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1 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CII. De l’Enfant, et du Larron. »
ons, et par une raison naturelle, qui est tirée de la facilité de cét âge . Car l’Enfance estant susceptible de quelque impr
s les jours une sensible experience. Car à peine avons-nous atteint l’ âge de cinq ans, que nous commençons dés là de conçev
re. Mais vous me respondrez possible, que vostre fils n’estant pas en âge de discretion, n’est pas en âge de mal faire auss
ible, que vostre fils n’estant pas en âge de discretion, n’est pas en âge de mal faire aussi, et par consequent que son inn
a pas aisé de se destourner : Elle le plongera dans les Vices, dont l’ âge ne l’excusera plus à l’advenir. Alors vos Enfans
2 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — XIV. Le Lion devenu vieux. » p. 481
eureux Lion languissant, triste et morne ;
 Peut à peine rugir, par l’ âge estropié.
 Il attend son destin sans faire aucune
3 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIII. D’un Homme qui avoit deux femmes. »
à nostre condition. Car de se trouver bien avant sur le declin de son âge , et appeller auprés de soy une jeune creature qui
de sinistres soupçons, à bien considerer la difference de leurs deux âges . Que s’il faut aller plus avant, et donner à la s
n reçoive d’une petite Niaise, qui ne sçaura pas seulement conter son âge  ? Le vieil Scipion n’avoit-il pas bonne grace d’é
erez un peu, je vous prie, avec quelle bien-seance un homme avancé en âge se peut reduire à complaire et à cajoler ? Avec q
et sujets à ceste passion déreiglée, autant que la foiblesse de leur âge l’a pû souffrir. Mais ce n’est pas excuser un Vic
ay que tant d’excellens hommes ont fait l’Amour sur le declin de leur âge , et que cette dangereuse passion les a perdus à l
e infortunez ceux avec qui nous voulons passer le demeurant de nostre âge . D’ailleurs, je leur demanderay s’ils entreprenne
assez parlé des Mariages mal assortis, au moins pour ce qui regarde l’ âge , il me suffira d’en avoir dit mon advis, laissant
4 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVI. Du Cheval, et du Lion. »
ue les personnes les plus vigoureuses, deviennent apprehensives par l’ âge , à cause, comme nous avons dit cy-dessus, du refr
llez de la soif du sang humain, quand ils viennent au decours de leur âge , à cause de l’étrange accroissement que prennent
rlan, en Louys unziesme, et en Philippe second, sur le declin de leur âge . Mais revenons à nostre Allegorie. Par le déguise
5 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 295 » p. 162
ν. Cod. Pa 159. Une femme interrogea les devins sur son fils en bas âge . Ils prédirent qu’il serait tué par un corbeau. É
6 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIV. D’un vieil Chien, et de son Maistre. »
vices dont ils ont esté capables ne les regarde sur le declin de leur âge , que comme des Creatures inutiles, ou si vous vou
et qui nous donne plus de contentement en la vieillesse qu’aux autres âges , pource qu’en celuy-cy nous sommes plus à la veil
7 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre premier. — XVII. L’Homme entre deux âges, et ses deux Maistresses. » p. 31
XVII. L’Homme entre deux âges , et ses deux Maistresses. Un homme de moyen âg
8 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XIV. Du Lion affoibly de vieillesse. »
ses jeunes années, en porta la peine en sa vieillesse. Car durant cet âge debile, les autres bestes luy sçeurent fort bien
s les hommes qui ont fait estat de nous, pendant la verdeur de nostre âge , et l’utilité de nos services, nous quittent là f
9 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLIX. De la Belette, et du Renard. »
a genereuse action qu’il executa, que bien avant sur le declin de son âge . Trasibule tout de mesme avoit fort bien estudié 
berté à sa Patrie, par la mort de son propre frere, demeura jusqu’à l’ âge de quarante-cinq ans hors la ville de Corinthe, à
10 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXI. De la Fourmy, et de la Cigale. »
ble de nos sens, à sçavoir de la veuë, se trouva sur le declin de son âge , accueilly d’une pauvreté si grande, qu’il estoit
ne conseille à qui que ce soit de les imiter, ny d’exposer son vieil âge à tant de miseres, sous l’esperance de les endure
nt renduë trop familiere, pour en estre incommodez, et la fin de leur âge ne leur fût point si fascheuse, que l’on pourroit
11 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre deuxiéme. — XVIII. La Chate metamorphosée en Femme. » p. 50
une amorce, Tant le naturel a de force, Il se mocque de tout, certain âge accomply. Le vase est imbibé, l’étoffe a pris son
12 (1692) Fables choisies, mises en vers « Livre troisiéme. — FABLE I. Le Meusnier, son Fils, et l’Asne. » p. 721
par tous ses degrez avez déja passé,
 Et que rien ne doit fuïr en cet âge avancé ;
 A quoy me resoudray-je ? Il est temps q
ense estre bien sage.
