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1 (1300) Fables anonymes grecques attribuées à Ésope (Ier-XIVe s.) « Chambry 96 » p. 63
ion à son discours, il demanda qu’on lui permît de conter une fable d’ Ésope . La demande accordée, il commença ainsi : « Démét
ui négligez les affaires de l’état, pour vous attacher à des fables d’ Ésope . » Ainsi parmi les hommes ceux-là sont déraisonna
2 (1893) Les fabulistes latins depuis le siècle d’Auguste jusqu’à la fin du moyen âge. Tome I : Phèdre et ses anciens imitateurs directs et indirects pp. -818
ue j’en ai faite, j’ai moi-même été forcé de la rendre : Le Phrygien Ésope , Anacharsis le Scythe Rendirent immortels leurs n
ncriminées ; or, dans le même prologue, il prétend avoir du sentier d’ Ésope fait une route : Ego illius pro semita feci viam
partie du IVe, les sujets de ses fables sont presque tous empruntés à Ésope , et dans ceux qui n’en sont pas tirés, il n’a pas
rs à des traditions qui se rapportent à la vie problématique du vieil Ésope  ; de cette catégorie sont les fables iii, v, xiv
premier livre, il déclare qu’il s’est borné à versifier la matière qu’ Ésope lui a fournie : Æsopus auctor quam materiam repp
ersibus senariis. Il ajoute dans le prologue du livre II qu’il prend Ésope pour modèle, et que, s’il l’amplifie un peu, ce n
l’ai déjà fait observer, qu’il a fait une route du sentier tracé par Ésope et écrit plus de fables que son devancier n’en av
abord des fables de ses deux premiers livres presque toutes imitées d’ Ésope , et ensuite de ses aveux ultérieurs et notamment
drus et dans lequel il avoue que la pensée de ses œuvres appartient à Ésope  : Sive hoc ineptum, sive laudandum est opus, Inv
ns la première fable, où il déclare que, s’il se sert encore du nom d’ Ésope , ce sera pour donner plus d’autorité à son œuvre,
artie du livre IV, soit du livre V, qu’il est impossible de savoir si Ésope n’en avait pas encore fait en partie les frais. C
estie ; il ne tarde pas dans le même prologue à se placer au-dessus d’ Ésope , et il conclut en déclarant d’un ton emphatique q
abellæ 66. Quand il annonce qu’il va parler du testament expliqué par Ésope , il déclare qu’il ne fera qu’un court récit : Na
préface à Théodose, en parlant des auteurs qui ont imité les récits d’ Ésope , s’exprime ainsi : « Phèdre d’une partie a formé
que les vers qu’il va lire ne sont pas son œuvre, qu’il les a tirés d’ Ésope , ce qui n’était qu’indirectement vrai, mais aussi
abuliste latin, mais comme un interprète des fables grecques du vieil Ésope  ; d’autres enfin, en s’appuyant sur d’autres rais
connues ; car il ne prit qu’une portion, aliquam partem, des fables d’ Ésope , qu’il développa, resolvit, de manière à en forme
e Gellert222 : « Phedre a fait un choix heureux dans les apologues d’ Ésope et leur a donné une grâce nouvelle par sa précisi
ersonne parmi les Latins n’en avoit fait de nouvelles dans le genre d’ Ésope , ce qui est très-vrai, Phedre lui-même avoit prév
e un fabuliste original, mais comme un simple traducteur des fables d’ Ésope . Ce qui porte Schwabe à se rallier à cet avis, c’
e les fables qu’ils renfermaient étaient pour la plupart empruntées à Ésope , il s’ensuit qu’il a pu considérer l’apologue com
in unum redactas fabulas dedi », mais qui fait allusion aux fables d’ Ésope et non à celles de Phèdre. Il suffit de lire les
ffit de lire les lignes qui précèdent pour voir qu’il déclare prendre Ésope pour guide, et que, s’il parle ensuite de Socrate
