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1 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — XIV. Le Lion malade, et le Renard. » p. 142
e bien traiter Les Deputez, eux et leur suite ; Foy de Lion trés-bien écrite . Bon passe-port contre la dent ; Contre la griffe
2 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XVIII. Le Renard et la Cicogne. » p. 426
la queue, et portant bas l’oreille.
 Trompeurs, c’est pour vous que j’ écris ,
 Attendez-vous à la pareille.
3 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — III. Le Loup devenu Berger. » p. 451
Cornemuse.
 Pour pousser jusqu’au bout la ruse, 
Il auroit volontiers écrit sur son chapeau,
 C’est moy qui suis Guillot Berg
4 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 277 » p. 264
qui se rapporte à la viande et aux os. » L’âne ayant parcouru tout l’ écrit , sans rien trouver de ce que le chien cherchait,
5 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LA VIE. D’ESOPE. PHRYGIEN. Tirée du Grec de Planudes, surnommé le Grand. — Du Pays, et de la condition d’Esope. Chapitre J . »
s hommes, de qui la plume excellente s’est employée à nous mettre par écrit l’estat des choses du monde, et leurs naturelles
6 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XIII. L’Astrologue qui se laisse tomber dans un puits. » p. 40
ilité, pour exercer l’esprit De ceux qui de la Sphere et du Globe ont écrit  ? Pour nous faire éviter des maux inévitables ? N
7 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — FABLE I. Contre ceux qui ont le goust difficile. » p. 
Renard qui cajole un Corbeau sur sa voix. De plus il vous sied mal d’ écrire en si haut stile. Et bien, baissons d’un ton. La
8 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XVI. Le Loup, la Mere et l’Enfant. » p. 158
ur du Village à sa porte les mit ; Et ce dicton Picard à l’entour fut écrit  : Biaux chires leups n’écoutez mie Mere tenchent
9 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre sixiéme. — II. Le Lion et le Chasseur. » p. 326
raison qu’égayant leur esprit, Nombre de gens fameux en ce genre ont écrit . Tous ont fuy l’ornement et le trop d’étenduë. On
10 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre quatriéme. — XII. Tribut envoyé par les Animaux à Alexandre. » p. 339
hommage et pour la maniere, Le Singe en fut chargé : l’on luy mit par écrit Ce que l’on vouloit qui fust dit. Le seul tribut
11 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
ter les opinions. Son ouvrage sera désormais la base de tout ce qu’on écrira sur le même sujet. Nous voulons surtout espérer q
public compétent à laquelle il attache du prix. Si le recueil où nous écrivons peut ajouter assez d’autorité à nos paroles pour
ccupé de lui, aucun de ses contemporains ou du moins de ceux dont les écrits nous sont parvenus, n’a seulement paru se douter
se de son nom ; aujourd’hui pour nous il n’y a pas deux manières de l’ écrire . Mais quel était son nom latin ? Était-ce Phæder
irmer, c’est qu’il y avait été conduit bien jeune. On trouve dans ses écrits la preuve qu’il n’était pas encore entré dans l’â
e son bienfaiteur lui aurait attiré la haine de Séjan, et il n’aurait écrit ses apologues que pour rendre à son persécuteur l
se faisant fabuliste, n’avait pas cédé à des idées de vengeance. Ses écrits prouvent qu’il avait des aspirations plus nobles.
traduit en justice, le fabuliste, dans le prologue de son livre III, écrivait « qu’il avait déraciné de son cœur l’envie d’amas
lu, ce qui d’ailleurs n’aurait pas rendu le vers faux, que Phèdre eût écrit , non In calamitatem, mais In calamitate. L’erreur
l’on accepte ce sens, il faut admettre qu’il déclare que ce sont ses écrits qui lui valurent les poursuites dirigées contre l
es fables de Phèdre. — Reste la question de savoir à quelle époque il écrivit et publia ses cinq livres. L’opinion la plus géné
se par les critiques, c’est qu’aucun des cinq livres de Phèdre ne fut écrit ou au moins publié pendant la vie de Tibère. Croy
te pas à dire que c’est au milieu du règne de cet empereur que Phèdre écrivit toutes ses fables, et, donnant une date à leur pu
deux fables Ranæ ad Solem et Ranæ regem petentes furent non seulement écrites , mais encore connues avant la chute de Séjan. Il
re Desbillons considérait donc les fables ii et vi du livre Ier comme écrites et connues sous le règne de Tibère ; il paraît ad
êché les critiques d’admettre qu’ils eussent été publiés ou seulement écrits sous Tibère, c’est qu’ils y avaient vu des allusi
tration de ce dernier, il avait pu, sans rien craindre, non seulement écrire , mais encore publier ses deux premiers livres. Qu
ices, consentir à rester ignoré, et, si l’amour du bien inspirait ses écrits , il n’en désirait pas moins que l’immortalité en
éjà laissé apparaître dans l’épilogue de son livre II, quand il avait écrit  : Si livor obtrectare curam voluerit, Non tamen
la première partie de son livre IV, et, quand, après avoir renoncé à écrire , il reprend la plume et ajoute à son quatrième li
à fait observer, qu’il a fait une route du sentier tracé par Ésope et écrit plus de fables que son devancier n’en avait laiss
éraire. La postérité ne garde pas le souvenir de ceux qui, dans leurs écrits , ont mal exprimé les idées même les plus neuves ;
ncore sa brièveté qu’il fait valoir auprès de lui, pour assurer à ses écrits l’approbation de son protecteur : Si non ingeniu
immortalité, le courage de ne la demander qu’à la seule valeur de ses écrits . Chapitre II. Manuscrits de Phèdre. Il est
e dans le plus complet oubli ; personne ne savait ce que Phèdre avait écrit  ; on ignorait presque son nom. Il avait éprouvé l
parce que, l’exerçant surtout dans son cabinet par ses consultations écrites , elle lui fournissait l’occasion de se livrer à d
orbantes, les calmes loisirs qu’il recherchait et qui lui permirent d’ écrire de nouveaux ouvrages et notamment de publier la l
ple Loysel, à y remplir les fonctions de procureur général. « Chargé, écrit Grosley, de la correspondance de la Chambre avec
nts politiques. Il continua à contempler, avec une tristesse dont ses écrits portent l’empreinte, les sanglantes discordes de
ien de remarquable ; le deuxième, quoique très rogné, porte des notes écrites par trois mains différentes. Je n’ai aucune remar
ompe ; car l’exemplaire ne contient que celles du manuscrit de Pithou écrites par Nicolas Rigault lui-même, qui fut, comme on l
ve ; c’est là du moins ce qui paraît ressortir de la mention suivante écrite sur le titre, selon l’usage du temps : « Ex libri