 Il n’est, dit le Meusnier, plus de Veaux à mon âge . Passez vostre chemin, la fille, et m’en croyez.
13 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXV. Des Liévres craignans sans cause. »
la vie, s’il jette les yeux sur une infinité de Mandiants, chargez d’ âge et de maladies, qui toutesfois s’estudient à se c
14 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXIV. De l’Homme, et d’une Idole. »
onne d’Aristote et de Platon, qui passerent une grande partie de leur âge sans vouloir devenir riches, et n’y consentirent
le fissent, pour ce qu’ils apprehendoient les incommoditez du dernier âge , où possible pour publier avecque plus d’efficace
15 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXII. D’un Enfant, et de sa Mere. »
iast, ce maudit vice s’augmentoit en luy, à mesure qu’il croissoit en âge . A la fin la chose alla si avant, qu’il tomba ent
est doncques pas merveille, si elle s’augmente peu à peu avecque leur âge , et si elle se trouve presque invincible quand il
16 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XX. Des Colombes, et du Faucon leur Roy. »
our les Monarchies Electives : car quant à celles qui ont authorisé d’ âge en âge le droict de la succession, il est absolum
Monarchies Electives : car quant à celles qui ont authorisé d’âge en âge le droict de la succession, il est absolument nec
17 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXX. De la Mouche. »
pour la seule satisfaction de son corps, sans trouver sa fin avant l’ âge . Quelqu’un de ces Voluptueux peut bien dire avec
18 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CIX. De la femelle du Singe, et de ses deux Enfants. »
roire que la Mere de Massinissa l’eust caressé et dorlotté en son bas âge  : Car si elle l’eust fait, asseurément il ne fût
artie de ses beaux faits à la vigueur qu’il s’est acquise dés son bas âge , parmy les exercices de la chasse ? A t’on jamais
19 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXVIII. De l’Esprevier, et de la Colombe. »
usurpateur, ny moins blasmable que luy. Venons maintenant au dernier âge du monde, et voyons s’il est exempt de mesme renc
20 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XL. De l’Asne, et du Cheval. »
ucher, apres avoir vescu plus heureusement que tous les hommes de son âge . Considerons les orgueilleuses pompes de Darius,
tombées en la puissance de ce Vainqueur. Voyons Alexandre mesme en l’ âge de trente-trois ans empoisonné par un de ses Favo
21 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXVI. Du Chévreau, et du Loup. »
s, et que nous servirons à nostre tour d’exemple et de guide, quand l’ âge ou la pratique des Vertueux nous aura rendu plus
22 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 17 » pp. 6-6
t les, vieux amis. Disons-nous que, quand notre amitié aura pris de l’ âge , s’ils se lient avec d’autres, c’est ces nouveaux
23 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE II. Du Loup, et de l’Aigneau. »
eu, que telles impostures ne fussent point parvenuës jusques à nostre âge , et qu’au deshonneur de la Religion Chrestienne,
24 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXI. Du Larron, et du Chien. »
, qui jusques alors avoit esté reputée la femme la plus chaste de son âge  ; Elle qui fit retarder la course d’Attalante, et
25 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXXII. De la Mouche, et du Chariot. »
s n’est autre chose : Et comme dit un des meilleurs Esprits de nostre âge . La gloire qui les suit apres tant de travaux, S
26 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE C. Du Pescheur, et d’un petit Poisson. »