eur origine indienne. Elle pénétra également dans la Grèce héroïque : Ésope , qui sans doute ne savait pas écrire, ne fit qu’a
» Phèdre n’a pas, selon l’interprétation de Schwabe, traduit le vieil Ésope  ; il n’a pas non plus, comme le prétend Christ, d
les des anecdotes, telles que celle de Pompée et de son soldat249. 6º  Ésope , souvent mis en scène dans les anciennes, reparaî
s versiculi, Sed Æsopi sunt, et Avieni, et Phædri. Il est évident qu’ Ésope n’a pu les écrire, et que Perotti ne le cite que
’il ne s’était pas contenté de mettre en œuvre la matière laissée par Ésope  : Ego porro illius semitam feci viam, Et cogitav
us ne connaissons guère de Phèdre que 90 fables. Quand il s’inspira d’ Ésope , la matière connue de son devancier était considé
hædri. Suivant lui, Perotti affirme qu’il a puisé à trois sources : Ésope , Avianus et Phèdre ; comme on donnait, en général
ianus et Phèdre ; comme on donnait, en général, au moyen âge le nom d’ Ésope aux collections de fables latines en prose, il a
e nom d’Ésope aux collections de fables latines en prose, il a dû par Ésope vouloir désigner Romulus. Il faudrait donc admett
sous ce rapport aux anciennes, dans lesquelles Phèdre fait intervenir Ésope . En sa qualité d’ancien moine facile à offusquer,
iens, à tirer ses fictions des traditions ésopiques ; il met en scène Ésope lui-même ; il le montre blâmant un homme qui, mor
les épimythions de fables disparues), il y en a cinq, dans lesquelles Ésope est encore le principal personnage du récit. Ce s
le copiste, qui est certainement Adémar, a placé le portrait du vieil Ésope sous la forme d’un homme assis dans un fauteuil,
Les trois premiers volumes contiennent trois exemplaires des Fables d’ Ésope et de Phèdre mises en vers allemands par Bohner (
ortant la date de 1411. L’autre volume contient une série de fables d’ Ésope en langue latine. « Si, en vous rendant en Suisse
ée, employée pour caractériser l’esprit inventif et créateur du vieil Ésope , ou plutôt, comme l’ont supposé M. Hermann Oester
u commencement du xe  siècle. Les fables qui y figurent sous le nom d’ Ésope remplissent les feuillets 61 à 82 ; le titre Inci
n homme. V, 10. Le Taureau et le Veau. v, 4. V, 11. La Statue d’ Ésope . ii, Epil. Du tableau comparatif qui précède i
t été de tout temps à la mode et dont Phèdre lui-même, en renvoyant à Ésope l’honneur de ses fables, avait, dans les vers sui
page 75 de ce livre le passage suivant : « Harum (c’est des Fables d’ Ésope qu’il s’agit) nonnullas quum Romulus quidam ad er
ouvert une des éditions anciennes de la traduction latine de la vie d’ Ésope par Ranutio d’Arezzo, il aurait pu donner à son r
dinal, en son nom exhorté et persuadé par vous, j’ai traduit la vie d’ Ésope du grec en latin. Mais je ne l’avais pas encore a
elé vos exhortations pour m’engager à traduire non seulement la vie d’ Ésope , mais encore ses fables ; ce que j’ai fait volont
m’a semblé qu’il serait trop absurde de dédier et de consacrer notre Ésope à un autre qu’à celui dont les encouragements, jo
end la peine d’en faire une simple lecture, je suis convaincu que cet Ésope , que je n’ai mis en latin qu’à votre instigation,
rment la collection de fables appelée Romulus de Nilant, appliquent à Ésope les mots : De civitate Attica. Ainsi, dans le man
tive. Non seulement les mots de civitate Attica y ont été appliqués à Ésope  ; mais encore le copiste, se rappelant sans doute