séquestration forcée et ses communications ayant été rétablies, j’ai écrit , pour me renseigner, au conservateur de la Biblio
rtrait plus simple, ni plus touchant, que lui-même dans son testament écrit en langue latine neuf ans avant sa mort, le 1er n
u, pourraient mettre facilement un terme à leur incertitude. Il porte écrites de la main de Rigault les variantes du manuscrit
ition de Pithou. Mais, après ces deux savants, aucun de tous ceux qui écrivirent sur Phèdre, ne songea à recourir au manuscrit. Sc
France91. » Cette note étant parvenue à sa connaissance, Schwabe «  écrivit à M. Hase, membre de l’Institut, pour lui demande
ase, s’empressa de se rendre à son désir, et, au mois de mai 1828, il écrivit à M. Le Peletier de Rosanbo, pour lui demander l’
ettres du commencement des fables sont des majuscules toutes simples, écrites avec pureté et ayant environ trois ou quatre fois
ue facilement à l’œil la séparation des fables. Car du reste ils sont écrits à la suite des derniers mots de la fable précéden
jours facile à voir. « Il paraîtrait que le calligraphe, après avoir écrit tout son manuscrit, l’a relu et a corrigé tantôt
ignifie rien, le calligraphe, qui paraît n’avoir pas compris ce qu’il écrivait , les ayant placés comme au hasard. Quelques-uns s
ure est en carton recouvert d’un parchemin tout uni. Le manuscrit est écrit sur un parchemin d’une épaisseur moyenne. Il est
ouveau prologue, par lequel Phèdre, après avoir quelque temps cessé d’ écrire , commence la seconde série de fables qui doit le
livre se divise en deux parties bien nettement séparées. Après avoir écrit la première qu’il avait adressée à Particulon, Ph
core fort abondante, il ne veut pas, dans la crainte de l’importuner, écrire davantage. Puis, comme il est rare qu’un poète qu
ctement copié. Ces papiers mêmes forment, dans leur longueur, la page écrite . Que ne puis-je, monsieur, vous donner des marque
r attribué à M. Dacier cette note, qui, évidemment, ne peut avoir été écrite que par M. de Foncemagne, l’auteur de la notice e
us inintelligible. En voici le texte : « Depuis que cette note a été écrite , on a recouvré à la Bibliothèque du Roi l’exempla
note, qui contient autant de faussetés que de mots, ne peut avoir été écrite par M. de Foncemagne. Attaché à la Bibliothèque d
hèdre, avec les fautes et les bévues de notre copiste. « À sa façon d’ écrire vous jugerez aisément qu’il avait sous les yeux u
exemple, donnant au c le son du q, et mettant des o pour des u, il a écrit qui ou qoi, quoi pour cui ; ainsi il dit intelleg
il jeta un dernier coup d’œil sur l’imprimé qui portait les variantes écrites de sa main, il s’aperçut de son omission, et au b
ssion, et au bas de la page 3, sur laquelle commençait le livre I, il écrivit  : « J’ai manqué dans le temps, et je ne sais comm
et en prit même une copie entière, dont il comptait faire usage, pour écrire « l’histoire de toutes les disputes qui se sont é
manuscrit de Reims ; il n’en a connu les variantes que par les notes écrites de la main du Père Sirmond en marge d’un exemplai
e n’était pas l’opinion d’Orelli. « Il faut tenir pour bien constant, écrit -il dans son édition de 1831, que toute variante t
te Dom Vincent108, le copiste, sans se préoccuper des vers, les avait écrits comme de la prose. « Les vers, dit-il, n’y sont p
rit, le copiste, heureux sans doute d’avoir achevé son travail, avait écrit  : « Phædri Aug. liberti Liber quintus explicit fe
, les vers n’ont été observés ni par l’un ni par l’autre. Ils les ont écrits comme de la prose. Dom Vincent, en voyant dans l’
in de chaque vers, et que chaque vers nouveau était sans interruption écrit à la suite du précédent. Il est vraisemblable que
de cette copie, ne s’est pas aperçu qu’il copiait des ïambes et les a écrits comme de la prose. Ce qui me confirme dans cette
le manuscrit de P. Daniel, chaque vers occupe seul la ligne où il est écrit . Or ce manuscrit, qui paraît être du xie  siècle,
e le faire parler lui-même. Voici ce qu’au sujet de cette comédie, il écrivait , en 1774, dans l’almanach de Reims112 : « “Au Ph
bare, ou parce qu’il tombait dans de fréquents barbarismes, puisqu’il écrit en latin, et qu’il s’exprime en bons termes.” En
, au commencement du ve  siècle (ibid. p. 93, not. col. 1). “Vossius, écrit en effet D. Rivet, croit que c’est à Rutilius (Cl
à ce prince, qui a cessé de régner l’an 27 de J.-C. ; mais il aurait écrit à coup sûr avant l’édit donné contre les Druides.
ant les fautes du manuscrit, l’a légèrement dénaturé113. Ce qui a été écrit sur son origine est exact : il dépendait de la bi
s verront que j’use de ménagement dans mes appréciations. « En 1660, écrit M. Rochefort122, le trône de Suède étant devenu v
ntatives pour y remonter. Le pape Alexandre VII eut la complaisance d’ écrire en cette occasion à Louis XIV, pour lui recommand
r124. » Il était, comme on le voit, assez affirmatif ; mais il avait écrit avant les événements dont la Révolution de 1789 a
me incertitude, Adry, dans son Examen des nouvelles fables de Phèdre, écrit en 1812, disait : « Il a peut-être été apporté à
abbé Maï pourrait peut-être donner la solution. » Ces lignes étaient écrites depuis quelques mois à peine, que l’abbé Maï la d
l 133. Leur erreur provient de ce que la septième fable du manuscrit, écrite , sans titre à l’encre rouge, à la suite de la pré
d jusqu’au bas du recto du feuillet 20. Les mots, quoique grecs, sont écrits en caractères romains du xiie  siècle, et souvent
Le texte grec est accompagné, en interligne, de la traduction latine écrite en lettres de moindre grosseur. Cette traduction
t examiné, se sont étrangement trompés sur son contenu. Ce qu’ils ont écrit à cet égard montre quelles incroyables fautes on
n la discutant, ne fut pas très bien inspiré. « Parmi ces manuscrits, écrit -il en parlant des livres de l’ancienne abbaye de
observer que, dans le manuscrit de Pithou, le premier vers est ainsi écrit  : Fraudator homines cum avocat sponsore improbo,
e dernier, il est vrai, dans son Excursus sur la fable xvi 145, avait écrit cette phrase : « Grævius è Schedis Dan. legendum
Burmann, dans l’ouvrage cité par Schwabe, il avait publié une lettre écrite à Utrecht en 1658, dans laquelle Grævius disait à
Léon Allatius, puis par Jacobilli et enfin par Apostolo Zeno. Avant d’ écrire les œuvres d’érudit qu’il a laissées, il avait co
vers la fin de son recueil, des épigrammes grivoises qu’il n’avait pu écrire qu’avant sa promotion au siège de Siponte, et il