pres la conqueste d’un bien incognu. Bref parcourons, les Estats, les âges , et les conditions des hommes, et nous trouverons
arde pas tous-jours jusques là ; Et toutesfois, ô la misere de nostre âge  ! il ne se trouve presque personne qui fasse élec
27 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXI. Du Renard, et du Bouc. »
de ceux-là mesmes que nous tenons pour grands Personnages, et à qui l’ âge doit avoir meury le jugement par dessus la jeunes
28 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXVII. Du Laboureur, et de la Cigongne. »
er auparavant que s’apprivoiser avec eux, et les renvoyer aux gents d’ âge et de profonde sagesse, pour lesquels je n’escris
29 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXIV. D’un Laboureur et de ses Enfants. »
des maudites rancunes de leurs Princes. Que s’il faut passer à nostre âge et à nos contrées, ô que de dangers a couru la Fr
30 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XC. De deux Chiens. »
mépriser tous ses compagnons. Mais parmy eux il y en eust un, que son âge et sa gravité rendoient venerable, qui pour luy f
31 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CVIII. D’un Oye, et de son Maistre. »
ans ses Ethiques le Prince des Philosophes. Or ce que nous disons des âges , nous le pouvons encore dire des nations. Car ord
32 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 51 » pp. 33-31
resses, l’une jeune et l’autre vieille. Or celle qui était avancée en âge ayant honte d’avoir commerce avec un amant plus j
33 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XXIII. De l’Enfantement des Montagnes. »
ur mort, et treuverent qu’elle n’estoit pas mesme de la durée de leur âge . Autant en a-t’il pris à ceux qui ont fait des Ba
34 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCII. De deux Amis, et de l’Ours. »
nostre misere, pour paslier en quelque façon leur legereté. Tous les âges sont si remplis de ces exemples, qu’il faudroit c
35 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 297 » pp. 200-200
e lui apporta ; elle le loua encore davantage. Dès lors, croissant en âge et devenu jeune homme, il se porta à des vols plu
36 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XV. De l’Asne, et du Chien. »
ire, plus favorablement organisez en luy qu’en nul autre homme de son âge , pour vacquer à la contemplation des choses de la
37 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE LXXXV. De la Nourrice, et du Loup. »
e de moiteur, et non de vivacité. Les tettons mesmes, s’avalent par l’ âge , et sont composez d’une chair mollasse et glandug
38 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XCVII. Du Tygre, et du Renard. »
cilienne, fût neantmoins vaincu par le Vieillard Entellus, bien que l’ âge et la discontinuation semblassent le dispenser de
39 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE XLV. Du Loup, et du Chien. »
la liberté, pour avoir depuis son Enfance, jusques à la moitié de son âge , esprouve tous-jours le pesant joug de la servitu
40 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CXI. De Venus, et d’une Chatte. »
ants n’est pas ridicule, puis qu’ils passent une bonne partie de leur âge , privez de toute cognoissance, et de l’espoir mes
41 (1660) Les Fables d’Esope Phrygien « LES FABLES D’ESOPE PHRYGIEN. — FABLE CI. De l’Avare, et de l’Envieux. »
emple a rencontré depuis ce temps-là tant d’imitateurs, qu’en quelque âge que ce soit, il ne se trouvera point de Peuple bi
it besoin de mandier la memoire des anciens. Nous avons veu de nostre âge des Freres égorger leurs Aisnez pour la successio
42 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
ans, et l’on me concédera, je l’espère, que ce n’est pas à un pareil âge qu’un homme peut s’apercevoir pour la première fo