encore le copiste, se rappelant sans doute que, d’après la tradition, Ésope n’était pas Athénien, a substitué au qualificatif
que je viens de relever, il faudrait évidemment admettre que c’est à Ésope que l’auteur a donné le titre de citoyen d’Athène
ir les mots de civitate Attica à la détermination de la nationalité d’ Ésope . Si l’on va au fond des choses, on voit également
ntrer Romulus, après avoir à Athènes traduit en latin le texte grec d’ Ésope , envoyant, de cette ville où il se trouvait encor
III, 43. La Corneille et la Brebis. App. 26. III, 44. La Statue d’ Ésope . ii, Épil. Épilogue. Rufus. Le tableau qu
s une explication plausible : Phèdre avait puisé dans le texte grec d’ Ésope les sujets de ses fables ; elles pouvaient donc,
IV, 21. La Corneille et la Brebis. App. 26. IV, 22. La Statue d’ Ésope . ii, Epil. Épil. Rufus.   Il serait mainte
et dont voici la traduction : « J’ai terminé la copie de ces fables d’ Ésope le 30 juin 1495, lorsque j’interprétais à part Fa
littéralement peut se traduire ainsi : « La vie du célèbre fabuliste Ésope traduite du grec en latin par Rimicius, pour le r
gneur Antoine du titre de Saint-Chrysogone, — puis la vie elle-même d’ Ésope avec ses fables que Romulus a envoyées d’Athènes
triche. » Les feuillets 3 b in fine à 26 b sont occupés par la vie d’ Ésope en latin, qui est elle-même suivie de la traducti
succèdent dix-sept fables dites Fabulæ extravagantes, et attribuées à Ésope (fol. 147 b à 187 a). En effet, elles sont annonc
vere vel ficte. Ces fables, que Lessing trouve trop ineptes pour qu’ Ésope en soit l’auteur primitif, sont, comme celles de
moins heureux fait dans une collection plus considérable de fables d’ Ésope traduites par Ranutio d’Arezzo328. Peut-être même
lustrations, les meilleures de toutes celles des premières éditions d’ Ésope , ont été exécutées par Jean Schwitzer d’Arnheim,
les cartes du Ptolémée publié en 1482. « Voyez la description de cet Ésope par Dibdin, dans la Bibliotheca Spenceriana, i, 2
e dernière, le verso du premier feuillet est occupé par le portrait d’ Ésope . En tête du recto du deuxième on lit : Vita Aeso
m Anthonium Tituli sancti Chrisogoni presbiterum Cardinalem. La vie d’ Ésope se termine au recto du feuillet 25. Puis viennent
accompagnées de celles de l’Anonyme de Nevelet, les dix-sept fables d’ Ésope traduites en prose latine et dites extravagantes,
l’édition d’Ulm, le premier feuillet présente au verso le portrait d’ Ésope en pied, qui est la copie exacte de celui publié
me bois. Fol. 2ª à 25b (a. iiª à d.ib). Traduction latine de la vie d’ Ésope due à Ranutio d’Arezzo. Cette traduction est inti
t pas identiques, elles diffèrent peu. Celles qui illustrent la vie d’ Ésope sont dans l’édition d’Augsbourg en même nombre qu
ition d’Augsbourg, où la onzième, différant de la dixième, représente Ésope servant des langues à son maître ; la douzième es
ici maintenant le contenu du volume : Fol. 1 b (a. 1 b). — Portrait d’ Ésope surmonté du mot Esopus. Fol. 2 a à 21 a (a. ii a
urmonté du mot Esopus. Fol. 2 a à 21 a (a. ii a à c. vii a). — Vie d’ Ésope annoncée par le titre suivant : Vita Esopi fabul
uillets, celle véritablement décrite par lui sous le nº 327. La vie d’ Ésope est ornée de 28 gravures, ce qui fait une de moin
fait une de moins que dans les éditions de Sorg. Il y a dans la vie d’ Ésope 42 lignes à la page. Fol. 21 a (c. vii a). —  Reg
exemplaire 167. F. 12. La composition de la dernière page de la vie d’ Ésope a été imprimée sur le verso du fol. c. ii, et vic