e Ginguené148, qu’il n’avait pas eu, en le commençant, la pensée de l’ écrire pour son éducation. Si le manuscrit renferme bea
sur les différents genres de mètres poétiques, que lui-même dit avoir écrit à une époque où, depuis une dizaine d’années, il
quatus Perotti, évêque d’Amera, qui avait réuni en un seul volume les écrits connus de Niccolo, avait-il omis son Epitome. Dan
r à son professeur Burmann, qui était devenu son meilleur ami. Il lui écrivit en même temps qu’il se mettait à sa disposition p
ches quelques pages, destinées à d’autres fables qu’il se proposait d’ écrire et à l’index qui devait d’autant s’augmenter. Il
i Burmann n’avait dit au public dans sa préface, ni d’Orville n’avait écrit en tête de son extrait, dans quelle bibliothèque
’exhumer. Sur la fausse indication donnée par Apostolo Zeno, il avait écrit au comte Mazzuchelli, pour le prier de faire de m
méthode, d’érudition et de clarté, que de tous les fabulistes qui ont écrit depuis le siècle d’Auguste jusqu’au temps où viva
gner. Il explique alors que Phèdre, quoiqu’il eût vécu sous Tibère, n’ écrivit que pendant les règnes de ses successeurs, et il
s dissertations furent remplacées par un avertissement en trois pages écrit à la Bibliothèque même, et daté des ides de févri
vie de Phèdre ne venait elle-même qu’après une préface en huit pages, écrite encore à la bibliothèque et datée des calendes de
déguiser maladroitement la leçon du manuscrit ? « Fable v, vers 3, il écrit  : Ut jura possent veritatem dare, comme si à la
a. Cette édition était précédée d’un avis au lecteur en cinq pages, écrit comme les précédents à la Bibliothèque royale, et
2 | MDCCCXII. En tête du volume que je possède, une main inconnue a écrit  : « Édition donnée par les soins de M. Chambry. »
omplètement disparu. Les titres et la première lettre de chaque vers, écrits à l’encre rouge, ont un peu mieux résisté ; mais
partie du manuscrit comprend soixante-quatorze feuillets, savoir : 57  écrits et 17 blancs. Elle commence par un prologue, ou d
ine 27 ans. Toutes les compositions qui constituent son recueil, sont écrites en vers, sauf une épître en prose qui y porte le
concitoyen Veltrius, il déclare qu’il avait commencé de bonne heure à écrire le recueil de vers qu’il lui adresse et qui avait
cueil fut souvent abandonné et repris par lui, et qu’avant d’en avoir écrit la moitié il avait perdu de vue le commencement.
cette contradiction ? La réponse me semble facile. Après avoir ainsi écrit , à des intervalles plus ou moins longs, dans ses
récèdent, que c’est Veterani d’Urbin, qui, à une époque antérieure, a écrit le volume, et que, si l’écriture de son épigramme
ne étude sur Phèdre, il ne saurait être négligé. « Je m’en souviens, écrit le Père Vavasseur dans son livre intitulé De ludi
prunter à Avianus la fable Arbores in tutela deorum ? Avianus n’avait écrit que quarante-deux fables ; on ne peut en douter ;
on manuscrit a jeté sur la question un jour lumineux. « Comme je l’ai écrit ailleurs au sujet de mes lettres, disait-il dans
nesse, et que mon âge et ma profession, si on les supposait récemment écrites , pourraient à bon droit peut-être faire juger rép
Veltrius, que son épître, d’ailleurs non datée, avait sans doute été écrite par anticipation, que les additions contemporaine
pas au siècle d’Auguste et que par suite elles ne pouvaient avoir été écrites par l’affranchi de cet empereur. Le chapitre xxvi
les règnes de Tibère et de Claude, Sénèque, suivant eux, n’aurait pas écrit que les fables ésopiques étaient un genre de litt
iée à Amsterdam en 1731213, en considérant les Consolations à Polybe, écrites au commencement du règne de Claude, comme antérie
omme qui se livre à un travail persévérant et l’auteur des fables n’a écrit que des choses vulgaires dans un style obscur et
modèles avaient été des auteurs latins, n’aurait pas dit qu’il avait écrit ses fables rudi latinitate 218 ? Le Phèdre dont i
l’imagination de Perotti. Il avoue pourtant que tout ce que Perotti a écrit n’est pas original, qu’il transporta dans ses com
de Dijon ne sont que la traduction en prose de fables originairement écrites en vers ïambiques, et que cette traduction, ayant
e nom de Romulus. Ce Romulus, surtout s’il était Athénien, n’a pas pu écrire un latin si barbare. Il est l’auteur de fables, q
n’était pas encore, malgré la mort de Séjan, sorti de ses misères, il écrivait à l’un de ses protecteurs, à la fin de son livre 
la troisième année du règne de Claude, année pendant laquelle Sénèque écrivit ses Consolations à Polybe. Car, de la mort de Séj
Ce qui porte Schwabe à se rallier à cet avis, c’est que Sénèque a dû écrire ses Consolations à Polybe vers la troisième année
ans le prologue de son livre Ier. Partant de là, lui-même appelle ses écrits jocos et pour lui le mot jocari est presque sacra
mot resolvere, qu’il torture à plaisir, signifie étendre, augmenter, écrire en termes plus prolixes, tandis qu’en réalité il
e plus tard attestée par le savant Daunou236. « À l’égard de Phèdre, écrivait Eichstædt en 1812, j’ai toujours pensé qu’il fall
président du parlement de Paris, et bientôt après l’Allemand Gœttling écrivit qu’il avait feuilleté au Vatican le manuscrit de
assertion formelle, complètement désintéressée, et par le temps où il écrivait et la ville qu’il habitait, par son opulence et l
is il n’en a pas parlé, parce que Phèdre, Macédonien d’origine, les a écrites dans la langue de son pays. Le genre même qu’il a
galement dans la Grèce héroïque : Ésope, qui sans doute ne savait pas écrire , ne fit qu’appliquer aux circonstances de la vie
fonds commun. Ce ne fut que longtemps après sa mort que ses fables s’ écrivirent et que, pour leur donner une application plus éte
êtaient admirablement à l’exercice ainsi recommandé. Phèdre les avait écrites en vers ïambiques peu usités dans la prosodie lat
ans les écoles ; ces imitations de quelques passages de Martial qui n’ écrivit qu’après lui ; cet ïambe presque prosaïque, qui n
lait corriger les mœurs, il est évident qu’il n’avait pas pu songer à écrire en grec. Sans doute la fable ésopique était étran
de ces paraphrases, qui consistent à mettre en prose un texte d’abord écrit en vers, dont les ïambes phédriens auraient pu êt
té plus d’un vers à Molière ; le style de Térence s’explique dans les écrits d’un affranchi grec, qui, instruit dans les école
’auteur des fables qui portent son nom, qu’affranchi d’Auguste il les écrivit sous les règnes de ses successeurs, qu’il les com