lio locus est. On doit donc admettre qu’il était déjà bien avancé en âge . Mais alors, ainsi que je l’établirai, régnait l’
rouve dans ses écrits la preuve qu’il n’était pas encore entré dans l’ âge adulte. À la fin du premier épilogue du livre IV,
ée à Rome, il n’était encore qu’un enfant, il était déjà parvenu à un âge voisin de l’adolescence. 5º Séjour de Phèdre che
vait été amené à Rome, il était encore enfant, il n’était plus en bas âge  ; il possédait déjà trop bien pour l’oublier la l
de la dernière fable du livre V, qu’il n’a composé ses fables qu’à un âge très avancé43. Cannegieter suppose que, sous le n
galement vraisemblable, c’est que Phèdre, ne l’ayant commencé qu’à un âge très avancé, mourut avant de l’avoir achevé. 8º D
hèque, un des auteurs latins qui ont le mieux conservé, à travers les âges , l’empreinte d’une éternelle jeunesse ! Cela n’es
Vulpis ad рersопат tragicam, ne pouvait servir qu’à faire connaître l’ âge du manuscrit ; c’était même, pour servir au petit
la complaisance de Dom Vincent, restait et permettait de déterminer l’ âge du manuscrit. Ce fac-simile, et la lettre qui l’a
r abord, il semble que l’écriture des manuscrits devait révéler leurs âges respectifs. Cependant sur ce point les appréciati
x écritures semblent être à peu près de la même époque, et, suivant l’ âge du copiste, le manuscrit le plus récent peut être
llage. Il s’était livré consciencieusement à l’étude du droit, et à l’ âge de vingt ans était devenu conseiller au Parlement
de Phèdre, que j’avais sous les yeux, était relié avec deux autres d’ âge et d’écriture très différents, et le tout formait
e que nous posséderions aujourd’hui l’œuvre entière de Phèdre. Dans l’ âge viril, des occupations sans doute plus importante
t offrait, pour l’authenticité des nouvelles fables, la fixation de l’ âge de Pétrone. Il avait pris pour sujet de sa satire
e il donnait quelques indications sur le manuscrit Vatican. Quant à l’ âge de ce manuscrit, si l’on n’avait pour se guider q
it, et personne, depuis longtemps, ne songeait plus à épiloguer sur l’ âge des fables, quand un audacieux critique, Pierre S
re croire qu’il fut affranchi de César Auguste, que par le style et l’ âge il se confond avec Laberius et Publius Mimus ou q
, qui autrefois ont été pour moi un amusement de jeunesse, et que mon âge et ma profession, si on les supposait récemment é
d’aucune dignité, a échappé à ma jeunesse, de ce qui appartient à mon âge actuel203. » C’est donc, suivant sa propre déclar
nant on remarque que son commentaire sur Martial fut une œuvre de son âge mûr, on pourra admettre que la mémoire lui ait en
r son échafaudage. Alors, sans les avoir jamais vus, il en conteste l’ âge et prétend que leur titre et leur texte sont sort
rs cette Fable parmi ses Ouvrages, et que l’y ayant retrouvée dans un âge avancé il ait cru réellement l’avoir faite. Ce qu
nie sur la pierre d’un ancien tombeau. Mais il s’appuie surtout sur l’ âge des manuscrits. Sans doute aucun des savants qui
si des juges compétents pouvaient prononcer en dernier ressort sur l’ âge et la nature de ces manuscrits. Il regrettait que
le il a donné sur le manuscrit, sur son état, sur sa forme et sur son âge les détails les plus précis, par le texte qu’il e
f pour convenir à la civilisation du peuple romain. Dans les premiers âges de son histoire elle avait été quelquefois employ
les nouvelles fables de Phèdre, il n’a manifesté aucun doute sur leur âge véritable. Il prétend même trouver, dans les deux
és de la poésie latine, et que c’est seulement après être parvenu à l’ âge mûr qu’il a composé ses traités de versification.