u verso du fol. c. ii a été imprimée sur la dernière page de la vie d’ Ésope . Il s’ensuit que l’exemplaire de la Grenville lib
rai soin de signaler. Je poursuis mon analyse. Fol. i b. — Portrait d’ Ésope qui occupe toute la page. Il est entouré, sous fo
ets ni dans aucune des éditions antérieures. Fol. 2 a à 21 a. — Vie d’ Ésope . Elle est précédée d’un titre ainsi conçu : Vita
nouveau moyen de distinguer cette édition de la précédente. La vie d’ Ésope elle-même offre aussi un point important de disse
dernière fable. Au-dessous du titre est le portrait en pied du vieil Ésope . Fol. 2 a. —  Vita Esopi fabulatoris clarissimi e
um | additionibus Sebastiani Brant. Fol. 1 b (a. i b). — Portrait d’ Ésope copié sur celui des éditions précédentes. Fol. 2
Fol. 3 a à 22 b (a. iii a à c. vi b). — Traduction latine de la vie d’ Ésope par Ranutio d’Arezzo. Elle est ornée de 29 gravur
lets se composent de 34 feuillets non numérotés, consacrés à la vie d’ Ésope , de 119 feuillets numérotés, occupés par les dive
: Fol. 1 a. — Page blanche. Fol. 1 b. — Gravure sur bois représentant Ésope en pied. Fol. 2 a. —  Hie hept sich an das buch v
ainsi : « Ici commence le livre et la vie du très célèbre fabuliste Ésope , traduits du grec en latin. De plus, quelques aut
iscard. « Tout d’abord la préface. « La vie du très renommé fabuliste Ésope , traduite du grec en latin, par Rimicius pour le
u titre de Saint-Chrysogone, prêtre cardinal ; en outre la vie même d’ Ésope avec ses fables que Romulus a envoyées d’Athènes
le docteur Henri Steinhöwel, etc. » Fol. 34 a, ligne 13. — La vie d’ Ésope se termine par ces mots : tod auch vergan. Pui
e finale : Finis desӡ leben Esopi , c’est-à-dire : « Fin de la vie d’ Ésope . » Fol. 35 a, portant le nº i. —  Das Register d
n français : « La table du premier livre du très célèbre fabuliste et maître Ésope . Tout d’abord la préface, etc. » Fol. 35 b. —  D
pi, | etc. Ce qui veut dire : « La préface de Romulus sur le livre d’ Ésope , etc. » Fol. 80 a, portant le nº xlvi. —  Hie en
oici le sens : « Ici finit le IVe livre du très illustre fabuliste et maître Ésope et commencent les anciennes fables courantes que
sope et commencent les anciennes fables courantes que l’on attribue à Ésope . » Fol. 101 b, portant le nº lxvij. —  Hie haben
opo. Lisez : « Ici finissent les vieilles fables que l’on attribue à Ésope . » Fol. 102 a, portant le nº lxviij. —  Hie vahe
ables mises en allemand d’après Rimicius, qui sont attribuées aussi à Ésope , avec leur table. » Fol. 111 a, portant le nº lx
etc. Ce qui peut s’interpréter ainsi : « Ici finissent les fables d’ Ésope mises récemment du grec en latin par le savant ma
t enfin 5 non numérotés. En voici le contenu : Fol. 1 b. — Portrait d’ Ésope occupant toute la page. Fol. 2 a. —  Vita Esopi f
c. Ce qu’on peut traduire ainsi : « La vie du très illustre fabuliste Ésope mise du grec en latin par Rimicius pour le très r
’est-à-dire : « … qui a fini par une mort heureuse. — Fin de la vie d’ Ésope . » Fol. 35 a à 158. — Collections de fables impr
nés de gravures sur bois. En voici l’analyse : Fol. 1 b. — Portrait d’ Ésope remplissant la page entière. Fol. 2 a à 37 b. — V
ortrait d’Ésope remplissant la page entière. Fol. 2 a à 37 b. — Vie d’ Ésope , dont la fin est marquée par cette phrase : Hie
in ende das leben Esopi , phrase qui veut dire : « Ici finit la vie d’ Ésope . » Fol. 38 (1) a à 87 (50) b. — Traduction allem