squels il cherche à démontrer qu’aucun auteur autre que Phèdre n’a pu écrire les fables nouvelles. Je me hâte de parcourir ceu
allusion à l’esclavage et aux jeux du cirque, c’est qu’elles ont été écrites dans un siècle où ils étaient encore en usage. Po
t que le règne de Constantin, et avant lui quel autre que Phèdre a pu écrire les fables nouvelles245 ? 2º La fable De Pompeio
e oraculo Apollinis ne peut être aussi que de Phèdre ; elle n’est pas écrite dans un esprit d’incrédulité ni de moquerie. Or l
Æsopi sunt, et Avieni, et Phædri. Il est évident qu’Ésope n’a pu les écrire , et que Perotti ne le cite que comme la source à
ans son recueil. Toutes les fables d’Avianus sont connues ; il n’en a écrit , de son propre aveu, que quarante-deux, et dans a
présentent sont au surplus prouvées par les interprétations en prose, écrites au moyen âge. On y trouve beaucoup de fables qui
ibuer les fables nouvelles, il n’est pas nécessaire de supposer qu’il écrivit plus de cinq livres, et qu’au contraire y trouvan
ou qui le suivirent à Rome, et l’on devrait les retrouver dans leurs écrits . Mais chaque écrivain éminent n’a-t-il pas son ca
Mais, pour démontrer qu’avant Perotti d’autres que Phèdre ont pu les écrire , il ne découvre pas d’autres exemples à citer que
ncieux qui les a troublés. Il me semble évident que la même critique, écrite par tout autre, n’aurait pas produit le même effe
il sous la direction de Lemaire, Barbier, dominé par cette influence, écrivait encore : « Un homme aussi profondément versé que
pièces de vers qui sont incontestablement de lui. Presque toutes sont écrites dans le rythme élégiaque qu’il aimait et qu’il ma
corum penuria. Elle est certainement l’œuvre de Perotti ; or elle est écrite dans ce rythme élégiaque qui. avait toute sa préd
le est aux trois quarts empruntée à Phèdre, il est évident qu’il a dû écrire dans le même rythme les vers qui émanent de lui.
rale à la fable elle-même, il est encore évident qu’ils devaient être écrits dans le même mètre. Il y a mieux : ces exemples e
cande ces vers et qu’on me dise si l’on croit encore que Perotti a pu écrire les fables nouvelles ! Ce n’est pas tout ; le man
aterna iura bobus optat propriis. Mais Perotti ne s’est pas borné à écrire ainsi un traité général de versification ; il s’e
à l’âge mûr qu’il a composé ses traités de versification. De pareils écrits , qui sont avant tout des ouvrages de patience, ne
livre, ce qui est impossible ; car Avianus déclare que Phèdre n’en a écrit que cinq, et le manuscrit de Pithou, auquel, quoi
e livre ; mais il est probable qu’il n’a jamais cru que Phèdre en eût écrit plus de cinq. Il est vrai aussi qu’aucun feuillet
-il pas que les deux premiers fussent bien longs, pour que Phèdre pût écrire  : Ego illius pro semita feci viam, Et cogitavi p
er, en tête du feuillet 195 où commencent les fables ésopiques, avait écrit cette note : Harum quæ sequuntur fabularum quæda
recherches. Lorsque je fus de retour à Paris, muni de l’autorisation écrite de M. du Rieu, je pus sans difficulté prendre com
rtial. J’ajoute qu’il y avait pris naissance. C’est là qu’avaient été écrites les pièces dont la réunion l’avait constitué. Pre
ar avait consacré à l’étude tous les loisirs de sa vie monastique, et écrit plusieurs ouvrages, dont, avant son départ, il av
rs copistes. Il est néanmoins possible qu’il soit presque entièrement écrit de la main d’Adémar, et que la différence dans le
imo nobis interrogandum est quod nomen habeat ista prefacio. Au texte écrit par une première main une seconde a ajouté en mar
mots montrent qu’à la suite du prologue venait le livre même de Caton écrit sur un autre cahier qui n’aura pas été retrouvé p
pour apprécier quelles sont les autres parties du manuscrit également écrites par lui. Il y a réuni des traités divers, qui en
anche, un moine de Saint-Martial, au xie  siècle, en a profité pour y écrire le précieux renseignement qui suit : Hic est lib
bre de phrase et le mot Pisces , un copiste moins ancien qu’Adémar a écrit ce titre d’une liste de moines de Saint-Martial :
onasterium Sancti Martialis lx monachi. Au-dessous le même copiste a écrit , tant dans le milieu de la page qu’en marge, 60 n
au fol. cxciii b, est accompagné des noms des abbés de Saint-Martial écrits en marge, et se termine au fol. cxciv a. Fol. cxc
de Phèdre une importance capitale, attestée par la note de Paul Petau écrite en tête du recto du fol. cxcv. Par les dessins à
re et un encrier, tenant une plume à la main et paraissant méditer et écrire . Ce premier dessin n’est pas le seul. Au milieu d
sin occupe cette dernière page. Au-dessus une main du xiiie  siècle a écrit cette phrase : Raimondus de Begonac me furatus f
ication des publications dans lesquelles on pourra lire ce qu’ils ont écrit . 1º J. F. Nilant. — Fabulæ antiquæ, etc. Lugd. Ba
manuscrit Woss. in-8º 15, dans l’article Zur lateinischen anthologie, écrit à Iéna au mois d’août 1875). — 2º Poetæ latini mi
ote 19 et dont les feuillets en papier sont occupés par des opuscules écrits par des mains diverses au xvie et au xviie  sièc
ules contenus dans le manuscrit. La voici, telle que je l’ai trouvée, écrite en tête du volume par une main qui est probableme
bibliothèques plus ou moins imaginaires avaient des conservateurs, il écrivit au maire de la ville pour le prier de lui faire f
uisse, je songeai à utiliser scientifiquement ce voyage d’agrément. J’ écrivis au conservateur de la Bibliothèque, pour savoir d
fabularum Æsopiarum, au sujet duquel vous m’avez fait l’honneur de m’ écrire . À Wissembourg, chef-lieu de l’une des sous-préfe
t remarquer que le mot Vulpis, par une erreur de copiste, était ainsi écrit pour Vulpes, mot qui rend le vers irréprochable,
leat, et condensant enfin en un seul les deux vers d’Ausone, il avait écrit en marge du texte : Hac re probatur quantum inge
poque. Les lettres initiales et presque toutes celles des titres sont écrites à l’encre rouge, et occupent une hauteur de trois
; les échanges de lettres sont également semblables. Souvent inquit s’ écrit inquid, et atque, adque ; ce que les personnes co
97. » Tross fait ensuite observer que le manuscrit a été tout entier écrit par la même main, et cela, malgré les ouvrages tr
n’avait pu le découvrir. Telle est la savante lettre latine que Tross écrivit de Hamm à M. Fleutelot au mois de mai 1844. En s
as encore été utilisé complètement pour la critique de Phèdre. Il est écrit en beaux caractères, mais déplorablement fautif,
