisi quelques sujets pour me consoler
l n’avait pas pu ne pas s’apercevoir que les fables de Phèdre étaient
écrites
en vers ïambiques. 97. Dissertation sur les qu
fut fondé qu’en 1059, c’est-à-dire environ 25 ans après que Guido eut
écrit
son Micrologue de musique. » 132. M. Fétis n’e
e Phèdre, établi que le livre III avait été, comme les deux premiers,
écrit
et probablement publié sous le règne de Tibère et
porte dans l’Epitome de Perotti le nº 28, montre qu’à l’époque où il
écrivait
son traité De generibus metrorum Jacob de Vérone
philologie au gymnase de Hamm, en Westphalie. Érudit distingué, il a
écrit
un grand nombre d’ouvrages, dont le premier fut u
n France au xvie . Protecteur des lettres, il les cultivait lui-même,
écrivait
des vers, et composait des chansons, qui furent,
Elemens, pour prouver cette verité. C’est à faire à un autre genre d’
écrire
que celuy cy. Je parcourray seulement les grands
ne sont remplis que de ces reproches ; Et Ovide mesme en ses Amours,
écrit
bien souvent contre la legereté de ses Maistresse
e celles que font les hommes, voire mesme jusques là que d’avoir sçeu
écrire
ces propres paroles. J’AY MOY-MESME ESCRIT CECY,
nte, pour verifier le raisonnement des bestes. Quant à l’Elephant qui
écrivit
de sa trompe, il est certain qu’il ne le fist que