ail de son contenu : Fol. 1 a. — Page blanche. Fol. 1 b. — Portrait d’ Ésope aussi grand que la page. Fol. 2 a. —  Hye hept si
ii. Autrement dit : « Ici commencent le livre et la vie du fabuliste Ésope mise du grec en latin, puis quelques autres fable
l. 24 a. —  Finis des leben. Esopi , c’est-à-dire : « Fin de la vie d’ Ésope . » Fol. 24 b. —  Das. Register des ersten buchs
peut se lire ainsi : « Table du premier livre du célèbre fabuliste et maître Ésope  ; tout d’abord… » Fol. 25 a. —  Dye vorred. Romu
ch. Esopi. Soit : « La Préface du philosophe Romulus pour le livre d’ Ésope . » À la suite de cette préface viennent les 4 liv
sopo. Lisez : « Ici finit le quatrième livre du célèbre fabuliste et maître Ésope , et commencent les vieilles fables courantes qu’o
n : « Ici finissent les vieilles fables courantes que l’on attribue à Ésope , et commencent les nouvelles fables mises en alle
fables mises en allemand d’après Rimitius, que l’on attribue aussi à Ésope , avec leur table. » Fol. 81 a. —  Eyn ende haben
urd M.CCCC. vnd im Lxxxv. iare 343. Ce qui peut se traduire ainsi : «  Ésope le très illustre fabuliste, avec addition de quel
einen figuren. Mots qui signifient : « Le livre du célèbre fabuliste Ésope avec ses figures. » Fol. 1 b. — Grand portrait d
bre fabuliste Ésope avec ses figures. » Fol. 1 b. — Grand portrait d’ Ésope . Fol. 2 a, portant la signature a. ij : Hye vahe
uction : « Ici commence la préface du livre du très célèbre fabuliste Ésope . » Fol. 32 a, portant la signature e.iiij et le
hi in das buch Esopi. Mots dont voici le sens : « Ici finit la vie d’ Ésope . — La préface de Romulus le philosophe pour le li
la vie d’Ésope. — La préface de Romulus le philosophe pour le livre d’ Ésope  » Fol. 144 a, portant la signature v.iiij et le
en tag : Nach Cristi geburd. M.CCCC. lxxxxi. Traduisez : « Ici finit Ésope le célèbre fabuliste avec quelques fables ajoutée
sant Bartholome. Nach Cristi gepurt M.CCCC. vnd Lxxxxviij. Lisez : «  Ésope le très célèbre fabuliste avec quelques fables aj
. Voici le contenu des feuillets numérotés : Fol. 1 a à 23 b. — Vie d’ Ésope . Fol. 24 a à 58 a. — Fables de Romulus. Fol. 58 a
rn aussgestrichen. Au-dessous de ce titre est le portrait en pied d’ Ésope qui occupe les deux tiers de la page. Au verso du
res. Viennent ensuite 175 feuillets paginés, qui contiennent la vie d’ Ésope et les diverses collections de fables. Sur la pre
u bas de la page, est surmonté d’une gravure sur bois, qui représente Ésope en pied et dans un angle de laquelle on lit : 15
centre de la page est occupé par une gravure sur bois qui représente Ésope assis et tenant de la main droite un oiseau et de
 | M. D. LXXXVI. Voici le contenu du volume : Pages 1 à 64. — Vie d’ Ésope . Pages 65 à 151. — Fables de Romulus. Pages 152 à
bildemg : in Druck gegeben. Au-dessous est une gravure qui représente Ésope revenant du marché, et au bas de la page le lieu
Avian de Alfonce et de Pogge florentin. Au-dessous est le portrait d’ Ésope en pied. Fol. 1 b. — Répétition du même portrait.
ologie frere iulien des augustins de Lyon. Fol. 2 a à 18 b. — Vie d’ Ésope divisée en vingt-huit épisodes dont le dernier pa
ici l’analyse de l’édition de 1480 : Fol. a. i. — Titre et portrait d’ Ésope en pied. Fol. a. ii a à e. i b. — Vie d’Ésope. Fo
. — Titre et portrait d’Ésope en pied. Fol. a. ii a à e. i b. — Vie d’ Ésope . Fol. e. i b. — Table du livre I de Romulus. Fol.