vérité, dire que je n’ai pas eu lieu de me repentir de ma démarche. J’ écrivis à M. von Heinemann, conservateur de la bibliothèq
ue. Deo gratias. Amen. Au bas de la même page, en lettres semblables écrites avec la même encre, on lit l’hexamètre suivant qu
erminent au bas du feuillet 98 a. Fol. 98 b. — Le titre suivant a été écrit par Ebert au haut de la page : Anonymi liber de
 Au bas de la page le traité De Monstris est annoncé par cette phrase écrite à l’encre rouge en gros caractères : Incipit lib
mêmes suivis de ces autres : Incipit liber secundus de belluis , qui écrits avec la même encre en grosses capitales occupent
belluis , suivis de ce titre du troisième livre en grosses capitales écrites avec la même encre : Incipit de serpentibus. Ce
il ne connaissait peut-être pas. Ainsi, par exemple, le copiste avait écrit Garulus et inprudenti  ; le correcteur ensuite y
été reconstitué. J’aurais voulu savoir par qui cette copie avait été écrite , et, par cette voie indirecte, comment le manuscr
voir la diversité d’origine. Cela m’autorise à ajouter que la mention écrite par lui doit remonter à une date antérieure à 170
othèque. Mais de qui Tenison tenait-il son apographe, où avait-il été écrit et à quel copiste était-il dû ? Voilà ce que rien
it en langue française la paraphrase poétique de la version anglaise, écrivit ces mots en tête de sa préface : Romulus qui fu
uncius felicitatem. Mais la seconde étant précisément celle qui a été écrite pour le cardinal Antoine, abbé du titre de Saint-
avait vécu avant le xiiie  siècle. En effet Vincent de Beauvais, qui écrivit sous le règne de saint Louis et qui mourut en 126
n’est pas plus récent que le commencement du xie  siècle. Nilant qui écrivait au commencement du xviiie ne lui avait, il est v
lections qui ont bien l’une de ces deux origines, mais qui, ayant été écrites en vers, constituent par cela même des œuvres tou
gageait à faire traduire en prose les fables ésopiques originairement écrites , non en prose grecque, mais en vers latins ? J’ai
e du premier copiste et le texte du Romulus primitif, tel qu’il a été écrit par le compilateur à qui il est dû, le problème s
rouvées réunies dans le même Codex que bien longtemps après avoir été écrites . Dans son opuscule intitulé De Phædri et Aviani f
e copie de Romulus, que je ne soupçonnais pas auparavant et qui a été écrite , en 1495, à Florence, par le célèbre Pierre Crini
ouvait m’ôter le loisir de le copier sur place. Dans cette crainte, j’ écrivis à M. Lefebvre de Behaine, chargé d’affaires de Fr
Monsieur,   « J’ai reçu la lettre que vous m’avez fait l’honneur de m’ écrire le 25 juin dernier pour m’exprimer le désir d’êtr
volume in-fol. de petit format, composé de 186 feuillets en papier et écrit tout entier de la main du savant Florentin. Les f
ius. La souscription finale consiste dans le simple mot Explicit , écrit à l’encre rouge comme les souscriptions et les ti
trop indépendant qui comprenait et croyait pouvoir améliorer ce qu’il écrivait . En outre ce copiste, trouvant probablement trop
glaise, qui, sur les marges de ces deux derniers exemplaires, ont été écrites par des mains du xvie  siècle. L’exemplaire du Br
œurs, coordonnés ensemble. » Une préface indique ensuite que Brant a écrit son ouvrage pour l’instruction de son fils Onophr
en caractères de civilité, existe une page blanche sur laquelle a été écrite au crayon la mention suivante : « Très rare. Voye
ui vient d’être indiquée est une gravure représentant Ésope assis qui écrit et deux autres personnages. Plus bas se trouve la
lles, telles que la zoologie et la botanique. L’auteur paraît l’avoir écrit vers 1250 ; cependant Vossius lui assigne la même
ur les vertus. Mais Bellarmin363, dans le catalogue où il énumère les écrits de saint Thomas d’Aquin, exprime des doutes sur l
re d’un écrivain plus récent, et Echard, dans sa dissertation sur les écrits de Vincent de Beauvais, lui en refuse nettement l
uteurs disent que ce fut Philippe de Valois ; mais l’époque où il fut écrit , démontre que c’est là une erreur et que ce roi f
, l’empereur Tibère priant dans le même but un savant nommé Romulus d’ écrire pour lui des fables latines, enfin ce savant trad
iendrai, Accio Zuccho, avait traduit les fables élégiaques en sonnets écrits dans le dialecte véronais, et le titre de Libellu
le beaucoup de ressemblance avec celles de l’Anonyme. « Si quelqu’un, écrivait -il, me demande le nom de l’auteur, je dirai que c
as Jenson, homme lettré, qui avait vécu au xiiie  siècle et qui avait écrit la vie de Pomponius Atticus. L’idée ainsi exprimé
expliquait ensuite dans une des notes de son ouvrage : « J’aurois dû écrire Gauffredus ; car, dans le manuscrit que M. Van Pr
Geoffroy ne peut pas être le copiste : car ce volume qui renferme les écrits de huit auteurs moraux, me paroît écrit de la mêm
r ce volume qui renferme les écrits de huit auteurs moraux, me paroît écrit de la même main, et je ne vois pas pourquoi il au
t Esopus , et se termine par les mots : Explicit Esopus , qui ont été écrits à l’encre rouge à la suite de la table des matièr
mmuniqué par son compatriote Haenel, il avait trouvé la note suivante écrite de la main même du copiste : « In principio huius
découle tout naturellement celle de la date à laquelle elles ont été écrites . Cette date est d’un an ou deux antérieure au mar
aut pas oublier que les lettrés les plus purs du moyen âge, quand ils écrivaient en vers latins, se permettaient quelquefois de si
ste. Pour en revenir à celles de Walther, à l’époque où elles ont été écrites elles ont été universellement admirées. « Si Romu
blier quelque peu Romulus. » Éberhard de Béthune, qui, dans un poème écrit en 1215, les attribue à Ésope, dit que son vers n
nito libro sit laus et gloria Christo. Une main moins ancienne avait écrit au-dessous deux lignes, dans lesquelles se trouva
e in-8º, qui se compose seulement de dix-neuf feuillets en parchemin, écrits par une main du xive  siècle. Les premier et dix-
xve  siècle. Il porte sur le recto du premier feuillet cette mention écrite par un de ses anciens propriétaires : Jo. Bap. P
premiers vers de celle qui concerne la Matrone d’Éphèse, P. Pithou a écrit cette note : Hæc Fabula sumpta est Petronio Arbi
la raison connue sous 61 numéros. Chaque fable porte un titre spécial écrit à l’encre rouge. La dernière est suivie de ces mo
tre spécial écrit à l’encre rouge. La dernière est suivie de ces mots écrits avec la même encre : Deo gratias. Amen. K.