J’ai démontré ailleurs qu’il devait avoir renoncé à la poésie vers l’ âge de trente ans ; je trouve, dans les traités dont
operam dabamus. Mais ce traité n’était pas la mise en œuvre dans l’ âge mûr de notions acquises dans la jeunesse. Non, ca
ut en croire Tross279, remonte au xe  siècle. Cette appréciation de l’ âge du manuscrit a été également adoptée par M. Oeste
l. cxci a à cxciv a. — Calendrier précieux pour la détermination de l’ âge exact du manuscrit. Il commence à l’année 1007 ;
’éléments divers, et que par suite le calendrier ne peut donner que l’ âge des éléments auxquels il appartient, c’est-à-dire
onds en cuivre ; elle paraît remonter presque au xve  siècle. Du même âge est l’inscription suivante, qui apparaît en tête
on siège archiépiscopal ; ce qui fait supposer qu’il était alors d’un âge assez avancé pour avoir déjà pu former une grande
la page 65, et d’indiquer qu’elle était tirée du même manuscrit. Or l’ âge de ce manuscrit est connu : on sait qu’il n’est p
l a existé un fabuliste de ce nom, voici comment il s’exprime sur son âge  : « La découverte du plus ancien manuscrit de Rom
t tout ce qu’on peut espérer obtenir. Je me contente d’indiquer que l’ âge du manuscrit de Burney permet de supposer que ce
vie ; mais, comme ses devanciers, il ne peut pas plus déterminer son âge que sa nationalité. Ce qui ressort de tout cela,
545 de son ouvrage323. » Et plus loin M. Müller ajoute : « Quant à l’ âge de celui qui composa l’Aesopus latin, sa suprême
re de langage, je crois qu’il appartient à l’époque carlovingienne. L’ âge de l’anonyme de Wissembourg ne peut être détermin
poque carlovingienne l’apparition des fables de Romulus, ne sait quel âge attribuer à celles du manuscrit de Wissembourg, e
s vu le manuscrit de Leyde, il se soit trompé de deux siècles sur son âge , cela se conçoit ou du moins peut s’expliquer : i
vante un peu d’avoir trouvé ce qui n’était pas perdu ; et, quant à l’ âge du manuscrit, il est vrai que le catalogue imprim
vais, et qui par suite avait été élaborée à l’aide des documents de l’ âge intermédiaire. Je pensai que, pour montrer commen
uite, dérivées en partie du Romulus de Munich, elles permettent, vu l’ âge du manuscrit qui les possède, d’affirmer que ce R
410, les uns, oubliant que cette hypothèse était inconciliable avec l’ âge de quelques-uns des manuscrits qui la renfermaien
n faisait honneur à Gauthier de Châtillon, n’était pas démentie par l’ âge des manuscrits ; mais était-elle plus exacte ? Co
au feuillet 25 b et sont suivies de cette mention finale, qui fixe l’ âge exact du manuscrit : Deo laus et eius genitrici.
ste. Après avoir visité l’Italie, revenu en Angleterre et parvenu à l’ âge mûr, il voulut, pour se consacrer plus librement
avec ses dérivés, va faire l’objet de ce deuxième chapitre. § 1. —  Âge du Romulus anglo-latin.     Le Romulus anglo-l
8, Pasquier519 et Massieu520. Or cette thèse est inconciliable avec l’ âge des manuscrits que nous possédons. Qu’on examine
u’à défaut d’autre élément d’appréciation, il faut s’en rapporter à l’ âge des deux manuscrits qui renferment le Dérivé part
qui porte la cote 1107. En dehors de celle que donne la différence d’ âge , les preuves abondent ; pour abréger, je n’en fou
s, où Alphonse V était la providence des hommes lettrés, parvint à un âge avancé, et mourut pauvre. 181. « Neque enim cum
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