On le voit, l’ordre des matières est toujours le même. C’est la vie d’ Ésope qui est en tête. Elle est suivie des fables de Ro
imprimeurs. Le verso du premier feuillet est occupé par le portrait d’ Ésope en pied. Enfin au verso du dernier feuillet on li
ij à Kiij. Le titre est tiré en rouge et porte au verso le portrait d’ Ésope . La vie de ce fabuliste commence sur le recto du
le contient la traduction de Macho intitulée : Les subtiles fables d’ Ésope , avec celles d’Avien, d’Alphonse et de Poge Flore
aucune date. Le verso du dernier feuillet, qui représente la figure d’ Ésope , porte bien le nombre xv, dans lequel Panzer a cr
e florentin, augmentez. Au-dessous de ce titre se voit le portrait d’ Ésope en pied, et au-dessous du portrait on lit ce qui
e volume : Fol. 2 a à 30 a. — Partie préliminaire comprenant la vie d’ Ésope . Fol. 30 b. — Table du livre I des fables de Romu
ait en buste de sir Roger l’Estrange, et le septième, celui en pied d’ Ésope . Il existe un exemplaire de l’édition à la Biblio
t six feuillets contenant le frontispice, la préface et le portrait d’ Ésope en pied. Voici ce que porte le frontispice : Fab
n̄ | seer ghenoechlick syn. Au-dessous gravure sur bois représentant Ésope en pied. Fol. 1 b. — Page blanche. Fol. 2 a, col.
col. 1. — Répétition du titre général, puis titre spécial à la vie d’ Ésope ainsi conçu : Hier begint dat leuē en̄ die histo
leerlijc | ghenoechlic en̄ wonderlijck is. Fol. 2 a à 25 b. — Vie d’ Ésope divisée en 28 épisodes, ornée de 28 gravures et t
da del Ysopet con | sus fabulas hystoriadas. Fol. 1 b. — Portrait d’ Ésope , surmonté du mot Esopus, et orné, au-dessous, d’u
ça la vidadel Ysopet. Fol. 2 a à 25 b (a 2 rº à d 5 vº). — La vie d’ Ésope est illustrée de vingt-huit gravures sur bois par
a souscription qui vient d’être indiquée est une gravure représentant Ésope assis qui écrit et deux autres personnages. Plus
ysopo famoso fabulador historiado in romace. Fol. 1 b. — Portrait d’ Ésope . Fol. 99 a. — Souscription ainsi formulée : Aqui
ix gravures xylographiques sur deux colonnes se rapportant à la vie d’ Ésope avec ce titre placé au-dessous : Libro del Sabio
rement réservés aux lettres initiales. Celles qui illustrent la vie d’ Ésope sont au nombre de 29. Fol. 1 a (a 1 rº). — Fronti
ça la vida de Ysopo , etc. Fol. 1 b (a 1 vº) à 16 b (b 8 vº). — Vie d’ Ésope , terminée par cette souscription : Aqui se acaba
e. Romulus y est bien présenté comme le traducteur latin des fables d’ Ésope  ; mais ce n’est pas à son fils, c’est à son père
omplaire, commence par traduire en prose latine les fables grecques d’ Ésope , puis il les met en vers. Dans le manuscrit 237 d
L’empereur Tibère, toujours pour se distraire, demande directement à Ésope de compiler pour lui quelques fables joviales, et
il expose qu’au dire de certaines personnes un Grec d’Athènes, nommé Ésope , a composé un livre de fables et que, suivant les
serait ainsi qu’aurait été exécutée la traduction latine des fables d’ Ésope dont le nom aurait été conservé à l’œuvre nouvell
utilité. Romulus, ayant mis la main sur l’œuvre grecque de l’Athénien Ésope , la traduit en latin et envoie sa traduction à l’
les en vers élégiaques auraient été une traduction latine de celles d’ Ésope faite par l’empereur Romulus pour l’instruction d
d’abord l’empereur Théodose, pour son amusement personnel, chargeant Ésope de composer des fables grecques, puis, bien longt
es latines, enfin ce savant traduisant en latin les fables grecques d’ Ésope . Voici en quels termes tout cela est expliqué : «