soixante fables de Walther. Elles sont précédées de cette invocation écrite à l’encre rouge : Sancti Spiritus assit nobis gr
é de barbarismes qui montrent qu’il ne le comprenait pas ; ainsi il a écrit Solo pour Sole, Thomas pour comas, soxosis pour s
une fenestre mal joincte. » Ces mots paraissent à M. Robert avoir été écrits pendant la minorité de Louis XIV433. Craignant qu
en parchemin, précédés d’un premier feuillet neuf qui porte un titre écrit par une main moderne, et suivis d’un dernier feui
prend que les six premiers vers de celui du manuscrit 1594 ; les vers écrits en l’honneur de Jeanne de Bourgogne n’y ont pas é
l ornement. La première est plus grande que la seconde. Elles sont ou écrites à l’encre bleue et ornées de petits traits à l’en
crites à l’encre bleue et ornées de petits traits à l’encre rouge, ou écrites à l’encre rouge et ornées des mêmes traits à l’en
t cette observation qui ne tire son importance que de la main qui l’a écrite et signée : « Le présent manuscrit, composé de 92
anche sont dans une belle reliure du temps. Il comprend 103 feuillets écrits , 3 blancs qui les précèdent et 3 autres blancs qu
s précèdent et 3 autres blancs qui les suivent. Il renferme 43 fables écrites en prose française, dont la moralité est suivie d
ne portent pas de titre général ; mais, en tête, une main ancienne a écrit cette sorte d’invocation : Alanii assit principi
d’aucun titre. Il en est autrement des fables, dont chacune a le sien écrit à l’encre rouge. Elles se terminent au bas du rec
de Phèdre manuscrit existait à la bibliothèque communale de Douai, m’ écrivit et me demanda des renseignements sur le Phèdre, d
je ne puis mieux parler qu’en extrayant ce qui suit de sa biographie écrite par M. Delandine : « Pierre Adamoli, plein d’amou
 siècle ; les pages les plus remplies n’ont que 27 lignes et ne sont écrites que sur une seule colonne. Le manuscrit a renferm
a été publiée par M. Robert442, confondre cette traduction, qui a été écrite dans le dialecte franc-comtois, et qui, d’un sièc
illet 1 a on lit : Incipit Esopus. Prologus. À la suite de ces mots écrits à l’encre rouge viennent les douze vers du prolog
e prologue viennent les fables, dont les titres latins et romans sont écrits à l’encre rouge. Fol. 16. —  De gallo et iaspide.
yllabe du mot fecit a été grattée. Plus bas une main moins ancienne a écrit  : Fecit transferi (sic) de latino in romanum.
néral, ni de titres particuliers. La lettre initiale de chaque fable, écrite à l’encre rouge, n’existe même que dans les premi
le titre général, une main moins ancienne, pour combler la lacune, a écrit , en tête du recto du premier feuillet, ces mots q
nsi qu’au lieu du mot Cervus, par lequel commence la fable xxxi, il a écrit Servus. Le manuscrit offre en outre de mauvaises
mitées aux soixante authentiques. En tête du feuillet 3 a, se trouve, écrit plus récemment que l’œuvre elle-même, un titre ai
À la suite du prologue se succèdent les fables, dont les titres sont écrits en marge à l’encre noire et soulignés à l’encre r
aussement relevée dans l’analyse du catalogue, mais par celle de 1407 écrite en chiffres arabes. L’opuscule suivant, qui forme
iologus, qui, dans le manuscrit, précède les fables, paraît avoir été écrit par le même copiste, qui a, dans la souscription
complémentaires. Les quatorze premières ont seules reçu leurs titres, écrits à l’encre rouge. L’espace ménagé au-dessus de cha
ment du xive . Le titre et la première partie de chaque fable étaient écrits à l’encre rouge ; en marge, de place en place, ét
nferme le manuscrit. D. Manuscrit 4146. Ce manuscrit, qui a été écrit en 1436 et dans les années suivantes et dont l’or
tie en parchemin et partie en papier, qui se compose de 229 feuillets écrits et de quatre blancs à la suite. Les fables élégia
ient plusieurs opuscules, qui, d’après les dates qu’il porte, ont été écrits de 1425 à 1433. Il forme un volume in-fol. de 288
ne comprennent que 60 fables, et sont précédées de ces deux distiques écrits au bas du feuillet 171 a. Jucundos flores fructu
fin des fables qui se terminent au bas du recto du feuillet 18, il a écrit  : Explicit Esopus. Deo gracias. Amen. E. Ma
t 10089 est un volume in-fol. composé de 69 feuillets en parchemin et écrit par une main du xve  siècle. Il contient quatre o
forme un petit volume in-4º, composé de 65 feuillets en parchemin et écrit par une main du xive  siècle. Il contient quatre
analyse il ressort que le manuscrit est du xve  siècle et qu’il a été écrit en 1462 par un copiste nommé Jean Benoît. Il s’en
ns. Le manuscrit forme un volume in-fol. de 57 feuillets, et, bien qu’ écrit sur papier, peut être considéré comme un livre de
partenu à Jean Galéaz, duc de Milan, pour qui il avait été sans doute écrit et illustré. Le duc Galéaz avait dû en apprécier,
ssous de la mention que je viens d’indiquer, il avait pris la peine d’ écrire et de signer de sa propre main ce qui suit : dv
t iam tempus equum fumantia soluere colla. Immédiatement après a été écrite cette intéressante mention qui termine le manuscr
ment par l’écriture gothique et par les miniatures, qu’on le croirait écrit par le même copiste et illustré par le même artis
suite dire où le méticuleux et peu intelligent bibliophile, qui avait écrit ce titre, avait cru pouvoir prendre cette date su
chiere Madame iehanne de borgomgne. En marge de ce dernier vers il a écrit cette note : « femme de Philipes le Long qui régn
me sans nulle boise. Il s’ensuit que, si les deux manuscrits ont été écrits par le même copiste, celui de la Grenville librar
tiennent au xive  siècle. L’un des cahiers renferme, fort lisiblement écrites , les fables de Walther qui commencent au feuillet
titre initial ; mais chacune d’elles est pourvue de son titre spécial écrit à l’encre rouge. Elles ne sont accompagnées d’auc
les fables de Walther qui sont désignées par les mots Fabulæ anonymi. Ecrites en gros caractères par une main habile du xive  s
premier : Exopi fabulæ , le second : Glosa in poëtica Horatii , et écrits en gothique italienne du xive  siècle, le premier
t au feuillet 98 a et finissent au feuillet 118 b. Le titre qui a été écrit au bas du feuillet 97 b, est ainsi conçu : Incip
s tibi sit, Christe, quando liber explicit iste, et par cette phrase écrite un peu plus bas : Explicit liber fabularum qui d
e les surmonte ; mais la fin en est annoncée d’abord par cette phrase écrite à l’encre rouge : Expliciunt fabule Ysopi , et e
: Expliciunt fabule Ysopi , et ensuite au-dessous par ce vers léonin écrit à l’encre noire : Explicit explicite quidquid li
te de chacune d’elles. B. Manuscrit 639. Le manuscrit 639 a été écrit sur parchemin par une main du xive  siècle. Quoiq
papier portent une écriture du xve  siècle. Il comprend 226 feuillets écrits et 6 laissés blancs. Les 60 fables de Walther qu’
feuillet 132, une main moins ancienne que celle du copiste primitif a écrit ce qui suit : « C’est le liure des fables de Ysop
me que celle des épigrammes. En tête une main un peu moins ancienne a écrit ce titre : Garicii prologus , dont il a été ques
plus bas on lit : Finis. Au-dessous du mot Finis une autre main a écrit le titre et les deux premiers vers de la fable he
opi. Deo gratias. Amen. D. M. Au-dessous une main du xvie  siècle a écrit ces mots : Reverendissimo in Kpo patri domino Ni
dont les feuillets sont en papier et qui renferme plusieurs ouvrages écrits à des époques très diverses. L’écriture des fable
tre général ; mais chacune d’elles est accompagnée d’un titre spécial écrit à l’encre rouge et de nombreuses gloses marginale
qui commence au milieu du verso du feuillet xx porte un titre général écrit à l’encre rouge et ainsi conçu : Incipit liber E
es fables, elle n’est pas la seule : il en existe une seconde qui est écrite sur deux colonnes, et qui s’étend du feuillet 60 
cun titre général, mais sont précédées chacune d’un titre particulier écrit à l’encre rouge. Toutefois l’espace blanc destiné
er feuillet sans titre général, mais sont munies chacune de son titre écrit à l’encre rouge. Elles sont au nombre de soixante
En tête du prologue on lit, en guise de titre général, ce pentamètre écrit à l’encre rouge : Adsit principio virgo Maria me
 ! Les fables munies de titres spéciaux à chacune d’elles, également écrits à l’encre rouge, sont au nombre de soixante-deux.
rs feuillets du troisième. Tout au haut du recto du premier feuillet, écrits en lettres très fines, se lisent les mots yesus
re fable, en lettres moins fines et avec une encre plus noire ont été écrits les mots : Finis. laus deo. || τελως. 11º B
ncre rouge. Le recto du feuillet xxvi et dernier contient un opuscule écrit par une autre main. § 10. — Suisse. 1º
po et Pastore. Elles sont précédées du titre général suivant, qui est écrit à l’encre rouge : Liber moralis Ezopi fœliciter
Bâle sous la cote C. E. VI. 49. « Cette édition lyonnaise de 1498, m’ écrivait le 13 décembre 1881 M. Sieber, conservateur de la
’ailleurs très sommaire. Manuscrit 1338. Ce manuscrit, qui a été écrit sur papier au xive  siècle par une seule main, fo
portait autrefois le nº 51, et finit au feuillet 61. Les titres sont écrits à l’encre rouge, et chaque fable est suivie de sa
s variantes et corrections tirées d’autres manuscrits et probablement écrites par Smunto ou par Annebiato, ses anciens possesse
mêmes dans les autres manuscrits. Manuscrit 2971. Ce manuscrit, écrit sur papier, renferme trois fables en vers ; la pr
s, suivies chacune d’une morale, qui porte pour titre le mot Notabile écrit aussi à l’encre rouge, et qui est précédée de l’é
les ayant mises en vers italiens466, son œuvre, sous forme de sonnets écrits dans le dialecte véronais, fut imprimée pour la p
e la Colombine a appartenu à Fernand Colomb qui, de sa propre main, a écrit , sur un feuillet supplémentaire inséré à la fin d
e assis qui lit ses fables, sur un siège inférieur un copiste qui les écrit , et quatre auditeurs dont deux sont à droite et d
ître à « Honorato de Aragonia », après laquelle vient la vie d’Ésope, écrite en latin et divisée en chapitres accompagnés chac
qu’il devint, en 1215, abbé de leur maison établie Exeter et qu’il y écrivit la plus grande partie de ses ouvrages. Le nombre
c’est-à-dire de la fable du Loup et de la Grue. Phèdre d’abord avait écrit ce membre de phrase : Os devoratum fauce quum hæ
e, et je les tiens toujours pour bonnes. J’ajoute que, lorsque Neckam écrivait , l’Æsopus ad Rufum et le Romulus primitif devaien
d’après le Romulus ordinaire, la fable du Loup et de l’Agneau, avait écrit les quatre vers suivants : Sic iterum tonat ore
lement sur l’encre noire de l’écriture. Au-dessous du titre se trouve écrit à l’encre rouge le numéro de la fable. Le distiqu
485, le manuscrit de la bibliothèque de Berlin, qui paraît avoir été écrit en France en 1449, n’est point passé sous ses yeu
ont disparu, et auquel pourtant il en reste encore 443 en parchemin, écrits sur deux colonnes en caractères gothiques par une
Les fables qui viennent ensuite sont seulement au nombre de quarante, écrites à la suite les unes des autres, sans espace qui l
e manuscrit, au bas de la 2e col. du feuillet 183 b, par cette phrase écrite à l’encre rouge : Cy finent les fables d’Ysopes
l de l’examiner le premier. Le manuscrit 15213 forme un volume in-8º, écrit sur parchemin en gothique de la fin du xive  sièc
t chaque miniature est elle-même surmontée d’un titre à l’encre rouge écrit par une main habile. Quant au texte lui-même, si
Romulus de Nilant. Par exemple, dans son premier livre, Phèdre avait écrit  : Fable 1. Ad rivum eundem Lupus et Agnus venera
ême feuillet, porte à l’encre rouge ce titre abrégé : Incipiunt f. , écrit à la suite de la souscription précédente. Les fab
ition, risquer une conjecture sur le nom de celui qui pouvait l’avoir écrite . Faute par lui d’avoir complété sa critique, le m
r moins de confiance que les autres, que, si ce n’est pas Marie qui a écrit ce nom, les copistes qui, dans deux manuscrits, l
ta puis en englois. Suivant elle, c’est donc le roi d’Angleterre qui écrivit la traduction anglaise. Si, au contraire, on s’en
ais pas empêché par le défaut d’espace, je n’entreprendrais pas ici d’ écrire la biographie complète de Marie : je ne voudrais
(sic) qu’on estimait ses ouvrages. Pour nous qui croyons que Marie n’ écrivait pas en France, mais en Angleterre, c’est dans ce
l’opinion émise par Legrand d’Aussy, il faudrait admettre que Marie a écrit ses fables vers le milieu du xiiie  siècle. C’éta
acceptée par M. P. Chabaille. Remarquons enfin que Marie, lorsqu’elle écrivait ses fables, vivait depuis longtemps à la cour des
avait entendus et la composition des lais que, comme ses fables, elle écrivit sans doute en Angleterre et dont, selon M. de Roq