ybertinus un livre, dont les fables imitées des apologues du Phrygien Ésope , furent appelées par lui fables d’Ésope, quoique,
ées des apologues du Phrygien Ésope, furent appelées par lui fables d’ Ésope , quoique, comme certains le pensent, il n’en eût
qui l’avaient déterminé à traduire en vers latins la prose grecque d’ Ésope  : « Salo quidam sapiens homo fuit qui iuit athena
it été à Athènes, y aurait trouvé un exemplaire des fables grecques d’ Ésope et les aurait traduites en vers latins. Tout cela
« Puisque vous me demandez si Romulus a composé les fables latines d’ Ésope en prose ou en vers élégiaques, comme on le pense
s le comportait, a, cela est hors de doute, mis en prose les fables d’ Ésope , comme nous le voyons dans beaucoup de bibliothèq
es inscriptions anciennes, mais encore un vieux manuscrit de la vie d’ Ésope , qui se trouve entre les mains de Thomas Mactecod
autres manuscrits, lorsqu’ils portent un nom, c’est toujours celui d’ Ésope . Ainsi le manuscrit 8509 commence par ces mots :
re Galfred en ait été l’auteur. L’ouvrage est au contraire attribué à Ésope , et les mots edito (lisez editus) a magistro Gauf
ce mot était non pas un nom propre, mais un participe qui qualifiait Ésope de causeur facile. Le même sens doit, suivant moi
m’arrête pas à l’explication puérile que le glossateur donne du nom d’ Ésope qui serait celui de quelque personnage noble ou d
Éberhard de Béthune, qui, dans un poème écrit en 1215, les attribue à Ésope , dit que son vers ne sommeille point : Aesopus m
uillet 169. En tête se trouve un préambule inepte, qui les attribue à Ésope et dans lequel se lisent les phrases suivantes :
ne du titre de Saint-Chrysogone. Puis viennent l’argument de la vie d’ Ésope et sa vie elle-même dont la première lettre est o
ont la première lettre est ornée d’illustrations splendides. La vie d’ Ésope s’étend jusqu’au feuillet 67 b, où la fin en est
Finis Esopi vitae . Alors, au feuillet 68 apparaissent les fables d’ Ésope traduites par Rimicius. Comme sa vie, elles sont
u’il a puisé dans cinq manuscrits différents cent trente-six fables d’ Ésope encore inédites. Il ne faudrait pas en conclure q
ables sont en outre précédées d’une miniature initiale qui représente Ésope assis et devant lui trois auditeurs vus tous de p
ngt feuillets. Il porte au verso du premier feuillet la vie abrégée d’ Ésope . En tête du feuillet suivant se trouve ce titre :
qui porte cette mention est complétée par une épitaphe en l’honneur d’ Ésope , composée de huit vers élégiaques surmontés de ce
omposée de 34 feuillets signés de A à E, ornée d’un double portrait d’ Ésope sur les deux faces du premier feuillet, et termin
ous de ce titre est une gravure sur bois assez grossière représentant Ésope sous la forme d’un pédagogue et à ses pieds deux
cette dernière, au-dessous du titre il y a une gravure qui représente Ésope instruisant deux enfants et dans laquelle sur une
feuillet est occupé par une gravure sur bois, représentant, à gauche, Ésope assis, pensif, le coude gauche appuyé sur un pupi
t occupé par une gravure différente de celles précédemment décrites : Ésope , couronné de lauriers, est assis et reçoit l’offr
dessous de ce titre est une gravure sur bois qui représente, de face, Ésope siégeant devant un bureau, assisté d’un scribe qu
qui remplit toute la page. L’auteur y est représenté à genoux devant Ésope à qui il offre sa traduction. Le verso du même fe
t : « Ô toi lecteur, à qui plaisent mes récits, apprends que je suis Ésope . J’ai déjà paru en latin et en langue vulgaire, m