mbule de dix vers et suivis d’un complément de douze, double addition écrite dans le rythme octosyllabique que Marie avait ado
une traduction, eût vraisemblablement reculé, que la troisième a été écrite en vers de six syllabes, c’est-à-dire en vers d’u
rtait auparavant la cote 7615, forme un volume in-4º de 218 feuillets écrits , dont l’écriture sur deux colonnes est due à une
deux colonnes est due à une main du xiiie  siècle. Les 218 feuillets écrits sont précédés de deux autres qui ont été ajoutés
cueil de l’origine de la langue et poésie françoise. Voyez ce qu’il a écrit au bas de la première page de ce manuscrit. Les n
mention ajoutée par une main plus récente : « Le copiste semble avoir écrit à Paris. Les formes qu’il emploie, surtout dans l
Au bas du recto du deuxième feuillet ajouté, le président Fauchet a écrit  : « C’est à moi Claude Fauchet par eschange fait
e premier de ces deux titres, le doute n’est pas possible ; en effet, écrite en vers de six syllabes, elle n’est pas dans le r
e même de la fable à laquelle s’applique le second titre : elle a été écrite en vers octosyllabiques ; mais il faut se rappele
mposa en 1245. À la fin de cet ouvrage on voit que ce manuscrit a été écrit en 1265. 2º L’histoire des Oiseaux moralisée, ali
s font défaut. Les fables sont toutes pourvues de titres particuliers écrits à l’encre rouge, et chacune d’elles est surmontée
es de l’épilogue, se terminent par la souscription Explicit Esopes , écrite en gros caractères. Le manuscrit qui les contien
ier, le second en parchemin. Sur le recto du feuillet en papier a été écrite une note qui assigne au manuscrit l’année 1204, d
le manuscrit est la quatre-vingt-troisième, on lit ce distique léonin écrit , sans doute par quelque moine, avec une encre plu
 36 ont été omis. Les fables portent des titres spéciaux, qui ont été écrits par la même main que le titre général dans l’espa
euxième colonne du feuillet 49 a, on lit ce commencement d’ex libris, écrit en très gros caractères gothiques : Je cuy à frè
M. de Roquefort528, les fables sont suivies de l’épilogue ordinaire, écrit par la même main que les titres ; comme dans celu
ante vers. Les fables qui le suivent sont pourvues de titres spéciaux écrits à l’encre rouge. Comme le titre général l’indique
feuillet en papier ajouté par le relieur, un premier bibliothécaire a écrit cette mention : « 978. Ni fallor, cod. sec. XIV ;
« Selon toute probabilité, la plus ancienne partie de ce volume a été écrite à l’abbaye de Reading vers l’année 1240. Comparez
at in-4º, qui est composé de 120 feuillets en parchemin, savoir : 117  écrits et 3 blancs, et dont l’écriture à deux colonnes e
roy, comte de Chimay. Signé : Charles. » Les fables de Marie ont été écrites dans le dialecte picard ; elles s’annoncent par c
la détermination de l’époque à laquelle le Romulus Roberti a dû être écrit . Sur ce point, je n’ai que quelques mots à dire :
94 b (en réalité 195 b), sont suivies de ce mauvais pentamètre léonin écrit à l’encre noire : Explicit, expliceat, ludere sc
résent je me borne à faire remarquer qu’à moins de soutenir qu’elle a écrit un mensonge, on ne peut affirmer qu’elle l’a comp
du xiiie  siècle. C’est ainsi, par exemple, que Marie de France, qui écrivait à la fin du xiie  siècle ou, au plus tard, au com
 siècle. Sur le recto du premier feuillet on lit l’ex libris suivant, écrit sans doute par un des moines du couvent bénédicti
que la collection est complète. Chaque fable est surmontée d’un titre écrit à l’encre rouge et suivie d’un dessin à la plume
érivées de celles de Walther. Le tout est clos par cette souscription écrite à l’encre rouge : Explicit Auianus de fabulis de
Puis viennent les fables précédées elles-mêmes de ce titre également écrit à l’encre rouge : Incipit liber fabularum quos (
au nombre de 136, et chacune d’elles est pourvue d’un titre toujours écrit à l’encre rouge. Enfin elles sont suivies des dix
traduction en vers romans, lorsqu’en 1370 un certain Gérard de Minden écrivit à son tour en bas-allemand une traduction poétiqu
dans la Deuxième Série des éléments pour la connaissance des anciens écrits et de l’ancienne langue allemande (Magdebourg, 18
c || et habitait à Athènes ; || il avait un esprit ingénieux, || et a écrit beaucoup de livres artistiques, || pour servir d’
oque à laquelle il a été composé. Il me paraît supposable qu’il a été écrit fort peu de temps après la première apparition de
effet on veut rétablir les mots dans leur ordre logique, on doit les écrire ainsi : Ast per Styga jurabit vel per numina Divu
malheurs. Dans une traduction publiée à la Haye en 1725, l’éditeur a écrit  : « J’ai choisi quelques sujets pour me consoler
e 1813, M. de Joly, changeant la forme, mais adoptant le même sens, a écrit  :                               J’eus quelquefoi
l n’avait pas pu ne pas s’apercevoir que les fables de Phèdre étaient écrites en vers ïambiques. 97. Dissertation sur les qu
fut fondé qu’en 1059, c’est-à-dire environ 25 ans après que Guido eut écrit son Micrologue de musique. » 132. M. Fétis n’e
e Phèdre, établi que le livre III avait été, comme les deux premiers, écrit et probablement publié sous le règne de Tibère et
porte dans l’Epitome de Perotti le nº 28, montre qu’à l’époque où il écrivait son traité De generibus metrorum Jacob de Vérone
philologie au gymnase de Hamm, en Westphalie. Érudit distingué, il a écrit un grand nombre d’ouvrages, dont le premier fut u
n France au xvie . Protecteur des lettres, il les cultivait lui-même, écrivait des vers, et composait des chansons, qui furent,
12 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIV. D’un Laboureur et de ses Enfants. »
Elemens, pour prouver cette verité. C’est à faire à un autre genre d’ écrire que celuy cy. Je parcourray seulement les grands
13 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXV. De la Nourrice, et du Loup. »
ne sont remplis que de ces reproches ; Et Ovide mesme en ses Amours, écrit bien souvent contre la legereté de ses Maistresse
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIV. De la Corneille, et de la Cruche. »
e celles que font les hommes, voire mesme jusques là que d’avoir sçeu écrire ces propres paroles. J’AY MOY-MESME ESCRIT CECY,
nte, pour verifier le raisonnement des bestes. Quant à l’Elephant qui écrivit de sa trompe, il est certain qu’il ne le fist que
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