m’a fait reparaître en latin et en italien, tel que j’ai été déjà, l’ Ésope authentique traduit par Accio Zuccho. — Les chose
e sur bois rehaussée d’un encadrement xylographique ; elle représente Ésope couronné de lauriers, recevant un exemplaire des
dition, occupé par une gravure sur bois représentant six personnages, Ésope assis qui lit ses fables, sur un siège inférieur
une gravure sur bois qui occupe tout le frontispice et qui représente Ésope instruisant des auditeurs assis au-dessous de lui
pli par une gravure qui, comme celle de l’édition de 1493, représente Ésope assis et professant, et au-dessous de lui un scri
cio Zuccho. Au-dessus de ce titre une vignette représente la figure d’ Ésope . Au bas de la page on lit : In Venetia. Le vers
’une épître à « Honorato de Aragonia », après laquelle vient la vie d’ Ésope , écrite en latin et divisée en chapitres accompag
accompagnés chacun d’une traduction italienne. À la suite de la vie d’ Ésope il y a un feuillet blanc. Puis commencent les fab
de 8 feuillets et 2 de 6, comprenant la dédicace, l’épître, la vie d’ Ésope et deux feuillets blancs placés, l’un au commence
ue relève un riche encadrement de style renaissance ; elle représente Ésope assis de façon à être vu de profil et donnant son
iii a). —  Prohemium , à la suite duquel le commencement de la vie d’ Ésope en latin et en italien est annoncé par ce titre :
re presque aussi grande que la page. Fol. 43 a (f. iii a). — La vie d’ Ésope se termine au recto du feuillet 41 par cette sous
III, 43. La Corneille et la Brebis. 78. III, 44. La Statue d’ Ésope . 80. Épilogue. Rufus. Épilogue I. Épilog
III, 41. La Corneille et la Brebis. IV, 21. III, 42. La Statue d’ Ésope . IV, 22. Section IV. Histoire et description
1. III, 11. La Corneille et la Brebis. III, 43. III, 12. Statue d’ Ésope . III, 44. Épilogue. Rufus. Épilogue. Cette li
érer comme une vraie fable la dernière pièce intitulée : La Statue d’ Ésope . Mais provisoirement j’accepte le nombre de cinq
es Oiseaux. III, 4. 14. L’Âne et le Lion. III, 6. 15. La Statue d’ Ésope . III, 12. Épilogue. Rufus. III, 14. En revanc
le troisième, 12 dont la dernière est celle intitulée : La Statue d’ Ésope . C’est une division évidemment calquée sur celle
t la Puce ; iii, 11. La Corneille et la Brebis ; iii, 12. La Statue d’ Ésope . Les 50 fables du manuscrit Digbéien sont précédé
prologue et dans l’épilogue de sa traduction, Marie de France dit qu’ Ésope avait adressé à son maître des fables qu’il avait
t de l’épilogue du livre II de Phèdre, mais ayant trait à la statue d’ Ésope , n’est pas une vraie fable et ne doit pas entrer
N.-S. et la mort de la Vierge. En uers. Page 185. VIII. Les Fables d’ Ésope mises de l’anglois en uers francois par Marie de
édition des ouvrages de ce prélat par le père Beaugendre. 5º Fables d’ Ésope par Marie de France. 6º Traité des péchez en pros
Meister esopus dus heuet an. Ces vers peuvent se traduire ainsi : «  Ésope était un sage grec || et habitait à Athènes ; ||
nseignements.  || Pour ceux qui veulent entendre de bons préceptes || maître Ésope se montre aujourd’hui. » Quant aux 125 fables, M
rtie. C.-G. À Rotterdam, chez Reinier Leers, MDCXCVII. (Voyez, au mot Ésope , la note M, p. 1091.) 212. « Num igitur Phædrus
comme celles des deux premiers, ont été presque entièrement tirées d’ Ésope . 233. Voyez p. 9 de l’édition de Cannegieter. 2
2 vol. in-4º. 328. Ranutio d’Arezzo a traduit en latin 100 fables d’ Ésope (Voyez p. 296 et s.). 329. Bibliotheca Spenceri
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